Articles de auraenvironnementparis

  • Projet de TMB/Incinération du SYCTOM @Romainville/Bobigny : AURA Environnement en soutien à Collectif ARIVEM !

    Les écolos d'AURA Environnement apportent leur soutien total au COLLECTIF de l’ARIVEM (PANTIN – BOBIGNY –ROMAINVILLE – NOISY LE SEC - MONTREUIL – LE PRE ST GERVAIS – BAGNOLET – BONDY – AUBERVILLIERS – LES LILAS - PARIS XIX) et à Zéro Waste France !

    Huma 2 012

    Ce week-end à Paris, vous pouvez rencontrer les écolos-marxistes d'AURA Environnement en échangeant avec eux sur les déchets dans le village Alternatiba - lors du festival des alternatives citoyennes -, place de Stalingrad à Paris 19°.

    Le 18/09/2017, le président d'AURA Environnement, Marc-Claude de PORTEBANE, a rencontré Thibault TURCHET, le juriste de Zéro Waste France (avocat de formation et juriste, responsable des affaires juridiques en charge de la planification régionale) à son siège parisien, en bas de Montmartre.

    Une stratégie a été mise en place parallèlement entre AURA Environnement et ZERO WASTE France visant à tracer une ligne rouge à ne pas dépasser pour les exploitations de décharges en France qui ne valorisent pas leurs déchets, qui ne respectent pas la loi TECV en ne donnant pas la priorité au recyclage et à la valorisation (comme c'est le cas actuellement avec le projet LCJ3 COVED aux Granges-Gontardes dans la Drôme que commencent à dénoncer le collectif CPERG des populations locales soutenues par AURA Environnement).

    AURA Environnement tracera la ligne rouge et les précieuses informations seront ainsi collectées par Zéro Waste France qui les fera remonter - ensuite - lors des réunions officielles avec certains camarades-fonctionnaires du ministère de l'Ecologie et de l'ADEME.

    AURA Environnement a demandé à notre camarade Thibault notre co-admission (avec Zéro Waste France) lors des séances de travail avec le ministère de l'Ecologie pour oeuvrer à un meilleur partage de l'information avec les acteurs nationaux de la valorisation des déchets.

    AURA Environnement ne s'oppose pas qu'à certaines décharges mais aussi à de trop nombreuses installations de TMB (tri mécano-biologique) qui sont une ruine pour les collectivités territoriales et les contribuables avec, notamment leurs composts infâmes (souvent composé de métaux lourds et pulvérisés sur nos terres agricoles innocentes) ; à TOUTES les installations qui font de l'infâme CSR, (combustible solide de récupération, qui n'est que de l'incinération déguisée), et qui rejettent dioxines et métaux lourds tout en engorgeant fourneaux et cheminées des cimentiers français (Lafarge, Vicat....) qui en ont plus que marre de devoir supporter SEULS la charge de ses apports exponentiels de ces usines/CSR qui poussent comme des champignons allucinogènes ; à certains porteurs de projets qui veulent se faire de la "thune" facile sur des plateformes de soit-disant valorisation ou de stockage de mâchefers (le mâchefer est un déchet industriel spécial ou d'incinération qui est source de pollution lorsqu'il est en contact avec l'eau. Ce sont surtout des matériaux incombustibles obtenus en fin de four et utilisé en travaux publics pour, notamment, la construction de nouvelles routes), alors que certains de ces porteurs de projets ne sont pas des professionnels des déchets mais souvent des petits investisseurs privés qui ne se privent pas de faire de "juteux" gains, parce que leur conception capitaliste les portent à gagner des marchés publics sur le dos d'entreprises nationales qui, elles, investissent pour garantir les emplois de demain du camarade-éboueur à la camarade-secrétaire !

    A noter : chez VEOLIA, par exemple, les actions positives se multiplient :

    - la RSE (Responsabilité Sociétale de l’Entreprise) intègre les préoccupations sociales, environnementales et économiques dans les activités de l’entreprise et tient compte des interactions avec l’ensemble des parties-prenantes. Il s’agit donc de leur contribution positive au développement durable !

    - 2 sites VEOLIA d’Ile-de France ont accueilli ces derniers jours des visites d’étudiants de l’enseignement supérieur : le centre de tri des déchets de Nanterre et l’usine de production d’eau potable de Neuilly-sur-Marne.

    S"il y a des écolos-boboïstes qui ont de nombreux reproches à faire à AURA Environnement, nos camarades ouvrièr-es et salarié-es savent qu'ils pourront TOUJOURS compter sur NOTRE défense de l'ensemble de nos entreprises françaises, parce que NOUS, ici, nous sommes d'abord Marxistes et que nous sommes des patriotes également. Et ce sont les masses populaires qui font rentrer du pognon dans les entreprises spécialisées dans les Déchets. Une grève gigantesque des éboueurs comme à Saint-Etienne dans la Loire, comme l'an passé, pour l'Euro 2016 et c'était toute une ville qui était paralysée. Nos CAMARADES du peuple de base avec qui nous sommes en contact en permanence nous disent qu'ils aimeraient voir TOUS les jours des défenseurs de l'environnement comme nous, parce qu'entre EUX et Nous, il y a des valeurs d'ordre premier comme le Partage, la Considération, l'Union, la Fidèlité, des valeurs.... d'inspiration empruntées à Quo Vadis. C'est pour cela que nous pensons que notre Comité central a suivi la bonne et juste voie : celle de l'inspiration écolo-marxiste, où la défense des animaux et de l'environnement est calquée sur la discipline "garde rouge-antispéciste" (Garde-rouge, qui s'inspire du Petit livre rouge : "Au point de vue de l'organisation, il faut appliquer avec rigueur le principe de la vie démocratique sous une direction centralisée. Les organismes supérieurs doivent bien connaître la situation dans les organismes inférieurs et la vie des masses, afin d'avoir une base objective pour une direction juste". (L'Elimination des conceptions erronées dans le Parti. Décembre 1929. Oeuvres choisies de Mao Tsé-toung, tome I) !

    Ainsi, le SYCTOM (agence métropolitaine des déchets ménagers, Paris) organisait jeudi 21/09/2017 son premier atelier portant sur le "gisement des déchets" qui sont acheminés sur son centre de Romainville/Bobigny.

    Voici une petite synthèse de cette réunion avec un public inexistant et totalement snobée par nos élus (hormis l'élue en charge des déchets pour Est Ensemble), où les associations ont ferraillé avec les porteurs du projet de TMB/Incinération . 

    Augmentation du nombre de villes qui enverraient leurs déchets chez nous

    Les villes qui envoient leurs déchets au centre du SYCTOM de Romainville/Bobigny constituent "le bassin versant" (autour de 400.000 tonnes).

    Ce bassin versant est déjà très vaste (une partie de la ville de Paris et nombre de communes du 93), mais le SYCTOM prévoit dans son projet de l'étendre de façon significative.

    Le SYCTOM veut sortir de toute logique de mutualisation des capacités de traitement existante à l'échelle de notre région qui est pourtant en surcapacité de traitement

    A l'échelle de l'ensemble du territoire du SYCTOM, plus de 130.000 tonnes de déchets sont incinérés dans des usines qui ne lui appartiennent pas, situées en Ile-de-France.

    La volonté politique du SYCTOM est de constituer sa propre capacité à incinérer ces 130.000 tonnes à Romainville/Bobigny.

    Il requalifie cette mutualisation francilienne actuelle comme étant une "sous-capacité de traitement sur son bassin versant" afin de justifier son projet de construire sa propre usine au milieu de celles déjà existantes chez ses voisins proches.

    Les incinérateurs situés donc près de chez nous qui ne recevraient plus ces 130.000 tonnes devraient par conséquent chercher des déchets à brûler ailleurs, bien au delà de l'Ile-de-France. 

    Un pourcentage d'augmentation de la population contestable

    Le SYCTOM justifie également son besoin d'une nouvelle usine sur l'argumentaire d'une augmentation de la population de 0,32 % par an (le SYCTOM a encore gonflé ce chiffre lors de sa dernière présentation).

    Or cette donnée de l'INSEE se rapporte à l'ensemble de l'Ile-de-France et se réduit à 0,20 % par an pour la seule population des 5 départements couverts par le SYCTOM.

    A l'horizon 2031, cet écart représente 121.254 personnes, soit 31.000 tonnes de trop dans les projections du SYCTOM.

    Le SYCTOM s'exonèrerait du respect de la loi sur la transition énergétique (LTECV)

    Le SYCTOM refuse d'intégrer dans son dossier de programmation de son usine les objectifs de recyclage de 55% en 2020 et de 65% en 2025, tel qu'inscrit dans la loi.

    Alors que la LTECV précise que ces objectifs ont une portée locale, le SYCTOM invoque pour sa part qu'il s'agit de seuils à atteindre à l'échelle nationale, à comprendre que certaines régions ou territoires pourraient être en deçà de ces seuils et d'autres au-dessus.

    Les chiffres officiels du SYCTOM indiquent que sur son territoire, la poubelle en mélange destinée normalement aux non recyclables contient 42,6 % de déchets pour lesquels une consigne de tri existe, soit un gâchis considérable.

    Le pourcentage de collectes sélectives n'est que de 13,4 % avec un taux de captage de 30,2 %.

    Une mauvaise note donc également sur la qualité du tri pour la faible part qu'il représente.

    Ces résultats actuels extrêmement mauvais indiquent que la marge de progression est énorme.

    En atteignant seulement la moitié des objectifs de la loi LETCV sur cette partie de l'Ile-de-France, l'idée même de ce projet d'usine serait inenvisageable, d'où cette volonté du SYCTOM de s'en exonérer. 

    Rappelons que le SYCTOM représente à peu près 10% des déchets produits dans toute la France et que l'Ile-de-France n'a pas de bons résultats sur les taux de recyclages atteints, en grande partie du fait du territoire du SYCTOM qui a des résultats catastrophiques.

    Le devenir des mâchefers, un sujet embarrassant

    Le projet du SYCTOM d'un incinérateur, notamment à Romainville/Bobigny, soulève la question du devenir des mâchefers qui ont récemment fait l'objet de plusieurs articles de presse, soit du fait des grandes difficultés d'exutoire de ces matériaux potentiellement polluants dont plus personne ne veut, mais également du fait d'une décharge sauvage sur des terres agricoles de Seine-et-Marne dont une partie des mâchefers entreposés illégalement proviennent officiellement de l'incinérateur du SYCTOM d'Ivry-sur-Seine.

    Le SYCTOM affirme que tous ses mâchefers sont valorisés ce qui est contredit par cette triste expérience.

    A comprendre que le SYCTOM paie (très cher) pour que ses mâchefers soient "valorisés", sans autre traçabilité fiable, sachant que ce terme ne veut rien dire.

    Chantal LEVEQUE & MC de PORTEBANE

  • Plan Régional en faveur Filière Bois : AURA Environnement 100 % avec @LaurentWauquiez !

    Lors de l'AP (assemblée plénière) à la Région AURA à Lyon

    AURA Environnement apporte son soutien

    à la politique de Laurent WAUQUIEZ

    #Plan Régional en faveur de la filière Forêt-Bois ! Aura bois 081

    AURA Environnement était aujourd'hui en assemblée pleiniere avec le président du conseil régional d'Auvergne-Rhône-Alpes pour apporter son soutien à @Laurent WAUQUIEZ qui ne nous contredit pas lorsque nous affirmons que le principal enjeu pour la Région AURA est d'aider à construire une filière-bois régionale solide et véritablement compétitive au niveau national et européen.

    Notre camarade Marc-Claude de PORTEBANE, le président d'AURA Environnement, avait demandé que cessent les "coupes à blanc" de nos forêts, principalement du Parc naturel régional du Pilat, mais que certaines de nos préconisations soeint prises en compte par les élu-es de la région AURA, à savoir : 

    - Mobiliser plus et mieux les bois de nos massifs (1,4 M€ investissement / 0,75 M€ en fonctionnement)

    - Renforcer la compétitivité et la modernisation des entreprises : 2,6 M€/an investissement

    - Améliorer l'innovation, la logistique et la structuration de la filière : 1, 65 M€ / an (0,75 M€ fonctionnement et 0,9 M€ investissment)

    - Promouvoir et développer la construction en bois local -1 M€ en investissement

    - Mobiliser l'agence économique régionale sur l'organisation de la filière au niveau départemental.

    Aura bois 098

    AURA Environnement & Mounir AaRAB de Donzère au stand

    du Diamant noir (truffe) de la Drôme des Collines :

    Une amitié gustative exemplaire avec Franck BOISSEUX et son épouse !

    AURA Environnement plaide depuis de nombreux mois pour l'utilsation de la Biomasse et se bat SURTOUT contre les installations désireuses de brûler de l'infâme CSR (Combustible solide de récupération, issu de nos poubelles) couplé avec de la Biomasse.

    Aura bois 090

    AURA Environnement prend autant la défense des vins

    de l'AOC des Côtes Roannaises ou de Grignan-les-Adhémar

    que des noix de Grenoble vers Saint-Quentin-sur-Isère

    ou les olives des Granges-Gontardes ! 

    Cette semaine, le comité central d'AURA Environnement a reçu le soutien inconditionnel du maire de Pierrelatte, Alain GALLU, qui soutient notre cause pour l'utilisation de la Biomasse UNIQUE dans les installations de sa commune.

    Si jamais la Ferme aux crocodiles était alimentée par de la vapeur issue du CSR, les autorités savent que nous ferions déferler plusieurs centaines de militant-es et de militants in solidum avec nos amis les crocodiles !

    Nous, antispécistes, seront toujours du côté églitaire Animaux/Humains ! Un animal vaut largement un humain ! Un humain vaut autant que l'animal !

    Textes & Photos © 2017 AURA Environnement

    Paul TOP

  • CNDP débat public Avenir Grand port maritime de Dunkerque : l'intervention de Marc-Claude de PORTEBANE sur Youtube !

    2ème table ronde de la Commission nationale du débat public

    Programmation portuaire et planification territoriale

    du Grand Port maritime de Dunkerque :

    l'ntervention de Marc-Claude de PORTEBANE à 1-00-53

    sur les dangers du projet Indachlor d'Indaver à Loon-Plage

    Cliquez sur lien : https://www.youtube.com/watch?time_continue=3701&v=Om25F-l4O0E

    Cndp cr 016

    Présence de :

    Magali Debatte, Secrétaire générale aux affaires régionales Hauts-de-France

    Nathalie Dominique, Agence d'Urbanisme et de Développement de la Région Flandre Dunkerque ( AGUR)

    Cédric Ghesquières, directeur général ville et environnement de la Communauté Urbaine de Dunkerque

    Erwan Lebris, directeur aménagement et environnement du GPMD

    Animation par Marie-Claire Eustache

    Comment la création de nouveaux emplois sera accompagnée par la création de nouveaux services et équipements adaptés (logements, écoles…) ? Quelles infrastructures de transports sont à prévoir ? Quelle densification du territoire à l’ouest ? Toutes ces questions sont pour les services de l’Etat des enjeux centraux du projet qu’il faudra prendre en compte dans la révision des documents de planification territorial. La préservation des zones humides et la prise en compte des risques de submersion marine sont des éléments qui garantiront la résilience du projet.

    En préambule de son intervention, Nathalie Simon a rappelé les grandes caractéristiques du territoire balnéaire et urbain, son patrimoine et ses spécificités paysagères. Cette présentation a mis en exergue comment la structuration de la politique urbaine de la CUD s’est accompagnée d’une prise en compte progressive des enjeux environnementaux et des risques industriels ; en y intégrant le territoire portuaire. Les projets récents de rénovation urbaine répondant à une volonté de reconquête des espaces portuaires, tels que « Neptune » et le « Grand large » ont également été présentés.

    Dans sa présentation, Cédric Ghesquières a introduit les objectifs du Plan local d’urbanisme intercommunal Habitat et Déplacements. Y figure notamment l’attractivité du territoire en réponse à la perte progressive d’habitants. La CUD souhaite répondre à ce défi par la création d’emploi et le développement économique. Le développement des transports est présenté comme l’une des grandes ambitions pour répondre à un usage, encore trop fréquent de la voiture. La gestion de la biodiversité, des milieux aquatiques, la qualité de l’air et le bruit sont également considérés dans ce document de planification.  

    Erwan Lebris a rappelé le rôle du GPMD dans la défense des espaces naturels et des écosystèmes naturels. Le GPMD dispose à ce titre de son propre Plan d’aménagement et développement durable et d’un Schéma directeur zones d’aménagement et patrimoine. La protection du trait de côte et la prévention des risques de submersion marine figurent parmi ces prérogatives.

    Les interventions de la salle ont exprimé une inquiétude générale sur les risques industriels : qu’est ce qui sera concrètement transporté dans les conteneurs ?

    Les impacts en termes de pollution de l’air, de gaz à effet de serre et de lumière, de congestion routière, d’accidentologie des routes ont également été identifiés comme des enjeux incontournables du projet. Enfin,  c’est le rapport opportunité/coût du projet qui a été questionné.

    Le président d'AURA Environnement, Marc-Claude de PORTEBANE et porte-parole du Collectif de Préservation de l'Environnement vers Dunkerque (CPERD) soutenu par plus de 40 000 personnes au travers 2 pétitions CONTRE l'implantation du projet Indachlor à Loon-Plage - Seveso Seuil Haut - et porté par le belge Indaver, est intervenu plusieurs fois pour dénoncer une telle implantation néfaste pour l'environnement et les animaux...

    Chantal LEVEQUE

  • Entrée AURA Environnement CSS ONYX-VEOLIA Chatuzange-le-Goubet : Collectif CHDVC démine le terrain avec les élu-es !

    AURA Environnement ne cesse de tarir d'éloges

    vis-à-vis de Christian GAUTHIER

    le maire de Chatuzanges-le-Goubet

    qui est un maire loyal et respectueux proche

    de Nicolas DARRAGON, le maire de Valence !Dae tony 104

    Il est est extrêmement rare qu'AURA Environnement décerne quelques bon points à des élu-es, même opposé-es idéologiquement à nos sensibiltés anarcho-écolos-marxistes.

    MAIS, dans la vie, il y a toujours des exceptions où le dialogue dans le respect des convenances s'impose que l'on soit représentant de l'aile anarcho-écolo-marxiste proche de certaines idées de la France Insoumise ou de défense de l'Environnement du président de la République Emmanuel MACRON et de notre camarade Nicolas HULOT qu'Aura Environnement n'a eu de cesse de soutenir et ce, en dépit de nos divergences notables sur les tirs inadmissibles sur les loups innocents un peu partout en France alors que de nombreux chiens errants en divagation sont en manque de proies sensibles aux pléthores de ..... subventions !

    Huma 029

    Lors de la fête de l'Huma 2017 à La Courneuve, notre camarade-président Marc-Claude de PORTEBANE s'est entretenu avec le député communiste d'Auvergne-Rhône-Alpes, André CHASSAIGNE, au stand de l'association des Amis de Cuba sur la nécessité d'oeuvrer pour une politique juste et durable dans le domaine des Déchets au sein de la grande région AURA (Auvergne-Rhône-Alpes) !

    Nous avons abordé le projet de décharge de COVED aux Granges-Gontardes et nous avons promis de défendre le CPERG local qui se bat pour la défense de ses vignobles AOC où de nombreux camarades ne cessent de trimer pour cette société impérialiste qui ne cesse de donner des paquets de dollars aux impérialistes et ce, au détriment des populations locales.

    Ainsi, le camarade Marc-Claude de PORTEBANE ne devrait pas tarder à partir - dans le cadre de la CNDP (Commission nationale du débat public) en Guyane Française. En effet, l'aile de l'ultra-gauche d'AURA Environnement dénonce : "Un monstre industriel prévu pour 2018 : le projet Montagne d’Or s’inscrit sur 190 km2 de concessions et prévoit une fosse de 2,5km de long, 500m de large et 400m de profondeur. Son usine de traitement de minerai par cyanuration exige l'énergie de 20% de la consommation annuelle de la Guyane.... Si la France autorise l’exploitation à grande échelle de ce premier gisement, elle s’exposera nécessairement à la multiplication de projets miniers équivalents. Ce choix de société n'est pas une solution de développement pérenne. La population n'a  pas été consultée et les procédures imposant de recourir au Conseil Consultatif des Populations Amérindiennes et Bushinengué n'ont pas été respectées....".

    A Chatuzange-le-Goubet, le Collectif CHDVC (Halte Décharge Veolia Chatuzange-le-Goubet) vous tiendra au jus du prochain calendrier d'ici la fin d'année 2017 qu'AURA Environnement se charge d'assurer pour informer dignement les populations locales qui sont de plus en plus rassurées par leur cadre de vie et leur administation communale fière d'être drômoise !

    Louise-Marie de PORTEBANE

  • Modif' PLU Les Granges-Gontardes : Collectif CPERG débarque mairie du Commissaire-enquêteur et dénonce projet SECRET décharge !

    Plusieurs habitant-es choqué-es des Granges-Gontardes (26)

    ont répondu favorablement à l'appel d'AURA Environnement et du CPERG

    Collectif de Protection de l'Environnement vers Roussas-Les Granges-Gontardes

    pour écrire leur indignation sur le registre du commissaire-enquêteur

    en mairie dans le cadre de l'enquête publique modif' du PLU et SURTOUT dire

    STOP au projet de décharge COVED sur l'actuel terrain du moto-cross !!!

    Sangl 26 17

    OU VAS-TU, camarade égalitaire ?

    L'appel évolutionnaire d'AURA Environnement et du CPERG (Collectif de Protection de l'Environnement vers Roussas-Les Granges-Gontardes) sonnant le tocsin CONTRE le projet d'une nouvelle décharge dans la Drôme, et plus particulièrement sur l'actuel terrain du Moto-cross des Granges-Gontardes, que PERSONNE ne veut ébruiter aux populations locales, s'est déchaîné comme une trainée de poudre dans tout le petit village des Granges-Gontardes où les militant-es du CPERG ont mis, secrètement selon leur méthode égalitaire tirée de "Quo Vadis" mais d'inspiration maoïste, en appliquant de façon rationnelle et disciplinée, l'opération dite des "Raisins de la colère Rouge"...... que nous avions annoncée sur notre site, mais aussi dans les communes voisines de Valaurie, Donzère, Roussas, La Garde Adhémar, Malataverne, Allan, Grignan, Montélimar, Valence, Aubenas !

    L'appel Evolutionnaire et non, Révolutionnaire, a été entendu par les populations locales des Granges-Gontardes qui ont été abasourdies d'apprendre par AURA Environnement et le CPERG que, sous l'actuelle enquête publique de modification du PLU (plan local d'urbanisme) se cachait un projet de décharge dénommé "LCJ3" au lieu-dit "La Combe Jaillet" devant accueillir 75 000 T à 100 000 T de déchets sur l'actuel terrain du moto-cross des Granges-Gontardes exposé à tous les vents mauvais et SURTOUT dominants !!!!

    En effet, les services de la DREAL de la Drôme, les élu-es des Granges-Gontardes, l'exploitant COVED (Direction Sud-Est à Roussas et plus particulièrement le demandeur du DDAE - Dossier de demande d'autorisation environnementale - présenté par ANTEAGROUP, direction régionale Sud, 34470 PEROLS, Tél. 04 67 15 91 10 - devaient espérer "péperre" cette modeste enquête publique du PLU, en évitant bien soigneusement d'informer les populations locales qui, sans AURA Environnement et le CPERG n'auraient jamais rien su de ce projet de décharge aux Granges-Gontardes qui s'embrase au fil des jours !

    C'est pour cela qu'une première délégation du Collectif CPERG - composée de son premier comité directeur avec Marc-Claude de PORTEBANE, une habitante du village qui tient à garder l'anonymat, Henri BOUR. - s'est rendue samedi matin, lors de la permanence du commissaire enquêteur en mairie des Granges-Gontardes.

    RDV fixé à 10h du matin devant la mairie des Granges-Gontardes. Plus de 15 personnes ayant rejoint le CPERG se sont immédiatement rendues en mairie sans compter les absent-es qui se sont excusé-es - par téléphone ou par mail à aura-environnement@laposte.net de ne pouvoir venir ce jour-là rencontrer le commissaire-enquêteur et lui coucher par écrit leurs craintes sur ce funeste projet de décharge sur leur propre commune des Granges-Gontardes !

    Projet coved ggontardes i

    LES REVELATIONS SECRETES D'AURA Environnement et du CPERG sur ce que l'on vous cache sur le PROJET de DECHARGE COVED sur la commune des Granges-Gontardes :

    COVED dispose d'une autorisation d'exploiter, pour son installation de stockage de déchets non-dangereux dite "LCJ2", sise sur la commune de Roussas au lieu-dit "La Combe Jaillet", pour une capacité maximale annuelle de 100 000 T jusqu'au 01/01/2022, conformément à l'arrêté préfectoral du 14/01/2005 et de l'arrêté complémentaire du 04/03/2015. Par ailleurs, COVED dispose pour le site de "Combe Jaillet", d'une autorisation pour son activité de tri de déchets non-dangereux, (Arrêté initial du 06/02/1995).

    AURA Environnement était mis au parfum au milieu 2013, car, afin de pérenniser l'activité du pôle multi filières, COVED a engagé depuis 2012 des études de faisabilité pour prolonger son activité de stockage de déchets non-dangereux, sur le site du pôle multi filière de Combe Jaillet.

    Coved ggtop secret 2En effet, COVED souhaiterait étendre son site du pôle muliti filière, avec UN PROJET d'une NOUVELLE DECHARGE aux GRANGES-GONTARDES, destinée pour partie aux déchets d'activités économiques (DAE) et aux déchets ménagers et assimilés (DMA), pour :

    - Une capacité globale de stockage de 1,25 millions de T, (soit un volume de 1,35 millions de m3)

    - Une durée d'exploitation de 18 ans,

    - Une capacité de moyenne de 75 000 T/an et maximum de 100 000 T/an !!!

    Coved roussas envols platocs

    Nous ne voulons pas de cela, comme à Roussas en 2013

    dans notre commune des Granges-Gontardes

    lorsque le Mistral se déchaînera sur nos vignes, lavandes !!!!

    CE PROJET SECRET dit "LCJ3" intègrera :

    - Une phase de terrassement avec sur toute la durée de l'exploitation, un mouvement de terre de l'ordre de 600 000 m3 en déblais et de l'ordre de 430 000 m3 réutilisé sur site en remblais, pour l'aménagement de fond du NOUVEAU casier, les digues et couverture, 

    - Une zone de stockage de déchets, de l'ordre de 8,2 ha environ,

    - Des aménagements spécifiques, liés au fonctionnement du nouveau site des GRANGES-GONTARDES, tels que des bassins de collecte des eaux de ruissellement interne du site et de collecte des lixiviats, des aménagements pour l'accès au site (voiries).

    Coved ggtop secret 3

    Dans son dossier de demande d'autorisation, la COVED fait comme si les impératifs liés à sa future activité et aux contraintes techniques qui en découleront étaient acquis comme par exemple la "Compatibilité avec le document d'urbanisme" comme si l'enquête publique de modification du PLU qui se déroule actuellement en mairie des Granges-Gontardes était déjà "pliée". MDR !

    Le commissaire-enquêteur n'a pas été capable de nous dire - A nous les 3 délégués du CPERG admis dans la salle de la mairie des Granges-Gontardes et qui avons signé in solidum - à quoi était destinée la partie actuelle du terrain d'auto-cross/moto-cross (de couleur vert clair, zone Usl) enclavée dans la zone violette (zone Us) !!!!

    Modif plu gg 30

    D'après COVED, "Le projet de zonage et de règlement du PLU, pour le secteur, correspond à une zone "Ui" ayant "pour vocation l'extension de la plateforme multi filière de tri, stockage, enfouissement, valorisation de déchets non-dangereux (ISDND) et de  production d'énergie électrique à partir de la méthanisation du CET de Roussas".

    Donc, pour COVED, "Le règlement de cette zone est compatible avec les activités ICPE envisagées".

    En clair : la modification du PLU actuel ayant été - déjà - probablement approuvée par le "Saint-esprit", les futures activités de l'ICPE (le projet de future décharge qui est une installation classée au titre de la protection de l'environnement ...avec enquête publique) seraient - déjà - compatibles par "anticipation" !

    Foin de la réaction populaire, qui, sans AURA Environnement et le CPERG n'aurait rien su et l'ensemble passait comme une "lettre à la Poste" !

    NOUS REAGIRONS et NOUS RIPOSTERONS ! A Roussas, il y a eu du "laisser-aller" inadmissible ! La CSS de 2016 ne s'est pas réunie malgré les reproches d'AURA Environnement vis-à-vis du comportement étrange de la Dreal 26. Peut-être qu'ils voulaient certainement et SURTOUT PAS effaroucher les populations locales en parlant de futur projet de leur future décharge aux Granges-Gontardes amplifié d'au moins 75 000 T.

    C'est pour cela qu'AURA Environnement a demandé au préfet de la Drôme, le 21/08/2017, l'intégration d'AURA Environnement et du CPERG au sein de cette CSS. Pour l'instant AUCUNE réponse alors que les services de l'Etat ont 1 mois pour répondre. C'est clair, ils ne veulent pas "d'emmerdeurs" à leur CSS de Roussas qui proviennent de cette commune et/ou des Granges-Gontardes !

    Or, nous avons des potes dans toute la France et AURA Environnement peut toujours compter sur ses camarades de l'ASPA qui ne lâchent absolument RIEN contre la décharge COVED de Vic-de-Chassenay et qui en ont plus que marre de chez marre, comme en témoigne ce document de France 3 Bourgogne-Franche-Comté sur leur capacité intacte de RESISTANCE http://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne-franche-comte/cote-d-or/vic-de-chassenay-millery21-l-aspa-lance-le-compte-rebours-de-la-fermeture-du-centre-de-stockage-des-dechets-899213.html

    Pour revenir aux Granges-Gontardes, COVED se veut rassurante et déjà certaine que le projet de décharge se fera bel et bien aux Granges-Gontardes" puisque "l"étude d'impact montre que le projet ne génère pas d'impact notable et que les mesures prises permettent de garantir la protection de l'environnement..." ! Les citoye-nes des Granges-Gontard apprécieront !!!

    Depuis plus d'un an, AURA Environnement a averti les autorités préfectorales de la Drôme qu'il était hors de question de "toucher" à la zone Biotope qui "ceinture" en bonne partie la décharge de Roussas.

    Donc, ils ne restait plus qu'une solution à COVED : analyser des solutions de substitution autres, comprendre le sympa terrain du Moto-cross. Ce qui fut fait en 2014 et 2016, puisque des reconnaissances géologiques auraient été réalisées pour "caractériser les formations géologiques encaissantes au droit du projet"..... des Granges-Gontardes, ce qui aurait permis à COVED de valider sur des critères géotechnique, géologique et hydrologique, la "faisabilité d'implantation" d'une telle décharge de DND (déchets non-dangereux) aux Granges-Gontardes !

    Ceci est confirmé par COVED : "Cet élément a été décisif dans le choix de l'implantation du projet" ...aux Granges-Gontardes où l'on ne sait rien parce que l'on ne nous dit rien !

    Pas grave, puisque le CPERG prépare banderoles, tracts, pancartes en prévision de la prochaine saison touristique hivernale où le soleil brillera plus que sur Paris dans cette jolie vallée des Granges-Gontardes de la Drôme provençale. Une riposte populaire est toujours accueillie favorablement par les masses populaires qui en ont marre de ne pas vivre tranquillement sur leurs territoire des Granges-Gontardes, où certains camarades du CPERG songent à s'en aller de leur commune cernée par les décharges de Donzère et de Roussas, les camions de la carrière de GSM où la dernière enquête publique a déjà été houleuse avec les riverains, l'autoroute A7 et son flot incessant de camions et de bagnoles, les TGV qui défilent jour et nuit, une gestion municipale du nouveau complexe écolier qui n'a fait qu'endetter leur commune des Granges-Gontardes !

    Sangl 26 3

    COMPATIBILITE AVEC LE DOCUMENT D'URBANISME !

    COVED nous dit qu' "un PLU est en cours d'élaboration sur la commune des Granges-Gontardes, depuis l'arrêté du 25/06/2010 qui a prescrit son élaboration", car, "Actuellement le document d'urbanisme est un POS" et que "Le projet est situé en zone NDL "zone naturelle à vocation d'équipements sportifs et de loisirs" et NCc "zone agricole protégée" où les carrières sont autorisées" et COVED souligne en gras que "Le projet de zonage et de règlement du PLU, pour le secteur est compatible avec les activités ICPE envisagées".... comprendre la future décharge des Granges-Gontardes.

    Dans la mesure où la procédure d'élaboration du PLU a été engagée avant le 31/12/2015 (date de délibération du conseil municipal de lancement de la procédure 2011), le POS continue de s'appliquer jusqu'à l'approbation du PLU qui doit intervenir au plus tard dans un délai de 3 ans après la publication de la loi ALLUR, (loi n° 2014-366 du 2403/2014 pour l'accès au logement et un urbanisme rénové), le 26/05/2014.

    Au-delà du 27/03/2017, c'est le règlement national d'urbanisme qui devrait s'appliquer, conformément à la loi ALLUR.

    COVED indique donc que son projet de décharge aux Granges-Gontardes "sera compatible (de manière transitoire) au RNU dans la mesure où il se situe en dehors des zones habitées. La caducité du POS ne remettrai pas en vigueur le document d'urbanisme antérieur".

    COVED continue "A l'approbation et opposabilité du PLU, le projet sera compatible au PLU" car "En effet, le projet est inscrit dans un projet de zonage Ui ayant pour vocation de permettre l'extension de la plate-forme multi-filières de tri, stockage, enfouissement, valorisation des DND....".

    VOTRE AVENIR et CELUI de VOS ENFANTS des prochaines générations se joue MAINTENANT lors de cette enquête publique de modification du PLU. Ensuite, cher-es CAMARADES, ils sera TROP TARD pour changer le futur ZONAGE qui verra irrémédiablement s'installer la future décharge des Granges-Gontardes ! MOBILISEZ-VOUS MASSIVEMENT pour rejoindre notre Collectif du CPERG ! DES REUNIONS SERONT PREVUES POUR QUE VOUS PUISSIEZ MESURER CE QUE SERA VOTRE AVENIR ! Vous devez absolument manifester votre indignation au commissaire-enquêteur qui est là pour retransmettre vos doléances.

    Coved ggtop secret 5 Ne soyez pas ignorants et encore moins ignares : SERVEZ-vous de ce document

    Pour aller voir le commissaire-enquêteur à la mairie des Granges-Gontardes

    Afin de bien lui montrer la direction des vents violents dominants qui

    Pulvériseront odeurs et envols de plastiques ou de cartons légers sur nos terres !

    Coved ggtop secret 4CELLES ET CEUX QUI VOUDRONT VENDRE LEURS TERRAINS et/ou MAISONS auront du mal à les négocier parce que le nom des Granges-Gontardes sera désormais associé à DECHARGE !

    REGARDEZ CE QUI SE PASSE DANS LES COMMUNES OU LES DECHARGES pullulent ! Vos ENFANTS et petit-enfants diront "Maman, Papa, c'est grâce à vous que nous avons une décharge au minimum de 75 000 T/an aux Granges-Gontardes située sous les vents dominants et que nous risquons de subir des envols par le vent d'éléments légers, comme les papiers WC, les cartons d'emballage de certains kebabs ou autres établissements, les plastiques aux odeurs sucrées ou salées souillés par les mouches-à-merde (sources de dégradation visuelle des abords..... "!

    Pas certain aussi que ce projet de décharge aux Granges-Gontardes plaise également aux vignerons qui vont effectuer des recours auprès de l'INAO et qui voudraient rejoindre le CPERG......

    A suivre (Des précisions seront apportées dans les prochaines heures et dans les prochains jours).

    Merci de contacter - pour l'instant - nos camarades et accessoirement notre camarade Henri BOUR de Roussas très préoccupé par son travail et moi-même (le DDAE déposé déposé par COVED - ANTEA GROUPE est très compliqué) pour voir comment nous allons organiser la RIPOSTE dans les prochains jours et les prochains mois car COVED espère fissa une enquête publique sur la future décharge aux Granges-Gontardes au TOUT début 2018 ; grossir les rangs du CPERG et l'organisation de masse ; ne pas se diviser avec les camarades chasseurs (Nous soutenons nos camarades amérindiens Guarani en Guyane  - qui connaisssent AURA Environnement et qui sont des chasseurs raisonnables, tout en luttant CONTRE le projet "Montagne d'Or" prévu près de Saint-Laurent-du-Maroni, dans l'Ouest Guyanais) ; définir nos stratégies de défense environnementale pour la défense des populations locales des Granges-Gontardes et des communes environnantes ; se MOBILISER 24h/24 pour que la RESISTANCE S'ORGANISE sur le terrain de l'actuel auto-cross/Moto-cross !

    Aa418Nous recherchons d'URGENCE des camarades ouvrier-es, employé-es, technicien-nes ou des ingénieurs volontaires et bénévoles spécialisé-es dans tous les domaines pour passer au peigne fin le DDAE déposé par COVED et qui seront rattaché-es à la Cellule autonome du CPERG 2. La cellule du CPERG 1 sera celle du commandement égalitaire où la parité sera respectée. La cellule du CPERG3 sera celle qui veillera aux actions sur le terrain. La cellule du CPERG4 sera celle qui se chargera de veiller à la démission du maire et de l'équipe municipale dans le but de mettre en place de nouveaux élu-es apolitiques.

    --- PAS QUESTION D'UNE DECHARGE de PLUS de 75 000 T AUX GRANGES-GONTARDES pendant 18 ans au minimum ! ---

    POUR NE PAS AVOIR DIT LA VERITE

    AUX HABITANTS DES GRANGES-GONTARDES :

    EXIGEONS la DEMISSION in solidum du MAIRE

    et du CONSEIL MUNICIPAL des GRANGES-GONTARDES !

    Marc-Claude de PORTEBANE

    - Président d'AURA Environnement

    - Porte-parole du CPERG (Collectif de Préservation de l'Environnement vers Roussas-Les Granges Gontardes)

    - Fondateur et Porte-parole de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux (51 000 Like sur Facebook).

    - Membre apprécié des groupes de travail DMA et DAE ; Déchets du BTP ; Déchets organiques ; Déchets dangereux ; Filières régionales ; Prévention, sensibilisation, communication du Plan régional de prévention et de gestion des Déchets à la Région Bretagne à Rennes.

    - Membre de la CSS à la préfecture de Grenoble pour le Collectif Stop Décharge Saint-Quentin-sur-Isère vers Grenoble (ISDND Lély à Saint-Quentin-sur-Isère)

    - Membre de la Commission nationale de débat public (CNDP) au titre de représentant de nombreuses associations de défense environnementales

    - Président du pôle Déchets à la Fédération d'associations FAPEL22.

    - Porte-parole du Collectif CHUPA 42 (Collectif Halte Usine à Poubelles vers Andrézieux-Bouthéon)

    - Porte-parole des Collectifs GreenLoire (42) et GreenBretagne (19, 22, 35, 56)

    - Porte-parole du CPEP (Collectif de Protection de l'Environnement du Pilat) (42, 69)

    - Membre de Greenpeace

    - Représentant d'AURA Environnement à l'Université d'été 2017 d'EELV (Europe Ecologie Les Verts)

  • APPEL Boycott d'AURA Environnement pseudo "Réunion publique" projet Indachlor du belge Indaver @Loon-Plage #GPMD !

    AURA Environnement appelle au Boycott intégral

    de cette parodie de réunionite aiguë dite "publique"

    dans le cadre de la VRAIE enquête publique 

    vendredi 29/09 dans une salle exiguë mairie Loon-Plage

    projet INDACHLOR Seveso seuil haut !

    Ds la loon 023

    Le président d'AURA Environnement avait convenu avec Mme Peguy CARTON, - la Commissaire-enquêteur - de l'enquête publique unique concernant le projet dangereux Classé SEVESO "Indachlor" et porté par le belge Indaver sur nos terres des Hauts-de-France à Loon-plage dans le Grand-Port Maritime de Dunkerque (GPMD), d'une possibilité potentielle d'intégrer la présence à l'auditoire de Marc-Claude de PORTEBANE - également porte-parole du Collectif de Préservation de l'Environnement de la Région de Dunkerque (CPERD) - en compagnie des agents de la Dreal de UT-Gravelines, du sous-préfet de Dunkerque !

    Cette organisation d'un auditoire dit "Pluriel" aurait permis à AURA Environnement de prendre le micro - et non un mégaphone - pour donner son point de vue devant plusieurs centaines de personnes. Comme nous en avions convenu avec Mme CARTON, l'organisation avec notre Lider maximo, devait se faire avec Coralie PINEAU du SPPI-CIL, représentant les services de l'Etat dans la région de Dunkerque.

    PATATRAS les beaux discours démocratiques ! Envolés les rêves de démocratie directe dans le GPMD (Grand-Port Maritime de Dunkerque) !

    Lors de notre rencontre le 20/09 avec Mme CARTON à la mairie de Loon-Plage, nous avons appris que l'on ne voulait pas de nous sur le parquet (alors que nous présentons plus de 40 000 personnes au travers de nos 2 pétitions), que l'estrade prévue dans une salle du RDC de la mairie de Loon-Plage serait carrément exiguë (juste la place pour la commissaire-enquêteur) mais que les services de l'Etat désiraient ABSOLUMENT la présence des militant-es du Collectif de Préservation de l'Environnement de la Région de Dunkerque (CPERD) rangés sous la casquette à l'étoile rouge d'AURA Environnement... dans l'assistance, parmi le public pratiquement composé de nos militan-tes et de quelques flics discrets des RG pour ne pas parler d'indics que l'on rencontre souvent dans nos manifs !

    Tu m'étonnes !

    But de la manip' : sous la houlette de Mme la commissaire-enquêteur Peguy CARTON, faire bonne figure et se donner l'impression que l'on "consulte" les populations locales au sein d'un "grand débat" dit "démocratique" alors qu'aucune réunion publique n'a été organisée AVANT sur ce projet infâmant, que nous désignons comme une "Usine d'incinération" et non d'une "Unité de valorisation" (comme l'indique INDAVER) de déchets dangereux chlorés, par les services de l'Etat et l'exploitant, le belge INDAVER qui veut implanter, CHEZ NOUS, sur nos terres agricoles et verdoyantes, une infâme usine SEVESO de plus (il y en a déjà 15 dans le GPMD), alors qu'INDAVER n'a même pas été capable de prévenir cette MEGA EXPLOSION sur son site d'Anvers, Video dispo sur Youtube à l'adresse suivante : https://www.youtube.com/watch?v=lIZwyuXQiswhttps://www.youtube.com/watch?v=lIZwyuXQisw .... et que les journalistes de la Voix du Nord, en concert avec le maire de Loon-Plage, n'osent même pas parler, de peur d'affoler les polulations locales de Loon-Plage et de la région de Dunkerque !!!

    Comment faire CONFIANCE à ces belges de cette microscopique "INDACHLOR SASU" qui a poussé comme un champignon et qui n'est qu'une filiale à 100 % pur jus de INDAVER NV, groupe belge INDAVER fondé qu'en 1985 ?

    Alors que le maire de Loon-Plage n'a cessé de nous "taper" dessus en disant aux journalistes de la Voix du Nord que "notre pétition n'avait que peu de signatures locales", alors que nous avons dû lancer une pétition qui a recueilli plus de 23 620 signatures pour ENFIN obtenir le très épais et colossal DDAE (Dossier de demande d'autorisation d'exploiter) déposé par le belge INDAVER et réalisé par le bureau d'étude KALIES ..... que l'on nous refusait (au titre des lois anti-terroristes !!!), alors que les élu-es de Loon-Plage ne sont même pas venus signer notre première pétition version papier distribuée dans plus de 30 commerces de Loon-Plage et du GPMD.... AURA Environnement a demandé aux populations locales et aux riverains qui nous soutiennent de ne pas se manifester par écrit pendant l'enquête publique et SURTOUT de ne pas CAUTIONNER ce projet en venant à cette pseudo réunion publique, qui est plus un "traquenard" qu'un véritable dialogue sur ce dossier "venimeux" de 60 000 T de déchets/an qui fonctionnera à plein régime 342 jours/an, 24h/24 et 7jours/7 en occupant une surface colossale de 62 029 m² !!!!

    Le site étant à l'origine d'un remblaiement et d'une impermébilisation partiels de terrains, une étude de délimitation de la zone humide a été réalisée par TMB Environnement en septembre 2016 et complétée en avril 2017.

    2 zones Natura 2000 sont situées à - de 5 km de cette Usine d'incinération de déchets dangereux - essentiellement chlorés - en vue de produire de l'acide chlorhydrique et (d'utiliser la chaleur du procédé pour générer de la vapeur d'eau et de l'électricité, nous dit-on si gentiment). Il s'agit des SIC "Dunes de la plaine maritime flamande" et ZPS "Bancs des Flandres". Les espèces présentes dans ces espaces protégés sont présentées dans l'Avis de l'autorité environnementale que nous avons décortiquée.

    En effet, sur une surface totale inventoriée de 6,18 ha, 2,09 ha sont classés en zone humide, dont 1,22 ha DIRECTEMENT impactés par le projet INDACHLOR SASU, sur la base des critères floristiques (végétation typique de zone humide dans les fossés du site), critères pédologiques (traits d'hydromorphie), conditions hydrogéomorphologiques (car les traits d'hydromorphie sont peu marqués pour des sols sableux).

    Au finish, la surface de zone humide détruite sera "réduite"  - selon les promoteurs du projet - à 10 000 m² ! Un coup de "réduction" 10 000 m² par ici, un autre coup de "sabrage" ailleurs, et bientôt le GPMD ne ressemblera plus qu'à un mega centre industriel aux fumées infernales au grand bonheur des capitalistes qui pourront toujours compter sur les associations environnementales locales bizarrement absentes, à l'image de la FNE des Hauts-de-France (deal avec la Dreal et le groupe Séché) et des autres associations environnementales locales qui tiennent dans une cabine téléphonique et qui ne sont même pas capables de nous soutenir sur leurs propres territoire que ce soit ici, ou ailleurs, d'ailleurs, comme en Bretagne où les assoc' locales touchent du pognon en masse par la Région !!!

    Ce sont DONC ce genre d'associations qui nous donnent la gerbe que l'Etat préfèrent voir - ne pas venir - pour statuer sur des décisions importantes sur les ICPE (Installations classées pour la protection de l'environnement), comme, par exemple, dans les réunions du Coderst où les avis des associations de défense des consommateurs ou de défense de l'environnement ou des fédérations de pêche sont extrêmement importants avant que le préfet ne signe tel ou tel arrêté préfectoral !

    Dans la plupart des cas, les représentant-es de la FNE ou de la Frapna (adhérente FNE) ne viennent même pas aux Coderst pour X ou Y raisons. Il n'y a que les petits collectifs ou associations environnemenatles comme nous qui soient vraiment représentatives des masses mécontentes et qui donnent du "fil à retordre" à TOUS ceux qui maltraitent l'environnement et les animaux dans des projets gigantesque de consumérisme à outrance où les animaux sont conditionnés de façon inadmissible comme dans des camps de concentration que l'on pensait ne plus devoir exister depuis les procès de Nuremberg chargés de juger les anciens nazis !

    APPEL AU BOYCOTT de cette parodie de "Débat" dit "Public" par AURA Environnement qui refuse d'y participer ! Nous n'allons pas leur donner nos arguments que nous fournirons au SEUL tribunal administratif !

    Le mot d'ordre lancé par AURA Environnement et le CPERD a fait "mouche". A part nous au début, et ensuite, sur nos recommandations, personne n'est venu consigner la moindre déposition sur le registre d'enquête publique et il n'y aura pas plus personne de chez nous. LOL !

    Nous claquons la porte parce que l'on ne nous respecte pas ! Ils veulent nos voix mais pas de nos gueules insoumises rouges/vertes !

    A quoi bon participer à un semblant de débat public, lorsque ni le sous-préfet de Dunkerque et ni le préfet des Hauts-de-France n'ont pris la peine de venir, la veille, à l'Escale de Dunkerque lorsque la CNDP (commission nationale du débat publique) a réservé une place de choix aux militant-es d' AURA Environnement pour leur donner la parole et se faire entendre sur leurs préoccupations par rapport, notamment au projet Indachlor ou aux attaques des projets industriels CONTRE les réserves foncières du GPMD composées de terrains agricoles, de parcs pour les chevaux, d'encore vertes et belles pâtures noyées sous les usines de sale type SEVESO ?

    Le GPMD peu disert sur le projet Indachlor dénoncé avec vigueur par AURA Environnement, ne cesse par contre, d'annoncer de "grands" projets complètement mégalos comme le projet "CAP 2020" qui devrait attirer encore plus de porte-conteneurs au port ouest afin de "profiter" du développement mondial de ce genre de trafic alors que le chômage ne cesse de grimper dans les Hauts-de-France et que le Front National obtient des records historiques !

    "CAP 2020", nous-dit-on, "contribuerait à limiter l'impact environnemental du trafic routier à l'échelle du Nord-de-France" en implantant chargeurs et oérateurs logistiques à proximité du rail, du canal et des bassins ; en réduisant le nombre de poids-lours venant de l'étranger sur les axes de transit ; en favorisant le report des modes de transport moins polluants (fer, fluvial et maritime). En "privilégiant" l'intermodalité ferroviaire et fluviale pour ses approvisionnements et ses expéditions, CAP 2020 participerait - nous dit-on à corps et à cri - à "la réduction globale des émissions de gaz à efeft de serre et de polluants atmosphériques" !

    Ds la loon 021 2 jpg a

    OULA ! Commençez donc, braves gens du GPMD, aux doux vernis du MEDEF et du patronat, à nous parler du projet Indachlor porté par la maigrelette SASU INDACHLOR dans son dossier de demande d'autoriser une USINE D'INCINERATION de déchets dangereux chlorés à Loon-Plage à côté de la distillerie RHYSSEN et juste en face des parcs encore verdoyants où ne broûteront bientôt plus les paisibles chevaux à qui on ne dit rien parce que dans ce pays, on ne parle ni aux animaux ni aux populations locales tenues dans l'ignorance crasse !!!..

    Paul TOP

  • Le camion d'AURA Environnement sauve un petit marcassin dans la région de Montélimar !

    Les camions des activistes d'AURA Environnement,

    de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux

    et du CPERG (Collectif de protection de l'environnement

    vers Roussas-Les Granges-Gontardes)

    ont évité que la voiture suiveuse ne tue le petit

    marcassin perdu dans la région de Montélimar !

    Raisins i 014

    Pour empêcher que la voiture qui nous suivait ne l'écrase, les militant-es d'AURA Environnement et du Collectif de Préservation vers l'Environnement vers Roussas-Les Granges-Gontardes (CPERG) ont sauvé d'une mort certaine ce tout petit marcassin qui devait chercher sa potentielle "feu" maman dans les joncs alentours !

    Ce bébé sanglier, à l'abandon total, aurait été observé depuis plusieurs jours - selon plusieurs usagers de cette départementale - et semblait complètement désorienté, ne sachant pas où trouver gîte pour la nuit, et vie pour le jour.

    Nous avons parlé au petit marcassin et lui avons dit : "soit tu dégages du bitume ; soit tu restes en vie, en suivant nos conseils et tu t'évapores dans la Drôme provençale". Il a écouté le flottement de la casquette à l'étoile rouge ! Ensuite, il a filé dans la nature encore verdoyante de cette si belle région de Montélimar qui ne respirera, désormais, plus les mêmes odeurs entre Roussas et la commune des Granges-Gontardes !

    Nous aimerions savoir ce que le préfet de la Drôme va décider de son sort parce que plusieurs medias parisiens et provençaux sont extrêmement sensibilisés par son sort !

    Puisque l'on ne nous dit rien sur le futur projet de décharge lors de l'actuelle enquête publique concernant la modification du PLU aux Granges-Gontardes, non loin dans la Drôme provençale, les militant-es du CPERG épaulé-es par AURA Environnement et de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux (plus de 50 000 Like sur Facebook), ont décidé de ne pas s'adresser à la DDPP 26 mais directement au ministère de l'Ecologie et à la très respectable ONCFS !

    Il y a parfois des exceptions, où les écologistes voient si peu d'un très bon oeil la politique de l'ONCFS qui prend en compte certaines recommandations de Florence BURGAT, philosophe, directeur de recherche à l'INRA, détachée aux Archives Husserl de Paris et qui travaille sur la condition animale, notamment sur un angle phénoménologique !

    MCDP

  • Débat public de la CNDP #PortDunkerque Cap 2020 : tapis rouge @AURA Environnement via Collectif (CPERD) !

    Parmi les 15 priorités retenues par la CNDP

    (Commission nationale du débat public) figure la proposition du

    Collectif de Préservation de l'Environnement de la Région de Dunkerque

    affilié aux militant-es d'AURA Environnement :

    Le projet Indachlor du belge INDAVER à Loon-Plage !

    Cndp 072Réunie aujourd'hui à Dunkerque, la Commission nationale du débat public (CNDP), sous la houlette de son président Jacques ARCHIMBAUD, a réservé un excellent accueil à Marc-Claude de PORTEBANE, le président d'AURA Environnement et porte-parole du Collectif de Préservation de l'Environnement de la Région de Dunkerque qui n'a eu de cesse de marteler lors des 4 tables rondes, travaux de réflexion en groupe et des synthèses d'ateliers son opposition au projet d'incinérateur à Loon-Plage dans le port de Dunkerque que les belges de la société INDAVER veulent installer sur notre territoire des Hauts-de-France.

    Cndp 006La 1ère salve du camarade de PORTEBANE est partie de la table ronde, qui, en prenant le micro a interpellé l'opinion publique et Magali DEBATTE, la représentante du préfet des Hauts-de-France (HDF) et secrétaire générale pour les affaires régionales HDF qui représentait Eric ETIENNE, le sous-préfet de Dunkerque. A noter aussi, la présence de Cédric GHESQUIERES, directeur général ville et environnement de la Communauté Urbaine de Dunkerque (CUD), d'Erwan LEBRIS, directeur aménagement et environnnement du GPMD (Grand Port Maritime de Dunkerque) et Nathalie DOMINIQUE, architecte-urbaniste à l'AGUR.

    Cndp 051Le camarade de PORTEBANE n'a pas quitté le micro, également, aux 3 autres tables rondes :

    - Table ronde n°3. "L'avenir de la filière conteneurs" avec Olivier RICHARD, international Transport Manager, société SRS, Antoine FREMONT, directeur scientifique-adjoint à l'IFSTTAR, Alain LEFEBVRE, directeur des Ports de Lille.

    - Table ronde n° 4. "Le Port de Dunkerque et les connections multimodales" avec Charles BIZIEN, chef du service maître d'ouvrage de VNF, Benoît DUBUS, directeur du pôle clients et services SNCF Réseau et l'austère Christophe HUSSER, chef du service mobilité et infrastructures de la Dreal HDF.

    - Table ronde n°5. "Dunkerque et les politiques portuaires en France et en Europe" avec Sönke MAATSCH de l'Institut d'économie maritime et de logistique de Brême, Stéphane RAISON, pdt du Directoire du GPMD et Paul TOURRET, directeur de l'Institut supérieur d'économie maritime.

    Cndp 012L'antispéciste de PORTEBANE qui est soutenu par plus de 40 000 personnes au travers ses 2 pétitions opposées au projet Indachlor a été le SEUL opposant écologiste à dénoncer ce projet d'incinérateur soutenu à demi-mot, par les journalistes de La Voix du Nord qui n'ont de cesse d'affaiblir AURA Environnement au profit des partisans de l'impérialisme bourgeois étranger !

    Cndp 015Le camarade de PORTEBANE a dénoncé, dans ce projet CAP 2020, les attaques incessantes qui verront le jour sur ce territoire pour grignoter avec gourmandise les réserves foncières (estimées à 50 % de 7 000 ha par l'urbaniste Nathalie DOMINIQUE), et ce, pour attiser les utopistes d'un projet délirant appelé "Hinterland" (arrière pays où s'étend son influence) et qui veulent un nouveau bassin au port Ouest de Dunkerque-Port, réaliser 2 000 m de quais et de terre-pleins supplémenatires, 350 ha de zones logistiques complémentaires aménagées à proximité du bassin, permettant l'installation de 170 ha d'entrepôts. Pas moins !

    Le projet CAP 2020 consistera à prolonger de 2 km le quai de Flandre au port de ouest de Dunkerque. La 1ère phase de ce chantier de 29 millionns de m3 de matériaux à évacuer devrait commencer fin 2022, début 2023 et durer 3 ans. La 2° phase pourrait commencer, elle, de 2030 à 2035.

    Coût annoncé : 689 millions dont 405 millions d'argent public.

    LA LOI LITTORAL ABSENTE DU DEBAT !!!!

    La solution retenue "Atlantique" aura une emprise de 1 000 ha. Il devrait se situer dans la ligne des investissements déjà déployés par Dunkerque-Port pour la filière du conteneur.

    L'autre variante toute aussi mégalomaniaque baptisée "Baltique", (emprise de 1 300 ha), sera plus chère de 140 millions et aura plus d'impacts négatifs sur la biodiversité et l'agriculture, comme l'ont dénoncé AURA Environnement et la SAFER.

    "Baltique" sera localisée à l'est de l'actuelle zone logistique, à travers l'aménagement d'un nouveau chenal (entre l'avant-port Ouest et le canal des Dunes), ainsi que d'un nouveau bassin entre le terminal ferry et les installations pétrochimiques actuelles.

    Cndp 030

    HYPOCRISIES : AUCUN DEBAT PUBLIC n'a eu lieu AVANT L'ENQUETE PUBLIQUE concernant le projet d'incinération indachlor à Loon-Plage  alors que la CNDP (Commission nationale de débat public) n'a eu de cesse de nous parler hier de "préservation du cadre de vie", de "concertations réglementaires", de "débats publics avant les enquêtes publiques" !!!

    Les organisateurs du GPMD ont tenu à inviter les écolos d'AURA Environnement - qui ne se mélangent pas avec les très microscopiques locaux et ceux de la FNE qui bouffent dans la gamelle de l'Etat bourgeois pour subvenir à leurs besoins et surtout taire les craintes des populations locales opposées à des projets lunaires comme celui du belge Indaver qui n'a pu, dans son usine d'Anvers, éviter non pas une petite explosion mais une mega détonation filmée par un pèreb de famille, en circulant sur une autoroute. La preuve ? La voici : https://www.youtube.com/watch?v=lIZwyuXQisw . Et vous ne la verrez pas dans la Voix du Nord qui n'en souffle mot, parce que cela fait désordre d'affaiblir l'exploitant belge et de renforcer AURA Environnement qui est la SEULE voix opposante environnementale soutenue par les populations locales, n'en déplaise au maire de Loon-Plage qui ne sait même pas que plus de 30 commerçants de sa commune tiennent la pétitition - version papier - à disposition de leur client-es !

    Le maire de Loon-Plage préfère s'exprimer sur le dossier Indachlor dans sa propre commune CONTRE les défenseurs de l'environnement et non pas CONTRE le projet Indachlor, une usine SEVESO de plus, sur les 15 existantes, et qui ne créera qu'une petite vingtaine d'emplois dont on ne sait s'ils seront français, détachés-belges, franco-belges ou belgo-français !!!!

    Ce seront les même employés qui n'ont pu empêcher cette terrible explosion d'Indaver à Anvers... qui indisposerait désormais - grâce à la mobilisation d'AURA Environnement et du Collectif de Préservation de l'Environnement vers la Région de Dunkerque (CPERD) - fortement les services de l'Etat des Hauts-de-France, voire même jusqu'au préfet de Région des Hauts-de-France qui ne voudrait même plus la responsabilité de signer l'arrêté préfectoral d'un tel remake d'un mauvais scénario qui a presque viré à la catastrophe..... sur le sol propre d'Hinterland !!!

    Et si nous décidions d'organiser une manif' dans les rues de Loon-Plage avec les altermondialistes aidés par les défenseurs de la cause Vegan et animale ?

  • Les vents mauvais de la future extension décharge COVED/PAPREC @Roussas au PLU des Granges-Gontardes !

    Modification et enquête publique PLU aux Granges-Gontardes

    Extension de la décharge COVED/PAPREC de Roussas

    sur le terrain actuel du Motocross (Zones UI et USL) :

    à la demande des populations locales et des vignerons ulcérés

    AURA Environnement lance l'opération "Raisins de la colère rouge" !

    Modif plu gg 029

    Alors que toutes les assurances avaient été données aux populations locales par leurs élu-es, COVED-PAPREC a déposé sa demande d'extension de sa méga décharge, non plus sur la commune de Roussas dans la Drôme mais cette fois, sur la commune voisine des Granges-Gontardes où les raisons de la colère explosent !

    Alerté par les populations locales du Collectif de protection de l'environnement vers Roussas-Granges-Gontardes (CPERG), le comité central d'AURA Environnement a décidé de leur prêter assistance et vous donne l'info en prime time : la DAEU (demande d'autorisation environnementale unique) a été déposée à la préfecture de la Drôme le 31/08/2017.

    Nom de code du projet d'extension du CET (centre d'enfouissement technique) de COVED/PAPREC : LCJ 3.

    Présentation CONFIDENTIELLE en mairie des Granges-Gontardes le 03/04/2017 et aux élu-es de Roussas, le 29/06/2017.

    L'emprise du nouveau projet sera de 13,6 ha dont 8 ha pour le stockage de pas moins d' 1 300 000 T sur une durée de 18 ans.

    Les apports annuels seront de 75 000 T, (100 000 T maxi), soit légèrement - selon COVED-PAPREC - en dessous des apports actuels.

    LEGEREMENT !!!!

    L'enfouissement commencerait au bord de la D 133 derrière un merlon de terre pour s'étaler vers le moulon (petit monticule rocheux). Les pentes côté Ouest seraient en espalier et camouflées par des plantations de végétaux dont on sait parfaitement qu'il faudra plusieurs années pour obtenir une végétation dense.

    Les casiers devraient fonctionner en mode bioréacteur pendant 24 mois.

    Les déchets seraient de type ménagers et assimilés en provenance de Drôme-Ardèche, avec au moins 80 % d'apports en provenance de ces  2 départements.

    Aucune mise en balle de ces poubelles ne sera prévue !!!

    Les bassins de recueil des lixiviats seraient placés au bord de la RD 133.

    La maîtrise totale des envols de plastiques lors des vents violents type Mistral ou vents dominants ainsi que des odeurs pestilentielles prendrait au minimum 3 ans.

    Les déchets proviendraient à 75 % des départements de Drôme/Ardèche ( à hauteur d'un rayon de 50 km) et les 25 % restants des départements limitrophes à plus de 50 km (Départements 04, 05, 13, 34, de la ville de Bagnols, de Lyon et de Bollène).

    Ca va donc ratisser large pour inonder les terres des Granges-Gontardes qui peuvent dire adieu à l'image de marque de leur pinard, de leurs champs de lavande et de leur économie locale. Sympa pour les habitant-es et les vignerons des Granges-Gontardes et des environs qui récolteront toutes les odeurs infernales.

    Dae tony 092 2 jpg aCHUT Camarades !!!

    Le maire des Granges-Gontardes - Michel APROYAN - préfère les poubelles aux raisins de ces si belles terres de cette Drôme provençale qui font la notoriété de toute la région AURA (Auvergne-Rhône-Alpes).

    Les Granges-Gontardes sont situées à 8 km de Pierrelatte. Les communes les plus proches sont La Garde-Adhémar, Roussas, Valaurie.... Jusqu'en mars 2015, la commune dépendait du canton de Pierrelatte. À la suite du redécoupage cantonal de 2014, elle est rattachée au canton de Grignan.

    Les employé-es et vignerons de l'AOC Grignan-les-Adhémar ont décidé de ne pas rester les bras croisés et de rejoindre massivement AURA Environnement.

    Sauvons nos animaux et nos terroirs !

  • Tempête Harvey à CrosbyTexas, 1 explosion dans usine chimique : AVERTISSEMENT projet INDACHLOR Loon-plage-Dunkerque !

    Et si une telle catastrophe à Loon-Plage

    se produisait en  France vers Dunkerque

    vers la distillerie Ryssen alcools

    avec le projet Indachlor

    du belge Indaver  que seule l'assoc'

    AURA Environnement combat ?  Ge ep 034

    Signez la 2° pétition d'AURA Environnement : https://www.mesopinions.com/petition/animaux/stop-projet-indachlor-dunkerque-halte-aux/32716

                                                                                                      ____________________________

    Au Texas, une explosion

    dans une usine chimique

    s’ajoute au fléau des inondations

    Par LIBERATION, avec AFP (mis à jour à )

    Des véhicules de police et de pompiers attendent à un barrage routier après une explosion dans une usine chimique touchée par la tempête Harvey à Crosby, le 31 août 2017 au Texas Photo Brendan Smialowski. AFP

    Gérée par l'entreprise Arkema, l'usine dégage une fumée noire considérée comme «extrêmement dangereuse». D'autres déflagrations sont attendues.

    • Au Texas, une explosion dans une usine chimique s’ajoute au fléau des inondations

    Une menace chimique plane maintenant sur les sinistrés américains de la tempête Harvey, après des explosions accidentelles dans une usine texane qui ont libéré d'épaisse fumées noires. Et de nouveaux incendies sont à redouter dans ce site industriel, opéré par le groupe français Arkema, a mis en garde Richard Rennard, un responsable de la société.

    L’usine présentait un risque depuis plusieurs jours, ce qui avait entraîné la mise en place d’un périmètre d’évacuation de trois kilomètres. L’accident s’est finalement produit jeudi avant 2 heures du matin, dans l’usine située près du bourg de Crosby, au nord-est de la métropole de Houston.

    Les services de secours ont d’abord signalé deux explosions et des fumées dont la dangerosité exacte n'est pas encore clairement établie. «Nous basons bon nombre de nos évacuations sur ce qu’on appelle une modélisation du panache et, par conséquent, oui, ce panache est extrêmement dangereux», a estimé Brock Long, directeur de l’Agence fédérale des situations d’urgence (FEMA), dans une conférence de presse.

    Devant la presse, Richard Rennard a expliqué que la fumée est «nocive, certainement nocive» et «irritante», sans répondre positivement à la question de journalistes qui demandaient si elle était «toxique» car «la toxicité est une chose relative» (vidéo de CNN en anglais).

    Le bureau du shérif du comté de Harris a annoncé qu’un de ses gradés avait été transporté à l’hôpital après avoir inhalé ces particules en suspension, tandis que neuf autres agents avaient également consulté un médecin «par précaution».

    Lors d’un point presse au petit matin, le shérif Ed Gonzalez s’est voulu plus rassurant, parlant d’une «série de réactions chimiques» plutôt que d’explosions massives.

    Inondée et privée d’électricité donc de capacité de réfrigération de ses matériaux hautement inflammables, l’usine d’Arkema fabrique des peroxydes organiques, un composé entrant dans la fabrication de plastiques et de produits pharmaceutiques.

    Ce risque localisé est venu compliquer la tâche dantesque des secouristes, confrontés au défi de venir à l’aide de milliers d’habitants encore isolés dans des habitations inondées, non seulement au Texas mais aussi en Louisiane, l’Etat voisin désormais frappé par Harvey. Ces opérations de secours, engagées depuis vendredi dernier, resteront dans une phase critique durant encore plusieurs jours, même si le niveau des eaux a commencé à décroître autour de Houston.

    http://www.liberation.fr/planete/2017/08/31/au-texas-une-explosion-dans-une-usine-chimique-s-ajoute-au-fleau-des-inondations_1593218

  • Juin 2017 : les douanes du Havre ont saisi 150 T déchets illégaux pour #Malaisie avec faux document.

    Les déchets rapportent aux impérialistes

    et coûtent cher aux masses populaires !

    A1812 1

    La Douane Française a participé, en juin dernier, à une vaste opération internationale de contrôle sur les transferts transfrontaliers de déchets.  
    Une opération fructueuse qui a permis aux douaniers français de réaliser 16 constatations d’envergure et d'intercepter 332 tonnes de déchets.

     

    Un trafic illégal

    Ces constatations ont majoritairement porté sur des conteneurs de pièces détachées automobiles usagées, de déchets de plastique, de déchets d’équipements électriques et électroniques de pneumatiques usagés. Ils partaient illégalement vers l’Afrique (Sénégal, Mauritanie, Togo, Côte d’Ivoire, Madagascar, etc), Hong-Kong, la Malaisie et le Brésil.

    Une saisie record au Havre

    Les douaniers du Havre ont saisi 150 tonnes de déchets de plastique exportés vers la Malaisie sous couvert d’un document inapplicable.
    L’analyse du Service commun des laboratoires douane et de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) a mis en évidence la présence de déchets électriques et électroniques mélangés aux déchets plastiques, dont l’exportation est interdite à destination de ce pays.

    (Source : FR3)

    http://france3-regions.francetvinfo.fr/normandie/seine-maritime/havre/saisie-150-tonnes-dechets-douaniers-du-havre-1310377.html

  • Université d'été Europe Ecologie-Les Verts à Dunkerque : la pétition d'AURA Environnement contre projet Indachlor cartonne !

    Le candidat à la présidentielle Benoit HAMON, le maire de Grenoble Eric PIOLLE

    la députée européenne Michèle RIVASI, la députée européenne PCF Marie-Pierre VIEU

    le secrétaire national d'EELV David CORMAND et les militant-es

    soutiennent la pétition d'AURA Environnement contre Indachlor !

    Jde 2 015Dans une interview accordée à France Culture, Marc-Claude de PORTEBANE a indiqué que les prochains mois verront les militant-es écologistes et anti-spécistes se mobiliser vers Loon-Plage et la région de Dunkerque afin de s'opposer au projet INDACHLOR porté par la société belge INDAVER.

    Jde 2 040

    Michèle RIVASI

    Jde 2 017David CORMAND

    Jde 2 018Marie-Pierre VIEU

    Jde 2 009Eric PIOLLE, Valérie CABANES porte-parole d'End Ecocide on Earth

    Jde 2 009 2 jpg a

    le député LREM du Maine-et-Loire Mathieu ORPHELIN

    que l'on voit ici en train de ranger la verte pétition d'AURA....

    Jde 2 043...connaissent toutes et tous le projet d'usine Seveso INDACHLOR à Loon-Plage et la 2° pétition d'AURA Environnement toute fraîche : https://www.mesopinions.com/petition/animaux/stop-projet-indachlor-dunkerque-halte-aux/32716    à J- 12 de l'ouverture de l'enquête publique qui décidera du sort de ce funeste projet.

    La SEULE mobilisation militante portée par AURA Environnement continue maintenant avec le soutien de plusieurs adhérents d'EELV qui viennent grossir les rangs des militant-es écolos-marxistes AURAnistes.

    Avec le Collectif de Préservation de l'Environnement de la Région de Dunkerque (CPERD) sauvons la Planète !

    Avec les antispécistes de Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux, SAUVONS les chevaux à Loon-Plage https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/!

     

  • PETITION. Stop au projet INDACHLOR #Dunkerque : Halte aux salades Dreal Hauts-de-France. SAUVONS les chevaux de Loon-Plage des dioxines !

    Ge ep 049LIEN DE LA PETITION : https://www.mesopinions.com/petition/animaux/stop-projet-indachlor-dunkerque-halte-aux/32716

    Auteur : Marc-Claude de Portebane, Président d’AURA Environnement, Porte-parole de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux et du Collectif de Préservation de l’Environnement de la Région de Dunkerque

    Créé le 22/08/2017  

    À l'attention : de Monsieur Emmanuel MACRON, M. le roi des Belges, M. le Ministre de l'écologie Nicolas Hulot, M. le préfet du Nord-Pas-de-Calais, UT Hauts-de-France

    La Dreal Hauts-de-France ne tient pas à ce qu'AURA Environnement soit informé des concentrations de métaux lourds chez les animaux (boeuf, volaille, lait de vache, oeufs) mais aussi dans légumes/fruits/Céréales/tubercules dans les différents compartiments de l'environnement après 30 ans !!!!

    Vous ne l'apprendrez pas dans la Voix du Nord ni dans le Phare Dunkerquois parce que les services de l'Etat des Hauts-de-France ne tiennent pas à dire TOUTE la vérité aux populations locales qui doivent se méfier des associations environnementales locales qui ne savent également rien parce qu'elles ne veulent rien entendre, autre chose que le sonnant et le trébuchant à l'image de certaines des Hauts-de-France qui flirtent avec la Dreal ou le groupe Séché, séchons les cours des poubelles de France et de Navarre !

    Nous comprenons mieux pourquoi Marc MORTUREUX, le directeur général de la prévention des risques au Ministère de la transition écologique et solidaire a certainement "court-circuité" le ministre Nicolas HULOT en nous répondant directement à la place du Nicolas de Saint-Lunaire (qui ça se trouve n'est peut-être même pas au jus du dossier INDACHLOR), en nous disant que si certains documents du DDAE ne pouvaient être communiqués au public, c'était parce que "...cette information ne doit cependant pas nuire à la sûreté des sites en facilitant la commission d'actes de malveillance..." ! Pas moins, Oups !!

    Certes, nous comprenons qu'il y ait des documents qui ne peuvent être communiqués au nom de la sécurité de l'Etat (surtout à cette époque d'attentats), mais aussi parce qu'on ne cesse de nous traiter d'ignorant-es, de con-nes ou de parias et que dans cette société de cons, on ne s'adresse pas aux connes et aux cons du peuple de base qui ont, pourtant, faim et soif d'informations sur ce projet Indachlor porté à bout-de-bras par la société belge INDACHLOR SASU que ne cesse de dénoncer, depuis le début, AURA Environnement alors que les assoc' de défense de l'environnement locales ni voient que dalle à l'image du croupion Adelfa ou de la FNE 59 qui, elle, est en partenariat avec la Dreal... des Hauts-de-France !!! MDR !

    Vous les connes et les cons de France, vous devez savoir absolument ce qui s'est passé chez Indaver à Anvers, lorsque cette énorme explosion s'est produite aux abords d'une autoroute en direction de Rotterdam et de Bergen-op-Zoom et intitulée : "Explosion Indaver Antwerpen" (Explosion Indaver Anvers). La vidéo a été filmée par un père de famille qui circulait sur l'A12. Vous ne pourrez pas dire que AURA Environnement ne vous aura pas informé-es, en cas de pépin, chez nous, sur le sol de France et plus particulièrement dans la région du port de Dunkerque : https://www.youtube.com/watch?v=lIZwyuXQisw

    En quoi donc les propriétaires d'animaux et les populations locales de Dunkerque et de Loon-Plage n'auraient-elles pas le droit d'être CORRECTEMENT informé-es sur les teneurs en cadmnium, mercure, antimoine, arsenic, plomb, chrome III, chrome VI, cobalt, cuivre, manganèse, nickel, vanadium ou plus dangereux comme les dioxines ?

    En quoi est-ce potentiellement "malveillant" de dire la VERITE aux populations locales ?

    Nous avons toujours prévenu ! Toute potentielle maltraitance actuelle ou post-extérieure sur les animaux verra la mobilisation immédiate d'AURA Environnement et de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux à Loon-Plage et dans la région de Dunkerque ! Il est hors de question de faire bouffer de l'herbe au cadmium ou aux dioxines aux chevaux qui broutent sur les terrains situés juste en face du projet INDACHLOR à Loon-plage ! Nous demanderons à la Fondation Brigitte Bardot ou à 30 Millions d'amis..... de nous épauler lorsque nous nous porterons partie civile !

    En quoi est-ce potentiellement "malveillant" de dire que 50 % de la part auto-produite de produits alimentaires dans la consommation humaine sera susceptible d'être directement impactée par les activités d'INDACHLOR, comme les légumes-feuilles, à 55 % pour les légumes/fruits, à 45 % par les légumes-racines, à à 75 % par la viande volaille, à 60 % par le sujet à la "mauvaise-mode" en ce moment comme les oeufs, etc.... (Source : document SECRET d'INDACHLOR : exposition de la population par ingestion de denrées alimentaires en fonction des habitudes alimentaires. Données prise en compte dans MODUL'ERS).

    Dans le document que l'on nous cache, (A voir sur le site internet d'AURA Environnement), parmi les pires scénarios retenus en cas d'exposition par inhalation, "Le plus majorant" a été retenu : "100 % du temps passé au point où les concentrations sont maximales à l'extérieur des limites du site". Commentaire secret de l'exploitant INDACHLOR SASU : "Scénario "pire-cas- ou conservatoire décrivant les individus (peu nombreux) les plus exposés" http://www.aura-environnement.com/blog/stop-projet-usine-a-dechets-dangereux-indachlor-a-dunkerque/projet-indachlor-dunkerque-les-salades-dreal-hauts-de-france-a-populations-locales-et-animaux-nico-hulot-au-parfum.html 

    Ah bon ? Il va y avoir des individus "peu nombreux" qui seront "exposés" aux métaux lourds ? Intéressant !

    On attend avec gourmandise les précisions du préfet de la Région des Hauts-de-France, du préfet du Département du Nord, de la Direction de la coordination des politiques interministérielles, du Bureau des installations classées pour la protection de l'Environnement (ICPE) car la prochaine enquête publique va démarrer le 06/09/2017 pour se terminer sous les lambris et les dorures des mairies de Loon-Plage, (commune d'implantation) et dans les villes de Craywick, Dunkerque, Grande-Synthe et Mardyck le 18/10/2017. Commissaire enquêteur : Peggy CARTON.

    Avec les applaudissements du correspondant de La Voix du Nord qui n'a pas pris la peine de consulter le comité central d'AURA Environnement (Source : La voix du Nord du 02/07/2017 http://www.lavoixdunord.fr/186048/article/2017-07-02/une-petition-contre-un-nouvel-incinerateur-fait-debat ) ?

    Comme c'est bizarre, l'article de La Voix du Nord est paru le 03/07/2017, l'avis de l'inspection des installations classées le 10/07/2017, l'avis de l'autorité environnementale a lui été signé le 24/07/2017 et POUR TERMINER, l'arrêté d'enquête publique unique signé le 09/08/2017 (demandes présentées par la société INDACHLOR en vue d'obtenir l'autorisation d'exploiter une unité de valorisation de déchets dangereux chlorés et l'instauration de servitudes d'utilité publique à LOON-PLAGE) !

    Pas de vacances pour nos camarades-petits-fonctionnaires du peuple de base à qui nous tirons notre chapeau ! Bravo les gars ! Bien joué ! Bonjour les décisions importantes signées fissa par les services de l'Etat pendant les grandes vacances !

    Unissons-nous pour que le projet INDACHLOR quitte définitivement le territoire français ! Gardez-vos thunes, nous garderons nos paquets de subventions que le contribuable français s'apprête à vous filer !

    Les économies sur les APL des citoyennes et des citoyens des Hauts-de-France ne partiront certainement pas dans les poches impérialistes des actionnaires du belge INDAVER qui n'a même pas été capable d'éviter la monstrueuse explosion à Anvers !

    Dunkerque-Loon-Plage ne sera pas la poubelle de la France !

    Sauvons nos CHEVAUX ! Protégeons nos populations locales des gourmands de l'actionnariat belge qui risque de détruire nos emplois locaux existants dans le domaine de la chimie ! Sauvegardons notre patrimoine floristique !

    Camarades insoumis au projet INDACHLOR, Mobilisez-vous pour les chevaux de Loon-Plage et les populations locales, les riverains, nos traditions !

    Marc-Claude de PORTEBANE
    Président d'AURA Environnement
    Porte-parole du Collectif de Préservation de l'Environnement de la Région de Dunkerque (CPERD)

     

  • PROJET INDACHLOR #Dunkerque : les SALADES Dreal Hauts-de-France à populations locales et animaux ! Nico @Hulot au parfum !

    La Dreal Hauts-de-France ne tient pas à ce qu'AURA Environnement

    soit informé des concentrations de métaux lourds chez

     les animaux (boeuf, volaille, lait de vache, oeufs)

    mais aussi dans légumes/fruits/Céréales/tubercules

    dans les x compartiments de l'environnement après 30 ans !!!!

    Salades i

    Vous ne l'apprendrez pas dans les journaux "La Voix du Nord" ni dans son hedomadaire "Le Phare Dunkerquois" parce que les services de l'Etat des Hauts-de-France ne tiennent pas à dire TOUTE la vérité aux populations locales qui doivent se méfier des associations environnementales locales qui ne savent également rien parce qu'elles ne veulent rien entendre, autre chose que le sonnant et le trébuchant à l'image de certaines des Hauts-de-France qui flirtent avec la Dreal ou le groupe des poubelles Séché, séchons les cours des poubelles de France et de Navarre !

    Nous comprenons mieux pourquoi Marc MORTUREUX, le directeur général de la prévention des risques au Ministère de la transition écologique et solidaire a "court-circuité" le ministre Nicolas HULOT en nous répondant directement à la place du Nicolas de Saint-Lunaire (qui ça se trouve n'est peut-être même pas au jus d'INDACHLOR), en nous disant que si certains documents du DDAE ne pouvaient être communiqués au public, c'était parce que "...cette information ne doit cependant pas nuire à la sûreté des sites en facilitant la commission d'actes de malveillance..." ! Pas moins, Oups !!

    Certes, nous comprenons, qu'il y ait des documents qui ne peuvent être communiqués au nom de la sécurité de l'Etat (surtout à cette époque d'attentats), mais aussi parce qu'on ne cesse de nous traiter d'ignorant-es, de con-nes ou de parias et que dans cette société de cons, on ne s'adresse pas aux connes et aux cons du peuple de base qui ont, pourtant, faim et soif d'informations sur ce projet Indachlor porté à bout-de-bras par la société belge INDACHLOR SASU que ne cesse de dénoncer, depuis le début, AURA Environnement alors que les assoc' de défense de l'environnement locales ni voient que dalle !

    Vous les connes et les cons de France, vous devez savoir absolument ce qui s'est passé chez Indaver à Anvers, lorsque cette énorme explosion s'est produite aux abords d'une autoroute en direction de Rotterdam et de Bergen-op-Zoom et intitulée : "Explosion Indaver Antwerpen" (Explosion Indaver Anvers). La vidéo a été filmée par un père de famille qui circulait sur l'A12 belge. Vous ne pourrez pas dire qu'AURA Environnement ne vous aura pas informé-es, en cas de pépin, chez nous, sur le sol de France et plus particulièrement dans la région du port de Dunkerque : https://www.youtube.com/watch?v=lIZwyuXQiswGe ep 049

    En quoi donc les propriétaires d'animaux et les populations locales de Dunkerque et de Loon-Plage n'auraient-elles pas le droit d'être CORRECTEMENT informé-es sur les teneurs en cadmnium, mercure, antimoine, arsenic, plomb, chrome III, chrome VI, cobalt, cuivre, manganèse, nickel, vanadium ou plus dangereux comme les dioxines ?

    En quoi est-ce potentiellement "malveillant" de dire la VERITE aux populations locales ?

    Nous avons toujours prévenu ! Toute potentielle maltraitance actuelle ou post-extérieure sur les animaux verra la mobilisation immédiate d'AURA Environnement et de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux à Loon-Plage et dans la région de Dunkerque ! Il est hors de question de faire bouffer de l'herbe au cadmnium ou aux dioxines aux chevaux qui broutent sur les terrains situés juste en face du projet INDACHLOR à Loon-plage ! Nous demanderons à la Fondation Brigitte Bardot ou à 30 Millions d'amis, voire L214 de nous épauler lorsque nous nous porterons partie civile !

    En quoi est-ce potentiellement "malveillant" de dire que 50 % de la part auto-produite de produits alimentaires dans la consommation humaine sera susceptible d'être directement impactée par les activités d'INDACHLOR, comme les légumes-feuilles, à 55 % pour les légumes/fruits, à 45 % par les légumes-racines, à à 75 % par la viande volaille, à 60 % par le sujet à la "mauvaise-mode" en ce moment comme les oeufs, etc.... (Source : document SECRET d'INDACHLOR : exposition de la population par ingestion de denrées alimentaires en fonction des habitudes alimentaires. Données prise en compte dans MODUL'ERS).

    Des preuves pour la presse locale à qui on ne souffle mot ? Les voilà :

    Salades 3Dans le document que l'on nous cache, parmi les pires scénarios retenus en cas d'exposition par inhalation, "Le plus majorant" a été retenu : "100 % du temps passé au point où les concentrations sont maximales à l'extérieur des limites du site". Commentaire secret de l'exploitant INDACHLOR SASU : "Scénario "pire-cas- ou conservatoire décrivant les individus (peu nombreux) les plus exposés" !

    Ah bon ? Il va y avoir des individus "peu nombreux" qui seront "exposés" aux métaux lourds ? Intéressant !

    On attend avec gourmandise les précisions du préfet de la Région des Hauts-de-France, du préfet du Département du Nord, de la Direction de la coordination des politiques interministérielles, du Bureau des installations classées pour la protection de l'Environnement (ICPE) car la prochaine enquête publique va démarrer le 06/09/2017 pour se terminer sous les lambris et les dorures des mairies de Loon-Plage, (commune d'implantation) et dans les villes de Craywick, Dunkerque, Grande-Synthe et Mardyck le 18/10/2017. Commissaire enquêteur : Peggy CARTON.

    Avec les applaudissements du correspondant de La Voix du Nord qui n'a pas pris la peine de consulter le comité central d'AURA Environnement (Source : La voix du Nord du 02/07/2017 http://www.lavoixdunord.fr/186048/article/2017-07-02/une-petition-contre-un-nouvel-incinerateur-fait-debat ) ?

    TKT, le "Vieux" loup d'AURA Environnement veille au grain. Chez nous, il y a les visibles et les invisibles : la vieille garde "écolo" et les "marxistes" (Lénine et la pratique scientifique) qui ne relâcheront JAMAIS.

    Comme c'est bizarre, l'article de La Voix du Nord est paru le 03/07/2017, l'avis de l'inspection des installations classées le 10/07/2017, l'avis de l'autorité environnementale a lui été signé le 24/07/2017 et POUR TERMINER, l'arrêté d'enquête publique unique signé le 09/08/2017 (demandes présentées par la société INDACHLOR en vue d'obtenir l'autorisation d'exploiter une unité de valorisation de déchets dangereux chlorés et l'instauration de servitudes d'utilité publique à LOON-PLAGE) !Implantation indachlor 2 jpg a

    Pas de vacances pour nos camarades-petits-fonctionnaires du peuple de base à qui nous tiront notre chapeau ! Bravo les gars ! Bien joué !

    Bonjour les décisions importantes signées fissa par les services de l'Etat pendant les grandes vacances !

    Unissons-nous pour que le projet INDACHLOR quitte définitivement le territoire français !

    Gardez-vos thunes, nous garderons nos paquets de subventions que le contribuable français s'appprête à vous filer !

    Les économies sur les APL des citoyennes et des citoyens des Hauts-de-France ne partiront certainement pas dans les poches impérialistes des actionnaires du belge INDAVER  qui n'a même pas été capable d'éviter cette monstrueuse explosion à Anvers !

    Dunkerque-Loon-Plage ne sera pas la poubelle de la France !

    Après le succès de notre première pétition relayée largement par les medias ..... https://www.mesopinions.com/petition/animaux/contre-projet-usine-dechets-dangereux-indachlor/30569 (23 570 signatures).....

    ....Une nouvelle pétition vient de naître : https://www.mesopinions.com/petition/animaux/stop-projet-indachlor-dunkerque-halte-aux/32716

    Sauvons nos animaux ! Protégeons nos populations locales des appetits gourmands de l'actionnariat qui risque de détruire nos emplois locaux existants dans le domaine de la chimie ! Sauvegardons notre patrimoine floristique !

    Camarades insoumis au projet INDACHLOR, Mobilisez-vous !

    Marc-Claude de PORTEBANE

    Président d'AURA Environnement

    Porte-parole du Collectif de Préservation de l'Environnement de la Région de Dunkerque (CPERD)

  • Avant CODERST septembre prolongation décharge LELY Saint-Quentin-sur-Isère : AURA Environnement mobilise les Pro-Animaux !

    Avant que le CODERST ne se réunisse le 21 septembre 2017

    pour examiner fissa la prolongation de la décharge

    Lély à Saint-Quentin-sur-Isère :

    AURA Environnement prend la défense des animaux !

    Lors de la CSS "sortie du chapeau" pour la 1ère fois depuis 2013, AURA Environnement qui était invité en préfecture de l'Isère en soutien des populations locales du collectif SD-SQI (Stop-Décharge Saint-Quentin-sur-Isère) a appris par le secrétaire-général de la préfecture de l'Isère la date du prochain CODERSt qui se réunira le 21/09/2017 pour donner son avis sur le projet d'extension de la décharge Lély avant que le préfet de l'Isère ne signe l'arrêté préfectoral d'autorisation d'exploiter pour au moins 20 ans........ alors que les riverains qui ont "avalé les couleuvres" de leurs élu-es pendant de nombreuses années pensaient naïvement que cette décharge allait fermer définitivement en 2017. 

     

     

  • Décharge COVED à Vic-de-Chassenay (21) : AURA Environnement en soutien aux camarades-citoyens veille au grain avec l'ASPA et le maire !

    Depuis fin 2016, AURA Environnement a apporté

    discrètement son soutien anarcho-marxiste

    aux populations locales défendues aussi par

    l'ASPA et les élu-es de Vic-de-Chassenay

    CONTRE la décharge COVED-PAPREC !11143078 1655526871345519 2544601569763173374 n

    Depuis la fin 2016, sur la demande quelques habitant-es, la présence de nos camarades d'AURA Environnement a été la plus discrète possible dans les environs de la petite commune de Vic-de-Chassenay (Côte d'Or).

    Le 23/12/2016, par courrier, nous informions le maire François-Marie DEFFONTAINES et le président de l'association ASPA, Richard RACINE, de notre volonté de ne pas vouloir affaiblir les luttes locales mais d'être prêts sur le terrain militant.

    Nous invitions le maire et les militant-es de l'ASPA de ne pas croire aux balivernes d'une potentielle fermeture du site le 03 janvier 2018 et d'être vigilant-es, TOUT en faisant confiance, tout de même, à l'arrêté préfectoral du 08/12/2015 signé par la préfète Marie-Hélène VALENTE, accordant la mutation d'exploitation d'une ISDND sur le territoire des communes de Vic-de-Chassenay (21140) et de Millery (21140) au lieu-dit "La Terre au Seigneur" sur une surface de 21,5 ha - dont 9,6 pour l'ISDND -, au profit de la SAS COVED (Collectes Valorisation Energie Déchets), dont le siège social est situé au 1, rue Antoine Lavoisier à Guyancourt (Yvelines) !

    Cet arrêté préfectoral (A.P.) stipulant bien que la durée d'exploitation de cette ISDND est limitée jusqu'au 03/01/2018.

    Ceci étant confirmé par l'article 2 qui confirme que la SAS COVED se substitue à la société Ecopoles Services dans l'intégralité des droits et obligations attachés à l'autorisation d'exploitation (notamment les conditions d'exploitation, de réhabilitation, remise en état et de suivi post-exploitation) accordé par l'AP modifié du 13/03/2006 et complété par les APC des 13/11/2007, 26/10/2010, 16/08/2011, 03/06/2014 et 16/07/2014 autorisant la société ECOPOLES SERVICES à exploiter une ISDND sur le territoire des communes de Vic-de-Chassenay et Millery au lieu-dit "La Terre au Seigneur".

    Quant à l'article 3, celui-ci indiquait que la SAS COVED devait transmettre au préfet de la Côte d'Or, dans un délai maximum d'un mois à compter de la notification du présent arrêté, les attestations du transfert des droits fonciers (bail emphytéotique) pour les parcelles concernées par l'AP d'autorisation d'exploiter du 13/06/2013 modifié.

    Decharge champignyUne conférence de presse sera tenue dans les prochaines semaines par AURA Environnement sur l'évolution de ce dossier puisque tous les regards sont désormais tournés vers la décharge de Duchy à Saint-Florentin, dans l'Yonne, mais aussi à Champigny-sur-Yonne, où nos camarades d'AURA Environnement sont en train de venir à la "rescousse", depuis plusieurs mois, de leurs camarades des populations locales, pourtant, elles aussi, défendues par nos camarades de l'ONDEC (Observatoire Contre les Nuisances de la Coved de Champigny).

    De la décharge COVED-PAPREC à Roussas dans la Drôme, à la méga Usine à poubelles "Ecopôle de La Valasse" à Montblanc, AURA Environnement observe le petit monde des poubelles d'un oeil extérieur et de l'autre, regarde au fond de soi-même vers l'horizon des prochaines générations qui seront impactées par les odeurs, les envols de plastiques, les incendies de site pas toujours clairement expliqués aux populations locales  !

    Tout en gardant toujours à l'esprit toujours le bon sens de la protection de l'Etat - l'Etat, c'est nous -, les populations locales doivent organiser la Résistance avec AURA Environnement, dans la non-violence mais dans la détermination la plus totale !

    Notre ignorance fait leur pouvoir ! Ne l'oublions pas, Camarades !

    CAMARADES ne perdra jamais sont triple A :

    - Avec les masses populaires riveraines - antispécistes ou non - des décharges ou autres installations dites de "valorisation" de nos déchets, en défense couplée de l'environnement et des animaux qui souffrent tout autant que les humains !

    - Avec respect des services de l'Etat (Préfectures, Sous-préfectures, Dreal, DDPP, Douanes, etc....) et des exploitants !

    - Avec détermination pour servir dans la discipline la Cause maoïste du Peuple selon les recommandations du Petit livre rouge !

    Gardons, toujours à l'esprit, Camarades d'AURA Environnement et des différents Collectifs autonomes rattachés, cette citation issue du Petit livre rouge du président Mao : "Un dur travail est comme une charge placée devant nous et qui nous défie de la hisser sur nos épaules. Certaines charges sont légères, d'autres sont lourdes. Il y a des gens qui, préférant les charges légères aux lourdes, choisissent les légères et laissent les lourdes aux autres. Ce n'est pas une bonne attitude. D'autres camarades se comportent différemment ; ils laissent les avantages aux autres et portent eux-même les lourdes charges ; ils sont les premiers à supporter les épreuves, les derniers à jouir du bien-être. Ce sont de bons camarades. Nous devons tous prendre exemple sur leur esprit communiste". "Sur les négociations de Tchongking". (17 octobre 1945). Oeuvres choisies de Mao Tsé-toung, tome IV.

    K1 (Camarade n°1)

  • Réunion préfecture Isère CSS exploitée par Lély : AURA Environnement CONTRE, la FRAPNA 38 déshonore la cause environnementale !

    Ce matin à la préfecture de l'Isère, lors de la CSS

    qui ne s'était bizarrement jamais réunie depuis 2013

    AURA Environnement en soutien aux populations locales

    du Collectif Stop Décharge Saint-Quentin-sur Isère n'a pu

    voter mais s'est opposé à toute prolongation du site !

    Css 38 047

    ARTICLE MODIFIE en permanence.

    Alors que dans toute la région Auvergne-Rhône-Alpes, les arrêtés d'autorisation d'exploiter des ISDND ne sont pas délivrés de la même manière puisque certains dossiers sont en attente de signature, il semblerait que dans l'Isère, l'Etat et la Dréal 38 "appuient sur le champignon" pour signer fissa l'arrêté préfectoral autorisant la sociéte Lély à continuer son stockage de DIB au lieu-dit "L'échaillon" à Saint-Quentin-sur-Isère pour au moins 20 ans et ce, au mépris des populations locales qui espéraient que ce site allait définitivement fermer, comme l'exploitant s'y était maintes fois engagé publiquement.

    En application de l'arrété préfectoral du 19/03/2013, la CSS (Commission de Suivi de Site) de la décharge exploitée par la société Lély située sur la commune de Saint-Quentin-sur-Isère, s'est réunie de façon jugée "bizarre" en préfecture de l'Isère à Grenoble, selon AURA Environnement.

    Tout le monde a eu son petit visuel papier. Les écolos : zéro ! Tant mieux pour la protection de la planète !

    AURA Environnement qui était présent à cette CSS en soutien total aux populations et aux riverains de ce village situé aux portes de Grenoble, et regroupés autour du Collectif Stop Décharge de Saint-Quentin-sur-Isère (SD-SQI) a demandé pourquoi la "Commission environnement" de la mairie de Saint-Quentin-sur-Isère - dont on a vanté les mérites, LOL, à cette réunion - ne s'était pas réunie depuis plus de 3 ans, comme le rappelait fort justement Elisabeth BOUTEAU, la secrétaire du collectif SD-SQI.

    A quoi bon se prévaloir d'une commission communale dite "d'environnement", lorsqu'elle ne soutient AUCUNEMENT riverains et populations locales puisqu'il n'y a aucune concertation ?

    A quoi bon parler d'une "commission environnement" alors que le maire et les élus de la commune de Saint-Quentin-sur-Isère soutiennent à 100 % la prolongation de la décharge Lély ?

    Comme par hasard, cette "commission" minicipale dite "environnement" (3 élus, 3 non-élus) ne s'est réunie qu'hier après-midi. Au menu : la visite du site de la décharge de Lély Environnement.... qu'une réunion succinte du collectif SD-SQI - en fin d'après-midi, a décidé de refuser jusqu'à la convocation d'une AG des riverains dans les prochains jours qui devrait décider, elle, par contre, d'une mobilisation de grande ampleur pour la rentrée de septembre 2017 dans une salle communale de Saint-Quentin-sur-Isère.

    Une demande a été faite à la mairie de Saint-Quentin/Isère. Pour l'instant, pas de réponse.

    Oui, comme par hasard, 2 réunions d'importance lors de cette journée d'hier 10/07/2017 : la CSS ressortie des cartons de la préfecture de l'Isère depuis le 19/03/2013 et la Commission dite "environnement" rebondissant, elle aussi, depuis 3 ans de sommeil dans les tiroirs de la mairie de Saint-Quentin-sur-Isère alors que les populations locales n'ont eu de cesse de se plaindre aux sourds élu-es de leur commune !

    Que de coîncidences !!!

    Css 38 059

    D'emblée, AURA Environnement a demandé aux services de l'Etat si cette consultation de la CSS - juste après et non avant l'enquête publique - n'était pas un abus de procédure - par choix délibéré de l'exploitant ou des services de l'Etat - qui ne permettait pas à cette commission de se prononcer UTILEMENT sur le projet, et ce, afin d'alerter les riverains et éviter, de facto, une trop forte contestation des populations locales regroupées autour du Collectif Stop Décharge de Saint-Quentin-sur-Isère (SD-SQI) qui dépend d'AURA Environnement ?

    A 2 mois de la réunion du Coderst prévue le 21/09/2017, cette CSS qui n'a été que la préfiguration de la décision qui attend les populations locales, Marc-Claude de PORTEBANE a dénoncé publiquement, en fin de séance, l'attitude absolument dégueulasse du représentant de la FRAPNA de l'Isère qui n'a absolument pas défendu l'écologie et les populations locales proches de la décharge de déchets non-dangereux (DND) gérée par la société Lély Environnement représentée par son directeur, Lionel LACRAMPE qui défend, lui, avec honneur et non avec bassesse son entreprise en assumant ses défauts et non pas comme la FRAPNA 38 qui nous a dit lamentablement que, puisque les subventions régionales de Laurent WAUQUIEZ avaient baissé, "ils n'avaient pas eu le temps de travailler le dossier LELY " qui empoisonne le quotidien de la vie des populations locales" de cette décharge située au lieu-dit du "Bec de l'Echaillon" et qui a pris feu, fin juin 2017 dans des circonstances qui resteraient à élucider puisque pas moins de 300 m² de détritus exposés en plein air ont été détruits avant que les sapeurs-pompiers finissent ENFIN par éteindre le sinistre au moyen de 2 lances hyper-puissantes. 

    On ne mobilse pas 2 lances hyper-puissantes pour rien. Où est le professionnalisme de LELY ?

    Est-il utile d'apprendre aux isérois que la FRAPNA est membre de la FNE (France Nature Environnement) ? France nature environnement (FNE) est la fédération française des associations de protection de la nature et de l'environnement. Créée en 1968 sous le nom de Fédération française des sociétés de protection de la nature (FFSPN), elle est reconnue d'utilité publique en 1976. Elle est la porte-parole d'un mouvement de trois mille associations, regroupées au sein de quatre-vingts organisations adhérentes, en métropole et outre-mer. Le logo de la Fédération est le hérisson, sa signature est « Partout où la nature a besoin de nous ».

    C'est cette FNE-là, représentée par la FRAPNA de l'Isère qui a voté ce matin des deux mains avec les représentants de l'Etat, de la Dreal 38, le maire de Saint-Quentin-sur-Isère, le président de la Communauté de communes de Saint-Marcellin-Vercors-Isère communauté, la communauté d'agglomération du Pays Voironnais, le Conseil départemental de l'Isère (absent), le directeur de Lély, le secrétariat du CHSCT de Lély, l'association UFC Que Choisir 38 (absent), le président de la Fédération départementale de la pêche 38 (absent lui-aussi), le directeur de la délégation départemental ARS Auvergne-Rhône-Alpes 38, le directeur départemental de la protection des populations (DDPP 38)et le directeur départemental du SDIS 3, à l'unanimité, sans abstention, d'une seule main CONTRE les populations locales, achetant de facto la paix sociale !

    La paix sociale ne se gagne pas lors d'un vote ! Elle se mérite !

    Parmi les invités, le président du collectif "Stop Décharge Saint-Quentin-sur-Isère" (AURA Environnement) et le boss de la société RAVANAT CHAUDRONNERIE ... qui est en train de se faire racheter par la société LELY, comme l'a indiqué en séance AURA Environnement !!!

    Inutile de préciser que la Chaudronnerie Ravannat jouxte la décharge Lély et que c'est grâce à AURA Environnement que le PDG de Ravanat a pu coller ses observations sur le registre d'enquête publique.

    Allez, hop, un opposant potentiel en moins !

    MDR !

    Tout s'achète dans ce pays : les entreprises, les terrains, le savoir-faire.

    Il n'y a qu'un point qu'AURA Environnement défendra toujours : le faire-savoir CONTRE les injustices d'où qu'elles viennent !

    Et bien puisque la FRAPNA 38 s'est couchée sur le lit pro-décharge, en faisant monter la "pression" en ne soutenant pas les populations locales, AURA Environnement et ces mêmes populations locales regroupées autour du Collectif Stop Décharge de Saint-Quentin-sur-Isère vous donnent RDV, début septembre, dans une salle communale à Saint-Quentin-sur-Isère pour faire entendre la voix des sans-voix qui subissent des désagréments inacceptables comme la famille CHIMENTON qui, ELLE, ne s'est jamais couché devant les offrandes du plus offrant !

    Css 38 081AURA Environnement, au vu du comportement inacceptable de la FRAPNA 38, demande à toute l'Isère de se soulever dans un immense mouvement de soutien aux populations locales de Saint-Quentin-sur-Isère trop longtemps tenues dans l'ignorance !

    Est-il normal, comme l'a souligné ce matin Marc-Claude de PORTEBANE à la préfecture de l'Isère, que la femme du directeur de la décharge Lély à Saint-Quentin-sur-Isère SOIT une des secrétaires de cette mairie qui n'en peut plus de soutenir - à bout-de-bras - la décharge Lély..... de Saint-Quentin-sur-Isère !

    Les populations locales et le SD-SQI ont fait appel aux militant-es de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux afin que les animaux de Saint-Quentin-sur-Isère puissent, eux-aussi, bénéficier d'un maximum de protections !

    Les animaux et les populations locales seront défendus par les miltant-es du Collectif national de la Ligue qui regroupe pas moins de 52 000 fans sur Facebook.

    Nous appellons nos ami-es Végan de la Protection animale à la MOBILISATION GENERALE vers Saint-Quentin-sur-Isère !

    Nous espérons le soutien du maire de Grenoble, Eric PIOLLE, déjà opposé à l'aménagement de l'A480 !

    Aucune forteresse ne résiste à l'assaut de l'humain d'abord !

    K1 (Camarade n°1)

    A suivre !

  • CUIT CUIT LES OISEAUX ? Projet IndaChlor à LOON PLAGE : la sous-préfecture de Dunkerque se comporte en Ennemi de classe, Nicolas HULOT mis au parfum !

    AURA Environnement Aa362 1

    AURA Environnement                                                                      Le 26/06/2017          

    Association loi 1901 --- Identification R.N.A : W033003439

    Protection environnementale et de défense des animaux

    Mail : Aura-environnement@laposte.net
    Site : http://www.aura-environnement.com/

    à

     

    Ministère de l’Ecologie et de la transition énergétique

    Mme le directeur de cabinet de Mr le ministre

    Mme PAPPALARDO

     

    Pour

     

    Objet : refus communication documents administratifs suivant stricte  recommandation de la CADA sous-préfecture Dunkerque projet Indachlor à Loon-Plage.

     

    Monsieur le ministre,

     

    Je tiens à vous informer que le 22/05/2017, j’ai demandé à l’UD Dreal de Gravelines (Hauts-de-France) tous les documents communicables concernant la future enquête publique du projet Indachlor, comme la demande d’autorisation (DDAE), déposée par l’exploitant, la société Indaver située à Anvers, conformément aux recommandations telles qu’elles ont été exprimées dans notre pétition qui a recueilli plus de 23 000 signatures http://www.mesopinions.com/petition/animaux/contre-projet-usine-dechets-dangereux-indachlor/30569 .

     

    Nous nous étions mis d’accord avec le responsable de l’UD de la Dreal de Gravelines, Mr David LEFRANC, pour que cette transmission se fasse au plus tard le 22/06/2017.

     

    Mr LEFRANC qui est très courtois et loyal m’a dit qu’il allait demander à la société Indaver l’ensemble du dossier – les éléments sensibles relatifs à une usine Seveso, ce que je comprends parfaitement. Nous ne contestons pas les retraits concernant les parties dites « sensibles ».

     

    La presse locale fait bien état de notre pacifisme et de notre nette compréhension de ce projet Indachlor http://www.lepharedunkerquois.fr/dunkerquois/loon-plage-petition-record-en-vue-ia684b0n212105  

     

    Aujourd’hui, Mr LEFRANC m’a indiqué avoir transmis l’ensemble de ce dossier, le 20 juin à Mr le secrétaire-général de la sous-préfecture de Dunkerque, Bernard DUJARDIN.

     

    J’ai pris attache cet après-midi avec Mme Christine PATOT, la secrétaire de Mr le sous-préfet de Dunkerque qui m’a dit que le secrétaire-général n’avait pas encore vu le représentant de l’Etat, Mr le sous-préfet de Dunkerque, Eric ETIENNE.

     

    Je vous demande, Mr le ministre, votre intervention personnelle pour que la sous-préfecture de Dunkerque cesse de me faire de la rétention de tous ces documents à caractère public, et, ce, en totale violation du droit à l’information en matière environnementale, notamment au regard de l’article L.12461 du code de l’environnement.

     

    Alors que le président MACRON - que je soutiens en participant à des groupes locaux en Bretagne et en Auvergne – a demandé plus d’exemplarité, il semble particulièrement regrettable que cela ne soit pas appliqué dans les Hauts-de-France.

     

    Je m’étonne d’ailleurs du manque de considération à mon égard de la part des représentants de l’Etat.

     

    Vous n’aurez aucun mal, Mr le ministre, Nicolas HULOT, à retrouver le courrier du directeur de cabinet de votre prédécesseur, Mme la ministre de l’environnement, Ségolène ROYAL (Réf. CDAP /SR/A15026091-D15021084), lorsque Mme la ministre demandait au préfet de la Loire « d’examiner mes observations et de me tenir directement informé de la suite qui sera réservée à ma démarche ».

     

    J’ai été reçus par 2 directeurs de cabinet de Mr le préfet de la Loire et ce, sans aucun problème particulier avec les représentants des sections « déchets » de la Dreal de la Loire.

     

    Je vous demande donc d’intervenir pour que cesse cet ostracisme à mon égard dans les Hauts-de-France, en voulant nous « cacher » de façon dictatoriale des documents pleinement de droit communicables.

     

    Je suis tout aussi respectueux de l’Etat que Mr le secrétaire-général et Mr el sous-préfet de Dunkerque.

     

    Je ne tient absolument pas à être traité de « paria » parce que, moi, et mes camarades, nous nous posons des questions sur l’impact environnemental du projet Indachlor à Loon-plage ou sur d’autres dangers, comme la perte de plusieurs emplois actuels, sur la potentielle « fuite » en Belgique de capitaux issus de potentielles subventions françaises de l’autre côté de la frontière, sans parler des risques potentiels vis-à-vis des populations locales au vu de cette énorme explosion chez l’exploitant INDAVER à Anvers http://www.aura-environnement.com/blog/explosion-indaver-a-anvers/cette-explosion-chez-indaver-debut-2016-a-anvers-qui-fait-fremir-de-trouille-dunkerque.html !

    Je suis, je pense un très bon connaisseur du monde des déchets et, en plus, je suis membre, Mr le ministre, en tant que président du pôle déchets du groupement d’associations environnementales FAPEL 22, des groupes de travail DMA et DAE ; Déchets du BTP ; Déchets organiques ; Déchets dangereux ; Filières régionales ; Prévention, sensibilisation, communication du Plan régional de prévention et de gestion des Déchets au sein de l’entité Kelenn à la Région Bretagne...... avec l'équipe de notre ministre Jean-Yves Le Drian !

     

    Je participe sans aucun problème aux réunions de travail et mes rapports sont très cordiaux avec tous les intervenants !

     

    Je ne vois pas pourquoi la situation serait différente à Dunkerque, où, depuis le 20/06/2017, des documents publics qui me doivent être communiqués, sont gardés dans un tiroir qui refuse de s’ouvrir à la Constitution de notre pays, aux valeurs défendues par notre président Emmanuel MACRON et aux préconisations du ministre d’Etat Nicolas HULOT !

     

    Je vous demande, Mr le ministre, d’intervenir auprès du sous-préfet de Dunkerque  pour que je reçoive rapidement les documents que la Dreal de Gravelines devait me faire parvenir.

     

    Est-il normal que les recommandations de la CADA soient ainsi détournées de leur substance ?

     

    Quel est l’intérêt du secrétaire-général de la sous-préfecture de Dunkerque, Mr DUJARDIN, de jouer au « vicomte» local s’asseyant sur les conclusions du Rapporteur général adjoint, Nicolas POLGE, maître de requête au Conseil d’Etat sur les avis de la CADA ?

     

    La CADA indique-t-elle qu’une sous-préfecture doit se substituer à un service de l’Etat dont le siège régional est à Lille ?

     

    Avouez que tout cela fait désordre, Mr le ministre, alors que l’ensemble de ces documents seront transmis au grand public et aux medias lors d’une prochaine enquête publique de Loon-Plage et des communes voisines à la rentrée de septembre 2017 !

     

    Qu’en pensent les honorables membres du Coderst des Hauts-de-France ?

     

    Que penser de ce projet Indachlor dans la région des Hauts-de-France qui dispose à ce jour de nombreuses installations permettant le traitement des déchets dangereux du territoire, comme par exemple, le site de traitement de Synthexim, localisé à Calais, en lien avec une activité de chimie de spécialité, autorisée pour le traitement de déchets dangereux chlorés (identique à ceux envisagés dans le cadre du projet Indachlor) disposant d’une capacité disponible estimée à plus de 15 000 T/an – installation non-saturée, faut-il le rappeler ?

     

    L’arrêt de l’incinérateur de Synthexim mettra en péril l’ensemble de l’activité chimique dans la région et ne profitera qu’aux Belges qui pourraient très bien monter leur projet à Anvers. Sauf que les populations locales flamandes n’en veulent pas !

     

    Dans l’attente de votre réponse, je vous prie de croire, Monsieur le ministre, à l’expression de ma considération très distinguée.

     

    Marc-Claude de PORTEBANE

    Président d’AURA Environnement

    Porte-parole du CPERD (collectif de Préservation de l’Environnement de la Région de Dunkerque)

     

    Transmisssion :

     

    - Me François RUFFIE, barreau de Libourne

    - Me Gilles-Jean PORTEJOIE, barreau de Clermont-Ferrand

     

    - Le club de la presse des Hauts-de-France

    - Les medias nationaux

    - Louis-Marie HOREAU, Le canard Enchaîné  

     

    - Transmission publique :

    - les 23 108 signataires de notre pétition internet qui doivent être tenus au courant de nos difficultés à recevoir des documents publics.

    - l’ensembles des élu-es de la région des Hauts-de-France

     

    .

     

     

     

  • Chats & Chiens martyrisés : AURA Environnement partie civile 2 affaires + désignation Juge d'instruction 2 autres cas !

    AURA Environnement a mandaté Me Jean-Hubert PORTEJOIE

    du Barreau de Clermont-Ferrand pour se porter partie civile

    dans 2 affaires nationales concernant chats et chiens

    et désignation d'un juge d'instruction dans 2 autres cas !

    Aa79DESIGNATION DU DOYEN DE L'INSTRUCTION :

    -BOEUF ECARTELE DE RETHEL : le procureur a classé l'affaire. AURA Environnement s'était porté partie civile. Nous demandons la désignation d'un juge d'instruction. Nous avons appris par la presse la décision du Parquet de Charleville-Mézières ! http://www.lunion.fr/29248/article/2017-05-05/boeuf-blesse-au-foirail-de-rethelpas-de-poursuites-penales et https://www.scoopnest.com/fr/user/UnionArdennais/860559776144609280 

     

    - CHAT blessé Métro sortie 1 Grande arche La Défense. Les policiers ont convoqué le clodo mais le procureur a classé l'affaire. A Saint-Pierre-la-Mer les chats empoisonnés seraient porteur du virus "Calcivirus" (autopsie), tandis que dans le Métro de Paris, le risque semblerait ne pas exister alors que le chat serait blessé et risque de contaminer potentiellement des enfants s'il était porteur du virus !!!!
    http://www.aura-environnement.com/blog/aura-environnement/on-nous-ecrit-a-la-sortie-du-metro-la-defense-il-y-a-un-chien-et-un-chat-la-police-passe-le-parquet-classe.html

     
    PARTIE CIVILE
     
    - CHATS mystérieusement empoisonnés à Saint-Pierre-la-Mer (AUDE) en soutien avec l'association locale "Esprit félin". AURA Environnement a également pris contact avec l'avocat situé à Narbonne et représentant "Esprit Félin".
     
    et 
     

  • ON NOUS ECRIT : "A la sortie du métro La Défense il y a un chien et un chat......". La police passe, le parquet classe !

    Le chat est blessé à Paris et n'est pas soigné

    ...alors qu'un cas de virus Calcivirus se balade

    dans les rues de Saint-Pierre-la-Mer (Aude)

    AURA Environnement va saisir la justice !

    Toutou la defense 075ON NOUS ECRIT dans la MP de notre page Facebook de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/ :

    "Bonjour
    Je vous écris car à la sortie du metro La Défense il y a une personne avec un chien et un chat qui je suis sure sont totalement drogues. Ils ne bougent jamais et il met la patte du chat sur celle du chat. Ca me fait trop de peine. Comment faire quelque chose?"
     
    Pendant que le collectif de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux conseille à notre fan de mettre l'info sur sa propre page, nous apprenons par l'écrit d'une internaute Marie C...., qu'une page facebook arborant officiellement le logo de la police nationale préconise aux internautes ceci : "S’il vous plaît les amis, quand vous avez des sauvetages périlleux, ne diffusez pas mais contactez soit des assocs ou ce lien en MP (le lien de la page facebook en question avec le logo de la police nationale). Diffusez à tous azimuts ne fait que compromette des enquêtes en sous-marin, dernièrement encore sur Marseille, cela a foiré par manque de discrétion… " .
     
    Maric c 012
    AURA Environnement a immédiatement contacté l'administrateur de cette page et celui-ci nous a confirmé 'Les écrits que vous nous montrez ne sont pas de nous, si vous faites attention", nous confirmant également que l'utilisation du logo de la police nationale était "publique", que la loi ne "l'interdit pas' et que cette page Facebook était avisée par "leur hiérarchie".
     
    Ensuite, nous avons appris que le modérateur de cette page était policier, puisqu'il faisait état lui-même de son état de "policier" à notre fan, à propos de ce chat blessé :
    "Jean-Marc", modérateur et policier, dit être "personnellement intervenu sur place, un équipage de police a ramené l'individu et les animaux au commissariat.... Un chat était blessé et l'individu a déclaré ne pas le soigner. Le Procureur a décidé de ne pas donner suite, il a quitté les lieux avec ses animaux, et s'est réimplanté dès le lendemain".
     
    Puisque la police semble vouloir s'occuper presque en "exclusivité" de la protection animale, cela tombe à pic, puisque demain matin, nos camarades de l'association "Esprit félin" ont RDV avec leur avocat dans le bureau du procureur de la République de Narbonne dans cette scandaleuse affaire d'empoisonnements de plusieurs dizaines de chats dans un quartier de Saint-Pierre-la-Mer.
     
    Si on suit bien le raisonnement de cette Marie C......, on devrait avoir un représentant de la police nationale qui se portera partie civile au même titre qu'AURA Environnement ?
     
    Que s'est-il passé à Marseille ???
     
    AURA Environnement va charger, cette semaine, Me Jean-Hubert PORTEJOIE du Barreau de Clermont-Ferrand, de prendre en charge cette histoire de "chien et chat blessé" à Paris.
     
    Tout comme, nous allons demander à notre conseil, Me François RUFFIE du Barreau de Libourne de s'occuper du cas de cette Marie C... qui salit les simples défenseurs de la cause animale - pour le compte d'une page facebook qui collaborerait avec la police nationale -, (comme elle l'a prétendu - preuve en notre possession), comme nous et d'autres petites pages ou groupes sur Facebook.
     
    Tout comme nous allons alerter, notre camarade Louis-Marie HOREAU du canard Enchaîné !
     
    A suivre
     
    Matrc-Claude de PORTEBANE
    Président d'AURA Environnement
    Porte-parole du collectif de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux.

  • Empoisonnement ou calcivirus pour les chats de Saint-Pierre-la-Mer (Aude) : AURA Environnement va se porter partie civile

    CHATS mystérieusement empoisonnés à Saint-Pierre-la-Mer (AUDE)

    Empoisonnement volontaire

    Empoisonnement accidentel

    Maladie virale ?

    Cat narbonne presse

    Nous voulons les rapports d'autopsie pratiqués sur les chats, des animaux comme tant d'autres, que les femmes et les hommes du monde entier adorent !

    Fleury dans l'Aude, le même bled où AURA Environnement et la Ligue ont déjà constaté - preuves à l'appui -, cet hiver, que des chevaux étaient maltraités ! http://www.aura-environnement.com/blog/ligue-de-combat-contre-les-cruautes-envers-les-animaux/chevaux-maltraites-dans-l-aude-aura-environnement-va-saisir-la-justice.html

    2 affaires dans la même commune, c'est quand même troublant, non ?

    D'ores et déjà, AURA Environnement va se porter partie civile - en renfort -, répondant ainsi à l'appel de l'association locale "Esprit félin" et aux habitant-es indigné-es de cette commune.

    De très nombreux témoignages de chats morts nous sont parvenus.

    La presse locale comme "l'Indépendant" ou  "La Dépêche du Midi" ont tiré la sonnette d'alarme !

    Le journal Le Monde s'en inquiète : "Les chiffres de cette « hécatombe de chats dans la station balnéaire audoise » varient, en fonction des sources citées par la presse locale : « une cinquantaine », selon l’adjoint au maire chargé de la sécurité, presque quatre-vingts, d’après « un témoin ». Une enquêtrice de la Société pour la protection des animaux (SPA), arrivée sur place après des signalements d’habitants, avance un chiffre encore plus haut à la Dépêche du Midi :« Il y en a partout dans les containers, ils seraient au nombre de 200. »" !* http://www.lemonde.fr/big-browser/article/2017/06/06/une-hecatombe-de-chats-dans-la-petite-station-balneaire-de-saint-pierre-la-mer_5139413_4832693.html#fOQpMgHAW3TTiQjh.99

    Il y a 2 jours, le journal "L'Indépendant" nous apprenait que le virus calcivirus avait frappé un autre chat et que sa présence avait été constatée par un vétérinaire.

    Le 1er chat autopsié aurait bien été touché par ce virus qui laisse, en apparence, les signes de l'empoisonnement puisque les félins bavent abondamment. Ils ont également des lésions au niveau de la langue et de l'appareil digestif.

    "L'Indépendant"  n'excluait toujours pas la piste de "l'empoisonnement" puisque les décès des chats ont été localisés sur un périmètre bien déterminé.

    La vérité éclatera dans le quartier de la résidence Saint-Pierre !

    Les 52 000 fans de la page facebook du collectif de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux (qui dépend d'AURA Environnement) sont prêtes et prêts à soutenir les populations locales.

    Par ailleurs, il semblerait que depuis que la presse nationale et les associations de protection des animaux se soient emparés de cette affaire scandaleuse, le nombre de morts relevés auraient fortement diminué.

    Comme par miracle ?

    N'est-ce pas bizarre que le virus calcivirus ne frappe pas d'autres communes de l'Aude, d'autres départements limitrophes, d'autres régions, d'autres pays ?

    Selon France 3 Occitanie, les premières autopsies ont révélé des empoisonnements au shit et au liquide de refroidissement. La présence de plombs a été retrouvé dans le corps des chats, du cannabis et du liquide de refroidissement dans leur estomac.

    K1

    Marc-Claude de PORTEBANE

    Fondateur et porte-parole de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux

    Président d'AURA Environnement

  • AURA Environnement dénonce lacunes Enquête publique extension unité de tri et valorisation déchets inertes Guyot Environnement vers Morlaix !

    AURA Environnement aura été la SEULE assoc' environnementale

    à s'opposer lors de l'enquête publique du 16/05 au 16/06/2015 à la

    demande d'autorisation d'exploiter une unité de tri et de valorisation

    de déchets inertes à Kérolzec à Saint-Martin-des-Champs vers

    Morlaix dans le Finistère et présentée par Guyot Environnement de Brest !

    Presque personne n'est venu à cette enquête publique aux mairies de Saint-Martin-des-Champs, de Sainte-Sève et de Taulé. Voici les commentaires d'AURA Environnement qui ont été transmis sur le registre lors de la présence du commissaire-enquêteur Ernest QUIVOURON désigné par le tribunal administratif :

    COMMENTAIRE

    Le 19/05/2017 AURA Environnement constate un mur d’agglos ou de parpaings.....

    Ge ep 123......alors que sur les photos d’ AURA Environnement le 27/11/2016, il n’y a aucune construction à cet emplacement qui correspond à la zone de stockage de 595 m² des balles de CSR, comme indiqué dans l’enquête publique.

    Ge ep 122La dernière demande effectuée par Guyot Environnement à l’urbanisme de Saint-Martin-des-Champs remonte à :

    - Permis de construire modificatif

    Demande déposée le 02/04/2003 par Guyot Environnement à Brest.

    N° PC 2925402M1003 1

    Objet : Modification du bâtiment principalPc ge 2003

    Le 16/06/2017, le service de l’urbanisme à la mairie de Saint-Martin-des-Champs confirme bien qu’aucune demande n’a été effectuée par la société Guyot Environnement pour un permis de construire ou une autorisation de travaux.

    Selon le responsable de l’urbanisme de la mairie de Saint-Martin-des-Champs, les photos qu’AURA Environnement lui montre confirme bien qu’il y a emprise au sol supérieure à 20 m².

    L’enquête publique est donc insincère et ne prends pas en compte ces modifications de l’installation de la société Guyot Environnement.

    Nous demandons la démolition de cette construction et une nouvelle enquête publique.

    AUTRE COMMENTAIRE

    UN SITE EXISTANT

    Le dossier présente le fonctionnement et les volumes triés sur le site existant mais qui ne sont pas le reflet des activités aujourd’hui en place : la société GUYOT a déjà mis en place le process de préparation des CSR décrit comme « projet » dans le dossier objet de la demande.

    Dans le schéma décrivant les installations actuellement sur le site il ne figure pas d’étape de préparation/broyage de CSR, uniquement un tri mécanique, et pourtant des balles de CSR sont présentes sur le site avant l’enquête publique.

    Le site de st martin est autorisé par son AP de 2006 à réaliser des activités de tri et transit de déchets non dangereux selon les rubriques 2713, 2714, 2716 et 2718, mais n’est pas autorisé à préparer des CSR. Il s’agit d’un dossier de régularisation et non pas de demande.

    Nous demandons

    • De renvoyer Guyot face à ses responsabilités pour tricherie sur ce dossier et cette enquête publique
    • De pointer du doigt une filière de valorisation CSR qui peut permettre tous les abus dans sa mise en oeuvre

    --------------------

    CADRE REGLEMENTAIRE CSR

    Le cadre réglementaire pour la fabrication de CSR et pour les installations destinées à les recevoir a été clarifié en mai 2016. La société GUYOT n’y fait pas référence et doit pourtant s’y conformer. La conformité à l’AM n’est pas étudié alors que la valorisation des CRSr en chaufferie 2971 est évoquée pour « plus tard » dans le dossier.

    Référence réglementaire : Il s’agit du décret n° 2016-630 du 19 mai 2016 modifiant la nomenclature des installations classées pour la protection de l'environnement qui crée la rubrique 2971 (régime de l’autorisation) pour les installations de production d'énergie sous la forme de chaleur ou d'électricité à partir de déchets spécifiques de type CSR, accompagné de deux arrêtés ministériels relatif à la préparation et la combustion de CSR.

    Seule la conformité à l’AM du 13/10/10 est analysée.

    • Nous demandons à Guyot de justifier la conformité de son projet à ce texte de mai 2016

    ----------------------

    FILIERES DE VALORISATION

    Nous demandons une transparence totale sur les filières de valorisation des CSR. Quelles sont-elles ? Où sont-elles ? Sont-elles réellement locales ? Existe-t-il réellement des partenariats commerciaux établis ?

    Cela nous parait indispensable dans la mesure où certaines filières avancées n’existent pas sur la Bretagne (Voir point 2 les projets de chaufferie 2971 qui sont évoquées pour « plus tard ») !

    • Nous demandons à ce qu’une vraie transparence soit apportée dans le dossier :
      • Lister l’ensemble des exutoires prévus avec leur localisation  et les volumes passés et futurs
      • Démontrer la capacité reprenneur à accepter les CSR produits par GUYOT
      • Justifier que tout CSR produit sur le site aura un exutoire et le prouver dans le temps
      • Démontrer l’existence d’accords commerciaux entre GUYOT et ces sites

    -----------------------

    TRAFIC ROUTIER ET PROXIMITE DES FILIERES

    Plusieurs points du bienfondé du projet semblent à nos yeux infondés :

    • Le projet doit contribuer à augmenter la capacité de tri et valorisation des déchets non dangereux en Bretagne. S’il est effectivement nécessaire d’avoir des outils de ce type sur le territoire il est toutefois fallacieux de se targuer d’être une solution locale quand on ne dispose pas de filières de valorisation de proximité. Ce volet n’est pas du tout traité dans l’analyse de l’impact sur le trafic. Marche-t-on sur la tête pour transporter des CSR sur des centaines de kilomètres depuis Saint martin des Champs.
    • Nous demandons à ce que le projet soit redimensionné :
      • Interdire le traitement des CSR en dehors la Bretagne.
      • Réaliser un véritable bilan carbone du projet en incluant l’ensemble des activités transport.

    ------------------------------

    1. VOLUMES PREVISIONNELS

    Nous sommes surpris de voir que la société GUYOT s’engage dans son dossier à ne pas excéder les volumes définis alors que c’est le fonctionnement courant de cette exploitation par le passé. Comment GUYOT imagine gérer la variabilité / saisonnalité de son activité ? Devra-t-on voir grandir des stocks de déchets en balle dans un état de dégradation avancé des balles sur le site ? Quelles sont les filières de secours pour évacuer le CSR ? Quel impact sur la qualité des eaux de pluie qui percolent sur les balles éventrées qui sont rejetées en rivière et ne sont pas considérées comme eaux industrielles (traitement, contrôle…) ?

    • Nous demandons à ce que le projet soit redimensionné :
      • Limiter de moitié les 12 385 m3 volumes stockés en balles à l’extérieur
      • Imposer des durées maximum de stockage sur le site compatible avec la bonne tenue dans le temps des balles de déchets
      • Considérer les eaux de pluie ruisselant sur les déchets comme des eaux industrielles à traiter avant rejet et à suivre du point de vue de la qualité des rejets

    ------------------------------

    1. LE TRAITEMENT DES EAUX

    Les balles stockées sur le site sont dans un état déplorable et les eaux de pluie peuvent percoler au travers de ces balles de déchets éventrées. Pourtant GUYOT affirme dans son dossier qu’il ne produit pas d’eaux industrielles alors qu’il s’agit bien d’eaux industrielles, et que ces effluents sont rejetés au milieu naturel, à 75m du site dans la rivière Pennelé !!

    Il s’agit d’un enjeu important compte tenu du contexte et du milieu environnant du site (zones naturelles recensées au droit du site, de la présence d’hameaux d’habitations proches et de la faune et la flore identifiées au droit du site).Pourtant GUYOT traite de le sujet en se basant sur ses propres considérations : les eaux de pluie au contact des déchets et générées sur son site ne peuvent pas être source de pollution.

    Nous sommes surpris de voir que le système de traitement des eaux du site est quasi-inexistant. Comment est-ce qu’un simple bac décanteur et un débourbeur séparateur peuvent assurer et garantir un traitement efficace avec le rejet d’eaux industrielles en rivière sur un site où les stocks extérieurs sont importants et où du broyage de bois a lieu à l’air libre et sont au contact direct avec l’eau de pluie ?!

    Ces eaux doivent être contrôlées, et GUYOT ne détaille pas du tout ce qui se passerait en cas d’analyses physico-chimiques « non concluantes » des rejets ?!

    • Nous demandons les compléments suivants :
      • La meilleure façon de ne pas générer d’effluents pollués et d’éviter le contact de l’eau avec les déchets : les stocks n’étant pas couverts et les balles présentant un risque de détérioration important, nous demandons la mise en place d’une toiture permettant de limiter la génération d’effluents souillés et donc de limiter le risque de pollution accidentel de la rivière.
      • Renforcer le système de contrôle des effluents : type de polluants et fréquence
    • Aussi, les eaux d’arrosage durant les phases de broyage sont donc des eaux industrielles, rejoignant simplement le réseau d’eau de pluie et sont donc rejetées au milieu naturel : la rivière.

    • Nous demandons les compléments suivants :
      • De compléter ce dossier avec des mesures des émissions de poussières durant les phases de broyage de bois actuellement sur site
      • D’imposer à GUYOT de réaliser des mesures et analyses des émissions de poussières lorsque le granulateur CSR sera mis en place.
      • De réaliser des mesures et analyses d’eaux avant rejet à la rivière pendant les phase de broyage et donc d’arrosage

    ------------------------------

    POUSSIERES

    Puisque qu’une gêne pour les riverains ne peut être comparée à une norme, GUYOT considère que le site ne présente pas d’impact sur les poussières émises. Pourtant un dépassement est avéré. De plus, des campagnes de broyage de bois ont lieu sur site à l’air libre sur les plateformes extérieures : quelles auraient été les résultats d’analyses durant ces phases de broyage ? Les dépassements auraient été certainement plus nombreux malgré les systèmes d’arrosage qui sont évoqués pour limiter l’impact.

    AUTRE COMMENTAIRE

    Cette enquête publique à Notre-Dame-des-Champs doit être annulée car l’ordonnance, fixée par décret et qui est entrée en vigueur au plus tard le 01/01/2017 (Source : JORF du 5 août 2016, texte 14 - Ordonnance no 2016-1060 du 3 août 2016 NOR : DEVD1614801R) n’a pas été appliquée.

    En effet, cette ordonnance modernise l’enquête publique régie par le code de l’environnement en prévoyant, en plus des formalités classiques, le recours à la dématérialisation pour faciliter l’information et la participation du public.

    Cette ordonnance a pris effet le 1er janvier 2017 en réformant l’enquête publique et lui imposant l’utilisation d’Internet dans le cadre de projets ayant une incidence sur l’environnement.

    Même si la procédure papier reste cependant obligatoire, celle-ci est complétée par l’adjonction d’Internet comme un lieu de consultation complémentaire où le public peut déposer ses observations et lire les avis des autres concitoyens.

    De plus, la mise à disposition d’un poste informatique dans un lieu ouvert au public est devenue obligatoire. Cela n’a pas été le cas à la mairie de Saint-Martin-des-Champs où seuls 2 classeurs et le registre des commentaires ont été mis à la SEULE disposition du public.

    Les citoyens n’ont donc pas été informés correctement de l’existence de cette Ordonnance qui permet d’apporter une contribution publique à une enquête publique.

    En effet, l’objectif du registre d’enquête public électronique est de permettre au public de plus facilement prendre connaissance du projet puis d’exprimer ses appréciations, suggestions et contre-propositions, alors que déposer un avis sur le registre dématérialisé de cette enquête publique aurait été plus simple, sécurisé et potentiellement anonyme.

    Le registre d’enquête publique électronique aurait dû indiquer l’objet de l’enquête publique, l’arrêté d’ouverture de l’enquête publique, la référence du tribunal administratif, le nom du commissaire-enquêteur ainsi que toutes pièces du dossier dont l’avis de l’autorité environnementale qui est absent également en version papier.

    Certaines enquêtes publiques proposent l’utilisation de l’e-mail en guise de voie numérique. Cependant, un e-mail est très facilement falsifiable et ne répond donc pas aux articles 1316-1 à 1316-4 du code civil reconnaissant l’écrit numérique comme une preuve « sous réserve que puisse être dûment identifiée la personne dont il émane ».

    Un registre numérique d’enquête publique reflète aux yeux de la population une image moderne d’un territoire ! Nos concitoyens peuvent ainsi consulter le dossier de présentation à toute heure et en tout lieu et déposer une observation agrémentée de documents de qualité en pièces jointes. 

    Tout n’a donc pas été mis en œuvre pour que le commissaire-enquêteur puisse recueillir les avis et observations de la population de la région de Morlaix dans de bonnes conditions et de façon la plus limpide possible.

    La loi sur la reconnaissance du support numérique n’a donc pas été respectée.

    Cette enquête publique sur l’implantation de cette ICPE (unité de tri, transit et valorisation de déchets à Saint-Martin-des-Champs déposée par Guyot Environnement) doit être annulée.

    AUTRE COMMENTAIRE

    1 - Dans le cadre de mes activités de veille sur les enjeux déchets, notamment au sein de plusieurs groupes de travail (DMA et DAE ; Déchets du BTP ; Déchets organiques ; Déchets dangereux ; Filières régionales ; Prévention, sensibilisation, communication), dont la commission CSR du Plan régional de prévention et de gestion des Déchets de la Région Bretagne, j’ai eu connaissance d’un récent rapport publié par l’ADEME sur le traitement des ordures ménagères résiduelles (OMr).

    En résumé, l’ADEME, après avoir contribué à faire inscrire dans la loi TECV qu’il fallait renoncer aux unités de tri mécano-biologique produisant du compost à partir des OMr, indique à présent qu’il faut aussi éviter de fabriquer du CSR à partir de ces mêmes OMr.

    Une première concrétisation voit le jour dès maintenant avec le cahier des charges de l’appel à projet Energie CSR 2017 qui interdit les intrants issus d’OMr dans les projets relevant sa priorité 1 (les seuls qui auront une chance d’être sélectionnés…).

    C’est donc clairement l’ensemble de la filière de prétraitement des OMr par tri mécanique qui est visée et à laquelle l’ADEME appelle à renoncer.

    Le rapport ADEME, un récent article du site spécialisé Déchets.com qui en fait une synthèse ainsi que le cahier des charges de d’appel à projet Energie CSR 2017 que je tiens à la disposition du Commissaire enquêteur en sont donc les preuves irréfutables qui rendent automatiquement caduque cette enquête publique sur la demande d’autorisation d’exploiter une unité de tri et de valorisation de déchets non-dangereux (DND) au lieu-dit Kerolzec à Saint-Martin-des-Champs.

    2- En 2016, nous avons fait constater par un huissier de justice – Me BOUGEANT de Morlaix – que des balles de CSR – pourtant emballées sous film plastique - étaient éventrées à l’air libre. Les photos du constat de l’huissier ont été publiées sur le site internet d’AURA Environnement http://www.aura-environnement.com/

    Qu’en sera-t-il dans les prochaines années ?

    3- Nous aimerions savoir ce que sont devenues les milliers de tonnes de CSR stockées sur ce site de Kerolzec. Nous aimerions connaître les tonnages entrants et les bons de pesée de ce CSR à destination, notamment - chez Lafarge Ciments SA à Saint-Pierre-la-Cour – géré par Geocycle -. Combien Lafarge a-t-il payé ces tonnages ?

    En 2011, le Finistère a exporté 135 000 tonnes de déchets et se plaignait de manquer de capacités de stockage en local.

    Pourtant ces milliers de camions au départ du site de Kerolzec à Saint-Martin-des-Champs chez, notamment, Lafarge vers Laval coûtent de plus en plus cher à la collectivité, et sont en totale contradiction avec l'un des engagements du Grenelle et son principe de proximité dans le traitement des déchets.

    Il y a donc incohérence.

    Quels ont été les coûts du stockage et du transport pour le contribuable ?

    4- Nous aimerions savoir si la société Guyot environnement a effectué des tests d’élimination de son CSR à l’étranger comme au Maroc ou par exemple dans des pays nordiques.

    5 – Nous aimerions savoir combien de camions/containers/jours ont potentiellement transité de Saint-Martin-des-Champs vers le port de Brest jusqu’à ce jour.

    6 – Les plastiques durs des RBA (Résidus de broyage automobile) gisant à Brest sont-ils utilisés pour faire du CSR stocké à Saint-Martin-des-Champs ?

    7 - Combien de tonnes de refus de film sont-elles envoyées chez Lafarge ? 5 000 T ? 7 000 T ?

    8-  Qu’en pensent notamment les élue-es de Morlaix Communauté : Jean-Luc FICHET, Jean-Luc FICHET, Claude PODER, Françoise RAOULT, Guy PENNEC, Guy POULIQUEN, Maryse TOCQUER, Nathalie BERNARD, Serge LE PINVIDIC, Thierry PIRIOU, Yves MOISAN, Yvon LE COUSSE, Alain TIGREAT, André FLOCH, André NEDELLEC, Anne QUENEA, Annie HAMON, Annie LONEUX, Annie PIRIOU, Bernadette AUFFRET, Bernard GUILCHER, Bernard LE VAILLANT, Béatrice PICART, Christian LE MANACH, Christiane DUGAY, Christiane LEON, Christophe MICHEAU, Clotilde BERTHEMET, Clotilde ROUX, Daniel LANGLADE, François GIROTTO, François HAMON, Françoise BARBIER, Françoise FER, Georges AUREGAN, Gildas JUIFF, Gilles MER, Gwenole GUYOMARCH, Hervé CILLARD, Hervé RICHARD, Hervé SAINT-JALM, Ismaël DUPONT, Jacqueline LE FOLL, Jean-Charles POULIQUEN, Jean-Guy GUEGUEN, Jean-Michel PARCHEMINAL, Jean-Paul VERMOT, Joseph IRRIEN, Joëlle HUON, Marc MADEC, Marie DECIMO, Marie SIMON-GALLOUEDEC, Marlène TILLY, Martine DILASSER, Martine MADEC, Michèle BEUZIT, Nicole MOULUT, Patrick YHUEL, Pierre LE GOFF, Pierre-Yves MINEC, René LE TALLEC, Rollande LE HOUEROU, Sarah NOLL, Solange CREIGNOU, Thierry DESMARRES, Thierry HUON, Valérie LE DENN, Véronique PEREIRA, Yvon HERVE, Alain TIRILLY, Albert LOZAC'H, Albert THOMAS, André LE DOEUFF, André PRIGENT, Annick LE GALL, Ariane PARANTHOEN, Aurélien LE GUILCHER, Aurélie JEGOU, Benoît BUFFETEAU, Brigitte MEL, etc….

    Marc-Claude de PORTEBANE

    Président d’AURA Environnement

    - Porte-parole du Collectif Greenbretagne (COGB)

    - Membre des groupes de travail DMA et DAE ; Déchets du BTP ; Déchets organiques ; Déchets dangereux ; Filières régionales ; Prévention, sensibilisation, communication du Plan régional de prévention et de gestion des Déchets à la Région Bretagne

    - Porte-parole de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux

  • Projet IndaChlor à LOON PLAGE : la pétition internet d'AURA Environnement fait Buzz, le journal LE PHARE DUNKERQUOIS lui consacre 1 page !

    Le Phare Dunkerquois titre "RECORD EN VUE" :

    la pétition internet d'AURA Environnement

    opposée au projet IndaChlor porté par Indaver

    réalise le "carton" du siècle vers Dunkerque !

    http://www.mesopinions.com/petition/animaux/contre-projet-usine-dechets-dangereux-indachlor/30569

    Loon 2 003

    La loon 061

    La loon 062

    La version papier de notre pétition

    accueillie par plus de 95 %

    des commerçants de LOON PLAGE

    et la région de Dunkerque !

    Loon 2 018Plus de 975 signatures en 2 jours

    de la pétition version papier !

    Plus de 22 800 Signatures

    de la pétition internet !

    Loon 2 006+ de 20 militant-es d'AURA Environnement

    qui ont répondu aux angoisses du

    Collectif de Préservation de l'Environnement

    de la Région de Dunkerque (CPERD)

    sont dans la région de Dunkerque pour

    informer les habitants qui n'ont pas du tout

    été consulté-es par leurs élu-es !

    Loon 2 007

    Nous vaincrons seul-es avec notre courage révolutionnaire pour une société plus juste et respectueuse des animaux et des humains FACE à des projets insensés comme celui d'Indaver à vers Dunkerque !

    Un grand merci à nos ami-es commerçant-es de Loon-Plage d'avoir accepté notre pétition version papier :

    - Tabac-Presse la Civette de Loon

    - Sarl La Main à la Pâte

    - Le Longhamp

    - Sarl La Tente Verte

    - Pizza City

    - Loon Automobile, sarl Lavoine

    - Tabac- Presse Stéphanie Bulteel

    - Pharmacie Demaye-Delannoy

    - L'Air Floral

    - Supérette 8 à Huit

    - Coiffure Diminu'Tif

    - Opticien A Vue d'Oeil

    - La P'tite Boutique

    - Coiffure Imaginat'if

    - Pizzeria Va Bene

    - Assurances Denis Favrez

    - Coiffure Sarl Concept

    - Eurl Pizza Loon....

    Tout-es et tous uni-es, nous gagnerons notre combat pour que l'usine d'Indaver ne vienne détruire notre écologie et nos emplois déjà existants !

    Dunkerque n'a pas besoin d'Indaver pour survivre !

    Nous espérons que les élu-es de la CUD (Communauté Urbaine de Dunkerque) ne tireront pas "dans le dos" des habitants de la région des Hauts-de-France ! 

    Nous attendons donc avec impatience le RDV avec Benoit FERRE, le dir' cab' du président de la CUD, et ce, depuis plus de 15 jours ! Qu'on arrête de nous prendre pour des brèles !

    Nous attendons avec impatience le permis de construire qui est actuellement instruit par la DDTM de Dunkerque et qui refuse de nous le communiquer !

    Car, Camarades, c'est aussi, le service d'urbanisme de la CUD qui instruit et se substitue à la mairie de Loon Plage qui n'est plus qu'une chambre d'enregistrement voire même, plus qu'un simple boite-aux- lettres !

    Mais dans tous les cas de figure, la décision finale est celle donnée par la DDTM 59 ne fait qu'appliquer les directives de l'Etat en matière d'urbanisme.

    Ca va pas le faire Mesdames et Messieurs, si vous estimez vous passer de la Révolte populaire en germination !

    Que la CUD et ses partenaires sachent que notre mobilisation ne fait que commencer :

    Nous donnons RDV dans les prochaines semaines à nos camarades pour que la Lutte révolutionnaire enflammme les rues de Dunkerque !

    INDAVER ne sera pas si nous sommes Uni-es contre ces Belges qui ne montent pas leur projet, chez eux, à Anvers - car il y a eu une explosion - mais chez nous, en France parce que l'Etat serait plus laxiste ? 

    A suivre

    Marc-Claude de PORTEBANE

     

  • Cette violente explosion chez Indaver début 2016 à Anvers qui fait frémir de trouille Dunkerque !

    Description :

    "Chez la société de gestion des déchets Indaver dans le port d'Anvers, il y a eu une grande explosion vendredi après-midi. Indaver a signalé que personne n'a été blessé. Selon Indaver lui-même, c'était une explosion violente suivie de trois feux. L'explosion s'est produite dans un réservoir avec des solvants. Au moment de l'explosion, 117 membres du personnel étaient sur place et évacués."

     

    Commentaire :

    Filip Hostiucil y a 1 an (modifié)

    "Nous étions en voiture de l'autre côté et au moment où nous étions arrivés juste à côté de cette explosion massive. Quelques secondes avant l'explosion, nous avons entendu ce son, semblable à un moteur à réaction, mais il venait du niveau du sol. Immédiatement après cette immense lumière, suivie du saum boom et de la chaleur. Ma voiture a secoué et je n'avais aucune idée de ce qu'il fallait faire - tout s'est passé si vite. Nous avons dû conduire à côté d'elle pendant une minute ou deux, jusqu'à ce que je puisse m'éloigner. Heureusement, personne n'a été blessé."

  • NOTRE IGNORANCE FORGE LEUR POUVOIR. Saint-Cyr-sur-Morin 77 décharge illégale : d'où proviennent les mâchefers ?

    Mega Ecocides :

    Nous n'avons pas fini de nous battre

    contre leur cynisme méprisant !

    Aa49Nous le constatons lorsque nous sollicitons certains élus de villes proches de verrues qui défigurent l'environnement, dans le cadre de la campagne des législatives, qui se croient suffisamment éloignés des futurs projets pour estimer que leurs administrés ne se sentent pas concernés et nous dire "qu'il faut bien faire quelque chose de nos déchets", entre autre les incinérer, faire un TMB ou nous faire gober de l'incinération déguisée via les infâmes CSR (combustibles solides de récupération) pas chez eux, mais évidemment chez nous !

    Ce sont les mêmes qui produisent le plus de déchets et qui nous disent que le tri c'est compliqué... car ils ne veulent pas s'intéresser à ce qui marche ailleurs.

    Du coup, ils n'y connaissent rien et on tourne en rond car au final c'est eux qui prennent les décisions, mais les pires.

    C'est pourquoi nous avons une grosse pensée pour cette partie de la Seine-et-Marne qui est massacrée du fait de cette nullité et de ce mépris de ceux qui ont la charge de gérer nos déchets : à lire l'article de nos camarades de l'ADENCA (Fichés par les RG) sur les conséquences de l'incinération qui nous pend au nez si on se laisse faire : http://adenca.over-blog.com/2017/05/st-cyr-sur-morin-77-decharge-illegale-pourquoi-le-prefet-jean-luc-marx-ne-veut-pas-dire-de-quelle-usine-d-incineration-proviennent-l

    AURA Environnement a décidé de lancer une offensive générale sur tout le territoire sur l'utilisation méconnue de ces mâchefers utilisés très généralement, notamment par les entreprises de travaux publics ou des entreprises de transport.

    La question se pose sur la provenance de ces énormes quantités de mâchefers polluants déversés illégalement sur de bonnes terres agricoles de cette partie de la Seine-et-Marne.

    Cette collectivité va-t-elle prendre en charge l’enlèvement des mâchefers ou laisser aux habitants du village rural de Saint-Cyr-sur-Morin le poids de cette décharge illégale ?

     

    En effet, le mardi 16/05/2017, trois entreprises des secteurs des déchets et travaux publics répondaient devant la 31° chambre correctionnelle du TGI de Paris de gestion irrégulière de déchets.

     

    Le jugement sera rendu le 04/07/2017.

     

    En attendant, rien ne vous

    empêche de lire Le Monde

    (Ed. du 18/05/2017) :

     

    "Entre le 3 août et le 14 septembre 2012, une noria de camions-bennes chargés de mâchefers est venue troubler l’atmosphère bucolique de Saint-Cyr-sur-Morin. Les habitants de ce village de Seine-et-Marne de 1 966 âmes l’ignoraient encore mais, durant cette période, les poids lourds ont acheminé pas moins de 31 000 tonnes de cette boue grisâtre issue de l’inciné­ration d’ordures ménagères du Val-de-Marne, afin de les enfouir illégalement sur des terrains agricoles de leur commune.

    Avant d’être interrompue par les protestations de riverains auprès de la mairie, l’opération avait pour but de faire disparaître fraudu­leusement, à moindres frais et en en tirant un large bénéfice financier, jusqu’à 80 000 tonnes de mâchefers. Lorsqu’ils ne peuvent être recyclés comme matériaux de sous-couches routières, ces déchets non toxiques doivent en effet être transportés aux frais de leur gestionnaire, et stockés dans des installations spécialisées pour un coût de 50 à 70 euros par tonne.

    « Poupées russes »

    Mardi 16 mai, dans l’affaire de Saint-Cyr-sur-Morin, trois entreprises des secteurs du traitement des déchets et des travaux publics répondaient, devant la 31e chambre correctionnelle du tribunal de grande instance de Paris, de gestion irrégulière de déchets, d’exploitation d’une installation classée pour la protection de l’environnement sans autorisation, de dépôt illégal de déchets et d’infraction aux dispositions du plan local d’urbanisme.

    « C’est un système de poupées russes, sauf qu’ici la petite est destinée à cacher la grosse », a résumé le procureur pour décrire le montage réalisé par Remblais Terre Route Groupe Environnement (RTR), l’entreprise de transports Vitrans et Cideme, un centre technique de valorisation de mâchefers qui est une filiale de TIRU, société détenue à 75 % par EDF.

    Tout a commencé en juin 2012, lorsque Habib Ben M’Hamed, un proche du clan mafieux Hornec, avec lequel il participait à des affaires."....

    L’accès à la totalité de l’article est protégé
     

    A suivre
     

  • Les rendez-vous Développement Durable de Noisy-le-Sec avec AURA Environnement !

    Journée "Ville Propre"
    le samedi 3 juin 2017 !
    Aa343 1Une journée pour agir en faveur de la propreté
     
    Vous trouverez ci-joint le déroulé de cette matinée.
     
    9h00 : Arrivée aux points de rendez-vous. Vous retrouverez les adresses des points de rendez vous par quartier via notre MP.
     
    9h00 à 9h30 : Un référent par quartier vous attendra au point de rendez-vous, afin de vous fournir des gants et des sacs poubelles. N'hésitez pas à venir avec votre gilet jaune pour plus de visibilité.
     
    9h30 à 11h30 : Une fois le matériel récupéré vous pourrez commencer à ramasser les déchets que vous trouverez. Chacun choisit son parcours, une seule règle : Quand votre sac poubelle est plein, ramener le au point de rendez-vous. Ils seront ensuite ramassés par les agents du service propreté et apportés au centre technique municipal où ils seront comptés.
     
    Quelques règles de ramassage :
    • Vous pourrez faire le tri ! En effet vous aurez à votre disposition deux types de sacs poubelles. Des jaunes, pour le tri (carton, papier, plastique, canette..) et des transparents pour les autres déchets (alimentaires et déchets souillés).
    • Si vous trouvez des emballages en verre non cassés, vous pourrez également les mettre dans les colonnes à verre à votre disposition dans votre quartier.
    • ATTENTION ! Tous les déchets dangereux ne doivent pas être ramassés avec la main (verre brisé, objets tranchants...). Une pince de ramassage sera mise à disposition pour les récolter.
    11h30 à 13h00 : C'est le moment de la collation. Rendez-vous tous sur le marché devant la pharmacie, place des découvertes, autour d'un verre de l'amitié pour échanger sur votre expérience et profiter des stands d'information sur le tri des déchets, avec la présence d'Est Ensemble et d'Unis Cité.
     
    Pour vous y rendre, pensez au covoiturage !
    • Êtes-vous intéressé(e) par le covoiturage ? oui ou non
    • Combien de places libres avez-vous dans votre voiture ? 1 ou 2 ou 3 ou 4 ou 5
    • Dans quel quartier participerez-vous à l'évènement ?
    • Quels sont vos coordonnées ?
    Je reste à votre disposition pour toutes informations complémentaires.
     
    Espérant vous voir nombreux à cette occasion, 
    Très cordialement,
     
    Caroline CORDESSE
    Chargée de mission Agenda 21 et Biodiversité
    Direction de l'Environnement et des Espaces Verts
    Ville de Noisy le Sec
    01 49 42 67 98 / 06 21 14 24 51
     
    --
    Faites bonne impression!
    N'imprimez ce message que si nécessaire.

    --

  • Parc naturel régional du Pilat : AURA Environnement reporte sa conférence de presse devant mairie Loire/Rhône !

    Romaura 128 2 jpg a

    Communiqué de presse :

    La conférence de presse prévue samedi 03/06/2017 à 10h à la mairie de Loire/Rhône dans le parc naturel régional du Pilat a été reportée à une date ultérieure puisque nous attendons l'autorisation du maire de la commune Guy MARTINET et de Jean-Luc GELAS, son adjoint en charge de l'environnement.

    Nous attendons la présence potentielle des représentants de l'Etat.

    Ils arriveront en péniche par le Rhône ou trouveront-ils un port d'attache sur un terrain de la commune de Loire-sur-Rhône qui est une des vitrines du Parc naturel régional du Pilat ?

    Les miltant-es du CDEP (Collectif de Défense de l'Environnement du Pilat) veillent au grain et ne manqueront de vous informer afin de vous donner RDV lorsque nous aurons la réponse du maire Guy MARTINET.

    En attendant, ils continuent leur découverte du Pilat à vélo et plus précisément dans la région de Condrieu sur les routes goudronnées et parfumées à certains résidus de l'incinération.

    Les boucles touristiques du Rhône continuent donc à vive allure !

    Les animaux sont en ETAT d'ALERTE à LOIRE-sur-RHONE dans le Parc naturel régional du Pilat !

    Après le feuilleton "Saint-Romain-en-Gal", le sketch "Loire-sur-Rhône" ?

    A suivre avec délectation

  • Le groupe Panzani s’engage à exclure les oeufs de batterie !

    Engagement Groupe Panzani

    Le Groupe Panzani est fortement engagé dans un programme responsable sur le bien-être animal consistant à développer l’élevage en plein air des poules avec l’objectif d’être à 100% d’oeufs hors cage d’ici 2025.

    Communiqué Lustucru Frais du 30 Mai 2017 à Lyon :

    Suite à un communiqué de l’association L214 sur les mauvaises conditions d’un élevage d’oeufs qui aurait fourni la société Lustucru Frais, celle-ci tient à apporter les précisions suivantes :

    - La société Lustucru Frais partage l’indignation des consommateurs face à ces images insoutenables
    - La société Geslin possède plusieurs élevages mais l’élevage incriminé n’a jamais fourni le moindre produit à la Société Lustucru Frais.

    - Cependant et par principe de précaution, la société Lustucru Frais a décidé:

       1. de réaliser immédiatement un Audit sur les conditions d’élevage de la société Geslin, audit qui sera confié à un cabinet indépendant, la société Véritas.
       2. de suspendre tout approvisionnement auprès des oeufs Geslin dans l’attente des résultats de l’Audit.


    La société Lustucru Frais

    http://www.mesopinions.com/message/oeufs-batterie/

  • AURA Environnement au tribunal administratif de Lyon CONTRE décharge NICOLLIN à Saint-Romain-en-Gal : la presse en parle

    AURA Environnnement n'a pas gagné son référé suspensif

    au tribunal administratif de Lyon

    (pas de vices de forme)

    pour empêcher la décharge NICOLLIN de continuer

    à rendre la vie insupportable aux populations locales de

    Saint-Romain-en-Gal dans le Rhône en face de Vienne !

    Nkvd 1 565

    L'affaire sera jugée au fond dans les prochaines semaines.

    Notre avocat Me Antoine RUFFIE du barreau de Libourne défend la cause des riverains et des populations locales in solidum avec AURA Environnement et le Collectif de Protection de l'Environnement du Pilat !

    mais GRANDE VICTOIRE POUR AURA Environnement

    Le tribunal administratif de Lyon a reconnu qu'AURA Environnement était apte à ester en justice, conformément à nos statuts. Ce que contestaient l'avocat de NICOLLIN !

    A suivre

  • Pétition : STOP projet Usine à déchets dangereux IndaChlor, HALTE espèces menacées à Dunkerque !

    STOP projet Usine à déchets dangereux IndaChlor

    HALTE espèces menacées à Dunkerque !

    Torda 2

    LIEN PETITION : http://www.mesopinions.com/petition/animaux/stop-projet-usine-dechets-dangereux-indachlor/30569

    Auteur : Marc-Claude de PORTEBANE, Président d’AURA Environnement, Porte-parole de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux et du Collectif de Préservation de l’Environnement de la Région de Dunkerque

    Créé le 29/05/2017  

    À l'attention : Mr le président de la République Emmanuel MACRON, Mr le ministre de l'écologie Nicolas HULOT, Mr le préfet du Nord-Pas-de-Calais, UD DREAL GRAVELINES

    UD - DREAL de Gravelines. A l'aztttention du service des ICPE

    NOUS, signataires de cette pétition, en soutien de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux, du Collectif de Préservation de l’Environnement de la Région de Dunkerque (CPERD), de l’association loi 1901 de protection de l’environnement et des animaux AURA Environnement, nous nous opposons au projet IndaChlor prévu à Dunkerque et nous demandons aux services de l’Etat et aux élu-es des Hauts-de-France de prendre en considération les conditions de protection des espèces animales menacées suivantes à Dunkerque (Source : Inventaire National du Patrimoine National) : le Pingouin torda : l’Anguille européenne ; la Bécassine des marais ; le canard plongeur, le Harle huppé ; le migrateur de l’hémisphère Nord, le Grèle jougris ; le Bruant des roseaux ; le Goéland cendré ; le Cachalot ; le Guillemot de Troil…. pour ne citer qu’eux !

     

    Suite à notre précédente demande de documents administratifs à l’UD Dreal de Gravelines, je vous demande une nouvelle fois TOUS les documents communicables à ce jour concernant la future enquête publique du projet IndaChlor qui consiste à construire un incinérateur, potentiellement localisé sur l’emprise du Port de Dunkerque, avec une capacité de 60 000 T de déchets dangereux essentiellement fortement chlorés en provenance d’Europe du Nord.

     

    Je vous ai fait cette demande au titre du droit à l’information en matière environnementale, notamment au regard de l’article L.124-1 du code de l’environnement. En effet, toute personne a droit d’accéder aux informations relatives à l’environnement dès lors que ce document est reconnu comme un document administratif relatif à l’environnement. Toute personne, sans avoir à démontrer un intérêt particulier, peut exercer pleinement ce droit d’accès en pleine application de l’article L.124-3 du code de l’environnement. La CADA (Commission d’accès aux documents administratifs) a estimé – à titre préliminaire - lors de sa séance du 16/09/2011 que l’article L.124-2 du code de l’environnement relevait du champs d’une demande de documents contenant des informations relatives à l’environnement et plus particulièrement, comme par exemple les déchets, les émissions….

     

    La commission a considéré que, si en vertu de l’article 2 de la loi du 17/07/1978, sont en principe exclus provisoirement du droit à communication les documents préparatoires à une décision administrative, jusqu’au jour où cette décision intervient, aucune disposition de ce chapitre ne prévoit, en revanche, la possibilité de refuser l’accès aux documents qui s’inscrivent dans un processus préparatoire à l’adoption d’un acte qui n’est pas encore intervenu, dès lors que ces documents sont eux-mêmes achevés et que la demande est formulée dans le cadre de la recherche d’informations relatives à l’environnement.

     

    Suite aux conclusions du Rapporteur général adjoint, Nicolas POLGE, Maître de requête au Conseil d’Etat, la CADA a donc émis un avis favorable à la communication d’un document achevé indiquant que sa communication ne pouvait, dès lors, être refusée au seul motif que la conclusion du marché n’était pas encore intervenue.

     

    Par ailleurs, dans un récent reportage du JT de 20h de TF1 en date du 23/05/2017 consacré à ce projet INDACHLOR porté par Steven COPPENS – directeur de projet de la société belge INDAVER -, qui « espère » débuter fin de cette année 2017 son prochain site de traitement de déchets industriels qui devrait se construire sur le port de Dunkerque, nous avons constaté avec effroi, que Yann PITOLLET, le directeur général de Nord France Investissement (agence publique financée par la Région Hauts-de-France qui n’a pas la main sur la fiscalité et les subventions) se vantait (22 :34) publiquement d’avoir un certain « pouvoir » sur les décisions de l’Etat que vous représentez, en déclarant à l’antenne – à une heure de très grande écoute et ce, devant des millions de spectateurs – « être capable d’obtenir des autorisations administratives dans un délai de 4 mois au lieu de 8 à 10 mois ». Puisque ce monsieur semble si sûr de lui et si les services de l’Etat semblent lui accorder une telle audience, j’en conclus que vous n’aurez aucun mal à me transmettre dans un délai extrêmement rapide l’ensemble du dossier INDACHLOR dont le DAE que je vous ai demandé milieu de ce mois.

     

    Nous aimerions connaître la position des services de l’Etat sur le souhait de la société belge INDAVER qui ne se cache pas dans un de ses dossiers de faire venir des déchets d’autres pays d’Europe du Nord à Dunkerque qui risque de devenir la « Poubelle de la France ».

     

    En effet, ces déchets – dont ne veulent pas nos voisins - en provenance d’Europe du Nord seront acheminés par milliers de camions générant tous les risques - que l’on connaît bien malheureusement sur notre territoire -  et qui augmenteront les émissions de gaz à effet de serre dans la région de Dunkerque, et plus particulièrement vers Loon Plage.

     

    Cette société est de droit néerlandais. Les services de l’Etat ne doivent-ils pas se poser la question de l’intérêt fiscal d’une telle localisation lorsque l’on connaît la la situation particulière de ce pays au regard de la taxation des bénéfices sur les sociétés ? Les populations de Dunkerque et de sa région n’osent imaginer que ce projet funeste puisse bénéficier de subventions directes ou indirectes du contribuable français, pour, ensuite, potentiellement rapatrier des bénéfices sur un autre territoire qui ne serait pas le nôtre !

     

    A la veille des élections législatives 2017, les populations locales et les riverains de Dunkerque – et in fine des Hauts de France - très attaché-es à leur territoire ne sont pas dupes et savent que l’un des sites exploités par le porteur de ce projet (qui se qualifie comme un « spécialiste de la gestion des déchets industriels ». Source : La Voix du Nord, 26/05/2016) a subi dernièrement une explosion majeure. Fort heureusement, cette explosion n’a pas eu lieu dans un site où les effets cumulatifs avec les autres industries mitoyennes auraient pu être extrêmement désastreux !

     

    Veut-on laisser un projet destructeur d’emplois locaux se créer sur notre territoire pour permettre l’élimination de déchets dangereux dont ne veulent pas nos voisins qui génèrera de nouveaux risques environnementaux, sanitaires et sociaux ? On ne saurait penser que, dans notre pays et surtout dans notre région des Hauts-de-France, les querelles entre territoires urbains sont susceptibles d’aller au-delà de l’intérêt national !

     

    Nous, AURA Environnement en soutien actif du Collectif de Préservation de l’Environnement de la Région de Dunkerque (CPERD), nous répondrons favorablement à l’appel des populations locales et des riverains de Loon Plage directement ou indirectement impacté-es par ce projet IndaChlor ; NOUS ferons en sorte d’informer massivement les populations afin que la République et les agents de l’Etat soient pleinement respectés par certaines agences publiques d’investissement qui font des déclarations intempestives et intolérables sur le fonctionnement de notre administration ; NOUS ferons savoir aux riverains et aux populations locales qu’IndaChlor ne servira absolument en rien la protection de l’environnement et des animaux ; NOUS demanderons leur avis aux populations locales sur IndaChlor qui mettra fortement en danger en fragilisant encore plus des structures économiques locales françaises et qui génèrera des risques majeurs tant au niveau du transport que du process lui-même afin d’éliminer au premier abord des déchets mais surtout pour créer des profits pour les autres pays européens !

     

    Si vous deviez persister dans votre vaine tentative de maintenir une illégale opacité sur vos travaux qui menacent d’impacter la vie quotidienne de dizaines de milliers d’habitants de la région de Dunkerque et de milliers d’animaux, notre association AURA Environnement saisira immédiatement la CADA pour faire valoir ses droits.
     
    Veuillez agréer, l’expression de notre haute considération et de notre totale détermination.

    Marc-Claude de PORTEBANE

    - Président de l’Association AURA Environnement

    - Porte-parole de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux

    https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/

    - Porte-parole du CPERD (Collectif de Préservation de l’Environnement de la Région de Dunkerque).