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Coeur radioactif des polémiques

Banderole aura environnement 3

  • La Commission Environnement SPL #TRIGIRONDE conteste le coût du projet de centre de tri !

    Après la "farce" de la consultation publique

    en mairie de Saint-Denis-de-Pile (33)

    le collectif SCTL (Stop Centre de tri vers Libourne)

    n'est plus d'accord sur plusieurs points !

    La tempête révolutionnaire n'est pas loin !

    Sud Ouest CdC Convergence Garonne 22 fev 2022Les membres élus de la commission "Environnement" au sein de la SPL TRIGIRONDE de Libourne (Titulaire collège Associations environnementales et riverains : Marc-Claude de PORTEBANE. Titulaire collège élus : Michel GARAT) s'apprêtent à claquer la porte de cette instance puisque de nouveaux éléments sont venus semer la discorde et le désordre dans "l'unité de façade" qui a règné pendant les 2 réunions "bon enfant" sur les rives de Bordeaux-Lac, où nous n'avons été, finalement, que des larbins à l'image de nos camarades migrants qui sont complètement ignorés, désinformés ou traînés dans la boue, au secours nos camarades éboueurs, du bruit dans Landerneau ou comme le disait si bien Rabelais avec sa divine bouteille de Bordeaux : "Petite ville, grand renom" !

    Ouvrons donc la boîte de Pandore et terminons-en avec ce vaudeville d'opérette fertile en intrigues et rebondissements de dernière minute !

    Nous estimons n'être tenus au courant de rien ou presque, alors que des infos de dernière minute risquent de faire "imploser" cette "Commission", où nous n'avons été, finalement, que de simples "figurants". Nous ne serons jamais des "marionnettes" à l'image du Guignol lyonnais qui s'agite sur les planches d'un castelet de bois dans une rue du Vieux-Lyon !

    L'ultra gauche stalinienne d'AURA Environnement a donc décidé de siffler la fin de la récréation et de taper, cette fois, "du poing sur la table" de pacotille de cette "Commission" de "façade", où nous n'avions droit qu'à de simples petites infos sur l'environnement et rien sur la stratégie et que dalle sur les aspects financiers, notamment !

    Par ici, par là, les discussions en coulisse sur des thématiques majeures et ce, dans notre dos !

    Certains élu-es ont commencé par nous taxer de l'infâme appellation de "trotskistes". Grave erreur camarades, puisqu'au contraire, nous sommes anti-trotskistes ! Chez nous, nous sommes pour la stricte application des maximes du petit livre rouge du président MAO et non des paltoquets "trotskards" comme on en rencontre, encore, hélas, sur la rive droite de la Gironde ! Quand on veut noyer son chien, on dit.............. ! Nous connaissons la chanson !

    Faites-nous confiance, camarades ! Nous n'allons pas tarder à décocher la flèche du Parthe !

    Nous, ici, nous luttons, de façon générale, contre 1 classe dirigeante prédatrice et cupide, gaspillant ses prébendes, mésusant du pouvoir, faisant obstacle au changement de cap qui s'impose face aux défis des changements climatiques, qui ne porte aucun projet sérieux, qui n'est animée d'aucun idéal et qui ne délivre aucune parole mobilisatrice puisqu'elle prétend que toute alternative est impossible, alors que cette représentation de ce monde bourgeois méconnaît la puissance explosive de l'injustice, sous-estime la gravité de l'empoisonnement de la biosphère et promeut l'abaissement des libertés publiques !

    Nous, au contraire, nous défendons l'Etat. Nous le confortons même contre la classe opulente qui est devenue une classe séparée de la société qui se reproduit sui generis par transmission du patrimoine, des privilèges et des réseaux de pouvoir, alors que les classes pauvres ne sont au courant de rien et se désintérressent gravement de la chose publique parce qu'elles n'ont plus confiance.... dans la parole publique des élu-es !

    Ainsi, le dernier vote qui a été demandé mercredi dernier (16/02/2022) aux élu-es de CdC Convergence-Garonne a été la "goutte de trop" qui a fait déborder le vase de l'extension de ce projet de centre de tri, au nord de Libourne, sur la commune de Saint-Denis-de-Pile et plus précisémment sur le terrain du SMICVAL.

    Grâce à notre camarade élu de la commune de Barsac, Michel GARAT, et conseiller communautaire ainsi qu'à d'autres maires, nous avons gagné une 1ère manche en faisant capoter le vote sur la participation financière de cette CdC à la SPL TRIGIRONDE.

    Notre camarade a tenu à à préciser "le coût faramineux" de la construction de centre de tri de l'ordre - aujourd'hui - de 23 millions d'euros, auxquels il faut ajouter 4,6 % d'assistance à maîtrise d'oeuvre (200 000 €) + le raccordement Enedis (165 000 €) + l'aménagement d'une salle pédagogique (50 000 €) pour un coût à peu près estimé à 24 millions d'euros et ce, avant travaux, comme si on était pas à 1 million d'euros près, allons-y gaiement, tant que le contribuable, paie, autant le faire payer un max !

    Ce n'est pas de la gabégie de l'argent public ce projet de centre de tri, alors qu'il est demandé à la petite CdC Convergence Garonne une garantie d'emprunt sur 7 millions d'euros (qui serait contracté par la SPL TRIGIRONDE) et amortissable sur 10 ans, soit 133 000 € ?

    Une petite CdC doit-elle s'endetter et voter comme des "béni-oui-oui" tel ou tel projet fantasque ?

    Le vote a donc été reporté à une date ultérieure pour sortir de la galère de cette "verrue", la SPL TRIGIRONDE. Une demande a été faite, pour un vote à bulletins secrets afin que chacun-e puisse s'exprimer librement, sans contrainte et sans pressions diverses et avariées.

    Nonobstant cette dernière crise, notre président Marc-Claude de PORTEBANE a tenu bon, lors de la consultation publique, d'alerter le maire de la commune voisine d'Abzac en ces termes :

    "Suite à mes appels téléphoniques du 14/01/2022, du 17/01/2022, du 18/01/2022 et de mon mail de ce jour 18/01/2021 à votre secrétariat de mairie, je prends note de votre réponse de ce jour, suite à mes différentes demandes de copie de la délibération que votre conseil municipal a pris le 11/01/2022 à propos de l’avis qui vous a été demandé concernant l’autorisation de création du nouveau centre de tri de Saint-Denis-de-Pile.

    Vous nous informez de ceci :

    « Madame Hoffmann qui est la secrétaire de mairie m’a bien fait part de votre demande pour que nous vous transmettions la délibération du Conseil Municipal à propos du centre de tri « Trigironde » qui doit s’installer en bordure de notre commune.

    Comme je vous l’ai dit, la commune d’Abzac n’est pas opposée au projet de Trigironde mais ne désire pas pour autant sacrifier son environnement au passage des camions qui en résultera.

    Nous avons donc pris une délibération indiquant que nous étions défavorables au projet aussi longtemps que le problème circulatoire ne sera pas résolu. Il existe en effet une solution qui satisfera à la fois les communes de Saint Denis de Pile et d’Abzac. C’est celle qui consiste à emprunter le « Chemin des Moines » que vous avez parfaitement identifié.

    Or depuis, Il m’a été fait observer en particulier par la Cali que cette formulation avait pour effet de bloquer le projet ce qui conduisait à l’expropriation du chemin communal que je refuse de voir transformer en route pour camions.

    Pour sortir de cette ambiguïté j’ai demandé une nouvelle réunion du Conseil Municipal pour retirer notre délibération et la remplacer par une autre. Elle exprimera un avis favorable mais qui sera « conditionné préalablement à un accord contractuel formalisé permettant de régler le problème circulatoire »

    Le Conseil se réunira le 20 janvier. Dès que le vote aura eu lieu je vous enverrai la délibération. Dans l’immédiat, je vous envoie sans plus tarder la résolution qui a été votée. »

    Cependant, vous ne m’avez pas communiqué cette délibération du 11/01/2022 au sens des conditions prévues par la loi n° 78-753 du 17/07/1978 modifiée, que vous avez transmise au contrôle de légalité de la sous-préfecture de Libourne, voire à Mme la préfète de la Gironde Mme Fabienne BUCCIO, à la Direction de l’information légales et administrative (dépendant du 1er ministre) en préfecture de la Gironde.

    A ce jour, cet arrêté municipal est donc pleinement applicable et donc communicable.

     Par ailleurs, vous n'avez pas à retirer cette délibération du 11/01/2021, - avec ou sans pression-s -, parce qu’elle nous semble légitime aux regards de la protection de l’environnement, des animaux et de l’ensemble de vos concitoyens qui ne doivent subir aucunes nuisances, avec surtout si, encore plus de norias de camions chargés de poubelles devaient emprunter la RD 17E1 où, déjà, 2 semi-remorques ne peuvent se faire face, comme nous avons pu le constater à de nombreuses reprises.

    La consultation actuelle – du 17/01/2022 au 15/02/2022 - en mairie de Saint-Denis-de-Pile portant ouverture d’une consultation publique relative à la création d’un nouveau centre de tri de déchets ménagers sur cette commune doit mentionner l’existence de cette délibération du 11/01/2022 et de votre volonté de changement pour un futur accès au projet de centre de tri par le Chemin des Moines où nous avons relevé de nombreux dépôts sauvages de DIB et autres déchets.

    Nous serons extrêmement vigilant-es sur les différentes nuisances qui seront déplacées de la RD 17E1 au Chemin des Moines." .

    Suite à l'intervention d'AURA Environnement, la délibération du 11/01/2022 a bien été maintenue.

    Pour nous, c'est déjà une grande "Victoire" !...

  • Plateforme transport combiné SNCF Réseau Vénissieux-St-Priest : nous attaquerons le Permis de construire au TA de Lyon !

    PUISQUE nous n'avons pas été entendus par

    SNCF Réseau et les élu-es de St-Priest-Vénissieux :

    NOUS CONTESTERONS au tribunal administratif de Lyon

    le futur Permis de construire et l'étude d'impact !

    Sncf reseau mcdp er

    En guise de commentaire à "Expressions, les nouvelles de Vénissieux", qu'ils ont refusé de publier sur leur site internet : https://www.expressions-venissieux.fr/2022-01-04-plateforme-de-transport-combine-la-region-et-la-metropole-mettent-la-main-a-la-poche/#comment-84581

    Le nouveau Comité central de l'association "HALTE au BRUIT et à la VITESSE" - soutenu par l'association nationale de défense de l'environnement et des animaux, AURA Environnement, et le Collectif SPSVP (Stop Projet @sncfreseau Vénissieux Saint-Priest) n'a pas du tout été "plutôt bien accueilli" dans la phase dite de "Concertation" puisque nous l'avons contesté en mairie de Vénissieux, lorsque SNCF RESEAU nous en a présenté "Son bilan", le 24/11/2021, à la salle Jacques DUCLOS.

    Cette réunion partait pourtant dans un but de bon sens afin "d'échanger sur le projet, de présenter le bilan de la concertation ainsi que de faire un point d'avancement sur le projet". LOL

    Mais le "débat" a été en partie "confisqué" puisque moi-même, en tant que nouveau président de l'association "HALTE au BRUIT et à la VITESSE" et notre secrétaire général Enrico REA, n'ont pu véritablement exprimer nos opinions en toute démocratie.

    AUCUN élu-e de Saint-Priest n'était présent. Un comble, alors que la commune de Saint-Priest verra potentiellement débarquer pleins de camions dans la rue du Beaujolais.

    Notre banderole n'a pas tenu plus de 5 mn. C'est dire de qu'elle "concertation" vous voulez parler !!! Sans compter qu'il n'y avait aucun journaliste présent pour rendre compte de cette réunion, où, il ne faut pas l'oublier, c'est aussi de l'argent des contribuables dont on parle (Région : 5 M€, Métropole de Lyon : 2 M€, ETAT : 7 millions d'euros).

    Nous n'avons pu intervenir sur le "fond" du dossier et ce nonobstant notre pétition nationale qui rassemble à ce jour plus de 18 000 signatures https://www.mesopinions.com/petition/animaux/stop-projet-sncfreseau-venissieux-saint-priest/134125

    AUCUNE "réconciliation" ne sera possible avec les riverains TANT qu'une nouvelle concertation ne sera mise en place avec l'ENSEMBLE de nos camarades de Saint-Priest et de Vénissieux.

    Nous ne pouvons qu'être d'accord avec notre camarade Pierre-Alain MILLET, adjoint au maire de Vénissieux, lorsqu'il se préoccupe du devenir de l'activité "bruyante" du site qui se poursuit "de nuit".

    Nous n'avons pu nous exprimer sur un autre point essentiel : pourquoi NAVILAND CARGO, le prestataire de SNCF RESEAU, continue-t-il donc à passer des offres de recherches de "Tractionnaires routiers de conteneurs" dans la presse professionnelle des Transporteurs, notamment au départ de Fos-sur-Mer, direction la plateforme de transport combiné de Vénissieux-Saint-Priest ?

    Comment, dans ces conditions, peut-on réduire l'empreinte carbone en faisant rouler encore plus de camions et encore plus de trains, de jour comme de nuit dans une zone très urbaine et en ZFE - zone de faible émission - comme à Vénissieux, et qui n'est plus adaptée à de multiples activités économiques ?

    Même si le préfet de la région Auvergne-Rhône-Alpes, Pascal MAILHOS, m'a écrit le 28/09/2021, en m'informant sur notre question du bien-fondé de ce projet qui entre en contradiction avec le raccordement ferroviaire de la zone industrialo-portuaire (ZIP) de Falaise, les populations locales ne veulent plus de ce réaménagement de cette Plateforme de transport combiné parce qu'elles n'ont pas été entendues pendant de trop nombreuses années.

    Les semi-remorques entrent et sortent par la "Rue" (Chemin du Charbonnier qui n'accueille plus de vaches comme dans les années 40), et ce dans un vacarme assourdissant.

    Voilà pourquoi moi et mon camarade Enrico REA avons claqué la porte de la salle Jacques DUCLOS de la mairie de Vénissieux, le 24/11/2021.

    Encore plus de pollution de l'air sur la Métropole de Lyon et plus particulièrement sur Vénissieux et Saint-Priest, avec presque pas du tout de camions hybrides ou roulant au gaz pour rejoindre le centre de Lyon, il n'en est pas question.

    Dire que nous "manifestons notre soutien au projet" n'est pas du tout conforme à la vérité puisque nous nous "manifesterons", en effet, en allant contester.... le Permis de construire.... devant le tribunal administratif.

    Le Peuple aura ENFIN son mot à dire en toute démocratie !

    Ils font comme si on "n'existait pas", comme si nous n'êtions que des "mourants direction l'Ehpad", comme s'ils pouvaient traverser sur les rails de nos "corps" en toute impunité, comme si nous n'étions que des métayers : les rejets et les rejetons du Chemin du Charbonnier et de TOUTE l'Auvergne-Rhône-Alpes !

    Ils nous rabaissent parce qu'ils - élu-es - bénéficient de "privilèges" sur Vénissieux-Saint-Priest - avec l'aide du Capital et de ses valets de la Presse -, pour nous écraser en cette période traumatisante #Covid-19 !

    - Elles - et "Ils" n'ont pas compris que j'étais un horloger des "dossiers" et, que je décortiquais depuis plus de 35 ans les plus redoutables études et que je n'avais JAMAIS oublié que j'avais vécu la pluart de mon temps en position de "clochardisation", que je n'oubliais jamais quel sort la Vie m'avait réservé et que j'étais un stalinien redoutable et redouté qui se bat avec ses tripes !

    Les "nouvelles de Vénissieux" essaient de vous faire croire que nous sommes "Open" avec le projet présenté par "SNCF Réseau" et que la qualité de l'air se porte à merveille dans les chaumières de la zone ZFE de Vénissieux !

    MAIS, Nous les cloportes de Vénissieux et de Saint-Priest, nous appliquerons la doctrine du Camarade Staline : "Pour ne pas se tromper en politique environnementale, il faut être un révolutionnaire, et non, un réformiste" !

    Ils en sont dans le "valse" des millions d'euros alors que, par exemple, Vénissieux baisse les bras au niveau du seuil de "Pauvreté", parce que nous vivons dans des quartiers de pauvreté "Environnementale absolue et non-maîtrisée", SURTOUT, dans nos zones, dites "pavillonnaires" !

    La contre-lutte Révolutionnaire et Marxiste commencera par Vénissieux !

    Marc-Claude de PORTEBANE

    - Président de l'association "HALTE au BRUIT et à la VITESSE"

    - Président de l'association nationale AURA Environnement

    - Secrétaire-général et porte-parole du Collectif SPSVP (Stop Projet @sncfreseau Vénissieux Saint-Priest)

    - Fondateur et porte-parole de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux (+ de 45 000 Like) https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux

  • STOP aux déchets de Boulange à la Station d'Epuration SIARNC/SUEZ de Villiers-Saint-Frédéric (78) !

    STOP aux déchets de boulange à la

    Station d’Epuration de Villiers-Saint-Frédéric !!!

    STOP aux odeurs infernales

                                    vers le lycée Viollet-Leduc !College viollet leduc 78Oui à la méthanisation mais dans le respect de la loi !

    Alerté par des parents d'élèves remonté-es de Villiers-Saint-Frédéric et de Neauphle-le-Château, AURA Environnement soutenu par le Collectif Stop DECHETS de BOULANGE-STEP de Villiers-Saint-Frédéric (CSDB-SVSF), a déclenché l'opération "Mina" afin de s'opposer à un projet immonde de mélange de boues déjà malodorantes à de futurs et inconnus déchets de boulange INTERDITS, et ce, à 130 m SEULEMENT du Lycée Viollet-Leduc, du stade de Villiers-Saint-Frédéric et pratiquement à proximité de l'innocente rivière "La Mauldre" !

    Le dossier d'enregistrement de cette modification de l'unité de méthanisation de la station d'épuration de Villiers-Saint-Frédéric a été déposé par le SIARNC (Syndicat Intercommunal d'Assainissement de la région de Neauphle-le-Château) alors que de graves risques ne sont pas nuls du fait de l'ajout potentiel d'une substance dont l'Etude de dangers se garde bien de nous dire, dans les menus détails, la provenance et la nature de ces déchets de boulange, qui ne seront pas de vulgaires croissants au bon beurre de la fermière et de son pot de lait fermier normand !

    La carte ci-dessous (présentée par NALDEO Ingénierie et Conseil - Besançon - 25) n'indique pas clairement (cadre rouge, fond blanc, lettres noires) les habitations des riverains, ni le centre équestre, ni le stade, ni les écoles élémentaires et maternelles, ni la Radio Neauphle (à 630 m du projet), ni de la gare de Neauphle Pontchartrain (à 400 m), comme si la RD 11, les parkings, les voies ferrées, la rivière "La Mauldre", la déchèterie intercommunale et les parcelles agricoles représentaient le decorum local avec quand même le lycée Viollet-le-Duc !

    Step vsf 1

    Et nous ne parlerons pas de ce qu'ils ont "oublié" d'indiquer, comme la maison de retraite (2,30 km), ni les restaurants ou le supermarché Carrefour Market, marquons nos distances pour plus de distanciation, prière de ne pas jeter vos masques souillés dans les intimes cabinets d'aisance qui termineront leurs courses dans les tuyauteries se dirigeant vers l'usine de méthanisation de Villiers-Saint-Frédéric où les travaux ont déjà commencé, comme nous avons pu le constater, avec les bennes à ordures de SEPUR qui sentent mauvais et qui sont situées à proximité immédiate de la STEP !

    Travaux step vsf

    Alors que le Lycée Viollet-Leduc est juste au-dessus de la station d'épuration (on nous dit 130 m) et que déjà les riverains se plaignent déjà d'odeurs assez pertinentes en provenance de l'actuelle installation - respectant pour l'instant la réglementation de l'eau et la protection des milieux naturels - et considérée comme le "navire amiral" par le SIARNC qui regroupe les communes de Bazoches-sur-Guyonne, Galluis, Jouars-Pontchartrain, Le Tremblay-sur-Mauldre, Les Mesnuls, Mareil-le-Guyon, Méré, Montfort-l'Amaury, Neauphle-le-Château, Neauphle-le-Vieux, Saulx-Marchais, Saint-Germain-de-la-Grange, Saint-Rémy-l'Honoré, Vicq, Villiers-le-Maheu et Villiers-Saint-Frédéric), AURA Environnement met en garde les élu-es du SIARNC contre l'ajout de déchets de boulange dont on a pas assez de "recul" et d'études lorsqu'ils seront mélangés avec les eaux usées des chiottes chargées de méthane et de substances dangereuses, voire explosives !

    Nous ne tolèrerons certainement pas, non plus, des pollutions potentielles pour les chevaux qui paîssent tranquillement à 650 m dans le centre équestre "Les Fauvettes", situé de l'autre côté de la Mauldre, sur la commune voisine de Neauphle-le-Vieux !

    Centre equestre vsf

    En effet, ce centre équestre qui est un club de 1ère catégorie labellisé "Fédération Française d'Equitation" est ouvert aux jeunes cavaliers dès les 5 ans dans un magnifique parc boisé de 18 ha qui n'a certainement pas vocation à respirer, à l'avenir, des odeurs pestilentielles d'eaux de latrines mélangées à des déchets de boulange nauséabonds qui auront traîné on ne sait où et, qui viendront déformer le cadre naturel des petites communes proprettes et rurales de la région de Villiers-Saint-Frédéric, à seulement 23 km de Versailles et 43 km de Paris !

    Et nous ne parlerons pas du stade situé à 170 m, ni même de la future levée de "boucliers" des parents des petits enfants fréquentant les écoles maternelles (comme celle des Ramonettes) ou l'école élémentaire "Les Sablons"...

    Ecole les sablons vsf

    ...située à 1,2 km de cette STEP, dans un quartier bon chic, bon genre où l'on entend le chant des oiseaux à longueur de journée mais pas le son de la voix de Jean-Jacques BROT, le préfet des Yvelines sur ce projet interdit de mélange d'eaux usées et de déchets de boulange vraisemblablement contaminés par le Covid-19, qui plus est !

    Nous avons observé qu'aucune mise-en-garde - sous forme d'affichage - ne parlait de ce projet de mélange de boues de STEP à ces futurs déchets de boulange vers les 4 écoles recensées sur le territoire de la charmante commune de Villiers-Saint-Frédéric qui attend plutôt des messages de projets plus reluisants de la part du père Noël, vers la mairie de Villiers-Saint-Frédéric...Mairie vsf 1.... où il n'y a pas plus de place sur la table de l'entrée que dans une cabine téléphonique pour faire part de ses observations de l' OPPOSITION TOTALE contre ce funeste projet que nous contesterons, in fine, devant le tribunal administratif avec l'aide des populations locales !

    Qu'en pense-t-on, d'ailleurs, au Rectorat de l'académie de Versailles, en ces mauvais temps covidiens !

    Venez massivement noter votre opposition à ce projet d'ajout de déchets de boulange, sur le registre à la mairie de Villiers-Saint-Frederic !

    Pour rappel, la directive européenne 2008/98/CE pose dans son article 22 l'interdiction du mélange des biodéchets avec d'autres déchets. Cette disposition a été transposée dans le droit français notamment via l’Article D. 543-226-1 du code de l’environnement, qui stipule que : « Il est interdit de mélanger des biodéchets triés par leur producteur ou détenteur avec d'autres déchets n'ayant pas fait l'objet d'un même tri ».

    Or, le projet de Villiers-Saint-Frédéric consiste à co-méthaniser des déchets de boulangerie (biodéchets triés à la source par leur producteur) et des boues de station d’épuration (déchets en mélange issus du traitement des eaux usées et définies par l’Article R. 211-26 du code de l’environnement comme les « sédiments résiduaires des installations de traitement ou de prétraitement biologique, physique ou physicochimique des eaux usées ».).

    La Direction Générale de la Prévention des risques du Ministère de la Transition écologique l’a clairement rappelé dans sa Foire aux Questions sur les mélanges de déchets publiée en décembre 2017 pour préciser les modalités d’application du décret n° 2016-288 du 10 mars 2016 ayant inséré dans le Code de l’environnement l’article D. 543-226-1 sus-cité : « les biodéchets triés à la source ne doivent pas être co-compostées ou co-méthanisées avec des boues urbaines de station d’épuration, déchets qui ne font pas l’objet d’un même tri. »

    Non aux apports de déchets extérieurs (2900 tonnes de déchets de boulange et boues d’autres stations d’épuration tels que présentés à l’Annexe E du dossier soumis à consultation) car elles viendraient en camion, ce qui provoquerait des nuisances olfactives et un impact important sur le trafic routier de la route de Septeuil, lesquels n’ont absolument pas été pris en compte dans le dossier soumis à consultation car il n’a pas été soumis à une étude environnementale.

    Ce manquement grave à l’obligation d’étudier les impacts sur l’environnement naturel et humain d’une installation classée constitue en soi un non-respect de la réglementation nationale et européenne sur la démocratie environnementale et le droit à l’information en matière environnementale.

    Le projet est à la fois illégal, qui conduit à mélanger des biodéchets triés à la source avec des déchets non triés, et inacceptable socialement, car il provoquerait un afflux de centaines de camions remplis de déchets fortement odorants qui passeraient devant les maisons du village mais aussi devant le lycée Viollet-le-Duc qui accueille plus de mille élèves !

    Pour ces raisons, il doit être refusé en l’état et nous demandons à M. le Préfet de n’accepter que la méthanisation des seules boues de la station d’épuration de Villiers-Saint-Frédéric.

    Marc-Claude de PORTEBANE

    - Pdt d’AURA Environnement

    http://www.aura-environnement.com/

    - Porte-parole du Collectif CSDB-SVSF (STOP DECHETS de BOULANGE-STEP de Villiers-Saint-Frédéric)

    - Porte-parole et Fondateur de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux (Plus de 46 000 Like sur Facebook)

    https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/events/?ref=page_internal

  • Pays de Fayence : l’intercommunalité du Var où les habitants sont le moins satisfaits de la gestion des déchets par leurs élus !

    Projet Valor pôle de Suez à Montauroux :

    La polémique enfle dans le Var sur ces infâmes

    déchets des particuliers et du BTP déversés

    illégalement sur le site classé de l'Estérel !

    Img 5613

    Rappel : AURA Environnement, en soutien avec la collectif SDV8306 (Stop Déchets Var- Alpes-Maritimes) prend la défense des populations locales proches du lac de Saint-Cassien et du massif de l'Estérel opposées à tout projet de décharge dans le Var et dans les Alpes-Maritimes. Nous combattons également fermement les dépôts sauvages et nos sentinelles de l'environnement les traquerons de façon systématique, tandis que nous attirerons l'attention des services de l'Etat puisque les élu-es du Pays de Fayence s'en fichent éperdumment, à commencer par les celles et ceux de Montauroux ou de Tanneron. L'environnement est pollué, ils s'en fichent. Mais pas nous. C'est ainsi que nous sommes intervenus publiquement aux côtés du collectif associatif lors de la réunion de concertation publique voulue par les dirigeants de SUEZ à Montauroux le 24/09/2021 pour soutenir nos camarades.

    Les comportements irresponsables qui massacrent l'environnement seront dénoncés. Les entreprises du bâtiment irresponsables nous trouveront au travers de notre route vers le respect dû à la nature innocente massacrée en toute impunité.

    Img 5618Selon les dirigeants de Valor Pôle, les eaux du lac de Saint-Cassien ne seraient pas concernées par le projet puisqu'il lui serait seulement adossé alors qu'actuellement le périmètre de protection du lac de Saint-Cassien serait déjà impacté par de potentielles pollutions des eaux pluviales issues de l'installation de stockage de déchets inertes de Montauroux, de la déchèterie automatique de Montauroux et de la déchèterie des Adrets.

    Nous sommes opposé-es à toutes formes de déchets dans le Var et les Alpes-Maritimes et nous combattons avec fermeté TOUS les dépôts sauvages. On ne peut s'opposer à un projet de décharge et accepter les dépôts d'ordures sur nos territoires parce qu'ils sont simplement balancés lâchement dans la nature par des particuliers, des touristes indignes ou de malhonnêtes artisans qui déversent leurs infâmes déchets de chantier du BTP dans les chemins de nos forêts comme à Seillans ou aux abords de notre lac de Saint-Cassien.

    Qui continue à jeter ces saloperies d'ordures à l'entrée actuelle du site de Fontsante (interdit d'accès) et ce, juste au-dessus des pavillons bourgeois des 140 ha du Domaine de Séguret aux Adrets de l'Estérel...

    Img 3228

    ... où les terrains à bâtir atteignent les sommes astronomiques à partir de 610 000 € et ce, aux portes des Alpes-Maritimes et de la vue panoramique sur la Baie de Cannes ?

    Img 3222

    Qui s'en soucie dans la communauté de communes du Pays de Fayence ?

    Pour en savoir plus sur ces dépôts d'ordures sauvages, il suffit de cliquer sur le lien de cette vidéo qui choque la France entière sur ce qui se passe vers le lac de Saint-Cassien avec ces dépôts sauvages d'ordures qui tuent humains (assassinat du maire de Signes dans le Var), faune et flore :

    https://www.facebook.com/466932616850613/videos/390773205777118

    Autres échos, hors presse locale, que nous avons observé avec la situation des décharges sauvages dans le Var en allant sur différents sites internet locaux comme celui du "BLOG DU PAYS DE FAYENCE" où l'intéressé a au moins le mérité de démontrer l'absurdité imbécile de l'ambiance locale :

    https://paysdefayence.blogspot.com/2021/09/fontsante-je-reviens-sur-le-massacre.html

    "Fontsante: je reviens sur le massacre: une erreur collective grandeur nature.

    Je reviens sur ce massacre que je considère être une énorme erreur collective, quelle que soit l'unanimité déclarée de l'opinion publique et des élus. Je retiens ces propos de Huet maire de Montauroux et ordonnateur du massacre,  rapportés  par Christian Godet dans son article du 27 septembre:

    1. Cette réunion n'aurait jamais du avoir lieu et ni l'État, ni Suez ne nous imposeront ce projet qui pénalise ceux qui ont choisi de vivre en Pays de Fayence. J'irai jusqu'au bout, même si nous devons faire de Fonsante notre Notre-Dame des Landes. 
    2. C'est encore Jean-Yves Huet, très remonté, qui a conclu en se levant avant de quitter la salle le premier. La plus belle démonstration, c'est l'opinion publique que nous représentons en tant qu'élus. Vous nous faites perdre notre temps et vous vous payez notre tête depuis des années. Nous n'avons pas besoin de vous pour traiter nos déchets et nous allons tout faire pour les traiter nous-mêmes... Et ça, ce soir, je vous l'assure !

     Où est l'erreur?

    elle est clairement démontrée par "Nous n'avons pas besoin de vous pour traiter nos déchets et nous allons tout faire pour les traiter nous-mêmes". Et par la réponse de Suez "Ce n'est pas quand on est "contre" que l'on résout les problèmes. Le deuxième projet se fera en toute transparence et nous viendrons vous le présenter, a assuré le directeur régional de Suez, Vincent Borel"

    Suez ou pas, Fontsante ou pas, le problème c'est les déchets du BTP et depuis des années je le dis et le répète c'est un problème quasi insoluble.  Ce sont les déchets des déconstructions, reconstructions et réaménagements. Les gens achètent une maison, construction neuve ou ancienne en pays de Fayence. Il s'y produit une grande quantité de déchets. Exemple mes voisins ont  acheté la maison  existante construite dans les années 1980.   Ils ont refait tous les carrelages, toute la cuisine, les salles d'eau, aménagé une partie du sous-sol en petit studio... Il y avait une quantité de déchets considérable. Où vont-ils?

    D'abord, les artisans dans leurs devis de travaux, ont-ils répercuté le coût d'évacuation et de transport des déchets en déchetteries? Il est possible de convenir de s'en occuper soi même afin de réduire le prix du devis. Cela dit, où vont les déchets de déconstruction reconstruction? Certains, en petite quantité sont déversés dans la nature en bordure de forêt  dans des endroits reculés... Suivez les pistes, il y en a  partout... en petites quantités mais ça pollue et ça gâche les paysages auxquels nous sommes attachés.

    D'autres les déversent aux points d'apports volontaires des déchets destinés aux plateformes de tri. C'est mieux, mais les points d'apports volontaires ne sont pas faits pour cela. 

    D'autres les apportent en déchetteries: déchetterie automatique à Montauroux Fondurane, déchetterie intercommunale à Tourrettes sur la D56 ou déchetteries de Bagnols en Forêt et à Tanneron.  C'est bien là qu'il faut les apporter, même si  c'est loin et contraignant pour le particulier. 

    Alors qu'est ce qu'ils deviennent ces déchets, dits gravats propres, une fois la benne remplie?  Où va la benne?

    On a eu sur le territoire, Pascal - Guglielmelli au dessus du lac de Saint Cassien,  on a le site de Var Environnement au Jas de la Maure, on a eu le site de Gérard Ferro à Fréjus site devenu Eurovia. Ces sites fonctionnent comme des entreprises commerciales: elles doivent couvrir les coûts de leurs investissements et de leur fonctionnement par les recettes des ventes de leurs services et de leurs productions. Il n'y a pas de raison de vouloir étendre le périmètre des services publiques pour exercer ces activités car ce serait forcément moins efficace  et plus coûteux - mais je suis un affreux libéral! ce sont des investissements coûteux qui relèvent de l'activité commerciale.

    Comment fonctionnent de tels sites: on fait payer les produits entrants à la tonne, prix fixé en fonction de la nature des déchets apportés. On fait payer les produits sortants selon des prix qui dépendent de la valeur marchande de ces produits, en concurrence avec les produits de carrière. On est contraint de plus en plus par des obligations légales qui règlementent la nature des déchets apportés, l'obligation de non stockage ou de stockage limité en volume et à titre tampon...  Tout ceci implique une taille d'activité suffisante. Il est impossible d'avoir une multiplicité de petits sites dispersés sur le territoire.  Le site de Pascal-Guglielmelli a disparu à cause de ces contraintes, celui de Gérard Ferro aussi; le site de Var Environnement connaît aussi des difficultés.

    Alors des sites permettant de telles activités ne sont pas pléthore. La friche industrielle de Fontsante  a été envisagée et s'inscrit dans cette perspective, et c'est la raison pour laquelle Suez proposera encore un projet, au grand étonnement des élus présents lors de ce massacre où tous s'attendaient qu'ils abandonneraient, Huet le premier quittant la salle en hurlant."

     

     

  • HALTE à la pollution du lac de Saint-Cassien (Var) par dépôts sauvages déchets toxiques du bâtiment !

    STOP à ces dépôts sauvages

    de déchets du bâtiment qui déversent

    leur jus toxiques dans le lac de Saint-Cassien

    qui est devenu la poubelle du Var !

    Img 5461Pas une journée ne se passe sans que le lac de Saint-Cassien et sa région ne devienne l'immense dépotoir du Var que ce soit par les dépôts immondes de déchets de chantier déposés par des artisans peu scrupuleux envers l'environnement (comme nous avons pu le constater ce week-end).....

    Img 5460.... sur la D 37 à Montauroux en bordure de cette magnifique retenue d'eau idéale pour se baigner ou encore pour faire du kayak mais aussi pour se rafraîchir en pleine canicule !

    Les élu-es du Pays de Fayence ne se préoccupent même pas de l'écologie aux abords du lac de Saint-Cassien, où les containers de collecte du verre ont été peints à même le sol avec de la peinture verte !!!

    Img 3550

    Ahurissant. Du jamais vu.

    Img 3551

    Ils ne prennent même pas la peine d'effectuer les peintures de ces containers dans des centres dédiés !

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    Peinture grise et peinture verte font "bon ménage" pour polluer le lac de Saint-Cassien !

    Que font les élu-es de la communauté de communes du Pays de Fayence dirigée par le maire de Seillans, le président René UGO, ainsi que le maire de Montauroux Jean-Yves HUET....

    Img 3887...pour arrêter cet enfer quotidien vécu par la faune et la flore du lac de saint-Cassien qui récolte tous les jours des déchets sauvages du BTP et de toute nature comme nous avons pu voir cet été avec cette bouteille de gaz hautement inflammable ?

    Les carcasses de bateaux à l'abandon distillent leur jus dans l'eau du barrage de Saint-Cassien....

    Img 3563

    Img 3564

    ... sous le nez de nombreux pêcheurs qui ne savent rien parce qu'on ne leur dit rien sur les pollutions induites par ces dépôts de déchets sauvages pour les poissons du lac comme le crapet-soleil, la carpe commune, le gardon, l'ablette ou la gambusie très efficace contre la prolifération des moustiques !

    Img 3571

    Sans compter les camions chargés de la collecte des déchets qui circulent sur l'A8 en direction des Adrets de l'Estérel, non-bâchés, qui pulvérisernt leurs plastiques dans la nature du massif de l'Estérel !

    Img 3874

    Le collectif SDSV (Stop Déchets Sauvages dans le Var) qui regroupe plus de 250 sentinelles de la nature, et soutenu par AURA Environnement, a décidé d'alerter le préfet du Var à propos de ces abus de dépôts sauvages inadmissibles que nous observé cet été sur les communes de Montauroux, Seillans, les Tourettes, les Adrets de l'Estérel, Tanneron, etc...

    La D 38 qui démarre au lac en direction de Tanneron offre le plus beau des spectacles vers la retenue d'eau de Saint-Cassien avec ces sacs à gravats issus des chantiers des artisans locaux malhonnêtes !!!

    Img 3719Cerise sur le gâteau : vue imprenable sur le lac de Saint-Cassien qui récolte les microparticules dangereuses pour la santé des animaux et des humains qui se dispersent même lorsque elles ne sont pas soumises à la chaleur....

    Img 3721

    Le code-barres va-t-il permettre l'arrestation de l'acheteur de ce sac à déchets du BTP ?

    Img 3727

    Merci Mr le maire de Tanneron Michel FELIX et les adjoints Julien AUGIER, Valérie AUREAL, Bernard VIAL, Dominique SCORDO et Florent ANDRIEU de ne pas vous préoccuper de la nature de votre village, alors que 16,6 millions de m3 d’eau sont dédiés à l’alimentation des villes du 06, via les ouvrages du SICASIL (Syndicat de l’eau potable du grand bassin cannois). La même quantité d’eau étant à la disposition de la Société du Canal de Provence (SCP) pour répondre aux besoins en eau potable, industrielle et agricole de l’Est varois. Afin de sécuriser l’alimentation en eau du territoire, chacun de ces partenaires dispose par ailleurs d‘une réserve de 10 millions de m3 accessible en cas de sécheresse, quand les ressources naturelles en eau sont insuffisantes !!!

    "Gravats, briques, télévisions ou canapés hors d’usage… de plus en plus de malfrats déversent leurs déchets sur la voie publique, à toute heure du jour ou de la nuit", avertissait dans le Figaro, Jean-Pierre Véran, président de l’Association des maires du Var et édile de Cotignac, quelque temps après l'assassinat de Jean-Mathieu MICHEL, le maire de Signes, alors qu'il voulait intervenir pour empêcher le dépôt illégal de déchets de chantier.

    Une situation dramatique également dénoncée par la plateforme citoyenne indépendante, Mon Avis Citoyen qui a décidé de donner la parole aux Varois-es - en juillet 2021 - en publiant une étude citoyenne sur notamment la gestion des déchets dans les communes des Adrets de l'Estérel, les Tourettes, Montauroux, Fayence, Callian, Roquebrune-sur-Argens, etc.....

    LIEN de la vidéo qui choque la France entière sur ce qui se passe vers le lac de Saint-Cassien :

    https://www.facebook.com/466932616850613/videos/390773205777118

    "Nos routes deviennent des déchèteries à ciel ouvert à cause des incivilités" s'indigne une personne de 62 ans habitant la commune de Fayence !

    Les résultats de l'enquête nationale parue dans Mon Avis Citoyens sont édifiants pour le Var puisque 72 % des sondés sont plutôt d'accord sur le fait que les dépôts sauvages nuisent à l'image du département tandis que 69 % sont plutôt ok pour réclamer des solutions légales afin de gérer les déchets à proximité (centre de valorisation ou centre de stockage) :

    https://www.monaviscitoyen.fr/resultats-enquete/2759-2beb54f6cea7734c3e73c21c645925a5c62ffaf2?154437980&fbclid=IwAR1YfX6iTgLeBA6kxYoJNlOTipFJCWLwbNCtR-k_LxC6J3zHna80cHwynoY

    Img 3760Le secteur de Montauroux-Belluny...

    Img 3758... (avec vue sur le lac de Saint-Cassien)....

    Img 3784

    ..... regorge de plaques immondes d'amiante qui sont là depuis de nombreuses années...

    Img 3792

    ... en compagnie de nombreuses ferrailles d'un autre âge.

    Les poubelles sont laissées à l'abandon plusieurs jours durant aux abords du lac de Saint-Cassien en plein cagnard...

    Img 3892

    ....sans que les associations environnementales locales n'organisent des actions de ramassage de ces ordures permanentes.

    Img 3881Pendant ce temps-là, le lac de Saint-Cassien déguste tous les jours.

    De cette étude, il ressort que 91 % des habitants du territoire du Var sont pour la "Tolérance zéro".

    La malpropre commune de Seillans du maire René UGO cache dans les entrailles de ces belles forêts une immonde décharge sauvage qui côtoie des véhicules laissés à l'abandon que nos sentinelles de l'environnement ont débusqué à travers les arbres innocents...

    Img 3475

    ..... Il suffit juste de faire une balade pédestre en direction du pôle médico-social puis d'emprunter le chemin d'Engaspaty à Seillans...

    Img 3468

    .... pour observer que les gravats de chantiers, les plastiques, les ferrailles d'un autre temps et les végétaux en état de pourriture polluent gravement l'environnement...

    Img 3470

    ... tandis que de nombreuses cartouches de chasse sont dispersées dans les terrains environnants sur cette commune de Seillans. De quoi "nourrir" de plomb ces pauvres animaux pour les faire mourir ensuite !!!

    D'ailleurs, à 50 m du siège de sa communauté de communes du Pays de Fayence ...

    F486d320 ece0 4e7e 91b9 752a5829ec4a 1...... nous avons observé l'horreur au quotidien subie par l'environnement avec ces bidons infects qui distillent leurs jus dans les sols ivres de pollutions diverses et avariées .....

    Img 3627

    .....et ce juste derrière les sapins proches du siège de la CC du Pays de Fayence !

    Img 3223

    Qu'en pense le Rotary Club des Hauts de Siagne de toutes ces pollutions dans la région du lac de Saint-Cassien ?

    Img 3641

    Indignez-vous ! Non à la pollution du lac de Saint-Cassien !.

     

  • Le Collectif STOP Décharges Sauvages Var Alpes-Maritimes (SDV8306) déclenche Opération "Etincelle" CONTRE décharges sauvages vers lac Saint-Cassien

    Le Collectif Stop Décharges Var-Alpes-Maritimes (SDV8306)

    déclenche l'opération Iskra "Etincelle"

    contre les immondes décharges sauvages

    vers le lac Saint-Cassien et les Alpes-Maritimes !

    Img 3084

     

    Le Collectif Stop Décharges Sauvages Var Alpes-Maritimes (SDV8306) - soutenu par AURA Environnement - s'oppose et s'opposera aux décharges illégales et aux dépôts de déchets du bâtiment et autres jetés en pleine pâture dans le Var, et plus spécialement autour du lac de Saint-Cassien mais aussi dans toutes les Alpes-Maritimes, où des particuliers et des entreprises sans scupules polluent l'environnement des animaux et des populations locales, au nez et à la barbe des collectivités territoriales et des élu-es qui ne se soucient que très peu de leur nature proche, notamment vers la commune de Montauroux dans le Var.

    La Côte d'Azur recevra-t-elle le trophée numéro 1 de la poubelle française des dépôts sauvages des déchets de toute nature, surtout vers le lac de Saint-Cassien, où le panorama est splendide, alors que les résidences sont directement impactées ?

    Entre Méditerranée et Haut-Var, merci pour l'autre regard sur le tourisme local en bagnole, les randos équestres ou les randos pédestres à cloche-pied dans ce massif de l'Estérel !

    Img 3091

    Le Collectif Stop Décharges Sauvages Var Alpes-Maritimes (SDV8306) s'oppose donc à toutes forme de pollution actuelle de l'environnement autour du lac de Saint-Cassien, en soutenant les associations locales, où les eaux de cet espace de 430 ha aspirent le jus insoutenable des matelas souillés et des plastiques jetés en pâture et qui distillent leurs infâmes particules dans ce barrage, où vivent paisiblement, notamment, la carpe commune, le gardon, le crapet-soleil, la gambusie et le silure.

    833

    Sauvons nos animaux de la pollution actuelle autour du lac de Saint-Cassien, dans la communauté de communes du Pays de Fayence bordée au nord et à l'est par les communes de Montauroux et de Callian, à l'est par les communes de Tanneron et des Adrets-de-l'Estérel et au sud par les Estérets-du-Lac.                     

    A suivre

    Marc-Claude de PORTEBANE

    Président d'AURA Environnement

    Porte-parole du Collectif Stop Décharges Sauvages Var Alpes-Maritimes (SDV8306)

  • HALTE Incinérateur de Chavanod près d'Annecy : le Collectif COBAP lance l'opération Uranus !

    Protégeons nos chevaux de l'incinération des poubelles

    à Chavanod près d'Annecy :

    le collectif COBAP (COllectif du BOl d'Air Pur)

    déclenche l'opération "URANUS" CONTRE

    l'incinérateur de Chavanod vers Annecy !

    Chevaux incinerateur chavanod 1Le collectif COBAP (COllectif du BOl d'Air Pur) soutenu par AURA Environnement a lancé dans le plus grand secret, début avril 2021. l'opération répondant au nom de code "Uranus" contre l'incinérateur de Chavanod situé à moins de 10 km de la ville très touristique d'Annecy, en déclenchant ses "orgues musicales de Staline".

    En effet, un de nos camarades-sentinelles de l'Ain indiquait au Collectif COBAP - qui a intégré le CSILA (Collectif Stop Incinérateur Lac Annecy) - et soutenu par AURA Environnement - avoir observé que des camions chargés de déchets partaient de l'incinérateur (UVE) de Valserhône (Ain) en direction de l'incinérateur de Chavanod (74).

    Le 19/04/2021 le comité central d'AURA Environnement décidait d'écrire à la DGS du SIDEFAGE, Aglaë PETIT, situé ZI ARLOD, 5, Chemin du Tapey, 01200 VALSERHONE afin d'être pleinement informé sur la situation et obtenir des copies de la ou des convention-s de ce déroutage potentiel de déchets :

    Deroutage dechets incinerateur sidefage 1"Suite à notre entretien téléphonique de ce jour, je vous remercie de bien vouloir nous transmettre par retour mail, une copie de toutes les conventions que le SIDEFAGE a passé avec les différents opérateurs pendant ces mois de travaux en cours de démarrage de votre UVE de Bellegarde, et notamment avec le SILA. (durée renouvelable ou non, tonnages quotidiens et mensuels, coûts avec et sans TGAP, etc…). Idem pour Genève, comme vous me l’avez confirmé.

    Ceci ayant pour objectif pour le SIDEFAGE le traitement et la valorisation des OMr et assimilées en cas de délestage ponctuel ou non lors de travaux sur les unités d’incinération de la région.

    Comme vous le savez, la tension est grande sur les installations de traitement de déchets en Auvergne Rhône-Alpes et notre association, présente sur toute la région, est extrêmement attentive à ce que les exploitants (publics et privés), ainsi que les administrations de tutelle (DREAL et Préfectures) respectent scrupuleusement les règles qui doivent s’imposer à chacun.

    Les 430 000 habitant-es du SIDEFAGE (Syndicat intercommunal de gestion des déchets du Faucigny, Genevois, pays bellegardien, Pays de Gex, pays de Seyssel et Haut-Bugey) qui compte 3 communautés d’agglomération et 8 communautés de communes, soit, au total, 164 communes de l’Ain et de la Haute-Savoie attendent d’être pleinement informés autrement que par la presse locale".

    Incinerateur chavanod 110

    La tension avait déjà été portée à son paroxysme en 2020, lorsqu'un autre camarade-sentinelle de la Drôme (26) nous apprenait que le SYTRAD de Valence risquait d'envoyer des déchets illégaux en provenance de son territoire vers la Haute-Savoie.

    AURA Environnement alertait fissa Mr CRESPINE de la Dreal 74 en charge des contrôles de l'incinérateur de Chavanod, Mr le préfet de la Haute-Savoie, le patron des douanes de la Haute-Savoie, le maire écolo d'Annecy.

    Ainsi, le 20/08/2020, le comité central d'AURA Environnement indiquait à l'inspecteur des installations classées en Haute-Savoie :

    Suite à notre entretien téléphonique du 18/08/2020, je vous prie de trouver ci-joint la décision N° 193-20 prise par Mr le président du SILA en date du 08/07/2020 (document public téléchargé sur le site internet du SILA) autorisant l’incinérateur Sinergie de Chavanod à recevoir des déchets en provenance de la Drôme.

    Cet acte, reçu en préfecture de la Haute-Savoie le 10/07/2020, contrevient manifestement aux prescriptions de l’arrêté préfectoral d’autorisation N°PAIC 2016-0039 du 10/06/2016 de cette installation classée pour la protection de l’environnement qui limite dans son article 3.2.1 sa zone de chalandise aux seuls départements limitrophes. 

    Comme vous le savez, la tension est grande sur les installations de traitement de déchets en Auvergne Rhône-Alpes et notre association, présente sur toute la région, est extrêmement attentive à ce que les exploitants (publics et privés), ainsi que les administrations de tutelle (DREAL et Préfectures) respectent scrupuleusement les règles qui doivent s’imposer à chacun.

    En conséquence, je vous demande solennellement d’une part de proposer à Monsieur le préfet de la Haute-Savoie de rejeter sans délai cette décision du Président du SILA via le contrôle de légalité et d’autre part de prendre immédiatement un arrêté de mise en demeure de l’exploitant de l’incinérateur afin que le SILA cesse de recevoir ces déchets interdits.

    Par ailleurs, je compte naturellement sur votre vigilance et sur celle du service des Douanes pour que la TGAP appliquée aux déchets non autorisés qui seraient reçus à Sinergie soient assujettis au taux majoré de 110 €/t conformément aux articles 266 sexies IV et 266 nonies 1.A-0 du code des douanes.

    Les 265 000 habitant-es du SILA composé des 73 communes de la Communauté d’agglomération Grand Annecy, de la Communauté de communes des Sources du lac d’Annecy, de la Communauté des communes des Vallées de Thônes, de la Communauté de communes du Pays de Cruseilles et de la Communauté de communes Fier et Usses ne peuvent accepter que leurs élus bafouent ainsi les règles qui leurs sont applicables et attendent des services de l’Etat, donc de vous qui êtes en charge de la surveillance de cette installation classée, qu’ils soient intransigeants dans leur contrôle."

    Chevaux incinerateur chavanod 2 cobap

    Et c'est donc ces innocents chevaux ....

    House incinerateur chavanod cobap 101

    ..... et les habitants proches de l'incinérateur de Chavanod qui allaient encore déguster ?

    La Dreal 74 donnait entièrement raison à AURA Environnement, puisque Mr CRESPINE nous remerciait de la façon suivante :

    "Monsieur de PORTEBANE

    Je vous remercie pour ces informations et votre courrier concernant la décision 193-20 du 8 juillet 2020 relative à la "convention d'apports de combustible solide de récupération de la société Valomsy au SILA.

    En réponse, je vous informe que le SILA m'a précisé que cette convention n'avait pas utilisée et qu'il s'est en outre engagé, par courrier du 24 août 2020, à ce qu'elle ne le soit pas et à ce que son retrait soit inscrit à l'ordre du jour du prochain comité syndical qui se tiendra après l'installation des nouveaux élus du SILA.

    Cordialement"

    Le 26/11/2020, AURA Environnement demandait au président du SILA, les informations cruciales suivantes :

    "Monsieur le président,

    Vous avez décidé, le 09/11/2020, de signer une nouvelle convention de traitement de déchets par incinération avec ONYX AUVERGNE Rhône-Alpes, toute aussi floue que la précédente du 08/07/2020 et que nous avons contesté le 20/08/2020 auprès de la Dreal 74 et de Mr le préfet de la Haute-Savoie.

    Nous nous interrogeons donc, une fois de plus, sur 3 points totalement incompréhensibles :

    1.- D’où viennent ces déchets ? Quelles sont les garanties qu’il ne s’agit en aucun cas des déchets issus du délégataire VALOMSY du SYTRAD et non-conformes à l’AP du 10/06/2016 ?

    2.- Quels sont les tonnages exacts de déchets qu’ONYX-ARA apportera au SILA ? La convention ne le précise pas.

    3.- Qu’est-ce que veut dire « durée de 3 mois » à compter du 1er octobre 2020 – mais « reconductible par voie tacite par période annuelle d’un an » ? Il n’y aura donc pas de limite dans la durée ?"

    Reponse sila du 14 dec 2020 aura environnement

    Le 14/12/2020, Pierre BRUYERE, le président du SILA nous répondait sur la convention de traitement des déchets renouvelée avec ONYX en nous précisant bien que cette fois, les déchets provenaient bien d'un département limitrophe, à savoir la Savoie, et non la Drôme qui devait être "furax" que nous ayions fait "capoter" le projet d'envoi de déchets à l'incinérateur de Chavanod !

    LOL !

    La suite du feuilleton nous arrivait le 23/04/2021, cette fois de l'Ain, par un mail de la DGS du SIDEFAGE, Aglaë PETIT qui faisait suite à notre sollicitation, en nous faisant parvenir les informations relatives aux déroutages des déchets ménagers du territoire du SIDEFAGE pendant la phase de travaux de remplacement du traitement des fumées de leur incinérateur situé à Valserhône, prévue du 01/04/2021 au 30/09/2021.

    Les "ambitions" de l'incinérateur de Valserhône, en matière de rejets dans l'atmosphère dans la région du SIDEFAGE se veulent "louables" mais il n'empêche, que là aussi, les animaux et les populations locales sont obligés de respirer tout un tas de saloperies qui ont un impact négatif sur les animaux et les humains comme les HCI, HF, SO2, Poussières totales, NOX, NH3 sans compter les très "agréables" dioxines et les "bien trop aimables" furanes !!!

    Rejet fumees incinerateur sidefage 1

    Mauvaise Cerise sur le gâteau pour eux : Mme PETIT nous parle d'UVE "Unité de Valorisation Energétique" pour ne pas effaroucher leurs populations locales, tandis que nous, nous parlons au 1er degré d'un "INCINERATEUR à POUBELLES".

    Par contre, silence radio sur les prix pratiqués à la tonne pour ces "dépannages" dits "ponctuels" entre incinérateurs à poubelles de la Haute-Savoie et de l'Ain, tous pour un, un pour tous ensuite !

    Et nous attendons les anciens graphismes sur les rejets atmosphériques, les consommations d'eau et leurs réactifs, les interventions de maintenance, etc...

    Faudra-t-il les demander via une nouvelle pétition, et ce à la veille des élections régionales en AURA (Auvergne-Rhône-Alpes) pour que les animaux et les populations locales soient enfin reconnus par le minuscule im-monde des déchets ?

    Comme si la région d'Annecy avait - absolument - besoin de ces déroutages de poubelles supplémentaires alors que notre camarade Fabienne GREBERT, candidate écolo  pour le poste de présidente de la région AURA, est conseillère municipale d'Annecy et..... vice-présidente du SILA en charge des études, des suivis scientifiques et des nouveaux usages liées au lac d'Annecy tout en sachant que le maire d'Annecy, François ASTORG, interdit les toutous aux abords de ce lac d'Annecy alors qu'il avait signé la charte L214 "Une ville pour les animaux" !!!

    Annecy étant une ville très touristique, il n'est pas évident de trouver une plage DogFriendly. Attention aux contrevenants car en été, interdiction de faire trempette à son toutou dans le lac d'Annecy car vous risquez.... une amende.

    A croire que ces pauvres toutous polluent plus que les Usines à poubelles qui déferlent sur tout le territoire français, des incinérateurs aux décharges, des méga centres de tri aux trottoirs remplis d'immondices divers dûs à l'incivisme général comme nous l'avons constaté la semaine dernière, non pas à Manille, mais à Libourne !!!

    Là aussi, à quoi bon vouloir "désinfecter plus blanc que blanc" vers l'incinérateur voisin de Passy géré par SUEZ, alors que dans son propre territoire de Chavanod à moins de 10 km d'Annecy, l'air ambiant est infecté des mêmes saloperies atmosphériques que l'incinérateur du SIDEFAGE situé dans l'Ain voisin ?

    Mme PETIT a tenu à nous préciser que la présentation de ces déroutants déroutages, notamment vers l'incinérateur de Chavanod, s'était effectuée en CSS (Commission de suivi de site) avec la participation de l'ARS et de l'inspecteur de la Dreal, le tout, sous la présidence de Mme la sous-préfète de Nantua et de Gex et qu'un dossier de presse avait été distribué à la presse bien-pensante lors de la conférence de presse du 08/04/2021.

    Amen !

  • Bon accueil pour les sentinelles de la nature du Collectif STOP projet Usine à poubelles Saint-Denis-de-Pile !

    Presse, élu-es SMICVAL et autres Cdc vers Libourne :

    les sentinelles de l'environnement du Collectif

    Stop Centre de Tri vers Libourne ont aussi reçu

    un accueil favorable des populations locales !

    K2 libourne contre cdt spl                                           Photo ci-dessus : marché de Libourne du 30/05/2021

    Après avoir rencontré la journaliste de Sud-Ouest à Libourne, vendredi 28/05/2021 dans la matinée, et les dirigeants de la SPL TriGironde, dans l'après midi, au SMICVAL à Saint-Denis-de-Pile, le collecif SCTL (Stop Centre de Tri vers Libourne), a décidé, dimanche dernier d'aller au contact de nos camarades sur les marchés de la région libournaise.

    Nos sentinelles de la nature ont observé que le tri sélectif à la base n'était absolument pas respecté à Saint-Denis-de-Pile où les encombrants sont déposés dans les rues....

    Encombrants vp sdp 1

    ... ainsi qu'à Libourne où, comme ici, il n'y a aucun tri que ce soit des déchets verts pour le compostage, du bois si recherché de nos jours, des linges usagés non remis au associations caritatives et qui ralentiront de façon importante le travail des trieurs des centres de tri car les longs morceaux de tissu créent un blocage au niveau de la chaîne de tri !

    Encombrants vp libourne 1

    Dans l'ensemble, l'accueil en faveur de notre pétition a été excellent, comme ici chez les commerçants de Saint-Denis-de-Pile où l'on découvre le projet d'Usine à poubelles qui ne semble pas recevoir l'opposition de la Dreal 33.

    Tractage 2 sdp 30 mai 2021 a section s88 1

    Nous sommes et nous serons toujours opposé-es aux projets de mega centres de tri comme celui de 34 000 T/an envisagé à Saint-Denis-de-Pile.

    Nous sommes favorables, une fois n'est pas coutume, à l'excellente ISDND de Lapouyade, gérée par VEOLIA, qui s'inscrit dans une démarche environnementale constructive et positive avec nos camarades paysans de Rougeline puisque le rapprochement entre les déchets et les tomates à permis de générer une écoserre de 4 ha chauffée par le biogaz issu de la fermentation des déchets de la Gironde stockés de façon honorable également sur le plan économique.

    A Lapouyade, nos camarades de VEOLIA produisent de l'eau chauffée à 90°C, une température idéale pour chauffer ces serres dont les premiers plants de tomates ont été plantés en novembre 2015 avec une récolte vertueuse qui a débuté en mars 2016 ayant pour objectif d'atteindre plus de 5 000 T dans les prochaines années.

    Quand on valorise correctement les déchets, on ne doit pas les trier pour en faire, ensuite de l'incinération déguisée comme avec cet infâme CSR (combustible solide de récupération) que l'Ademe semble promouvoir auprès des collectivités locales, alors qu'il n'y a aucun débouché économique et que les cimentiers comme Lafarge et Vicat en disposent des stocks et des stocks !

    Toitoi 089

    A divers endroits sur le territoire français, nous avons observé que certaines collectivités territoriales ne savent plus où stocker leurs papiers ou cartons et elles font donc appel à la logistique des entreprises privées d'espaces pour leurs clients ou fournisseurs.

    Nous soutiendrons donc nos camarades-ouvriers et paysans de la Gironde, en continuant notre parcours écolo-marxiste qui nous paraît logique en ces mauvais temps de Covid et de régression économique mal vécue par les classes pauvres de notre société qui ne comprennent pas l'utilité de ces grands projet inutiles et imposés (GPII) très souvent mis en place par d'autres camarades de gauche qui agissent assez souvent comme les capitalistes bourgeois.

    Nous défendrons donc le partenariat entre VEOLIA et nos camarades-paysans de Rougeline qui s'inscrit dans une logique d'économie circulaire en terme de circuit court, et ce, tout autour de ces glorieuses exploitations qui sauvegardent l'emploi local sur le vaste territoire de la Nouvelle Aquitaine !

    Nous nous opposerons donc au projet de centre de tri de Saint-Denis-de-Pile, certes, pas de façon systématique et ce, à condition que les échanges entre le collectif SCTL - soutenu par AURA Environnement - et la SPL TriGironde soient constructifs et que nos demandes de transmissions soient respectées tout comme notre demande de création d'une commission locale de suivi de site interne, et des consultations permanentes avec la direction générale des services de la SPL TriGironde avec qui nous avons commencé d'établir des rapports courtois et bien disposés au dialogue et à la compréhension sur ce projet d'Usine à poubelles à Saint-Denis-de-Pile de 20 000 m² sur le territoire du SMICVAL.

    Nous ne sommes pas opposé-es au petits centre de tri locaux mais aux plus importants car, cela ne marche pas si bien que cela. Pour que ça "marche", il faut soit augmenter les territoires de collecte soit augmenter les impôts locaux alors que les camions font encore et encore plus de km avec leurs émissions de gaz à effet de serre. Si au moins les camions de la Gironde roulaient au gaz ou étaient hybrides pour se rendre à Saint-Denis-de-Pile ? Mais, non, les camions resteront les camions que ce soit à Vénissieux-Saint-Priest dans le Rhône ou à Passy en Haute-Savoie, ou ailleurs partout parce que l'on s'en fiche bien de polluer la planète dans un souci de rentabilité capitaliste !

    A quand des camions-poubelles avec des bennes moins bruyantes et moins polluantes, alimentées à l'hydrogène en Gironde et plus particulièrement dans le Libournais afin d'améliorer la protection et la mise en valeur de l'environnement et du cadre de vie des populations locales ?

    Tas de dechet sur vc sdp

    Nous ne nous inscrivons pas dans une démarche de "faiblesse" et nous serons vigilant-es à l'avenir sur la future étude d'impact concernant la faune, la flore, les émissions polluantes comme les MEST et qui devrait être indexée à la demande d'autorisation d'exploiter qui sera déposée à la DDT 33 avant d'être étudiée par la Dreal 33 (qui refuse de nous répondre au téléphone), ainsi que sur le projet de permis de construire qui devrait être délivré par la commune de Saint-Denis-de-Pile où les ordures sont trop souvent déposées en pleine nature !

    Nous ne voulons aucune "pression" médiatique ou autre sur nos camarades-sentinelles de l'environnement qui soutiennent notre pétition, et qui veulent garder l'anonymat !

    Nous sommes dans une démarche de défense écolo-économique puisque l'impact du changement climatique s'exercera surtout sur les parties les plus pauvres du monde - par exemple en exacerbant la sécheresse et en réduisant la production agricole des régions de plus en plus sèches - alors que l'émission des gaz à effet de serre provient essentiellement des populations riches !

    Si nous "soutenons" écologiquement le site de Lapouyade c'est qu'au total, pauvreté et crise écologique sont inséparrables.

    De même qu'il y a synergie entre les différentes crises écologiques, il y a synergie entre la crise écologique globale et la crise sociale : elles se répondent l'une l'autre, s'influencent et s'aggravent corrrélativement !

    Quand est-ce qu'à eu la concertation sur ce projet d'Usine à poubelles à Saint-Denis-de-Pile avec nos camarades-locaux, nos camarades-viticulteurs et nos camarades ouvriers et paysans ?

    Les masses populaires de Saint-Denis-de-Pile auraient dû être correctement informé-es sur ce vaste projet d'Usine à poubelles de 34 000 T/an.

    Il semble qu'elles ne l'aient été que via notre pétition qui est la plus forte de France sur un projet national de centre de tri à grande échelle.

    Camion 3t5 sdp 1

    Un exemple ? Nous n'avons appris que vendredi dernier (28/05/2021), lors de notre entrevue de 3h avec les dirigeants de la SPL TriGironde, et ce à notre demande, qu'il y aurait un surcroît de 15 camions/jours qui passeraient sous le nez des populations locales, alors que certains accès au site sont difficilement croisables entre poids-lourds et que la circulation des 3T5 sur des voies interdites au plus de de 3T5 sur la commune de Saint-Denis-de-Pile ont été relevées à de nombreuses reprises par nos camarades-sentinelles de la nature vers Libourne !!!!

    Quant au coût de ce projet de centre de tri, on ne sait toujours rien.

    20, 30, 40 millions d'euros ?

    Quel avenir sur le territoire des 6 Communautés de communes de la SPL TriGironde pour la TEOM (Taxe d'enlèvement des ordures ménagères) qui pourra être récupérée de plein droit par les propriétaires sur les pauvres locataires prolétaires de Saint-Denis-de-Pile où la pauvreté et la misère ne veulent pas s'en aller, à l'exclusion des frais de gestion ?

    Quel avenir sur le territoire des 6 Communautés de communes de la SPL TriGironde pour la REOM (Redevance d'enlèvement des ordures ménagères qui est un mode de financement du service public d'enlèvement des ordures ménagères alternatif à la TEOM et qui est payée par les ménages souvent populaires et les entreprises qui bénéficient de ce service de collecte des déchets ménagers et assimilés ?

    Il n'y a que les pétitions comme la nôtre pour obtenir un contre-pouvoir informatif ( LIEN : https://www.mesopinions.com/petition/animaux/stop-projet-usine-poubelles-saint-denis/138163 ) ou de celle de nos camarades du Collectif citoyen "Ras la Poubelle" - que nous soutenons sur le terrain via notre collectif SFIOMAFCL (STOP Fiscalité Ordures Ménagères Agglo Fécamp Caux Littoral) - qui demandent dans une pétition à la présidente de l'agglomération Fécamp Caux Littoral que soit rendu public le montant des recettes supplémentaires prévu avec le mode de calcul voté le 13/04/2021 et que soit revu le mode de calcul avec les critères incitatifs à la réduction des déchets puisque l'intégration de la Comcom de Valmont à l'Agglo de Fécamp a nécessité l'harmonisation à terme de la fiscalité, les dépenses augmentant plus vite que les recettes, il a fallu revoir fissa le financement du ramassage des ordures ménagères et donc passer de la REOM à la TEOM. Cerise sur le gâteau : en grande majorité, nos camarades de la Seine Maritme (76) ont donc vu le montant de leur facture doubler voire tripler, alors qu'ils n'ont pas été informés correctement.

    Ce n'est que grâce à la puissance de nos pétitions nationales que nous sommes ensuite correctement informé-es et, NOUS, ici, nous préférons largement une pétition internationale, à un article de presse local qui voudra surtout des noms de celles et ceux de nos camarades qui marchent avec nous, et qui ne reprendra pas toujours les aspirations des populations locales qui n'en peuvent plus des atteintes à la faune et à la flore vers leurs habitats respectifs, quand ce n'est pas les augmentations des taxes et redevances locales.

    Ce serait quand même grand temps de consulter les 91 150 personnes composant les 45 communes de la CALI (Communauté d'agglomération du Libournais) et de demander si, elles ou ils, sont ok pour ce projet de centre de tri qui verra transiter 31 à 34 000 T/an de déchets, en provenance du SMICVAL, du SEMOCTOM, de CdC Medulienne, du SICTOM Sud-Gironde, de la CdC MEDOC Estuaire et peut-être prochainement de la CdC Convergence Garonne.

    Nous espérons donc obtenir les infos que nous avons demandé à la DGS de la SPL TriGironde à Saint-Denis-de-Pile, prochainement.

    Nous ne changerons pas de mode opératoire, ni de discours vis-à-vis des élu-es de TriGironde !

    La parole donnée sera respectée !

    Marc-Claude de PORTEBANE

    Président d'AURA Environnement

    Porte-parole du Collectif SCTL (Stop Centre de Tri vers Libourne)