AURA Environnement, incinération, pétitions, défense animaux, antispécisme, alimentation, énergie, gestion des déchets, urbanisme, publicité, cadre de vie, écologie

Coeur radioactif des polémiques

Banderole aura environnement 3

  • + de 64 000 Signatures. PETITION : AU SECOURS nos ânes de Chatuzange-le-Goubet. STOP à l'extension de la décharge à poubelles ONYX-VEOLIA (26) !

    AU SECOURS nos ânes de Chatuzange-le-Goubet. STOP à l'extension de la décharge à poubelles ONYX-VEOLIA (26) !

    Img 5693

    LIEN de la PETITION :

    https://www.mesopinions.com/petition/animaux/secours-nos-anes-chatuzange-goubet-stop/108012

    64 848 Signatures  ------ 693 Commentaires

    Auteur :

    Marc-Claude de PORTEBANE, Président d'AURA Environnement – Porte-parole du CDFEC (Collectif de Défense de l'Environnement à Chatuzange-le-Goubet), Fondateur du collectif de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux.

    Destinataire(s) :

    Emmanuel Macron (Président de la République)

    Madame la présidente de la Commission européenne Ursla Von der Leyen, Madame Brigitte Bardot, présidente de la Fondation Brigitte Bardot

    La pétition

    Le CDFEC (Collectif de Défense de l'Environnement à Chatuzange-le-Goubet) soutenu par AURA Environnement se mobilise en s’opposant au projet d'extension intolérable de la décharge à poubelles d'ONYX-VEOLIA où les odeurs et les envols de plastiques divers sont insupportables au quotidien pour les riverains. La société ONYX Auvergne-Rhône-Alpes (ONYX ARA) appartient à part entière à la société VEOLIA Recyclage et Valorisation des Déchets (RVD).

    Cette décharge accueille actuellement des déchets non-dangereux ultimes de la Drôme, de l’Ardèche, de l’Ain, de l’Isère, du Rhône, de la Savoie et de la Haute-Savoie dans des zones de stockage dites « casiers » qui sont le A, B, C , D,E, F, G et H. Seul le casier H est encore en exploitation car il a été autorisé jusqu’au 01/01/2022 par arrêté préfectoral du 23/03/2004 pour un apport maximal de 180 000 T/an.

    Or, l’association de protection des animaux et de l’environnement AURA Environnement a pu observer que de pauvres ânes allaient devoir – ENCORE – subir les aléas de cette décharge immonde qui n’en finit pas de polluer l’existence des animaux et des humains puisque l’arrêté préfectoral du 09/07/2020, n° 26-2020-07-09-002, signé par le préfet de la Drôme, viendra submerger une commune déjà largement polluée par d’infâmes odeurs malodorantes et des envols de plastiques, du 01/01/2020 jusqu'au 31/12/2021 : 180 000 T/an, du 01/01/2022 jusqu'au 31/12/2024 : 150 000 T/an, du 01/01/2025 jusqu'au 31/12/2043 : 90 000 T/an. Cerise sur le gâteau : sur demande de l'exploitant, la décharge sera autorisée à 50 000 T/an supplémentaires à partir du 01/01/2025 !!!

    Source : http://www.aura-environnement.com/blog/pole-stockage-energie-veolia-chatuzange-le-goubet/chatuzange-le-goubet-le-collectif-cdfec-remplace-le-collectif-chdvc.html

    AURA Environnement a constaté, le 15/03/2018, des envols de plastiques sur l'autoroute A49 reliant Valence à Grenoble et qui longe cette décharge qui dispose d'une autorisation d'exploiter jusqu'au 01/01/2022.

    Mais cela ne suffit pas, il faut encore et encore plus de déchets à enfouir dans le Nord du département de la Drôme.

    L’avis des animaux ne compte pas, alors qu’ils ne sont pas considérés tels des meubles mais comme êtres vivants !

    Ils doivent vivre dans la dignité avec tout cela comporte en terme d’espace vital adapté à leur condition physique !

    Un projet de pont sur l’A 49 est projeté pour être implanté dans un contexte géologique et hydrologique potentiellement dangereux, notamment dans une zone qui sera implanté dans des formations alluvionnaires surmontant les mollasses.

    Comment ne pas s’interroger sur le trafic actuel incessant non loin du quartier des Blaches situé au Nord-Ouest de la décharge de Chatuzange-le-Goubet (61 camions/jour de livraison de déchets + 5 camions/jour de déchets inertes + 45 camions/jour pour l’évacuation des déchets) ?

    AURA Environnement mettra toute son énergie en venant à l’aide des populations locales ulcérées par ce projet de pont autoroutier qui devrait desservir le futur casier J dont la partie Nord-Est à 600 m au Sud-Est d’une ZNIEFF de type 1 dite  le « Confluent de la Joyeuse et de l’Isère » et en partie à l’intérieur d’une ZNIEFF de type II dite la « Zone fonctionnelle de la rivière Isère en aval de Grenoble », sans compter l’inventaire des papillons où les services de l’Etat ont relevé 42 espèces, (Enjeu considéré comme très fort), dont une protégée : l’azure du serpolet, classée en liste rouge !!

    Le rapport de l'enquête publique du 21/01/2019 dirigée par le commissaire enquêteur, Jacques FINETTI, dans ses conclusions motivées est éloquent concernant les envols d'éléments légers !

    Mr et Mme X parlent de leur enfer quotidien : "Depuis notre arrivée création du casier actuel ; extraction de matériaux, poussières, tirs de mines qui font trembler le sol et les habitations, des milliers de tonnes de déchets, odeurs, envolements... pour une échéance en 2022. Projet présenté : 2022-2024 on remet une couche sur le casier existant. 2024-2032 on creuse de nouveau, des milliers de tonnes de déchets avec les effets que nous connaissons. 2032-2042 cerise sur le gâteau on franchit l'autoroute et on recommence. Aucune compensation malgré la proximité du site et dévalorisation de l'habitat. Lors d'une réunion avec Véolia on nous promet que par des propos bien argumentés.....".

    « Nous vivons dans un monde de folie incontrôlable, un monde en contradiction totale avec les règles les plus élémentaires que la nature nous enseigne depuis des millénaires, un monde de cinglés qui prend en otage les animaux, essayant de les rendre responsables de tous les maux dont notre puissance de destruction les accable à travers nos propres dérives ».  Brigitte BARDOT « Pourquoi » Editions du Rocher

    On tourne en boucle à Chatuzange-le-Goubet : réhausse d'un casier existant, création d'un nouveau casier dans la continuité des autres, puis extension de l'autre côté de l'autoroute A 49 !!!

    AURA Environnement et son avocat Me François RUFFIE du barreau de Libourne ont réussi à faire fermer par le tribunal administratif de Lyon la décharge NICOLLIN à Saint-Romain-en-Gal (69), fait capoter le PLU des Granges-Gontardes (26) visant à installer le projet de décharge COVED en gagnant leur référé au tribunal administratif de Grenoble puis la Cassation voulue par la mairie des Granges-Gontardes qui ne pouvait faire appel..... Nous avons besoin des populations locales autour de Chatuzange-le-Goubet pour que le tribunal administratif de Grenoble ordonne la fermeture DEFINITIVE de la décharge ONYX-VEOLIA.

    ONYX-VEOLIA ne nous écoute pas au lieu-dit Papelissier au 810, chemin des Taillandiers à Chatuzange-le-Goubet. L'Etat doit entendre le collectif CDFEC !

    Nous, signataires de cette pétition d'AURA Environnement, nous demandons, in solidum, aux services de l’Etat :

    - La fermeture définitive de cette décharge de Chatuzange-le-Goubet.

    - Une étude épidémiologique sur les animaux vivant dans les alentours de cette décharge.

    - Une expertise complète sur les sacs plastiques et autres emballages ayant contenu des aliments sucrés ou odorants avalés par les animaux.

    - Une expertise pour les préjudices subis par les populations locales en terme de santé, d’esthétisme (Conseil d’État 01/10/1996) et désagréments divers !

    L’antispécisme appelle à une nouvelle révolution copernicienne contre les tenants de l’obscure tradition qui tentera toujours de défendre l’indéfendable, par peur de voir son modèle rassurant vaciller en s’opposant de façon systématique au tri sélectif des déchets et à la loi de transition énergétique !

    Les habitants et tous les animaux de Chatuzange-le-Goubet pourront toujours compter sur le CDFEC (Collectif de Défense de l'Environnement à Chatuzange-le-Goubet) et le Collectif de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux soutenus par AURA Environnement.

    Mobilisons-nous à Chatuzange-le-Goubet, Romans et Valence !

    Marc-Claude de PORTEBANE

    - Fondateur de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux (+ de 46 800 Like sur Facebook)
    https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/

    - Président d’AURA Environnement
    http://www.aura-environnement.com/
    - Porte-parole du CDFEC (Collectif de Défense de l'Environnement à Chatuzange-le-Goubet),

     
     

  • Chatuzange-le-Goubet : le Collectif CDFEC s'oppose à l'extension de la décharge d'ONYX-VEOLIA !

    Le CDFEC se mobilise

    (Collectif de Défense de l'Environnement à Chatuzange-le-Goubet)

    et s'opposera au projet d'extension intolérable

    de la décharge d'ONYX-VEOLIA !

    Plastiks 2

    Le CDFEC (Collectif de Défense de l'Environnement à Chatuzange-le-Goubet) né de la fusion avec le Collectif Halte Décharge Veolia Chatuzange-le-Goubet (CHDVC), soutenu par AURA Environnement, a décidé de s'opposer au projet d'extension de la décharge rajeunie en "pôle stockage énergie d'ONYX-VEOLIA" à Chatuzange-le-Goubet, où les odeurs et les envols de plastiques divers sont insupportables au quotidien pour les riverains.

    Cette décharge qui dispose d'une autorisation d'exploiter jusqu'au 01/01/2022 assure vouloir un projet de continuité - dont est défavorable le CDEFC - en ne prenant pas en compte les enjeux locaux de traitement des déchets.

    Par leur transformation et valorisation en électricité, ce "pôle de stockage énergie" ne relèvera pas vraiment les défis de la transition énergétique et de l'économie circulaire puisque les odeurs persistent.

    Très attentif sur le suivi du ruisseau de la "Béaure" qui draine la nappe de la molasse à l'est de ce pôle, le CDEFC, en vérifiant plusieurs analyses, a constaté qu'il faisait l'objet d'un suivi trimestriel en amont et en aval du site. Ce suivi réalisé par le laboratoire d'analyses de la Drôme permettrait ainsi d'appréhender les éventuelles contaminations pouvant sortir du flanc est du site (anciens dépôts). Nous ne lâcherons donc rien sur l'innocent "Béaure" !

    En ce qui concerne les odeurs, le CDEFC a pu constater qu'elles continuaient d'augmenter cet été 2020 en dépit des évolutions réglementaires, alors que l'exploitant assure que des vannes de régulation automatisées et connectées aux prévisions météorologiques devraient être installées. Elles devraient permettre un réglage et une optimisation du réseau de biogaz pour anticiper les nuisances olfactives, alors que ce n'est pas le cas de nos jours !!!!

    Le CDEFC a relevé d'immondes perceptions d'odeurs et d'envols de plastiques sur l'autoroute reliant Romans à Grenoble et qui longe cette décharge.

    Le CDEFC a demandé à AURA Environnement pour qu'elle intervienne auprès du préfet de la Drôme afin que cessent ces envols de plastiques, qui, portées par les vents violents, sont nuisibles pour les populations locales et les automobilistes.Img 8635 b 1

    Ainsi, le 04/04/2018, AURA Environnement, après avoir constaté des envols de centaines de plastiques sur l'A49 écrivait à AREA..

    En effet, le 15 mars 2018, nous étions parti de Valence en direction de Grenoble via l’autoroute A 49, avant le centre de péage n° 9 de Chatuzange-le-Goubet et nous avions observé des milliers de sacs plastique longeant la décharge ONYX-VEOLIA, non loin du lieu-dit « Pourcieux », comme on pouvait le constater via nos photos. Plusieurs sacs plastique s'étaient retrouvés sur notre pare-brise. Ce qui n’est pas normal et particulièrement dangereux.

    Nous demandions à AREA s’il existait un plan de collecte des déchets qui s’envolent d’ONYX, si des pénalités existaient dans ces cas de pollution visuelle et environnementale, combien de fois cela se reproduisait-il dans une année, quelles sanctions AREA envisageait de prendre en cas de récidive ? Des accidents se sont-ils déjà produits à cet endroit à cause de ces envols ?

    Lassé d'attendre une réponse qui ne venait pas, le 25/08/2020, le président d'AURA Environnement écrivait directement aux actionnaires américains d'APRR (Bron - Rhône-), le gestionnaire du réseau via sa filiale AREA (Saint-Marcellin - Isère -) :

    "Vous vous êtes bien gardés ne pas donner suite à notre courrier (photos à l’appui), du 04/04/2018 vous alertant sur les dangers encourus par les conducteurs de véhicules concernant les envols de plastiques longeant la décharge ONYX-VEOLIA, non loin du lieu-dit « Pourcieux », et ce, de Valence en direction de Grenoble via l’autoroute A 49, avant le centre de péage n° 9 de Chatuzange-le-Goubet,

    Pourtant, lors d’une réunion dans la Drôme, le 22/05/2018, j’ai rencontré Mr RIVAT de VEOLIA qui m’a bien confirmé que vous lui aviez fait part de nos observations sur ces envols inadmissibles. Il semblerait d’ailleurs que les contrôles des envols de plastiques par l’UT Dreal Drôme-Ardèche n’aient pas été suffisamment effectués, car comment expliquer que des milliers de plastiques puissent joncher votre l’A49 dont vous en avez la concession via le consortium Eiffarie (Eiffage + Macquarie) ?

    Comme vous ne voulez toujours pas nous répondre, j’ai écrit au préfet de la Drôme, le 15/08/2018, tout juste après le dramatique incident du pont de Gênes en Italie, pour lui faire part de votre attentisme plutôt inquiétant.

    D’autant plus que vous n’êtes pas sans savoir que la société ONYX Auvergne-Rhône-Alpes de Vaulx-en-Velin, vient de demander la recevabilité de sa demande d’autorisation d’extension aux services de l’Etat, de sa décharge de Chatuzange-le-Goubet, classée en ISDND.

    La société ONYX Auvergne-Rhône-Alpes (ONYX ARA) appartient à part entière à la société VEOLIA Recyclage et Valorisation des Déchets (RVD), qui appartient à part entière au groupe VEOLIA.

    Cette décharge accueille actuellement des déchets non-dangereux ultimes de la Drôme, de l’Ardèche, de l’Ain, de l’Isère, du Rhône, de la Savoie et de la Haute-Savoie dans des zones de stockage dites « casiers » qui sont le A, B, C , D,E, F, G et H. Seul le casier H est encore en exploitation car il a été autorisé jusqu’au 01/01/2022 par arrêté préfectoral du 23/03/2004 pour un apport maximal de 180 000 T/an.

    Dans ce dossier de recevabilité par les services de l’Etat dans la Drôme, VEOLIA indique qu’un pont est nécessaire sur l’autoroute A49, pour l’exploitation du futur casier J (Phase 3, exploitation de ce casier pendant 9 ans, implanté au Nord de l’autoroute A 49, donc nécessitant la réalisation d’un ouvrage de franchissement de cette autoroute…).

    Dans la présentation de son projet d’extension de sa décharge sur des terrains agricoles, VEOLIA précise qu’il s’est rapproché de la société AREA « pour la signature d’une convention bipartite pour la réalisation des études, de la construction et de l’entretien du pont enjambant l’autoroute A 49 ».

    Au vu de nos constats d’envols de plastiques sur les pare-brises des utilisateurs de votre A 49, nous ne pensons pas que VEOLIA fasse pleinement bénéficier la société ONYX ARA de son « savoir-faire » et de ses capacités en matière de gestion des déchets, notamment en matière de tri, de collecte, de recyclage ou de stockage, puisque les plastiques s’envolent et pullulent dangereusement sur une autoroute dont la devise est « Nous sommes là » !!!

    Je suis vraiment désolé, mais vous n’êtiez pas vraiment là lorsque nous avons constaté ces envols de plastiques sur l’A 49, en ces jours de vents mauvais de début de printemps 2018.

    Puisque vous n’êtes pas réactifs à nos alertes sur les dangers encourus par vos usagers de l’A49, une copie de ce courrier sera adressée au Pdg Benoît de RUFFRAY et aux actionnaires d’Eiffage ainsi qu’au groupe MACQUARIE via le service aux actionnaires de BNY Mellon à Pittsburg aux Etats-Unis.

    Nous vous alertons sur les dangers encourus par la construction d’un tel pont enjambant l’A 49 pour rejoindre le potentiel futur casier J qui aura notamment, les caractéristiques suivantes : surface 7 000 m² ; longueur 220 m ; largeur minimale 23 m ; pente uniforme de 5% vers le Nord-Ouest.

    En effet, au vu de ce qui vient de se passer à Gênes, nous demanderons au tribunal administratif de désigner des experts afin d’intégrer pleinement l’évaluation de la stabilité du casier J, en phases d’exploitation et de post-exploitation en terme de conditions normales et sous séisme du fait de la proximité immédiate de cette autoroute A 49.

    Le projet de pont sur l’A 49 est projeté pour être implanté dans un contexte géologique et hydrologique potentiellement dangereux, notamment dans une zone qui sera implanté dans des formations alluvionnaires surmontant les mollasses.

    AURA Environnement met en garde les utilisateurs de cette autoroute A 49 et sur ce projet d’étude de faisabilité entre le concessionnaire autoroutier AREA et VEOLIA, tout cela parce que la société VEOLIA veut faire encore plus d’économies afin, notamment,  de conserver les infrastructures existantes à l’exploitation de ce casier J, alors que les autres casiers sont déjà MAL gérée par ONYX qui ne respecte déjà pas ses obligations de sécurité des usagers de votre autoroute A49 qui est déjà la « poubelle » autoroutière de la Drôme, grâce à l’incompétence d’ONYX-VEOLIA !

    Comment ne pas s’interroger sur le trafic actuel incessant non loin du quartier des Blaches situé au Nord-Ouest de la décharge de Chatuzange-le-Goubet (61 camions/jour de livraison de déchets + 5 camions/jour de déchets inertes + 45 camions/jour pour l’évacuation des déchets) ?

    AURA Environnement mettra toute son énergie en venant à l’aides des populations locales ulcérées par ce projet de pont autoroutier qui desservira ce casier J dont la partie Nord est à 600 m au Sud-Est d’une ZNIEFF de type 1 dite  le « Confluent de la Joyeuse et de l’Isère » et en partie à l’intérieur d’une ZNIFF de type II dite la « Zone fonctionnelle de la rivière Isère en aval de Grenoble », sans compter l’inventaire des papillons où les services de l’Etat ont relevé 42 espèces, (Enjeu considéré comme très fort), dont une protégée : l’azure du serpolet, classée en liste rouge !!

    En ce qui concerne les risques technologiques et le transport des matières dangereuses, il n’est pas question de faire prendre des risques d’accident majeur aux usagers d’AREA au cas où un camion se retournerait ou en heurterait un autre sur ce projet de pont enjambant l’autoroute A 49. Or, il a été à déplorer déjà deux déversements de lixiviats, l’un en 2010 (dans le canal de la Bourne) et l’autre en 2013 (renversement d’une citerne de transport, lors d’un accident de la route : déversement de lixiviat sur le bas-côté).

    Sans compter que VEOLIA, en retour « d’expérience » (Sic) de l’actuelle décharge de Chatuzange-le-Goubet reconnaît – dans sa demande d’autorisation d’extension aux services de l’Etat – que les incendies constituent les évènements principaux affectant les installations de traitement et d’élimination des déchets, suivis par les rejets de produits dangereux, puis les explosions (stockage de déchets interdits explosibles, ou fuite de biogaz).

    Depuis 2007, 8 départ de feu sont survenus dans le casier de stockage en cours d’exploitation (Source VEOLIA).

    Quelles incidences en terme d’accidentologie pour le futur pont enjambant votre autoroute A 49 ?

    Toujours en terme de retour « d’expérience » (Sic) de l’actuelle décharge de Chatuzange-le-Goubet, VEOLIA reconnaît qu’un autre facteur de risque est « constitué par le vent, compte-tenu de la proximité de l’autoroute A 49 » puisque que « des envols de déchets pourraient en effet provoquer un accident ».

    C’est exactement ce qu’AURA Environnement vous a dénoncé dans notre courrier du 04/04/2018. Vous avez préféré ne rien dire, façon « à l’italienne » : on ne répond que lorsque que l’on est acculé par la presse, le gouvernement, les populations, uniquement lorsqu’il y a des dizaines de morts sur une autoroute européenne ?

    Avec les photos d’envols de plastiques en masse sur l’A 49 qu’AURA Environnement a envoyé à AREA, nous ne pouvons qu’émettre un sérieux doute sur les mesures mises en œuvre par VEOLIA pour prévenir ce risque majeur avec la mise en place de filets pare-envols troués ou tout simplement pliés sous l’effet des vents forts !!!

    Après le dramatique accident du pont de Gênes, AURA Environnement a demandé au préfet de la Drôme, de rassurer les populations locales de Chatuzange-le-Goubet, sur le projet de collecteur de biogaz sur ce projet de pont envisagé sur l’A 49 :

    - Comment sera assurée sa protection physique ?

    - Les vannes automatisées seront-elles asservies à un capteur de pression ?

    - Que se passera-t-il en cas d’affaissement de ce pont enjambant l’A 49, en cas de rupture du collecteur de biogaz ?

    - Est-il normal de faire passer sur la tête des usagers de l’A 49, à hauteur de Chatuzange-le-Goubet, un collecteur de biogaz susceptible de n’être pas isolé par une intervention humaine ?"Reponse area 4

    Et ce n'est que le 06/09/2018 qu'AREA nous répondait !!

    Il est clair que notre mail du 04/04/2018 à AREA avait fait réagir VEOLIA qui parle de "fait" plutôt "exceptionnel" comme si c'était la première fois que les envols de plastiques, c'était de la faute du vent et du manque de prévisions de la préfecture de la Drôme !!!

    Reponse veolia 1aLe rapport de l'enquête publique (EP) dirigée par le commissaire enquêteur (CE) Jacques FINETTI, dans ses conclusions motivées est éloquent concernant les envols d'éléments légers. 

    Plu chatuz 2 jpg b 1

    Le projet d'extention phase 3 (casier J) sans le pont sur l'A49

    Documents, Photos © AURA Environnement

    En effet, un commentateur (dont le nom n'a pas été publié, indique : "Différentes mesures sont proposées pour limite les envols. Pour autant on sait qu'il très difficile de les supprimer totalement. La position du casir J situé au nord et sous le vent du nord par rapport à l'autoroute A49 me paraît préoccupante (risques pour la circulation autoroutière en cas d'envolement massifs).....".

    Plu chatuz

    Mr et Mme X parlent de leur enfer quotidien : "Depuis notre arrivée création du casier actuel; extraction de matériaux, poussières, tirs de mines qui font trembler le sol et les habitations, des milliers de tonnes de déchets, odeurs, envolements... pour une échéance en 2022. Projet présenté : 2022-2024 on remet une couche sur le casier existant. 2024-2032 on ceruse de nouveau, des milliers de tonnes de déchets avec les effets que nous connaissons. 2032-2042 cerise sur le gâteau on franchit l'autoroute et on recommence. Aucune compensation malgré la proximité du site et dévalorisation de l'habitat. Lors d'une réunion avec Véolia on nous promet que par des propos bien argumentés.....".

    Decharge veolia f2

    L'actuelle décharge d'ONYX-VEOLIA à Chatuzange-le-Goubet....

    Decharge veolia fa1

    Les mêmes réjouissances pour les riverains après 2022 ???

    Decharge veolia fa2 aura environnement 1

    Bonjour les dégâts : du 01/01/2020 jusqu'au 31/12/2021 : 180 000 T/an

    Du 01/01/2022 jusqu'au 31/12/2024 : 150 000 T/an

    Du 01/01/2025 jusqu'au 31/12/2043 : 90 000 T/an

    Cerise sur le gâteau : Sur demande de l'exploitant, la décharge sera

    autorisée à 50 000 T/an supplémentaires à partir du 01/01/2025 !!!

    (Source : Arrêté préfectoral n° 26-2020-07-09-002 du 09/07/2020)

    Sur l'impact environnemental, la Frapna pose les bonnes questions : "Le site du projet est très proche et se rapproche encore dans son évolution, des habitations. L'impact sanitaire de l'équipement sur les populations est-il évalué ? Sur quels critères, sur quel échantillon de population, avec quel suivi ? ".

    Prog coderst chatuz pref26

    Dommage que la FRAPNA ait approuvé la demande d'autorisation d'extension de cette décharge d'ONYX-VEOLIA à Chatuzange-le-Goubet, lors du CODERST du 16/06/2020 ! Si on ne peut plus compter sur les associations environnementales de la Drôme !

    Il n'y a bien qu'AURA Environnement pour s'y être opposé depuis le début en ayant demandé de maintes fois le programme du CODERST à la préfecture de la Drôme !

    Les réjouissances à venir pour les riverains :

    Casier H (Uniquement la réhausse à compter du 01/01/2022, en tant que simple poursuite d'exploitation) : Surface à la base, hors digues : 60 000 m² ; Capacité de stockage : 300 000 m3...

    Casier I : Hauteur des déchets : 40 m ; Capacité de stockage : 1 400 000 m3....

    Casier J : Hauteur des déchets : 41 m ; Matériaux excavés : 784 000 m3 ; Capacité de stockage : 1 240 000 m3...

    Cette décharge a bénéficié en 1976 d'un premier arrêté préfectoral, puis d'autres casiers de déchets non-dangereux (DND) ont été autorisés. Ils ont été appelés A, B, C, D, E, F, G, et H. Seul le casier H est encore en exploitation. Il a été nautorisé jusqu'au 01/01/2022 par arrêté préfectoral n° 04-1193 ezn date du 23/03/2004. La quantité maximale de DND pouvant être accueillis s'élevant à 180 000 T/an...

    Le cauchemar continuera donc pour les riverains de cette décharge. Les promesses de fermeture définitive ne valent pas plus qu'un pet jeté à la figure des populations locales.

    On tourne en boucle à Chatuzange-le-Goubet : réhausse d'un casier existant, création d'un nouveau casier dans la continuité des autres, puis extension de l'autre côté de l'autoroute A 49 !!!

    Place aux futurs casiers I, J et ainsi de suite.... pour les futures générations qui naîtront avec la dévalorisation de leur milieu naturel et de leurs habitats...

    Où est l'intérêt général dans tout cela ?

    IL EST GRAND TEMPS DE DIRE STOP à la poursuite de la DECHARGE d'ONYX-VEOLIA à Chatuzange-le-Goubet qui est en train de devenir la poubelle du Nord de la Drôme !

    Plu gg refere aura environnement 1

    AURA Environnement et son avocat Me François RUFFIE du barreau de Libourne ont réussi à faire fermer par le tribunal administratif de Lyon la décharge NICOLLIN à Saint-Romain-en-Gal (69), fait capoter le PLU des Granges-Gontardes (26) visant à installer le projet de décharge COVED en gagnant leur référé au tribunal administratif de Grenoble puis la Cassation voulue par la mairie des Granges-Gontardes qui ne pouvait faire appel..... Nous avons besoin des populations locales autour de Chatuzange-le-Goubet pour que le tribunal administratif de Grenoble ordonne la fermeture DEFINITIVE de la décharge ONYX-VEOLIA.

    ONYX-VEOLIA ne nous écoute pas au lieu-dit Papelissier au 810, chemin des Taillandiers à Chatuzange-le-Goubet. L'Etat doit entendre le collectif CDFEC !

    A suivre

    Marc-Claude de PORTEBANE

  • Déchets illégaux incinérateur SILA : Collectif Stop Incinérateur Lac Annecy (CSILA) alerte #Dreal74 et préfet 74 !

    Le Collectif Stop Incinérateur Lac Annecy (CSILA)

    soutenu par AURA Environnement alerte #Dreal74, #préfet74 

    et élu-es du Grand Annecy Agglomération   

    Dechets interdits incinerateur sinergie

    AURA Environnement

    aura-environnement@protonmail.com 


    à

    UD DREAL

    Mr CRESPINE

    15, Rue Henry Bordeaux

    74 998 ANNECY Cedex

     

    Clermont-Ferrand, le 20/08/2020

     

    Monsieur l’inspecteur des installations classées,

    Suite à notre entretien téléphonique du 18/08/2020, je vous prie de trouver ci-joint la décision N° 193-20 prise par Mr le président du SILA en date du 08/07/2020 (document public téléchargé sur le site internet du SILA) autorisant l’incinérateur Sinergie de Chavanod à recevoir des déchets en provenance de la Drôme.

    Cet acte, reçu en préfecture de la Haute-Savoie le 10/07/2020, contrevient manifestement aux prescriptions de l’arrêté préfectoral d’autorisation N°PAIC 2016-0039 du 10/06/2016 de cette installation classée pour la protection de l’environnement qui limite dans son article 3.2.1 sa zone de chalandise aux seuls départements limitrophes. 

    Comme vous le savez, la tension est grande sur les installations de traitement de déchets en Auvergne Rhône-Alpes et notre association, présente sur toute la région, est extrêmement attentive à ce que les exploitants (publics et privés), ainsi que les administrations de tutelle (DREAL et Préfectures) respectent scrupuleusement les règles qui doivent s’imposer à chacun.

    En conséquence, je vous demande solennellement d’une part de proposer à Monsieur le préfet de la Haute-Savoie de rejeter sans délai cette décision du Président du SILA via le contrôle de légalité et d’autre part de prendre immédiatement un arrêté de mise en demeure de l’exploitant de l’incinérateur afin que le SILA cesse de recevoir ces déchets interdits.

    Par ailleurs, je compte naturellement sur votre vigilance et sur celle du service des Douanes pour que la TGAP appliquée aux déchets non autorisés qui seraient reçus à Sinergie soient assujettis au taux majoré de 110 €/t conformément aux articles 266 sexies IV et 266 nonies 1.A-0 du code des douanes.

    Les 265 000 habitant-es du SILA composé des 73 communes de la Communauté d’agglomération Grand Annecy, de la Communauté de communes des Sources du lac d’Annecy, de la Communauté des communes des Vallées de Thônes, de la Communauté de communes du Pays de Cruseilles et de la Communauté de communes Fier et Usses ne peuvent accepter que leurs élus bafouent ainsi les règles qui leurs sont applicables et attendent des services de l’Etat, donc de vous qui êtes en charge de la surveillance de cette installation classée, qu’ils soient intransigeants dans leur contrôle.

    Dans l'attente de votre réponse rapide, je vous prie de croire, Monsieur Crespine, à l'assurance de ma considération distinguée.

    Marc-Claude de PORTEBANE                                                          
    Président de l’association de protection environnementale et de défense des animaux
    AURA Environnement

    Site : http://www.aura-environnement.com/

    Copies :

    M. le préfet de la Haute-Savoie, M. le président du SILA, M. le Directeur régional des douanes et droits indirects du Léman, Mr le président du Sytrad, Mr le maire d’Annecy

  • Elle avait voté NON #SUEZ Roche-la-Molière. #Frapna votera OUI #Coderst26 POUR extension décharge ONYX-VEOLIA à Chatuzange-le-Goubet ?

     Alors que la Frapna s'est déchaînée au CODERST42 contre

    la décharge de SUEZ de Borde-Matin à Roche-la-Molière !

    STOP A L'INJUSTICE !

    Des torrents de boue se déversent aux Granges-Gontardes :

    AURA Environnement demande à la FRAPNA Drôme Nature Environnement

    et au MNLE de s'opposer au projet de décharge VEOLIA à Chatuzanges-le-Goubet

    lors du prochain CODERST26 !

    AURA Environnement a déclenché l'opération "Rouge-Gorge" à Chatuzange-le-Goubet CONTRE le projet d'extension de la décharge ONYX-VEOLIA.

    AURA Environnement a donc décidé d'interpeller la FRAPNA Drôme Nature Environnement et le MNLE pour qu'ils se déchaînent comme la FRAPNA l'a fait contre le projet d'extension de SUEZ à Borde-Matin à Roche-la-Molière dans la Loire.

    AURA Environnement qui était également opposé à ce projet a réussi par ailleurs, à faire fermer la décharge de Saint-Romain-en-Gal (Rhône) alors que....... la FRAPNA avait voté POUR au Coderst 69 !!!

    Voici notre courrier à la FRAPNA et au MNLE !

    ...................................................................................................................

     

    AURA Environnement                                                                                Le 09/02/2020

    Association loi 1901

    Identification R.N.A : W033003439

    Protection environnementale et de défense des animaux

    7, rue du Creux de l’Enfer

    63000 CLERMONT-FERRAND

    06 40 29 68 72

    Mail : aura-environnement@protonmail.com

    Site : http://www.aura-environnement.com

    A

    FRAPNA Drôme Nature Environnement

    38, rue de Verdun

    26 000 VALENCE

    et

    MNLE-26-07

    La Verne

    26 800 MONTOISON

     

    Objet :

    Contestation Extension décharge VEOLIA Chatuzange-le-Goubet CODERST

    MAIL + RAR

     

    Camarades,

    Le 03/02/2020, le Collectif Halte Décharge Veolia Chatuzange-le-Goubet (CHDVC) soutenu par AURA Environnement a écrit au préfet de la Drôme pour lui dire qu’il s’opposait à cet ordre du jour du Coderst du 13/02/2020.

    Le préfet de la Drôme nous a entendu. Le Coderst 26 n’examinera pas l’extension de la décharge de Veoila dans le Nord de la Drôme dans sa cession du 13/02/2020.

    Nous combattrons avec toute notre dernière énergie ce projet ahurissant de décharge de 140 000 T à Chatuzange-le-Goubet dans un département déjà largement saturé en nombre de DND.

    Le préfet et la Dreal-26 ne peuvent pas autoriser de sur-capacité par rapport à ce qui est prévu dans le PRGD pour la Drôme, soit 150 kt maximum pour l’ensemble des 2 projets de Chatuzange-le-Goubet et de Roussas/Les Granges-Gontardes.

    Tout est écrit en page 398 du PRPGD adopté en décembre 2019 :

    4.7.3.6 Prescriptivité et recommandations retenues par le Plan

    « Compte tenu de cette situation d’excédent de capacité de stockage et de la difficulté à faire évoluer les projets et les installations existantes, le plan ne prévoit pas d’aller en dessous des maximas imposés par la règlementation en termes de capacité (1.1Mt en 2025), même si les besoins courants sont plus faibles.

    Ceci afin de ne pas rendre encore plus difficile le respect des principes d’autonomie et de proximité.

    Cette posture se justifie également par le fait que l’analyse de sensibilité montre que le passage de 2025 peut être délicat, que les capacités excédentaires (entre les besoins et les maxima) peuvent servir à des besoins périphériques, ou faciliter la gestion des déchets en situation exceptionnelle.

    Afin de respecter le principe de proximité, le plan rend prescriptif par bassin de vie, c’est à- dire par département, les capacités maximales annuelles des installations de stockage de déchets non dangereux à partir de 2025. La somme des capacités par département respecte la capacité régionale maximale autorisée de 1,1 million de tonnes par an à partir de 2025 et jusqu’à l’échéance du PRPGD :

    Capacités maximales annuelles des ISDND à partir de 2025, en Aura : 1 100 000 T.

    Capacités maximales annuelles des ISDND à partir de 2025 dans le département de la Drôme : 300 000 tonnes.

    200 000 T pour Donzère et 100 000 T pour Coved Roussas/Les Granges-Gontardes maximum en comptant les réquisitions, il n’y a donc plus de place pour le DAE de Chatuzange-le-Goubet.

    Comment peut-on autoriser 140 000 T dans le Nord de la Drôme à Chatuzange-le-Goubet alors que les capacités autorisables sont largement saturées ?

    Depuis le PRPGD, il n’y a donc plus de place pour une 3° décharge dans la Drôme mais aussi dans le respect de la loi de transition énergétique.

    Nous espérons que la Frapna nous soutiendra au prochain Coderst alors qu’elle avait voté POUR la prolongation de la décharge Nicollin à Saint-Romain-en-Gal (69) et que nous avons réussi à faire fermer en exerçant un recours au TA de Lyon contre l’APC de Mr le préfet du Rhône qui visait à poursuivre une prolongation de plus sans consultation des élus locaux et des riverains qui subissaient depuis des années les odeurs pestilentielles générées par cette immonde décharge.

    Nous espérons que la Frapna et le MNLE-26 soutiendront les populations locales réunies autour du Collectif Halte Décharge Veolia Chatuzange-le-Goubet (CHDVC) lors du prochain avis consultatif du CODERST qui devrait se prononcer prochainement sur l’extension de la décharge VEOLIA à Chatuzange-le-Goubet alors que la FRAPNA avait voté CONTRE l’extension d’exploitation du site de Borde-Matin géré par Suez, cette fois-ci, au Coderst du 05 février 2018 dans la Loire (Source : http://www.activradio.com/le-coderst-donne-son-feu-vert-a-lextention-dexploitation-du-site-de-borde-matin-par-suez/) .

    La Frapna n’avait pas hésité pour insister, lors de l’enquête publique (27/02/2017 au 29/03/2017) contre l’extension de la décharge Suez RV Borde Matin, sur : « un centre de stockage qui génère de nombreuses nuisances sur le plan écologique…. il serait temps de faire jouer la solidarité régionale…. Un grand centre de stockage pour la région est une aberration écologique…. ».

    Afin de tenir compte des dispositions de la loi de transition énergétique pour la croissance verte, nous comptons sur la Frapna Auvergne-Rhône-Alpes et le MNLE-26 pour que le projet présenté par ONYX- ARA VEOLIA ne dépasse pas 70 000 T/an s’il était présenté à l’ordre du jour du futur Coderst 26.

    Préservons l’eau, l’air et nos surfaces agricoles naturelles à Chatuzange-le-Goubet. Nous ne voulons pas de réhausse du casier existant, la création d’un nouveau casier dans la continuité des autres, puis extension de l’autre côté de l’autoroute A 49 avec la construction d’un pont très coûteux pour les collectivités territoriales.

    Nous contesterons le futur AP si celui-ci autorise ce projet inutile de 140 000 T de déchets non-dangereux (DND) car il ne peut y avoir d’autre intérêt général que la réduction drastique des déchets.

    Je vous joins le courrier adressé à Mr le préfet de la Drôme et à la Dreal.

    Cordialement

    Marc-Claude de PORTEBANE

    Président d’AURA Environnement

    Porte-parole du Collectif Halte Décharge Veolia Chatuzange-le-Goubet (CHDVC)

  • AURA Environnement fait capoter l'ODJ du Coderst 26 extension décharge ONYX-VEOLIA à Chatuzanges-le-Goubet

    AURA Environnement et le collectif CHDVC

    - Collectif Halte Décharge Veolia Chatuzange-le-Goubet -

    déclenchent l'opération "Rouge-gorge" en faisant capoter

    l'ordre du jour du Coderst du 13/02/2020 qui aurait permis de

    donner 140 000 T à l'extension #décharge d'ONYX-VEOLIA

    avec le feu vert de la FRAPNA Drôme nature environnement ?

     

    Alors que des cloportes essaient de saboter les actions d'AURA Environnement et du Collectif de Protection de l'Environnement vers Roussas/Les Granges-Gontardes largement soutenu par une grande partie des gontardien-nes qui ont gagné à la sueur de leur front le recours en référé contre le 1er PLU des Granges-Gontardes et la Cassation, AURA Environnement a décidé de déclencher la riposte contre les oiseaux de mauvaise augure qui veulent nous savonner la planche, pour ne pas dire mentir aux populations locales lors d'actuelle enquête publique sur le PLU des Granges-Gontardes en minimisant notre rôle.

    AURA Environnement, en boomerang, a donc décidé de déclencher l'opération "Rouge-gorge" contre le projet d'extension de la décharge d'ONYX-VEOLIA qui ne repectera pas les conditions de la loi de transition énergétique (LTE)..

    Tandis que l'ordre du jour avait été envoyé à tous les membres du Coderst de la Drôme pour la session du 13/02/2020, le Collectif Halte Décharge Veolia Chatuzange-le-Goubet (CHDVC) soutenu AURA Environnement a décidé d'interpeller le préfet de la Drôme, Hugues MOUTOUH et la Dreal 07/26 sur notre opposition au projet d'extension de la décharge de Chatuzanges-le-Goubet, parce qu'il n'y pas de place au projet de Veolia au Nord de la Drôme, parce que les populations locales en ont plus que marre des envols de plastiques dans les champs ou sur l'autoroute A49, des odeurs, du projet de pont enjambant l'A 49, etc....,

    Camarades, vous voudrez bien trouver ci-joint le contenu de notre courrier au préfet de la Drôme.

    -------------------------------------------------------------------------

    Monsieur le préfet,

    Il semblerait que le prochain Coderst 26 ait à rendre un avis le 15/02/2020 sur un projet de décharge à Chatuzange-le-Goubet et présenté par la société ONYX ARA du groupe VEOLIA. La société ONYX Auvergne-Rhône-Alpes (ONYX ARA) appartient à part entière à la société VEOLIA Recyclage et Valorisation des Déchets (RVD), qui appartient à part entière au groupe VEOLIA.

    Le Collectif Halte Décharge Veolia Chatuzange-le-Goubet (CHDVC) soutenu par AURA Environnement s’oppose à ce potentiel ordre du jour du Coderst et contestera, in fine, votre futur AP autorisant ce projet de 140 000 T de déchets non-dangereux (DND).

    La décharge à Chatuzange-le-Goubet a bénéficié en 1976 d’un premier AP d’autorisation d’exploiter un casier de stockage de DND, appelé zone de stockage « SIVOM ». Ensuite, d’autres casiers (A à H) de DND ont été exploités sur une surface globale d’environ 45 ha. Le casier H est encore en exploitation (Réhausse par digue périphérique). Il a été autorisé jusqu’au 01/01/2022 par AP n° 04-1193 su 23/03/2004. La
    quantité maximale de ces DND pouvant être accueillis s’élève à 180 000 T/an.

    Ceci représentait et représente encore, déjà, une position quasi-monopolistique dans le nord de la Drôme alors que les besoins en DND dans la Drôme ne sont pas répartis de façon équitable et surtout pas du tout en corrélation avec la loi de transition énergétique.

    Les populations locales rassemblées autour du Collectif Halte Décharge Veolia Chatuzange-le-Goubet (CHDVC) ne veulent pas d’une nouvelle autorisation d’exploiter de cette décharge qui accueille des DND ultimes comme les refus des opérations de tri et recyclage des déchets, des ordures ménagères résiduelles, des encombrants de déchèteries, des déchets d’activités économiques, des refus de broyats automobiles (RBA) et des mâchefers utilisés comme couverture intermédiaire.

    Ces DND proviennent principalement des départements de la Drôme et de l’Ardèche mais aussi de l’Ain, de l’Isère, du Rhône, de la Savoie et de la Haute-Savoie.

    Ce projet ne pourrait se faire que via un PLU déjà totalement acquis à sa cause et fait « sur-mesure » et ce, au dépens de l’abandon de nos zones agricoles ainsi que par l’apport d’une quantité annuelle maximale de déchets de 150 000 T entre 2022 et 2024, puis de 140 000 T à compter de 2025, hors dépannages ponctuels de dernière minute, pour une quantité journalière dite maximale de 1 500 T.

    Cette extension nécessiterait 2 nouveau casier :
    - Le I, accolé au casier H, pendant 10 ans
    - Le casier J pendant 9 ans, implanté au Nord de l’autoroute A 49, donc nécessitant la réalisation d’un ouvrage de franchissement de cette
    autoroute.

    Les populations locales ne veulent pas d’une extension de cette décharge qui devrait porter son exploitation sur une période s’étalant de 2022 à 2043, avec risque d’AP interminaux concernant des vides de fouille qui n’en finiraient plus pour cette capacité de stockage estimée à minima de 2 940 000 m3 moins 1 014 000 m3, soit environ 1 800 000 T qui seraient commercialisés.

    Le Plan de prévention et de gestion des déchets non-dangereux régional, non encore notifié, s’est donné comme objectif prioritaire d’imposer à partir de 2025, une capacité annuelle d’élimination par stockage des DND qui ne soit pas supérieure à 50 % de la
    quantité des DND admis en installation de stockage en 2010 (Article R. 541-17).

    Nous aimerions que les compatibilités de projets en cours en ce début 2020, dans la Drôme, ne soient pas discriminatoires les unes, les autres.

    Pourquoi tolérer un projet titanesque de 140 000 T comme celui de VEOLIA dans le Nord de la Drôme et refuser le projet PAPREC aux Granges-Gontardes, au Sud de ce département qui annonce lui, dans l’actuelle enquête publique (EP) que 75 000 T de DND ?

    Deux poids, Deux mesures ?

    Puisque la loi sur la transition énergétique pour la croissance verte (LTECV) de 2015 fixe une réduction de la mise en décharge de 50% des déchets non-dangereux à l’échéance 2025 par rapport à 2010, pourquoi le projet PAPREC ne répondrait-il pas, lui aussi, finalement, à l’intérêt général puisqu’on peut lire qu’il entend respecter ce que la loi impose : le développement de la réutilisation et du recyclage des déchets ?

    Avec de tels objectifs que nous ne contestons pas, et ce, dans le cadre d’une planification rigoureuse et une politique ambitieuse des différentes collectivités, la réduction de la quantité de déchets à enfouir ne devrait-elle pas être plus importante et s’accroître régulièrement chaque année, comme par exemple, dans le Nord de la Drôme et plus précisément à Chatuzange-le-Goubet étant donné que ceci devrait
    engager une planification rigoureuse et une politique efficace des différentes collectivités ?

    Cette planification devrait permettre un calcul adapté des besoins en centre d’enfouissement dans les années à venir, pour le département de la Drôme et pour les départements voisins. Pour limiter les transports et responsabiliser chaque territoire sur les impacts de ces décharges, il semble donc nécessaire de les répartir géographiquement au plus près des besoins.

    Le gisement des déchets Drôme/Ardèche appartient à tous les exploitants et ne doit pas être réparti à deux monopoles existants qui voudraient gérer l’avenir de la valorisation des déchets de façon inéquitable et totalement opportuniste.

    Le plan Drôme-Ardèche de prévention et de gestion des déchets estimait, pour 2010, les déchets enfouis en « décharges » à 599 500 tonnes par année, dont 200 500 tonnes « importées » d’autres départements que la Drôme et l’Ardèche. Sur l’année 2025, pour appliquer la loi TECV, les déchets enfouis sur ce territoire devront être réduits à 299 750 tonnes dont 100 250 importées.

    Or, le monopole n’est absolument pas conventionné par la loi dite de TECV.

    Autoriser ce projet d’extension de décharge à Chatuzange-le-Goubet qui ne répond pas à l’intérêt général, c’est développer la production des déchets pour alimenter l’économie locale, c’est admettre que nous n’engagerons pas leur réduction de façon équitable sur les départements de la Drôme et de l’Ardèche !

    Sans parler de l’avenir de la compatibilité de ce projet de décharge à Chatuzange-le-Goubet, nous ne pouvons pas tolérer de nouveaux dysfonctionnements détectés suite au non-respect des consignes du protocole de sécurité mis en place pour cette décharge de Chatuzange-le-Goubet, comme ce fut le cas en 2015 (source : rapport de l’exploitant 2016), avec :
    - La distance de sécurité non-respectée lors du vidage des bennes
    - Le risque de chute des chauffeurs sur bennes
    - Les bennes non-adaptées aux déchets
    - La vitesse excessive sur le site des « Pourcieux »
    - Le non-respect des panneaux de signalisation
    - Le non-port des EPI
    - Les bennes non-bâchées arrivant sur le site.

    Nous aimerions que vous puissiez transmettre à la DREAL de l’Unité inter-départementale Drôme-Ardèche notre demande de rapports de contrôle de cette ICPE de Chatuzange-le-Goubet en terme d’inspection approfondie, courante, ponctuelle, annoncée ou inopinée, planifiée ou circonstancielle conformément à l’arrêté ministériel du 15/02/2016 relatif aux ISDND (Articles 16-IV et 31 : « radioactivité » ;
    Article 16- II : « pesage » ; Article 14 – II : « Bassin de stockage des eaux de ruissellement internes au site » ; Article 16-III : « Toute canalisation de rejet à l’extérieur de l’installation est équipée d’un dispositif, synchronisé avec les rejets, mesurant le pH, la conductivité et la quantité d’effluents rejetés » : Article 33- III « Débroussaillage et procédure relative à la conduite à tenir en cas d’incendie sur l’installation » ; Article II non applicable aux ISDND existantes « Volume minimal à tenir et niveau des lixiviats stocké », et à l’AP d’autorisation d’exploiter.

    Les populations locales de Chatuzange-le-Goubet rassemblées autour du CHDVC ne veulent plus d’odeurs qui constituent la nuisance la plus dénoncée par les riverains (Source : Rapport de la DREAL du 04/07/2018), puisqu’en 2016, pas moins de 21 réclamations de riverains agacés ont été enregistrées, dont 19 portant sur les odeurs émises au niveau du site. La période estivale étant la plus délicate, la température
    élevée accélère la biodégradation étant donné que la vie en extérieur est beaucoup plus importante qu’en hiver.

    La mauvaise gestion par ONYX-VEOLIA des déchets et des lixiviats a donc été la panacée sur le site des « Pourcieux » à Chatuzange-le-Goubet et ce, aux dépens de la qualité de vie de nos camarades-riverains.

    Les populations locales de Chatuzange-le-Goubet rassemblées autour du CHDVC dénoncent la non-maîtrise des envols des déchets et ce, nonobstant l’équipement de filets pare-envols, comme ce fut le cas, lorsque le 04/04/2018 nous avons alerté les sociétés APRR et AREA, gestionnaire de cette autoroute. Nous avions observé (photos-preuves à l’appui) de nombreux envols de plastiques en provenance du site d’exploitation d’ONYX situé au lieu-dit « Pourcieux » sur cette chaussée très fréquentée, axe Valence-Grenoble.

    Les populations locales de Chatuzange-le-Goubet rassemblées autour du CHDVC sont opposées au projet préalable d’aménagement d’un pont devant franchir l’A 49 au Sud-Est du casier « J » en forme d’un dôme fantasque, et qui sera supérieur à 225 m NGF, car ceci n’évitera pas l’augmentation du trafic routier du hameau des « Blaches » et du quartier des « Pourcieux », mais surtout un surcoût aux collectivités territoriales aux finances locales exsangues dû, tout d’abord aux études de faisabilité de ce projet technique.

    Les risques technologiques et le transport des matières dangereuses sont à prendre en compte de façon primordiale. Il n’est pas question de faire prendre des risques d’accident majeur aux usagers d’AREA au cas où un camion se retournerait ou en heurterait un autre sur ce projet de pont enjambant l’autoroute A 49. Or, il a été à déplorer déjà deux déversements de lixiviats, l’un en 2010 (dans le canal de la Bourne) et l’autre en 2013 (renversement d’une citerne de transport, lors d’un accident de la route : déversement de lixiviat sur le bas-côté).

    Ce projet de pont sur l’A 49 est prévu pour être implanté dans un contexte géologique et hydrologique potentiellement dangereux, notamment dans une zone qui sera ancrée dans des formations alluvionnaires surmontant les mollasses.

    Les populations locales de Chatuzange-le-Goubet rassemblées autour du CHDVC s’interrogent sur le devenir du collecteur de biogaz sur ce projet de pont envisagé sur l’A 49 :
    - Comment sera assurée sa protection physique ?
    - Les vannes automatisées seront-elles asservies à un capteur de pression ?
    - Que se passera-t-il en cas d’affaissement de ce pont enjambant l’A 49, en cas de rupture du collecteur de biogaz ?
    - Est-il normal de faire passer sur la tête des usagers de l’A 49, à hauteur de Chatuzange-le-Goubet, un collecteur de biogaz susceptible de n’être pas isolé par une intervention humaine ?

    AURA Environnement a réussi à faire fermer la décharge de Saint-Romain-en-Gal au tribunal administratif de Lyon après des décennies d’injustices sur les populations locales. AURA Environnement a gagné son référé suspensif et la cassation en faisant suspendre un PLU au sud de la Drôme.

    Nous irons contester le futur arrêté préfectoral d’autorisation (AP) car le projet de Chatuzange-le-Goubet est un projet inutile.

    Le constat est unanime : pour les départements Drôme-Ardèche, les syndicats intercommunaux et toutes les collectivités n’ont pas suffisamment investi dans la réduction des déchets. Donc, les puissants industriels en position de monopole s’entendent pour agrandir les sites existants. C’est en effet plus facile de se développer sur des territoires où l’acceptation de la population est presque déjà acquise ; pour l’exploitant, faire grossir un site permet aussi des économies d’échelle.

    Ces décharges impactent l’environnement, aujourd’hui et pour l’avenir de nos enfants de Chatuzange-le-Goubet : destruction des milieux, pollution du sol, de l’eau, de l’air…

    Plusieurs millions de tonnes de déchets enfouies, vilain cadeau pour les générations futures ! Alors que les ressources naturelles vont manquer, alors que le dérèglement climatique menace les humains, refusons l’inaction.

    Réduisons donc les déchets dans le Nord de la Drôme et stoppons ce projet d’extension de décharge à Chatuzange-le-Goubet !

    Mr le préfet, vous ne devez accorder que 70 000 T au projet de décharge de Chatuzange-le-Goubet.

    Dans l’attente de votre réponse et de celle de vos services, je vous prie de croire, Mr le préfet, à l’expression de ma considération très distinguée.

    Marc-Claude de PORTEBANE
    Président d’AURA Environnement
    Porte-parole du Collectif Halte Décharge Veolia Chatuzange-le-Goubet (CHDVC)

     

  • Comme Incinérateur #Passy, pour LOUsine #Calce : le mercure monte contre #Tiru !

    Les élus de Pezilla-la-Rivière (66)

    n'en peuvent plus de l'incinérateur de #Calce

    géré par #Tiru dont les capacités de financement

    s'effondrent comme neige au soleil !

    Img 7829

    Les anti-incinérateur de Calce (66) ont crée le Collectif CATALANIC - soutenu par AURA Environnement - opposé à l'incinérateur de Calce (66) ont rejoint les anti-incinérateurs d'OMr d'AURA Environnement, qui, de la Vallée de l'Arve à Calce, en passant par Lunel-Vieil ne veulent plus de ces usines à cancer, alors que, maintenant tous les emballages se trient, en vrac, vidés et écrasés...

    Comment faire confiance à une entreprise comme #Tiru dont les capitaux propres se sont effondrés en 2017, passant de 71 944,639 € à - 5 807 004 € ???

    Quelle crédibilité peut-on avoir lorsque certains élus dénoncent, comme à Pézilla-la-Rivière, des extensions industrielles prévues - à la va-vite - sur le site de l'usine d'incinération des déchets de Calce, soit une blanchisserie et un méthaniseur, deux installations considérées comme polluantes ?

    D'ores et dèjà, le Collectif CATALANIC qui s'est levé comme un bouclier, combattra ce projet de méthaniseur aux odeurs pestilentielles.

    Comment le groupe #Tiru peut-il se lancer dans de tels investissements lorsque sa filiale, Dakia Waste Energy voit, elle aussi, ses capitaux propres fondent comme neige au soleil en 2017 (1.060,907 € contre + 4.071,324 € en 2016) ?

    Le collectif CATALANIC dénonce ces 2 projets qui viennent d'entrer dans une phase d'acquisition foncière dans pas moins de 12 ha de vignes, auquel le maire de Pézilla-la-Rivière s'est opposé, en recevant également l'appui de Roger Garrido, le maire de Saint-Féliu-d'Avall !

    Jamais, nous ne laisserons nos vignobles colonisés par le groupe #Tiru par la corde dont la performance a dégringolé à - 94,56 % au 31/12/2017 !

    Une entreprise performante doit être à la fois efficace et efficiente. Elle est efficace lorsqu'elle atteint les objectifs qu'elle s'est fixés.

    Elle est efficiente lorsqu'elle minimise les moyens mis en œuvre pour atteindre les objectifs qu'elle s'est fixés..

    Donc, le groupe #Tiru n'est pas performant, puisque la performance se mesure avec des critères (ou indicateurs) qualitatifs ou quantitatifs de résultat. 

    Pour mesurer l'efficacité, on utilise un critère qui exprime un rapport entre le résultat obtenu et l'objectif visé. Pour mesurer l'efficience, on utilise un critère qui exprime un rapport entre le résultat obtenu et les moyens mis en oeuvre.

    ​Pour évaluer la performance d'une entreprise, il est nécessaire d'effectuer des mesures à tous les niveaux : financier, économique, social, organisationnel et sociétal.

    La performance financière : traditionnellement, d'après Alfred Sloan, on mesure la performance financière à l'aide des indicateurs ROI et ROE. Aujourd'hui, on utilise en plus l'indicateur EVA.

    • Le ROI (Return On Investment) : ce ratio mesure la rentabilité économique du capital utilisé par l'entreprise. C'est le rapport entre le résultat d'exploitation et les capitaux investis.
    • Le ROE (Return On Equity) : ce ratio mesure la rentabilité financière des capitaux apportés par les propriétaires de l'entreprise. C'est le rapport entre le résultat net et les capitaux propres.
    • L'EVA (Economic Value Added) : ce ratio permet de mesurer la création de valeur pour l'actionnaire. C'est la différence entre le résultat opérationnel et les capitaux investis.

    La performance économique : il s'agit de mesurer les composantes de la compétitivité de l'entreprise : la compétitivité-prix et la compétitivité-hors prix.

    • La compétitivité-prix : désigne la capacité d'un produit à attirer des clients au détriment des produits concurrents du fait de son prix. Sa mesure permet de situer la place de l'entreprise sur le marché par rapport à ses concurrents.
    • La compétitivité hors-prix : désigne la capacité d'un produit à attirer des clients au détriment des produits concurrents du fait des éléments indépendants du prix. Elle est obtenue grâce à des éléments comme la qualité des produits, l'innovation, le service, le design...

    #Dalkia au bord de l'implosion sociale ?

    Autre sujet à polémique, ces chiffres de Dalkia qui donnent le tournis, puisque le CA pour 2017 a chuté - 6,2 % pour attérir à 56,4 m €, l'indice de performance dégringolant lui, à - 9,06 % au 31/12/2017 alors que les compteurs étaient dans le vert pour les années 2014, 2015 et 2016.

    Dalkia est une filiale à 100 % du Groupe EDF depuis le 25/07/2014. Dalkia est spécialisée dans les services énergétiques et la production d'énergie décentralisée, qui développe notamment des énergies renouvelables alternatives comme la biomasse, la géothermie, le biogaz ou la valorisation énergétique des déchets.

    Or, Tiru est une filiale de Dalkia et s'appelle désormais Dalkia Wastenergy depuis 2018.

    Cette filiale à 100 % pur jus du groupe Dalkia conçoit, construit et exploite des unités de traitement thermique, biologique au Royaume-Uni, en Suisse, au Canada mais aussi en France comme à ... Perpignan.

    A Issy-les-Moulineaux, nos camarades de Zéro Waste sont à l'affût de l'usine "Isséane", présentée pourtant comme un "modèle de gestion des déchets".

    L'incinération, une technologie qui participe à l'économie circulaire en produisant de l'énergie ?

    Oui, mais, pour nos camarades de Zéro Waste, "la production d’énergie par les usines d’incinération est devenue un argument d’autorité pour en justifier la construction et l’exploitation, en dépit des autres exigences dont celle de préservation des ressources. A tel point que certaines villes se mettent dans une situation de dépendance vis-à-vis de leurs réseaux de chaleur. C’est ainsi oublier que l’incinération, dont la vocation initiale est de traiter les déchets et non de produire de l’énergie, détruit des matières précieuses (matières organiques, déchets recyclables, etc.). En outre, la performance énergétique des usines, telle qu’elle est mesurée à l’heure actuelle, ne permet pas de rendre compte de “l’énergie grise” des déchets brûlés (l’énergie et le bilan carbone complet de l’extraction des matières premières, à la fabrication des objets, leur transport, leur utilisation, etc.)."

    Isséane comme les autres usines d’incinération, produit des résidus solides qu’il convient de gérer à l’issue du processus d’incinération : en 2017 pour cette seule usine, ce sont environ 80 000 tonnes de mâchefers qui ont été produits.

    Soumis à une réglementation très permissive, ces matériaux chargés en polluants sont ensuite disséminés en étant utilisés en sous-couche routière, ou renvoyés en décharge s’ils ne trouvent pas preneurs. Le stockage systématique de ces mâchefers en décharge mettrait en ce sens fortement à mal le modèle (notamment) économique de l’incinération. Par ailleurs, ce sont également 12 000 tonnes de cendres et produits solides résiduaires qui ont été envoyés en décharge pour déchets dangereux...

    Dans les 26 villes de France où est installé Dalkia wastenergie, AURA Environnement demande qu'une étude participative en santé environnementale ancrée localement (EPSEAL) soit mise en place par les populations locales et ce, au travers une méthodologie mise en place par l'intermédiaire de nos collectifs comme le CATALANIC dans la région de Perpignan.

    En effet, les études participatives ancrées localement cherchent souvent à comprendre et à résoudre les inégalités de santé, dans une visée de justice sociale (Minckler, 2010).

    Combien de cancers, de problèmes de peau chronique, d'Asthme, de maladies endocriniennes, de diabètes, d'affections respiratoires, de problèmes de nez/gorge, de fréquents maux de tête, de saignements de nez, etc... dans la région de Perpignan ?

    Sur les 26 sites de Dalkia wastenergy, de Dunkerque à Chambéry, de Gien à Pontivy, de Perpignan en passant par Issy-les-Moulineaux, nous voulons :

    1- que soient réduits de façon significative - pour les animaux et les humains - les rejets cumulés de pollutions dans l'air, dans l'eau, les sols, notamment pour les polluants impactant le plus la santé et en relation avec les excès de pathologies concernant les polluants cclassiques cancérogènes, mutagènes, reprotoxiques ou irritants des voies respiratoires.

    2- que soient renforcées - pour les animaux et les humains - les actions de contrôle règlementaire des émissions auto-déclarées par les industriels locaux, et un renforcement des sanctions prises à leur encontre en cas de non-conformité, y compris pour les émissions dites "diffuses", les phases de redémarrage et de "décrassage" des usines, et pour toutes les catégories de polluants rejetés au cours de ces émissions diffuses ou "incidents programmés" qui interviennent régulièrement dans les procédés industriels (process).

    3- en finir avec l'absurdité des normes sur les perturbateurs endocriniens, sachant que ces polluants sont les plus néfastes pour la santé des animaux et des humains quand ils sont présents à faible-dose.

    4- agir et prendre des décisions localement en suivant le principe de précaution - pour les animaux et les humains -.

    5- mesurer en routine les particules ultrafines, qui  s'éavèrent les plus dangereuses pour la santé - des animaux et des humains - afin d'obtenir leur réglementation locale autour de telle ou telle zone industrielle.

    Côté DRH, les relations de travail avec nos camarades ne semblent pas au "beau fixe" chez Dalkia, puisque un lanceur d'alerte (qui tient à garder l'anonymat) s'inquiètait ce printemps parce que "La direction a fait valider les objectifs du Plan Cap Dalkia par ses partenaires. Des accords scélérats ont été signés. Maintenant ils s'appliquent sur le terrain avec l'aval des syndicats signataires. En réalité, avec ces accords, les partenaires sociaux nous ont vendu la mousse et conservé le jus. En effet, les salariés ne tirent aucun bénéfice de ce deal. Ils continuent d'exercer leur contrat de travail dans le stress et la souffrance comme en atteste l'étude U-SIDE réalisée en 2018, à la demande de la direction générale. Donc, force est de constater que tous ces accords relèvent de la promesse de Gascon. En effet, ils n'ont apporté aucune amélioration des conditions de travail et des salaires de la majorité du personnel. Au contraire, ils pourrissent la vie des techniciens. Ainsi, avec les résultats de la NAO 2019 (Négociation Annuelle Obligatoire), on mesure le degré de condescendance de la direction à l'égard du personnel et du mépris avec laquelle elle traite ses partenaires quand elle n'a pas besoin de leur signature. En atteste le tract de l'intersyndicale (envoyé le 4 avril 2019) dans lequel les organisations CGT, FO, CFDT, CGC et UNSA expriment leur déception tou en dénonçant le manque de considérationde la direction qui n'a même pas daigné écouter leurs propositions (sic). C'est pathétique" !....".

    A quoi cela sert-il à Dalkia wastenergy d'investir dans toute la France et plus particulièrement dans l'UVE de Calce, puis de faire les yeux doux aux élu-es de Perpignan Méditerranée Métropole et de décider d'octroyer unilatéralement que 0,9 % d'augmentation générale (brute) alors que le coût de la vie a été de 1,8 % en 2018 ?

    Un budget équivalent à 0,9 % de la masse salariale poour des augmentations et des primes individuelles, jugées par nos camarades comme "sélectives et discriminatoires !

    Coup de chaleur dans les résultats

    chez #Dalkia en fin d'année 2018 :

    - les volontaires au rachat de RTT se comptent, sur les doigts d'une main malgré la campagne de communication jumelée direction/syndicats sur les "bienfaits" proclamés de ces accords.

    - les démissions battent des records.

    - les "nouveaux embauchés" quittent en masse l'entreprise #Dalkia au terme de leur période d'essai.

    - Les salariés sont toujours en souffrance comme en attestait les le nombre croissant d'arrêts de travail.

    - Quid de l'activité commerciale après le départ de son directeur ?

    Les lanceurs d'alerte de Dalkia alertent également l'opinion publique, car, "Dans le même temps, les démissions ne faiblissent pas et les embauches se font rares au point où la direction proposerait une prime de 400 € à toute personne qui arriverait à pêcher un candidat à l'embauche".

    Ainsi, affirment-ils, "...malgré les lampions de la Tour Europe et les oeuvres sociales du CE moribond, l'image de Dalkia est fortement ternie sur le marché de l'énergie...".

    Le 02/04/2019, un lanceur d'alerte nous alertaint sur le fonctionnement de #Dalkia : "Par son organisation et son mode de management contraignant, Dalkia est assimilée, notamment par les techniciens, à une entreprise inhumaine où il ne fait pas bon travailler", poursuivant : "L'astreinte continue d'être une source de stress et de souffrance majeure chez les techniciens ....... Le sous-effectif est un élément perturbant et un facteur important de la déterioration des conditions de travail mais également du management des équipes"

    A quoi bon une Unité de valorisation énergétique, un centre de tri et une plateforme de mâchefers à Coume dels Très Pilou à Calce afin de "recycler plus pour construire un territoire durable" en produisant de l'électricité et des mâchefers issus de la combustion des déchets issus des poubelles et en administrant des mots doux aux élus de la Communauté urbaine Perpignan Méditerranée Métropole ou au Sydetom 66, lorsqu'au niveau national, les relations de #Dalkia avec son personnel sont exécrables, lorsque les comptes sociaux et le profil financier de #Dalkia sont dans le rouge (ratio de solvabilité à partir de l'actif de - 3,16 % au 31/12/2017) et que la question de l'exposition locale à la potentielle pollution atmosphérique induite par l'activité industrielle n'est pas mise en exergue dans la région de Perpignan ?

    Il n'y a pas de raisons que l'incinération des déchets issus des poubelles pollue ailleurs et serait une exception pour #Dalkia, à Calce, dans la région de Perpignan ?

    La LAURE (Loi sur l'air et l'utilisation rationelle de l'énergie) a reconnu dès 1996 le droit de respirer un air qui ne nuise pas à la santé.

    Le collectif CATALANIC sera vigilant, en ce qui concerne la nature des polluants, la finesse des particules, le contrôle d'émissions réelles surtout, pour toutes les productions viticoles locales.

    L'enjeu de la construction d'une connaissance solide sur la santé des habitants est celui de la possibilité d'agir sur son environnement, au lieu de la quitter, et ce, dans une situation de déséquilibre doublée d'une injustice environnementale et d'une injustice sociale !

    Marc-Claude de PORTEBANE

    Lire la suite

  • Opposants Incinérateur #Tiru @Calce : Collectif CATALANIC demande étude cancers incinérateur #Ariane Métropole Nice Côte d'Azur !

    Le collectif CATALANIC opposé incinérateur #Tiru @Calce

    demande communication à Christian ESTROSI

    le président de la Métropole Nice Côte d'Azur,

    copie étude SECRETE risques cancers Incinérateur #Ariane !Calce

     

    Le collectif CATALANIC (Collectif CATALANti-Incinérateur de Calce) soutenu par AURA Environnement vient d'essuyer un refus de communication d'une étude publique - pourtant financée par de l'argent public - auprès de Jean-François ASCAS - directeur de la DGAPCPSP-Régie pour la gestion des déchets ménagers et assimilés de la Métropole Nice Côte d'Azur (NCA).

    Il nous a été demandé de faire une demande de transmission au président de NCA, Christian ESTROSI.

    Cette étude publique de l’impact environnemental près de l’incinérateur de l’Ariane a été communiquée par le département santé du CHU de Nice et ce, sur la période comprise entre 2005 et 2014. Cette étude a été réalisée dans le cadre des retombées des fumées des dioxines et furanes, aux alentours de cet incinérateur de l’Ariane et de la colline de l’Abadie.

    Nous aimerions avoir une copie sécurisée de cette étude épidémiologique - co-financée par notamment le CHU de Nice -, via retour mail dans le cadre du process de diffusion de NCA et ce, conformément à la loi sur la communication de documents administratifs, comme nous l'avons indiqué à Mr LALLE et Mr ASCAS.

    Le collectif CATALANIC est opposé à l'incinérateur de Calce (Pyrénées-Orientales, région Occitanie) en collaboration avec le CBAIC (Comité Basque Anti-Incinérateur de Calce), tout comme AURA Environnement qui s'oppose à toute forme d'incinération des OMr dans toute la France, près de Troyes à La Chapelle Saint-Luc ou vers Lunel-Vieil dans l'Hérault à une poignée de km de Montpellier.

    En effet, à Lunel-Viel, AURA Environnement fait partie du collectif des 15 associations rassemblées sous la bannière de l'association "Lunel-Viel veut vivre" présidée par le camarade Adrien RIFF. Les associations membres du CIDES-34 sont : Odam, Acidc, Changeons d’air à Clapiers, les riverains de Garosud, les Gardiens de la Gardiole, Association Maguelone-Gardiole, Atelier citoyen de Castries, le groupe citoyen de Castries, la Fabrique citoyenne du Pays de l’Or, Melgueil Environnement, la Sociale de Lunel, Le Forum de Saint-Aunès, les Survoltés d’Aubais, l’APPEL. Nombre d'élu-es locaux nous soutiennent, notamment le camarade Fabrice FENOY 1er adjoint de Lunel-Viel.

    AURA Environnement bénéficie du soutien de l'AMIES, du Dr Mariette GERBER, Chercheur Honoraire INSERM, expert ANSES et du Pr Charles SULTAN, pédiatre, endocrinologue CHU Montpellier qui veulent connaître les risques liés aux cancers pour les populations locales vivant non-loin des incinérateurs d'ordures ménagères.

    Nous aimerions savoir pourquoi cette étude épidémiologique n’a pas déjà été ENCORE mise en ligne sur le site internet de la métropole NCA pour en informer les populations locales, régionales, nationales et internationales, alors que Nice Matin s’en ait déjà fait l’écho en décembre 2018.

    Cette étude figurera-t-elle à l’ordre du jour de la prochaine CSS de l’unité de valorisation énergétique de Sonitherm (Veolia) de Nice, au titre de la concertation locale ?

    AURA Environnement, membre du collectif Coll'Air Pur dans la vallée de l'Arve très sensible à la pollution atmosphérique parce qu'elle concentre dans un espace plus étroit qu'en plaine, toutes les activités humaines et les émissions polluantes qui en résultent, a tracé une ligne rouge CONTRE tous les incinérateurs, dans TOUTE la France, de Nice à Dunkerque, de Troyes à Perpignan...

    A suivre.

     

  • Vent de panique # Passy : le COBAP passe à l'action contre pollution infernale cheminées & Industries !

    Le COBAP passera bientôt chez toi

    pour te sensibiliser à la pollution de l'air vicié

    de notre longue et belle vallée de l'Arve !

    Toit 25 203

    Le collectif COBAP (COllectif du BOl d'Air Pur) est passé à l'action dans la vallée de l'Arve, en commençant à Passy, en faisant l'inventaire du nombre de cheminées susceptibles de polluer gravement l'environnement.

    Toit 25 205

    Rares sont les maisons équipées d'une seule cheminée, comme partout en France, pour chauffer et réchauffer chaque foyer. Les abus doivent être sanctionnés !

    Toit 25 219

    On peut même dire qu'il y a insuffisance de surveillance de la commune et des services de l'Etat pour autoriser de telles négligences au vu du nombre effarant de telles cheminées qui poussent comme des champignons.

    Des analyses ont été faites par le collectif COBAP à Passy et sa région sur des oeufs dans le secteur du Super U, pas très loin de l'Allée des Lilas, d'ailleurs.

    Toit 17 123

    Nous aimerions connaître les taux des émissions de HAP, de benzène, de particules fines, de monoxyde de carbone, de COV.

    Toit 25 224

    Tout le quartier de l'Allée des Lilas a été passé au peigne fin. Les incivilités sont légion.

    En effet, nous avons constaté qu'une SEULE maison pouvait avoir plus de 5 cheminées, lorsque l'on connaît le taux de nuisances infernales du monoxyde de carbone.

    Après Passy, nous allons bientôt vous faire découvrir, le bas et le haut de la commune voisine de Saint-Gervais-les-Bains, où là, nous avons fait des découvertes complétement effarantes.

    Autre sujet. Les industries (12 à 13 % des pollutions de la vallée de l'Arve).

    Que font ces bidons exposés à l'air libre sur un site vers la rue Georges Toussant, où le port de chaussures de sécurité et de masques à gaz est recommandé ? Sont-ils vraiment étanches ?

    De tels bidons ont-ils à être exposés au vue et au su de tous, et ce, au pied du Mont-Blanc ? Quelle sécurité pour les clients qui se rendent au Métro voisin ?

    Toit 25 194Les cheminées ne sont pas les seules à polluer la vallée de l'Arve qui est devenue un des dépotoirs de la Haute-Savoie, mais elles contribuent largement à sa pollution !

    En effet, cette vallée semi-rurale, semi-urbaine allie plusieurs sources de pollution qui existent depuis l'ère industrielle, comme partout ailleurs, chaque fois qu'il y a des intérêts industriels qui interfèrent avec l'environnement.

    Comment se déplace le maire de Chamonix et vice-président en charge de l'Environnement, Eric FOURNIER, lorsqu'il vient à à la région AURA à Lyon ? A pied avec son sac à dos et sa paire de skis ? A cloche-pied ?

    Quand bien même, Eric FOURNIER prendrait peut-être les transports en commun, il faut de l'énergie pour faire bouger les wagons du chemin de fer, il faut produire de l'électricité pour alimenter son téléphone portable qu'il utilise dans les couloirs de l'assemblée régionale, non ?

    L'infernal trafic routier, les gens ne sont pas réalistes : plus de 500 000 camions empruntent chaque année la route pour rallier l’Italie et le val d’Aoste via le tunnel du Mont-Blanc. Ne faudrait-il pas commencer par envisager de fermer l'autoroute A 40 qui doit bien profiter à tout le monde, non ?

    Combien d'oeufs et produits laitiers pollués chaque année par les norias de camions qui crachent leurs fumées noirâtres pour prendre de l'élan, avant d'aborder le viaduc des Egratz et qui doivent consommer un maximum de gasole et ce, juste en haut du cimetière de Chedde ?

    Combien de voitures, de motos et de camions sur la N 205 qui borde l'innocente rivière L'Arve qui doit dégouliner de poussières de freinage, d'huiles usagées ?

    A Passy, l’usine SGL Carbon brûle quotidiennement des déchets.

    En effet, SGL Carbon spécialisée dans la fabrication produits en carbone et graphite de synthèse, est souvent pointée du doigt pour sa responsabilité dans la pollution de l'air dans la vallée de l'Arve en Haute-Savoie, comme le reconnaît France info (21/12/2018).

    Fin 2018, SGL Carbon a dit vouloir investir 2 millions d'euros pour réduire ses nuisances d'ici la fin 2019 pour réduire ses émissions diffuses de poussières, alors que 12,6 millions d’euros auraient été injectés …… depuis 2005 pour diminuer ses émissions canalisées, c'est-à-dire issues des cheminées de l'usine. Un nouvel équipement de traitement des fumées, installé à l'été 2018 pour 4,5 millions d'euros, devrait permettre de moins polluer qu'avant. LOL ! « Il permet de traiter les odeurs car depuis 2016, le site génererait un certain nombre de nuisances olfactives. Il devrait également réduire de manière significative les émissions qui sortent des cheminées sur le site", explique Sylvain Collet, responsable environnement, hygiène et sécurité sur l'usine de Passy. L'entreprise table sur une "baisse attendue de 40% environ".

    Si SGL Carbon investi pour polluer moins c’est qu’elle polluait déjà la vallée de l’Arve bien avant 2019. Quand on ne pollue pas la vallée de l’Arve, on n’engage pas de telles sommes considérables pour diminuer. Une voiture qui ne pollue pas ne va pas aller TOUS les jours au contrôle technique pour faire contrôler ses gaz d’échappement.

    Alors ? Alors, on marche sur la tête pour désigner tel ou tel coupable car il faut bien un coupable pour en cacher d’autres.

    Ce qui est étonnant, c’est que chacun tire la couverture à soi dans cette vallée de l’Arve où, nous, le COBAP nous avons découvert un tas d’antagonisme.

    Côté défense de l’environnement, c’est l’anarchie. Il y a des progrès mais chacun pollue tranquillement dans son coin. Prenons un exemple. Sallanches. A Sallanches, le COBAP a rasé toutes les rues. Nous avons fait des découvertes spectaculaires. Une véritable poudrière.

    A Passy, les maisons individuelles croulent sour le poids du nombre de cheminées. Il faut le voir pour le croire. Pas une maison ou presque sans 1 à plus de 3 cheminées. Cela est-il normal ? Serait-il normal  qu’une voiture ait jusqu’à 6 pots d’échappement ? Non. Donc, il faut responsabiliser les gens parce que nous, le COBAP soutenu par AURA Environnement, nous voulons ABSOLUMENT aborder le sujet sanitaire avec tous les actrices et acteurs du territoire de la Haute-Savoie et plus particulièrement dans la Vallée de l’Arve. Nous voulons nous attaquer aux vraies sources du mal, à toutes les sources du mal. Si un avocat ou un journaliste viennent de Paris, on veut savoir combien son avion ou son train ont brûlé d’énergie jusqu’à Passy. Combien de forêts détruites pour défendre l’environnement de la région de Passy ? Il n’y a pas de petite pollution pour le lait, le beurre et la fermière.

    Transports, industrie, chauffage… un cocktail explosif de contaminants pour une vallée complètement resserrée et stressée : "avec le froid et le soleil, les particules figées sont emprisonnées, sous cloche, comme dans une immense marmite" peut-on lire chez les pros des analyses qui ne nous apportent AUCUNE solution pour mieux trier les poubelles, pour responsabiliser les acteurs du développement économique bien évidemment polluant !

    On dirait que les enjeux de santé publique sont secondaires pour celles et ceux qui se contentent d'abonder en critiques fatalement négatives sur ce qui devrait polluer moins !