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STOP aux déchets de Boulange à la Station d'Epuration SIARNC/SUEZ de Villiers-Saint-Frédéric (78) !
- Par auraenvironnementparis
- Le 04/12/2021
- Dans STOP aux Déchets de Boulange à la Station d'épuration de Villiers-Saint-Frédérice SIARNC/SUEZ !
STOP aux déchets de boulange à la
Station d’Epuration de Villiers-Saint-Frédéric !!!
STOP aux odeurs infernales
vers le lycée Viollet-Leduc !
Oui à la méthanisation mais dans le respect de la loi !
Alerté par des parents d'élèves remonté-es de Villiers-Saint-Frédéric et de Neauphle-le-Château, AURA Environnement soutenu par le Collectif Stop DECHETS de BOULANGE-STEP de Villiers-Saint-Frédéric (CSDB-SVSF), a déclenché l'opération "Mina" afin de s'opposer à un projet immonde de mélange de boues déjà malodorantes à de futurs et inconnus déchets de boulange INTERDITS, et ce, à 130 m SEULEMENT du Lycée Viollet-Leduc, du stade de Villiers-Saint-Frédéric et pratiquement à proximité de l'innocente rivière "La Mauldre" !
Le dossier d'enregistrement de cette modification de l'unité de méthanisation de la station d'épuration de Villiers-Saint-Frédéric a été déposé par le SIARNC (Syndicat Intercommunal d'Assainissement de la région de Neauphle-le-Château) alors que de graves risques ne sont pas nuls du fait de l'ajout potentiel d'une substance dont l'Etude de dangers se garde bien de nous dire, dans les menus détails, la provenance et la nature de ces déchets de boulange, qui ne seront pas de vulgaires croissants au bon beurre de la fermière et de son pot de lait fermier normand !
La carte ci-dessous (présentée par NALDEO Ingénierie et Conseil - Besançon - 25) n'indique pas clairement (cadre rouge, fond blanc, lettres noires) les habitations des riverains, ni le centre équestre, ni le stade, ni les écoles élémentaires et maternelles, ni la Radio Neauphle (à 630 m du projet), ni de la gare de Neauphle Pontchartrain (à 400 m), comme si la RD 11, les parkings, les voies ferrées, la rivière "La Mauldre", la déchèterie intercommunale et les parcelles agricoles représentaient le decorum local avec quand même le lycée Viollet-le-Duc !
Et nous ne parlerons pas de ce qu'ils ont "oublié" d'indiquer, comme la maison de retraite (2,30 km), ni les restaurants ou le supermarché Carrefour Market, marquons nos distances pour plus de distanciation, prière de ne pas jeter vos masques souillés dans les intimes cabinets d'aisance qui termineront leurs courses dans les tuyauteries se dirigeant vers l'usine de méthanisation de Villiers-Saint-Frédéric où les travaux ont déjà commencé, comme nous avons pu le constater, avec les bennes à ordures de SEPUR qui sentent mauvais et qui sont situées à proximité immédiate de la STEP !
Alors que le Lycée Viollet-Leduc est juste au-dessus de la station d'épuration (on nous dit 130 m) et que déjà les riverains se plaignent déjà d'odeurs assez pertinentes en provenance de l'actuelle installation - respectant pour l'instant la réglementation de l'eau et la protection des milieux naturels - et considérée comme le "navire amiral" par le SIARNC qui regroupe les communes de Bazoches-sur-Guyonne, Galluis, Jouars-Pontchartrain, Le Tremblay-sur-Mauldre, Les Mesnuls, Mareil-le-Guyon, Méré, Montfort-l'Amaury, Neauphle-le-Château, Neauphle-le-Vieux, Saulx-Marchais, Saint-Germain-de-la-Grange, Saint-Rémy-l'Honoré, Vicq, Villiers-le-Maheu et Villiers-Saint-Frédéric), AURA Environnement met en garde les élu-es du SIARNC contre l'ajout de déchets de boulange dont on a pas assez de "recul" et d'études lorsqu'ils seront mélangés avec les eaux usées des chiottes chargées de méthane et de substances dangereuses, voire explosives !
Nous ne tolèrerons certainement pas, non plus, des pollutions potentielles pour les chevaux qui paîssent tranquillement à 650 m dans le centre équestre "Les Fauvettes", situé de l'autre côté de la Mauldre, sur la commune voisine de Neauphle-le-Vieux !
En effet, ce centre équestre qui est un club de 1ère catégorie labellisé "Fédération Française d'Equitation" est ouvert aux jeunes cavaliers dès les 5 ans dans un magnifique parc boisé de 18 ha qui n'a certainement pas vocation à respirer, à l'avenir, des odeurs pestilentielles d'eaux de latrines mélangées à des déchets de boulange nauséabonds qui auront traîné on ne sait où et, qui viendront déformer le cadre naturel des petites communes proprettes et rurales de la région de Villiers-Saint-Frédéric, à seulement 23 km de Versailles et 43 km de Paris !
Et nous ne parlerons pas du stade situé à 170 m, ni même de la future levée de "boucliers" des parents des petits enfants fréquentant les écoles maternelles (comme celle des Ramonettes) ou l'école élémentaire "Les Sablons"...
...située à 1,2 km de cette STEP, dans un quartier bon chic, bon genre où l'on entend le chant des oiseaux à longueur de journée mais pas le son de la voix de Jean-Jacques BROT, le préfet des Yvelines sur ce projet interdit de mélange d'eaux usées et de déchets de boulange vraisemblablement contaminés par le Covid-19, qui plus est !
Nous avons observé qu'aucune mise-en-garde - sous forme d'affichage - ne parlait de ce projet de mélange de boues de STEP à ces futurs déchets de boulange vers les 4 écoles recensées sur le territoire de la charmante commune de Villiers-Saint-Frédéric qui attend plutôt des messages de projets plus reluisants de la part du père Noël, vers la mairie de Villiers-Saint-Frédéric...
.... où il n'y a pas plus de place sur la table de l'entrée que dans une cabine téléphonique pour faire part de ses observations de l' OPPOSITION TOTALE contre ce funeste projet que nous contesterons, in fine, devant le tribunal administratif avec l'aide des populations locales !
Qu'en pense-t-on, d'ailleurs, au Rectorat de l'académie de Versailles, en ces mauvais temps covidiens !
Venez massivement noter votre opposition à ce projet d'ajout de déchets de boulange, sur le registre à la mairie de Villiers-Saint-Frederic !
Pour rappel, la directive européenne 2008/98/CE pose dans son article 22 l'interdiction du mélange des biodéchets avec d'autres déchets. Cette disposition a été transposée dans le droit français notamment via l’Article D. 543-226-1 du code de l’environnement, qui stipule que : « Il est interdit de mélanger des biodéchets triés par leur producteur ou détenteur avec d'autres déchets n'ayant pas fait l'objet d'un même tri ».
Or, le projet de Villiers-Saint-Frédéric consiste à co-méthaniser des déchets de boulangerie (biodéchets triés à la source par leur producteur) et des boues de station d’épuration (déchets en mélange issus du traitement des eaux usées et définies par l’Article R. 211-26 du code de l’environnement comme les « sédiments résiduaires des installations de traitement ou de prétraitement biologique, physique ou physicochimique des eaux usées ».).
La Direction Générale de la Prévention des risques du Ministère de la Transition écologique l’a clairement rappelé dans sa Foire aux Questions sur les mélanges de déchets publiée en décembre 2017 pour préciser les modalités d’application du décret n° 2016-288 du 10 mars 2016 ayant inséré dans le Code de l’environnement l’article D. 543-226-1 sus-cité : « les biodéchets triés à la source ne doivent pas être co-compostées ou co-méthanisées avec des boues urbaines de station d’épuration, déchets qui ne font pas l’objet d’un même tri. »
Non aux apports de déchets extérieurs (2900 tonnes de déchets de boulange et boues d’autres stations d’épuration tels que présentés à l’Annexe E du dossier soumis à consultation) car elles viendraient en camion, ce qui provoquerait des nuisances olfactives et un impact important sur le trafic routier de la route de Septeuil, lesquels n’ont absolument pas été pris en compte dans le dossier soumis à consultation car il n’a pas été soumis à une étude environnementale.
Ce manquement grave à l’obligation d’étudier les impacts sur l’environnement naturel et humain d’une installation classée constitue en soi un non-respect de la réglementation nationale et européenne sur la démocratie environnementale et le droit à l’information en matière environnementale.
Le projet est à la fois illégal, qui conduit à mélanger des biodéchets triés à la source avec des déchets non triés, et inacceptable socialement, car il provoquerait un afflux de centaines de camions remplis de déchets fortement odorants qui passeraient devant les maisons du village mais aussi devant le lycée Viollet-le-Duc qui accueille plus de mille élèves !
Pour ces raisons, il doit être refusé en l’état et nous demandons à M. le Préfet de n’accepter que la méthanisation des seules boues de la station d’épuration de Villiers-Saint-Frédéric.
Marc-Claude de PORTEBANE
- Pdt d’AURA Environnement
http://www.aura-environnement.com/
- Porte-parole du Collectif CSDB-SVSF (STOP DECHETS de BOULANGE-STEP de Villiers-Saint-Frédéric)
- Porte-parole et Fondateur de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux (Plus de 46 000 Like sur Facebook)
https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/events/?ref=page_internal
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Pays de Fayence : l’intercommunalité du Var où les habitants sont le moins satisfaits de la gestion des déchets par leurs élus !
- Par auraenvironnementparis
- Le 30/09/2021
- Dans STOP aux dépôts sauvages de déchets du bâtiment lac de Saint-Cassien (Var) !
Projet Valor pôle de Suez à Montauroux :
La polémique enfle dans le Var sur ces infâmes
déchets des particuliers et du BTP déversés
illégalement sur le site classé de l'Estérel !
Rappel : AURA Environnement, en soutien avec la collectif SDV8306 (Stop Déchets Var- Alpes-Maritimes) prend la défense des populations locales proches du lac de Saint-Cassien et du massif de l'Estérel opposées à tout projet de décharge dans le Var et dans les Alpes-Maritimes. Nous combattons également fermement les dépôts sauvages et nos sentinelles de l'environnement les traquerons de façon systématique, tandis que nous attirerons l'attention des services de l'Etat puisque les élu-es du Pays de Fayence s'en fichent éperdumment, à commencer par les celles et ceux de Montauroux ou de Tanneron. L'environnement est pollué, ils s'en fichent. Mais pas nous. C'est ainsi que nous sommes intervenus publiquement aux côtés du collectif associatif lors de la réunion de concertation publique voulue par les dirigeants de SUEZ à Montauroux le 24/09/2021 pour soutenir nos camarades.
Les comportements irresponsables qui massacrent l'environnement seront dénoncés. Les entreprises du bâtiment irresponsables nous trouveront au travers de notre route vers le respect dû à la nature innocente massacrée en toute impunité.
Selon les dirigeants de Valor Pôle, les eaux du lac de Saint-Cassien ne seraient pas concernées par le projet puisqu'il lui serait seulement adossé alors qu'actuellement le périmètre de protection du lac de Saint-Cassien serait déjà impacté par de potentielles pollutions des eaux pluviales issues de l'installation de stockage de déchets inertes de Montauroux, de la déchèterie automatique de Montauroux et de la déchèterie des Adrets.
Nous sommes opposé-es à toutes formes de déchets dans le Var et les Alpes-Maritimes et nous combattons avec fermeté TOUS les dépôts sauvages. On ne peut s'opposer à un projet de décharge et accepter les dépôts d'ordures sur nos territoires parce qu'ils sont simplement balancés lâchement dans la nature par des particuliers, des touristes indignes ou de malhonnêtes artisans qui déversent leurs infâmes déchets de chantier du BTP dans les chemins de nos forêts comme à Seillans ou aux abords de notre lac de Saint-Cassien.
Qui continue à jeter ces saloperies d'ordures à l'entrée actuelle du site de Fontsante (interdit d'accès) et ce, juste au-dessus des pavillons bourgeois des 140 ha du Domaine de Séguret aux Adrets de l'Estérel...
... où les terrains à bâtir atteignent les sommes astronomiques à partir de 610 000 € et ce, aux portes des Alpes-Maritimes et de la vue panoramique sur la Baie de Cannes ?
Qui s'en soucie dans la communauté de communes du Pays de Fayence ?
Pour en savoir plus sur ces dépôts d'ordures sauvages, il suffit de cliquer sur le lien de cette vidéo qui choque la France entière sur ce qui se passe vers le lac de Saint-Cassien avec ces dépôts sauvages d'ordures qui tuent humains (assassinat du maire de Signes dans le Var), faune et flore :
https://www.facebook.com/466932616850613/videos/390773205777118
Autres échos, hors presse locale, que nous avons observé avec la situation des décharges sauvages dans le Var en allant sur différents sites internet locaux comme celui du "BLOG DU PAYS DE FAYENCE" où l'intéressé a au moins le mérité de démontrer l'absurdité imbécile de l'ambiance locale :
https://paysdefayence.blogspot.com/2021/09/fontsante-je-reviens-sur-le-massacre.html
"Fontsante: je reviens sur le massacre: une erreur collective grandeur nature.
Je reviens sur ce massacre que je considère être une énorme erreur collective, quelle que soit l'unanimité déclarée de l'opinion publique et des élus. Je retiens ces propos de Huet maire de Montauroux et ordonnateur du massacre, rapportés par Christian Godet dans son article du 27 septembre:
- Cette réunion n'aurait jamais du avoir lieu et ni l'État, ni Suez ne nous imposeront ce projet qui pénalise ceux qui ont choisi de vivre en Pays de Fayence. J'irai jusqu'au bout, même si nous devons faire de Fonsante notre Notre-Dame des Landes.
- C'est encore Jean-Yves Huet, très remonté, qui a conclu en se levant avant de quitter la salle le premier. La plus belle démonstration, c'est l'opinion publique que nous représentons en tant qu'élus. Vous nous faites perdre notre temps et vous vous payez notre tête depuis des années. Nous n'avons pas besoin de vous pour traiter nos déchets et nous allons tout faire pour les traiter nous-mêmes... Et ça, ce soir, je vous l'assure !
Où est l'erreur?
elle est clairement démontrée par "Nous n'avons pas besoin de vous pour traiter nos déchets et nous allons tout faire pour les traiter nous-mêmes". Et par la réponse de Suez "Ce n'est pas quand on est "contre" que l'on résout les problèmes. Le deuxième projet se fera en toute transparence et nous viendrons vous le présenter, a assuré le directeur régional de Suez, Vincent Borel"
Suez ou pas, Fontsante ou pas, le problème c'est les déchets du BTP et depuis des années je le dis et le répète c'est un problème quasi insoluble. Ce sont les déchets des déconstructions, reconstructions et réaménagements. Les gens achètent une maison, construction neuve ou ancienne en pays de Fayence. Il s'y produit une grande quantité de déchets. Exemple mes voisins ont acheté la maison existante construite dans les années 1980. Ils ont refait tous les carrelages, toute la cuisine, les salles d'eau, aménagé une partie du sous-sol en petit studio... Il y avait une quantité de déchets considérable. Où vont-ils?
D'abord, les artisans dans leurs devis de travaux, ont-ils répercuté le coût d'évacuation et de transport des déchets en déchetteries? Il est possible de convenir de s'en occuper soi même afin de réduire le prix du devis. Cela dit, où vont les déchets de déconstruction reconstruction? Certains, en petite quantité sont déversés dans la nature en bordure de forêt dans des endroits reculés... Suivez les pistes, il y en a partout... en petites quantités mais ça pollue et ça gâche les paysages auxquels nous sommes attachés.
D'autres les déversent aux points d'apports volontaires des déchets destinés aux plateformes de tri. C'est mieux, mais les points d'apports volontaires ne sont pas faits pour cela.
D'autres les apportent en déchetteries: déchetterie automatique à Montauroux Fondurane, déchetterie intercommunale à Tourrettes sur la D56 ou déchetteries de Bagnols en Forêt et à Tanneron. C'est bien là qu'il faut les apporter, même si c'est loin et contraignant pour le particulier.
Alors qu'est ce qu'ils deviennent ces déchets, dits gravats propres, une fois la benne remplie? Où va la benne?
On a eu sur le territoire, Pascal - Guglielmelli au dessus du lac de Saint Cassien, on a le site de Var Environnement au Jas de la Maure, on a eu le site de Gérard Ferro à Fréjus site devenu Eurovia. Ces sites fonctionnent comme des entreprises commerciales: elles doivent couvrir les coûts de leurs investissements et de leur fonctionnement par les recettes des ventes de leurs services et de leurs productions. Il n'y a pas de raison de vouloir étendre le périmètre des services publiques pour exercer ces activités car ce serait forcément moins efficace et plus coûteux - mais je suis un affreux libéral! ce sont des investissements coûteux qui relèvent de l'activité commerciale.
Comment fonctionnent de tels sites: on fait payer les produits entrants à la tonne, prix fixé en fonction de la nature des déchets apportés. On fait payer les produits sortants selon des prix qui dépendent de la valeur marchande de ces produits, en concurrence avec les produits de carrière. On est contraint de plus en plus par des obligations légales qui règlementent la nature des déchets apportés, l'obligation de non stockage ou de stockage limité en volume et à titre tampon... Tout ceci implique une taille d'activité suffisante. Il est impossible d'avoir une multiplicité de petits sites dispersés sur le territoire. Le site de Pascal-Guglielmelli a disparu à cause de ces contraintes, celui de Gérard Ferro aussi; le site de Var Environnement connaît aussi des difficultés.
Alors des sites permettant de telles activités ne sont pas pléthore. La friche industrielle de Fontsante a été envisagée et s'inscrit dans cette perspective, et c'est la raison pour laquelle Suez proposera encore un projet, au grand étonnement des élus présents lors de ce massacre où tous s'attendaient qu'ils abandonneraient, Huet le premier quittant la salle en hurlant."
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HALTE à la pollution du lac de Saint-Cassien (Var) par dépôts sauvages déchets toxiques du bâtiment !
- Par auraenvironnementparis
- Le 19/09/2021
- Dans STOP aux dépôts sauvages de déchets du bâtiment lac de Saint-Cassien (Var) !
STOP à ces dépôts sauvages
de déchets du bâtiment qui déversent
leur jus toxiques dans le lac de Saint-Cassien
qui est devenu la poubelle du Var !
Pas une journée ne se passe sans que le lac de Saint-Cassien et sa région ne devienne l'immense dépotoir du Var que ce soit par les dépôts immondes de déchets de chantier déposés par des artisans peu scrupuleux envers l'environnement (comme nous avons pu le constater ce week-end).....
.... sur la D 37 à Montauroux en bordure de cette magnifique retenue d'eau idéale pour se baigner ou encore pour faire du kayak mais aussi pour se rafraîchir en pleine canicule !
Les élu-es du Pays de Fayence ne se préoccupent même pas de l'écologie aux abords du lac de Saint-Cassien, où les containers de collecte du verre ont été peints à même le sol avec de la peinture verte !!!
Ahurissant. Du jamais vu.
Ils ne prennent même pas la peine d'effectuer les peintures de ces containers dans des centres dédiés !
Peinture grise et peinture verte font "bon ménage" pour polluer le lac de Saint-Cassien !
Que font les élu-es de la communauté de communes du Pays de Fayence dirigée par le maire de Seillans, le président René UGO, ainsi que le maire de Montauroux Jean-Yves HUET....
...pour arrêter cet enfer quotidien vécu par la faune et la flore du lac de saint-Cassien qui récolte tous les jours des déchets sauvages du BTP et de toute nature comme nous avons pu voir cet été avec cette bouteille de gaz hautement inflammable ?
Les carcasses de bateaux à l'abandon distillent leur jus dans l'eau du barrage de Saint-Cassien....
... sous le nez de nombreux pêcheurs qui ne savent rien parce qu'on ne leur dit rien sur les pollutions induites par ces dépôts de déchets sauvages pour les poissons du lac comme le crapet-soleil, la carpe commune, le gardon, l'ablette ou la gambusie très efficace contre la prolifération des moustiques !
Sans compter les camions chargés de la collecte des déchets qui circulent sur l'A8 en direction des Adrets de l'Estérel, non-bâchés, qui pulvérisernt leurs plastiques dans la nature du massif de l'Estérel !
Le collectif SDSV (Stop Déchets Sauvages dans le Var) qui regroupe plus de 250 sentinelles de la nature, et soutenu par AURA Environnement, a décidé d'alerter le préfet du Var à propos de ces abus de dépôts sauvages inadmissibles que nous observé cet été sur les communes de Montauroux, Seillans, les Tourettes, les Adrets de l'Estérel, Tanneron, etc...
La D 38 qui démarre au lac en direction de Tanneron offre le plus beau des spectacles vers la retenue d'eau de Saint-Cassien avec ces sacs à gravats issus des chantiers des artisans locaux malhonnêtes !!!
Cerise sur le gâteau : vue imprenable sur le lac de Saint-Cassien qui récolte les microparticules dangereuses pour la santé des animaux et des humains qui se dispersent même lorsque elles ne sont pas soumises à la chaleur....
Le code-barres va-t-il permettre l'arrestation de l'acheteur de ce sac à déchets du BTP ?
Merci Mr le maire de Tanneron Michel FELIX et les adjoints Julien AUGIER, Valérie AUREAL, Bernard VIAL, Dominique SCORDO et Florent ANDRIEU de ne pas vous préoccuper de la nature de votre village, alors que 16,6 millions de m3 d’eau sont dédiés à l’alimentation des villes du 06, via les ouvrages du SICASIL (Syndicat de l’eau potable du grand bassin cannois). La même quantité d’eau étant à la disposition de la Société du Canal de Provence (SCP) pour répondre aux besoins en eau potable, industrielle et agricole de l’Est varois. Afin de sécuriser l’alimentation en eau du territoire, chacun de ces partenaires dispose par ailleurs d‘une réserve de 10 millions de m3 accessible en cas de sécheresse, quand les ressources naturelles en eau sont insuffisantes !!!
"Gravats, briques, télévisions ou canapés hors d’usage… de plus en plus de malfrats déversent leurs déchets sur la voie publique, à toute heure du jour ou de la nuit", avertissait dans le Figaro, Jean-Pierre Véran, président de l’Association des maires du Var et édile de Cotignac, quelque temps après l'assassinat de Jean-Mathieu MICHEL, le maire de Signes, alors qu'il voulait intervenir pour empêcher le dépôt illégal de déchets de chantier.
Une situation dramatique également dénoncée par la plateforme citoyenne indépendante, Mon Avis Citoyen qui a décidé de donner la parole aux Varois-es - en juillet 2021 - en publiant une étude citoyenne sur notamment la gestion des déchets dans les communes des Adrets de l'Estérel, les Tourettes, Montauroux, Fayence, Callian, Roquebrune-sur-Argens, etc.....
LIEN de la vidéo qui choque la France entière sur ce qui se passe vers le lac de Saint-Cassien :
https://www.facebook.com/466932616850613/videos/390773205777118
"Nos routes deviennent des déchèteries à ciel ouvert à cause des incivilités" s'indigne une personne de 62 ans habitant la commune de Fayence !
Les résultats de l'enquête nationale parue dans Mon Avis Citoyens sont édifiants pour le Var puisque 72 % des sondés sont plutôt d'accord sur le fait que les dépôts sauvages nuisent à l'image du département tandis que 69 % sont plutôt ok pour réclamer des solutions légales afin de gérer les déchets à proximité (centre de valorisation ou centre de stockage) :
Le secteur de Montauroux-Belluny...
... (avec vue sur le lac de Saint-Cassien)....
..... regorge de plaques immondes d'amiante qui sont là depuis de nombreuses années...
... en compagnie de nombreuses ferrailles d'un autre âge.
Les poubelles sont laissées à l'abandon plusieurs jours durant aux abords du lac de Saint-Cassien en plein cagnard...
....sans que les associations environnementales locales n'organisent des actions de ramassage de ces ordures permanentes.
Pendant ce temps-là, le lac de Saint-Cassien déguste tous les jours.
De cette étude, il ressort que 91 % des habitants du territoire du Var sont pour la "Tolérance zéro".
La malpropre commune de Seillans du maire René UGO cache dans les entrailles de ces belles forêts une immonde décharge sauvage qui côtoie des véhicules laissés à l'abandon que nos sentinelles de l'environnement ont débusqué à travers les arbres innocents...
..... Il suffit juste de faire une balade pédestre en direction du pôle médico-social puis d'emprunter le chemin d'Engaspaty à Seillans...
.... pour observer que les gravats de chantiers, les plastiques, les ferrailles d'un autre temps et les végétaux en état de pourriture polluent gravement l'environnement...
... tandis que de nombreuses cartouches de chasse sont dispersées dans les terrains environnants sur cette commune de Seillans. De quoi "nourrir" de plomb ces pauvres animaux pour les faire mourir ensuite !!!
D'ailleurs, à 50 m du siège de sa communauté de communes du Pays de Fayence ...
...... nous avons observé l'horreur au quotidien subie par l'environnement avec ces bidons infects qui distillent leurs jus dans les sols ivres de pollutions diverses et avariées .....
.....et ce juste derrière les sapins proches du siège de la CC du Pays de Fayence !
Qu'en pense le Rotary Club des Hauts de Siagne de toutes ces pollutions dans la région du lac de Saint-Cassien ?
Indignez-vous ! Non à la pollution du lac de Saint-Cassien !.
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Le Collectif STOP Décharges Sauvages Var Alpes-Maritimes (SDV8306) déclenche Opération "Etincelle" CONTRE décharges sauvages vers lac Saint-Cassien
- Par auraenvironnementparis
- Le 11/06/2021
- Dans STOP Décharges Sauvages Var-Alpes Maritimes (SDV8306)
Le Collectif Stop Décharges Var-Alpes-Maritimes (SDV8306)
déclenche l'opération Iskra "Etincelle"
contre les immondes décharges sauvages
vers le lac Saint-Cassien et les Alpes-Maritimes !
Le Collectif Stop Décharges Sauvages Var Alpes-Maritimes (SDV8306) - soutenu par AURA Environnement - s'oppose et s'opposera aux décharges illégales et aux dépôts de déchets du bâtiment et autres jetés en pleine pâture dans le Var, et plus spécialement autour du lac de Saint-Cassien mais aussi dans toutes les Alpes-Maritimes, où des particuliers et des entreprises sans scupules polluent l'environnement des animaux et des populations locales, au nez et à la barbe des collectivités territoriales et des élu-es qui ne se soucient que très peu de leur nature proche, notamment vers la commune de Montauroux dans le Var.
La Côte d'Azur recevra-t-elle le trophée numéro 1 de la poubelle française des dépôts sauvages des déchets de toute nature, surtout vers le lac de Saint-Cassien, où le panorama est splendide, alors que les résidences sont directement impactées ?
Entre Méditerranée et Haut-Var, merci pour l'autre regard sur le tourisme local en bagnole, les randos équestres ou les randos pédestres à cloche-pied dans ce massif de l'Estérel !
Le Collectif Stop Décharges Sauvages Var Alpes-Maritimes (SDV8306) s'oppose donc à toutes forme de pollution actuelle de l'environnement autour du lac de Saint-Cassien, en soutenant les associations locales, où les eaux de cet espace de 430 ha aspirent le jus insoutenable des matelas souillés et des plastiques jetés en pâture et qui distillent leurs infâmes particules dans ce barrage, où vivent paisiblement, notamment, la carpe commune, le gardon, le crapet-soleil, la gambusie et le silure.
Sauvons nos animaux de la pollution actuelle autour du lac de Saint-Cassien, dans la communauté de communes du Pays de Fayence bordée au nord et à l'est par les communes de Montauroux et de Callian, à l'est par les communes de Tanneron et des Adrets-de-l'Estérel et au sud par les Estérets-du-Lac.
A suivre
Marc-Claude de PORTEBANE
Président d'AURA Environnement
Porte-parole du Collectif Stop Décharges Sauvages Var Alpes-Maritimes (SDV8306)
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HALTE Incinérateur de Chavanod près d'Annecy : le Collectif COBAP lance l'opération Uranus !
- Par auraenvironnementparis
- Le 02/06/2021
- Dans HALTE Incinérateur de Chavanod près d'Annecy !
Protégeons nos chevaux de l'incinération des poubelles
à Chavanod près d'Annecy :
le collectif COBAP (COllectif du BOl d'Air Pur)
déclenche l'opération "URANUS" CONTRE
l'incinérateur de Chavanod vers Annecy !
Le collectif COBAP (COllectif du BOl d'Air Pur) soutenu par AURA Environnement a lancé dans le plus grand secret, début avril 2021. l'opération répondant au nom de code "Uranus" contre l'incinérateur de Chavanod situé à moins de 10 km de la ville très touristique d'Annecy, en déclenchant ses "orgues musicales de Staline".
En effet, un de nos camarades-sentinelles de l'Ain indiquait au Collectif COBAP - qui a intégré le CSILA (Collectif Stop Incinérateur Lac Annecy) - et soutenu par AURA Environnement - avoir observé que des camions chargés de déchets partaient de l'incinérateur (UVE) de Valserhône (Ain) en direction de l'incinérateur de Chavanod (74).
Le 19/04/2021 le comité central d'AURA Environnement décidait d'écrire à la DGS du SIDEFAGE, Aglaë PETIT, situé ZI ARLOD, 5, Chemin du Tapey, 01200 VALSERHONE afin d'être pleinement informé sur la situation et obtenir des copies de la ou des convention-s de ce déroutage potentiel de déchets :
"Suite à notre entretien téléphonique de ce jour, je vous remercie de bien vouloir nous transmettre par retour mail, une copie de toutes les conventions que le SIDEFAGE a passé avec les différents opérateurs pendant ces mois de travaux en cours de démarrage de votre UVE de Bellegarde, et notamment avec le SILA. (durée renouvelable ou non, tonnages quotidiens et mensuels, coûts avec et sans TGAP, etc…). Idem pour Genève, comme vous me l’avez confirmé.
Ceci ayant pour objectif pour le SIDEFAGE le traitement et la valorisation des OMr et assimilées en cas de délestage ponctuel ou non lors de travaux sur les unités d’incinération de la région.
Comme vous le savez, la tension est grande sur les installations de traitement de déchets en Auvergne Rhône-Alpes et notre association, présente sur toute la région, est extrêmement attentive à ce que les exploitants (publics et privés), ainsi que les administrations de tutelle (DREAL et Préfectures) respectent scrupuleusement les règles qui doivent s’imposer à chacun.
Les 430 000 habitant-es du SIDEFAGE (Syndicat intercommunal de gestion des déchets du Faucigny, Genevois, pays bellegardien, Pays de Gex, pays de Seyssel et Haut-Bugey) qui compte 3 communautés d’agglomération et 8 communautés de communes, soit, au total, 164 communes de l’Ain et de la Haute-Savoie attendent d’être pleinement informés autrement que par la presse locale".
La tension avait déjà été portée à son paroxysme en 2020, lorsqu'un autre camarade-sentinelle de la Drôme (26) nous apprenait que le SYTRAD de Valence risquait d'envoyer des déchets illégaux en provenance de son territoire vers la Haute-Savoie.
AURA Environnement alertait fissa Mr CRESPINE de la Dreal 74 en charge des contrôles de l'incinérateur de Chavanod, Mr le préfet de la Haute-Savoie, le patron des douanes de la Haute-Savoie, le maire écolo d'Annecy.
Ainsi, le 20/08/2020, le comité central d'AURA Environnement indiquait à l'inspecteur des installations classées en Haute-Savoie :
Suite à notre entretien téléphonique du 18/08/2020, je vous prie de trouver ci-joint la décision N° 193-20 prise par Mr le président du SILA en date du 08/07/2020 (document public téléchargé sur le site internet du SILA) autorisant l’incinérateur Sinergie de Chavanod à recevoir des déchets en provenance de la Drôme.
Cet acte, reçu en préfecture de la Haute-Savoie le 10/07/2020, contrevient manifestement aux prescriptions de l’arrêté préfectoral d’autorisation N°PAIC 2016-0039 du 10/06/2016 de cette installation classée pour la protection de l’environnement qui limite dans son article 3.2.1 sa zone de chalandise aux seuls départements limitrophes.
Comme vous le savez, la tension est grande sur les installations de traitement de déchets en Auvergne Rhône-Alpes et notre association, présente sur toute la région, est extrêmement attentive à ce que les exploitants (publics et privés), ainsi que les administrations de tutelle (DREAL et Préfectures) respectent scrupuleusement les règles qui doivent s’imposer à chacun.
En conséquence, je vous demande solennellement d’une part de proposer à Monsieur le préfet de la Haute-Savoie de rejeter sans délai cette décision du Président du SILA via le contrôle de légalité et d’autre part de prendre immédiatement un arrêté de mise en demeure de l’exploitant de l’incinérateur afin que le SILA cesse de recevoir ces déchets interdits.
Par ailleurs, je compte naturellement sur votre vigilance et sur celle du service des Douanes pour que la TGAP appliquée aux déchets non autorisés qui seraient reçus à Sinergie soient assujettis au taux majoré de 110 €/t conformément aux articles 266 sexies IV et 266 nonies 1.A-0 du code des douanes.
Les 265 000 habitant-es du SILA composé des 73 communes de la Communauté d’agglomération Grand Annecy, de la Communauté de communes des Sources du lac d’Annecy, de la Communauté des communes des Vallées de Thônes, de la Communauté de communes du Pays de Cruseilles et de la Communauté de communes Fier et Usses ne peuvent accepter que leurs élus bafouent ainsi les règles qui leurs sont applicables et attendent des services de l’Etat, donc de vous qui êtes en charge de la surveillance de cette installation classée, qu’ils soient intransigeants dans leur contrôle."
Et c'est donc ces innocents chevaux ....
..... et les habitants proches de l'incinérateur de Chavanod qui allaient encore déguster ?
La Dreal 74 donnait entièrement raison à AURA Environnement, puisque Mr CRESPINE nous remerciait de la façon suivante :
"Monsieur de PORTEBANE
Je vous remercie pour ces informations et votre courrier concernant la décision 193-20 du 8 juillet 2020 relative à la "convention d'apports de combustible solide de récupération de la société Valomsy au SILA.
En réponse, je vous informe que le SILA m'a précisé que cette convention n'avait pas utilisée et qu'il s'est en outre engagé, par courrier du 24 août 2020, à ce qu'elle ne le soit pas et à ce que son retrait soit inscrit à l'ordre du jour du prochain comité syndical qui se tiendra après l'installation des nouveaux élus du SILA.
Cordialement"Le 26/11/2020, AURA Environnement demandait au président du SILA, les informations cruciales suivantes :
"Monsieur le président,
Vous avez décidé, le 09/11/2020, de signer une nouvelle convention de traitement de déchets par incinération avec ONYX AUVERGNE Rhône-Alpes, toute aussi floue que la précédente du 08/07/2020 et que nous avons contesté le 20/08/2020 auprès de la Dreal 74 et de Mr le préfet de la Haute-Savoie.
Nous nous interrogeons donc, une fois de plus, sur 3 points totalement incompréhensibles :
1.- D’où viennent ces déchets ? Quelles sont les garanties qu’il ne s’agit en aucun cas des déchets issus du délégataire VALOMSY du SYTRAD et non-conformes à l’AP du 10/06/2016 ?
2.- Quels sont les tonnages exacts de déchets qu’ONYX-ARA apportera au SILA ? La convention ne le précise pas.
3.- Qu’est-ce que veut dire « durée de 3 mois » à compter du 1er octobre 2020 – mais « reconductible par voie tacite par période annuelle d’un an » ? Il n’y aura donc pas de limite dans la durée ?"
Le 14/12/2020, Pierre BRUYERE, le président du SILA nous répondait sur la convention de traitement des déchets renouvelée avec ONYX en nous précisant bien que cette fois, les déchets provenaient bien d'un département limitrophe, à savoir la Savoie, et non la Drôme qui devait être "furax" que nous ayions fait "capoter" le projet d'envoi de déchets à l'incinérateur de Chavanod !
LOL !
La suite du feuilleton nous arrivait le 23/04/2021, cette fois de l'Ain, par un mail de la DGS du SIDEFAGE, Aglaë PETIT qui faisait suite à notre sollicitation, en nous faisant parvenir les informations relatives aux déroutages des déchets ménagers du territoire du SIDEFAGE pendant la phase de travaux de remplacement du traitement des fumées de leur incinérateur situé à Valserhône, prévue du 01/04/2021 au 30/09/2021.
Les "ambitions" de l'incinérateur de Valserhône, en matière de rejets dans l'atmosphère dans la région du SIDEFAGE se veulent "louables" mais il n'empêche, que là aussi, les animaux et les populations locales sont obligés de respirer tout un tas de saloperies qui ont un impact négatif sur les animaux et les humains comme les HCI, HF, SO2, Poussières totales, NOX, NH3 sans compter les très "agréables" dioxines et les "bien trop aimables" furanes !!!
Mauvaise Cerise sur le gâteau pour eux : Mme PETIT nous parle d'UVE "Unité de Valorisation Energétique" pour ne pas effaroucher leurs populations locales, tandis que nous, nous parlons au 1er degré d'un "INCINERATEUR à POUBELLES".
Par contre, silence radio sur les prix pratiqués à la tonne pour ces "dépannages" dits "ponctuels" entre incinérateurs à poubelles de la Haute-Savoie et de l'Ain, tous pour un, un pour tous ensuite !
Et nous attendons les anciens graphismes sur les rejets atmosphériques, les consommations d'eau et leurs réactifs, les interventions de maintenance, etc...
Faudra-t-il les demander via une nouvelle pétition, et ce à la veille des élections régionales en AURA (Auvergne-Rhône-Alpes) pour que les animaux et les populations locales soient enfin reconnus par le minuscule im-monde des déchets ?
Comme si la région d'Annecy avait - absolument - besoin de ces déroutages de poubelles supplémentaires alors que notre camarade Fabienne GREBERT, candidate écolo pour le poste de présidente de la région AURA, est conseillère municipale d'Annecy et..... vice-présidente du SILA en charge des études, des suivis scientifiques et des nouveaux usages liées au lac d'Annecy tout en sachant que le maire d'Annecy, François ASTORG, interdit les toutous aux abords de ce lac d'Annecy alors qu'il avait signé la charte L214 "Une ville pour les animaux" !!!
Annecy étant une ville très touristique, il n'est pas évident de trouver une plage DogFriendly. Attention aux contrevenants car en été, interdiction de faire trempette à son toutou dans le lac d'Annecy car vous risquez.... une amende.
A croire que ces pauvres toutous polluent plus que les Usines à poubelles qui déferlent sur tout le territoire français, des incinérateurs aux décharges, des méga centres de tri aux trottoirs remplis d'immondices divers dûs à l'incivisme général comme nous l'avons constaté la semaine dernière, non pas à Manille, mais à Libourne !!!
Là aussi, à quoi bon vouloir "désinfecter plus blanc que blanc" vers l'incinérateur voisin de Passy géré par SUEZ, alors que dans son propre territoire de Chavanod à moins de 10 km d'Annecy, l'air ambiant est infecté des mêmes saloperies atmosphériques que l'incinérateur du SIDEFAGE situé dans l'Ain voisin ?
Mme PETIT a tenu à nous préciser que la présentation de ces déroutants déroutages, notamment vers l'incinérateur de Chavanod, s'était effectuée en CSS (Commission de suivi de site) avec la participation de l'ARS et de l'inspecteur de la Dreal, le tout, sous la présidence de Mme la sous-préfète de Nantua et de Gex et qu'un dossier de presse avait été distribué à la presse bien-pensante lors de la conférence de presse du 08/04/2021.
Amen !
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Bon accueil pour les sentinelles de la nature du Collectif STOP projet Usine à poubelles Saint-Denis-de-Pile !
- Par auraenvironnementparis
- Le 01/06/2021
- Dans STOP au Centre de tri de Saint-Denis-de-Pile vers Libourne
Presse, élu-es SMICVAL et autres Cdc vers Libourne :
les sentinelles de l'environnement du Collectif
Stop Centre de Tri vers Libourne ont aussi reçu
un accueil favorable des populations locales !
Photo ci-dessus : marché de Libourne du 30/05/2021
Après avoir rencontré la journaliste de Sud-Ouest à Libourne, vendredi 28/05/2021 dans la matinée, et les dirigeants de la SPL TriGironde, dans l'après midi, au SMICVAL à Saint-Denis-de-Pile, le collecif SCTL (Stop Centre de Tri vers Libourne), a décidé, dimanche dernier d'aller au contact de nos camarades sur les marchés de la région libournaise.
Nos sentinelles de la nature ont observé que le tri sélectif à la base n'était absolument pas respecté à Saint-Denis-de-Pile où les encombrants sont déposés dans les rues....
... ainsi qu'à Libourne où, comme ici, il n'y a aucun tri que ce soit des déchets verts pour le compostage, du bois si recherché de nos jours, des linges usagés non remis au associations caritatives et qui ralentiront de façon importante le travail des trieurs des centres de tri car les longs morceaux de tissu créent un blocage au niveau de la chaîne de tri !
Dans l'ensemble, l'accueil en faveur de notre pétition a été excellent, comme ici chez les commerçants de Saint-Denis-de-Pile où l'on découvre le projet d'Usine à poubelles qui ne semble pas recevoir l'opposition de la Dreal 33.
Nous sommes et nous serons toujours opposé-es aux projets de mega centres de tri comme celui de 34 000 T/an envisagé à Saint-Denis-de-Pile.
Nous sommes favorables, une fois n'est pas coutume, à l'excellente ISDND de Lapouyade, gérée par VEOLIA, qui s'inscrit dans une démarche environnementale constructive et positive avec nos camarades paysans de Rougeline puisque le rapprochement entre les déchets et les tomates à permis de générer une écoserre de 4 ha chauffée par le biogaz issu de la fermentation des déchets de la Gironde stockés de façon honorable également sur le plan économique.
A Lapouyade, nos camarades de VEOLIA produisent de l'eau chauffée à 90°C, une température idéale pour chauffer ces serres dont les premiers plants de tomates ont été plantés en novembre 2015 avec une récolte vertueuse qui a débuté en mars 2016 ayant pour objectif d'atteindre plus de 5 000 T dans les prochaines années.
Quand on valorise correctement les déchets, on ne doit pas les trier pour en faire, ensuite de l'incinération déguisée comme avec cet infâme CSR (combustible solide de récupération) que l'Ademe semble promouvoir auprès des collectivités locales, alors qu'il n'y a aucun débouché économique et que les cimentiers comme Lafarge et Vicat en disposent des stocks et des stocks !
A divers endroits sur le territoire français, nous avons observé que certaines collectivités territoriales ne savent plus où stocker leurs papiers ou cartons et elles font donc appel à la logistique des entreprises privées d'espaces pour leurs clients ou fournisseurs.
Nous soutiendrons donc nos camarades-ouvriers et paysans de la Gironde, en continuant notre parcours écolo-marxiste qui nous paraît logique en ces mauvais temps de Covid et de régression économique mal vécue par les classes pauvres de notre société qui ne comprennent pas l'utilité de ces grands projet inutiles et imposés (GPII) très souvent mis en place par d'autres camarades de gauche qui agissent assez souvent comme les capitalistes bourgeois.
Nous défendrons donc le partenariat entre VEOLIA et nos camarades-paysans de Rougeline qui s'inscrit dans une logique d'économie circulaire en terme de circuit court, et ce, tout autour de ces glorieuses exploitations qui sauvegardent l'emploi local sur le vaste territoire de la Nouvelle Aquitaine !
Nous nous opposerons donc au projet de centre de tri de Saint-Denis-de-Pile, certes, pas de façon systématique et ce, à condition que les échanges entre le collectif SCTL - soutenu par AURA Environnement - et la SPL TriGironde soient constructifs et que nos demandes de transmissions soient respectées tout comme notre demande de création d'une commission locale de suivi de site interne, et des consultations permanentes avec la direction générale des services de la SPL TriGironde avec qui nous avons commencé d'établir des rapports courtois et bien disposés au dialogue et à la compréhension sur ce projet d'Usine à poubelles à Saint-Denis-de-Pile de 20 000 m² sur le territoire du SMICVAL.
Nous ne sommes pas opposé-es au petits centre de tri locaux mais aux plus importants car, cela ne marche pas si bien que cela. Pour que ça "marche", il faut soit augmenter les territoires de collecte soit augmenter les impôts locaux alors que les camions font encore et encore plus de km avec leurs émissions de gaz à effet de serre. Si au moins les camions de la Gironde roulaient au gaz ou étaient hybrides pour se rendre à Saint-Denis-de-Pile ? Mais, non, les camions resteront les camions que ce soit à Vénissieux-Saint-Priest dans le Rhône ou à Passy en Haute-Savoie, ou ailleurs partout parce que l'on s'en fiche bien de polluer la planète dans un souci de rentabilité capitaliste !
A quand des camions-poubelles avec des bennes moins bruyantes et moins polluantes, alimentées à l'hydrogène en Gironde et plus particulièrement dans le Libournais afin d'améliorer la protection et la mise en valeur de l'environnement et du cadre de vie des populations locales ?
Nous ne nous inscrivons pas dans une démarche de "faiblesse" et nous serons vigilant-es à l'avenir sur la future étude d'impact concernant la faune, la flore, les émissions polluantes comme les MEST et qui devrait être indexée à la demande d'autorisation d'exploiter qui sera déposée à la DDT 33 avant d'être étudiée par la Dreal 33 (qui refuse de nous répondre au téléphone), ainsi que sur le projet de permis de construire qui devrait être délivré par la commune de Saint-Denis-de-Pile où les ordures sont trop souvent déposées en pleine nature !
Nous ne voulons aucune "pression" médiatique ou autre sur nos camarades-sentinelles de l'environnement qui soutiennent notre pétition, et qui veulent garder l'anonymat !
Nous sommes dans une démarche de défense écolo-économique puisque l'impact du changement climatique s'exercera surtout sur les parties les plus pauvres du monde - par exemple en exacerbant la sécheresse et en réduisant la production agricole des régions de plus en plus sèches - alors que l'émission des gaz à effet de serre provient essentiellement des populations riches !
Si nous "soutenons" écologiquement le site de Lapouyade c'est qu'au total, pauvreté et crise écologique sont inséparrables.
De même qu'il y a synergie entre les différentes crises écologiques, il y a synergie entre la crise écologique globale et la crise sociale : elles se répondent l'une l'autre, s'influencent et s'aggravent corrrélativement !
Quand est-ce qu'à eu la concertation sur ce projet d'Usine à poubelles à Saint-Denis-de-Pile avec nos camarades-locaux, nos camarades-viticulteurs et nos camarades ouvriers et paysans ?
Les masses populaires de Saint-Denis-de-Pile auraient dû être correctement informé-es sur ce vaste projet d'Usine à poubelles de 34 000 T/an.
Il semble qu'elles ne l'aient été que via notre pétition qui est la plus forte de France sur un projet national de centre de tri à grande échelle.
Un exemple ? Nous n'avons appris que vendredi dernier (28/05/2021), lors de notre entrevue de 3h avec les dirigeants de la SPL TriGironde, et ce à notre demande, qu'il y aurait un surcroît de 15 camions/jours qui passeraient sous le nez des populations locales, alors que certains accès au site sont difficilement croisables entre poids-lourds et que la circulation des 3T5 sur des voies interdites au plus de de 3T5 sur la commune de Saint-Denis-de-Pile ont été relevées à de nombreuses reprises par nos camarades-sentinelles de la nature vers Libourne !!!!
Quant au coût de ce projet de centre de tri, on ne sait toujours rien.
20, 30, 40 millions d'euros ?
Quel avenir sur le territoire des 6 Communautés de communes de la SPL TriGironde pour la TEOM (Taxe d'enlèvement des ordures ménagères) qui pourra être récupérée de plein droit par les propriétaires sur les pauvres locataires prolétaires de Saint-Denis-de-Pile où la pauvreté et la misère ne veulent pas s'en aller, à l'exclusion des frais de gestion ?
Quel avenir sur le territoire des 6 Communautés de communes de la SPL TriGironde pour la REOM (Redevance d'enlèvement des ordures ménagères qui est un mode de financement du service public d'enlèvement des ordures ménagères alternatif à la TEOM et qui est payée par les ménages souvent populaires et les entreprises qui bénéficient de ce service de collecte des déchets ménagers et assimilés ?
Il n'y a que les pétitions comme la nôtre pour obtenir un contre-pouvoir informatif ( LIEN : https://www.mesopinions.com/petition/animaux/stop-projet-usine-poubelles-saint-denis/138163 ) ou de celle de nos camarades du Collectif citoyen "Ras la Poubelle" - que nous soutenons sur le terrain via notre collectif SFIOMAFCL (STOP Fiscalité Ordures Ménagères Agglo Fécamp Caux Littoral) - qui demandent dans une pétition à la présidente de l'agglomération Fécamp Caux Littoral que soit rendu public le montant des recettes supplémentaires prévu avec le mode de calcul voté le 13/04/2021 et que soit revu le mode de calcul avec les critères incitatifs à la réduction des déchets puisque l'intégration de la Comcom de Valmont à l'Agglo de Fécamp a nécessité l'harmonisation à terme de la fiscalité, les dépenses augmentant plus vite que les recettes, il a fallu revoir fissa le financement du ramassage des ordures ménagères et donc passer de la REOM à la TEOM. Cerise sur le gâteau : en grande majorité, nos camarades de la Seine Maritme (76) ont donc vu le montant de leur facture doubler voire tripler, alors qu'ils n'ont pas été informés correctement.
Ce n'est que grâce à la puissance de nos pétitions nationales que nous sommes ensuite correctement informé-es et, NOUS, ici, nous préférons largement une pétition internationale, à un article de presse local qui voudra surtout des noms de celles et ceux de nos camarades qui marchent avec nous, et qui ne reprendra pas toujours les aspirations des populations locales qui n'en peuvent plus des atteintes à la faune et à la flore vers leurs habitats respectifs, quand ce n'est pas les augmentations des taxes et redevances locales.
Ce serait quand même grand temps de consulter les 91 150 personnes composant les 45 communes de la CALI (Communauté d'agglomération du Libournais) et de demander si, elles ou ils, sont ok pour ce projet de centre de tri qui verra transiter 31 à 34 000 T/an de déchets, en provenance du SMICVAL, du SEMOCTOM, de CdC Medulienne, du SICTOM Sud-Gironde, de la CdC MEDOC Estuaire et peut-être prochainement de la CdC Convergence Garonne.
Nous espérons donc obtenir les infos que nous avons demandé à la DGS de la SPL TriGironde à Saint-Denis-de-Pile, prochainement.
Nous ne changerons pas de mode opératoire, ni de discours vis-à-vis des élu-es de TriGironde !
La parole donnée sera respectée !
Marc-Claude de PORTEBANE
Président d'AURA Environnement
Porte-parole du Collectif SCTL (Stop Centre de Tri vers Libourne)
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Opération Bagration II du Collectif SCTL : déluge de tracts sur le territoire de la SPL TriGironde !
- Par auraenvironnementparis
- Le 25/05/2021
- Dans STOP au Centre de tri de Saint-Denis-de-Pile vers Libourne
STOP projet Usine à poubelles à Saint-Denis-de-Pile :
le collectif SCTL (Stop Centre de Tri vers Libourne)
a lancé une offensive générale de 25 000 tracts sur
le territoire des 535 000 habitants des élus #TriGironde !
Nos camarades du collectif SCTL (Stop Centre de Tri vers Libourne) soutenu par AURA Environnement ont déclenché la "phase II" de l'opération "Bagration" sur tout le territoire de la SPL TriGironde qui regroupe plus de 535 000 habitant-es et 330 communes, alors que selon Mr ROUSTIT de la DDTM 33, aucune demande d'autorisation d'exploiter la future Usine à poubelles à Saint-Denis-de-Pile n'aurait été faite ces derniers jours, ce qui constituerait, déjà, une première victoire pour le Collectif SCTL dont les rangs ne cessent de croître, surtout depuis le record de France en nombre de signatures pour une pétition en matière de lutte contre un centre de tri, au niveau national.
Rien de neuf côté Dreal 33 et encore moins aux services de l'urbanisme de Saint-Denis-de-Pile. Notre pétition aurait-elle réveillé les consciences endormies ?
En effet, selon les experts, aucune pétition nationale n'a recueilli plus de 36 500 signatures en à peine 15 jours. LIEN : https://www.mesopinions.com/petition/animaux/protegeons-agneaux-poneys-futur-desastre-stop/138163
Déclenchant la "phase II" de l'opération Bagration, AURA Environnement a fait appel à plus de 180 camarades du collectif auvergnat des cellules autonomes de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux, (situé Avenue de l'Union soviétique à Clermont-Ferrand), parce qu'il est impensable que le projet d'au moins 34 000 T /an d'ordures de la future Usine à poubelles qui veut s'implanter dans la commune martyr de Saint-Denis-de-Pile (à 15 km de Libourne en Gironde) puisse un jour, disperser des particules de matières en suspension totales (MEST) sur les animaux et les humains.
Plus de 25 000 tracts ont donc ainsi été distribués dans les boites aux lettres de la région de Libourne, soit sur l'ensemble du territoire des élu-es du SMICVAL LIBOURNAIS HAUTE-GARONNE, du SEMOCTOM, du SMICOTOM, du SICTOM SUD GIRONDE, de la CdC MEDOC ESTUAIRE et de la CdC MEDULLIENNE !
L'accueil des populations locales de Saint-Denis-de-Pile, qui ne sont au courant de rien, a été total.
Alors qu'il pleuvait à seau tous les jours, nos camarades du Collectif SCTL ont été très bien reçu par les populations locales.
Plus de 86 camarades de toute la région, et particulièrement du SEMOCTOM et du SMICVAL LIBOURNAIS HAUTE-GARONNE ont rejoint le Collectif SCTL
Parallèlement, notre avocat Me François RUFFIE du barreau de Libourne, décidait jeudi 20/05/2021, de saisir la CADA (Commission d'accès aux documents administratifs) puisque les élu-es de la SPL TriGironde ne nous ont, pour l'instant, absolument rien communiqués suite à l'envoi de nos différentes requêtes.
A quoi bon ne pas nous communiquer des documents publics en lien avec le bon droit du code de l'environnement ?
Qu'il y a-t-il de secret dans toute cette histoire de projet d'Usine à poubelles à Saint-Denis-de-Pile ?
A quoi bon de diviser chat et souris alors que des norias de camions sont attendues à Saint-Denis-de-Pile si ce projet d'Usine à poubelles venait à se faire ?
Qu'est ce qui est dérangeant pour les populations locales de Saint-Denis-de-Pile, alors qu'il n'y a pas eu d'Etats Généraux communal avec les populatons locales pour leur demander leur humble et simple avis sur ce projet d'Usine à poubelles ?
La CALI (Communauté d'aglomération du Libournais), qui regroupe 45 communes dont Saint-Denis-de-Pile, est-elle plus au jus que nous ne le sommes ?
Nous espérons que le camarade-président de la CALI (dont une des thématiques est l'accès au droit), Philippe BUISSON, (maire de Libourne), sortira du "buisson" pour éclairer notre lanterne. LIEN : https://www.lacali.fr/actualites-de-la-cali
Quels droits auront les populations locales de Saint-Denis-de-Pile, hormis le droit de regarder passer - en payant via les différentes taxes - des camions et encore des camions chargés de plastiques et de cartons à destination du projet de la future Usine à poubelles ?
Pourquoi la CALI ne se "salit pas les mains" pour informer les populations locales sur le devenir de leurs enfants dans les prochaines décennies ?
La Calinésie est-elle en manque de moyens de "communication", pourtant un autre de ses credo ?
Alors que l'une des préoccupations de la Calinésie n'est que la future "fête du Tour" de France 2021 ?
Puisque la "Fête du Tour" sera une journée consacrée au vélo dans les sites d'accueil du Tour de France.
En effet, à Libourne, de nombreuses activités seront proposées le dimanche 30/05/2021 avec l'installation d'un "village d'animations" sur les quais de Libourne, - alors que le Covid-19 est toujours actif -, et aussi donner la possibilité aux cyclistes de tous âges de tester le parcours de la 20° étape du Tour de France 2021 : le contre la montre Libourne-Saint-Emilion. LOL !
Et même pas une halte, route de la Pinière, à Saint-Denis-de-Pile, là où est pourtant projeté le projet de la future plus grande Usine à poubelles de la Gironde, et ce, à grands renforts de millions d'euros sortis tout droit de la poche du maillot jaune des contribuables de la nouvelle baronnie, la région "Nouvelle Aquitaine" dirigée par le camarade Alain ROUSSET ?
Nous restons vigilant-es quant au sort réservé aux nombreux animaux proches du futur projet d'Usine à poubelles sur le terrain actuel du SMICVAL LIBOURNAIS HAUTE-GARONNE !
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+ 48 000 Signatures. PETITION. STOP projet d'Usine à poubelles à Saint-Denis-de-Pile vers Libourne. Protégeons Agneaux et Poneys du futur désastre !
- Par auraenvironnementparis
- Le 07/05/2021
- Dans STOP au Centre de tri de Saint-Denis-de-Pile vers Libourne
STOP projet d'Usine à poubelles à Saint-Denis-de-Pile vers Libourne. Protégeons Agneaux et Poneys du futur désastre !
Lien de la pétition : https://www.mesopinions.com/petition/animaux/stop-projet-usine-poubelles-saint-denis/138163
Auteur(s) :
Marc-Claude de PORTEBANE, Président d'AURA Environnement – Porte-parole du SCTL (Collectif Stop Centre de Tri vers Libourne). Fondateur du collectif de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux.
Destinataire(s) :
Mme la présidente de la Commission européenne Ursla Von der Leyen, Me Brigitte Bardot, présidente de la Fondation Brigitte Bardot, Mme Fabienne BUCCIO, préfète de la région Nouvelle-Aquitaine et de la Gironde.
La pétition
Le SCTL (Collectif Stop Centre de Tri vers Libourne), soutenu par AURA Environnement se mobilise en s’opposant au projet d'Usine de 34 000 T/an de poubelles à Saint-Denis-de-Pile, vers Libourne, à 48 km au nord de Bordeaux.
En effet, le 16/03/2021, AURA Environnement écrivait à Jérôme GUILLEM, maire de Langon et président de la SPL TRIGIRONDE sise 8, Route de la Pinière dont le siège est dans les locaux du SMICVAL LIBOURNAIS HAUTE-GIRONDE à SAINT-DENIS-de-PILE parce que nous avons constaté de nombreuses pollutions de l’environnement dues à la présence dans la nature de plaques d’amiante jonchant à même le sol et aussi parce que les populations locales sont inquiètes sur le projet d’un Centre de tri d'au moins 34 000 T/an d'ordures.
Depuis, silence dans les rangs ! Pas un mot à notre conseil, Me François RUFFIE, du barreau de Libourne (l’avocat de la SEPANSO - Fédération des sociétés pour l'étude, la protection et l'aménagement de la nature dans le Sud-Ouest -, et de la cause de tous les animaux dont celle de l’ourse Cannelle abattue par un chasseur dans les Pyrénées). Source : https://www.ladepeche.fr/article/2008/03/12/441496-proces-pourquoi-chasseur-tue-ourse-cannelle.html
Sur le fondement de la loi régissant les rapports entre les citoyens et l'administration, notre camarade François RUFFIE ne demandait à la SPL TRIGIRONDE qu'une simple copie des dossiers d'appels d'offres relatifs au projet de la future Usine à poubelles de Saint-Denis-de-Pile, qui concerne plus de 530 000 habitant-es qui ne sont au courant de rien de ce qui se prépare pour l'avenir de leurs enfants.
Ainsi, nous aimerions avoir l'avis du nouveau conseil d'administration, élu le 03/11/2020, de cette SPL TRIGIRONDE composée de 6 établissements publics de Gironde, sur ces pollutions existantes visuelles et environnementales inadmissibles et sur ce futur projet d’Usine à poubelles :
- Aux 5 administrateurs du SMICVAL LIBOURNAIS HAUTE-GARONNE représenté par Fabienne FONTENEAU, Chantal GANTCH, Jean-Philippe LE GAL, Christian ROBIN et Sylvain GUINAUDIE ; aux 3 administrateurs du SEMOCTOM représenté par Jean-François AUBY, Jean-Luc LAMAISON et Jean-François BROUSTAUT ; aux 2 administrateurs du SMICOTOM représenté par Dominique FEVRIER et Bernard ESCHENBRENNER ; aux 2 administrateurs du SICTOM SUD GIRONDE représenté par Christophe DORAY et Jérôme GUILLEM ; à l'administrateur de la CdC MEDOC ESTUAIRE représentée par Matthieu FONMARTY ; à l'administrateur de la CdC MEDULLIENNE représentée par Eric ARRIGONI.
Il n'y a qu'à regarder, avec effroi, comment la nature est massacrée à Saint-Denis-de-Pile, à l'arrière de l'actuel centre de tri ! Des plaques d'amiante jonchent les sols non-loin des animaux et des vignobles ! C'est un scandale cette négligence des élu-es du SMICVAL puisque nous avons observé que de nombreux dépôts sauvages polluaient l’environnement entre, notamment, Coutras et Saint-Denis-de-Pile où la nature est massacrée non-loin de la zone AOC « Lalande de Pomerol » du vignoble Libournais. Qu’en est-il également de l’impact des dépôts sauvages de plastiques sur les ruches observées à proximité de ces lieux ?
Quels risques pour l’avenir des populations locales et les animaux que nous aimons plus que tout, en cas de potentielle catastrophe naturelle à Saint-Denis-de-Pile ? En effet, le ministre de l’Intérieur a pris un arrêté en date du 19/02/2021 portant reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle, à propos des inondations et des coulées de boues. Dans l’annexe 1, il est fait mention de la commune de Saint-Denis-de-Pile.Quel impact sur la santé des petits agneaux proches de la future Usine à poubelles de Saint-Denis-de-Pile ?
Qui sont les contrevenants et combien sont-ils à avoir été pris "la main dans le sac" des emmerdements causés à l'environnement, aux humains et aux animaux de Saint-Denis-de-Pile en s'exposant à des amendes relevant des contraventions de 3° classe, d'un montant de 450 € ?
L'arrêté municipal du 05/12/2018 sur l'abandon de déchets de toute nature sur la commune de Saint-Denis-de-Pile et qui abrogeait celui du 16/04/2015 n'est même pas respecté, alors qu'il appartient pourtant à la mairesse en exercice en 2021 de garantir, dans le cadre de ses pouvoirs de police, la sécurité, la tranquillité et la salubrité publiques sur le territoire communal, où les sacs poubelles noirs côtoient des matelas qui sont culbutés en pleine nature au nez et à la barbe des élu-es qui s'en fichent bien que la nature soit polluée à l'œil.
Etonnant d'ailleurs que le sous-préfet de l'arrondissement de Libourne, Hamel--Francis MEKACHERA, nommé par décret du président de la République en date du 02/08/2016 n'aille rendre une visite amicale auprès de la faune et de la flore de Saint-Denis-de-Pile où, sous ses propres yeux, la nature déguste au quotidien !
La commune de Saint-Denis-de-Pile va-t-elle devenir l'immense poubelle de la Gironde ?
Que les élu-es de Saint-Denis-de-Pile, ceux du SMICVAL LIBOURNAIS HAUTE-GIRONDE, du SEMOCTOM, du SMICOTOM, du SICTOM SUD-GIRONDE, de la CdC MEDOC ESTUAIRE, de la CdC MEDULLIENNE fassent donc le ménage en faveur de l'environnement dans leur propre territoire au lieu de vouloir investir dans un projet de centre de tri complètement fantasque qui se fixe un objectif ahurissant de 34 000 T/an de poubelles !
C'est à celui ou à celle qui ira laver plus blanc que blanc chez les autres, dans les autres territoires comme celui de Saint-Denis-de-Pile qui risque bien de devenir l'immense Poubelle de la Gironde, alors que dans sa malpropre communauté d'agglomération les nuisances des centres de tri se multiplient en terme de situations à risques et sont reconnues par des organismes officiels comme la FEDEREC ! Pas chez moi mais chez les autres (phénomène NIMBY dont l'acronyme tiré de l'anglais "Not In My BackYard" signifie "Pas dans mon arrière-cour) !
Et qui donc, sur ce territoire de la petite commune de Saint-Denis-de-Pile, intégrée au SMICVAL LIBOURNAIS HAUTE-GIRONDE, aurait envie d'avoir une méga Usine à poubelles - un immense centre de tri - à côté de chez soi lorsque l'on mange en terrasse, à l'heure de l'apéro, des merguez végétales faites maison ?
Pourquoi ne pas construire ce méga Centre de tri dans la commune de Langon, chez notre camarade Jérôme GUILLEM, le président de la SPL TRIGIRONDE ou sur le territoire de la Communauté de communes du Sud Gironde à Hostens, à Cazalis ou à Louchats, il n'y a pas que nos pauvres minous tapis dans l'ombre qui sont noirs de colère parce qu'ils ne veulent pas observer à Saint-Denis-de-Pile les potentiels risques biologiques liés aux poussières, à la prolifération microbienne et aux risques de leptospirose ou aux entraves liées à l'évacuation en cas d'incendie !
Comment, dans ces conditions, TRIGIRONDE veut « garder la main et la maîtrise des coûts » alors que la plupart des collectivités ne sont pas capables de faire le ménage dans la défense environnementale, dans leurs propres territoires, en évitant que des pots de yaourts et autres plastiques se retrouvent en pleine nature dans des sacs noirs ? Quelle logique vis-à-vis de la loi de transition énergétique alors que les ambitions locales de certains pouvoirs publics veulent se donner des volontés de recycler davantage, au moindre coût, alors qu’à Saint-Denis-de-Pile la nature souffre et souffrira des émissions polluantes dues aux norias de camions sortant des centres de transfert du territoire de la SPL, rive droite et rive gauche confondues ?
Parce que les habitant-es de Saint-Denis-de-Pile doivent savoir que ce projet de futur méga Centre de tri de la SPL TRIGIRONDE, sera une ICPE soumise à arrêté préfectoral, comme c'est le cas actuellement, et, il est fortement probable que la DREAL 33 imposera à cette nouvelle construction les mêmes exigences que celles inscrites dans l'arrêté notamment en matière de rejets des eaux usées, pluviales et de voiries.... dans le milieu naturel alors que la commune est reconnue, pour 2021, comme en état de catastrophe naturelle ! Il n'y aura donc pas d'enquête publique.D'ailleurs quels seront donc les liens entretenus entre le SMICVAL et la SPL TRIGIRONDE ? N'aurait-il pas été plus judicieux de loucher vers un terrain neutre pour ce projet de méga Centre de tri comme sur la charmante commune de Louchats ?
Le stockage dit "tampon" et le conditionnement en balles de toutes ces saloperies devrait se faire en 10 flux à Saint-Denis-de-Pile (Les papiers aux encres chimiques infernales ; les papiers-cartons non-complexés contenant des moisissures - comment vérifier qu'ils aient le taux de 12 % d'humidité acceptable comme les boîtes pizza, à oeufs pourris ou non, boites de médicaments touchées par des mains sales, étuis divers et avariés, les sacs papier susceptibles de contenir des couches culotte aux odeurs malodorantes, les rouleaux de PQ, etc.... qui auront bien fermenté en plein cagnard ? - ; les papiers-cartons complexés ; les papiers-cartons mêlés ; les films plastiques en PE - polyéthylènes - souillés des pépiniéres ou des serres qui recueillent nombre de pesticides, insecticides, fongicides, herbicides ou autres parasiticides conçus pour avoir une action biocide ; les bouteilles PET clair ; les emballages en plastiques rigides PEHD/PP ; les flux développement ; les emballages en aluminium standard" ; les petits emballages en aluminium souples !
La cause animale a une portée considérable à nos yeux. La faune et la flore ne sont pas du tout respectées dans la région et nous sommes en présence de nombreux écocides, notamment vers la commune de Guillos avec ces décharges sauvages intolérables... en 2021. Source : http://www.aura-environnement.com/blog/stop-au-centre-de-tri-de-saint-denis-de-pile-vers-libourne/aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa.html
C'est complètement ahurissant de tolérer que la nature soit massacrée dans sa propre communauté de communes et de vouloir, ENSUITE, mettre en place une Usine à poubelles très coûteuse sur le site du SMICVAL LIBOURNAIS HAUTE-GIRONDE dans la future commune martyr de Saint-Denis-de-Pile où les odeurs que nous avons constaté, en ce printemps 2021, sont épouvantables, non loin des habitations et des prairies où de nombreux animaux broutent aux quatre points cardinaux et ce, alors que la DDT 33 a déjà tapé du poing sur la table, il n'y a pas si longtemps !
En effet, la DDT et de la mer de la Gironde (service des procédures environnementales) dans son arrêté du 06/11/2019 portant mise en demeure relative à l’exploitation d’une installation de tri, transit, regroupement et traitement des déchets sur la commune de Saint-Denis-de-Pile par le SMICVAL, a considéré lors de la visite en date du 10/07/2019, et constaté les faits suivants via l’inspection des installations classées que ces constats constituaient un manquement aux dispositions de l’arrêté préfectoral d’autorisation du 18/01/2002 susvisé ;
- L’installation n’est pas exploitée conformément au plan de situation annexé à l’arrêté d’autorisation (déchetterie, parc à bennes vides et équipements individuels pour la collecte sélective, entreposage des déchets de bois et de déchets verts sous couvert) ;
- Un renouvellement du marché étant en cours, aucune opération de curage complet des systèmes, de traitement n’a eu lieu depuis avril 2018 ;
- La station d’épuration ne traite pas convenablement les eaux usées sanitaires car celle-ci est largement surdimensionnée et mal adaptée à la charge polluante à traiter ;
- L’analyse des télétransmissions trimestrielles GIDAF a permis de mettre en évidence des dépassements depuis 2016 :
- en Phosphore total et Azote global importants et quasi-systématiques (dernières mesures en février 2019 : respectivement 11 au lieu de 2 mg/l et 103 au lieu de 15 mg/l) ;
En MES, DBO5 et en DCO fréquents (respectivement 51 au lieu de 35 mg :l en février 2019, 45 au lieu de 25 mg/l en juin 201 et 148 au lieu de 125 en novembre 2017).
La DDT a donc considéré que ces observations étaient susceptibles d’aggraver en particulier les risques de pollution du sol, des eaux superficielles et des eaux souterraines, et d’incendie ; et qu’elles constituaient des écarts réglementaires susceptibles de générer un impact environnemental important, etc….
Les citoyen-es regroupé-es autour du Collectif SCTL (Collectif Stop Centre de Tri vers Libourne) ne comprennent pas, maintenant, pourquoi le SMICVAL – qui est actionnaire de la SPL TRIGIRONDE - n’a pas respecté les dispositions de l’article L. 171-8 du code de l’environnement puisque la DDT a mis en demeure le SMICVAL de respecter les dispositions des articles 1.1, 2.1, 5.2 de l’annexe, 5.3 de l’annexe et 7.2 de l’annexe de l’arrêté préfectoral d’autorisation du 18/01/2002 ?
Nos camarades regroupé-es autour du Collectif SCTL trouvent inadmissible que les administrateurs du SMICVAL aient pu faire face à un tel manquement puisque la DDT a mis en demeure le SMICVAL de respecter :
- sous 3 mois les articles 1.1 et 2.1 de l’AP du 18/01/2002 ;
- sous 3 mois l’article 5.2 annexé à l’AP du 18/01/2002 en procédant à l’entretien des installations de traitement (curage complet) ;
- sous 6 mois l’article 5.3 annexé de l’AP du 18/01/2002 en revoyant la conception de la station de traitement des eaux sanitaires ;
- sous 6 mois les valeurs limites fixées à l’article 7.2 annexé à l’AAP du 18/01/2002 !!!
Les élu-es du SMICVAL ont donc fait preuve de négligence et d’incompétence potentielle vis-à-vis des animaux et des humains. Nous sommes donc opposés à ce projet de future Usine à poubelles parce que la contratualisation avec les filières et éco-organismes doit se faire dans la rigueur et non dans l’amateurisme !
Un pauvre poney accompagné d’un bouc se trouvent non-loin du Chemin des Moines. Des petits agneaux et des chevaux ne savent pas ce que l'avenir de Saint-Denis-de-Pile va leur réserver à l’arrière du « Pôle recyclage » dans cette Europe des ignorants vis-à-vis de la condition animale !
"Je pense que cette "Europe" est un fiasco. Pourquoi vouloir à tout prix imposer à tous ces pays, et à nous même, des mesures dictatoriales qui vont à l'encontre de nos us et coutumes ? Les mégalomanes qui sont à la base de ces ridicules ententes entre pays diamétralement opposés dans leurs traditions n'ont vu que la gloire qu'ils pourraient retirer d'unions aussi incompatibles. Que chacun reste chez lui avec son bétail, ses cultures au sens propre (comme au sens figuré...). Que les paysans continuent de récolter sans être obligés de laisser leurs terres à l'abandon, qu'on arrête de prôner la surconsommation, de jeter le lait dans les égouts et les fruits dans les décharges. Qu'on respecte un peu la vie animale et végétale. Que la nature reprenne ses droits. Qu'on arrête de tout polluer, de tout détruire, au nom des droits de l'Homme. Ah, ils sont jolis, les droits de l'Homme" (Brigitte BARDOT, « Pourquoi ?», Editions du Rocher)
Quels droits pour ces animaux qui doivent obligatoirement respirer ces MES (matières en suspension) ?
En ce qui concerne les rejets dans le milieu naturel, la future Usine à poubelles sera soumise au régime de l'Enregistrement mais elle est situé au sein d'un site soumis à autorisation. L'arrêté préfectoral du 06/06/2018 devrait servir de base pour l'instruction du dossier par l'autorité administrative.
Sur le Pôle Environnement où sera construit cette future Usine à poubelles, l'infiltration des eaux dans le sol est interdite. L'ensemble des rejets devront être gérés de manière séparative parmi 3 effluents distincts : l'eau usée des chiottes, l'eau pluviale de voirie et l'eau pluviale de toiture qui s'effectueront dans le petit ruisseau "Le Vignon (affluent du Palais long de 24,3 km, qui prend sa source en limite des communes de Francs et de Saint-Cibard, affluent de l'Isle et sous-affluent de la Dordogne), classé IB, qui longe le Pôle Environnement actuel le long de la clôture côté nord ! Valeurs touristiques pour celles et ceux qui voudraient effectuer des analyses, dans ce pauvre "Palais" des petits potentats locaux, du système d'épuration de la future Usine à poubelles de Saint-Denis-de-Pile : la très belle église de Petit-Palais et le château d'Abzac.
Les élu-es de la SPL TRIGIRONDE savent bien que l'exploitant de la future Usine à poubelles pourrait très bien s'exposer à de potentielles pénalités en cas de difficulté à obtenir des valeurs inférieures aux concentrations de MES (concentration 35 mg/l, méthode de référence NF EN 872), de DCO (concentration 125 mg/l, méthode de référence NFT 90101), de DB05 (concentration 25 mg/l, méthode de référence NFT 90103), d'AZOTE GLOBAL (concentration 25 mg/l, méthode de référence NF EN ISO 25663, NF EN ISO 10304.1 et 10304.2, NF EN ISO 13395 et 26777, FDT 90045), et de PHOSPHORE TOTAL (concentration 7 mg/l, méthode de référence NFT 90023) !
Chez les animaux, la consommation de concentrations importantes d'azote peut poser des problèmes au niveau de la glande thyroïde, entraîner des carences en vitamine A. De plus dans l'estomac et dans les intestins, les nitrates peuvent être transformés en nitrosamines, une substance gravement cancérigène.
"Quelles précautions pensez-vous prendre pour les nombreux animaux broutant dans les environs de l’actuel « Pôle recyclage » et du futur centre de tri de TRIGIRONDE ?" avons-nous demandé à Jérôme GUILLEM, le président de la SPL TRIGIRONDE.
Pas de réponse depuis le 16/03/2021.
Par ailleurs, se pose la question de l'acheminement des déchets, avec la multiplication du passage des poids-lourds et la pollution que cela suppose comme cela a été dénoncé dernièrement par notre camarade, le conseiller communautaire de la CdC Convergence Garonne et élu de la commune de Barsac, Michel GARAT. En effet, Mr GARAT appréhende l’adhésion de la rive gauche à la SPL TRIGIRONDE à au moins 60 km des communes concernées, et parle de « Flou financier » dans la presse. Source : https://actu.fr/nouvelle-aquitaine/barsac_33030/gironde-convergence-garonne-michel-garat-deplore-un-gros-flou-financier-autour-du-centre-de-tri_40244424.html
Les populations locales regroupées autour du Collectif SCTL se posent des questions sur la pertinence de cette future Usine à poubelles sur les terrains actuels du SMICVAL à Saint-Denis-de-Pile :
- Les déchets vont devoir parcourir au moins 50 à plus de 60 km pour être enfin triés ?
- Quelles questions se poser sur l’empreinte carbone des camions bennes voire des semi-remorques de + de 30 T qui vont transiter près de nos maisons dans les hameaux de Saint-Denis-de-Pile ?
- Combien de poussières s'échappant des camions revenant des centres de transfert en traversant les nombreux vignobles qui iront à la future Usine à poubelles ?
- Comment vont se croiser les semi-remorques chargés d'ordures ou de refus "fines" en vrac dans les véhicules de transfert (semi-remorques FMA - Fond mouvant alternatif) sur nos petites routes du "contournement" de Saint-Denis-de-Pile, alors que tout croisement actuel parait extrêmement délicat si ce n'est que d'aller au fossé ?
- Combien de tonnes hors "fines" de cette saloperie de CSR (combustible solide de récupération qui n'est que de l'incinération déguisée) vont-elles défiler dans les semi-remorques pleines à craquer et proches de nos habitations tandis que la signalisation actuelle fait cruellement défaut pour accéder à la future Usine à poubelles ?
- Ces distances de long kilométrage ont-elles été validées par l’ADEME (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie) dans le cadre de potentielles demandes de subventions pour la construction de ce centre de tri (montant initial de l’aide 1 100 Ke dans le cadre des fonds dédiés au Plan de relance) ?
- La commission européenne est-elle d’accord pour que tant de km soient parcourus de telle ou telle commune livrant ses tonnages vers la future Usine à poubelles de Saint-Denis-de-Pile ? Où sont les économies en terme de réduction de CO² ?
De ce fait, la politique de la SPL TRIGIRONDE en matière de valorisation des déchets visera-t-elle à renforcer correctement la compétitivité des filières de collecte et de recyclage des emballages ménagers et des papiers ?
- Ces distances de long kilométrage ont-elles validées par les élu-es de la Région Nouvelle Aquitaine si soucieuse de son programme de développement de l’économie circulaire dans le cadre de demandes potentielles de subventions concernant les « Aides au conseil, à l’investissement en faveur du recyclage et du réemploi des Déchets, aux actions collectives, à l’aide en faveur de la création de nouvelles activités » ? Le projet de centre de tri de TRIGIRONDE répond-t-il aux critères d’éligibilités précités ?
- Pour 2020, CITEO a expliqué ne pas disposer encore de chiffres sur l’impact de la crise sanitaire.
Selon l’éco-organisme, le service a été dégradé, surtout en début de confinement, avec un nombre important de centres de tri arrêtés, notamment par mesure de protection des salariés.
Des départs de feu peuvent se produire lors de la mise en balles des emballages aluminiums dans les centres de tri. Ces incidents découlent vraisemblablement des résidus de gaz présents dans les générateurs d’aérosols. Ces emballages, qui sont tout à fait recyclables, représentent aujourd’hui 20% de l’aluminium trié par les habitants.
Nous avons posé la question à la SPL TRIGIRONDE : "Or, avez-vous mené plusieurs démarches pour comprendre la cause de ces incidents et identifié les moyens pour éviter qu’ils ne se produisent chez vous ?". Pas de réponse en ce début de mai 2021 !
Les populations réunies autour du Collectif SCTL ne sont pas du tout rassurées : en effet, en 2020, les incendies, au niveau national, ont représenté une calamité pour les finances publiques en terme d’intervention des pompiers, de risques encourus pour la santé des riverains et des animaux proches de ces Usines à poubelles de plus en plus grosses, qui engendrent la peur au quotidien.
A titre d’exemple :
- Le 24/07/2020 : incendie dans un vaste tas de 800 m3 de déchets de carton et de plastiques au centre de tri Valor Pôle 72. Les fumées étaient même visibles jusqu’au centre-ville du Mans. (Source : France Bleu Maine https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/le-mans-800-metres-cube-de-dechets-en-feu-au-centre-de-tri-valor-pole-1595615814?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR1Ew4qRzlvUxYZvV1mFhnHMhLBVFD9j60YpYrrgP2PtyVeoZ08F_Dy9HHc#Echobox=1595617232
Pourquoi autant d’incendies dans ces centres de tri, ailleurs, en France alors que la SPL TRIGIRONDE, elle-même assure que les centres de tri nécessitent d’être modernisés et industrialisés pour rendre possible le tri d’un flux entrant qui évoluera en volume et en composition ? S’il y a des incendies nationaux, c’est donc que ces centres de tri qui partent en fumée, sont rétrogrades et ne visent pas une aussi bonne performance du recyclage sur le plan économique ?
Ce projet de centre de tri va-t-il devenir le symbole de l’artificialisation et de la bétonisation des terrains de Saint-Denis-de-Pile ?
Nous avons vu grand nombre de parcelles de vignobles autour de la future Usine à poubelles. Est-il normal d'observer que des bâtiments, situés à l'arrière du SMICVAL, soient recouverts d'une toiture en tôles ondulées en fibrociment amiante ? Question à l'INAO : quels risques pour les raisins, car, nous connaissons les problèmes liés avec les plaques de toit qui se produisent inéluctablement car elles se détériorent avec l'âge et deviennent fatalement plus fragiles ?
Cela crée donc un plus grand risque d'exposition et de décollement des fibres minérales, ce qui augmente bien évidemment les risques. Le jus de ces plaques en fibrociment amiante s'écoule-t-il sur les parcelles des vignobles situées à proximité de ce bâtiment ? En effet, le risque en résultant est accru en raison des effets dommageables supplémentaires causés par l'érosion et l'altération de ces plaques, et comme elles sont exposés aux éléments, elles risquent de se dégrader à cause du gel, de l'humidité, des rayons UV, des pluies acides, et.... laissant ainsi de grandes surfaces de fibres d'amiante sans aucune protection !
Nous avons demandé au DGS de la SPL TRIGIRONDE, Olivier GUILMOIS, une demande d'entretien approfondi sur ce projet d'Usine à poubelles d'au moins 34 000 T. Nous avons donc RDV prochainement dans les locaux du SMICVAL. Nous aimerions qu'un représentant de l'INAO et de la préfecture de la Gironde nous accompagne afin de dresser l'inventaire sur cette toiture en amiante. Demande en sera faite au secrétaire général de la préfecture 33.
Nous nous posons des questions sur la présence de ces bennes à ordures rouillées et stationnées à l'arrière du SMICVAL, non-loin de la station d'épuration, qui, elle aussi bénéficie d'une passerelle rouillée composée d'une simple tôle frisant l'amateurisme ! Alors que l'eau ne cesse de stagner dans le petit ruisseau qui se dirige vers les vignes du chemin de la Pinière de Saint-Denis-de-Pile !!!
Quels seront les risques pour les animaux et les humains, avec le projet de la future Usine à poubelles de 34 000 T/an, qui seront susceptibles d'aggraver encore un peu plus la pollution du sol, des eaux superficielles et des eaux souterraines comme le stigmatisait, déjà, dans son arrêté en date du 06/11/2019, Mme la préfète de la région Nouvelle-Aquitaine, et préfète de la Gironde ?
Quel est l’avis de l’INAO sur autant de tonnes de plastiques, cartons, papiers, emballages souillés qui vont déferler sur la commune de Saint-Denis-de-Pile qui a l’autorisation de produire les vins des appellations : le Bordeaux, le Bordeaux supérieur, le Crémant de Bordeaux ?
A quoi bon bassiner, à longueur de journées, de leçons de morale environnementale, les simples particuliers de la Gironde que nous sommes, pour utiliser moins de C0² afin d'éviter les dérèglements climatiques majeurs puisqu'il faudrait que nous limitions ces émissions à raison de 2 T par personne et par an, en mangeant local, en choisissant la bonne voiture, en se méfiant des emballages alors que les élu-es du SEMOCTOM ne montrent pas vraiment l'exemple sur les distances parcourues à propos des entreprises retenues pour la construction du futur quai de transfert de 55 160 m² puisque, la plomberie-protection incendie sera réalisée par l'entreprise AAI qui fera plus de... 430 km pour se rendre de Saint-Nazaire à Saint-Léon dans la Gironde ?
Super ! Merci pour l'empreinte carbone et les économies de CO² !
Les camions poubelles se dirigeant vers le SEMOCTOM, en provenance par exemple, de Cenac ou de Créon vont-ils continuer à rouler débâchés projetant dans l'air leurs particules de poussières, comme nous l'avons constaté ?
En effet, le transport prend une place importante depuis sa conception jusqu’à son élimination ou sa valorisation en tant que déchet. Dans cette chaîne, l’étude « Transport et logistique des déchets" publiée par l’ADEME s’intéresse plus particulièrement à l’impact environnemental du transport et de la logistique des déchets. L’objectif – toujours selon l’ADEME – est de « réduire cet impact, en optimisant le transport, grâce à la réduction, par exemple, des kilomètres parcourus…».
On ne peut observer que deux tendances fortes se développeront à l’horizon du Bordelais et plus particulièrement à Saint-Denis-de-Pile et ce, en contradiction avec le système de l’économie circulaire :
- la multiplication intolérable des centres de tri,
- l’augmentation des distances moyennes parcourues jusqu’aux centres de valorisation.
Nous demandons à la SPL TRIGIRONDE d’abandonner le transport routier terrestre des bennes à ordures ménagères (BOM) car il représente 30 % des émissions de gaz à effet de serre (GES) générées dans le domaine de la gestion des déchets. Ces émissions étant produites principalement pendant la phase collecte, elles participent également aux rejets de polluants dans l’air en terme d’oxydes d’azote, d’oxydes de soufre et de particules fines. (Source : FNADE).
Ce qui laisse à penser que le tri sélectif conduira à une augmentation des tonnages sur tous les territoires de la SPL TRIGIRONDE qui sera obligée d’aller chercher des déchets de plus en plus loin, comme cela a été le cas dernièrement, dans le secteur de la CdC Convergence Garonne où certains élu-es commencent à douter de la pertinence d’un tel projet de méga centre de tri en Gironde, avec encore et encore plus de camions et de km parcourus sur routes, et ce, dans une logique capitaliste.
A quoi sert ce grand projet inutile et imposé (GPII) à Saint-Denis-de-Pile vers Libourne ?
A lire cet article intitulé "La grosse arnaque du recyclage plastique : trier ne servirait à rien. Source : https://www.ladn.eu/entreprises-innovantes/transparence/enquete-grosse-arnaque-recyclage/L'association de consommateurs UFC-Que choisir dénonce une politique du tri des déchets "désastreuse" et a publié une enquête sur la gestion des déchets en France qui dénonce son coût pour le porte-monnaie des Français et sa faible efficacité environnementale. Source : https://lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/ufc-que-choisir-denonce-une-politique-du-tri-des-dechets-desastreuse_1674294.html
L'UFC-Que Choisir a publié une enquête sur la politique du tri des déchets. Une organisation que l'organisme juge "désastreuse tant sur le plan économique qu'environnemental".
L'association de consommateurs relève que la facture des ménages n'a cessé de croître. De 2008 à 2012, les ménages ont vu leur facture augmenter de 24%. "La facture des ménages est de 6,5 milliards d'euros, 400 euros pour un ménage avec 2 enfants ! On a légitimité à s'interroger sur une politique aussi dispendieuse", a expliqué Alain Bazot, président de l'UFC-Que Choisir, lors d'une conférence de presse. Car le coût du traitement des déchets a augmenté de 68%, passant de 9,3 à 15,6 milliards d'euros par an.
Pourtant, seuls 23% des déchets ménagers sont recyclés (hors compost), selon des chiffres Eurostat de 2012. Loin de l'objectif de 50% fixé par l'UE pour 2020, ajoute l'association dans sa dernière enquête. Parallèlement, la collecte sélective des déchets pré-triés par les usagers a augmenté de 7% seulement entre 2005 et 2011.
Un manque d'information des citoyens
L'UFC dénonce également le manque d'information du citoyen. D'une enquête auprès de 632 personnes sur 64 départements, il ressort que 70% ont reçu une information sur le tri, mais pas assez centrée sur les gestes. "Tout le monde se donne bonne conscience et on renvoie tout vers le consommateur: à lui de choisir ses achats, de recycler, de payer. Certes, il faut responsabiliser le consommateur, mais aujourd'hui les outils sont notoirement insuffisants", soutient Alain Bazot.
Nous appelons massivement les 530 000 habitant-es à nous rejoindre massivement afin de s'opposer à ce projet fantasque et irrationnel d'Usine à poubelles à Saint-Denis-de-Pile ! Les habitants et tous les animaux de Saint-Denis-de-Pile pourront toujours compter sur le SCTL (Collectif Stop Centre de Tri vers Libourne) et le Collectif de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux soutenus par AURA Environnement.
Mobilisons-nous à Saint-Denis-de-Pile CONTRE ce projet d'Usine à poubelles, avant qu’il ne soit trop tard !
Nous, signataires in solidum de cette pétition, nous exigeons une ample concertation dans le territoire de la SPL TRIGIRONDE sur les risques inhérents à la santé des animaux et des humains en ces mauvais temps de pandémie liés au Covid-19 qui ne doit pas servir d'alibi pour ne pas informer correctement les populations locales !"Ils ont voulu nous enterrer, ils ne savaient pas que nous étions des graines", Proverbe mexicain.
© Marc-Claude de PORTEBANE
- Président d’AURA Environnement
http://www.aura-environnement.com/- Porte-parole du Collectif Stop Centre de Tri vers Libourne (SCTL)
- Fondateur de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux (+ de 46 000 Like sur Facebook)
https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/ -
STOP projet d'Usine à poubelles à Saint-Denis-de-Pile vers Libourne. Protégeons Agneaux et Poneys du futur désastre !
- Par auraenvironnementparis
- Le 05/05/2021
- Dans STOP au Centre de tri de Saint-Denis-de-Pile vers Libourne
STOP odeurs poneys, chevaux, agneaux Usine à poubelles #Libourne :
Le Collectif SCTL (Stop Centre de Tri vers Libourne)
soutenu par AURA Environnement
déclenche l'opération Bagration contre le
projet de centre de tri de poubelles de Saint-Denis-de-Pile !
Le 16/03/2021, AURA Environnement qui apporte son soutien aux populations locales du Collectif Stop Centre de Tri vers Libourne (SCTL), écrivait à Jérôme GUILLEM, maire de Langon et président de la SPL TRIGIRONDE sise 8, Route de la Pinière dont le siège est dans les locaux du SMICVAL LIBOURNAIS HAUTE-GIRONDE à SAINT-DENIS-de-PILE qui ne se trouve qu'à 10 km de Libourne en Gironde et à vol d'oiseau des vignobles de l'AOC Lalande de Pomerol, une appellation proche de celle de Pomerol du vignoble du Libournais, une des subdivisions du vignoble de Bordeaux.
Le Collectif Stop Centre de Tri vers Libourne (SCTL) soutenu par AURA Environnement agit ainsi, conformément aux articles L 300-1 et suivants du Code des relations entre le public et l’administration relatifs à la liberté d’accès aux documents administratifs et sur le fondement de la loi régissant les rapports entre les citoyens et l'administration. Il convient également de souligner que certaines de ces informations entrent dans la catégorie d’informations relatives à l’environnement au titre de l’article L. 124-1 et suivants du Code de l’environnement parce que la CADA a indiqué qu’une fois signés, les marchés publics et les documents qui s’y rapportent sont considérés comme des documents administratifs soumis au droit d’accès institué par la loi du 17/07/1978. Les notes, classements et éventuelles appréciations de l’entreprise lauréate du marché sont donc librement communicables, tout comme l’offre de prix détaillée de l’entreprise retenue ainsi que l’offre de prix globale des entreprises non-retenues. (Source : Avis de Mme le Rapporteur général-adjoint, Conseillère de tribunal administratif à la Cada).
Cela faisait donc suite à notre appel téléphonique de bonne foi, à Olivier GUILMOIS, le DGS de la SPL TRIGIRONDE depuis Saint-Denis-de-Pile.
Depuis, silence dans les rangs ! Que ce soit du côté du collectif SCTL ou de notre avocat Me François RUFFIE de Libourne qui a eu, lui, le toupet de demander fin mars 2021 des infos sur ce projet de méga Usine à poubelles.
Question d'un militant smicard du parti communiste stalinien du collectif SCTL : quel intérêt pour le SMICVAL du LIBOURNAIS HAUTE-GARONNE d'avoir passé une offre d'emploi publique pour le recrutement de son directeur(trice) général(e), le 27/05/2019 ? Type de contrat : contractuel ; catégorie : A ; Lieu de travail : Saint-Denis-de-Pile ; Salaire : de 40 000 € à 55 000 €/an ; Responsabilité spécifique : le DG en tant que mandataire social est responsable de l'ensemble des actions, de la gestion et du développement stratégique de la SPL TRIGIRONDE ; Missions : le DG met en oeuvre la stratégie du conseil d'administration en définissant les objectifs et les moyens à sa bonne exécution. Il collabore avec le comité de direction, qu'il animera, puisque les missions principales sont d'assurer la mise en place et la bonne exécution des compétences de transfert, transport et tri de la SPL TRIGIRONDE, à savoir :
- Pilotage de la phase de conception et de travaux pour la construction du futur centre de tri ;
- Rédaction en partenariat avec l'AMO (Assistant à maîtrise d'ouvrage) du marché pour la conception, réalisation et exploitation du centre de tri ;
- Suivi de la bonne exécution des clauses du marché :
- Rédaction et suivi du marché pour la mutualisation du transport à l'échelle des 6 territoires ;
- Coordination de la gestion des centres de transfert.
L'annonce précisait que la SPL, nommée TRIGIRONDE, "doit porter le projet de réalisation d'un centre de tri à l'horizon 2022 représentant une population d'environ 530 000 habitants (DGF) et un gisement d'environ 33 000 T/an de collectes sélectives de papiers et d'emballages recyclables et des papiers".
Le recrutement de ce DG de la SPL TRIGIRONDE n'a pas été difficile, car il n'y avait certainement personne en France et en Navarre pour faire ce boulot puisque c'est le ........ responsable du bureau d'Etudes du SMICVAL du LIBOURNAIS HAUTE-GARONNE (de 2014 à décembre 2019), GUILMOIS Olivier, qui a été recruté étant donné qu'il était en charge de la programmation technique et financière, de la conception, de la planification et du suivi des travaux des équipements et des bâtiments du SMICVAL, du pilotage du bureau d'études, de l'animation de l'équipe, chef de projet et responsable du centre de tri actuel que la DDT 33 n'a pas hésité à matraquer (Source : https://www.georisques.gouv.fr/risques/installations/donnees/details/0052.01163#/) !!!!
L'employeur, le SMICVAL LIBOURNAIS HAUTE-GIRONDE, passe une offre d'emploi publique pour faire nommer par la SPL TRIGIRONDE, le 02/12/2019 (suite au conseil d'administration du 02/12/2019), le futur DG-S de la SPL TRIGIRONDE qui est composée, notamment, de l'établissement public.... le SMICVAL LIBOURNAIS HAUTE-GIRONDE !!!
Ne rions pas, nous ne sommes pas chez nos camarades de la Corée du Nord. Lol ! Comme on pourrait le murmurer très doucement à Lannion Trégor Communauté ou ailleurs en Bretagne : Je te prends. Je te donne. Nous allons nous donner les moyens de recycler notre personnel.
Les bons comptes font les bons amis, comme pourraient si bien le dire nos camarades "bohémiens" ou "saltimbanques" de Saint-Denis-de-Pile qui sont des hommes d'honneur ! Ce n'est pas parce qu'ils ont un mode de vie différent du nôtre près de l'actuel centre de tri du SMICVAL qu'ils doivent vivre dans l'ignorance des enjeux futurs !
Les populations locales ont des droits dont celui de ne pas respirer de l'air aussi impropre que les émanations des eaux usées issues de l'actuel centre de tri du SMICVAL du LIBOURNAIS HAUTE-GARONNE qui bouillonne et tourbillonne en rond ....
.... autour de ces lentilles pas aussi vertes que celles de l'AOC de notre Puy-en-Velay si cher à Laurent WAUQUIEZ qui s'est laissé poussé la barbe, les poils de la droite auvergnate ne finiront pas dans les poubelles de l'histoire de la SPL TRIGIRONDE.
Diantre ! Cachez ce chemin parcouru d'embûches jusqu'à non pas Saint-Jacques de Compostelle mais de Saint-Denis-de-Pile, car "la misère est si répandue qu'elle est une d'ennuyeuse banalité" (Hervé KEMPF - Comment les riches détruisent la planète, Seuil, 2007) !
Qu'elle misère environnementale à Saint-Denis-de-Pile où l'eau stagne le long des fossés proches....
..... de l'actuel centre de tri, en refusant de s'écouler convenablement puisqu'il n'y a pas de pente ....
.....et même sur les plats terrains agricoles...
....aux abords du « Pôle recyclage » du SMICVAL, route de la Pinière.
Quels risques pour l’avenir des populations locales et les animaux que nous aimons plus que tout, en cas de potentielle catastrophe naturelle à Saint-Denis-de-Pile ? En effet, le ministre de l’Intérieur a pris un arrêté en date du 19/02/2021 portant reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle, à propos des inondations et des coulées de boues.
Dans l’annexe 1 (communes reconnues en état de catastrophe naturelle), dans le département de la Gironde, il est fait mention de la commune de Saint-Denis-de-Pile.
34 000 T d'ordures, ce n'est pas rien, hein dans une commune classée en état pratiquement permanent de catastrophe naturelle ? Il n'y a qu'à voir comment ça se passe dans les autres méga centres de tri en France !
Partout, c'est la déconvenue parce que le tri sélectif à la base n'est pas du tout respecté et que ce sont nos camarades du Peuple de base qui paient les "pots cassés" sur place, que ce soit lors de la réception des ordures avec des risques de collisions entre engins de manutention, véhicules et piétons dont nos camarades chauffeurs, équipiers de collecte et opérateurs de site ; risques de chutes de nos camarades conducteurs ; risques de heurts et d'écrasement entre opérateurs et engins de manutention ; risques de chutes de hauteur dans le cas de présence de fosses ou de quais ; risques incendie notamment par auto-combustion ; risques liés aux inhalations de gaz d'échappement des engins de manutention et des camions ; risques liés aux poussières ; risques d'écrasement lié à la coactivité ; risques mécaniques et de chute de hauteur lors d'interventions sur l'ouvreur de sacs (bourrages, nettoyage, maintenance) ; risques de chutes d'objets sur nos camarades-prolétaires dus ou non aux vents dominants ; risques liés à l'augmentation de l'activité physique des opérateurs dans les cabines de tri pour une activité physique contraignante avec positions et mouvements de grande amplitude ; risques liés à l'entrave à l'évacuation en cas d'incendie ; risques dûs aux gestes répétitifs, aux mouvements lancés et rapides, aux positions articulaires contraignantes, à la charge mentale conduisant à terme à renforcer la survenue de TMS (troubles musculosquelettiques comme les affections des muscles, tendons, ligaments, nerfs, cartilages, etc...) ; risques de tensions pour les épaules et le haut du dos ; risques de chutes de nos camarades dans la goulotte et dans les alvéoles situées en-dessous ; risques d'atteintes auditives ; risques liés aux ambiances de travail insupportables ; risques liés au froid qui ne favorise pas la liberté gestuelle et à la chaleur qui peut générer des troubles vagaux ; risques d'incendie et de fortes explosions ; risques de projections de liquides résiduels ; risques de chutes de plain-pied du fait de souillures ou d'humidité ; risques de heurts ou d'écrasements par un basculement brutal des balles ; risques de coupures malfaisantes ; risques de piqures et d'infections diverses et avariées, notamment au virus des hépatites B, C... ; risques liés à la brumatisation ; risques aux contaminations biologiques ; risques liés aux lieux fermés et transmissibles du funeste Covid-19, etc...
C’est donc dans ce contexte défavorable que les élu-es de la SPL TRIGIRONDE envisagent de créer un centre de tri d'au moins 34 000 T/an d'ordures souillées et présentant un taux d'humidité affligeant, et ce, sans que les populations locales en aient été informées au préalable ?
Quelles incidences en cas de sévères inondations comme cela s'est passé dernièrement dans la commune voisine de Sablons en décembre 2020 ?
Puisque les populations locales ne savent pratiquement rien à Saint-Denis-de-Pile, à poil les ratapoil et ne nous restant plus que notre Charivari basé sur le fondement de la loi régissant les rapports entre les citoyens et l'administration, notre camarade François RUFFIE (avocat de la cause des poneys, des chevaux, des moutons et de tous les animaux dont les nounours) ainsi que de la SEPANSO (Fédération des sociétés pour l'étude, la protection et l'aménagement de la nature dans le Sud-Ouest) ne demandait à la SPL Trigironde qu'une simple copie des dossiers d'appels d'offres relatifs au projet de la future Usine à poubelles de Saint-Denis-de-Pile constituée des territoires du SMICVAL LIBOURNAIS HAUTE-GIRONDE, du SEMOCTOM, du SMICOTOM, du SICTOM SUD-GIRONDE, de la CdC MEDOC ESTUAIRE, de la CdC MEDULLIENNE, un "modeste" projet pour plus de 530 000 habitant-es qui ne sont au courant de rien de ce qui se prépare pour l'avenir de leurs enfants.
Il n'y a qu'à regarder, avec effroi, comment la nature est massacrée à Saint-Denis-de-Pile, comme ici, à l'arrière de l'actuel centre de tri !!!
Des plaques d'amiante et encore des plaques d'amiante jonchent les sols non-loin des animaux et des vignobles ! C'est un scandale cette négligence des élu-es du SMICVAL et de Saint-Denis-de-Pile !
Quel impact sur la santé des petits agneaux proches de la future Usine à poubelles de Saint-Denis-de-Pile ?
Ainsi, nous aimerions avoir l'avis du nouveau conseil d'administration de cette SPL TRIGIRONDE, (composée de 6 établissements publics de Gironde), élu le 03/11/202020 sur ces pollutions existantes visuelles et environnementales inadmissibles :
- Les 5 administrateurs du SMICVAL LIBOURNAIS HAUTE-GARONNE représenté par Fabienne FONTENEAU, Chantal GANTCH, Jean-Philippe LE GAL, Christian ROBIN et Sylvain GUINAUDIE
- Les 3 administrateurs du SEMOCTOM représenté par Jean-François AUBY, Jean-Luc LAMAISON et Jean-François BROUSTAUT
- Les 2 administrateurs du SMICOTOM représenté par Dominique FEVRIER et Bernard ESCHENBRENNER
- Les 2 administrateurs du SICTOM SUD GIRONDE représenté par Christophe DORAY et Jérôme GUILLEM
- L'administrateur de la CC MEDOC ESTUAIRE représentée par Matthieu FONMARTY
- L'administrateur de la CC MEDULLIENNE représentée par Eric ARRIGONI.
Nous avons observé que de nombreux dépôts sauvages polluaient l’environnement entre, notamment, Coutras et Saint-Denis-de-Pile où la nature est massacrée non-loin de la zone AOC « Lalande de Pomerol » du vignoble Libournais. Certains espaces verts ont d’ailleurs été nettoyés par des bénévoles du Forum citoyen en direction du chemin des Lorettes, mais cela remonte à combien de lustres ?
Qu’en est-il de l’impact des dépôts sauvages de plastiques sur les ruches observées à proximité de ces lieux ?
Comment, dans ces conditions, TRIGIRONDE veut « garder la main et la maîtrise des coûts » alors que la plupart des collectivités ne sont pas capables de faire le ménage dans la défense environnementale, dans leurs propres territoires, en évitant que des pots de yaourts et autres plastiques se retrouvent en pleine nature dans des sacs noirs ? Quelle logique vis-à-vis de la loi de transition énergétique alors que les ambitions locales de certains pouvoirs publics veulent se donner des volontés de recycler davantage, au moindre coût, alors qu’à Saint-Denis-de-Pile la nature souffre et souffrira des émissions polluantes dues aux norias de camions sortant des centres de transfert du territoire de la SPL, rive droite et rive gauche confondues ?
Qui sont les contrevenants et combien sont-ils à avoir été pris "la main dans le sac" des emmerdements causés à l'environnement, aux humains et aux animaux de Saint-Denis-de-Pile en s'exposant à des amendes relevant des contraventions de 3° classe, d'un montant de 450 € ?
L'arrêté municipal du 05/12/2018 sur l'abandon de déchets de toute nature sur la commune de Saint-Denis-de-Pile et qui abrogeait celui du 16/04/2015 n'est même pas respecté .....
.....alors qu'il appartient pourtant à la mairesse en exercice en 2021 de garantir, dans le cadre de ses pouvoirs de police, la sécurité, la tranquillité et la salubrité publiques sur le territoire communal...
où les sacs poubelles noirs côtoient .....
.... des matelas qui sont culbutés en pleine nature au nez et à la barbe des élu-es qui s'en fichent bien que la nature soit polluée à l'oeil .....
....... tandis que les dépôts sauvages d'amiante pullulent encore et encore dans les bois de Saint-Denis-de-Pile.
Et qu'en disent les chasseurs ?
.... en ne cessant de distiller leurs jus immondes dans l'environnement des animaux et des humains !!!
Etonnant d'ailleurs que le sous-préfet de l'arrondissement de Libourne, Hamel--Francis MEKACHERA, nommé par décret du président de la République en date du 02/08/2016 n'aille rendre une visite amicale auprès de la faune et de la flore de Saint-Denis-de-Pile où, sous ses propres yeux, la nature déguste au quotidien !
La commune de Saint-Denis-de-Pile
va-t-elle devenir l'immense poubelle de la Gironde ?
Que les élu-es de Saint-Denis-de-Pile, ceux du SMICVAL LIBOURNAIS HAUTE-GIRONDE, du SEMOCTOM, du SMICOTOM, du SICTOM SUD-GIRONDE, de la CdC MEDOC ESTUAIRE, de la CdC MEDULLIENNE fassent donc le ménage en faveur de l'environnement dans leur propre territoire au lieu de vouloir investir dans un projet de centre de tri complètement fantasque qui se fixe un objectif ahurissant de 34 000 T/an de poubelles !
C'est à celui ou à celle qui ira laver plus blanc que blanc chez les autres, dans les autres territoires comme celui de Saint-Denis-de-Pile qui risque bien de devenir l'immense Poubelle illimitée de la Gironde, alors que dans sa malpropre communauté d'agglomération les nuisances des centres de tri se multiplient en terme de situations à risques et sont reconnues par des organismes officiels comme la FEDEREC ! Pas chez moi mais chez les autres (phénomène NIMBY dont l'acronyme tiré de l'anglais "Not In My BackYard" signifie "Pas dans mon arrière-cour) !
Et qui donc, sur ce territoire de la petite commune de Saint-Denis-de-Pile, intégrée au SMICVAL LIBOURNAIS HAUTE-GIRONDE, aurait envie d'avoir une méga Usine à poubelles - un immense centre de tri - à côté de chez soi lorsque l'on mange en terrasse, à l'heure de l'apéro, des merguez végétales faites maison ?
Pourquoi ne pas construire ce méga Centre de tri dans la commune de Langon, chez notre camarade Jérôme GUILLEM, le président de la SPL TRIGIRONDE ou sur le territoire de la Communauté de communes du Sud Gironde à Hostens, à Cazalis ou à Louchats, il n'y a pas que nos pauvres minous tapis dans l'ombre qui sont noirs de colère parce qu'ils ne veulent pas observer à Saint-Denis-de-Pile les potentiels risques biologiques liés aux poussières, à la prolifération microbienne et aux risques de leptospirose ou aux entraves liées à l'évacuation en cas d'incendie !
Parce que les habitant-es de Saint-Denis-de-Pile doivent savoir que ce projet de futur méga Centre de tri de la SPL TRIGIRONDE, sera une ICPE soumise à arrêté préfectoral, comme c'est le cas actuellement, et, il est fortement probable que la DREAL 33 imposera à cette nouvelle construction les mêmes exigences que celles inscrites dans l'arrêté notamment en matière de rejets des eaux usées, pluviales et de voiries.... dans le milieu naturel alors que la commune est reconnue, pour 2021, comme en état de catastophe naturelle ! Cherchons l'erreur dans l'herbe bleue qui sera parfumée d'odeurs malodorantes ?
Nul besoin de se voiler la face ! Nous irons à la contestation de ce projet inutile, de version immonde de ce modèle capitaliste qui ne marche pas au niveau national depuis l'apparition du Covid-19, car nous sommes soutenu-es par de nombreux élu-es et de simples citoyens du cru de la région de Libourne qui n'en veulent pas à Saint-Denis-de-Pile.
Nous veillerons au grain, notamment, sur l'emprise foncière des 20 000 m² initialement prévus. Nous verrons bien si l'Etat va tolérer quer l'on puisse y déroger ou non ! Nous sommes l'ETAT et nous défendons les intérêts de NOTRE ETAT comme nous avons pu le constater chez nos camarades de Guillos !
AURA Environnement a toujours pris la défense de l'Etat révolutionnaire, issu de la Révolution de 1789, car, Camarade, l'Etat, c'est toi. L'Etat, c'est nous tous les défenseurs des idéaux de la République une et indivisible, les défenseurs de la nature et des animaux, des populations locales qui n'en peuvent plus que l'argent public soit dilapidé dans de grands projets inutiles et imposé (GPII) !
Autre sujet particulièrement "électrique" : la SPL TRIGIRONDE va-t-elle utiliser le transfo du SMICVAL ? Qu'en pense ENEDIS ?
Les engins de manutention seront-ils neufs ou d'occasion achetés ou non sur le Bon Coincoin et les Z-Inhumains, et/ou désinfectés au gel hydroalcoolique en ces mauvais temps de pandémie avant et après chaque usage par nos camarades du "petit personnel " ivres de salubrité publique ?
D'ailleurs quels seront donc les liens entretenus entre le SMICVAL et la SPL TRIGIRONDE ? N'aurait-il pas été plus judicieux de loucher vers un terrain neutre pour ce projet de méga Centre de tri comme sur la charmante commune de Louchats ?
Le stockage dit "tampon" et le conditionnement en balles de toutes ces saloperies devrait se faire en 10 flux à Saint-Denis-de-Pile (Les papiers aux encres chimiques infernales ; les papiers-cartons non-complexés contenant des moisissures - comment vérifier qu'ils aient le taux de 12 % d'humidité acceptable comme les boîtes pizza, à oeufs pourris ou non, boites de médicaments touchées par des mains sales, étuis divers et avariés, les sacs papier susceptibles de contenir des couches culotte aux odeurs malodorantes, les rouleaux de PQ, etc.... qui auront bien fermenté en plein cagnard ? - ; les papiers-cartons complexés ; les papiers-cartons mêlés ; les films plastiques en PE - polyéthylènes - souillés des pépiniéres ou des serres qui recueillent nombre de pesticides, insecticides, fongicides, herbicides ou autres parasiticides conçus pour avoir une action biocide ; les bouteilles PET clair ; les emballages en plastiques rigides PEHD/PP ; les flux développement ; les emballages en aluminium standard" ; les petits emballages en aluminium souples !
Et ne parlons SURTOUT pas de la pollution de l'environnement vers Guillos (Communauté de de communes Convergence Garonne) avec tous ces lots immondes de décharges sauvages....
.... où, animaux et populations locales ne sont AUCUNEMENT respecté-es parce qu'ils doivent subir, par exemple, les dépôts sauvages de plaques d'amiante ou de plastiques mélangés....
..... à la douce terre alluvionnaire de cette Gironde où la terre n'est pas aussi ronde, semble-t-ll, pour tout le monde !
On ne peut pas dire que nous avons été les bienvenus lors de notre visite à la mairie de Guillos, en ce début de l'après midi de l'an de grâce du 25/03/2021, après avoir informé la charmante secrétaire de tous ces écocides intolérables et visibles sur sa commune, où nous allons engager de potentielles poursuites judiciaires.
La cause animale a une portée considérable à nos yeux. La faune et la flore ne sont pas du tout respectées dans la région et nous avons une foule de preuves..
Nous avons essayé de joindre, vainement, la mairesse de Guillos Mylène DOREAU qui rentrait en réunion, à la mairie. Mais que nenni ! Nous n'avons juste reçu qu'une fin de non-recevoir. Et nous attendons toujours le RDV sollicité en ce début de mai, mais, en mairie de Guillos, fait ce qu'il ne déplait pas, surtout aux adminstrateurs de TRIGIRONDE !
C'est un écocide lamentable vers Guillos, manifeste et non négligeable des limites planétaires et nous espérons que nos camarades de la Dreal 33 ou de la DDT 33 sauront y remédier, alors que les élu-es de cette SPL TRIGIRONDE s'apprêtent à jeter par la fenêtre plusieurs millions d'euros dans un projet d'une gigantesque Usine à poubelles qui se donne l'ambition de trier plus blanc que blanc dans un territoire de plus de 530 000 habitant-es de plus en plus habité-es par le doute suite à l'appel de détresse lancé par le Collectif Stop Centre de Tri vers Libourne (SCTL).
Nous n'avons pas été, également, les bienvenus à la CC Convergence Garonne, où notre courrier à la SPL TRIGIRONDE que nous avons distribué à "la ronde", n'a pas été du gôut de la DGS de cette communauté de communes.
C'est complètement ahurissant de tolérer que la nature soit massacrée dans sa propre communauté de communes et de vouloir, ENSUITE, mettre en place une Usine à poubelles très coûteuse sur le site du SMICVAL LIBOURNAIS HAUTE-GIRONDE dans la future commune martyr de Saint-Denis-de-Pile où les odeurs que nous avons constaté, en ce printemps 2021, sont épouvantables, non loin des habitations et des prairies où de nombreux animaux broutent aux quatre points cardinaux et ce, alors que la DDT 33 a déjà tapé du poing sur la table, il n'y a pas si longtemps !
En effet, la DDT et de la mer de la Gironde (service des procédures environnementales) dans son arrêté du 06/11/2019 portant mise en demeure relative à l’exploitation d’une installation de tri, transit, regroupement et traitement des déchets sur la commune de Saint-Denis-de-Pile par le SMICVAL, a considéré que lors de la visite en date du 10/07/2019, l’inspection des installations classées a constaté les faits suivants, et que ces constats constituaient un manquement aux dispositions de l’arrêté préfectoral d’autorisation du 18/01/2002 susvisé ;
- articles 1.1 et 2.1 :
- L’installation n’est pas exploitée conformément au plan de situation annexé à l’arrêté d’autorisation (déchetterie, parc à bennes vides et équipements individuels pour la collecte sélective, entreposage des déchets de bois et de déchets verts sous couvert) ;
- articles 5.2 de l’annexe :
- Un renouvellement du marché étant en cours, aucune opération de curage complet des systèmes, de traitement n’a eu lieu depuis avril 2018 ;
- articles 5.3 de l’annexe :
- La station d’épuration ne traite pas convenablement les eaux usées sanitaires car celle-ci est largement surdimensionnée et mal adaptée à la charge polluante à traiter ;
- article 7.2 de l’annexe :
- L’analyse des télétransmissions trimestrielles GIDAF a permis de mettre en évidence des dépassements depuis 2016 :
- en Phosphore total et Azote global importants et quasi-systématiques (dernières mesures en février 2019 : respectivement 11 au lieu de 2 mg/l et 103 au lieu de 15 mg/l) ;
En MES, DBO5 et en DCO fréquents (respectivement 51 au lieu de 35 mg :l en février 2019, 45 au lieu de 25 mg/l en juin 201 et 148 au lieu de 125 en novembre 2017).
La DDT a donc considéré que ces observations étaient susceptibles d’aggraver en particulier les risques de pollution du sol, des eaux superficielles et des eaux souterraines, et d’incendie ; et qu’elles constituaient des écarts réglementaires susceptibles de générer un impact environnemental important, etc….
Les citoyen-es regroupé-es autour du Collectif SCTL (Collectif Stop Centre de Tri vers Libourne) ne comprennent pas, maintenant, pourquoi le SMICVAL – qui est actionnaire de la SPL TRIGIRONDE - n’a pas respecté les dispositions de l’article L. 171-8 du code de l’environnement puisque la DDT a mis en demeure le SMICVAL de respecter les dispositions des articles 1.1, 2.1, 5.2 de l’annexe, 5.3 de l’annexe et 7.2 de l’annexe de l’arrêté préfectoral d’autorisation du 18/01/2002 ?
Nos camarades regroupé-es autour du Collectif SCTL trouvent inadmissible que les administrateurs du SMICVAL aient pu faire face à un tel manquement puisque la DDT a mis en demeure le SMICVAL de respecter :
- sous 3 mois les articles 1.1 et 2.1 de l’AP du 18/01/2002 ;
- sous 3 mois l’article 5.2 annexé à l’AP du 18/01/2002 en procédant à l’entretien des installations de traitement (curage complet) ;
- sous 6 mois l’article 5.3 annexé de l’AP du 18/01/2002 en revoyant la conception de la station de traitement des eaux sanitaires ;
- sous 6 mois les valeurs limites fixées à l’article 7.2 annexé à l’AAP du 18/01/2002 !!!
Les élu-es du SMICVAL ont donc fait preuve de négligence et d’incompétence potentielle vis-à-vis des animaux et des humains. Nous sommes donc opposés à ce projet de futur centre de tri parce que la contratualisation avec les filières et éco-organismes doit se faire dans la rigueur et non dans l’amateurisme !
Un pauvre poney accompagné d’un bouc se trouvent non-loin du Chemin des Moines. Des petits agneaux ne savent pas ce que l'avenir de Saint-Denis-de-Pile va leur réserver à l’arrière du « Pôle recyclage » actuel....
.... tandis que des chevaux paissent également dans le quartier en toute ignorance dans cette Europe des ignorants et des lâches vis-à-vis de la condition animale !
"Je pense que cette "Europe" est un fiasco. Pourquoi vouloir à tout prix imposer à tous ces pays, et à nous même, des mesures dictatoriales qui vont à l'encontre de nos us et coutumes ? Les mégalomanes qui sont à la base de ces ridicules ententes entre pays diamétralement opposés dans leurs traditions n'ont vu que la gloire qu'ils pourraient retirer d'unions aussi incompatibles. Que chacun reste chez lui avec son bétail, ses cultures au sens propre (comme au sens figuré...). Que les paysans continuent de récolter sans être obligés de laisser leurs terres à l'abandon, qu'on arrête de prôner la surconsommation, de jeter le lait dans les égouts et les fruits dans les décharges. Qu'on respecte un peu la vie animale et végétale. Que la nature reprenne ses droits. Qu'on arrête de tout polluer, de tout détruire, au nom des droits de l'Homme. Ah, ils sont jolis, les droits de l'Homme" (Brigitte BARDOT, « Pourquoi ?», Editions du Rocher)
Quels droits pour les animaux qui doivent obligatoirement respirer ces MES (matières en suspension), alors que la DCO (Demande Chimique en Oxygène) ne cesse d'exploser sous les le nez des habitants et des animaux qui ne pouvant exprimer leurs doléances, sont obligés de vivre dans un tel environnement dégueulasse ?
Nous avons demandé à la SPL TRIGIRONDE si elle avait pris en considération le CAUSE animale étant donné que le site retenu pour y construire ce projet de méga centre de tri d'au moins 34 000 T/an, puisque depuis 2016, sur l'actuel site du SMICVAL, les analyses en Phosphore total, en Azote global, en MES, DB05 et DCO ne cessent d'être au coeur du sujet avec la DDT 33 ?
En ce qui concerne les rejets dans le milieu naturel, la future Usine à poubelles est soumise au régime de l'Enregistrement mais elle est situé au sein d'un site soumis à autorisation. L'arrêté préfectoral du 06/06/2018 devrait servir de base pour l'instruction du dossier par l'autorité administrative.
Sur le Pôle Environnement où sera construit cette future Usine à poubelles, l'infiltration des eaux dans le sol est interdite.
Cependant, l'ensemble des rejets devront être gérés de manière séparative parmi 3 effluents distincts : l'eau usée des chiottes, l'eau pluviale de voirie et l'eau pluviale de toiture qui s'effectueront dans le petit ruisseau "Le Vignon (affluent du Palais long de 24,3 km, qui prend sa source en limite des communes de Francs et de Saint-Cibard, affluent de l'Isle et sous-affluent de la Dordogne), classé IB, qui longe le Pôle Environnement actuel le long de la clôture côté nord !
Valeurs touristiques pour celles et ceux qui voudraient effectuer des analyses, dans ce pauvre "Palais" des petits potentats locaux, du système d'épuration de la future Usine à poubelles de Saint-Denis-de-Pile : la très belle église de Petit-Palais et le château d'Abzac.
Les petits curieux du Collectif Stop Centre de Tri vers Libourne (SCTL), soutenu par les écolos-marxistes de l'ultra gauche d'AURA Environnement, sont retournés sur les bancs de la Fac de Toulouse 3 Paul SABATIER (UT3 Paul SABATIER) en potassant les 284 pages de la superbe thèse présentée et soutenue par Eve MONOURY, le 15/11/2013, et intitulée "Fonctionnnement écologique des zones de dépôt dans les ruisseaux : contribution des invertérés benthiques aux processus de décomposition des litières et de bioturbation".
Intéressant. MIAM ! MIAM !
Les élu-es de la SPL TRIGIRONDE savent pertinnement que l'exploitant de la future Usine à poubelles pourrait très bien s'exposer à de potentielles pénalités en cas de difficulté à obtenir des valeurs inférieures aux concentrations de MES (concentration 35 mg/l, méthode de référence NF EN 872), de DCO (concentration 125 mg/l, méthode de référence NFT 90101), de DB05 (concentration 25 mg/l, méthode de référence NFT 90103), d'AZOTE GLOBAL (concentration 25 mg/l, méthode de référence NF EN ISO 25663, NF EN ISO 10304.1 et 10304.2, NF EN ISO 13395 et 26777, FDT 90045), et de PHOSPHORE TOTAL (concentration 7 mg/l, méthode de référence NFT 90023) !
Chez les animaux, la consommation de concentrations importantes d'azote peut poser des problèmes au niveau de la glande thyroïde, entraîner des carences en vitamine A. De plus dans l'estomac et dans les intestins, les nitrates peuvent être transformés en nitrosamines, une substance gravement cancérigène.
"Quelles précautions pensez-vous prendre pour les nombreux animaux broutant dans les environs de l’actuel « Pôle recyclage » et du futur centre de tri de TRIGIRONDE ?" avons-nous demandé à Jérôme GUILLEM, le président de la SPL TRIGIRONDE.
Pas de réponse depuis le 16/03/2021. Les Montagnards de l'Auvergne vont-ils devoir saisir la CADA parce que la Gironde s'oppose à leur communiquer des infos non-confidentielles que le Peuple de base du Collectif Stop Centre de Tri vers Libourne (SCTL) soutenu par AURA Environnement aimerait connaître ?
Par ailleurs, se pose la question de l'acheminement des déchets, avec la multiplication du passage des poids-lourds et la pollution que cela suppose comme cela a été dénoncé dernièrement par notre camarade, le conseiller communautaire de la CC Convergence Garonne et élu de la commune de Barsac, Michel GARAT. (Source : Le Républicain Sud-Gironde du 11/03/2021).
En effet, Mr GARAT appréhende l’adhésion de la rive gauche à la SPL TRIGIRONDE, prochainement située à Saint-Denis-de-Pile, à au moins 60 km des communes concernées.
Nous avons donc pris en considération les itinéraires parcourus les plus courts (par des voitures citadines) et le temps consacré (toujours par des voitures citadines), Source (ViaMichelin), de ces communes de la CdC Convergence Garonne en direction de Saint-Denis-de-Pile :
- Podensac (siège de la CC Convergence Garonne) : 52 km – 1 h de trajet en voiture, - Arbanats : 49 km – 00h53 de trajet en voiture, - Barsac : 54 km – 1h03 de trajet en voiture, - Béguey : 52 km – 00h53 de trajet en voiture, - Budos : 68 km – 1h18 de trajet en voiture, - Cadillac : 51 km – 00h57 de trajet en voiture, - Cardan : 45 km – 00h50 de trajet en voiture, - Cérons : 52 km – 1h de trajet en voiture, - Donzac : 46 km – 00h51 de trajet en voiture, - Escoussans : 43 km – 00h47 de trajet en voiture, - Gabarnac : 52 km – 00h57 de trajet en voiture, - Guillos : 66 km – 1h12 de trajet en voiture, - Illats : 58 km – 1h05 de trajet en voiture, - Landiras : 65 km – 1h10 de trajet en voiture, - Laroque : 48 km – 00h53 de trajet en voiture, - Lestiac-sur-Garonne : 48 km – 00h53 de trajet en voiture, - Loupiac : 52 km – 00h58 de trajet en voiture, - Monprimblanc : 49 km – 00h54 de trajet en voiture, - Omet : 47 km – 00h53 de trajet en voiture, - Paillet : 47 km – 00h49 de trajet en voiture, - Portets : 47 km – 00h50 de trajet en voiture, - Preignac : 58 km – 1h06 de trajet en voiture, - Pujols-sur-Ciron : 62 km – 1h11 de trajet en voiture, - Rions : 49 km – 00h54 de trajet en voiture, - Saint-Michel-de-Rieufret : 56 km – 1h de trajet en voiture, - Sainte-Croix-du-Mont : 53 km – 1h de trajet en voiture, - Virelade : 50 km – 00h56 de trajet en voiture !!!
Le constat est en effet éloquent !
Les habitant-es regroupé-es autour du Collectif SCTL (Collectif Stop Centre de Tri vers Libourne) se posent des questions sur la pertinence de cette Usine à poubelles géante :
- Les déchets vont devoir parcourir au moins 50 à plus de 60 km pour être enfin triés ?
- Quelles questions se poser sur l’empreinte carbone des camions bennes voire des semi-remorques de + de 30 T qui vont transiter près de nos maisons dans nos hameaux de Saint-Denis-de-Pile ?
.... Combien de poussières s'échappant des camions revenant des centres de transfert en traversant les nombreux vignobles qui iront à la future Usine à poubelles ?
..... Comment vont se croiser les semi-remorques chargés d'ordures ou de refus "fines" en vrac dans les véhicules de transfert (semi-remorques FMA - Fond mouvant alternatif) sur nos petites routes du "contournement" de Saint-Denis-de-Pile, alors que tout croisement actuel parait extrêmement délicat si ce n'est que d'aller au fossé ?
Combien de tonnes hors "fines" de cette saloperie de CSR (combustible solide de récupération qui n'est que de l'incinération déguisée) vont-elles défiler dans les semi-remorques pleines à craquer et proches de nos habitations ?
..... Tandis que la signalisation actuelle fait cruellement défaut pour accèder à la future Usine à poubelles ?
- Ces distances de long kilométrage ont-elles été validées par l’ADEME (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie) dans le cadre de potentielles demandes de subventions pour la construction de ce centre de tri (montant initial de l’aide 1 100 Ke dans le cadre des fonds dédiés au Plan de relance) ?
- La commission européenne est-elle d’accord pour que tant de km soient parcourus de telle ou telle commune livrant ses tonnages vers la future Usine à poubelles de Saint-Denis-de-Pile ? Où sont les économies en terme de réduction de CO² ?
- De ce fait, la politique de la SPL TRIGIRONDE en matière de valorisation des déchets visera-t-elle à renforcer correctement la compétitivité des filières de collecte et de recyclage des emballages ménagers et des papiers ?
- Ces distances de long kilométrage ont-elles validées par les élu-es de la Région Nouvelle Aquitaine si soucieuse de son programme de développement de l’économie circulaire dans le cadre de demandes potentielles de subventions concernant les « Aides au conseil, à l’investissement en faveur du recyclage et du réemploi des Déchets, aux actions collectives, à l’aide en faveur de la création de nouvelles activités » ? Le projet de centre de tri de TRIGIRONDE répond-t-il aux critères d’éligibilités précités ?
- Pour 2020, CITEO a expliqué ne pas disposer encore de chiffres sur l’impact de la crise sanitaire.
Selon l’éco-organisme, le service a été dégradé, surtout en début de confinement, avec un nombre important de centres de tri arrêtés, notamment par mesure de protection des salariés.
Des études sont en cours, le nouveau centre de tri de TRIGIRONDE devrait ouvrir ses portes fin 2022. (Source : SMICVAL, Renforcer la prévention et le recyclage, dans le respect de la réglementation).
Comment dans ces conditions la SPL TRIGIRONDE envisage-t-elle l’avenir de ce futur centre de tri alors qu’au niveau de la Covid-19, la France ne s’en sort pas, un an après le premier confinement (Source : franceinfo du 16/03/2021) ? A titre d’exemple, dans la semaine du 06/03 au 12/03/2021, à Saint-Denis-de-Pile, il a été constaté entre 3 et 9 nouveaux cas de Covid-19, 144 tests de dépistage ont été réalisés. (Source : d’après les chiffres de Santé Publique France, estimations Linternaute.com).
- Des départs de feu peuvent se produire lors de la mise en balles des emballages aluminiums dans les centres de tri. Ces incidents découlent vraisemblablement des résidus de gaz présents dans les générateurs d’aérosols. Ces emballages, qui sont tout à fait recyclables, représentent aujourd’hui 20% de l’aluminium trié par les habitants.
Nous avons posé la question à la SPL TRIGIRONDE : "Or, avez-vous mené plusieurs démarches pour comprendre la cause de ces incidents et identifié les moyens pour éviter qu’ils ne se produisent chez vous ?".
Pas de réponse en ce début de mai 2021 !
Les populations réunies autour du Collectif SCTL (Collectif Stop Centre de Tri vers Libourne) ne sont pas du tout rassurées : en effet, en 2020, les incendies ont représentés une calamité pour les finances publiques en terme d’intervention des pompiers, de risques encourus pour la santé des riverains et des animaux proches de ces centres de tri de plus en plus gros, qui engendrent la peur au quotidien.
A titre d’exemple :
- Le 28/05/2020, alors que les employés s’apprêtaient à quitter le centre de tri de déchets de Bénesse-Maremne (Landes), un incendie s’est déclaré au Sitcom Côte sud des Landes. Le départ de feu, dans les déchets de type « encombrants » stockés sur un espace extérieur, a rapidement gagné en puissance, et les pompiers ont été appelés sur site. Le feu, « couvant », a été éteint à 1 h 10 du matin. 1 500 tonnes de détritus ont été touchées, ce qui a sollicité 30 pompiers de Capbreton, Tosse, Magescq, Saint-Martin-de-Seignanx et Dax (Source : Sud-Ouest https://www.sudouest.fr/2020/05/28/benesse-maremne-40-incendie-au-centre-de-tri-de-dechets-7520962-3301.php ).
- Le 04/07/2020, une partie du hangar de 20 000 m² du centre de tri a brûlé à Istres provoquant une épaisse fumée. Le tweet des pompiers13 en dit long : « 80 #Pompiers13 et une trentaine d'engins sont engagés sur un violent feu d'entrepôt, quartier Prignan à #Istres, provoquant d'importantes fumées. 2000 m2 ont brûlé. Les pompiers mettent tout en œuvre pour éviter la propagation de l'incendie. Evitez le secteur ! ».
Incendie au Centre de tri Valorpôle au Mans le 24/07/2020 - Photo : Yvon LOUE - Ouest France
- Le 24/07/2020 : incendie dans un vaste tas de 800 m3 de déchets de carton et de plastiques au centre de tri Valor Pôle 72. Les fumées étaient même visibles jusqu’au centre-ville du Mans. (Source : France Bleu Maine https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/le-mans-800-metres-cube-de-dechets-en-feu-au-centre-de-tri-valor-pole-1595615814?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR1Ew4qRzlvUxYZvV1mFhnHMhLBVFD9j60YpYrrgP2PtyVeoZ08F_Dy9HHc#Echobox=1595617232 ).
Cinq lances ont été nécessaires pour circonscrire et maîtriser l'incendie à Valor Pôle
le vendredi 24 juillet 2020. © Radio France - Clémentine Sabrié
- Le 14/08/2020, un violent incendie s’est déclaré dans la zone industrielle de Milhaud (Gard). A leur arrivée à minuit, 45 sapeurs-pompiers et 23 véhicules, dont un poste de commandement, ont été confrontés au feu de d’environ 20 000 m3 de déchets de démolition : bois, plastiques, papiers, etc…. Des engins de chantier ont été utilisés pour déplacer les déchets afin de faciliter leur extinction et une équipe spécialisée en risques chimiques s’est même rendue sur place pour vérifier l’absence de pollution dans le Vistre situé à proximité. Le Vistre est un fleuve côtier français qui traverse la Vistrenque, région naturelle et agricole du département du Gard, en région Occitanie. Son cours a été aménagé pour déboucher aujourd'hui dans le Canal du Rhône à Sète. (Source France Bleu Gard Lozère https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/violent-incendie-en-cours-dans-la-zone-industrielle-de-milhaud-1597385279 ).
- Le 21/09/2020, un spectaculaire incendie a ravagé un bâtiment d’une entreprise spécialisée dans le recyclage et la valorisation des déchets industriels où étaient stockés des matériaux composés de papier, de plastique, de bois. Un important dégagement de fumée était visible à des kilomètres. Les équipes du SDIS 68 avaient rapidement établi un périmètre de sécurité de 100 mètres autour du site. La préfecture a activé le centre opérationnel départemental et demande d'éviter le secteur. Le barriérage mis en place dans le quartier aux abords de l'entreprise en question a été progressivement levé par les services de police. Les élèves et le personnel du collège Hector Berlioz ont quitté l'établissement et sont rentrés chez eux. Une information a été transmise par le collège à l'ensemble des familles, a précisé la préfecture. (Source : France 3 Grand Est https://france3-regions.francetvinfo.fr/grand-est/haut-rhin/colmar/colmar-spectaculaire-incendie-ravage-batiment-entreprise-schroll-1876078.html ).
- Pourquoi autant d’incendies dans ces centres de tri, ailleurs, en France alors que la SPL TRIGIRONDE, elle-même assure que les centres de tri nécessitent d’être modernisés et industrialisés pour rendre possible le tri d’un flux entrant qui évoluera en volume et en composition ? S’il y a des incendies nationaux, c’est donc que ces centres de tri qui partent en fumée, sont rétrogrades et ne visent pas une aussi bonne performance du recyclage sur le plan économique ?
- Ce projet de centre de tri va-t-il devenir le symbole de l’artificialisation et de la bétonisation des terrains de Saint-Denis-de-Pile ?
- La SPL TRIGIRONDE a augmenté de façon vertigineuse son capital social …. Avec l’argent public. Les 530 000 contribuables composant la SPL TRIGIRONDE (SMICVAL, SEMOCTOM, SMICOTOM, SICTOM SUD-GARONNE, COMMUNAUTE DE COMMUNES MEDOC ESTUAIRE, COMMUNAUTE DE COMMUNES MEDULLIENNE) sont-ils informé-es des délibérations du conseil d’administration de TRIGIRONDE ? En effet, l’AG extraordinaire des actionnaires réunie le 16/06/2020 a décidé d’augmenter le capital social de TRIGIRONDE de 1 025 000 euros pour le porter de 225 000 € à 1 250 000 € par la création de 1 025 000 actions nouvelles de 1 euro nominal chacune émises au pair, à libérer lors de la souscription d’une somme de 560 000 euros représentant 54,63 % du nominal, etc…
- Pourquoi ne pas informer les 530 000 contribuables des 361 communes que le SMICVAL est titulaire d’une créance sur la Société de 221 603 euros ; que la COMMUNAUTE DE COMMUNES MEDULIENNE est titulaire d’une créance sur la Société de 22 283 euros ; que le SEMOCTOM est titulaire d’une créance sur la Société de 134 828 euros ; que la COMMUNAUTE DE COMMUNES MEDOC ESTUAIRE est titulaire d’une créance sur la Société de 29 055 euros ; que le SMICOTOM est titulaire d’une créance sur la Société de 82 63 euros ; que le SICTOM SUD GIRONDE est titulaire d’une créance sur la Société de 69 840 euros ?
- Les 530 000 contribuables de toutes ces communautés de communes sont-ils correctement informés via un site internet entièrement dédié à la SPL TRIGIRONDE alors que cette société ne dispose pas de locaux et que c’est le SMICVAL qui lui met à disposition des espaces de travail ? Est-il possible d’avoir une copie de cette convention temporaire de mise à disposition d’espaces de travail appartenant au SMICVAL ?
Le Département de la Gironde n’a-t-il pas suffisamment de locaux disponibles dans son parc immobilier afin de mettre à la disposition de la SPL TRIGIRONDE d’espaces de travail suffisants pour faire respecter la lutte contre la Covid-19 ?
- Quel est l’urgence d’espaces de travail mis à disposition par le SMICVAL alors que le conseil d’administration de TRIGIRONDE s’est réuni en date du 03/11/2020…. par visio-conférence ?
- Pourquoi n’est-il pas mentionné dans la 9° résolution du PV des délibérations du conseil d’administration de TRIGIRONDE, en date du 03/11/2020, les mesures de précautions à prendre, plus particulièrement dans le respect du Protocole national pour assurer la santé et la sécurité des salariés en entreprise face à l’épidémie de COVID-19 ?
L’employeur doit ainsi, notamment, évaluer les risques et mettre à jour le document unique d’évaluation des risques (DUER) de l’entreprise en y intégrant les mesures nécessaires pour éviter au maximum le risque de contamination : information et sensibilisation, organisation du télétravail, réorganisation du travail et des flux pour respecter les règles de la distanciation, gestion et suivi des installations d’aération/ventilation, moyens de protection (masques, écrans de séparation des postes de travail…), nettoyage et désinfection des locaux…).
Les missions de l’employé de TRIGIRONDE, en l’occurrence le DG, cadre développeur habitué aux montages complexes (SEM, SPL, PPP, MPGD) avec une agilité à assurer un développement maîtrisé, sont multiples. Il doit être suffisamment protégé par des résolutions en ce sens puisqu’il doit mettre en œuvre la stratégie du conseil d’administration en définissant les objectifs et les moyens nécessaires à sa bonne exécution. Ses missions principales étant d’assurer, tout de même, la mise en place et la bonne exécution des compétences de transfert, transport et tri, de participer à la définition de la stratégie d’entreprise de TRIGIRONDE.
Comment se fait-il que ce soit le SMICVAL qui ait été chargé de son recrutement comme nous l'avons vu plus haut dans ce billet ? Mystère et boule de gomme.
Nous avons vu grand nombre de parcelles de vignobles autour de la future Usine à poubelles.
Est-il normal d'observer que des bâtiments, situés à l'arrière du SMICVAL, soient recouverts d'une toiture en tôles ondulées en fibrociment amiante ?
Question à l'INAO : quels risques pour les raisins, car, nous connaissons les problèmes liés avec les plaques de toit qui se produisent inéluctablement car elles se détériorent avec l'âge et deviennent fatalement plus fragiles ?
Cela crée donc un plus grand risque d'exposition et de décollement des fibres minérales, ce qui augmente bien évidemment les risques.
Le jus de ces plaques en fibrociment amiante s'écoule-t-il sur les parcelles des vignobles situées à proximité de ce bâtiment ?
En effet, le risque en résultant est accru en raison des effets dommageables supplémentaires causés par l'érosion et l'altération de ces plaques, et comme elles sont exposés aux éléments, elles risquent de se dégrader à cause du gel, de l'humidité, des rayons UV, des pluies acides, et.... laissant ainsi de grandes surfaces de fibres d'amiante sans aucune protection !
Nous avons RDV prochainement avec les représentants de la SPL TRIGIRONDE dans les locaux du SMICVAL. Nous aimerions qu'un représentant de l'INAO et de la préfecture de la Gironde nous accompagne afin de dresser l'inventaire sur cette toiture en amiante. Demande en sera faite au secrétaire général de la préfecture 33.
Tout comme, nous nous posons des questions sur la présence de ces bennes à ordures rouillées....
....et stationnées à l'arrière du SMICVAL...
.... non-loin de la station d'épuration, qui, elle aussi bénéficie d'une passerelle rouillée composée d'une simple tôle frisant l'amateurisme !!!
Alors que l'eau ne cesse de stagner dans le petit ruisseau qui se dirige vers les vignes du chemin de la Pinière de Saint-Denis-de-Pile !!!
Quels seront les risques pour les animaux et les humains, avec le projet de la future Usine à poubelles de 34 000 T/an, qui seront susceptibles d'aggraver encore un peu plus la pollution du sol, des eaux superficielles et des eaux souterraines comme le stigmatisait, déjà, dans son arrêté en date du 06/11/2019, Mme la préfète de la région Nouvelle-Aquitaine, et préfète de la Gironde ?
Nous sommes et nous seront encore plus vigilants à tous ces risques, en étant en contact, avec le service des procédures environnementales de la Direction départementale des territoires et de la mer de la Gironde.
Quel est l’avis de l’INAO sur autant de tonnes de plastiques, cartons, papiers, emballages souillés qui vont déferler sur la commune de Saint-Denis-de-Pile qui a l’autorisation de produire les vins des appellations : le Bordeaux, le Bordeaux supérieur, le Crémant de Bordeaux ?
Et du côté du SEMOCTOM, à Saint-Léon, cela-va-t-il mieux à propos des anomalies concernant les données des bulletins de paie, suite au changement du logiciel ?
De la paix maintenant pour nos camarades qui travaillent sur le site du SEMOCTOM, où va voir bientôt le jour, un quai de transfert de 55 160 m² où les ordures iront probablement sur le site de la future Usine à poubelles de Saint-Denis-de-Pile ?
A noter que la moitié des entreprises retenues ne sont même pas de la Gironde !!!
Cependant, la plomberie-protection incendie sera réalisée par l'entreprise AAI qui fera plus de 430 km pour se rendre à Saint-Léon. Super l'empreinte carbone et les économies de CO² pour venir d'une ville comme Saint-Nazaire, que nous affectons cependant, tout particulièrement, pour l'attractivité de ses entreprises qui n'ont pas toutes les mêmes chances de sélection en Gironde.
A quoi bon bassiner, à longueur de journées, des leçons de morale environnementale les simples camarades de la Gironde pour utiliser moins de C0² afin d'éviter les dérèglements climatiques majeurs puisqu'il faudrait que nous limitions ses émissions à raison de 2 T par personne et par an, en mangeant local, en choisissant la bonne voiture, en se méfiant des emballages alors que le SEMOCTOM ne montre pas vraiment l'exemple sur les distances parcourues ?
Cette région de Saint-Nazaire qui a vécu en 2020 les affres du Covid-19, puisque la communauté d'agglo de Saint-Nazaire a décidé de suspendre le tri sélectif, à partir du 20/03/2020, et cela en cohérence avec le plan national de lutte contre le coronavirus ! A Trignac nos camarades Pro de l'excellente déchèterie de Veolia avaient le moral en berne.
Les camions poubelles se dirigeant vers le SEMOCTOM, en provenance par exemple, de Cenac ou de Créon vont-ils continuer à rouler débâchés projetant dans l'air leurs particules de poussières, comme nous l'avons constaté ?
Question coûts pour ce futur centre de tri car les chiffres médiatiques ne semblent jamais les mêmes :
- investissement du seul bâtiment évalué « à la louche » à 20 millions d’euros en 2017.
- investissement de 18 millions d’euros en 2019.
- évaluation du chantier à 20 millions d’euros.
- « Flou financier » dans la presse de ces derniers jours.
Par ailleurs, nous avons indiqué à TRIGIRONDE que les députés ont donné leur aval en commission le 14/03/2021 à la mise en place d’une “contribution” poids lourds dans les régions qui le souhaitent et qui sera examiné fin mars dans l’hémicycle. “L’objectif est de favoriser le transport des marchandises par des moyens moins émetteurs de gaz à effet de serre (ferroviaire, fluvial…)”, précise l’exposé des motifs du projet de loi. "Avez-vous programmé cet éventuel surcoût régional pour les camions bennes à ordures chargés de collecter le sélectif dans votre cahier des charges ?", avons-nous demandé au président de TRIGIRONDE.
En effet, le transport prend une place importante depuis sa conception jusqu’à son élimination ou sa valorisation en tant que déchet. Dans cette chaîne, l’étude « Transport et logistique des déchets" publiée par l’ADEME s’intéresse plus particulièrement à l’impact environnemental du transport et de la logistique des déchets. L’objectif – toujours selon l’ADEME – est de « réduire cet impact, en optimisant le transport, grâce à la réduction, par exemple, des kilomètres parcourus…».
On ne peut observer que deux tendances fortes se développeront à l’horizon du Bordelais et plus particulièrement à Saint-Denis-de-Pile et ce, en contradiction avec le système de l’économie circulaire :
- la multiplication intolérable des centres de tri,
- l’augmentation des distances moyennes parcourues jusqu’aux centres de valorisation.
Joëlle KERGREIS, directrice-adjointe à la direction exécutive des programmes de l’ADEME indique « Nous souhaitons que les progrès obtenus dans les filières de gestion des déchets s’accompagnent de transports également optimisés. Nous sommes vigilants à conserver un regard croisé sur les problématiques environnementales, afin que les bénéfices d’une action ne soient pas entachés d’effets néfastes par ailleurs… ».
Nous demandons à la SPL TRIGIRONDE d’abandonner le transport routier terrestre des bennes à ordures ménagères (BOM) car il représente 30 % des émissions de gaz à effet de serre (GES) générées dans le domaine de la gestion des déchets. Ces émissions étant produites principalement pendant la phase collecte, elles participent également aux rejets de polluants dans l’air en terme d’oxydes d’azote, d’oxydes de soufre et de particules fines. (Source : FNADE).
Or, l’analyse détaillée, flux par flux, des papiers et emballages recyclables du SMICVAL, par exemple, est sans arrêt en augmentation (+ 0,9 % en 2019).
L’évolution des tonnages entrant au centre de tri actuel du SMICVAL a explosé, à + de 3,8 % (évolution 2018/2019).
Tous les indicateurs sont en constante augmentation, que ce soit en collecte en porte-à-porte en bac jaune, en apport direct par les professionnels, en apport en pôle recyclage, en apport direct par les professionnels, en apport dans les BAV, en apport direct par les professionnels et particuliers sur pesée. Les films plastiques – en apport direct par les professionnels – culminent à plus de 100 % !
Ce qui laisse à penser que le tri sélectif conduira à une augmentation des tonnages sur tous les territoires de la SPL TRIGIRONDE qui sera obligée d’aller chercher des déchets de plus en plus loin, comme cela a été le cas dernièrement, dans le secteur de la CC Convergence Garonne où certains élu-es commencent à douter de la pertinence d’un tel projet de méga centre de tri en Gironde, avec encore et encore plus de camions et de km parcourus sur routes, et ce, dans une logique capitaliste.
Dans les territoires déjà concernés par l’extension des consignes de tri, chaque habitant du territoire de la SPL TRIGIRONDE devrait donc recycler plusieurs kg supplémentaires d’emballages par an.
Par ailleurs, il y a lieu de se poser quelques questions puisque les SPL font l’objet même de critiques dans leur propre mode de fonctionnement.
Le principe de l'utilisation des sociétés publiques locales (SPL) est critiqué, certains y voyant un moyen pour les administrations d'échapper au code des marchés publics et de donner des emplois aux amis du pouvoir.
Christian Julienne, président du laboratoire d'idées libéral Héritage et Progrès, écrit ainsi : « Toutes les grandes villes, les départements et autres vont être naturellement tentés de créer ces sociétés publiques locales pour y mettre les vice-présidents, adjoints, chefs de service et autres amis politiques heureux de devenir entrepreneurs avec l’argent des contribuables et sans se soumettre à la concurrence. […] En outre, le texte lui-même constitue un véritable appel au délit de favoritisme, à la prise illégale d’intérêts et à l’abus de bien social ». Ce point de vue n'est toutefois partagé que par un petit nombre de personnes, la SPL n'assouplissant pas le régime des outils déjà à la disposition des collectivités locales, comme les EPIC, les SEML, ou encore les associations transparentes. Elles répondent au contraire à une critique sur la non-transparence des SEML quant au choix des partenaires privés actionnaires au capital.
Pour ses défenseurs, la SPL reste un outil privé à disposition d'un pouvoir public et est donc un outil, parmi d'autres, permettant d'éviter l'emploi de fonctionnaires publics pour accomplir des missions de service public...
A suivre avec gourmandise en lisant cet article intitulé "La grosse arnaque du recyclage plastique : trier ne servirait à rien .
Source : https://www.ladn.eu/entreprises-innovantes/transparence/enquete-grosse-arnaque-recyclage/
"On nous le répète sans cesse : quand il s’agit de sauver la planète, chaque petit geste compte. Vraiment ? Une solide enquête du Guardian explique que niveau recyclage plastique, il est plutôt question de bullshit généralisé que de conscience écologique.
« Le recyclage du plastique est un mythe ». Aïe, d’entrée de jeu, l’enquête du journaliste Oliver Franklin-Wallis annonce la couleur. Publiée dans The Guardian, elle dresse un constat effrayant : trier nos déchets ne servirait à rien.
Rien ne se perd, tout se transforme (ou se brûle)
On pensait qu’avoir des poubelles arc-en-ciel et y jeter consciencieusement nos déchets selon des consignes édictées de façon quasi-scolaire par nos municipalités suffisait à faire le job… mais non. Comme le rappelle Oliver Franklin-Wallis, « vous buvez un Coca-Cola, jetez la bouteille en plastique dans la poubelle recyclable, sortez la poubelle, et vous n’y pensez plus. Mais la bouteille ne disparaît pas pour autant. » Tout ce que l’on jette à la poubelle devient aussitôt la propriété de l’industrie des déchets – qui pèse plus de 275 milliards d’euros à l’échelle mondiale. Et puisque dans le système actuel, qui dit industrie dit profit, cette dernière se fait un devoir d’extraire de nos ordures tout ce qui peut lui rapporter de l’argent. Parfois, c’est récupéré sur place, mais dans la majorité des cas, on revend ailleurs – loin des yeux, loin du cœur. Par exemple, le plastique ne s’achète pas très cher. Alors, souvent, on vend à la Chine – qui, jusqu’à peu, était considérée comme le plus grand marché international du recyclage de plastique.
Déchets contaminés
Sauf qu’en 2018, la Chine a mis le holà en interdisant 24 types de déchets sur son territoire. Alors que s’est-il passé ? Officiellement, les déchets occidentaux étaient trop « contaminés » - officieusement, cette prise de position serait la conséquence directe du documentaire Plastic China, qui suit le quotidien d’une famille travaillant au sein de l’industrie du « recyclage » - qui consiste visiblement surtout à fondre le plastique pour le revendre à des fabricants. La pratique est évidemment extrêmement polluante, et ne permet pas à ces familles exposées de vivre correctement.
Qu’à cela ne tienne : les pays occidentaux ont rapidement fait de trouver d’autres poubelles : la Thaïlande, l’Indonésie, la Malaisie ou le Vietnam semblent des territoires tout désignés pour accueillir et (mal)traiter nos déchets.
Tout à fait illégal
Tout ça, non seulement c’est bien crado, mais c’est en plus totalement illégal. Un rapport de Greenpeace met en lumière l’existence d’immenses décharges en Malaisie. La majorité des déchets qui les constituent proviennent d’Europe. Comme en Chine, ils finissent brûlés ou enterrés… et se retrouvent parfois à voguer dans les rivières ou les océans. Résultat : le gouvernement malaisien a commencé à renvoyer des bateaux chargés d’ordures, en invoquant des préoccupations pour la santé de la population. De leur côté, la Thaïlande et l’Inde ont annoncé bannir l’import de déchets plastiques étrangers.
Mais rien n’y fait : puisque quand on veut, on peut, un peu de corruption suffit à faire circuler nos déchets dans ces pays.
8 milliards de tonnes de plastique
Les chiffres qui illustrent l’article sont aberrants : sur les 8,3 milliards de tonnes de plastique produites dans le monde, seules 9% ont été recyclées. Un score déjà bien faible qui est en plus questionné, par-dessus le marché, par les ONG. Celles-ci rappellent les destins parfois incertains des cargos qui transportent les déchets censés être recyclés.
Quelques solutions
Évidemment, plus on en parle, plus ça fait tache. Et les industriels essayent de proposer des solutions miracles. L’une d’entre elles est un robot « intelligent ». Made in USA, il promet de trier les bouteilles et autres contenants en plastique près de 3 fois plus rapidement qu’un humain. Autrement dit, il serait capable de gérer 3 tonnes de déchets par jour.
D’autres imaginent qu’une taxe plastique s’impose. C’est notamment le projet du gouvernement britannique, qui suggère que les packagings qui contiennent moins de 30% de matière recyclée soient pénalisés.
Enfin, il y a toujours la technique du zéro déchet. Tout le monde ne peut pas encore s’y mettre, mais les initiatives se multiplient.
Bref, le plastique, c'est plus franchement fantastique."
Nous appellons massivement les 530 000 habitant-es à nous rejoindre massivement afin de s'opposer à ce projet fantasque et irrationnel d'Usine à poubelles à Saint-Denis-de-Pile !
"Ils ont voulu nous enterrer, ils ne savaient pas que nous êtions des graines", Proverbe mexicain.
A suivre
© Marc-Claude de PORTEBANE
- Président d'AURA Environnement
- Porte-parole du Collectif Stop Centre de Tri vers Libourne (SCTL)
- Porte-parole de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux
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+ de 18 000 Signatures PETITION : Stop Projet @sncfreseau Vénissieux Saint-Priest. #Halte aux nuisances contre toutous et riverains !
- Par auraenvironnementparis
- Le 12/04/2021
- Dans PETITION : Stop Projet @sncfreseau Vénissieux Saint-Priest. #Halte aux nuisances contre toutous et riverains !
Stop Projet @sncfreseau Vénissieux Saint-Priest. #Halte aux nuisances contre toutous et riverains !
LIEN de notre PETITION :
https://www.mesopinions.com/petition/animaux/stop-projet-sncfreseau-venissieux-saint-priest/134125
AURA Environnement et le Collectif SPSVP (Stop Projet @sncfreseau Vénissieux Saint-Priest), soutenus par de nombreux riverains, opposé-es au projet de réaménagement de la plateforme de transport combiné de Vénissieux-Saint-Priest demandent à @sncfreseau une nouvelle concertation démocratique en vue de l’abandon pur et simple de ce projet fantasque.
Depuis des années, nos camarades-riverains de l’association, « Halte au bruit et à la vitesse » crée le 22 juillet 1996 luttent avec désespoir contre les nuisances engendrées par une noria de camions (dont des camions plateaux sans chargement aux vibrations infernales) qui passe sous leurs fenêtres à une cadence épouvantable (Rue du Chemin du Charbonnier et rond-point du Baco) pour se diriger avec leurs conteneurs, sur le site de Naviland Cargo qui est un opérateur français de transport combiné faisant partie de Rail Logistics Europe, le pôle fret et logistique ferroviaire du groupe SNCF. Naviland Cargo est une filiale de Transport et Logistique Partenaires, elle-même filiale de SNCF Participations qui fédère en 5 grandes branches la presque totalité des 657 filiales et participations de la SNCF.
Le terminal combiné de Lyon-Vénissieux également appelé chantier multimodal, est un site permettant aux marchandises de passer d'un mode de transport à un autre. Celles-ci sont transportées dans des UTI (unités de transport intermodal) : conteneurs, caisses mobiles qui grâce à des portiques de manutention, généralement mobiles, peuvent être transbordés d'un train vers un camion ou un bateau. Les terminaux combinés comprennent généralement des zones de stockages pour les conteneurs occasionnant une pollution visuelle non-négligeable, surtout dans ce quartier dit « résidentielle » - lol -.
Bonjour les dégâts pour les animaux et les riverains qui sont, en outre, exposé-es aux radiations des lignes électriques de plus de 50 000 volts !!!
Nous avons observé que de pauvres toutous se baladaient, notamment impasse d’Auvergne, supportant les accumulations de nuisances qui ne semblent pas émouvoir les grands décideurs qui, gourmands de subventions publiques, ne cessent d’avoir leurs comptes virer de plus en plus dans le rouge.
C’est inadmissible et nous n’allons pas le tolérer plus longtemps ! Les animaux – au même titre que les humains - ont des droits. Ils doivent être respectés.
L’absence de langage oral chez les animaux non humains a parfois été présentée comme une preuve de leur manque d’intelligence et de sensibilité. Double erreur. D’une part, il y a un langage oral chez de nombreux animaux, mais nous ne le comprenons pas. D’autre part, nous oublions que le langage des émotions se passe souvent de mots. La primatologue Jane Goodall fait remarquer qu’en de nombreuses circonstances les humains se rapprochent de leurs cousins grands singes pour revenir à des modes de communication silencieux : quand ils passent la main dans le dos d’un ami, quand ils se prennent dans les bras, quand ils frappent dans les mains … Aymeric CARON, (journaliste et écrivain, « Antispéciste », Editions Don Quichotte – 2016).
Alors que l'avenir de Fret SNCF s'obscurcit encore un peu plus, l'activité transport de marchandises de la compagnie publique accumule déficits sur déficits. En effet, pour atteindre l'équilibre opérationnel en 2021, la direction compte mettre une nouvelle organisation. Avec de nouvelles suppressions de postes à la clef : le nombre de salariés doit passer de 6.300 aujourd'hui à 4.500 fin 2023 !!!
La déflation industrielle française, le démaillage massif du réseau, l'inégalité de péages d'infrastructures rail/route et le désengagement délibéré des trafics diffus par l'opérateur historique sont largement responsables de cette récession !
En pleine pandémie plus de 16 millions d'euros jetés par la fenêtre ?
Dès le 28/02/2021, AURA Environnement - qui apporte son entier soutien au Collectif SPSVP (Stop Projet @sncfreseau Vénissieux Saint-Priest) -, a envoyé un mail à la plateforme Vénissieux-Saint Priest via concertation.pftc.venissieux.saint.priest@reseau.sncf.fr pour leur dire notre opposition à ce projet par rapport à la plateforme multimodale de Vienne-Sud Salaise/Sablons qui traite déjà plus de 800 000 T de marchandises en moyenne par an via l'eau, le fer et la route.
En effet, le Collectif SPSVP (Stop Projet @sncfreseau Vénissieux Saint-Priest) estime, notamment, que c'est un projet néfaste à l'aménagement du territoire des zones concernées et à l'environnement en région AURA (Auvergne-Rhône-Alpes), surtout en ce moment de plein confinement où l'Etat appelle les masses populaires à se "serrer la ceinture" parce que nous n'avons pas assez d'argent pour nous acheter des vaccins et vacciner les plus pauvres d'entre nous qui vivent dans une détresse économique et psychologique totale.
Une levée en masse nationale nous a donc paru essentielle sur ce projet inutile.
Nous serons vigilants sur les relevés botaniques de la zone en friche qui accueillera l’extension de cette plateforme de transport combiné et qui seront menés au printemps 2021.
Car ce projet fort coûteux vient, notamment, en contradiction avec le raccordement ferroviaire déjà programmé de la Zone industrialo-portuaire de Salaise et co-financé par l'Etat pour un montant de 2,135 M€. Cela fait suite à la confirmation du secrétaire d'Etat chargé des Transports, Jean-Baptiste DJEBBARI, auprès de la députée de la 7e circonscription de l'Isère, Monique LIMON.
Le 07/03/2021, Mr Louis POIDEVIN, (chargé des relations institutionnelles et de la concertation de SNCF Réseau) mettait plus d’une semaine pour nous répondre.
Le 09/03/2021, nous lui avons simplement demandé par mail s'il y aurait un AP (arrêté préfectoral), voire, une EP (enquête publique). Quel mal il y a, à poser ce genre de questions ? Nous n'avons reçu aucune réponse !
Le 07/04/2021, le Collectif SPSVP (Stop Projet @sncfreseau Vénissieux Saint-Priest) recevait un appel unique de M. Christophe KARLIN (expert-concertation pour SNCF Réseau), Mr POIDEVIN (chargé des relations institutionnelles et de la concertation de SNCF Réseau) et de M. ESPINASSE (directeur adjoint de l’infrapôle Paris Nord de SNCF Réseau).
L’entretien téléphonique s’est transformé en dialogue de sourds car nous reprochons à SNCF Réseau de ne pas avoir correctement informés TOUTES les populations de Vénissieux et de Saint-Priest (plus de 100 000 habitants).
Comment les habitant-es de ces 2 villes ont-ils pu se faire correctement une idée de ce projet alors qu’il a bien été précisé (page 5 du dossier de concertation), que « Ce dossier n’est pas une compilation exhaustive des études », car, « Il s’agit d’un « dossier d’étape » et non d’une présentation du projet définitif », puisque « Celle-ci sera réalisée à l’occasion de l’élaboration du dossier d’évaluation environnementale qui sera rendu public, conformément à la réglementation ».
Ce dossier dit « de concertation » a été établi en… Février 2021 (Page 19).
Or, la décision de l’Autorité environnementale (AE), après examen au cas par cas, sur l’aménagement de la plateforme de transport combiné de Vénissieux-Saint-Priest (69) a été rendue, antérieurement à l’annonce de la « concertation », soit… le 20/12/2019 !!!
Ce n’est que le 08/04/2021 que les riverains de l’association « Halte au bruit » ont été informés de l’existence de cette décision de l’Autorité environnementale par notre Collectif SPSVP (Stop Projet @sncfreseau Vénissieux Saint-Priest) !!!
Notre camarade Enrico (à droite) n'en peut plus de toutes ces nuisances !
Et là, stupeur ! L’étonnement et la colère des riverains n’ont fait qu’un tour. La « concertation » aurait-elle été potentiellement faussée, avons-nous demandé à SNCF Réseau ? Comment se fait-il que les élu-es de Vénissieux et de Saint-Priest ne soient pas montés au créneau pour en parler publiquement lors de la visite du site fin février 2021 ?
Les habitant-es de Saint-Priest et de Vénissieux n’ont pas été mis en garde sur les impacts potentiels relevés par l’AE sur l’environnement et la santé humaine – voire animale comme nous le relevons – et les mesures et caractéristiques destinées à les éviter, les réduire ou les compenser, et en particulier :
- les impacts du projet consécutifs à l’augmentation du trafic des poids-lourds, en termes notamment de qualité de l’air, bruit, émission de gaz à effet de serre ?
- les impacts du projet consécutifs à l’augmentation du trafic ferroviaire de 45 à 60 trains par semaine ?
- l’impact des travaux en terme de bruit et de pollutions lumineuses ?
- l’impact de l’opération sur les besoins et l’offre de stationnement, de transport en commun et sur les trafics routiers relatifs aux employés du site ?
- les cumuls et interactions des impacts et mesures liés à l’opération présentée avec ceux du projet de prolongation du boulevard urbain Est ?
Quel intérêt de ne pas parler, sur la plaquette publicitaire de 19 pages de SNCF Réseau, des objectifs poursuivis par la réalisation de l’évaluation environnementale, notamment des impacts liés à l’augmentation du trafic routier, en termes de qualité de l’air, de bruit et d’émission de gaz à effet de serre et à l’augmentation du trafic ferroviaire ?
Nous demandons à SNCF Réseau de reprogrammer une autre concertation nettement plus républicaine, avant que l’étude d’impact ne soit rendue publique, puisque les populations locales, qui, mises devant le fait accompli, ne pourront plus, hélas, donner leur avis.
L’avis de l’AE ne saurait être ignoré des populations locales.
Mr KARLIN nous a dit que SEULEMENT 13 000 € avaient été engagés en terme de communication (5 000 € pour les réunions publiques et 8 000 € pour la publication de la plaquette publicitaire encensant le projet) !
Il n’y aurait eu que 25 personnes qui auraient donné leur avis lors de cette « concertation ».
La visite de ce site, fin février 2021, n’était pas du tout une « concertation », selon notre camarade Roger RIVAT porte-parole de l’association « Halte au bruit », qui nous précisé qu’ « il y avait plus d’agents de la SNCF et d’élus représentant les 2 municipalités que de riverains et de populations de Vénissieux/Saint-Priest) !
Le site en question se trouve entre la voie ferrée (Lyon, Grenoble, Chambéry) et le Chemin du Charbonnier. Au fil des années, l'association "Halte aux Bruits et à la vitesse" a attiré des adhérents habitant d'autres secteurs des deux villes.
Cette « concertation » – du 22/02/2021 au 08/03/2021) - n’était-elle destinée qu’à informer SEULEMENT un petit nombre de personnes en ces mauvais temps de COVID-19 alors que le couvre feu couvrant la période battait son plein ?
N’aurait-il pas été plus judicieux de mettre largement plus de 5 000 € en terme de communication vis-à-vis du grand public pour un projet de…. 16 millions d’euros, tout en sachant que la population de Saint-Priest est estimée à plus de 45 000 habitants et que celle de Vénissieux à plus de 64 000 habitants (INSEE 20215) !!!
La concertation aurait-elle été potentiellement « faussée » se sont donc demandé les riverains ?
Nous avons posé la question à SNCF Réseau : « Les habitant-es de Saint-Priest et de Vénissieux ont-ils été correctement mis en garde sur les impacts potentiels relevés par l’AE sur l’environnement et la santé humaine – voire animale – et les mesures et caractéristiques destinées à les éviter, les réduire ou les compenser ».
L’avis de l’AE ne saurait être ignoré des populations locales que ce soit ici ou dans le cadre des objectifs du 4F (Fret Ferroviaire Français du Futur). A quoi bon de discutailler chez 4F, de « logistique verte », d’ « émission en moins de C02 », de « plan d’action pour le climat » lorsque les riverains et les animaux – dont les petits oiseaux - de Vénissieux et Saint-Priest vivent l’enfer au quotidien avec le passage de 400 poids lourds/jour dès 6h le matin ?
Nous avons observé le 08/04/2021, avec les riverains, que des camions vides de tout chargement sortaient de l’entrée principale du site (photos à l’appui, à 13h11) direction chemin du Charbonnier à Vénissieux dans un vacarme assourdissant .....
...... alors que le chef d’agence de l’exploitation LYON VENISSIEUX de Naviland Cargo, Eric LEONARD – lors de notre visite du site dans la matinée même – s’est évertué à nous dire que, désormais, les camions vides ne partaient que du côté de la rue du Beaujolais, à l’est du site sur la commune de Saint-Priest !!!
Et l’arrêté municipal de la ville de Vénissieux en date du 14/02/2002 qui vise à lutter contre les nuisances sonores des bruits de voisinage, entre, notamment 12h et 14h, on en fait quoi ? Est-il normal de troubler le repos ou la tranquillité des habitants à l’heure du déjeuner en cette période de confinement, qui plus est ?
Les populations locales très urbanisées de Vénissieux et Saint-Priest doivent-elles fuir avec leurs toutous vers de VRAIES zones « résidentielles » afin d’en finir avec les nuisances sonores, les risques de leucémie induits par les ondes électromagnétiques des lignes à très haute tension (THT) qui survolent l’impasse d’Auvergne, les cancers à répétition comme ceux de la rue Charbonnier ?
Nous voulons DESORMAIS des études épidémiologiques sur tous ces dangers puisque l’épidémiologiste s’appuie sur une très large palette d’outils pour caractériser les expositions environnementales. Celle-ci va de données sur les sources des contaminations environnementales à des mesures ou modèles environnementaux (dispersion des polluants atmosphériques) et à des mesures personnelles d’exposition (dosimètres) ou de dose interne par des «biomarqueurs d’exposition » !
Et bien non ! Le fret ferroviaire ne passera pas AVANT la tranquillité du voisinage ! Et nous irons jusque devant la Commission européenne pour faire respecter animaux et humains ! Les élu-es de Vénissieux et de Saint-Priest doivent démissionner. Les riverains en ont marre de chez marre. Ils ne veulent pas de ce projet de réaménagement porté par SNCF Réseau. ILS N’EN VEULENT PAS ! Ils n’ont plus confiance en la parole publique. Ils ne veulent plus de ces nuisances perpétuelles les affectant 24h/24h en vivant jours et nuits avec l’insécurité permanente, la pollution récurrente, les bruits incessants, etc… (Source : intervention publique au conseil municipal de Vénissieux de notre camarade Enrico REA).
Nos camarades de l'association "Halte aux bruits et à la vitesse" ont rejoint massivement notre collectif SPSVP (Stop Projet @sncfreseau Vénissieux Saint-Priest)
Ils ne veulent plus de nuisances sonores des rondes infernales de camions, (qui ne roulent même pas au gaz ou qui ne sont pas hybrides), et des bruits des freinages de trains, etc...
La ras-le-bol étant devenu général et à force de n'être pas écouté, le Collectif SPSVP (Stop Projet @sncfreseau Vénissieux Saint-Priest) - soutenu par l'association AURA Environnement - a demandé que la lutte soit désormais étendue à l'ensemble de la Région AURA (Auvergne-Rhône-Alpes) et au territoire national parce que les contribuables sont concerné-es par ce fantasque projet où les euros vont couler à flot !
Nous pensons donc qu'il y a eu potentiellement un discours à sens unique, voire une potentielle "mascarade" de « concertation », car, nous avons demandé à un de nos camarades d'assister à la concertation du 01/03/2021 à 17h 30. Il n'a pas du tout le souvenir que @sncfreseau ait demandé l'avis aux personnes présentes. Il semblerait que @sncfreseau aurait "exposé le projet et demandé s'il y avait des questions, mais rien de plus". Il n'y avait que 2 personnes dont un journaliste. AURA Environnement a demandé à @sncfreseau si une copie vidéo de cette réunion qui a dû être plus un monologue qu'un débat constructif a été conservée ? Nous l'attendons.
AURA Environnement s'est alarmé : "Peux-t-on vraiment parler de "concertation" démocratique lorsque certains riverains ou opposants ne savent même pas se servir d'internet, que celles ou ceux de nos camarades-ouvriers étaient dans les bouchons du retour de leur travail à leur domicile pendant le couvre-feu de 18h ?
A quoi bon commencer un débat public en visioconférence à 17h30, en plein couvre-feu ?
Nous pensons que les gens d'un rayon de 30 km autour de Saint-Priest-Vénissieux n'étaient pas assez informés. Nous ne sommes pas en Birmanie. Le peuple doit pouvoir connaître les tenants et les aboutissants de ce méga projet régional de tout de même 16 millions d'euros..... qui sont de l'argent public, alors qu'il est demandé aux françaises et aux français de se "serrer la ceinture" en ces temps de pandémie.
Le Collectif SPSVP (Stop Projet @sncfreseau Vénissieux Saint-Priest) pense donc que cette "concertation" semble opposable en l'état.
D'autant plus que le permis de construire délivré par la mairie de Saint-Priest est attendu autour de mai 2021 et que l'étude d'impact devrait montrer le bout de son nez en novembre 2021.
Pas d'enquête publique en perspective mais des riverains pas du tout "enchantés" comme on a pu le lire dans les medias locaux, des riverains remontés à bloc par le Collectif SPSVP (Stop Projet @sncfreseau Vénissieux Saint-Priest), des riverains et des animaux qui reprendront espoir grâce à nous... Objectif : la fermeture définitive de cette verrue ! Voilà le menu pour 2021 et années suivantes auquel 4F, SNCF Réseau et Naviland Cargo ne devait pas s'attendre. LOLNous demandons donc une nouvelle et véritable concertation, MAIS…. une fois que nous en aurons terminé avec le confinement et le couvre feu made in Covid-19 où les masses populaires pensent plus à se soigner qu'à participer à un « pseudo » débat qui ne sert pas du tout l'intérêt général !
Les habitant-es de toute la région Auvergne-Rhône-Alpes, regroupé-es autour du Collectif SPSVP (Stop Projet @sncfreseau Vénissieux Saint-Priest), ont besoin de plus de visibilité et d'être inform-ées pleinement sur ce projet de réaménagement de la plateforme de transport combiné de Vénissieux/Saint-Priest !
Le Covid-19 nous empêche de nous exprimer ! Nous voulons plus de démocratie et un vaste débat consensuel une fois la liberté de mouvement retrouvée pour que les animaux et les riverains ne supportent PLUS toutes ces nuisances insupportables !
« Tout va de travers. Les hommes souffrent, les animaux trinquent pendant que les puissants dirigeants du monde se réunissent, une fois de plus, constatant avec force et palabres que la Terre est malade. Rendez-vous ailleurs, dans dix ans, pour en parler encore, sans réagir…. Pourtant il est urgent de remettre les pendules à l’heure, d’épargner ce qui peut encore être sauvé, protégé. Notre société est pourrie, notre planète polluée, nos animaux empoisonnés, nos légumes transgéniques, notre air plus ou moins radioactif, notre ozone qui fout le camp, c’est une lente et irrémédiable décomposition non prévue par Nostradamus, mais préméditée, depuis longtemps par les irresponsables qui nous gouvernent. A vous de réagir. La balle est dans notre camp ». (Brigitte BARDOT, « Pourquoi », Editions du Rocher).
Nous serons extrêmement vigilant-es sur l’avenir de la santé des populations locales, la cause animale et environnementale de Vénissieux-Saint-Priest !
In solidum, Nous signataires de cette pétition avec le soutien des populations locales de Vénissieux/Saint-Priest, nous appelons à l'aide nos camarades de Greenpeace, de la Fondation Brigitte Bardot, de PETA France et nous demandons une vaste concertation nationale et internationale pour l’abandon définitif de ce projet imposé et inutile !
Marc-Claude de PORTEBANE
Président d'AURA Environnement
http://www.aura-environnement.com/
- Porte-parole du Collectif SPSVP (Stop Projet @sncfreseau Vénissieux Saint-Priest)
- Fondateur et porte-parole du Collectif de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux (+ de 46 000 Like sur Facebook)
https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/ -
Pollution vallée #Arve : AURA Environnement se mobilise avec maire Grenoble @EricPiolle & @FabienneGrebert !
- Par auraenvironnementparis
- Le 10/04/2021
- Dans STOP POLLUTION de L'AIR en HAUTE-SAVOIE
Le 20/03/2021 les écolos d'Auvergne-Rhône-Alpes
ont porté avec AURA Environnement
un message fort dans la Vallée de l'Arve et le 74 !
Eric PIOLLE (maire de Grenoble) et le fondateur d'AURA Environnement
Le 20 mars 2021, c'est aux côtés d'Eric PIOLLE, maire de Grenoble, que notre camarade Fabienne GREBERT, candidate à la présidence de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, est venue soutenir les militant-es et habitant-es de la région de la Vallée de l'Arve (74) dans leurs combats contre la pollution de l'air, un fléau non seulement environnemental pour lequel l'Etat avait été condamné, mais aussi sanitaire.
A l'orée du printemps qui s'annonce bien, pour notre camarade Fabienne GREBERT, sous l'angle des mobilisations pour le climat avec les discussions parlementaires sur le fiasco de la loi climat annoncées au 29 mars, notre camarade candidate écologiste s'est rendue le 20/03/2021 dans le territoire symbolique de la Vallée de l'Arve largement polluée par les fumées des cheminées des résidences secondaires de la bourgeoisie locale et des habitants du cru qui doivent supporter des froids glacials, voire épouvantables, les nuisances diverses des trains de la gare SCNCF de Chedde, les norias de camions aux odeurs pestilentielles parfumées au diesel qui déferlent sur l'A 40 à hauteur de Passy, direction Turin en passant par Chamonix-Mont-Blanc qui n'en fini plus d'absorber pollutions de l'air sur pollutions de l'air irrespirable, comme le sopalin aspirant les pollutions diverses et avariées des emmerdements locaux.
Y'en a plus que marre des pollutions des cheminées des poêles à bois ! (Source : http://www.aura-environnement.com/blog/indice-qualite-de-l-air-auvergne-rhone-alpes/vent-de-panique-passy-le-copab-passe-a-l-action-contre-cheminees.html)
Même si le mardi 03/12/2020, dans le cadre de la mise en œuvre du PPA de la vallée de l'Arve révisé pour la période 2019-2023, le préfet de la Haute-Savoie a signé un arrêté interdisant l'utilisation des foyers ouverts (en appoint ou en agrément) pour le chauffage au bois, à partir du 1er janvier 2022 dans la vallée de l’Arve, on ne pourra pas empêcher nos pauvres camarades-ouvriers de se chauffer au bois vert de rage !
En effet, la responsabilité du chauffage au bois non performant est flagrante dans les émissions de particules PM10 et PM2,5 sur le territoire de la vallée de l’Arve. Le chauffage au bois non performant reste le 1er contributeur aux PM10 et PM2,5 dans la vallée de l’Arve en moyenne annuelle. Il est en effet responsable de plus de 60 % des émissions de PM10 et peut atteindre une contribution de près de 80%, en hiver.
A l’horizon 2022, l’impact du fond Air bois cumulé à l’interdiction des foyers ouverts devrait permettre une baisse totale de 112 tonnes de PM10 d’ici 2022, ce qui représente 21 % d’émissions de PM10 sur la vallée de l’Arve en 2018 A l’horizon 2022, l’impact du fond Air bois cumulé à l’interdiction des foyers ouverts devrait permettre une baisse totale de 112 tonnes de PM10 d’ici 2022, ce qui représente 21 % d’émissions de PM10 sur la vallée de l’Arve en 2018 ! (Source : ATMO Auvergne-Rhône-Alpes) !
Par contre, nous avons observé que les immondes capitalistes bourgeois se chauffaient avec pratiquement une cheminée dans chaque pièce, alors que, dans Paris ou à Lyon, par exemple, il y a des pauvres SDF qui crèvent de froid au quotidien sur les trottoirs !
Que les boboïstes bourgeois de Passy, de Chamonix ou Saint-Gervais-les-Bains et des alentours se chauffent avec une bonne bouillote, se réchauffent avec un verre de Génépi et une bonne soupe aux choux si chère à notre regretté René FALLET ! Que ces crasseux de boboïstes arnacho-gauchisants, que nous combattons, commencent donc par nettoyer les filtres à air de leurs véhicules diesels en mauvais état de rouler dans la farine le Peuple de base et les services de l'Etat !
Que certains illuminé-es du joint des AMAP ou des Ressourceries de la région de Passy ou du 74 cessent de siphonner les subventions des collectivités territoriales.
Faut arrêter cette hypocrisie de façade et de raconter des salades ! A quoi bon produire et commercialiser des carottes et des patates dite "Bio" puisqu'elles sont polluées par les particules nocives des cheminées des multiples chauffages à bois ? .
C'est l'horreur à Chamonix-Mont-Blanc, la ville mal-gérée par Eric FOURNIER, le vice-président environnement-énergie de la Région AURA (Auvergne-Rhône-Alpes), alors qu'il n'y pas d'usine à poubelles !!! Les particules en suspension, le monoxyde de carbone (COà, le dioxyde d'azote (NO2), le dioxyde de soufre (SO2) explosent sous le nez de nos camarades chamoniard-es !
Et que penser également de la pollution de l'eau, à l'arsenic, à Chavanod près d'Annecy qui culbute les paramètres nationaux, (0,5 µg/L pour Chavanod CONTRE 4,8 µg/L au niveau national !!!).
Qui se soucie de la santé de nos camarades de la région d'Annecy proches de l'incinérateur à poubelles de Chavanod ? Qui en parle ? Personne. Qui n'en parle pas ? Tout le monde !
Nous avons parlé avec notre camarade Fabienne GREBERT, de ce que nous affirmions à propos de ces déchets illégaux en provenance de SYTRAD de Valence vers l'incinérateur Synergie de Chavanod (source : http://www.aura-environnement.com/blog/collectif-stop-incinerateur-lac-annecy-csila/dechets-illegaux-incinerateur-sila-collectif-stop-incinerateur-lac-annecy-csila-soutenu-ecrit-a-dreal74-et-au-prefet-74.html ).
Fabienne qui est conseillère municipale d'ANNECY nous a dit ne pas être au courant alors qu'elle est Vice-présidente du SILA en charge des études, des suivis scientifiques et des nouveaux usages liés au lac d'Annecy !!!!! Ptdr !
Pourtant, si AURA Environnement n'était pas intervenue auprès du cabinet du préfet 74 et de la DREAL 74 pour que ce projet de trafic cesse immédiatement, que ce serait-il passé, hein ???
Idem, mêmes questions avec notre camarade Eric PIOLLE, le maire de Grenoble, à propos de l'immonde incinérateur ATHANOR qui crame les immondes saloperies des ordures ménagères des poubelles grises ou vertes de l’agglomération grenobloise,.
Cette usine réceptionne et trie le contenu des différentes poubelles, par des moyens automatiques et par un tri manuel effectué par une trentaine de nos camarades ouvriers spécialisés. Environ un tiers des matières organiques présentes dans les poubelles grises est envoyé vers un centre de compostage, puis épandu dans des zones agricoles. Près de la moitié des matériaux recyclables présents dans les poubelles vertes (canettes, cartons, plastiques…) est extraite puis recyclée pour d’autres usages industriels.
Tout le reste est ensuite brûlé :
- les refus du centre de tri et du centre de compostage, ainsi que les déchets incinérables déposés en déchetteries (pour les communes appartenant à la Métropole) ;
- la collecte résiduelle et les refus de tri, ainsi que les ordures ménagères brutes des communes n’ayant pas de système de tri (pour les communes n’appartenant pas à la Métropole) ;
- les déchets hospitaliers.
L’incinération des ordures à Grenoble constitue un système de déplacement de la pollution : les ordures brûlées à plus de 800 degrés sont transformées en cendres stockées dans des décharges et en poussières qui se retrouvent dans l’atmosphère ou retombent sur les sols. Ces résidus sont chargés de métaux lourds et de particules fines toxiques. INFAMIE TOTALE !!!
Que fait notre camarade le maire de Grenoble ?
Les cheminées d’Athanor rejettent en effet des particules fines cancérigènes (dioxines, furannes…), des métaux lourds (arsenic, cadmium, plomb, mercure, nickel…), des oxydes d’azote et des gaz à effet de serre. Selon la Métro, qui a réalisé d’importants travaux en 2005 et 2006 pour améliorer le traitement des fumées, les rejets atmosphériques de l’incinérateur seraient conformes aux normes en vigueur.
Un SCANDALE, alors que nos camarades Fabienne GREBERT et Eric PIOLLE semblent ne pas se soucier de la qualité de vie dans leurs propres territoires !
Nous vous le répétons, camarades, les véritables défenseurs de l'Environnement : collectifs du terroir ou petites associations locales ne font pas de politique, encore moins de politique politicienne !
JAMAIS nous ne soutiendrons certains paltoquets qui ne recherchent que des maroquins ! Regardez donc l'affaire de Rugy !!!!.
Notre camarade Eric PIOLLE a semblé visiblement embarrassé par nos questions sur l'incinérateur ATHANOR situé dans sa propre commune. Pourquoi nos camarades du collectif COLL'AIRPUR ne montent-ils pas au créneau sur l'agglo de Grenoble ?
Et on comprends très bien notre camarade Eric PIOLLE : AUCUNE étude épidémiologique approfondie sur les conséquences sanitaires des rejets d’Athanor depuis sa création en 1994 n’a été réalisée dans le périmètre de rejet de l’usine et dans l’agglomération grenobloise.
Nos camarades Fabienne GREBERT et Eric PIOLLE sont venus poser devant l'incinérateur de Passy, (on dirait qu'il y a une fixette pathologique UNIQUEMENT sur Passy-SUEZ), alors que dans le département 74.... il y a une flopée de ces usines à poubelles qui crachent furanes et dioxines (Marignier, maître d'ouvrage SIVOM région de Cluses ; Thonon-les-Bains (maître d'ouvrage STOC du Chablais ; Chavanod (maître d'ouvrage SILA). EXPLOITANT de ces 3 incinérateurs : VEOLIA).
Pourquoi ne pas faire une photo de campagne aux futures élections régionales 2021 à la région AURA (Auvergne-Rhône-Alpes) dont le siège est à Lyon, devant 1 des 3 incinérateurs exploités par VEOLIA dans le département de la Haute-Savoie ou devant le projet d'extension de la décharge ONYX-VEOLIA à Chatuzange-le-Goubet qu'AURA Environnement a attaqué au tribunal administratif de Grenoble fin 2020 ? Mystère et boule de gomme ! Peut-être que les élu-es de Saint-Gervais-les-Bains vont nous aider à résoudre l'équation ???
C'est à celle ou celui qui va aller laver plus blanc que blanc chez les autres, dans les autres territoires, alors que dans sa communauté d'agglomération les cancers se multiplient à vitesse grand V ! Pas chez moi mais chez les autres (phénomène NIMBY dont l'acronyme tiré de l'anglais "Not In My BackYard" signifie "Pas dans mon arrière-cour) !
Accompagnée du maire écologiste de Grenoble et d'une dizaine de militant-es - (dont celles et ceux écolo-marxistes d'AURA Environnement) -, notre camarade Fabienne GREBERT s'est ainsi rendue dans un premier temps sur le marché de Sallanches à la rencontres des habitant-es affublés de combinaisons pour "marquer le coup" face à la pollution de l'air.
Nos camarades Fabienne GREBERT et Eric PIOLLE se sont entretenus avec les habitant-es, découvrant que les personnels pédagogiques dans les écoles portaient des chasubles rouges, oranges ou verts selon le niveau de pollution de l'air afin d'indiquer aux enfants qu'ils pouvaient courir : "Un scandale absolu : il est temps d'en finir avec ce monde qui marche sur la tête ! Protégeons nos enfants, notre santé : là est l'essentiel".
Mais nous allons "recycler" le département 74 de tous ces incinérateurs qui coûtent de l'argent aux contribuables et la vie de nos camarades. Nous nous sommes partagés la lutte frontale contre les incinérateurs de la Haute-Savoie : le collectif COLL'AIR PUR à Passy et Nous, sur Marignier, Chavanod et Thonon-les-Bains avec le collectif COBAP (COllectif du BOL d'Air Pur) qui rassemble plus de 150 militant-es !
Généralement lorsqu'AURA Environnement intervient au TA (tribunal administratif), c'est qu'il y a des abus inadmissibles CONTRE nos camarades animaux et humains, l'innocente nature très souvent massacrée à l'échelon local !
Et, jusquà ce jour, nous n'avons pas perdu un SEUL recours que ce soit contre la décharge NICOLLIN (Saint-Romain-en-Gal - Rhône-) ou le projet de décharge de PAPREC aux Granges-Gontardes dans la Drôme. (Sources : TA de Lyon, référé TA de Grenoble, Cassation Paris) !
On s'en fiche des politiciens et des industriels du Capital, nous ! On s'en tape de ces ignorant-es qui se servent du débat sur l'écologie, uniquement, pour faire avancer leurs GPII (Grands projets inutiles et imposés), mais qui font, en fait, reculer la planète parce que les subventions coulent à flot pour des projets de plus en plus gigantesques alors que les installations déjà en place suffoquent par manque d'entretien, du nucléaire aux usines à poubelles, des centres de tri fantasques aux décharges à poubelles à ciel ouvert ou des pôles multimodales vétustes qui côtoeint leurs collègues du Rail situés à quelques encablures comme c'est le cas entre celui de Vénissieux/Saint-Priest (Rhône) avec celui de Salaise-sur-Sanne (Isère) !
Alors que, par exemple, la ville de Vénissieux n'est distante de Salaise-sur-Sanne que de.... 54 km !!!!! LOL
Nous ferons exactement comme l'a martelé notre camarade Erir PIOLLE : "Les associations locales jouent un rôle fondamental, ici dans la Vallée de l'Arve, comme ailleurs, pour défendre la justice environnementale face aux industriels et aux lobbies. L'impunité des pollueurs, de ceux qui abîment notre santé, doit cesser. Nous voyons les ravages de la pollution de l'air causée par les activités humaines. Mieux se déplacer, mieux se nourrir, mieux respirer, mieux vivre.... la sobriété, c'est un défi réjouissant en fait ! Cela nous permet de nous reconnecter à l'essentiel". (Communiqué de presse EELV 20/03/2021)
- Nous COMBATTRONS le projet de 16 millions d'euros porté par SNCF Réseau, de réaménagement de la plateforme de transport combiné de la zone dite "résidentielle" - LOL - Vénissieux-Saint-Priest, parce que les populations locales sont ulcérées depuis des decennies par les nuisances sonores, le bruit particulier et le bruit résiduel, les cas de cancers qui frappent toute une rue, pollutions, risques accidentels !
- Nous LUTTERONS contre 2 projets de centre de tri de poubelles en France (En 2021 : Firminy - 42 - avec notre collectif CHUPA), et, (En 2022 : Saint-Denis-de-Pile - 33 - avec notre collectif SCTL - Collectif Stop Centre de Tri vers Libourne), où les animaux risquent de trinquer à cause des poussières, où la nature et les humains risquent de prendre une nouvelle claque en terme d'incendies à répétition !
- Nous nous OPPOSERONS au projet de décharge à poubelles de Fontsante dans le Var et porté par SUEZ (2022/2023) !
Pseudos "concertations" et pseudos "Débats publics" ne sont que des simulacres de démocratie dite "participative" durant lesquels les projets ont été volontairement morcelés afin d'occulter l'ampleur des risques et nuisances auxquels sont exposés nos camarades riverains proches ou éloignés de ces verrues !
Nous avons une vision différente des autres écolos : nous appliquons strictement notre discipline, celle de l'écologie-marxiste !
Nous n'imposons rien à l'ensemble de nos camarades de lutte !
Qui ne nous déteste pas, nous suive !
Marc-Claude de PORTEBANE
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AURA Environnement riposte : STOP future plateforme @sncfreseau combiné #Vénissieux Saint-Priest !
- Par auraenvironnementparis
- Le 07/04/2021
- Dans STOP à la plateforme @sncfreseau combiné #Vénissieux Saint-Priest
AURA Environnement et le Collectif SPSVP
(Stop Projet @sncfreseau Vénissieux Saint-Priest)
demandent à @sncfreseau une nouvelle concertation !
En pleine pandémie plus de 16 millions d'euros jetés par la fenêtre ?
Dès le 28/02/2021, AURA Environnement - qui apporte son entier soutien au Collectif SPSVP (Stop Projet @sncfreseau Vénissieux Saint-Priest) - , a envoyé un mail à la plateforme Vénissieux-Saint Priest concertation.pftc.venissieux.saint.priest@reseau.sncf.fr pour leur dire notre opposition à ce projet par rapport à la plateforme multimodale de Vienne-Sud Salaise/Sablons qui traite déjà plus de 800 000 T de marchandises en moyenne par an via l'eau, le fer et la route.
En effet, le Collectif des riverains - SPRPTCoVS - (STOP Projet de Réaménagement de la Plateforme Transport Combiné de Vénissieux-Saint-Priest) - refondu par l'ultra gauche d'AURA Environnement en Collectif SPSVP (Stop Projet @sncfreseau Vénissieux Saint-Priest) estime, notamment, que c'est un projet néfaste à l'aménagement du territoire des zones concernées et à l'environnement en région AURA (Auvergne-Rhône-Alpes), surtout en ce moment de plein confinement où l'Etat appelle les masses populaires à se "serrer la ceinture" parce que nous n'avons pas assez d'argent pour nous acheter des vaccins et de vacciner les plus pauvres d'entre nous qui vivent dans une détresse économique et psychologique totale.
Une levée en masse de nos camarades ouvriers du Rhône et de l'Isère nous a donc paru essentielle sur ce projet inutile.
Car ce projet fort coûteux vient, notamment, en contradiction avec le raccordement ferroviaire déjà programmé de la Zone industrialo-portuaire de Salaise et co-financé par l'Etat pour un montant de 2,135 M€. Cela fait suite à la confirmation du secrétaire d'Etat chargé des Transports, Jean-Baptiste DJEBBARI, auprès de la députée de la 7e circonscription de l'Isère, Monique LIMON.
Cet engagement en faveur de la Zone industrialo-portuaire de Salaise fait suite à l'adoption, le 18 décembre 2019, du budget de l'Agence de financement des infrastructures de transports de France (AFITF) pour l'année 2020. « L'adoption d'un budget par l'AFITF permet d'engager dès ce début d'année les crédits nécessaires à la réalisation des projets des contrats de plan Etat-Région (CPER). Ce premier budget depuis le vote de la Loi d'Orientation des Mobilités amplifie l'effort de modernisation des réseaux ferroviaires et routiers, conformément à la trajectoire figurant dans la loi », a souligné la députée dans son communiqué.
Les travaux permettront d'augmenter la capacité d'accueil de trains fret sur la zone Inspira. Ce site industriel multimodal représente déjà le second site ferroviaire de la région, avec plus de 600 000 tonnes de marchandises par an acheminées par le rail. Pour développer son attractivité et répondre aux entreprises souhaitant s'implanter, un nouvel accès pour les trains venant du Sud a été imaginé.
La communauté de communes du Pays roussillonnais (CCPR) a sollicité l'Epora pour lancer une étude de gisements fonciers économiques à l'échelle de son territoire. Une convention d'études et de veille foncière liant la CCPR, la commune de Salaise-sur-Sanne et Epora a été signée.
Nous apportons donc tout notre soutien à nos camarades cheminots de Salaise qui craignent pour leur emploi !
Le Collectif SPSVP (Stop Projet @sncfreseau Vénissieux Saint-Priest) est donc fermement opposé au projet de réaménagement de la plateforme de transport combiné de Vénissieux-Saint-Priest.
Le 07/03/2021, Mr Louis POIDEVIN, (chargé des relations institutionnelles et de la concertation de SNCF Réseau) mettait plus d’une semaine pour nous répondre.
Ensuite, le 09/03/2021, nous lui avons simplement demandé par mail s'il y aurait un AP (arrêté préfectoral), voire, une EP (enquête publique).
Quel mal il y a, à poser ce genre de questions ?
Nous n'avons reçu aucune réponse ! Foin de démocratie participative ! Dans la poche les promesses faites aux riverains qui n'en peuvent plus de cette verrue ?
Alors qu'une association "Halte aux bruits et à la vitesse" a été crée le 22 juillet 1996 par un groupe de riverains pour lutter contre les nuisances engendrées par une noria de camions qui passe sous leurs fenêtres jours et nuits ?
Ces camions circulent au milieu d'une zone résidentielle pour desservir un centre de groupage et la gare de triage dite de « Vénissieux » alors qu'elle est sur le territoire de Saint Priest.
Le site en question se trouve entre la voie ferrée (Lyon, Grenoble, Chambéry) et le Chemin du Charbonnier.
Au fil des années, l'association "Halte aux Bruits et à la vitesse" a attiré des adhérents habitant d'autres secteurs des deux villes. Ainsi, elle a étendu son champ d'action.
En 2002, RFF se penche sur le Contournement Ferroviaire de l'Agglomération Lyonnaise (CFAL). La ligne historique se trouve impactée par le dispositif envisagé.
L'association décide d'adhérer à F.R.A.C.T.U.R.E, Fédération qui regroupe toutes les associations de l'Est Lyonnais touchées par le projet. Avec FRACTURE , elle demande que le CFAL suive la ligne LGV actuelle, car ce tracé, plus à l'EST, est celui qui impacte le moins les populations.
De plus, il est le tracé le plus efficient pour un véritable développement du fret ferroviaire
Après avoir épuisé toutes les démarches auprès des autorités et devant le manque de volonté des pouvoirs publics pour trouver des solutions, l'association, accompagnée par les municipalités de Vénissieux et de Saint Priest, par le député GERIN et le Sénateur Guy FISCHER, a organisé des manifestations avec des blocages du Chemin du Charbonnier.
La ras-le-bol étant devenu général et à force de n'être pas écouté, le Collectif SPSVP (Stop Projet @sncfreseau Vénissieux Saint-Priest) - soutenu par l'association AURA Environnement - a demandé que la lutte soit désormais étendue à l'ensemble de la Région AURA (Auvergne-Rhône-Alpes), du Cantal à la Drôme, de la Haute-Savoie à l'Allier, de la Haute-Loire à l'Ain, parce que les contribuables sont concerné-es par ce fantasque projet où les euros vont couler à flot alors qu'il n'y aurait qu'un seul camion roulant au gaz dans le lyonnais !
Nous pensons donc qu'il y a eu potentiellement un discours à sens unique, voire une "mascarade" de concertation, car, nous avons demandé à une de nos camarades d'assister à la concertation du 01/03/2021 à 17h 30.
Elle n'a pas du tout le souvenir que @sncfreseau ait demandé l'avis aux personnes présentes. Il semblerait que @sncfreseau aurait "exposé le projet et demandé s'il y avait des questions, mais rien de plus". Il n'y avait que 2 personnes dont un journaliste.
AURA Environnement a demandé à @sncfreseau si une copie vidéo de cette réunion qui a dû être plus un monologue qu'un débat constructif a été conservée ? Nous l'attendons.
AURA Environnement s'est alarmé : "Peux-t-on vraiment parler de "concertation" démocratique lorsque certains riverains ou opposants ne savent même pas se servir d'internet, que celles ou ceux de nos camarades-ouvriers étaient dans les bouchons du retour de leur travail à leur domicile pendant le couvre-feu de 18h ? A quoi bon commencer un débat public en visioconférence à 17h30, en plein couvre-feu ? Nous allons demander à Mr le 1er ministre, un report ou une extension de cette "concertation", car nous pensons que les gens d'un rayon de 30 km autour de Saint-Priest-Vénissieux n'étaient pas assez informés. Nous ne sommes pas en Birmanie. Le peuple doit pouvoir connaître les tenants et les aboutissants de ce méga projet régional de tout de même 16 millions d'euros..... qui sont de l'argent public, alors qu'il est demandé aux françaises et aux français de se "serrer la ceinture" en ces temps de pandémie. Les services de l'Etat et notre ministre de l'économie et des finances se doit d'être plus vigilant quant aux deniers publics pour un projet qui nous semble inutile dans le contexte régional même si la considération "Carbone" est à mettre au crédit de SNCF Réseau. Mais combien coûte en consommation électrique une locomotive et ses 32 wagons ? Il faut bien des centrales pour produire l'électricité, nucléaire ou autres. Les habitant-es de Saint-Priest et de Vénissieux connaissent-ils tous les chiffres clés, hormis les compte-rendus publiés dans la PQR ? "
Le Collectif SPSVP (Stop Projet @sncfreseau Vénissieux Saint-Priest) pense donc que cette "concertation" semble opposable en l'état.
Nous demandons donc une nouvelle concertation, une fois que nous en aurons terminé avec le confinement et le couvre feu, dûs au Covid-19 où les masses populaires pensent plus à se soigner qu'à participer à une concertation qui ne sert pas l'intérêt général !
Les habitant-es de toute la régon Auvergne-Rhône-Alpes, regroupé-es autour du Collectif SPSVP (Stop Projet @sncfreseau Vénissieux Saint-Priest), ont besoin de plus de visibilité et d'être inform-ées pleinement sur ce projet de réaménagement de la plateforme de transport combiné de Vénissieux/Saint-Priest !
Le Covid-19 nous a empêché de nous exprimer ! Nous voulons plus de démocratie et un vaste débat consensuel une fois la liberté de mouvement retrouvée !
Marc-Claude de PORTEBANE
Pdt d'AURA Environnement
http://www.aura-environnement.com/
Porte-parole du Collectif SPSVP (Stop Projet @sncfreseau Vénissieux Saint-Priest)
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Déchets illégaux Incinérateur Sinergie VEOLIA à Chavanod : #Dreal 74 pas ok !
- Par auraenvironnementparis
- Le 26/10/2020
- Dans Collectif Stop Incinérateur Lac Annecy (CSILA)
Après l'intervention d'AURA Environnement
la DREAL d'Annecy refuse ces déchets illégaux
en provenance du SYTRAD de Valence !!!
Suite à la décision N° 193-20 prise par Mr le président du SILA en date du 08/07/2020 (document public téléchargé sur le site internet du SILA) autorisant l’incinérateur Sinergie de Chavanod à recevoir des déchets en provenance de la Drôme, et après avoir alerté les services de l'Etat et des Douanes de la Haute-Savoie, le maire écolo d'Annecy, la DREAL 74 nous a répondu.
Nous demandions solennellement d’une part de proposer à Monsieur le préfet de la Haute-Savoie de rejeter sans délai cette décision du Président du SILA via le contrôle de légalité et d’autre part de prendre immédiatement un arrêté de mise en demeure de l’exploitant de l’incinérateur afin que le SILA cesse de recevoir ces déchets interdits.
En effet, nous nous étions aperçus que cet acte, reçu en préfecture de la Haute-Savoie le 10/07/2020, contrevenait manifestement aux prescriptions de l’arrêté préfectoral d’autorisation N°PAIC 2016-0039 du 10/06/2016 de cette installation classée pour la protection de l’environnement qui limite dans son article 3.2.1 sa zone de chalandise aux seuls départements limitrophes.
AURA Environnement indiquait également à la DREAL 74 que la tension est grande sur les installations de traitement de déchets en Auvergne Rhône-Alpes et que notre association, présente sur toute la région, est extrêmement attentive à ce que les exploitants (publics et privés), ainsi que les administrations de tutelle (DREAL et Préfectures) respectent scrupuleusement les règles qui doivent s’imposer à chacun.
En effet, les 265 000 habitant-es du SILA composé des 73 communes de la Communauté d’agglomération Grand Annecy, de la Communauté de communes des Sources du lac d’Annecy, de la Communauté des communes des Vallées de Thônes, de la Communauté de communes du Pays de Cruseilles et de la Communauté de communes Fier et Usses ne pouvaient accepter que leurs élus bafouent ainsi les règles qui leurs sont applicables et attendaient des services de l’Etat, donc de la DREAL 74 qui est en charge de la surveillance de cette installation classée, qu’ils soient intransigeants dans leur contrôle.
Rappel : la société VALOMSY a son siège à Beauregard-Baret (commune défavorable à la décharge VEOLIA de Chatuzange-le-Goubet) et possède un établissemnt secondaire à Etoile-sur-Rhône (vers Valence).
Mr CRESPINE de la DREAL 74 nous a donc répondu :
AURA Environnement
Monsieur de PORTEBANE
Je vous remercie pour ces informations et votre courrier concernant la décision 193-20 du 8 juillet 2020 relative à la "convention d'apports de combustible solide de récupération de la société Valomsy au SILA.
En réponse, je vous informe que le SILA m'a précisé que cette convention n'avait pas utilisée et qu'il s'est en outre engagé, par courrier du 24 août 2020, à ce qu'elle ne le soit pas et à ce que son retrait soit inscrit à l'ordre du jour du prochain comité syndical qui se tiendra après l'installation des nouveaux élus du SILA.
Cordialement -
Question droiture fac de droit Jean Monnet #Saintetienne : Véolia peut mentir à vie décharge Chatuzange-le-Goubet ?
- Par auraenvironnementparis
- Le 15/10/2020
- Dans STOP #décharge ONYX-VEOLIA à Chatuzanges-le-Goubet
Bobards en série aux populations locales
proches de la décharge ONYX-VEOLIA
de Chatuzange-le-Goubet depuis 2012 !
Qu'en pense le doyen Jean-Baptiste BONNET
de la faculté de droit "Jean Monnet" de Saint-Etienne ?
A l'extérieur du campus en ces mauvais temps de Covid-19, prière de mettre le masque.... pour mieux en rire de ce qu'il se disait en 2012 dans la presse locale de Chatuzange-le-Goubet.
Ces polémiques faisaient suite à une pétition - version papier - lancée par les populations locales de la décharge mal gérée d'ONYX-VEOLIA et la presse locale soutenait mordicus l'exploitant et la mairie au détriment de la qualité de vie des citoyens.
Quels contrepoids disposent donc les riverains d'une décharge qui disperse de continuelles nuisances lorsque les medias se font le chantre du capitalisme ?
AURA Environnement a donc décidé de lancer l'offensive en apportant son total soutien au collectif CDFEC (Collectif de Défense de l'Environnement à Chatuzange-le-Goubet) pour que le projet de prolongation et d'extension de la décharge ONYX-VEOLIA ferme définitivement ses portes au 31/12/2021.
Le CDFEC qui rassemble plus d'une centaine de militant-es a le soutien des populations locales ulcérées par la pollution visuelle, l'envol des plastiques et les odeurs nauséabondes d'une décharge qui longe l'autoroute A49 !
RIPOSTE au capital !
PLUIE de MISSIVES sur Chatuzange-le-Goubet :
AURA Environnement déclenche l'opération
"Tonnerre d'Hiver" !
Répondant au désespoir des camarades du collectif de Défense de l'Environnent de Chatuzange-le-Goubet (CDFEC) - indépendant et apolitique - qui désirait une contre-attaque, AURA Environnement a donc déclenché l'opération "Tonnerre d'Hiver" (nom de code : eigne1005) sur tout le territoire de la commune de Chatuzange-le-Goubet.
Plus de 3 000 tracts ont surgi dans les boites aux lettres des habitant-es de la commune les informant de l'offensive surprise lancée par nos camarades drômois du CDFEC et surtout de ce qui les attendait pour les 23 années à venir et ce, jusqu'au 31/12/2043, alors qu'en 2012, "Drôme Hebdo" du 25/10/2012 affirmait que "Le site ne va pas s'aggrandir, c'est faux, il va même fermer en 2022" tandis que les riverains exprimaient leur ras-le-bol de toutes ces nuisances.
"Drôme Hebdo" parlait même d' "une prétendue extension du site", comme si les habitants locaux étaient desinformés ! Un comble ! A quoi bon faire des études de droit ?
Or, l'arrêté préfectoral (n° 26-2020-07-09-002) signé par le préfet de la Drôme le 09/07/2020 vient justifier les craintes des populations locales. Prolongation de la décharge : oui. Extension de la décharge : oui. Projet de pont autoroutier : oui. Encore des odeurs : oui. Encore des envols de plastiques : oui. Nuisance visuelle : oui. Dégradation du cadre de vie : oui. Encore plus d'enfouisssements de déchets : oui. Possibilité de tonnages supplémentaires : oui. Nouvelles rondes infernales de camions : oui. Encore un nouveau casier, cette fois de l'autre côté de l'A49 et encore plus proche des maisons d'habitations : oui. Nouvelles nuisances sonores : oui. Ambroisie en alerte danger : oui. "Bip bip" de recul des engins lourds : oui. Nuisances sonores des tirs de minage et leurs terribles vibrations 1 à 2 fois/jour : oui......
........Stress lié à la transmission des vibrations par le sol : oui. Privation du monde agricole de 17,2 ha de terres cultivables de bonne valeur agronomique, au nez et à la barbe de la CDPENAF (Commission départementale des espaces naturels agricoles et forestiers) : oui. Risque potentiel d'impact du réseau d'irrigation du canal de la Bourne exploité par le Syndicat d'Irrigation Drômois (SID) : oui. Ecopâturage par nos camarades moutons sur les surfaces végétalisées remplies de poubelles : oui. Rafales de vent du Nord sur le futur casier J soufflant en direction de l'A49 : oui. Lixiviats : oui. Le "Pôle Stockage Energie" est-il juste un nom commercial donné au site d'ONYX ARA-VEOLIA à Papelissier, au 810 chemin des Taillandiers à Chatuzange-le-Goubet : oui. Dialogue de sourds avec les riverains depuis les années 2010 : oui. Contestation de l'arrêté préfectoral au tribunal administratif de Grenoble : ENFIN OUI !
Ensuite, AURA Environnement a lancé une pétition (internet et papier) qui récolte à ce jour plus de 60 000 signatures en même pas 1 semaine : AU SECOURS nos ânes de Chatuzange-le-Goubet. STOP à l'extension de la décharge à poubelles ONYX-VEOLIA (26) ! https://www.mesopinions.com/petition/animaux/secours-nos-anes-chatuzange-goubet-stop/108012
Le Covid-19 et les mesures de sécurité - dont la distanciation sociale - imposées aux citoyens nous ont empêché de manifester en masse devant la mairie de Chatuzange-le-Goubet.
Nous appellons les masses populaires qui nous soutiennent à opter pour une manifestation virtuelle sur les chemins de Chatu, le 08 novembre 2020 à 10h !
Camarades laboureurs de votre avenir, avançons vers la victoire à Chatuzange-le-Goubet ! .
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+ de 64 000 Signatures. PETITION : AU SECOURS nos ânes de Chatuzange-le-Goubet. STOP à l'extension de la décharge à poubelles ONYX-VEOLIA (26) !
- Par auraenvironnementparis
- Le 07/10/2020
- Dans Pétition AU SECOURS nos ânes de Chatuzange-le-Goubet. STOP à l'extension de la décharge à poubelles ONYX-VEOLIA (26) !
AU SECOURS nos ânes de Chatuzange-le-Goubet. STOP à l'extension de la décharge à poubelles ONYX-VEOLIA (26) !
LIEN de la PETITION :
https://www.mesopinions.com/petition/animaux/secours-nos-anes-chatuzange-goubet-stop/108012
64 848 Signatures ------ 693 Commentaires
Auteur :
Marc-Claude de PORTEBANE, Président d'AURA Environnement – Porte-parole du CDFEC (Collectif de Défense de l'Environnement à Chatuzange-le-Goubet), Fondateur du collectif de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux.
Destinataire(s) :
Emmanuel Macron (Président de la République)
Madame la présidente de la Commission européenne Ursla Von der Leyen, Madame Brigitte Bardot, présidente de la Fondation Brigitte Bardot
La pétition
Le CDFEC (Collectif de Défense de l'Environnement à Chatuzange-le-Goubet) soutenu par AURA Environnement se mobilise en s’opposant au projet d'extension intolérable de la décharge à poubelles d'ONYX-VEOLIA où les odeurs et les envols de plastiques divers sont insupportables au quotidien pour les riverains. La société ONYX Auvergne-Rhône-Alpes (ONYX ARA) appartient à part entière à la société VEOLIA Recyclage et Valorisation des Déchets (RVD).
Cette décharge accueille actuellement des déchets non-dangereux ultimes de la Drôme, de l’Ardèche, de l’Ain, de l’Isère, du Rhône, de la Savoie et de la Haute-Savoie dans des zones de stockage dites « casiers » qui sont le A, B, C , D,E, F, G et H. Seul le casier H est encore en exploitation car il a été autorisé jusqu’au 01/01/2022 par arrêté préfectoral du 23/03/2004 pour un apport maximal de 180 000 T/an.
Or, l’association de protection des animaux et de l’environnement AURA Environnement a pu observer que de pauvres ânes allaient devoir – ENCORE – subir les aléas de cette décharge immonde qui n’en finit pas de polluer l’existence des animaux et des humains puisque l’arrêté préfectoral du 09/07/2020, n° 26-2020-07-09-002, signé par le préfet de la Drôme, viendra submerger une commune déjà largement polluée par d’infâmes odeurs malodorantes et des envols de plastiques, du 01/01/2020 jusqu'au 31/12/2021 : 180 000 T/an, du 01/01/2022 jusqu'au 31/12/2024 : 150 000 T/an, du 01/01/2025 jusqu'au 31/12/2043 : 90 000 T/an. Cerise sur le gâteau : sur demande de l'exploitant, la décharge sera autorisée à 50 000 T/an supplémentaires à partir du 01/01/2025 !!!
AURA Environnement a constaté, le 15/03/2018, des envols de plastiques sur l'autoroute A49 reliant Valence à Grenoble et qui longe cette décharge qui dispose d'une autorisation d'exploiter jusqu'au 01/01/2022.
Mais cela ne suffit pas, il faut encore et encore plus de déchets à enfouir dans le Nord du département de la Drôme.
L’avis des animaux ne compte pas, alors qu’ils ne sont pas considérés tels des meubles mais comme êtres vivants !
Ils doivent vivre dans la dignité avec tout cela comporte en terme d’espace vital adapté à leur condition physique !
Un projet de pont sur l’A 49 est projeté pour être implanté dans un contexte géologique et hydrologique potentiellement dangereux, notamment dans une zone qui sera implanté dans des formations alluvionnaires surmontant les mollasses.
Comment ne pas s’interroger sur le trafic actuel incessant non loin du quartier des Blaches situé au Nord-Ouest de la décharge de Chatuzange-le-Goubet (61 camions/jour de livraison de déchets + 5 camions/jour de déchets inertes + 45 camions/jour pour l’évacuation des déchets) ?AURA Environnement mettra toute son énergie en venant à l’aide des populations locales ulcérées par ce projet de pont autoroutier qui devrait desservir le futur casier J dont la partie Nord-Est à 600 m au Sud-Est d’une ZNIEFF de type 1 dite le « Confluent de la Joyeuse et de l’Isère » et en partie à l’intérieur d’une ZNIEFF de type II dite la « Zone fonctionnelle de la rivière Isère en aval de Grenoble », sans compter l’inventaire des papillons où les services de l’Etat ont relevé 42 espèces, (Enjeu considéré comme très fort), dont une protégée : l’azure du serpolet, classée en liste rouge !!
Le rapport de l'enquête publique du 21/01/2019 dirigée par le commissaire enquêteur, Jacques FINETTI, dans ses conclusions motivées est éloquent concernant les envols d'éléments légers !
Mr et Mme X parlent de leur enfer quotidien : "Depuis notre arrivée création du casier actuel ; extraction de matériaux, poussières, tirs de mines qui font trembler le sol et les habitations, des milliers de tonnes de déchets, odeurs, envolements... pour une échéance en 2022. Projet présenté : 2022-2024 on remet une couche sur le casier existant. 2024-2032 on creuse de nouveau, des milliers de tonnes de déchets avec les effets que nous connaissons. 2032-2042 cerise sur le gâteau on franchit l'autoroute et on recommence. Aucune compensation malgré la proximité du site et dévalorisation de l'habitat. Lors d'une réunion avec Véolia on nous promet que par des propos bien argumentés.....".
« Nous vivons dans un monde de folie incontrôlable, un monde en contradiction totale avec les règles les plus élémentaires que la nature nous enseigne depuis des millénaires, un monde de cinglés qui prend en otage les animaux, essayant de les rendre responsables de tous les maux dont notre puissance de destruction les accable à travers nos propres dérives ». Brigitte BARDOT « Pourquoi » Editions du Rocher
On tourne en boucle à Chatuzange-le-Goubet : réhausse d'un casier existant, création d'un nouveau casier dans la continuité des autres, puis extension de l'autre côté de l'autoroute A 49 !!!
AURA Environnement et son avocat Me François RUFFIE du barreau de Libourne ont réussi à faire fermer par le tribunal administratif de Lyon la décharge NICOLLIN à Saint-Romain-en-Gal (69), fait capoter le PLU des Granges-Gontardes (26) visant à installer le projet de décharge COVED en gagnant leur référé au tribunal administratif de Grenoble puis la Cassation voulue par la mairie des Granges-Gontardes qui ne pouvait faire appel..... Nous avons besoin des populations locales autour de Chatuzange-le-Goubet pour que le tribunal administratif de Grenoble ordonne la fermeture DEFINITIVE de la décharge ONYX-VEOLIA.
ONYX-VEOLIA ne nous écoute pas au lieu-dit Papelissier au 810, chemin des Taillandiers à Chatuzange-le-Goubet. L'Etat doit entendre le collectif CDFEC !
Nous, signataires de cette pétition d'AURA Environnement, nous demandons, in solidum, aux services de l’Etat :
- La fermeture définitive de cette décharge de Chatuzange-le-Goubet.
- Une étude épidémiologique sur les animaux vivant dans les alentours de cette décharge.
- Une expertise complète sur les sacs plastiques et autres emballages ayant contenu des aliments sucrés ou odorants avalés par les animaux.
- Une expertise pour les préjudices subis par les populations locales en terme de santé, d’esthétisme (Conseil d’État 01/10/1996) et désagréments divers !
L’antispécisme appelle à une nouvelle révolution copernicienne contre les tenants de l’obscure tradition qui tentera toujours de défendre l’indéfendable, par peur de voir son modèle rassurant vaciller en s’opposant de façon systématique au tri sélectif des déchets et à la loi de transition énergétique !
Les habitants et tous les animaux de Chatuzange-le-Goubet pourront toujours compter sur le CDFEC (Collectif de Défense de l'Environnement à Chatuzange-le-Goubet) et le Collectif de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux soutenus par AURA Environnement.
Mobilisons-nous à Chatuzange-le-Goubet, Romans et Valence !
Marc-Claude de PORTEBANE
- Fondateur de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux (+ de 46 800 Like sur Facebook)
https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/- Président d’AURA Environnement
http://www.aura-environnement.com/
- Porte-parole du CDFEC (Collectif de Défense de l'Environnement à Chatuzange-le-Goubet), -
Chatuzange-le-Goubet : le Collectif CDFEC s'oppose à l'extension de la décharge d'ONYX-VEOLIA !
- Par auraenvironnementparis
- Le 05/10/2020
- Dans Pôle stockage énergie VEOLIA Chatuzange-le-Goubet
Le CDFEC se mobilise
(Collectif de Défense de l'Environnement à Chatuzange-le-Goubet)
et s'opposera au projet d'extension intolérable
de la décharge d'ONYX-VEOLIA !
Le CDFEC (Collectif de Défense de l'Environnement à Chatuzange-le-Goubet) né de la fusion avec le Collectif Halte Décharge Veolia Chatuzange-le-Goubet (CHDVC), soutenu par AURA Environnement, a décidé de s'opposer au projet d'extension de la décharge rajeunie en "pôle stockage énergie d'ONYX-VEOLIA" à Chatuzange-le-Goubet, où les odeurs et les envols de plastiques divers sont insupportables au quotidien pour les riverains.
Cette décharge qui dispose d'une autorisation d'exploiter jusqu'au 01/01/2022 assure vouloir un projet de continuité - dont est défavorable le CDEFC - en ne prenant pas en compte les enjeux locaux de traitement des déchets.
Par leur transformation et valorisation en électricité, ce "pôle de stockage énergie" ne relèvera pas vraiment les défis de la transition énergétique et de l'économie circulaire puisque les odeurs persistent.
Très attentif sur le suivi du ruisseau de la "Béaure" qui draine la nappe de la molasse à l'est de ce pôle, le CDEFC, en vérifiant plusieurs analyses, a constaté qu'il faisait l'objet d'un suivi trimestriel en amont et en aval du site. Ce suivi réalisé par le laboratoire d'analyses de la Drôme permettrait ainsi d'appréhender les éventuelles contaminations pouvant sortir du flanc est du site (anciens dépôts). Nous ne lâcherons donc rien sur l'innocent "Béaure" !
En ce qui concerne les odeurs, le CDEFC a pu constater qu'elles continuaient d'augmenter cet été 2020 en dépit des évolutions réglementaires, alors que l'exploitant assure que des vannes de régulation automatisées et connectées aux prévisions météorologiques devraient être installées. Elles devraient permettre un réglage et une optimisation du réseau de biogaz pour anticiper les nuisances olfactives, alors que ce n'est pas le cas de nos jours !!!!
Le CDEFC a relevé d'immondes perceptions d'odeurs et d'envols de plastiques sur l'autoroute reliant Romans à Grenoble et qui longe cette décharge.
Le CDEFC a demandé à AURA Environnement pour qu'elle intervienne auprès du préfet de la Drôme afin que cessent ces envols de plastiques, qui, portées par les vents violents, sont nuisibles pour les populations locales et les automobilistes.
Ainsi, le 04/04/2018, AURA Environnement, après avoir constaté des envols de centaines de plastiques sur l'A49 écrivait à AREA..
En effet, le 15 mars 2018, nous étions parti de Valence en direction de Grenoble via l’autoroute A 49, avant le centre de péage n° 9 de Chatuzange-le-Goubet et nous avions observé des milliers de sacs plastique longeant la décharge ONYX-VEOLIA, non loin du lieu-dit « Pourcieux », comme on pouvait le constater via nos photos. Plusieurs sacs plastique s'étaient retrouvés sur notre pare-brise. Ce qui n’est pas normal et particulièrement dangereux.
Nous demandions à AREA s’il existait un plan de collecte des déchets qui s’envolent d’ONYX, si des pénalités existaient dans ces cas de pollution visuelle et environnementale, combien de fois cela se reproduisait-il dans une année, quelles sanctions AREA envisageait de prendre en cas de récidive ? Des accidents se sont-ils déjà produits à cet endroit à cause de ces envols ?
Lassé d'attendre une réponse qui ne venait pas, le 25/08/2020, le président d'AURA Environnement écrivait directement aux actionnaires américains d'APRR (Bron - Rhône-), le gestionnaire du réseau via sa filiale AREA (Saint-Marcellin - Isère -) :
"Vous vous êtes bien gardés ne pas donner suite à notre courrier (photos à l’appui), du 04/04/2018 vous alertant sur les dangers encourus par les conducteurs de véhicules concernant les envols de plastiques longeant la décharge ONYX-VEOLIA, non loin du lieu-dit « Pourcieux », et ce, de Valence en direction de Grenoble via l’autoroute A 49, avant le centre de péage n° 9 de Chatuzange-le-Goubet,
Pourtant, lors d’une réunion dans la Drôme, le 22/05/2018, j’ai rencontré Mr RIVAT de VEOLIA qui m’a bien confirmé que vous lui aviez fait part de nos observations sur ces envols inadmissibles. Il semblerait d’ailleurs que les contrôles des envols de plastiques par l’UT Dreal Drôme-Ardèche n’aient pas été suffisamment effectués, car comment expliquer que des milliers de plastiques puissent joncher votre l’A49 dont vous en avez la concession via le consortium Eiffarie (Eiffage + Macquarie) ?
Comme vous ne voulez toujours pas nous répondre, j’ai écrit au préfet de la Drôme, le 15/08/2018, tout juste après le dramatique incident du pont de Gênes en Italie, pour lui faire part de votre attentisme plutôt inquiétant.
D’autant plus que vous n’êtes pas sans savoir que la société ONYX Auvergne-Rhône-Alpes de Vaulx-en-Velin, vient de demander la recevabilité de sa demande d’autorisation d’extension aux services de l’Etat, de sa décharge de Chatuzange-le-Goubet, classée en ISDND.
La société ONYX Auvergne-Rhône-Alpes (ONYX ARA) appartient à part entière à la société VEOLIA Recyclage et Valorisation des Déchets (RVD), qui appartient à part entière au groupe VEOLIA.
Cette décharge accueille actuellement des déchets non-dangereux ultimes de la Drôme, de l’Ardèche, de l’Ain, de l’Isère, du Rhône, de la Savoie et de la Haute-Savoie dans des zones de stockage dites « casiers » qui sont le A, B, C , D,E, F, G et H. Seul le casier H est encore en exploitation car il a été autorisé jusqu’au 01/01/2022 par arrêté préfectoral du 23/03/2004 pour un apport maximal de 180 000 T/an.
Dans ce dossier de recevabilité par les services de l’Etat dans la Drôme, VEOLIA indique qu’un pont est nécessaire sur l’autoroute A49, pour l’exploitation du futur casier J (Phase 3, exploitation de ce casier pendant 9 ans, implanté au Nord de l’autoroute A 49, donc nécessitant la réalisation d’un ouvrage de franchissement de cette autoroute…).
Dans la présentation de son projet d’extension de sa décharge sur des terrains agricoles, VEOLIA précise qu’il s’est rapproché de la société AREA « pour la signature d’une convention bipartite pour la réalisation des études, de la construction et de l’entretien du pont enjambant l’autoroute A 49 ».
Au vu de nos constats d’envols de plastiques sur les pare-brises des utilisateurs de votre A 49, nous ne pensons pas que VEOLIA fasse pleinement bénéficier la société ONYX ARA de son « savoir-faire » et de ses capacités en matière de gestion des déchets, notamment en matière de tri, de collecte, de recyclage ou de stockage, puisque les plastiques s’envolent et pullulent dangereusement sur une autoroute dont la devise est « Nous sommes là » !!!
Je suis vraiment désolé, mais vous n’êtiez pas vraiment là lorsque nous avons constaté ces envols de plastiques sur l’A 49, en ces jours de vents mauvais de début de printemps 2018.
Puisque vous n’êtes pas réactifs à nos alertes sur les dangers encourus par vos usagers de l’A49, une copie de ce courrier sera adressée au Pdg Benoît de RUFFRAY et aux actionnaires d’Eiffage ainsi qu’au groupe MACQUARIE via le service aux actionnaires de BNY Mellon à Pittsburg aux Etats-Unis.
Nous vous alertons sur les dangers encourus par la construction d’un tel pont enjambant l’A 49 pour rejoindre le potentiel futur casier J qui aura notamment, les caractéristiques suivantes : surface 7 000 m² ; longueur 220 m ; largeur minimale 23 m ; pente uniforme de 5% vers le Nord-Ouest.
En effet, au vu de ce qui vient de se passer à Gênes, nous demanderons au tribunal administratif de désigner des experts afin d’intégrer pleinement l’évaluation de la stabilité du casier J, en phases d’exploitation et de post-exploitation en terme de conditions normales et sous séisme du fait de la proximité immédiate de cette autoroute A 49.
Le projet de pont sur l’A 49 est projeté pour être implanté dans un contexte géologique et hydrologique potentiellement dangereux, notamment dans une zone qui sera implanté dans des formations alluvionnaires surmontant les mollasses.
AURA Environnement met en garde les utilisateurs de cette autoroute A 49 et sur ce projet d’étude de faisabilité entre le concessionnaire autoroutier AREA et VEOLIA, tout cela parce que la société VEOLIA veut faire encore plus d’économies afin, notamment, de conserver les infrastructures existantes à l’exploitation de ce casier J, alors que les autres casiers sont déjà MAL gérée par ONYX qui ne respecte déjà pas ses obligations de sécurité des usagers de votre autoroute A49 qui est déjà la « poubelle » autoroutière de la Drôme, grâce à l’incompétence d’ONYX-VEOLIA !
Comment ne pas s’interroger sur le trafic actuel incessant non loin du quartier des Blaches situé au Nord-Ouest de la décharge de Chatuzange-le-Goubet (61 camions/jour de livraison de déchets + 5 camions/jour de déchets inertes + 45 camions/jour pour l’évacuation des déchets) ?
AURA Environnement mettra toute son énergie en venant à l’aides des populations locales ulcérées par ce projet de pont autoroutier qui desservira ce casier J dont la partie Nord est à 600 m au Sud-Est d’une ZNIEFF de type 1 dite le « Confluent de la Joyeuse et de l’Isère » et en partie à l’intérieur d’une ZNIFF de type II dite la « Zone fonctionnelle de la rivière Isère en aval de Grenoble », sans compter l’inventaire des papillons où les services de l’Etat ont relevé 42 espèces, (Enjeu considéré comme très fort), dont une protégée : l’azure du serpolet, classée en liste rouge !!
En ce qui concerne les risques technologiques et le transport des matières dangereuses, il n’est pas question de faire prendre des risques d’accident majeur aux usagers d’AREA au cas où un camion se retournerait ou en heurterait un autre sur ce projet de pont enjambant l’autoroute A 49. Or, il a été à déplorer déjà deux déversements de lixiviats, l’un en 2010 (dans le canal de la Bourne) et l’autre en 2013 (renversement d’une citerne de transport, lors d’un accident de la route : déversement de lixiviat sur le bas-côté).
Sans compter que VEOLIA, en retour « d’expérience » (Sic) de l’actuelle décharge de Chatuzange-le-Goubet reconnaît – dans sa demande d’autorisation d’extension aux services de l’Etat – que les incendies constituent les évènements principaux affectant les installations de traitement et d’élimination des déchets, suivis par les rejets de produits dangereux, puis les explosions (stockage de déchets interdits explosibles, ou fuite de biogaz).
Depuis 2007, 8 départ de feu sont survenus dans le casier de stockage en cours d’exploitation (Source VEOLIA).
Quelles incidences en terme d’accidentologie pour le futur pont enjambant votre autoroute A 49 ?
Toujours en terme de retour « d’expérience » (Sic) de l’actuelle décharge de Chatuzange-le-Goubet, VEOLIA reconnaît qu’un autre facteur de risque est « constitué par le vent, compte-tenu de la proximité de l’autoroute A 49 » puisque que « des envols de déchets pourraient en effet provoquer un accident ».
C’est exactement ce qu’AURA Environnement vous a dénoncé dans notre courrier du 04/04/2018. Vous avez préféré ne rien dire, façon « à l’italienne » : on ne répond que lorsque que l’on est acculé par la presse, le gouvernement, les populations, uniquement lorsqu’il y a des dizaines de morts sur une autoroute européenne ?
Avec les photos d’envols de plastiques en masse sur l’A 49 qu’AURA Environnement a envoyé à AREA, nous ne pouvons qu’émettre un sérieux doute sur les mesures mises en œuvre par VEOLIA pour prévenir ce risque majeur avec la mise en place de filets pare-envols troués ou tout simplement pliés sous l’effet des vents forts !!!
Après le dramatique accident du pont de Gênes, AURA Environnement a demandé au préfet de la Drôme, de rassurer les populations locales de Chatuzange-le-Goubet, sur le projet de collecteur de biogaz sur ce projet de pont envisagé sur l’A 49 :
- Comment sera assurée sa protection physique ?
- Les vannes automatisées seront-elles asservies à un capteur de pression ?
- Que se passera-t-il en cas d’affaissement de ce pont enjambant l’A 49, en cas de rupture du collecteur de biogaz ?
- Est-il normal de faire passer sur la tête des usagers de l’A 49, à hauteur de Chatuzange-le-Goubet, un collecteur de biogaz susceptible de n’être pas isolé par une intervention humaine ?"
Et ce n'est que le 06/09/2018 qu'AREA nous répondait !!
Il est clair que notre mail du 04/04/2018 à AREA avait fait réagir VEOLIA qui parle de "fait" plutôt "exceptionnel" comme si c'était la première fois que les envols de plastiques, c'était de la faute du vent et du manque de prévisions de la préfecture de la Drôme !!!
Le rapport de l'enquête publique (EP) dirigée par le commissaire enquêteur (CE) Jacques FINETTI, dans ses conclusions motivées est éloquent concernant les envols d'éléments légers.
Le projet d'extention phase 3 (casier J) sans le pont sur l'A49
Documents, Photos © AURA Environnement
En effet, un commentateur (dont le nom n'a pas été publié, indique : "Différentes mesures sont proposées pour limite les envols. Pour autant on sait qu'il très difficile de les supprimer totalement. La position du casir J situé au nord et sous le vent du nord par rapport à l'autoroute A49 me paraît préoccupante (risques pour la circulation autoroutière en cas d'envolement massifs).....".
Mr et Mme X parlent de leur enfer quotidien : "Depuis notre arrivée création du casier actuel; extraction de matériaux, poussières, tirs de mines qui font trembler le sol et les habitations, des milliers de tonnes de déchets, odeurs, envolements... pour une échéance en 2022. Projet présenté : 2022-2024 on remet une couche sur le casier existant. 2024-2032 on ceruse de nouveau, des milliers de tonnes de déchets avec les effets que nous connaissons. 2032-2042 cerise sur le gâteau on franchit l'autoroute et on recommence. Aucune compensation malgré la proximité du site et dévalorisation de l'habitat. Lors d'une réunion avec Véolia on nous promet que par des propos bien argumentés.....".
L'actuelle décharge d'ONYX-VEOLIA à Chatuzange-le-Goubet....
Les mêmes réjouissances pour les riverains après 2022 ???
Bonjour les dégâts : du 01/01/2020 jusqu'au 31/12/2021 : 180 000 T/an
Du 01/01/2022 jusqu'au 31/12/2024 : 150 000 T/an
Du 01/01/2025 jusqu'au 31/12/2043 : 90 000 T/an
Cerise sur le gâteau : Sur demande de l'exploitant, la décharge sera
autorisée à 50 000 T/an supplémentaires à partir du 01/01/2025 !!!
(Source : Arrêté préfectoral n° 26-2020-07-09-002 du 09/07/2020)
Sur l'impact environnemental, la Frapna pose les bonnes questions : "Le site du projet est très proche et se rapproche encore dans son évolution, des habitations. L'impact sanitaire de l'équipement sur les populations est-il évalué ? Sur quels critères, sur quel échantillon de population, avec quel suivi ? ".
Dommage que la FRAPNA ait approuvé la demande d'autorisation d'extension de cette décharge d'ONYX-VEOLIA à Chatuzange-le-Goubet, lors du CODERST du 16/06/2020 ! Si on ne peut plus compter sur les associations environnementales de la Drôme !
Il n'y a bien qu'AURA Environnement pour s'y être opposé depuis le début en ayant demandé de maintes fois le programme du CODERST à la préfecture de la Drôme !
Les réjouissances à venir pour les riverains :
Casier H (Uniquement la réhausse à compter du 01/01/2022, en tant que simple poursuite d'exploitation) : Surface à la base, hors digues : 60 000 m² ; Capacité de stockage : 300 000 m3...
Casier I : Hauteur des déchets : 40 m ; Capacité de stockage : 1 400 000 m3....
Casier J : Hauteur des déchets : 41 m ; Matériaux excavés : 784 000 m3 ; Capacité de stockage : 1 240 000 m3...
Cette décharge a bénéficié en 1976 d'un premier arrêté préfectoral, puis d'autres casiers de déchets non-dangereux (DND) ont été autorisés. Ils ont été appelés A, B, C, D, E, F, G, et H. Seul le casier H est encore en exploitation. Il a été nautorisé jusqu'au 01/01/2022 par arrêté préfectoral n° 04-1193 ezn date du 23/03/2004. La quantité maximale de DND pouvant être accueillis s'élevant à 180 000 T/an...
Le cauchemar continuera donc pour les riverains de cette décharge. Les promesses de fermeture définitive ne valent pas plus qu'un pet jeté à la figure des populations locales.
On tourne en boucle à Chatuzange-le-Goubet : réhausse d'un casier existant, création d'un nouveau casier dans la continuité des autres, puis extension de l'autre côté de l'autoroute A 49 !!!
Place aux futurs casiers I, J et ainsi de suite.... pour les futures générations qui naîtront avec la dévalorisation de leur milieu naturel et de leurs habitats...
Où est l'intérêt général dans tout cela ?
IL EST GRAND TEMPS DE DIRE STOP à la poursuite de la DECHARGE d'ONYX-VEOLIA à Chatuzange-le-Goubet qui est en train de devenir la poubelle du Nord de la Drôme !
AURA Environnement et son avocat Me François RUFFIE du barreau de Libourne ont réussi à faire fermer par le tribunal administratif de Lyon la décharge NICOLLIN à Saint-Romain-en-Gal (69), fait capoter le PLU des Granges-Gontardes (26) visant à installer le projet de décharge COVED en gagnant leur référé au tribunal administratif de Grenoble puis la Cassation voulue par la mairie des Granges-Gontardes qui ne pouvait faire appel..... Nous avons besoin des populations locales autour de Chatuzange-le-Goubet pour que le tribunal administratif de Grenoble ordonne la fermeture DEFINITIVE de la décharge ONYX-VEOLIA.
ONYX-VEOLIA ne nous écoute pas au lieu-dit Papelissier au 810, chemin des Taillandiers à Chatuzange-le-Goubet. L'Etat doit entendre le collectif CDFEC !
A suivre
Marc-Claude de PORTEBANE
-
Déchets illégaux incinérateur SILA : Collectif Stop Incinérateur Lac Annecy (CSILA) alerte #Dreal74 et préfet 74 !
- Par auraenvironnementparis
- Le 21/08/2020
- Dans Collectif Stop Incinérateur Lac Annecy (CSILA)
Le Collectif Stop Incinérateur Lac Annecy (CSILA)
soutenu par AURA Environnement alerte #Dreal74, #préfet74
et élu-es du Grand Annecy Agglomération !
AURA Environnement
aura-environnement@protonmail.com
àUD DREAL
Mr CRESPINE
15, Rue Henry Bordeaux
74 998 ANNECY Cedex
Clermont-Ferrand, le 20/08/2020
Monsieur l’inspecteur des installations classées,
Suite à notre entretien téléphonique du 18/08/2020, je vous prie de trouver ci-joint la décision N° 193-20 prise par Mr le président du SILA en date du 08/07/2020 (document public téléchargé sur le site internet du SILA) autorisant l’incinérateur Sinergie de Chavanod à recevoir des déchets en provenance de la Drôme.
Cet acte, reçu en préfecture de la Haute-Savoie le 10/07/2020, contrevient manifestement aux prescriptions de l’arrêté préfectoral d’autorisation N°PAIC 2016-0039 du 10/06/2016 de cette installation classée pour la protection de l’environnement qui limite dans son article 3.2.1 sa zone de chalandise aux seuls départements limitrophes.
Comme vous le savez, la tension est grande sur les installations de traitement de déchets en Auvergne Rhône-Alpes et notre association, présente sur toute la région, est extrêmement attentive à ce que les exploitants (publics et privés), ainsi que les administrations de tutelle (DREAL et Préfectures) respectent scrupuleusement les règles qui doivent s’imposer à chacun.
En conséquence, je vous demande solennellement d’une part de proposer à Monsieur le préfet de la Haute-Savoie de rejeter sans délai cette décision du Président du SILA via le contrôle de légalité et d’autre part de prendre immédiatement un arrêté de mise en demeure de l’exploitant de l’incinérateur afin que le SILA cesse de recevoir ces déchets interdits.
Par ailleurs, je compte naturellement sur votre vigilance et sur celle du service des Douanes pour que la TGAP appliquée aux déchets non autorisés qui seraient reçus à Sinergie soient assujettis au taux majoré de 110 €/t conformément aux articles 266 sexies IV et 266 nonies 1.A-0 du code des douanes.
Les 265 000 habitant-es du SILA composé des 73 communes de la Communauté d’agglomération Grand Annecy, de la Communauté de communes des Sources du lac d’Annecy, de la Communauté des communes des Vallées de Thônes, de la Communauté de communes du Pays de Cruseilles et de la Communauté de communes Fier et Usses ne peuvent accepter que leurs élus bafouent ainsi les règles qui leurs sont applicables et attendent des services de l’Etat, donc de vous qui êtes en charge de la surveillance de cette installation classée, qu’ils soient intransigeants dans leur contrôle.
Dans l'attente de votre réponse rapide, je vous prie de croire, Monsieur Crespine, à l'assurance de ma considération distinguée.
Marc-Claude de PORTEBANE
Président de l’association de protection environnementale et de défense des animaux
AURA EnvironnementSite : http://www.aura-environnement.com/
Copies :
M. le préfet de la Haute-Savoie, M. le président du SILA, M. le Directeur régional des douanes et droits indirects du Léman, Mr le président du Sytrad, Mr le maire d’Annecy
-
Elle avait voté NON #SUEZ Roche-la-Molière. #Frapna votera OUI #Coderst26 POUR extension décharge ONYX-VEOLIA à Chatuzange-le-Goubet ?
- Par auraenvironnementparis
- Le 11/02/2020
- Dans STOP #décharge ONYX-VEOLIA à Chatuzanges-le-Goubet
Alors que la Frapna s'est déchaînée au CODERST42 contre
la décharge de SUEZ de Borde-Matin à Roche-la-Molière !
STOP A L'INJUSTICE !
Des torrents de boue se déversent aux Granges-Gontardes :
AURA Environnement demande à la FRAPNA Drôme Nature Environnement
et au MNLE de s'opposer au projet de décharge VEOLIA à Chatuzanges-le-Goubet
lors du prochain CODERST26 !
AURA Environnement a déclenché l'opération "Rouge-Gorge" à Chatuzange-le-Goubet CONTRE le projet d'extension de la décharge ONYX-VEOLIA.
AURA Environnement a donc décidé d'interpeller la FRAPNA Drôme Nature Environnement et le MNLE pour qu'ils se déchaînent comme la FRAPNA l'a fait contre le projet d'extension de SUEZ à Borde-Matin à Roche-la-Molière dans la Loire.
AURA Environnement qui était également opposé à ce projet a réussi par ailleurs, à faire fermer la décharge de Saint-Romain-en-Gal (Rhône) alors que....... la FRAPNA avait voté POUR au Coderst 69 !!!
Voici notre courrier à la FRAPNA et au MNLE !
...................................................................................................................
AURA Environnement Le 09/02/2020
Association loi 1901
Identification R.N.A : W033003439
Protection environnementale et de défense des animaux
7, rue du Creux de l’Enfer
63000 CLERMONT-FERRAND
06 40 29 68 72
Mail : aura-environnement@protonmail.com
Site : http://www.aura-environnement.com
A
FRAPNA Drôme Nature Environnement
38, rue de Verdun
26 000 VALENCE
et
MNLE-26-07
La Verne
26 800 MONTOISON
Objet :
Contestation Extension décharge VEOLIA Chatuzange-le-Goubet CODERST
MAIL + RAR
Camarades,
Le 03/02/2020, le Collectif Halte Décharge Veolia Chatuzange-le-Goubet (CHDVC) soutenu par AURA Environnement a écrit au préfet de la Drôme pour lui dire qu’il s’opposait à cet ordre du jour du Coderst du 13/02/2020.
Le préfet de la Drôme nous a entendu. Le Coderst 26 n’examinera pas l’extension de la décharge de Veoila dans le Nord de la Drôme dans sa cession du 13/02/2020.
Nous combattrons avec toute notre dernière énergie ce projet ahurissant de décharge de 140 000 T à Chatuzange-le-Goubet dans un département déjà largement saturé en nombre de DND.
Le préfet et la Dreal-26 ne peuvent pas autoriser de sur-capacité par rapport à ce qui est prévu dans le PRGD pour la Drôme, soit 150 kt maximum pour l’ensemble des 2 projets de Chatuzange-le-Goubet et de Roussas/Les Granges-Gontardes.
Tout est écrit en page 398 du PRPGD adopté en décembre 2019 :
4.7.3.6 Prescriptivité et recommandations retenues par le Plan
« Compte tenu de cette situation d’excédent de capacité de stockage et de la difficulté à faire évoluer les projets et les installations existantes, le plan ne prévoit pas d’aller en dessous des maximas imposés par la règlementation en termes de capacité (1.1Mt en 2025), même si les besoins courants sont plus faibles.
Ceci afin de ne pas rendre encore plus difficile le respect des principes d’autonomie et de proximité.
Cette posture se justifie également par le fait que l’analyse de sensibilité montre que le passage de 2025 peut être délicat, que les capacités excédentaires (entre les besoins et les maxima) peuvent servir à des besoins périphériques, ou faciliter la gestion des déchets en situation exceptionnelle.
Afin de respecter le principe de proximité, le plan rend prescriptif par bassin de vie, c’est à- dire par département, les capacités maximales annuelles des installations de stockage de déchets non dangereux à partir de 2025. La somme des capacités par département respecte la capacité régionale maximale autorisée de 1,1 million de tonnes par an à partir de 2025 et jusqu’à l’échéance du PRPGD :
Capacités maximales annuelles des ISDND à partir de 2025, en Aura : 1 100 000 T.
Capacités maximales annuelles des ISDND à partir de 2025 dans le département de la Drôme : 300 000 tonnes.
200 000 T pour Donzère et 100 000 T pour Coved Roussas/Les Granges-Gontardes maximum en comptant les réquisitions, il n’y a donc plus de place pour le DAE de Chatuzange-le-Goubet.
Comment peut-on autoriser 140 000 T dans le Nord de la Drôme à Chatuzange-le-Goubet alors que les capacités autorisables sont largement saturées ?
Depuis le PRPGD, il n’y a donc plus de place pour une 3° décharge dans la Drôme mais aussi dans le respect de la loi de transition énergétique.
Nous espérons que la Frapna nous soutiendra au prochain Coderst alors qu’elle avait voté POUR la prolongation de la décharge Nicollin à Saint-Romain-en-Gal (69) et que nous avons réussi à faire fermer en exerçant un recours au TA de Lyon contre l’APC de Mr le préfet du Rhône qui visait à poursuivre une prolongation de plus sans consultation des élus locaux et des riverains qui subissaient depuis des années les odeurs pestilentielles générées par cette immonde décharge.
Nous espérons que la Frapna et le MNLE-26 soutiendront les populations locales réunies autour du Collectif Halte Décharge Veolia Chatuzange-le-Goubet (CHDVC) lors du prochain avis consultatif du CODERST qui devrait se prononcer prochainement sur l’extension de la décharge VEOLIA à Chatuzange-le-Goubet alors que la FRAPNA avait voté CONTRE l’extension d’exploitation du site de Borde-Matin géré par Suez, cette fois-ci, au Coderst du 05 février 2018 dans la Loire (Source : http://www.activradio.com/le-coderst-donne-son-feu-vert-a-lextention-dexploitation-du-site-de-borde-matin-par-suez/) .
La Frapna n’avait pas hésité pour insister, lors de l’enquête publique (27/02/2017 au 29/03/2017) contre l’extension de la décharge Suez RV Borde Matin, sur : « un centre de stockage qui génère de nombreuses nuisances sur le plan écologique…. il serait temps de faire jouer la solidarité régionale…. Un grand centre de stockage pour la région est une aberration écologique…. ».
Afin de tenir compte des dispositions de la loi de transition énergétique pour la croissance verte, nous comptons sur la Frapna Auvergne-Rhône-Alpes et le MNLE-26 pour que le projet présenté par ONYX- ARA VEOLIA ne dépasse pas 70 000 T/an s’il était présenté à l’ordre du jour du futur Coderst 26.
Préservons l’eau, l’air et nos surfaces agricoles naturelles à Chatuzange-le-Goubet. Nous ne voulons pas de réhausse du casier existant, la création d’un nouveau casier dans la continuité des autres, puis extension de l’autre côté de l’autoroute A 49 avec la construction d’un pont très coûteux pour les collectivités territoriales.
Nous contesterons le futur AP si celui-ci autorise ce projet inutile de 140 000 T de déchets non-dangereux (DND) car il ne peut y avoir d’autre intérêt général que la réduction drastique des déchets.
Je vous joins le courrier adressé à Mr le préfet de la Drôme et à la Dreal.
Cordialement
Marc-Claude de PORTEBANE
Président d’AURA Environnement
Porte-parole du Collectif Halte Décharge Veolia Chatuzange-le-Goubet (CHDVC)
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AURA Environnement fait capoter l'ODJ du Coderst 26 extension décharge ONYX-VEOLIA à Chatuzanges-le-Goubet
- Par auraenvironnementparis
- Le 10/02/2020
- Dans STOP #décharge ONYX-VEOLIA à Chatuzanges-le-Goubet
AURA Environnement et le collectif CHDVC
- Collectif Halte Décharge Veolia Chatuzange-le-Goubet -
déclenchent l'opération "Rouge-gorge" en faisant capoter
l'ordre du jour du Coderst du 13/02/2020 qui aurait permis de
donner 140 000 T à l'extension #décharge d'ONYX-VEOLIA
avec le feu vert de la FRAPNA Drôme nature environnement ?
Alors que des cloportes essaient de saboter les actions d'AURA Environnement et du Collectif de Protection de l'Environnement vers Roussas/Les Granges-Gontardes largement soutenu par une grande partie des gontardien-nes qui ont gagné à la sueur de leur front le recours en référé contre le 1er PLU des Granges-Gontardes et la Cassation, AURA Environnement a décidé de déclencher la riposte contre les oiseaux de mauvaise augure qui veulent nous savonner la planche, pour ne pas dire mentir aux populations locales lors d'actuelle enquête publique sur le PLU des Granges-Gontardes en minimisant notre rôle.
AURA Environnement, en boomerang, a donc décidé de déclencher l'opération "Rouge-gorge" contre le projet d'extension de la décharge d'ONYX-VEOLIA qui ne repectera pas les conditions de la loi de transition énergétique (LTE)..
Tandis que l'ordre du jour avait été envoyé à tous les membres du Coderst de la Drôme pour la session du 13/02/2020, le Collectif Halte Décharge Veolia Chatuzange-le-Goubet (CHDVC) soutenu AURA Environnement a décidé d'interpeller le préfet de la Drôme, Hugues MOUTOUH et la Dreal 07/26 sur notre opposition au projet d'extension de la décharge de Chatuzanges-le-Goubet, parce qu'il n'y pas de place au projet de Veolia au Nord de la Drôme, parce que les populations locales en ont plus que marre des envols de plastiques dans les champs ou sur l'autoroute A49, des odeurs, du projet de pont enjambant l'A 49, etc....,
Camarades, vous voudrez bien trouver ci-joint le contenu de notre courrier au préfet de la Drôme.
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Monsieur le préfet,
Il semblerait que le prochain Coderst 26 ait à rendre un avis le 15/02/2020 sur un projet de décharge à Chatuzange-le-Goubet et présenté par la société ONYX ARA du groupe VEOLIA. La société ONYX Auvergne-Rhône-Alpes (ONYX ARA) appartient à part entière à la société VEOLIA Recyclage et Valorisation des Déchets (RVD), qui appartient à part entière au groupe VEOLIA.
Le Collectif Halte Décharge Veolia Chatuzange-le-Goubet (CHDVC) soutenu par AURA Environnement s’oppose à ce potentiel ordre du jour du Coderst et contestera, in fine, votre futur AP autorisant ce projet de 140 000 T de déchets non-dangereux (DND).
La décharge à Chatuzange-le-Goubet a bénéficié en 1976 d’un premier AP d’autorisation d’exploiter un casier de stockage de DND, appelé zone de stockage « SIVOM ». Ensuite, d’autres casiers (A à H) de DND ont été exploités sur une surface globale d’environ 45 ha. Le casier H est encore en exploitation (Réhausse par digue périphérique). Il a été autorisé jusqu’au 01/01/2022 par AP n° 04-1193 su 23/03/2004. La
quantité maximale de ces DND pouvant être accueillis s’élève à 180 000 T/an.Ceci représentait et représente encore, déjà, une position quasi-monopolistique dans le nord de la Drôme alors que les besoins en DND dans la Drôme ne sont pas répartis de façon équitable et surtout pas du tout en corrélation avec la loi de transition énergétique.
Les populations locales rassemblées autour du Collectif Halte Décharge Veolia Chatuzange-le-Goubet (CHDVC) ne veulent pas d’une nouvelle autorisation d’exploiter de cette décharge qui accueille des DND ultimes comme les refus des opérations de tri et recyclage des déchets, des ordures ménagères résiduelles, des encombrants de déchèteries, des déchets d’activités économiques, des refus de broyats automobiles (RBA) et des mâchefers utilisés comme couverture intermédiaire.
Ces DND proviennent principalement des départements de la Drôme et de l’Ardèche mais aussi de l’Ain, de l’Isère, du Rhône, de la Savoie et de la Haute-Savoie.
Ce projet ne pourrait se faire que via un PLU déjà totalement acquis à sa cause et fait « sur-mesure » et ce, au dépens de l’abandon de nos zones agricoles ainsi que par l’apport d’une quantité annuelle maximale de déchets de 150 000 T entre 2022 et 2024, puis de 140 000 T à compter de 2025, hors dépannages ponctuels de dernière minute, pour une quantité journalière dite maximale de 1 500 T.
Cette extension nécessiterait 2 nouveau casier :
- Le I, accolé au casier H, pendant 10 ans
- Le casier J pendant 9 ans, implanté au Nord de l’autoroute A 49, donc nécessitant la réalisation d’un ouvrage de franchissement de cette
autoroute.Les populations locales ne veulent pas d’une extension de cette décharge qui devrait porter son exploitation sur une période s’étalant de 2022 à 2043, avec risque d’AP interminaux concernant des vides de fouille qui n’en finiraient plus pour cette capacité de stockage estimée à minima de 2 940 000 m3 moins 1 014 000 m3, soit environ 1 800 000 T qui seraient commercialisés.
Le Plan de prévention et de gestion des déchets non-dangereux régional, non encore notifié, s’est donné comme objectif prioritaire d’imposer à partir de 2025, une capacité annuelle d’élimination par stockage des DND qui ne soit pas supérieure à 50 % de la
quantité des DND admis en installation de stockage en 2010 (Article R. 541-17).Nous aimerions que les compatibilités de projets en cours en ce début 2020, dans la Drôme, ne soient pas discriminatoires les unes, les autres.
Pourquoi tolérer un projet titanesque de 140 000 T comme celui de VEOLIA dans le Nord de la Drôme et refuser le projet PAPREC aux Granges-Gontardes, au Sud de ce département qui annonce lui, dans l’actuelle enquête publique (EP) que 75 000 T de DND ?
Deux poids, Deux mesures ?
Puisque la loi sur la transition énergétique pour la croissance verte (LTECV) de 2015 fixe une réduction de la mise en décharge de 50% des déchets non-dangereux à l’échéance 2025 par rapport à 2010, pourquoi le projet PAPREC ne répondrait-il pas, lui aussi, finalement, à l’intérêt général puisqu’on peut lire qu’il entend respecter ce que la loi impose : le développement de la réutilisation et du recyclage des déchets ?
Avec de tels objectifs que nous ne contestons pas, et ce, dans le cadre d’une planification rigoureuse et une politique ambitieuse des différentes collectivités, la réduction de la quantité de déchets à enfouir ne devrait-elle pas être plus importante et s’accroître régulièrement chaque année, comme par exemple, dans le Nord de la Drôme et plus précisément à Chatuzange-le-Goubet étant donné que ceci devrait
engager une planification rigoureuse et une politique efficace des différentes collectivités ?Cette planification devrait permettre un calcul adapté des besoins en centre d’enfouissement dans les années à venir, pour le département de la Drôme et pour les départements voisins. Pour limiter les transports et responsabiliser chaque territoire sur les impacts de ces décharges, il semble donc nécessaire de les répartir géographiquement au plus près des besoins.
Le gisement des déchets Drôme/Ardèche appartient à tous les exploitants et ne doit pas être réparti à deux monopoles existants qui voudraient gérer l’avenir de la valorisation des déchets de façon inéquitable et totalement opportuniste.
Le plan Drôme-Ardèche de prévention et de gestion des déchets estimait, pour 2010, les déchets enfouis en « décharges » à 599 500 tonnes par année, dont 200 500 tonnes « importées » d’autres départements que la Drôme et l’Ardèche. Sur l’année 2025, pour appliquer la loi TECV, les déchets enfouis sur ce territoire devront être réduits à 299 750 tonnes dont 100 250 importées.
Or, le monopole n’est absolument pas conventionné par la loi dite de TECV.
Autoriser ce projet d’extension de décharge à Chatuzange-le-Goubet qui ne répond pas à l’intérêt général, c’est développer la production des déchets pour alimenter l’économie locale, c’est admettre que nous n’engagerons pas leur réduction de façon équitable sur les départements de la Drôme et de l’Ardèche !
Sans parler de l’avenir de la compatibilité de ce projet de décharge à Chatuzange-le-Goubet, nous ne pouvons pas tolérer de nouveaux dysfonctionnements détectés suite au non-respect des consignes du protocole de sécurité mis en place pour cette décharge de Chatuzange-le-Goubet, comme ce fut le cas en 2015 (source : rapport de l’exploitant 2016), avec :
- La distance de sécurité non-respectée lors du vidage des bennes
- Le risque de chute des chauffeurs sur bennes
- Les bennes non-adaptées aux déchets
- La vitesse excessive sur le site des « Pourcieux »
- Le non-respect des panneaux de signalisation
- Le non-port des EPI
- Les bennes non-bâchées arrivant sur le site.Nous aimerions que vous puissiez transmettre à la DREAL de l’Unité inter-départementale Drôme-Ardèche notre demande de rapports de contrôle de cette ICPE de Chatuzange-le-Goubet en terme d’inspection approfondie, courante, ponctuelle, annoncée ou inopinée, planifiée ou circonstancielle conformément à l’arrêté ministériel du 15/02/2016 relatif aux ISDND (Articles 16-IV et 31 : « radioactivité » ;
Article 16- II : « pesage » ; Article 14 – II : « Bassin de stockage des eaux de ruissellement internes au site » ; Article 16-III : « Toute canalisation de rejet à l’extérieur de l’installation est équipée d’un dispositif, synchronisé avec les rejets, mesurant le pH, la conductivité et la quantité d’effluents rejetés » : Article 33- III « Débroussaillage et procédure relative à la conduite à tenir en cas d’incendie sur l’installation » ; Article II non applicable aux ISDND existantes « Volume minimal à tenir et niveau des lixiviats stocké », et à l’AP d’autorisation d’exploiter.Les populations locales de Chatuzange-le-Goubet rassemblées autour du CHDVC ne veulent plus d’odeurs qui constituent la nuisance la plus dénoncée par les riverains (Source : Rapport de la DREAL du 04/07/2018), puisqu’en 2016, pas moins de 21 réclamations de riverains agacés ont été enregistrées, dont 19 portant sur les odeurs émises au niveau du site. La période estivale étant la plus délicate, la température
élevée accélère la biodégradation étant donné que la vie en extérieur est beaucoup plus importante qu’en hiver.La mauvaise gestion par ONYX-VEOLIA des déchets et des lixiviats a donc été la panacée sur le site des « Pourcieux » à Chatuzange-le-Goubet et ce, aux dépens de la qualité de vie de nos camarades-riverains.
Les populations locales de Chatuzange-le-Goubet rassemblées autour du CHDVC dénoncent la non-maîtrise des envols des déchets et ce, nonobstant l’équipement de filets pare-envols, comme ce fut le cas, lorsque le 04/04/2018 nous avons alerté les sociétés APRR et AREA, gestionnaire de cette autoroute. Nous avions observé (photos-preuves à l’appui) de nombreux envols de plastiques en provenance du site d’exploitation d’ONYX situé au lieu-dit « Pourcieux » sur cette chaussée très fréquentée, axe Valence-Grenoble.
Les populations locales de Chatuzange-le-Goubet rassemblées autour du CHDVC sont opposées au projet préalable d’aménagement d’un pont devant franchir l’A 49 au Sud-Est du casier « J » en forme d’un dôme fantasque, et qui sera supérieur à 225 m NGF, car ceci n’évitera pas l’augmentation du trafic routier du hameau des « Blaches » et du quartier des « Pourcieux », mais surtout un surcoût aux collectivités territoriales aux finances locales exsangues dû, tout d’abord aux études de faisabilité de ce projet technique.
Les risques technologiques et le transport des matières dangereuses sont à prendre en compte de façon primordiale. Il n’est pas question de faire prendre des risques d’accident majeur aux usagers d’AREA au cas où un camion se retournerait ou en heurterait un autre sur ce projet de pont enjambant l’autoroute A 49. Or, il a été à déplorer déjà deux déversements de lixiviats, l’un en 2010 (dans le canal de la Bourne) et l’autre en 2013 (renversement d’une citerne de transport, lors d’un accident de la route : déversement de lixiviat sur le bas-côté).
Ce projet de pont sur l’A 49 est prévu pour être implanté dans un contexte géologique et hydrologique potentiellement dangereux, notamment dans une zone qui sera ancrée dans des formations alluvionnaires surmontant les mollasses.
Les populations locales de Chatuzange-le-Goubet rassemblées autour du CHDVC s’interrogent sur le devenir du collecteur de biogaz sur ce projet de pont envisagé sur l’A 49 :
- Comment sera assurée sa protection physique ?
- Les vannes automatisées seront-elles asservies à un capteur de pression ?
- Que se passera-t-il en cas d’affaissement de ce pont enjambant l’A 49, en cas de rupture du collecteur de biogaz ?
- Est-il normal de faire passer sur la tête des usagers de l’A 49, à hauteur de Chatuzange-le-Goubet, un collecteur de biogaz susceptible de n’être pas isolé par une intervention humaine ?AURA Environnement a réussi à faire fermer la décharge de Saint-Romain-en-Gal au tribunal administratif de Lyon après des décennies d’injustices sur les populations locales. AURA Environnement a gagné son référé suspensif et la cassation en faisant suspendre un PLU au sud de la Drôme.
Nous irons contester le futur arrêté préfectoral d’autorisation (AP) car le projet de Chatuzange-le-Goubet est un projet inutile.
Le constat est unanime : pour les départements Drôme-Ardèche, les syndicats intercommunaux et toutes les collectivités n’ont pas suffisamment investi dans la réduction des déchets. Donc, les puissants industriels en position de monopole s’entendent pour agrandir les sites existants. C’est en effet plus facile de se développer sur des territoires où l’acceptation de la population est presque déjà acquise ; pour l’exploitant, faire grossir un site permet aussi des économies d’échelle.
Ces décharges impactent l’environnement, aujourd’hui et pour l’avenir de nos enfants de Chatuzange-le-Goubet : destruction des milieux, pollution du sol, de l’eau, de l’air…
Plusieurs millions de tonnes de déchets enfouies, vilain cadeau pour les générations futures ! Alors que les ressources naturelles vont manquer, alors que le dérèglement climatique menace les humains, refusons l’inaction.
Réduisons donc les déchets dans le Nord de la Drôme et stoppons ce projet d’extension de décharge à Chatuzange-le-Goubet !
Mr le préfet, vous ne devez accorder que 70 000 T au projet de décharge de Chatuzange-le-Goubet.
Dans l’attente de votre réponse et de celle de vos services, je vous prie de croire, Mr le préfet, à l’expression de ma considération très distinguée.
Marc-Claude de PORTEBANE
Président d’AURA Environnement
Porte-parole du Collectif Halte Décharge Veolia Chatuzange-le-Goubet (CHDVC) -
Comme Incinérateur #Passy, pour LOUsine #Calce : le mercure monte contre #Tiru !
- Par auraenvironnementparis
- Le 22/07/2019
- Dans STOP incinérateur #Calce
Les élus de Pezilla-la-Rivière (66)
n'en peuvent plus de l'incinérateur de #Calce
géré par #Tiru dont les capacités de financement
s'effondrent comme neige au soleil !
Les anti-incinérateur de Calce (66) ont crée le Collectif CATALANIC - soutenu par AURA Environnement - opposé à l'incinérateur de Calce (66) ont rejoint les anti-incinérateurs d'OMr d'AURA Environnement, qui, de la Vallée de l'Arve à Calce, en passant par Lunel-Vieil ne veulent plus de ces usines à cancer, alors que, maintenant tous les emballages se trient, en vrac, vidés et écrasés...
Comment faire confiance à une entreprise comme #Tiru dont les capitaux propres se sont effondrés en 2017, passant de 71 944,639 € à - 5 807 004 € ???
Quelle crédibilité peut-on avoir lorsque certains élus dénoncent, comme à Pézilla-la-Rivière, des extensions industrielles prévues - à la va-vite - sur le site de l'usine d'incinération des déchets de Calce, soit une blanchisserie et un méthaniseur, deux installations considérées comme polluantes ?
D'ores et dèjà, le Collectif CATALANIC qui s'est levé comme un bouclier, combattra ce projet de méthaniseur aux odeurs pestilentielles.
Comment le groupe #Tiru peut-il se lancer dans de tels investissements lorsque sa filiale, Dakia Waste Energy voit, elle aussi, ses capitaux propres fondent comme neige au soleil en 2017 (1.060,907 € contre + 4.071,324 € en 2016) ?
Le collectif CATALANIC dénonce ces 2 projets qui viennent d'entrer dans une phase d'acquisition foncière dans pas moins de 12 ha de vignes, auquel le maire de Pézilla-la-Rivière s'est opposé, en recevant également l'appui de Roger Garrido, le maire de Saint-Féliu-d'Avall !
Jamais, nous ne laisserons nos vignobles colonisés par le groupe #Tiru par la corde dont la performance a dégringolé à - 94,56 % au 31/12/2017 !
Une entreprise performante doit être à la fois efficace et efficiente. Elle est efficace lorsqu'elle atteint les objectifs qu'elle s'est fixés.
Elle est efficiente lorsqu'elle minimise les moyens mis en œuvre pour atteindre les objectifs qu'elle s'est fixés..
Donc, le groupe #Tiru n'est pas performant, puisque la performance se mesure avec des critères (ou indicateurs) qualitatifs ou quantitatifs de résultat.
Pour mesurer l'efficacité, on utilise un critère qui exprime un rapport entre le résultat obtenu et l'objectif visé. Pour mesurer l'efficience, on utilise un critère qui exprime un rapport entre le résultat obtenu et les moyens mis en oeuvre.
Pour évaluer la performance d'une entreprise, il est nécessaire d'effectuer des mesures à tous les niveaux : financier, économique, social, organisationnel et sociétal.
La performance financière : traditionnellement, d'après Alfred Sloan, on mesure la performance financière à l'aide des indicateurs ROI et ROE. Aujourd'hui, on utilise en plus l'indicateur EVA.
- Le ROI (Return On Investment) : ce ratio mesure la rentabilité économique du capital utilisé par l'entreprise. C'est le rapport entre le résultat d'exploitation et les capitaux investis.
- Le ROE (Return On Equity) : ce ratio mesure la rentabilité financière des capitaux apportés par les propriétaires de l'entreprise. C'est le rapport entre le résultat net et les capitaux propres.
- L'EVA (Economic Value Added) : ce ratio permet de mesurer la création de valeur pour l'actionnaire. C'est la différence entre le résultat opérationnel et les capitaux investis.
La performance économique : il s'agit de mesurer les composantes de la compétitivité de l'entreprise : la compétitivité-prix et la compétitivité-hors prix.
- La compétitivité-prix : désigne la capacité d'un produit à attirer des clients au détriment des produits concurrents du fait de son prix. Sa mesure permet de situer la place de l'entreprise sur le marché par rapport à ses concurrents.
- La compétitivité hors-prix : désigne la capacité d'un produit à attirer des clients au détriment des produits concurrents du fait des éléments indépendants du prix. Elle est obtenue grâce à des éléments comme la qualité des produits, l'innovation, le service, le design...
#Dalkia au bord de l'implosion sociale ?
Autre sujet à polémique, ces chiffres de Dalkia qui donnent le tournis, puisque le CA pour 2017 a chuté - 6,2 % pour attérir à 56,4 m €, l'indice de performance dégringolant lui, à - 9,06 % au 31/12/2017 alors que les compteurs étaient dans le vert pour les années 2014, 2015 et 2016.
Dalkia est une filiale à 100 % du Groupe EDF depuis le 25/07/2014. Dalkia est spécialisée dans les services énergétiques et la production d'énergie décentralisée, qui développe notamment des énergies renouvelables alternatives comme la biomasse, la géothermie, le biogaz ou la valorisation énergétique des déchets.
Or, Tiru est une filiale de Dalkia et s'appelle désormais Dalkia Wastenergy depuis 2018.
Cette filiale à 100 % pur jus du groupe Dalkia conçoit, construit et exploite des unités de traitement thermique, biologique au Royaume-Uni, en Suisse, au Canada mais aussi en France comme à ... Perpignan.
A Issy-les-Moulineaux, nos camarades de Zéro Waste sont à l'affût de l'usine "Isséane", présentée pourtant comme un "modèle de gestion des déchets".
L'incinération, une technologie qui participe à l'économie circulaire en produisant de l'énergie ?
Oui, mais, pour nos camarades de Zéro Waste, "la production d’énergie par les usines d’incinération est devenue un argument d’autorité pour en justifier la construction et l’exploitation, en dépit des autres exigences dont celle de préservation des ressources. A tel point que certaines villes se mettent dans une situation de dépendance vis-à-vis de leurs réseaux de chaleur. C’est ainsi oublier que l’incinération, dont la vocation initiale est de traiter les déchets et non de produire de l’énergie, détruit des matières précieuses (matières organiques, déchets recyclables, etc.). En outre, la performance énergétique des usines, telle qu’elle est mesurée à l’heure actuelle, ne permet pas de rendre compte de “l’énergie grise” des déchets brûlés (l’énergie et le bilan carbone complet de l’extraction des matières premières, à la fabrication des objets, leur transport, leur utilisation, etc.)."
Isséane comme les autres usines d’incinération, produit des résidus solides qu’il convient de gérer à l’issue du processus d’incinération : en 2017 pour cette seule usine, ce sont environ 80 000 tonnes de mâchefers qui ont été produits.
Soumis à une réglementation très permissive, ces matériaux chargés en polluants sont ensuite disséminés en étant utilisés en sous-couche routière, ou renvoyés en décharge s’ils ne trouvent pas preneurs. Le stockage systématique de ces mâchefers en décharge mettrait en ce sens fortement à mal le modèle (notamment) économique de l’incinération. Par ailleurs, ce sont également 12 000 tonnes de cendres et produits solides résiduaires qui ont été envoyés en décharge pour déchets dangereux...
Dans les 26 villes de France où est installé Dalkia wastenergie, AURA Environnement demande qu'une étude participative en santé environnementale ancrée localement (EPSEAL) soit mise en place par les populations locales et ce, au travers une méthodologie mise en place par l'intermédiaire de nos collectifs comme le CATALANIC dans la région de Perpignan.
En effet, les études participatives ancrées localement cherchent souvent à comprendre et à résoudre les inégalités de santé, dans une visée de justice sociale (Minckler, 2010).
Combien de cancers, de problèmes de peau chronique, d'Asthme, de maladies endocriniennes, de diabètes, d'affections respiratoires, de problèmes de nez/gorge, de fréquents maux de tête, de saignements de nez, etc... dans la région de Perpignan ?
Sur les 26 sites de Dalkia wastenergy, de Dunkerque à Chambéry, de Gien à Pontivy, de Perpignan en passant par Issy-les-Moulineaux, nous voulons :
1- que soient réduits de façon significative - pour les animaux et les humains - les rejets cumulés de pollutions dans l'air, dans l'eau, les sols, notamment pour les polluants impactant le plus la santé et en relation avec les excès de pathologies concernant les polluants cclassiques cancérogènes, mutagènes, reprotoxiques ou irritants des voies respiratoires.
2- que soient renforcées - pour les animaux et les humains - les actions de contrôle règlementaire des émissions auto-déclarées par les industriels locaux, et un renforcement des sanctions prises à leur encontre en cas de non-conformité, y compris pour les émissions dites "diffuses", les phases de redémarrage et de "décrassage" des usines, et pour toutes les catégories de polluants rejetés au cours de ces émissions diffuses ou "incidents programmés" qui interviennent régulièrement dans les procédés industriels (process).
3- en finir avec l'absurdité des normes sur les perturbateurs endocriniens, sachant que ces polluants sont les plus néfastes pour la santé des animaux et des humains quand ils sont présents à faible-dose.
4- agir et prendre des décisions localement en suivant le principe de précaution - pour les animaux et les humains -.
5- mesurer en routine les particules ultrafines, qui s'éavèrent les plus dangereuses pour la santé - des animaux et des humains - afin d'obtenir leur réglementation locale autour de telle ou telle zone industrielle.
Côté DRH, les relations de travail avec nos camarades ne semblent pas au "beau fixe" chez Dalkia, puisque un lanceur d'alerte (qui tient à garder l'anonymat) s'inquiètait ce printemps parce que "La direction a fait valider les objectifs du Plan Cap Dalkia par ses partenaires. Des accords scélérats ont été signés. Maintenant ils s'appliquent sur le terrain avec l'aval des syndicats signataires. En réalité, avec ces accords, les partenaires sociaux nous ont vendu la mousse et conservé le jus. En effet, les salariés ne tirent aucun bénéfice de ce deal. Ils continuent d'exercer leur contrat de travail dans le stress et la souffrance comme en atteste l'étude U-SIDE réalisée en 2018, à la demande de la direction générale. Donc, force est de constater que tous ces accords relèvent de la promesse de Gascon. En effet, ils n'ont apporté aucune amélioration des conditions de travail et des salaires de la majorité du personnel. Au contraire, ils pourrissent la vie des techniciens. Ainsi, avec les résultats de la NAO 2019 (Négociation Annuelle Obligatoire), on mesure le degré de condescendance de la direction à l'égard du personnel et du mépris avec laquelle elle traite ses partenaires quand elle n'a pas besoin de leur signature. En atteste le tract de l'intersyndicale (envoyé le 4 avril 2019) dans lequel les organisations CGT, FO, CFDT, CGC et UNSA expriment leur déception tou en dénonçant le manque de considérationde la direction qui n'a même pas daigné écouter leurs propositions (sic). C'est pathétique" !....".
A quoi cela sert-il à Dalkia wastenergy d'investir dans toute la France et plus particulièrement dans l'UVE de Calce, puis de faire les yeux doux aux élu-es de Perpignan Méditerranée Métropole et de décider d'octroyer unilatéralement que 0,9 % d'augmentation générale (brute) alors que le coût de la vie a été de 1,8 % en 2018 ?
Un budget équivalent à 0,9 % de la masse salariale poour des augmentations et des primes individuelles, jugées par nos camarades comme "sélectives et discriminatoires !
Coup de chaleur dans les résultats
chez #Dalkia en fin d'année 2018 :
- les volontaires au rachat de RTT se comptent, sur les doigts d'une main malgré la campagne de communication jumelée direction/syndicats sur les "bienfaits" proclamés de ces accords.
- les démissions battent des records.
- les "nouveaux embauchés" quittent en masse l'entreprise #Dalkia au terme de leur période d'essai.
- Les salariés sont toujours en souffrance comme en attestait les le nombre croissant d'arrêts de travail.
- Quid de l'activité commerciale après le départ de son directeur ?
Les lanceurs d'alerte de Dalkia alertent également l'opinion publique, car, "Dans le même temps, les démissions ne faiblissent pas et les embauches se font rares au point où la direction proposerait une prime de 400 € à toute personne qui arriverait à pêcher un candidat à l'embauche".
Ainsi, affirment-ils, "...malgré les lampions de la Tour Europe et les oeuvres sociales du CE moribond, l'image de Dalkia est fortement ternie sur le marché de l'énergie...".
Le 02/04/2019, un lanceur d'alerte nous alertaint sur le fonctionnement de #Dalkia : "Par son organisation et son mode de management contraignant, Dalkia est assimilée, notamment par les techniciens, à une entreprise inhumaine où il ne fait pas bon travailler", poursuivant : "L'astreinte continue d'être une source de stress et de souffrance majeure chez les techniciens ....... Le sous-effectif est un élément perturbant et un facteur important de la déterioration des conditions de travail mais également du management des équipes"
A quoi bon une Unité de valorisation énergétique, un centre de tri et une plateforme de mâchefers à Coume dels Très Pilou à Calce afin de "recycler plus pour construire un territoire durable" en produisant de l'électricité et des mâchefers issus de la combustion des déchets issus des poubelles et en administrant des mots doux aux élus de la Communauté urbaine Perpignan Méditerranée Métropole ou au Sydetom 66, lorsqu'au niveau national, les relations de #Dalkia avec son personnel sont exécrables, lorsque les comptes sociaux et le profil financier de #Dalkia sont dans le rouge (ratio de solvabilité à partir de l'actif de - 3,16 % au 31/12/2017) et que la question de l'exposition locale à la potentielle pollution atmosphérique induite par l'activité industrielle n'est pas mise en exergue dans la région de Perpignan ?
Il n'y a pas de raisons que l'incinération des déchets issus des poubelles pollue ailleurs et serait une exception pour #Dalkia, à Calce, dans la région de Perpignan ?
La LAURE (Loi sur l'air et l'utilisation rationelle de l'énergie) a reconnu dès 1996 le droit de respirer un air qui ne nuise pas à la santé.
Le collectif CATALANIC sera vigilant, en ce qui concerne la nature des polluants, la finesse des particules, le contrôle d'émissions réelles surtout, pour toutes les productions viticoles locales.
L'enjeu de la construction d'une connaissance solide sur la santé des habitants est celui de la possibilité d'agir sur son environnement, au lieu de la quitter, et ce, dans une situation de déséquilibre doublée d'une injustice environnementale et d'une injustice sociale !
Marc-Claude de PORTEBANE
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Opposants Incinérateur #Tiru @Calce : Collectif CATALANIC demande étude cancers incinérateur #Ariane Métropole Nice Côte d'Azur !
- Par auraenvironnementparis
- Le 06/07/2019
- Dans STOP Incinérateur #Tiru @Calce
Le collectif CATALANIC opposé incinérateur #Tiru @Calce
demande communication à Christian ESTROSI
le président de la Métropole Nice Côte d'Azur,
copie étude SECRETE risques cancers Incinérateur #Ariane !
Le collectif CATALANIC (Collectif CATALANti-Incinérateur de Calce) soutenu par AURA Environnement vient d'essuyer un refus de communication d'une étude publique - pourtant financée par de l'argent public - auprès de Jean-François ASCAS - directeur de la DGAPCPSP-Régie pour la gestion des déchets ménagers et assimilés de la Métropole Nice Côte d'Azur (NCA).
Il nous a été demandé de faire une demande de transmission au président de NCA, Christian ESTROSI.
Cette étude publique de l’impact environnemental près de l’incinérateur de l’Ariane a été communiquée par le département santé du CHU de Nice et ce, sur la période comprise entre 2005 et 2014. Cette étude a été réalisée dans le cadre des retombées des fumées des dioxines et furanes, aux alentours de cet incinérateur de l’Ariane et de la colline de l’Abadie.
Nous aimerions avoir une copie sécurisée de cette étude épidémiologique - co-financée par notamment le CHU de Nice -, via retour mail dans le cadre du process de diffusion de NCA et ce, conformément à la loi sur la communication de documents administratifs, comme nous l'avons indiqué à Mr LALLE et Mr ASCAS.
Le collectif CATALANIC est opposé à l'incinérateur de Calce (Pyrénées-Orientales, région Occitanie) en collaboration avec le CBAIC (Comité Basque Anti-Incinérateur de Calce), tout comme AURA Environnement qui s'oppose à toute forme d'incinération des OMr dans toute la France, près de Troyes à La Chapelle Saint-Luc ou vers Lunel-Vieil dans l'Hérault à une poignée de km de Montpellier.
En effet, à Lunel-Viel, AURA Environnement fait partie du collectif des 15 associations rassemblées sous la bannière de l'association "Lunel-Viel veut vivre" présidée par le camarade Adrien RIFF. Les associations membres du CIDES-34 sont : Odam, Acidc, Changeons d’air à Clapiers, les riverains de Garosud, les Gardiens de la Gardiole, Association Maguelone-Gardiole, Atelier citoyen de Castries, le groupe citoyen de Castries, la Fabrique citoyenne du Pays de l’Or, Melgueil Environnement, la Sociale de Lunel, Le Forum de Saint-Aunès, les Survoltés d’Aubais, l’APPEL. Nombre d'élu-es locaux nous soutiennent, notamment le camarade Fabrice FENOY 1er adjoint de Lunel-Viel.
AURA Environnement bénéficie du soutien de l'AMIES, du Dr Mariette GERBER, Chercheur Honoraire INSERM, expert ANSES et du Pr Charles SULTAN, pédiatre, endocrinologue CHU Montpellier qui veulent connaître les risques liés aux cancers pour les populations locales vivant non-loin des incinérateurs d'ordures ménagères.
Nous aimerions savoir pourquoi cette étude épidémiologique n’a pas déjà été ENCORE mise en ligne sur le site internet de la métropole NCA pour en informer les populations locales, régionales, nationales et internationales, alors que Nice Matin s’en ait déjà fait l’écho en décembre 2018.
Cette étude figurera-t-elle à l’ordre du jour de la prochaine CSS de l’unité de valorisation énergétique de Sonitherm (Veolia) de Nice, au titre de la concertation locale ?
AURA Environnement, membre du collectif Coll'Air Pur dans la vallée de l'Arve très sensible à la pollution atmosphérique parce qu'elle concentre dans un espace plus étroit qu'en plaine, toutes les activités humaines et les émissions polluantes qui en résultent, a tracé une ligne rouge CONTRE tous les incinérateurs, dans TOUTE la France, de Nice à Dunkerque, de Troyes à Perpignan...
A suivre.
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Vent de panique # Passy : le COBAP passe à l'action contre pollution infernale cheminées & Industries !
- Par auraenvironnementparis
- Le 21/05/2019
- Dans Indice Qualité de l'Air Auvergne-Rhône-Alpes
Le COBAP passera bientôt chez toi
pour te sensibiliser à la pollution de l'air vicié
de notre longue et belle vallée de l'Arve !
Le collectif COBAP (COllectif du BOl d'Air Pur) est passé à l'action dans la vallée de l'Arve, en commençant à Passy, en faisant l'inventaire du nombre de cheminées susceptibles de polluer gravement l'environnement.
Rares sont les maisons équipées d'une seule cheminée, comme partout en France, pour chauffer et réchauffer chaque foyer. Les abus doivent être sanctionnés !
On peut même dire qu'il y a insuffisance de surveillance de la commune et des services de l'Etat pour autoriser de telles négligences au vu du nombre effarant de telles cheminées qui poussent comme des champignons.
Des analyses ont été faites par le collectif COBAP à Passy et sa région sur des oeufs dans le secteur du Super U, pas très loin de l'Allée des Lilas, d'ailleurs.
Nous aimerions connaître les taux des émissions de HAP, de benzène, de particules fines, de monoxyde de carbone, de COV.
Tout le quartier de l'Allée des Lilas a été passé au peigne fin. Les incivilités sont légion.
En effet, nous avons constaté qu'une SEULE maison pouvait avoir plus de 5 cheminées, lorsque l'on connaît le taux de nuisances infernales du monoxyde de carbone.
Après Passy, nous allons bientôt vous faire découvrir, le bas et le haut de la commune voisine de Saint-Gervais-les-Bains, où là, nous avons fait des découvertes complétement effarantes.
Autre sujet. Les industries (12 à 13 % des pollutions de la vallée de l'Arve).
Que font ces bidons exposés à l'air libre sur un site vers la rue Georges Toussant, où le port de chaussures de sécurité et de masques à gaz est recommandé ? Sont-ils vraiment étanches ?
De tels bidons ont-ils à être exposés au vue et au su de tous, et ce, au pied du Mont-Blanc ? Quelle sécurité pour les clients qui se rendent au Métro voisin ?
Les cheminées ne sont pas les seules à polluer la vallée de l'Arve qui est devenue un des dépotoirs de la Haute-Savoie, mais elles contribuent largement à sa pollution !
En effet, cette vallée semi-rurale, semi-urbaine allie plusieurs sources de pollution qui existent depuis l'ère industrielle, comme partout ailleurs, chaque fois qu'il y a des intérêts industriels qui interfèrent avec l'environnement.
Comment se déplace le maire de Chamonix et vice-président en charge de l'Environnement, Eric FOURNIER, lorsqu'il vient à à la région AURA à Lyon ? A pied avec son sac à dos et sa paire de skis ? A cloche-pied ?
Quand bien même, Eric FOURNIER prendrait peut-être les transports en commun, il faut de l'énergie pour faire bouger les wagons du chemin de fer, il faut produire de l'électricité pour alimenter son téléphone portable qu'il utilise dans les couloirs de l'assemblée régionale, non ?
L'infernal trafic routier, les gens ne sont pas réalistes : plus de 500 000 camions empruntent chaque année la route pour rallier l’Italie et le val d’Aoste via le tunnel du Mont-Blanc. Ne faudrait-il pas commencer par envisager de fermer l'autoroute A 40 qui doit bien profiter à tout le monde, non ?
Combien d'oeufs et produits laitiers pollués chaque année par les norias de camions qui crachent leurs fumées noirâtres pour prendre de l'élan, avant d'aborder le viaduc des Egratz et qui doivent consommer un maximum de gasole et ce, juste en haut du cimetière de Chedde ?
Combien de voitures, de motos et de camions sur la N 205 qui borde l'innocente rivière L'Arve qui doit dégouliner de poussières de freinage, d'huiles usagées ?
A Passy, l’usine SGL Carbon brûle quotidiennement des déchets.
En effet, SGL Carbon spécialisée dans la fabrication produits en carbone et graphite de synthèse, est souvent pointée du doigt pour sa responsabilité dans la pollution de l'air dans la vallée de l'Arve en Haute-Savoie, comme le reconnaît France info (21/12/2018).
Fin 2018, SGL Carbon a dit vouloir investir 2 millions d'euros pour réduire ses nuisances d'ici la fin 2019 pour réduire ses émissions diffuses de poussières, alors que 12,6 millions d’euros auraient été injectés …… depuis 2005 pour diminuer ses émissions canalisées, c'est-à-dire issues des cheminées de l'usine. Un nouvel équipement de traitement des fumées, installé à l'été 2018 pour 4,5 millions d'euros, devrait permettre de moins polluer qu'avant. LOL ! « Il permet de traiter les odeurs car depuis 2016, le site génererait un certain nombre de nuisances olfactives. Il devrait également réduire de manière significative les émissions qui sortent des cheminées sur le site", explique Sylvain Collet, responsable environnement, hygiène et sécurité sur l'usine de Passy. L'entreprise table sur une "baisse attendue de 40% environ".
Si SGL Carbon investi pour polluer moins c’est qu’elle polluait déjà la vallée de l’Arve bien avant 2019. Quand on ne pollue pas la vallée de l’Arve, on n’engage pas de telles sommes considérables pour diminuer. Une voiture qui ne pollue pas ne va pas aller TOUS les jours au contrôle technique pour faire contrôler ses gaz d’échappement.
Alors ? Alors, on marche sur la tête pour désigner tel ou tel coupable car il faut bien un coupable pour en cacher d’autres.
Ce qui est étonnant, c’est que chacun tire la couverture à soi dans cette vallée de l’Arve où, nous, le COBAP nous avons découvert un tas d’antagonisme.
Côté défense de l’environnement, c’est l’anarchie. Il y a des progrès mais chacun pollue tranquillement dans son coin. Prenons un exemple. Sallanches. A Sallanches, le COBAP a rasé toutes les rues. Nous avons fait des découvertes spectaculaires. Une véritable poudrière.
A Passy, les maisons individuelles croulent sour le poids du nombre de cheminées. Il faut le voir pour le croire. Pas une maison ou presque sans 1 à plus de 3 cheminées. Cela est-il normal ? Serait-il normal qu’une voiture ait jusqu’à 6 pots d’échappement ? Non. Donc, il faut responsabiliser les gens parce que nous, le COBAP soutenu par AURA Environnement, nous voulons ABSOLUMENT aborder le sujet sanitaire avec tous les actrices et acteurs du territoire de la Haute-Savoie et plus particulièrement dans la Vallée de l’Arve. Nous voulons nous attaquer aux vraies sources du mal, à toutes les sources du mal. Si un avocat ou un journaliste viennent de Paris, on veut savoir combien son avion ou son train ont brûlé d’énergie jusqu’à Passy. Combien de forêts détruites pour défendre l’environnement de la région de Passy ? Il n’y a pas de petite pollution pour le lait, le beurre et la fermière.
Transports, industrie, chauffage… un cocktail explosif de contaminants pour une vallée complètement resserrée et stressée : "avec le froid et le soleil, les particules figées sont emprisonnées, sous cloche, comme dans une immense marmite" peut-on lire chez les pros des analyses qui ne nous apportent AUCUNE solution pour mieux trier les poubelles, pour responsabiliser les acteurs du développement économique bien évidemment polluant !
On dirait que les enjeux de santé publique sont secondaires pour celles et ceux qui se contentent d'abonder en critiques fatalement négatives sur ce qui devrait polluer moins !
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Pollution Vallée de l'Arve : Collectif #COBAP attaquera tous les pollueurs potentiels !
- Par auraenvironnementparis
- Le 12/05/2019
- Dans STOP aux pollutions atmosphériques dans la Vallée de l'Arve
Le collectif COBAP (COllectif du BOl d'Air Pur)
soutenu par AURA Environnement et la
Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux
s'attaquera à TOUS les pollueurs de la vallée de l'Arve !
A Passy, c'est l'anarchie côté cheminées en tout genre :
ici sur la terrasse de cet hôtel les clients en prennent plein le nez !!!
Au secours Me LAFFORGUE venez au secours du COBAP !
Après avoir participé à la conférence de presse tenue à Saint-Gervais-les-Bains (74), en présence de Me LAFFORGUE et de Gilles LACAN, le collectif COBAP (COllectif du BOl d'Air Pur) veut la Vérité sur les rejets atmosphériques polluants dans la Vallée glaciaire de l'Arve et pas seulement à Passy, parce que dans cette vallée située au pied du Mont-Blanc (La vallée de l'Arve correspond à la partie amont du lit de l'Arve, torrent qui prend sa source dans le massif du Mont-Blanc, sur le versant savoyard du col de Balme, jusqu'à la limite de la basse vallée se terminant vers Arenthon), c'est devenu presqu'aussi pire que vers la décharge SECHE Environnement de Sainte-Marie-de-Kerque dans le Pas-de-Calais, où là, dans ce plat pays, les odeurs vous coupent vraiment le souffle.
Cela fait plusieurs jours que le COBAP essaie de joindre SGL Carbon de Passy pour avoir les résultats des émissions de cette entreprise qui générait depuis 2016 un certain nombre de nuisances olfactives. Son responsable, Sylvain Collet affirmait dans France info que des investissements concernant un nouvel équipement de traitement des fumées permettant de traiter les fumées avait été installé à l'été 2018 pour 4,5 millions d'euros.
Pourquoi seulement à l'été 2018 ?
Pointées du doigt par le COBAP les nombreuses cheminées qui soupoudrent la vallée de l'Arve. Nous voulons une expertise des services de l'Etat sur le nombre de cheminées en double ou en triple dans les résidences principales ou secondaires.
Personne, par hypocrisie, ne se penche sur cette pollution indéniable. Or, il suffit de se promener dans le quartier du supermarché Super U situé dans le quartier de l'avenue du Marlioz à Passy pour être suffoqué par un brouillard nauséabond.
Au secours : 5 cheminées pour 3 maisons
vers le supermarché SUPER U à Passy !!!
En effet, le bois-énergie est une énergie renouvelable neutre en carbone, à condition que les forêts dont le bois est issu soient gérées de manière durable, alors que la combustion de bois n'est pas exempte de défauts puisqu'un SEUL feu de bois produit un certain nombre de polluants atmosphériques tels que les particules immondes telles que le monoxyde de carbone (CO), les oxydes d'azotes (NOx), les composés organiques volatifs ou bien les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP).
Le chauffage au bois influe sur la qualité de l'air, puisque selon les données du Centre interprofessionnel technique d'études de la pollution atmosphérique (CITEPA), la combustion de bois en foyers domestiques est responsable en France de :
- 76 % des émissions de HAP ;
- 60 % des émissions de benzène ;
- 39 % des émissions de particules fines ;
- 30 % des émissions de monoxyde de carbone ;
- 21 % des émissions de COV (données de 2005).
En 2009, l'Institut national de l'environnement industriel et des risques (Ineris) a réalisé une étude sur l'impact du chauffage au bois (foyers ouverts et fermés, poêles) sur la qualité de l'air en milieu rural.
Cette étude a révélé que la combustion de bois affectait plus particulièrement les concentrations en particules, monoxyde de carbone, benzène et HAP de l'air intérieur des habitations.
À l'extérieur, les fumées de combustion provoquent une augmentation notable des taux de benzène et particules.
N'hésite pas à dénoncer ton voisin s'il possède une double cheminée ou une cheminée qui pollue la vallée de l'Arve.
Signale au COBAP ce petit-bourgeois à qui nous réserverons un traitement de faveur.
Toutes les options sont sur la table : circulation infernale 24h/24h des camions polluants sur l'A40, rejets des industries diverses et avariées, acteurs économiques sans scrupules, élevages industriels + effluents d'élevage, l'incinération, l'utilsation de pesticides, brûlage des déchets verts, etc....
La spécialité du COBAP : côté chauffage résidentiel, nous n'hésiterons à incriminer personnellement celles et ceux qui ont plusieurs cheminées, car ils le savent bien qu'ils polluent la vallée de l'Arve en rejetant les responsabilités sur les autres en se faisant les hérauts de l'écologie !
Protégeons nos toutous et nos minous de ses infâmes cheminées qui larvent de façon insidieuse la vallée de l'Arve !
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Incinérateur #Passy : #SITOM s'oppose à AURA Environnement !
- Par auraenvironnementparis
- Le 19/02/2019
- Dans Passy Environnement
AURA Environnement a mobilisé
plus de 30 camarades autour
de l'incinérateur Passy !
Les écolos-marxistes d'AURA Environnement se sont mobilisé-es contre l'incinérateur de Passy et les monologues ont été plus "électriques" avec le personnel du SITOM des Vallées du Mont-Blanc qui ne cessait de déguster, en début d'après-midi, des gourmandises sucrées si chère à la marquise de Sévigné qui ne put éviter un séjour dans les contrées bourbonnaises de Vichy en prodiguant de si bons conseils contre le mal de dent dû très souvent aux sucreries d'antan qui gâtaient les dents !
AURA Environnement - dans le plus grand secret - a mobilisé, le 14 et le 15/02/2019, plus de 30 militant-es dissiminé-es autour de l'incinérateur de Passy, dans un secteur, où nous apportons notre soutien, pour plus d'air pur, au Collectif "Coll'Air Pur", afin de lutter contre la pollution inadmissible au #MontBlanc et plus particulièrement dans la #ValléeDelArve où les odeurs mauséabondes ne sont plus aussi blanches que neige, merci les cheminées des résidences secondaires des bourges-bourgeois qui ne portent pas le gilet jaune, devenu - presque- obligatoire pour les réfractaires du désordre établi !
Nous voulons la Vérité pour les risques liés à la pollution potentielle liée à la Vallée de l'Arve où les odeurs sont devenues pestilentielles !
Si le SITOM refuse de nous communiquer les résultats de la CSS 2017, nous irons les demander où il le faut, quand il le faut !
Si le SITOM ose s'opposer à AURA Environnement, nous ferons "bouillir" la marmite, et nous mobiliserons les habitant-es des secteurs concernés.
Si le RDV prévu avec le maire de Passy a été annulé, c'est qu'il y a bien une raison que la Raison ignore !
Si le SITOM et la mairie de Passy font de la rétention de l'info à AURA Environnement, nous mobiliserons massivement les populations locales qui n'en savent fichtrement rien !
Nous mobiliserons parce que nous sommes pour un "nouveau souffle" dans le Vallée de l'Arve !
Ce "Nouveau souffle" sera révolutionnaire parce que nous ne sommes pas CONTRE le dialogue avec les services de l'Etat, mais contre les fourbes et les parasites irréductibles opposé-es à la transition énergétique et à la valorisation de nos déchets !
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Pétition : HALTE gaspillage déchets #Amazon. Protégeons toutous incinérateur poubelles Lunel-Viel !
- Par auraenvironnementparis
- Le 14/01/2019
- Dans HALTE gaspillage déchets #Amazon. Protégeons toutous incinérateur poubelles Lunel-Viel !
HALTE gaspillage déchets #Amazon.
Protégeons toutous incinérateur poubelles Lunel-Viel !
LIEN Pétition :
Par Marc-Claude de PORTEBANE, Président d'AURA Environnement
Pétition adressée à Mr le président de la République, Mr le ministre de l'Ecologie
A l'heure où l'on nous demande de respecter la loi de transition énergétique et les ressources de notre planète, M6 a diffusé dernièrement un reportage effroyable sur le gaspillage industriel d'Amazon. En effet, des journalistes d'investigation ont tenté, dans un documentaire diffusé le 13/01/2019, de démontrer le gâchis pratiqué par le géant américain via la destruction de gros conteneurs chargés de machines à café, téléviseurs, couches-culottes ou autres objets neufs envoyés à la casse.
Nous pouvons observer que ces produits sont envoyés en décharge, alors qu'ils sont probablement, d'une autre façon, consommables pour les plus pauvres d'entre nous. Nous demandons aux services de l'Etat une surveillance maximale des installations de stockage ou d'incinération de nos déchets en France et de protéger encore plus nos animaux !
Ainsi, le 12/01/2019, AURA Environnement est intervenu publiquement, en mobilisant ses militant-es, sur le projet de choix de la future entreprise qui sera chargée d'incinérer les poubelles de l'incinérateur de Lunel-Viel qui ne brûlera plus 120 000 T d'ordures comme c'était prévu.
AURA Environnement met en garde les services de l'Etat, les populations locales de ces territoires abritant de nombreux animaux en Petite-Camargue, les acteurs du tourisme local de la région de Montpellier-Lunel-La Grande Motte.
En effet, selon un élu de Lunel-Vieil, il se pourrait que la future entreprise choisie par les élu-es et chargée de l'avenir de cet incinérateur soit un peu moins chère mais risquerait de polluer encore plus gravement l'environnement et nos amis les animaux en dispersant, de façon édifiante, 2,5 fois plus de dioxyde de soufre, 3 fois plus d'ammoniaque, 4 fois plus de poussières, 10 fois plus de dioxines et 13 fois plus de métaux lourds !
Faire 3 €/T d'économies MAIS polluer, ENSUITE insidieusement, nos amis les animaux dans le cadre de soit-disantes "Performances relatives à la préservation et la protection de l'environnement", c'est inadmissible !
IL FAUT RETABLIR LA VERITE ! La presse locale mise au parfum se tait et n'en souffle mot.
Quand on défend la santé des animaux et des humains, l'environnement, le choix est vite fait.
Nous signataires de cette pétition, nous demandons qu'un audit soit réalisé TOUS les ans sur l'avenir de cet incinérateur de Lunel-Viel et nous demandons également plus de vigilance des services de l'Etat sur les déchets en provenance d'Amazon !
La prévention en matière de valorisation de déchets comprend l'ensemble des actions qui consistent, lors de la production de biens de consommation, à anticiper sur la quantité et la nocivité des déchets produits. Pour cela il faut intervenir sur le mode de production et de consommation.
Le collectif de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux qui rassemble plus de 48 000 personnes sur Facebook https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/ et soutenu par AURA Environnement http://www.aura-environnement.com/ a décidé, que Nous, humains, signataires de cette pétition ne voulons aucune exposition de métaux lourds et autres saloperies issues des poubelles, sur le dos de nos amis les animaux innocents qui n'ont d'autre choix que de se taire ! -
AURA Environnement gagne référé au Tribunal administratif de Grenoble contre PLU Les Granges-Gontardes STOP décharge COVED !
- Par auraenvironnementparis
- Le 06/12/2018
- Dans Stop extension décharge COVED/PAPREC de Roussas aux Granges-Gontardes
AURA Environnement soutenue massivement par gontardien-nes
et les habitants des communes voisines a gagné
SEULE son référé au tribunal administratif de Grenoble CONTRE
révision PLU visant installation décharge COVED de Roussas !
La commune des Granges-Gontardes condamnée à nous verser 800 €.
Le camarade Marc-Claude de PORTEBANE a mis toute son énergie
au services des habitant-es des Granges-Gontardes !
Alors que la minuscule association locale AGRAVE et la FRAPNA 26 ont totalement refusés de nous soutenir !!!
Par une requête enregistrée le 08/11/2018, l'association AURA Environnement, M. Cédric BERTELLO, Mme Johanna BERTELLO-ROUSTANT, Mme Sophie BEYSSIER, M. Stephan BEYSSIER, M. Henri BOUR, Mme Catherine CURIE, M. Pierre GAUTHIER, M. Gilles HECQUET, Mme Marie-Thérèse HUGUES, M. Jean-Marc HUGUES, Mme Hélène IVANEZ, M. Jean IVANEZ, M. Gil LAMURE, M. Eric MARTINEZ, M. Claude REDON, M. Jean-Luc ROUSTANT, Mme Marie-José ROUSTANT et M. Jean-Michel TARTARIN, représentés par Me François RUFFIE du barreau de Libourne, ont demandés au juge des référés :
1°) de suspendre l'éxécution de la délibération du 11 septembre 2018 par laquelle le conseil municipal de la commune des Granges-Gontardes a approuvé le plan local d'urbanisme, sur le fondement des articles L.122-12 ou L. 123-16 du code de l'environnement ou l'article L. 521-du code de justice administrative ;
2°) de mettre à la charge de la commune des Granges-Gontardes une somme de 2 000 € à verser à chacun des requérants au titre de l'article L. 761-1 du code de justice administrative.
Nous soutenions que :
- aucune évaluation environnementale n'a été réalisée en méconnaissance de l'article L. 121-10 du code de l'environnement ; les conclusions du commissaire-enquêteur doivent être regardées comme défavorables ; la condition d'urgence de l'article L. 521-1 du code de justice administrative est, par ailleurs, remplie ;
S'agissant des moyens propres à créer un doute sérieux sur la légalité de la délibération ;
- aucune évaluation environnementales n'a été effectuée ; l'analyse de la DREAL est erronée quant à la durée de l'atteinte à l'environnement et au regard du fait que la zone UI se situe en ZNIEFF de type 1 ; les informations transmises à la DREAL semblent être partielles ;
- le rapport de présentation est insuffisant au regard des articles L. 521-2 et L. 151-4 du code de l'environnement et cette insuffisance n'est pas palliée par le projet d'aménagement et de développement durable lui-même insuffisant ;
- les modalités de la concertation définies par la délibération du 29 juin 2010 n'ont pas été respectées en méconnaissance de l'article L. 300-2 du code de l'urbanisme : la création de la zone UI n'avait pas été évoquée au moment de la concertation ;
- le dosier d'enquête publique ne contenait pas certains avis des personnes publiques associées en méconnaissance de l'article R. 123-8 du code de l'environnement et leur ajout tardif n'a pu couvrir cette irrégularité ;
- le plan local d'urbanisme n'est pas compatible avec le SDAGE en méconnaissance de l'article L. 131-7 du code de l'urbanisme ;
- le plan local d'urbanisme ne prend pas en compte le plan de prévention et de gestion des déchets non dangereux en méconnaissance de l'article L. 541-15 du code de l'environnement ;
- le zonage UI est entaché d'erreur manifeste d'appréciation.
... La commune des Granges-Gontardes était représentée par Me BARD et la COVED par Me BRAUD...
Au cours de l'audience publique du 27 novembre 2018, ont été entendus le rapport de Mme HOLZEM (juge des référés désignée le 01/09/2017 par le président du tribunal), les observations de Me RUFFIE représentant l'association AURA Environnement et autres, de Me BARD représentant la commune des Granges-Gontardes, de Me BRAUD représentant la société COVED, de Marc-Claude de PORTEBANE, président de l'association AURA Environnement et de Michel APROYAN, maire de la commune des Granges-Gontardes.
La clôture de l'instruction a été prononcée à l'issue de l'audience...
La juge des référés du tribunal administratif de Grenoble a considéré ce qui suit :
- 1. Par une délibération du 11/09/2018 le conseil municipal de la commune des Granges-Gontardes a approuvé le plan local d'urbanisme. Ce plan local d'urbanisme prévoit, notamment, la création d'un secteur UI définit par le règlement comme aynat "pour vocation de permettre l'extension de la partie "enfouissement" de la plateforme multi-filières de tri, stockage, enfuissement, valorisation des déchets non-dangereux de Roussas". Les requérants sollicitent la suspension de l'exécution de cette délibération sur le fondement de l'article L. 122-12 (devenu L. 122-11) ou L. 123-16 du code de l'environnement ou l'article L. 521-1 du code de justice administrative.
Sur l'intervention en défense :
2. La société COVED, qui assure la gestion du centre d'enfouissement de Roussas en limite directe de la commune des Granges-Gontardes et dont l'extension est envisagée, justifie d'un intérêt au mmaintien de la délibération en cause. Son intervention en défense est, par suite, recevable.
Sur les fins de non-recevoir soulevées en défense :
3. D'une part, M. et Mme BERTELLO, M. et Mme BEYSSIER, M. GAUTHIER, M. et Mme HUGUES, M. Jean-Marc HUGUES, M. MARTINEZ, M. REDON, M. Jean-Luc ROUSTANT, et M. et Mme ROUSTANT déclarent tous être habitants de la commune des Granges-Gontardes. Le maire de la commune, interrogé sur ce point à l'audience, a confirmé que plusieurs habitants de la commune sont parties de l'instance. Leur qualité d'habitant de la commune leur confère intérêt pour agir à l'encontre de la délibération approuvant le plan local d'urbanisme. Ainsi, sans qu'il y ait lieu de rechercher si les autres requérants ont qualité ou intérêt pour agir contre la délibération contestée, la fin de non-recevoir soulevée doit être écartée.
4. D'autre part, contrairement à ce qui est soutenu en défense, la requête visée a été formellement présentée conformément aux dispositions de l'article R. 414-3 du code de justice administrative. La fin de non-recevoir soulevée à ce titre doit être écartée.
Sur la demande de suspension d'exécution présentée sur le fondement de l'article L. 521-1 du code de justice administrative :
En ce qui concerne l'urgence :
5.......
6.......
En ce qui concerne les moyens propres à créer un doute sérieux :
7........
8...........
9..........
10. Il en résulte de tout ce qui précède qu'il y a lieu de suspendre l'exécution de la délibération du 11 septembre 2018 par laquelle le conseil municipal des Granges-Gontardes a approuvé le plan local d'urbanisme.
Sur les frais de procès :
11. En vertu des dispositions de l'article L. 761-1 du code de justice administrative, le tribunal ne peut pas faire bénéficier la partie tenue aux dépens ou la partie perdante du paiement par l'autre partie des frais qu'elle a exposés à l'occasion du litige soumis au juge. Les conclusions présentées à ce titre par la commune des Granges-Gontardes et la société COVED, ces dernières au demeurant irrecevables, doivent dès lors être rejetées. Il y a lieu, dans les circonstances de l'espèce, de mettre à la charge de la commune des Granges-Gontardes, une somme de 800 € à verser aux requérants au titre des frais exposés et non compris dans les dépens. .
ORDONNE
Article 1er : L'intervention de la société COVED est admise.
Article 2 : L'exécution de la délibération du 11 septembre 2018 est suspendue.
Article 3 : La commune des Granges-Gontardes versera une somme de 800 € aux requérants au titre de l'article L. 761-1 du code de justice administrative.
Article 4 : Le surplus des conclusions des parties est rejeté.
Article 5 : La présente ordonnance sera notifiée à l'association AURA Environnement, à M. Cédric BERTELLO, à Mme Johanna BERTELLO-ROUSTANT, à Mme Sophie BEYSSIER, à M. Stephan BEYSSIER, à M. Henri BOUR, à Mme Catherine CURIE, à M. Pierre GAUTHIER, à M. Gilles HECQUET, à Mme Marie-Thérèse HUGUES, à M. Jean-Marc HUGUES, à Mme Hélène IVANEZ, à M. Jean IVANEZ, à M. Gil LAMURE, à M. Eric MARTINEZ, à M. Claude REDON, à M. Jean-Luc ROUSTANT, à Mme Marie-José ROUSTANT, à M. Jean-Michel TARTARIN, à la commune des Granges-Gontardes et à la société COVED.
Fait à Grenoble, le 04 décembre 2018.
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(Précisions d'AURA Environnement : les points 5, 6, 7, 8 et 9 étant très longs seront développés dans les prochains jours lors de nos différentes mises à jour).
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Projet incinérateur Valaubia #Troyes : AURA Environnement - contrairement Zero Waste - vise annulation AP tribunal administratif !
- Par auraenvironnementparis
- Le 05/11/2018
- Dans Collectif SI-LCSL (Stop Incinérateur La Chapelle Saint-Luc
Le comité central d'AURA Environnement a décidé d'ester
au tribunal administratif contre le projet d'incinérateur
porté par Valaubia-Veolia à La Chapelle Saint-Luc !
Le comité central d'AURA Environnement ne vise pas à une réduction des tonnages - comme cela serait possible avec la contestation potentielle de nos excellents camarades de Zero Waste - du projet de Valaubia-Veolia de La Chapelle Saint-Luc, mais à l'annulation pure et simple de l'arrêté préfectoral l'autorisant.
Les populations locales ne veulent pas d'incinérateur. Elles doivent être entendues. On ne peut imposer de tels projets aux habitants si proches.
Et pour cela, nous devons assumer la doctrine du président Mao : "Servir le peuple de tout coeur, sans nous couper un seul instant des masses : partir, en tout, des intérêts du peuple et non de ceux de l'individu ou d'un petit groupe ; identifier notre responsabilité devant le peuple avec notre responsabilité devant les organes dirigeants du Parti --- voilà ce qui inspire nos actes. " ("Du gouvernement de coalition - 24/04/1945, Oeuvres choisies de Mao Tsé-toung, tome III").
Vers Troyes, nous demandons la venue du professeur Sultan de Montpellier, pour qu'il nous éclaire sur ce qui se passe à Fos-sur-Mer, où les élu-es et les populations locales en ont plus que marre d'Urbaser racheté par les renégats chinetocs, plus capitalistes que communistes !
En effet, Urbaser Environnement a été racheté en 2016 par les chinetocs du groupe China Tianying Inc (CNTY) qui n'ont que d'autre but que de se faire un max de thunes au dépens de l'investissement. Ce fonds d'investissement qui a pris le contrôle d'Urbaser par le biais de sociétés opaques ne cesse de vouloir mettre sous pression les collectivités locales pour presque les amener à la ruine, comme cela a été le cas avec le SYTRAD de Valence dans la Drôme, où ce syndicat a failli retrouver ses finances sous la protection de la préfecture de Région, située à Lyon !
Les chinetocs cassent les prix à la tonne mais les comptes publiés ces dernières années démontrent que CNTY ne détient pas assez de liquidités pour couvrir ses dettes à court terme étant donné qu'aucun dividende n'a pu être versé depuis des decennies aux actionnaires : Or, le rachat d'Urbaser a permi de déséquilibrer CNTY, tandis que la China Securities Regulatory Commission a lancé dernièrement une enquête sur la santé financière de cette société en avril 2017, ce qui n'a fait que détériorer une image déjà si peu reluisante, puisque CNTY ne s'est développée que récemment sur les métiers de l'incinération et du traitement des boues et des déchets, et ce, grâce à l'aide d'une technologie transmise par le groupe Waterleau entre 2010 et 2011 !!!
Les chinetocs et leurs vassaux d'Urbaser font du toc et cassent les prix pour faire de la "merde" qui sera payée par le con-tribuable !
Pas question, non, plus, de laisser les mains libres dans la gestion des déchets de l'Aube à Veolia, via Valaubia !
Nous attendons la venue du professeur Sultan à La Chapelle Saint-Luc pour nous dire ce que l'on ne nous dit pas à Fos-sur-Mer, où le maire en a plus que marre d'Urbaser ! En effet, à Fos-sur-Mer, EveRé (Urbaser) multiplie les conflits administratifs avec nos camarades élus et associatifs.
Ils font de l’incinération à ras les pâquerettes. Ils cassent les prix, font ensuite augmenter les tonnages et, ensuite c’est trop tard. Les populations locales sont prises au piège.
Il suffit de se renseigner auprès de notre camarade le maire de Fos-sur-Mer, René Raimondi.
Il en a plus que marre d’Urbaser !
MCDP
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FEUIILETON bourguignon Fraudes sur Déchets : Sous-préfet #Montbard matraque fraudeurs de #PaprecCoved !
- Par auraenvironnementparis
- Le 01/11/2018
- Dans STOP Fraudes déchets PAPREC/COVED
Après associations environnementales, élu-es
c'est au tour des services de l'Etat d'en avoir
ras-le-bol des fraudeurs de Paprec/Coved !
PAPREC qui ne cesse de vouloir, sans cesse, laver plus blanc que blanc au nom de l'éthique des déchets de la vie, ne cessait d'être en conflit avec les associations environnementales ou de défense des animaux, puis les élu-es de nos petites communes impuissants devant autant d'arrogance et de moralisme à quatre balles et trois francs six sous, pour terminer sa course poursuite dans le mur de la délinquance potentielle, puisque maintenant, depuis les publications du Canard Enchaîné, c'est au tour des services de l'Etat d'en avoir ras-le-bol du groupe PAPREC et de sa nouvelle fiancée COVED qui se retrouve sous le feu des projecteurs de la sous-préfecture de Montbard en Côte-d'Or, et plus précisément en région Bourgogne-Franche-Comté.
En contact depuis plusieurs mois avec les assoc' locales de l'Auxois, AURA Environnement a décidé de mettre les pieds "dans le plat" et de venir en aide aux populations locales en important sa stratégie révolutionnaire non-violente de concertation avec les services de l'Etat, que nous, nous respectons !
Joël, Christophe BOURGEOT, le sous-préfet de Montbard en a plus que marre de Paprec/Coved, et il n'est pas le seul.
Tout le monde en a marre de toutes ces fraudes à répétition chez le "Chevalier" de "l'éthique" Paprec/Coved qui lave plus blanc que noir dans le secteur de ses décharges immondes de Vic-de-Chassenay (Côte d'Or) et de Duchy (Yonne) où un système de fraude à grande échelle sur l'origine et la nature des déchets déchargés a déjà été mis au jour par, déjà, 2 autres publications du Canard Enchaîné (22/08 et 17/10/2018) qui sont venues confirmer ce que nous avions déjà corroboré sur le terrain des échanges d'informations entre le comité central d'AURA Environnement et les populations locales largement ulcérées par autant d'abus nuisibles ppour l'économie et la défense de l'économie circulaire.
A Roussas, dans la Drôme, les populations locales n'en veulent plus de Paprec/Coved puisque maintenant, Paprec/Coved en est réduit à vouloir s'installer sur le réduit de la commune voisine des Granges-Gontardes (en voulant ceinturer le Club de Tir Sportif de Montélimar), où les gens endormis ont été réveillés fissa par la vieille garde d'AURA Environnement lors de l'enquête publique de révision du PLU des Granges-Gontardes...... qui ne vise, en réalité, en partie, qu'à installer l'extension de la décharge Coved-Paprec de Roussas sur les pistes glissantes du moto-cross (dont on attend toujours la copie de bail avec la commune des Granges-Gontardes) et les pistes soumises de l'auto-cross (où une société commerciale jouit d'aucun bail sur ce terrain communal), au diable les varices de l'accomodement entre une association, une société commerciale, du public privé de droit public et des élu-es qui ont manqué de vigilance sur un terrain communal, car, il est vrai que la commune des Granges-Gontardes ressource de terrains communaux convoités par Paprec/Coved !
Le commissaire enquêteur a donné raison à la Révolution des esprits impulsée par AURA Environnement qui a changé les esprits des Granges-Gontardes.
Après le "dodo" sur la "floue" communication avec les habitants des Granges-Gontardes - comme l'a très fortement remarqué le commissaire enquêteur -, place aux Sentinelles des vieux camarades-antispécistes de l'environnement et des animaux, rempart d'AURA Environnement qui a massivement tracté pour informer les populations locales sur ce qui se "tramait" dans leur dos et ce, pendant de nombreuses décennies !
Après "La Combe Jaillet 1", puis "La Combe Jaillet 2" à Roussas, voici le projet de nouvelle cuvée de "La Combe Jaillet 3" dans la commune voisine des Granges-Gontardes, et puis pourquoi pas, dans 20 ans, la potentielle cuvée "La Combe Jaillet 4" sur les communes voisines de Valaurie ou de Réauville ?
On arrête pas le progrès, certes !
Mais nous, AURA Environnement, nous arrêterons la progression des fraudeurs de Paprec/Coved et nous les retrancherons dans leur dernière exploitation de Roussas qui est une "carie" inadmissible dans cette belle région innocente de la Drôme-provençale qui n'a jamais demandé autant de saccage de son image dégradée, - comme le confirme notre photo ci-dessus - où l'on voit clairement que les poubelles ont crevé la vue de notre si belle Drôme provençale aromatisée par les champs de lavande, de petits chênes, d'oliviers ou de vignobles, spécialités AOC que l'INAO ne peut contester !
A l'avant les Granges-Gontardes ! A l'arrière et En arrière toutes, la décharge Paprec/Coved de Roussas dans la Drôme provençale, qui ne cesse de vouloir grignoter de nouveau espaces sur nos terres innocentes, maintenant sur les Granges-Gontardes, où, AURA Environnement soutenue par les riverains et les populations locales ira ester au tribunal administratif de Grenoble contre la révision du PLU des Granges-Gontardes qui vise...... à installer la future décharge actuelle de Coved/Paprec de Roussas !
Quand on ne veut pas de décharge, on ne modifie pas le PLU, pour l'installer !
Nous attendons toujours le DDAE déposé par Paprec/Coved auprès de la Dreal Drôme-Ardèche ! Mr BRIE de la Dreal, que faites-vous ? Pourquoi ne voulez-vous pas nous en communiquer copie ? En quoi ce document serait-il constamment "inachevé" et non-communicable aux populations locales que nous représentons ? En quoi, Mr BRIE êtes-vous le régulateur de l'information à l'attention des masses populaires des Granges-Gontardes qui n'en peuvent plus d'être tenues dans l'ignorance ! Mr BRIE, vite à peut-être bientôt pour la dernière CSS (commission de suivi de site) de Roussas ! A quoi bon soutenir Paprec/Coved lorsque le sous-préfet de Montbard - donc la Dreal des Côtes d'Or - ne soutient plus le "héraut" des fraudes avec l'administration de la République ?
La décharge du "géant du recyclage" - LOL - Paprec/Coved, on peut vous en parler sous toutes les coutures ! Nous en connaisssons tous les costumes : départ d'incendies, envols de plastiques sur les vignobles environnants, odeurs aux relents pestilentiels, couches superposées de plastique et de terre sur nos terres ancestrales, où, nous, nous voulons conserver nos tradtions de pêche et de nature telles que nous les ont léguées fièrement nos ancêtres !
NOUS nous battrons, jusqu'au bout pour soutenir la Juste cause, Notre Cause juste, CONTRE l'extension de la décharge Paprec/Coved sur nos illustres territoires innocents des Granges-Gontardes où cohabitent paisiblement animaux et habitants ignorants, espèces égalitaires attachées au bon sens et aux valeurs de la République égalitaire qui ne veut pas être souillée par les fraudes de Paprec/Coved, comme le reconnaîssent le sous-préfet de Montbard et les populations de la Côte d'Or ou de l'Yonne, on ne veut plus en entendre parler de Paprec/Coved !.
A suivre
Marc-Claude de PORTEBANE
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Odeurs & Mouches à merde pullulent #Sotreco #Mutatec @Châteaurenard : AURA Environnement interpelle DREAL # Marseille !
- Par auraenvironnementparis
- Le 09/10/2018
- Dans HALTE utilisation intensive larves mouche Hermetia illucens !
En cette fin d'août 2018 @Châteaurenard (13)
les odeurs étaient pestilentielles vers SOTRECO/MUTATEC :
AURA Environnement interpelle préfet + DREAL PACA !
Que l'on respecte enfin les mouches !
La mobilisation en marche !
Assez d'odeurs nauséabondes et de mouches qui volent et qui s'envolent, comme nous avons pu le constater cet été, vers le site de SOTRECO/MUTATEC à Châteaurenard dans les Bouches-du-Rhône, en face d'Avignon !
AURA Environnement alerte les Pouvoirs publics dont la Dreal et la préfecture Paca.
On veut la Vérité !
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DREAL PACA
36 Boulevard des Dames
13002 Marseille
Monsieur,
Au cours des semaines 34 et 35, au mois d’août 2018, nous avons été alerté par des riverains et nous sommes allés sur place constater des odeurs particulièrement pestilentielles à proximité immédiate des usines SOTRECO, CLEEF SYSTEM et MUTATEC, situées zone industrielle des Iscles, et plus précisément, chemin des Confignes à Châteaurenard.
Nous avons observé, à l’entrée gauche de SOTRECO, des monticules de déchets noirâtres exposés à l’air libre, à proximité d’un transformateur électrique et d’un poteau d’éclairage vert où se trouve fixée une caméra de surveillance du site.
Nous avons constaté, aussi, que ces déchets étaient déposés à même le sol herbeux et que leur jus était susceptible de s’écouler, par ruissellement, sur la voie publique et réceptionnés potentiellement ensuite dans un regard d’égout du réseau public de Châteaurenard, lui-même situé non loin d’une bouche à incendie de couleur rouge et flambante neuve !
Nous avons relevé, également, avec inquiétude, la présence de nombreuses mouches.
Inutile de vous préciser que le site de SOTRECO, CLEEF SYSTEM et MUTATEC, se trouve non loin de la rivière « L’anguillon » qui conflue avec la Durance, au sud d’Avignon et au nord de Châteaurenard, tout près de l’étang de Sudre.
Le 27/09/2018, nous avons eu l’UT DREAL d’Aix-en-Provence et nous l’avons informé de ces odeurs épouvantables telles un brouillard nauséabond qui ne voulait pas se désagréger dans l’atmosphère.
Nous avons demandé si les services de l’Etat étaient au « parfum » de ces odeurs persistantes d’origines diverses en provenance de ce site qui héberge les usines SOTRECO, CLEEF SYSTEM et MUTATEC.
La DREAL d’Aix-en-Provence nous a confirmé avoir mis dernièrement, effectivement, en demeure l’exploitant SOTRECO afin que celui-ci fasse une proposition de mesures d’odeurs en faisant appel à un bureau d’études afin de déterminer leur-s- origine-s et de mettre en place rapidement des mesures correctives durables afin de plus avoir à importuner les populations locales, les propriétaires de bureaux à louer et les employés et chefs d’entreprises locaux qui n’ont pas à supporter de tels désagréments.
Nous aimerions savoir si ces odeurs provenaient de l’installation SOTRECO ? De CLEEF SYSTEM ? De MUTATEC dont personne ne sait rien, et si le résultat de ces mesures d’odeurs nous sera transmis ?
Puisque le site des usines SOTRECO, CLEEF SYSTEM et MUTATEC ne semble pas capable de maîtriser ces odeurs pestilentielles et ces envols de mouches, les populations locales aimeraient en savoir un peu plus ce que l’on veut bien nous dire ou nous cacher.
L’assemblage des déchets est-il fiable dans l’ajustement de sa teneur en MS ?
Nous aimerions savoir quels types de déchets vont servir à nourrir les larves de mouches ? Quelles sont leurs provenance et quelles quantités de déchets T/jour seront réceptionnés sur ce site ?
Les déjections des larves serviront-elles à faire des engrais exposés à l’air libre ou pour de futurs essais qui seront réalisés sur les cultures environnantes ? Que deviendront les matières grasses ? Seront-elles exposées à l’air libre comme cette fin d’été 2018 ?
Les bacs d’élevage des larves de mouches fraîchement nées et chargés de « soupe » ensemencée se sont-ils éventrés pour ensuite, favoriser, de potentielles fermentations « sulfatant » ainsi cet odorat se développant dans la toute proche région d’Avignon ou de la ville de Châteaurenard ?
La réception actuelle des biodéchets non carnés pour l’instant (fruits et légumes, notamment) se fait-elle à l’air libre ?
Le projet de 500 T de protéines produites à partir de l’unité du démonstrateur a-t-il déjà commencé et ce, sans attendre la future enquête publique relative au dépôt du dossier de demande d’autorisation (DDAE) déposé par la société SOTRECO, en date du 06/06/2017 ?
Où est-on de ce dossier dont on ne nous dit rien ? En est-il au stade de l’enregistrement ? De la déclaration ? De l’autorisation ?
Les populations locales ont-elles à craindre de potentiels dangers présentés pour l’homme par les choix de l’espèce de mouche « Black Soldier », en ce qui concerne les germes, les maladies, etc…. puisqu’une mouche adulte peut pondre une quantité d’œufs correspondant à 50 % de son poids ?
Ces monticules de déchets servent-ils à nourrir les larves de mouches dans quelle bande d’isolement par rapport aux tiers impactés ?
Les populations locales et élu-es seront informé-es publiquement de l’existence de ce courrier.
Marc-Claude de PORTEBANE
Président d'AURA Environnement
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Vents mauvais #VEOLIA + #PAPREC @Drôme : AURA Environnement monte assaut contre mauvaise foi cloportes #Grangesgontardes + #Chatuzangelegoubet !
- Par auraenvironnementparis
- Le 29/09/2018
- Dans Commissaire enquêteur PLU refuse projet décharge COVED aux Granges-Gontardes
Une association téléguidée par on ne sait qui s'est liguée
contre le Collectif CPERG soutenu par AURA Environnement
qui déposera, lui, un recours contre le PLU des Granges-Gontardes !
Le collectif CPERG (Collectif de Protection de l'Environnement vers Roussas et les Granges-Gontardes) soutenu par AURA Environnement est le plus ancien regroupement de militant-es et de militants opposé au projet de PLU porté par les élu-es de la commune des Granges-Gontardes et cela a été confirmé par le commissaire enquêteur dans son rapport du 17/10/2017 à l'issue de l'enquête publique sur le PLU qui s'est tenue du 11/09 au 12/10/2017.
Déjà présent sur la commune voisine de Roussas où se situe l'actuelle décharge Coved, le CPERG connaissait bien la situation communale où aucune assocation de défense de l'environnement ne s'est jamais déclarée active sur ce territoire, même pas la FRAPNA de la Drôme !
Le CPERG, épaulé par des défenseurs de leur patrimoine dont notre camarade Gil LAMURE et soutenu par AURA Environnement, était déjà monté seul au créneau pour dénoncer les envols de plastiques sur les vignobles et les terres boisées des environs ainsi que sur le domaine forestier en alertant, notamment, l'ONF et la Dreal de la Drôme !
Alors que la situation perdurait depuis de nombreuses années sans qu'aucun viticulteur de Roussas ou des Granges-Gontardes, d'ailleurs, ne s'en plaigne, et ce, au nez et à la barbichette de l'INAO !
A l'époque, AURA Environnement avait demandé au "Baron d'Escalin" la copie de la convention de collecte des plastiques sur les vignobles des Granges-Gontardes.
Que nenni, nous n'avions rien récolté. Les vignerons de Rousssas et des Granges-Gontardes nous voyaient surtout comme des "ennemis", comme au bon temps de la lutte du SAC à merde gaulliste contre le communisme, car le comité central d'AURA Environnement est d'essence bipartiste : écolo-marxiste et écolo-national-bolchevique (l'aile gauche et l'aile droite du bolchevisme issue des masses populaires est représentée de façon équitable).
AURA Environnement ne fait jamais de politique, mais c'est surtout plus de 5 000 militant-es au travers de plus 70 collectifs autonomes et non-violents, en France et dans les TOM, sans compter les 350 cadres du Collectif de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux que nous pouvons mobiliser très rapidement.
Dans la commune voisine de Roussas, les Granges-Gontardes, le CPERG et AURA Environnement déclenchaient l'opération "Raisins de la colère rouge".
Les services de l'Etat, la presse et le commissaire enquêteur ont été unanimes : la mobilisation du CPERG et d'AURA Environnement a été massivement suivie par les populations locales à qui nous avons ouvert les yeux sur leur devenir et celui de leurs enfants, à savoir, qu'une extension de la décharge COVED/PAPREC risquait bel et bien de s'installer pendant plus de 20 ans dans leur commune s'ils ne se mobilisaient pas massivement et rapidement pendant l'enquête publique relative à la révision du PLU de leur commune.
Notre militantisme a été largement suivi puisque plus de 90 % des villageois endormis se sont enfin réveillés et plus d'1/3 ont suivi la bannière du CPERG soutenu par AURA Environnement.
Seulement quelques brebis galeuses nous ont suivi hypocritement pour ensuite, mieux nous poignarder "dans le dos", afin d'assouvir leurs ambitions personnelles de cervelle de colibri, voire de prise de pouvoir local : comprendre le futur assaut pour renverser l'actuel conseil municipal des Granges-Gontardes, lors des prochaines municipales de 2020 !
Le CPERG et AURA Environnement désapprouvent totalement ce genre de méthode de paltoquets, qui sous le prétexte de défense du patrimoine et de l'environnement, se servent de nos actions militantes, pour défendre leurs intérêts personnels politiques et/ou économiques dans un but autre que celui de l'unique défense de la collectivité !
Même si nous ne sommes pas d'accord sur des dossiers environnementaux avec les services de l'Etat, nous n'avons jamais été pour la destabilisation d'un maire démocratiquement élu !
Exemple : lors du dernier conseil municipal du 11/09/2018 aux Granges-Gontardes, un individu membre de ceux qui nous ont poignardé "dans le dos" a pris à partie le maire et le conseil municipal alors que la séance n'était pas terminée ! Le maire a été copieusement insulté. C'est inadmissible et anti-républicain ! Le maire a failli appeler les gendarmes pour faire cesser ce trouble manifeste de l'ordre public !
AURA Environnement a demandé poliment la parole à l'assemblée communale en prenant la défense du maire Michel APROYAN, puis a sermonné publiquement ce clown membre de ceux qui nous ont poignardé "dans le dos" qui éructait sa rage contre le 1er magistrat de la commune, en lui demandant de se taire plusieurs fois.
Cet amateurisme de voyou qui porte atteinte à celles et ceux qui défendent démocratiquement l'environnement et au code général des collectivités territoriales est proprement intolérable et n'a pas sa place dans une démocratie ! Le conseil municipal émet des voeux sur tous les objets d'intérêt local. Il ne règle pas ses délibérations sur les affaires de la commune en se faisant insulter publiquement, en plein conseil municipal. Seuls les conseillers municipaux peuvent poser des questions orales en fin de réunion, en rapport avec les affaires courantes.
Quand on est pas capable de défendre le code général des collectivités (CGCT), nous ne voyons pas comment ces gens-là peuvent vouloir défendre l'environnement au tribunal administratif ou de faire un recours gracieux ou amiable lorsque l'on n'est pas aimable avec le maire des Granges-Gontardes !
Il ne faudrait quand même pas oublier que le maire des Granges-Gontardes est protégé contre l'outrage et l'injure et que ces faits honteux sont réprimandés par l'article 433-5 du Code pénal !
Nous soutenons donc le maire et le conseil municipal des Granges-Gontardes sur ce point de respect de l'article L.2121-18 du CGCT, comme nous l'avons fait publiquement en demandant la permission d'intervention publique pour défendre les lois de la République !
Nous ne soutiendons donc pas ceux qui nous ont poignardé "dans le dos" ! Leur étoile se couche tandis que la nôtre se lève !
Nous avons décidé de faire le ménage : si nous avons été naïfs et magnanimes, nous ne le serons plus désormais et nous dénoncerons les minables qui nous ont poignardé "dans le dos" et qui n'ont uniquement de la "gueule" que sur...... le terrain glissant de l'internet ou pour troubler très maladroitement une réunion d'un conseil municipal démocratique régulièrement requis et convoqué comme le stipule l'article L 2121-29, créé par la Loi 96-142 du 21 février 1996 relative à la partie législative du code général des collectivités territoriales !
Contre les lamentables virtuels qui nous ont poignardé "dans le dos", nous allons leur montrer, comment, NOUS, AURA Environnement appliquons les concepts et les combats du théoricien communiste italien : Antonio Gramsci !
Nous avons toujours oeuvré en faveur de la nécessité pour la classe ouvrière d'être autant "dirigeante des classes alliées" que "dominante des classes adverses". Gramsci n'a eu de cesse de rappeler que "Les conseils d'usine nous disent toujours qu'aucune transformation révolutionnaire n'est possible si les producteurs directs ne sont pas maîtres de leur outil de production" !
Nous deviendront maîtres de la lutte environnementale aux Granges Gontardes mais aussi dans toute la Drôme où nous demandons au SYTRAD et à VEOLIA d'arrêter de pulvériser leurs odeurs insupportables vers Livron et de se mettre en conformité avec les dernières mises en garde du préfet de la Drôme sous peine de pénalités sonnantes et surtout trébuchantes en terme d'image dans l'opinion publique !
Vers Romans-sur-Isère, le vent de la révolte souffle contre les envols de plastiques sur l'A 49 à Chatuzange-le-Goubet, à charge contre la décharge mal gérée par ONYX-VEOLIA qui, via bientôt, là-aussi, une modification du PLU voudra encore "bouffer" nos terres agricoles (phase 3) qui ne cessent d'être grignotées, commune par commune, pour éradiquer nos camarades de "Nature, Pêche et Traditions" ancrées dans nos Terroirs de notre Drôme-Ardèche si bien aimée.
Nous respectons les chasseurs de la chasse aux cons, car, comme le disait si bien Pierre Desproges : "l'ennemi est con, il croit que c'est nous l'ennemi alors que c'est lui" !
On en veut plus de la décharge VEOLIA dans le nord de la Drôme et ce ne sont pas les dernières explications que nous a donné dernièrement AREA, la société gestionnaire de l'A 49, qui tente vainement de nous rassurer, qui vont démobiliser les populations locales qui se sont regroupées derrière le CDFEC (Collectif de Défense de l'Environnement à Chatuzange-le-Goubet), soutenu par AURA Environnement !
Au début, les dirigeants d'AREA n'ont pas répondu à notre mail du 04/04/2018, où nous faisions part de notre mécontentement à la direction du réseau d'AREA : ".. Suite à notre communication téléphonique de ce jour, nous vous confirmons que le 15 mars 2018, nous sommes parti de Valence en direction de Grenoble via l’autoroute A 49, avant le centre de péage n° 9 de Chatuzange-le-Goubet, et que nous avons observé des milliers de sacs plastique longeant la décharge ONYX-VEOLIA, non loin du lieu-dit « Pourcieux », comme vous pourrez le constater via nos photos...".
Ca ne devait pas beaucoup les intéresser puisqu'ils ne nous ont répondu que le 06/09/2018, alors que nous les informions que nous allions nous fendre d'un petit mail discret aux actionnaires qui demandent autant d'infos que de dividendes et qui, désormais, sont devenus voraces d'infos en provenance de sotre site internet et de nos publications papier envoyées à plus de 35 000 personnes !
Comme aux Granges-Gontardes, à l'écoute de Radio trafic, on veut bien être CONS une fois, mais pas 2 fois une fois !
En effet, le 25/08/2018, AURA Environnement mettait en garde la SCA AREA - société concessionnaire d'autoroutes - (filiale du groupe APRR) : ".... Cependant, Puisque vous n’êtes pas réactifs à nos alertes sur les dangers encourus par vos usagers de l’A49, une copie de ce courrier sera adressée au Pdg Benoît de RUFFRAY et aux actionnaires d’Eiffage ainsi qu’au groupe MACQUARIE via le service aux actionnaires de BNY Mellon à Pittsburg aux Etats-Unis....".
Depuis, 133 actionnaires américains ou proches, nous ont répondu ! Comme quoi la ténacité d'AURA Environnement est reconnue mondialement !
Nous ne voulons pas de ce futur pont qui enjambera l'A49 pour transporter encore plus de déchets d' ONYX-VEOLIA de l'autre côté de l'autoroute du malheur de n'être pas né-es si CONS que cela !
Comment ne pas devenir CON, lorsque AREA nous indique, après le passage d'AURA Environnement sur l'A49, de Valence à Grenoble le 15/03/2018, qu' ".....en effet, ce jour-là, un vent violent et soudain s'est mis à souffler à partir de 9H00....".
Pourquoi 9h00, pile-poil, à "9h00" précises soufflantes de plastiques de toutes les couleurs en provenance de la décharge VEOLIA ? Le vent se lève-t-il à 9h00 et se couche-t-il comme les poules ?
Si les filets de nos camarades marins pêcheurs de La Ciotat avaient été percés ce week-end dernier, comment auraient-ils pu ramener de la dentie au bon petit port de mer de nos luttes syndicales ?
Photos prises par AURA Environnement au restau "Au chantier" à La Ciotat, le 15/09/2018
Que comprendre du charabia de VEOLIA Rhin-Rhône Recyclage & Valorisation des déchets de Vaulx-en-Velin, qui, dans sa correspondance du 06/04/2018 à AREA - suite aux alertes d'AURA Environnement - tente d'expliquer ces envols de plastiques sur l'A49 que nous avons constaté - preuves à l'appui - en "plaidant" subitement que ceux-ci "proviennent en partie de notre pôle de stockage Energie", que "nous confirmons que ce jeudi 15 mars au matin, de fortes rafales devent de sud se renforçant vers 9h00 ont été observées sur le site", que "...Dans le même temps, nous avons procédé à un renforcement de la couverture des déchets en compléments de notre mode opératoire habituel de recouvrement à l'avancement...", que "En complément de cette action corrective, nous avons commandé 160 m linéaires d'un nouveau système de filets anti-envols afin d'améliorer notre dispositif actuel et ainsi d'anticiper ce type de situation exceptionnelle par vent de sud... ", que "....Nous sommes désolés pour ce désagrément exceptionnel...", etc..... ?
Ah bon ? Pas CON tout cela !
Les développements sur la vision gramscienne de l'éducation populaire, de la liberté et de la discipline sont très utiles et à bien des égards, nécessaires en 2018 et pour les futures générations de notre Drôme-Ardèche bien aimée !
A suivre
Marc-Claude de PORTEBANE.