Articles de auraenvironnementparis
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Le camion d'AURA Environnement sauve un petit marcassin dans la région de Montélimar !
- Par auraenvironnementparis
- Le 23/09/2017
- Dans Aura Environnement
Les camions des activistes d'AURA Environnement,
de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux
et du CPERG (Collectif de protection de l'environnement
vers Roussas-Les Granges-Gontardes)
ont évité que la voiture suiveuse ne tue le petit
marcassin perdu dans la région de Montélimar !
Pour empêcher que la voiture qui nous suivait ne l'écrase, les militant-es d'AURA Environnement et du Collectif de Préservation vers l'Environnement vers Roussas-Les Granges-Gontardes (CPERG) ont sauvé d'une mort certaine ce tout petit marcassin qui devait chercher sa potentielle "feu" maman dans les joncs alentours !
Ce bébé sanglier, à l'abandon total, aurait été observé depuis plusieurs jours - selon plusieurs usagers de cette départementale - et semblait complètement désorienté, ne sachant pas où trouver gîte pour la nuit, et vie pour le jour.
Nous avons parlé au petit marcassin et lui avons dit : "soit tu dégages du bitume ; soit tu restes en vie, en suivant nos conseils et tu t'évapores dans la Drôme provençale". Il a écouté le flottement de la casquette à l'étoile rouge ! Ensuite, il a filé dans la nature encore verdoyante de cette si belle région de Montélimar qui ne respirera, désormais, plus les mêmes odeurs entre Roussas et la commune des Granges-Gontardes !
Nous aimerions savoir ce que le préfet de la Drôme va décider de son sort parce que plusieurs medias parisiens et provençaux sont extrêmement sensibilisés par son sort !
Puisque l'on ne nous dit rien sur le futur projet de décharge lors de l'actuelle enquête publique concernant la modification du PLU aux Granges-Gontardes, non loin dans la Drôme provençale, les militant-es du CPERG épaulé-es par AURA Environnement et de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux (plus de 50 000 Like sur Facebook), ont décidé de ne pas s'adresser à la DDPP 26 mais directement au ministère de l'Ecologie et à la très respectable ONCFS !
Il y a parfois des exceptions, où les écologistes voient si peu d'un très bon oeil la politique de l'ONCFS qui prend en compte certaines recommandations de Florence BURGAT, philosophe, directeur de recherche à l'INRA, détachée aux Archives Husserl de Paris et qui travaille sur la condition animale, notamment sur un angle phénoménologique !
MCDP
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Débat public de la CNDP #PortDunkerque Cap 2020 : tapis rouge @AURA Environnement via Collectif (CPERD) !
- Par auraenvironnementparis
- Le 19/09/2017
- Dans STOP projet Usine à déchets dangereux IndaChlor à Dunkerque
Parmi les 15 priorités retenues par la CNDP
(Commission nationale du débat public) figure la proposition du
Collectif de Préservation de l'Environnement de la Région de Dunkerque
affilié aux militant-es d'AURA Environnement :
Le projet Indachlor du belge INDAVER à Loon-Plage !
Réunie aujourd'hui à Dunkerque, la Commission nationale du débat public (CNDP), sous la houlette de son président Jacques ARCHIMBAUD, a réservé un excellent accueil à Marc-Claude de PORTEBANE, le président d'AURA Environnement et porte-parole du Collectif de Préservation de l'Environnement de la Région de Dunkerque qui n'a eu de cesse de marteler lors des 4 tables rondes, travaux de réflexion en groupe et des synthèses d'ateliers son opposition au projet d'incinérateur à Loon-Plage dans le port de Dunkerque que les belges de la société INDAVER veulent installer sur notre territoire des Hauts-de-France.
La 1ère salve du camarade de PORTEBANE est partie de la table ronde, qui, en prenant le micro a interpellé l'opinion publique et Magali DEBATTE, la représentante du préfet des Hauts-de-France (HDF) et secrétaire générale pour les affaires régionales HDF qui représentait Eric ETIENNE, le sous-préfet de Dunkerque. A noter aussi, la présence de Cédric GHESQUIERES, directeur général ville et environnement de la Communauté Urbaine de Dunkerque (CUD), d'Erwan LEBRIS, directeur aménagement et environnnement du GPMD (Grand Port Maritime de Dunkerque) et Nathalie DOMINIQUE, architecte-urbaniste à l'AGUR.
Le camarade de PORTEBANE n'a pas quitté le micro, également, aux 3 autres tables rondes :
- Table ronde n°3. "L'avenir de la filière conteneurs" avec Olivier RICHARD, international Transport Manager, société SRS, Antoine FREMONT, directeur scientifique-adjoint à l'IFSTTAR, Alain LEFEBVRE, directeur des Ports de Lille.
- Table ronde n° 4. "Le Port de Dunkerque et les connections multimodales" avec Charles BIZIEN, chef du service maître d'ouvrage de VNF, Benoît DUBUS, directeur du pôle clients et services SNCF Réseau et l'austère Christophe HUSSER, chef du service mobilité et infrastructures de la Dreal HDF.
- Table ronde n°5. "Dunkerque et les politiques portuaires en France et en Europe" avec Sönke MAATSCH de l'Institut d'économie maritime et de logistique de Brême, Stéphane RAISON, pdt du Directoire du GPMD et Paul TOURRET, directeur de l'Institut supérieur d'économie maritime.
L'antispéciste de PORTEBANE qui est soutenu par plus de 40 000 personnes au travers ses 2 pétitions opposées au projet Indachlor a été le SEUL opposant écologiste à dénoncer ce projet d'incinérateur soutenu à demi-mot, par les journalistes de La Voix du Nord qui n'ont de cesse d'affaiblir AURA Environnement au profit des partisans de l'impérialisme bourgeois étranger !
Le camarade de PORTEBANE a dénoncé, dans ce projet CAP 2020, les attaques incessantes qui verront le jour sur ce territoire pour grignoter avec gourmandise les réserves foncières (estimées à 50 % de 7 000 ha par l'urbaniste Nathalie DOMINIQUE), et ce, pour attiser les utopistes d'un projet délirant appelé "Hinterland" (arrière pays où s'étend son influence) et qui veulent un nouveau bassin au port Ouest de Dunkerque-Port, réaliser 2 000 m de quais et de terre-pleins supplémenatires, 350 ha de zones logistiques complémentaires aménagées à proximité du bassin, permettant l'installation de 170 ha d'entrepôts. Pas moins !
Le projet CAP 2020 consistera à prolonger de 2 km le quai de Flandre au port de ouest de Dunkerque. La 1ère phase de ce chantier de 29 millionns de m3 de matériaux à évacuer devrait commencer fin 2022, début 2023 et durer 3 ans. La 2° phase pourrait commencer, elle, de 2030 à 2035.
Coût annoncé : 689 millions dont 405 millions d'argent public.
LA LOI LITTORAL ABSENTE DU DEBAT !!!!
La solution retenue "Atlantique" aura une emprise de 1 000 ha. Il devrait se situer dans la ligne des investissements déjà déployés par Dunkerque-Port pour la filière du conteneur.
L'autre variante toute aussi mégalomaniaque baptisée "Baltique", (emprise de 1 300 ha), sera plus chère de 140 millions et aura plus d'impacts négatifs sur la biodiversité et l'agriculture, comme l'ont dénoncé AURA Environnement et la SAFER.
"Baltique" sera localisée à l'est de l'actuelle zone logistique, à travers l'aménagement d'un nouveau chenal (entre l'avant-port Ouest et le canal des Dunes), ainsi que d'un nouveau bassin entre le terminal ferry et les installations pétrochimiques actuelles.
HYPOCRISIES : AUCUN DEBAT PUBLIC n'a eu lieu AVANT L'ENQUETE PUBLIQUE concernant le projet d'incinération indachlor à Loon-Plage alors que la CNDP (Commission nationale de débat public) n'a eu de cesse de nous parler hier de "préservation du cadre de vie", de "concertations réglementaires", de "débats publics avant les enquêtes publiques" !!!
Les organisateurs du GPMD ont tenu à inviter les écolos d'AURA Environnement - qui ne se mélangent pas avec les très microscopiques locaux et ceux de la FNE qui bouffent dans la gamelle de l'Etat bourgeois pour subvenir à leurs besoins et surtout taire les craintes des populations locales opposées à des projets lunaires comme celui du belge Indaver qui n'a pu, dans son usine d'Anvers, éviter non pas une petite explosion mais une mega détonation filmée par un pèreb de famille, en circulant sur une autoroute. La preuve ? La voici : https://www.youtube.com/watch?v=lIZwyuXQisw . Et vous ne la verrez pas dans la Voix du Nord qui n'en souffle mot, parce que cela fait désordre d'affaiblir l'exploitant belge et de renforcer AURA Environnement qui est la SEULE voix opposante environnementale soutenue par les populations locales, n'en déplaise au maire de Loon-Plage qui ne sait même pas que plus de 30 commerçants de sa commune tiennent la pétitition - version papier - à disposition de leur client-es !
Le maire de Loon-Plage préfère s'exprimer sur le dossier Indachlor dans sa propre commune CONTRE les défenseurs de l'environnement et non pas CONTRE le projet Indachlor, une usine SEVESO de plus, sur les 15 existantes, et qui ne créera qu'une petite vingtaine d'emplois dont on ne sait s'ils seront français, détachés-belges, franco-belges ou belgo-français !!!!
Ce seront les même employés qui n'ont pu empêcher cette terrible explosion d'Indaver à Anvers... qui indisposerait désormais - grâce à la mobilisation d'AURA Environnement et du Collectif de Préservation de l'Environnement vers la Région de Dunkerque (CPERD) - fortement les services de l'Etat des Hauts-de-France, voire même jusqu'au préfet de Région des Hauts-de-France qui ne voudrait même plus la responsabilité de signer l'arrêté préfectoral d'un tel remake d'un mauvais scénario qui a presque viré à la catastrophe..... sur le sol propre d'Hinterland !!!
Et si nous décidions d'organiser une manif' dans les rues de Loon-Plage avec les altermondialistes aidés par les défenseurs de la cause Vegan et animale ?
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Les vents mauvais de la future extension décharge COVED/PAPREC @Roussas au PLU des Granges-Gontardes !
- Par auraenvironnementparis
- Le 14/09/2017
- Dans Stop extension décharge COVED/PAPREC de Roussas aux Granges-Gontardes
Modification et enquête publique PLU aux Granges-Gontardes
Extension de la décharge COVED/PAPREC de Roussas
sur le terrain actuel du Motocross (Zones UI et USL) :
à la demande des populations locales et des vignerons ulcérés
AURA Environnement lance l'opération "Raisins de la colère rouge" !
Alors que toutes les assurances avaient été données aux populations locales par leurs élu-es, COVED-PAPREC a déposé sa demande d'extension de sa méga décharge, non plus sur la commune de Roussas dans la Drôme mais cette fois, sur la commune voisine des Granges-Gontardes où les raisons de la colère explosent !
Alerté par les populations locales du Collectif de protection de l'environnement vers Roussas-Granges-Gontardes (CPERG), le comité central d'AURA Environnement a décidé de leur prêter assistance et vous donne l'info en prime time : la DAEU (demande d'autorisation environnementale unique) a été déposée à la préfecture de la Drôme le 31/08/2017.
Nom de code du projet d'extension du CET (centre d'enfouissement technique) de COVED/PAPREC : LCJ 3.
Présentation CONFIDENTIELLE en mairie des Granges-Gontardes le 03/04/2017 et aux élu-es de Roussas, le 29/06/2017.
L'emprise du nouveau projet sera de 13,6 ha dont 8 ha pour le stockage de pas moins d' 1 300 000 T sur une durée de 18 ans.
Les apports annuels seront de 75 000 T, (100 000 T maxi), soit légèrement - selon COVED-PAPREC - en dessous des apports actuels.
LEGEREMENT !!!!
L'enfouissement commencerait au bord de la D 133 derrière un merlon de terre pour s'étaler vers le moulon (petit monticule rocheux). Les pentes côté Ouest seraient en espalier et camouflées par des plantations de végétaux dont on sait parfaitement qu'il faudra plusieurs années pour obtenir une végétation dense.
Les casiers devraient fonctionner en mode bioréacteur pendant 24 mois.
Les déchets seraient de type ménagers et assimilés en provenance de Drôme-Ardèche, avec au moins 80 % d'apports en provenance de ces 2 départements.
Aucune mise en balle de ces poubelles ne sera prévue !!!
Les bassins de recueil des lixiviats seraient placés au bord de la RD 133.
La maîtrise totale des envols de plastiques lors des vents violents type Mistral ou vents dominants ainsi que des odeurs pestilentielles prendrait au minimum 3 ans.
Les déchets proviendraient à 75 % des départements de Drôme/Ardèche ( à hauteur d'un rayon de 50 km) et les 25 % restants des départements limitrophes à plus de 50 km (Départements 04, 05, 13, 34, de la ville de Bagnols, de Lyon et de Bollène).
Ca va donc ratisser large pour inonder les terres des Granges-Gontardes qui peuvent dire adieu à l'image de marque de leur pinard, de leurs champs de lavande et de leur économie locale. Sympa pour les habitant-es et les vignerons des Granges-Gontardes et des environs qui récolteront toutes les odeurs infernales.
CHUT Camarades !!!
Le maire des Granges-Gontardes - Michel APROYAN - préfère les poubelles aux raisins de ces si belles terres de cette Drôme provençale qui font la notoriété de toute la région AURA (Auvergne-Rhône-Alpes).
Les Granges-Gontardes sont situées à 8 km de Pierrelatte. Les communes les plus proches sont La Garde-Adhémar, Roussas, Valaurie.... Jusqu'en mars 2015, la commune dépendait du canton de Pierrelatte. À la suite du redécoupage cantonal de 2014, elle est rattachée au canton de Grignan.
Les employé-es et vignerons de l'AOC Grignan-les-Adhémar ont décidé de ne pas rester les bras croisés et de rejoindre massivement AURA Environnement.
Sauvons nos animaux et nos terroirs !
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Tempête Harvey à CrosbyTexas, 1 explosion dans usine chimique : AVERTISSEMENT projet INDACHLOR Loon-plage-Dunkerque !
- Par auraenvironnementparis
- Le 02/09/2017
- Dans STOP projet Usine à déchets dangereux IndaChlor à Dunkerque
Et si une telle catastrophe à Loon-Plage
se produisait en France vers Dunkerque
vers la distillerie Ryssen alcools
avec le projet Indachlor
du belge Indaver que seule l'assoc'
AURA Environnement combat ?
Signez la 2° pétition d'AURA Environnement : https://www.mesopinions.com/petition/animaux/stop-projet-indachlor-dunkerque-halte-aux/32716
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Au Texas, une explosion
dans une usine chimique
s’ajoute au fléau des inondations
Par LIBERATION, avec AFP — (mis à jour à )
Des véhicules de police et de pompiers attendent à un barrage routier après une explosion dans une usine chimique touchée par la tempête Harvey à Crosby, le 31 août 2017 au Texas Photo Brendan Smialowski. AFP
Gérée par l'entreprise Arkema, l'usine dégage une fumée noire considérée comme «extrêmement dangereuse». D'autres déflagrations sont attendues.
- Au Texas, une explosion dans une usine chimique s’ajoute au fléau des inondations
Une menace chimique plane maintenant sur les sinistrés américains de la tempête Harvey, après des explosions accidentelles dans une usine texane qui ont libéré d'épaisse fumées noires. Et de nouveaux incendies sont à redouter dans ce site industriel, opéré par le groupe français Arkema, a mis en garde Richard Rennard, un responsable de la société.
L’usine présentait un risque depuis plusieurs jours, ce qui avait entraîné la mise en place d’un périmètre d’évacuation de trois kilomètres. L’accident s’est finalement produit jeudi avant 2 heures du matin, dans l’usine située près du bourg de Crosby, au nord-est de la métropole de Houston.
Les services de secours ont d’abord signalé deux explosions et des fumées dont la dangerosité exacte n'est pas encore clairement établie. «Nous basons bon nombre de nos évacuations sur ce qu’on appelle une modélisation du panache et, par conséquent, oui, ce panache est extrêmement dangereux», a estimé Brock Long, directeur de l’Agence fédérale des situations d’urgence (FEMA), dans une conférence de presse.
Devant la presse, Richard Rennard a expliqué que la fumée est «nocive, certainement nocive» et «irritante», sans répondre positivement à la question de journalistes qui demandaient si elle était «toxique» car «la toxicité est une chose relative» (vidéo de CNN en anglais).
Le bureau du shérif du comté de Harris a annoncé qu’un de ses gradés avait été transporté à l’hôpital après avoir inhalé ces particules en suspension, tandis que neuf autres agents avaient également consulté un médecin «par précaution».
Lors d’un point presse au petit matin, le shérif Ed Gonzalez s’est voulu plus rassurant, parlant d’une «série de réactions chimiques» plutôt que d’explosions massives.
Inondée et privée d’électricité donc de capacité de réfrigération de ses matériaux hautement inflammables, l’usine d’Arkema fabrique des peroxydes organiques, un composé entrant dans la fabrication de plastiques et de produits pharmaceutiques.
Ce risque localisé est venu compliquer la tâche dantesque des secouristes, confrontés au défi de venir à l’aide de milliers d’habitants encore isolés dans des habitations inondées, non seulement au Texas mais aussi en Louisiane, l’Etat voisin désormais frappé par Harvey. Ces opérations de secours, engagées depuis vendredi dernier, resteront dans une phase critique durant encore plusieurs jours, même si le niveau des eaux a commencé à décroître autour de Houston.
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Juin 2017 : les douanes du Havre ont saisi 150 T déchets illégaux pour #Malaisie avec faux document.
- Par auraenvironnementparis
- Le 29/08/2017
Les déchets rapportent aux impérialistes
et coûtent cher aux masses populaires !
La Douane Française a participé, en juin dernier, à une vaste opération internationale de contrôle sur les transferts transfrontaliers de déchets.
Une opération fructueuse qui a permis aux douaniers français de réaliser 16 constatations d’envergure et d'intercepter 332 tonnes de déchets.
Un trafic illégal
Ces constatations ont majoritairement porté sur des conteneurs de pièces détachées automobiles usagées, de déchets de plastique, de déchets d’équipements électriques et électroniques de pneumatiques usagés. Ils partaient illégalement vers l’Afrique (Sénégal, Mauritanie, Togo, Côte d’Ivoire, Madagascar, etc), Hong-Kong, la Malaisie et le Brésil.
Une saisie record au Havre
Les douaniers du Havre ont saisi 150 tonnes de déchets de plastique exportés vers la Malaisie sous couvert d’un document inapplicable.
L’analyse du Service commun des laboratoires douane et de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) a mis en évidence la présence de déchets électriques et électroniques mélangés aux déchets plastiques, dont l’exportation est interdite à destination de ce pays.(Source : FR3)
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Université d'été Europe Ecologie-Les Verts à Dunkerque : la pétition d'AURA Environnement contre projet Indachlor cartonne !
- Par auraenvironnementparis
- Le 25/08/2017
- Dans Pétition : STOP projet Usine à déchets dangereux IndaChlor, HALTE espèces menacées à Dunkerque !
Le candidat à la présidentielle Benoit HAMON, le maire de Grenoble Eric PIOLLE
la députée européenne Michèle RIVASI, la députée européenne PCF Marie-Pierre VIEU
le secrétaire national d'EELV David CORMAND et les militant-es
soutiennent la pétition d'AURA Environnement contre Indachlor !
Dans une interview accordée à France Culture, Marc-Claude de PORTEBANE a indiqué que les prochains mois verront les militant-es écologistes et anti-spécistes se mobiliser vers Loon-Plage et la région de Dunkerque afin de s'opposer au projet INDACHLOR porté par la société belge INDAVER.
Michèle RIVASI
David CORMAND
Marie-Pierre VIEU
Eric PIOLLE, Valérie CABANES porte-parole d'End Ecocide on Earth
le député LREM du Maine-et-Loire Mathieu ORPHELIN
que l'on voit ici en train de ranger la verte pétition d'AURA....
...connaissent toutes et tous le projet d'usine Seveso INDACHLOR à Loon-Plage et la 2° pétition d'AURA Environnement toute fraîche : https://www.mesopinions.com/petition/animaux/stop-projet-indachlor-dunkerque-halte-aux/32716 à J- 12 de l'ouverture de l'enquête publique qui décidera du sort de ce funeste projet.
La SEULE mobilisation militante portée par AURA Environnement continue maintenant avec le soutien de plusieurs adhérents d'EELV qui viennent grossir les rangs des militant-es écolos-marxistes AURAnistes.
Avec le Collectif de Préservation de l'Environnement de la Région de Dunkerque (CPERD) sauvons la Planète !
Avec les antispécistes de Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux, SAUVONS les chevaux à Loon-Plage https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/!
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PETITION. Stop au projet INDACHLOR #Dunkerque : Halte aux salades Dreal Hauts-de-France. SAUVONS les chevaux de Loon-Plage des dioxines !
- Par auraenvironnementparis
- Le 24/08/2017
- Dans STOP Projet IndaChlor à Loon-Plage vers Dunkerque !
LIEN DE LA PETITION : https://www.mesopinions.com/petition/animaux/stop-projet-indachlor-dunkerque-halte-aux/32716
Auteur : Marc-Claude de Portebane, Président d’AURA Environnement, Porte-parole de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux et du Collectif de Préservation de l’Environnement de la Région de Dunkerque
Créé le 22/08/2017
À l'attention : de Monsieur Emmanuel MACRON, M. le roi des Belges, M. le Ministre de l'écologie Nicolas Hulot, M. le préfet du Nord-Pas-de-Calais, UT Hauts-de-France
La Dreal Hauts-de-France ne tient pas à ce qu'AURA Environnement soit informé des concentrations de métaux lourds chez les animaux (boeuf, volaille, lait de vache, oeufs) mais aussi dans légumes/fruits/Céréales/tubercules dans les différents compartiments de l'environnement après 30 ans !!!!
Vous ne l'apprendrez pas dans la Voix du Nord ni dans le Phare Dunkerquois parce que les services de l'Etat des Hauts-de-France ne tiennent pas à dire TOUTE la vérité aux populations locales qui doivent se méfier des associations environnementales locales qui ne savent également rien parce qu'elles ne veulent rien entendre, autre chose que le sonnant et le trébuchant à l'image de certaines des Hauts-de-France qui flirtent avec la Dreal ou le groupe Séché, séchons les cours des poubelles de France et de Navarre !
Nous comprenons mieux pourquoi Marc MORTUREUX, le directeur général de la prévention des risques au Ministère de la transition écologique et solidaire a certainement "court-circuité" le ministre Nicolas HULOT en nous répondant directement à la place du Nicolas de Saint-Lunaire (qui ça se trouve n'est peut-être même pas au jus du dossier INDACHLOR), en nous disant que si certains documents du DDAE ne pouvaient être communiqués au public, c'était parce que "...cette information ne doit cependant pas nuire à la sûreté des sites en facilitant la commission d'actes de malveillance..." ! Pas moins, Oups !!
Certes, nous comprenons qu'il y ait des documents qui ne peuvent être communiqués au nom de la sécurité de l'Etat (surtout à cette époque d'attentats), mais aussi parce qu'on ne cesse de nous traiter d'ignorant-es, de con-nes ou de parias et que dans cette société de cons, on ne s'adresse pas aux connes et aux cons du peuple de base qui ont, pourtant, faim et soif d'informations sur ce projet Indachlor porté à bout-de-bras par la société belge INDACHLOR SASU que ne cesse de dénoncer, depuis le début, AURA Environnement alors que les assoc' de défense de l'environnement locales ni voient que dalle à l'image du croupion Adelfa ou de la FNE 59 qui, elle, est en partenariat avec la Dreal... des Hauts-de-France !!! MDR !
Vous les connes et les cons de France, vous devez savoir absolument ce qui s'est passé chez Indaver à Anvers, lorsque cette énorme explosion s'est produite aux abords d'une autoroute en direction de Rotterdam et de Bergen-op-Zoom et intitulée : "Explosion Indaver Antwerpen" (Explosion Indaver Anvers). La vidéo a été filmée par un père de famille qui circulait sur l'A12. Vous ne pourrez pas dire que AURA Environnement ne vous aura pas informé-es, en cas de pépin, chez nous, sur le sol de France et plus particulièrement dans la région du port de Dunkerque : https://www.youtube.com/watch?v=lIZwyuXQisw
En quoi donc les propriétaires d'animaux et les populations locales de Dunkerque et de Loon-Plage n'auraient-elles pas le droit d'être CORRECTEMENT informé-es sur les teneurs en cadmnium, mercure, antimoine, arsenic, plomb, chrome III, chrome VI, cobalt, cuivre, manganèse, nickel, vanadium ou plus dangereux comme les dioxines ?
En quoi est-ce potentiellement "malveillant" de dire la VERITE aux populations locales ?
Nous avons toujours prévenu ! Toute potentielle maltraitance actuelle ou post-extérieure sur les animaux verra la mobilisation immédiate d'AURA Environnement et de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux à Loon-Plage et dans la région de Dunkerque ! Il est hors de question de faire bouffer de l'herbe au cadmium ou aux dioxines aux chevaux qui broutent sur les terrains situés juste en face du projet INDACHLOR à Loon-plage ! Nous demanderons à la Fondation Brigitte Bardot ou à 30 Millions d'amis..... de nous épauler lorsque nous nous porterons partie civile !
En quoi est-ce potentiellement "malveillant" de dire que 50 % de la part auto-produite de produits alimentaires dans la consommation humaine sera susceptible d'être directement impactée par les activités d'INDACHLOR, comme les légumes-feuilles, à 55 % pour les légumes/fruits, à 45 % par les légumes-racines, à à 75 % par la viande volaille, à 60 % par le sujet à la "mauvaise-mode" en ce moment comme les oeufs, etc.... (Source : document SECRET d'INDACHLOR : exposition de la population par ingestion de denrées alimentaires en fonction des habitudes alimentaires. Données prise en compte dans MODUL'ERS).
Dans le document que l'on nous cache, (A voir sur le site internet d'AURA Environnement), parmi les pires scénarios retenus en cas d'exposition par inhalation, "Le plus majorant" a été retenu : "100 % du temps passé au point où les concentrations sont maximales à l'extérieur des limites du site". Commentaire secret de l'exploitant INDACHLOR SASU : "Scénario "pire-cas- ou conservatoire décrivant les individus (peu nombreux) les plus exposés" ! http://www.aura-environnement.com/blog/stop-projet-usine-a-dechets-dangereux-indachlor-a-dunkerque/projet-indachlor-dunkerque-les-salades-dreal-hauts-de-france-a-populations-locales-et-animaux-nico-hulot-au-parfum.html
Ah bon ? Il va y avoir des individus "peu nombreux" qui seront "exposés" aux métaux lourds ? Intéressant !
On attend avec gourmandise les précisions du préfet de la Région des Hauts-de-France, du préfet du Département du Nord, de la Direction de la coordination des politiques interministérielles, du Bureau des installations classées pour la protection de l'Environnement (ICPE) car la prochaine enquête publique va démarrer le 06/09/2017 pour se terminer sous les lambris et les dorures des mairies de Loon-Plage, (commune d'implantation) et dans les villes de Craywick, Dunkerque, Grande-Synthe et Mardyck le 18/10/2017. Commissaire enquêteur : Peggy CARTON.
Avec les applaudissements du correspondant de La Voix du Nord qui n'a pas pris la peine de consulter le comité central d'AURA Environnement (Source : La voix du Nord du 02/07/2017 http://www.lavoixdunord.fr/186048/article/2017-07-02/une-petition-contre-un-nouvel-incinerateur-fait-debat ) ?
Comme c'est bizarre, l'article de La Voix du Nord est paru le 03/07/2017, l'avis de l'inspection des installations classées le 10/07/2017, l'avis de l'autorité environnementale a lui été signé le 24/07/2017 et POUR TERMINER, l'arrêté d'enquête publique unique signé le 09/08/2017 (demandes présentées par la société INDACHLOR en vue d'obtenir l'autorisation d'exploiter une unité de valorisation de déchets dangereux chlorés et l'instauration de servitudes d'utilité publique à LOON-PLAGE) !
Pas de vacances pour nos camarades-petits-fonctionnaires du peuple de base à qui nous tirons notre chapeau ! Bravo les gars ! Bien joué ! Bonjour les décisions importantes signées fissa par les services de l'Etat pendant les grandes vacances !
Unissons-nous pour que le projet INDACHLOR quitte définitivement le territoire français ! Gardez-vos thunes, nous garderons nos paquets de subventions que le contribuable français s'apprête à vous filer !
Les économies sur les APL des citoyennes et des citoyens des Hauts-de-France ne partiront certainement pas dans les poches impérialistes des actionnaires du belge INDAVER qui n'a même pas été capable d'éviter la monstrueuse explosion à Anvers !
Dunkerque-Loon-Plage ne sera pas la poubelle de la France !
Sauvons nos CHEVAUX ! Protégeons nos populations locales des gourmands de l'actionnariat belge qui risque de détruire nos emplois locaux existants dans le domaine de la chimie ! Sauvegardons notre patrimoine floristique !
Camarades insoumis au projet INDACHLOR, Mobilisez-vous pour les chevaux de Loon-Plage et les populations locales, les riverains, nos traditions !
Marc-Claude de PORTEBANE
Président d'AURA Environnement
Porte-parole du Collectif de Préservation de l'Environnement de la Région de Dunkerque (CPERD) -
PROJET INDACHLOR #Dunkerque : les SALADES Dreal Hauts-de-France à populations locales et animaux ! Nico @Hulot au parfum !
- Par auraenvironnementparis
- Le 22/08/2017
- Dans STOP projet Usine à déchets dangereux IndaChlor à Dunkerque
La Dreal Hauts-de-France ne tient pas à ce qu'AURA Environnement
soit informé des concentrations de métaux lourds chez
les animaux (boeuf, volaille, lait de vache, oeufs)
mais aussi dans légumes/fruits/Céréales/tubercules
dans les x compartiments de l'environnement après 30 ans !!!!
Vous ne l'apprendrez pas dans les journaux "La Voix du Nord" ni dans son hedomadaire "Le Phare Dunkerquois" parce que les services de l'Etat des Hauts-de-France ne tiennent pas à dire TOUTE la vérité aux populations locales qui doivent se méfier des associations environnementales locales qui ne savent également rien parce qu'elles ne veulent rien entendre, autre chose que le sonnant et le trébuchant à l'image de certaines des Hauts-de-France qui flirtent avec la Dreal ou le groupe des poubelles Séché, séchons les cours des poubelles de France et de Navarre !
Nous comprenons mieux pourquoi Marc MORTUREUX, le directeur général de la prévention des risques au Ministère de la transition écologique et solidaire a "court-circuité" le ministre Nicolas HULOT en nous répondant directement à la place du Nicolas de Saint-Lunaire (qui ça se trouve n'est peut-être même pas au jus d'INDACHLOR), en nous disant que si certains documents du DDAE ne pouvaient être communiqués au public, c'était parce que "...cette information ne doit cependant pas nuire à la sûreté des sites en facilitant la commission d'actes de malveillance..." ! Pas moins, Oups !!
Certes, nous comprenons, qu'il y ait des documents qui ne peuvent être communiqués au nom de la sécurité de l'Etat (surtout à cette époque d'attentats), mais aussi parce qu'on ne cesse de nous traiter d'ignorant-es, de con-nes ou de parias et que dans cette société de cons, on ne s'adresse pas aux connes et aux cons du peuple de base qui ont, pourtant, faim et soif d'informations sur ce projet Indachlor porté à bout-de-bras par la société belge INDACHLOR SASU que ne cesse de dénoncer, depuis le début, AURA Environnement alors que les assoc' de défense de l'environnement locales ni voient que dalle !
Vous les connes et les cons de France, vous devez savoir absolument ce qui s'est passé chez Indaver à Anvers, lorsque cette énorme explosion s'est produite aux abords d'une autoroute en direction de Rotterdam et de Bergen-op-Zoom et intitulée : "Explosion Indaver Antwerpen" (Explosion Indaver Anvers). La vidéo a été filmée par un père de famille qui circulait sur l'A12 belge. Vous ne pourrez pas dire qu'AURA Environnement ne vous aura pas informé-es, en cas de pépin, chez nous, sur le sol de France et plus particulièrement dans la région du port de Dunkerque : https://www.youtube.com/watch?v=lIZwyuXQisw
En quoi donc les propriétaires d'animaux et les populations locales de Dunkerque et de Loon-Plage n'auraient-elles pas le droit d'être CORRECTEMENT informé-es sur les teneurs en cadmnium, mercure, antimoine, arsenic, plomb, chrome III, chrome VI, cobalt, cuivre, manganèse, nickel, vanadium ou plus dangereux comme les dioxines ?
En quoi est-ce potentiellement "malveillant" de dire la VERITE aux populations locales ?
Nous avons toujours prévenu ! Toute potentielle maltraitance actuelle ou post-extérieure sur les animaux verra la mobilisation immédiate d'AURA Environnement et de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux à Loon-Plage et dans la région de Dunkerque ! Il est hors de question de faire bouffer de l'herbe au cadmnium ou aux dioxines aux chevaux qui broutent sur les terrains situés juste en face du projet INDACHLOR à Loon-plage ! Nous demanderons à la Fondation Brigitte Bardot ou à 30 Millions d'amis, voire L214 de nous épauler lorsque nous nous porterons partie civile !
En quoi est-ce potentiellement "malveillant" de dire que 50 % de la part auto-produite de produits alimentaires dans la consommation humaine sera susceptible d'être directement impactée par les activités d'INDACHLOR, comme les légumes-feuilles, à 55 % pour les légumes/fruits, à 45 % par les légumes-racines, à à 75 % par la viande volaille, à 60 % par le sujet à la "mauvaise-mode" en ce moment comme les oeufs, etc.... (Source : document SECRET d'INDACHLOR : exposition de la population par ingestion de denrées alimentaires en fonction des habitudes alimentaires. Données prise en compte dans MODUL'ERS).
Des preuves pour la presse locale à qui on ne souffle mot ? Les voilà :
Dans le document que l'on nous cache, parmi les pires scénarios retenus en cas d'exposition par inhalation, "Le plus majorant" a été retenu : "100 % du temps passé au point où les concentrations sont maximales à l'extérieur des limites du site". Commentaire secret de l'exploitant INDACHLOR SASU : "Scénario "pire-cas- ou conservatoire décrivant les individus (peu nombreux) les plus exposés" !
Ah bon ? Il va y avoir des individus "peu nombreux" qui seront "exposés" aux métaux lourds ? Intéressant !
On attend avec gourmandise les précisions du préfet de la Région des Hauts-de-France, du préfet du Département du Nord, de la Direction de la coordination des politiques interministérielles, du Bureau des installations classées pour la protection de l'Environnement (ICPE) car la prochaine enquête publique va démarrer le 06/09/2017 pour se terminer sous les lambris et les dorures des mairies de Loon-Plage, (commune d'implantation) et dans les villes de Craywick, Dunkerque, Grande-Synthe et Mardyck le 18/10/2017. Commissaire enquêteur : Peggy CARTON.
Avec les applaudissements du correspondant de La Voix du Nord qui n'a pas pris la peine de consulter le comité central d'AURA Environnement (Source : La voix du Nord du 02/07/2017 http://www.lavoixdunord.fr/186048/article/2017-07-02/une-petition-contre-un-nouvel-incinerateur-fait-debat ) ?
TKT, le "Vieux" loup d'AURA Environnement veille au grain. Chez nous, il y a les visibles et les invisibles : la vieille garde "écolo" et les "marxistes" (Lénine et la pratique scientifique) qui ne relâcheront JAMAIS.
Comme c'est bizarre, l'article de La Voix du Nord est paru le 03/07/2017, l'avis de l'inspection des installations classées le 10/07/2017, l'avis de l'autorité environnementale a lui été signé le 24/07/2017 et POUR TERMINER, l'arrêté d'enquête publique unique signé le 09/08/2017 (demandes présentées par la société INDACHLOR en vue d'obtenir l'autorisation d'exploiter une unité de valorisation de déchets dangereux chlorés et l'instauration de servitudes d'utilité publique à LOON-PLAGE) !
Pas de vacances pour nos camarades-petits-fonctionnaires du peuple de base à qui nous tiront notre chapeau ! Bravo les gars ! Bien joué !
Bonjour les décisions importantes signées fissa par les services de l'Etat pendant les grandes vacances !
Unissons-nous pour que le projet INDACHLOR quitte définitivement le territoire français !
Gardez-vos thunes, nous garderons nos paquets de subventions que le contribuable français s'appprête à vous filer !
Les économies sur les APL des citoyennes et des citoyens des Hauts-de-France ne partiront certainement pas dans les poches impérialistes des actionnaires du belge INDAVER qui n'a même pas été capable d'éviter cette monstrueuse explosion à Anvers !
Dunkerque-Loon-Plage ne sera pas la poubelle de la France !
Après le succès de notre première pétition relayée largement par les medias ..... https://www.mesopinions.com/petition/animaux/contre-projet-usine-dechets-dangereux-indachlor/30569 (23 570 signatures).....
....Une nouvelle pétition vient de naître : https://www.mesopinions.com/petition/animaux/stop-projet-indachlor-dunkerque-halte-aux/32716
Sauvons nos animaux ! Protégeons nos populations locales des appetits gourmands de l'actionnariat qui risque de détruire nos emplois locaux existants dans le domaine de la chimie ! Sauvegardons notre patrimoine floristique !
Camarades insoumis au projet INDACHLOR, Mobilisez-vous !
Marc-Claude de PORTEBANE
Président d'AURA Environnement
Porte-parole du Collectif de Préservation de l'Environnement de la Région de Dunkerque (CPERD)
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Avant CODERST septembre prolongation décharge LELY Saint-Quentin-sur-Isère : AURA Environnement mobilise les Pro-Animaux !
- Par auraenvironnementparis
- Le 13/07/2017
- Dans Collectif Stop Décharge Saint-Quentin-sur-Isère
Avant que le CODERST ne se réunisse le 21 septembre 2017
pour examiner fissa la prolongation de la décharge
Lély à Saint-Quentin-sur-Isère :
AURA Environnement prend la défense des animaux !
Lors de la CSS "sortie du chapeau" pour la 1ère fois depuis 2013, AURA Environnement qui était invité en préfecture de l'Isère en soutien des populations locales du collectif SD-SQI (Stop-Décharge Saint-Quentin-sur-Isère) a appris par le secrétaire-général de la préfecture de l'Isère la date du prochain CODERSt qui se réunira le 21/09/2017 pour donner son avis sur le projet d'extension de la décharge Lély avant que le préfet de l'Isère ne signe l'arrêté préfectoral d'autorisation d'exploiter pour au moins 20 ans........ alors que les riverains qui ont "avalé les couleuvres" de leurs élu-es pendant de nombreuses années pensaient naïvement que cette décharge allait fermer définitivement en 2017.
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Décharge COVED à Vic-de-Chassenay (21) : AURA Environnement en soutien aux camarades-citoyens veille au grain avec l'ASPA et le maire !
- Par auraenvironnementparis
- Le 13/07/2017
- Dans HALTE décharge COVED à Vic-de-Chassenay
Depuis fin 2016, AURA Environnement a apporté
discrètement son soutien anarcho-marxiste
aux populations locales défendues aussi par
l'ASPA et les élu-es de Vic-de-Chassenay
CONTRE la décharge COVED-PAPREC !
Depuis la fin 2016, sur la demande quelques habitant-es, la présence de nos camarades d'AURA Environnement a été la plus discrète possible dans les environs de la petite commune de Vic-de-Chassenay (Côte d'Or).
Le 23/12/2016, par courrier, nous informions le maire François-Marie DEFFONTAINES et le président de l'association ASPA, Richard RACINE, de notre volonté de ne pas vouloir affaiblir les luttes locales mais d'être prêts sur le terrain militant.
Nous invitions le maire et les militant-es de l'ASPA de ne pas croire aux balivernes d'une potentielle fermeture du site le 03 janvier 2018 et d'être vigilant-es, TOUT en faisant confiance, tout de même, à l'arrêté préfectoral du 08/12/2015 signé par la préfète Marie-Hélène VALENTE, accordant la mutation d'exploitation d'une ISDND sur le territoire des communes de Vic-de-Chassenay (21140) et de Millery (21140) au lieu-dit "La Terre au Seigneur" sur une surface de 21,5 ha - dont 9,6 pour l'ISDND -, au profit de la SAS COVED (Collectes Valorisation Energie Déchets), dont le siège social est situé au 1, rue Antoine Lavoisier à Guyancourt (Yvelines) !
Cet arrêté préfectoral (A.P.) stipulant bien que la durée d'exploitation de cette ISDND est limitée jusqu'au 03/01/2018.
Ceci étant confirmé par l'article 2 qui confirme que la SAS COVED se substitue à la société Ecopoles Services dans l'intégralité des droits et obligations attachés à l'autorisation d'exploitation (notamment les conditions d'exploitation, de réhabilitation, remise en état et de suivi post-exploitation) accordé par l'AP modifié du 13/03/2006 et complété par les APC des 13/11/2007, 26/10/2010, 16/08/2011, 03/06/2014 et 16/07/2014 autorisant la société ECOPOLES SERVICES à exploiter une ISDND sur le territoire des communes de Vic-de-Chassenay et Millery au lieu-dit "La Terre au Seigneur".
Quant à l'article 3, celui-ci indiquait que la SAS COVED devait transmettre au préfet de la Côte d'Or, dans un délai maximum d'un mois à compter de la notification du présent arrêté, les attestations du transfert des droits fonciers (bail emphytéotique) pour les parcelles concernées par l'AP d'autorisation d'exploiter du 13/06/2013 modifié.
Une conférence de presse sera tenue dans les prochaines semaines par AURA Environnement sur l'évolution de ce dossier puisque tous les regards sont désormais tournés vers la décharge de Duchy à Saint-Florentin, dans l'Yonne, mais aussi à Champigny-sur-Yonne, où nos camarades d'AURA Environnement sont en train de venir à la "rescousse", depuis plusieurs mois, de leurs camarades des populations locales, pourtant, elles aussi, défendues par nos camarades de l'ONDEC (Observatoire Contre les Nuisances de la Coved de Champigny).
De la décharge COVED-PAPREC à Roussas dans la Drôme, à la méga Usine à poubelles "Ecopôle de La Valasse" à Montblanc, AURA Environnement observe le petit monde des poubelles d'un oeil extérieur et de l'autre, regarde au fond de soi-même vers l'horizon des prochaines générations qui seront impactées par les odeurs, les envols de plastiques, les incendies de site pas toujours clairement expliqués aux populations locales !
Tout en gardant toujours à l'esprit toujours le bon sens de la protection de l'Etat - l'Etat, c'est nous -, les populations locales doivent organiser la Résistance avec AURA Environnement, dans la non-violence mais dans la détermination la plus totale !
Notre ignorance fait leur pouvoir ! Ne l'oublions pas, Camarades !
CAMARADES ne perdra jamais sont triple A :
- Avec les masses populaires riveraines - antispécistes ou non - des décharges ou autres installations dites de "valorisation" de nos déchets, en défense couplée de l'environnement et des animaux qui souffrent tout autant que les humains !
- Avec respect des services de l'Etat (Préfectures, Sous-préfectures, Dreal, DDPP, Douanes, etc....) et des exploitants !
- Avec détermination pour servir dans la discipline la Cause maoïste du Peuple selon les recommandations du Petit livre rouge !
Gardons, toujours à l'esprit, Camarades d'AURA Environnement et des différents Collectifs autonomes rattachés, cette citation issue du Petit livre rouge du président Mao : "Un dur travail est comme une charge placée devant nous et qui nous défie de la hisser sur nos épaules. Certaines charges sont légères, d'autres sont lourdes. Il y a des gens qui, préférant les charges légères aux lourdes, choisissent les légères et laissent les lourdes aux autres. Ce n'est pas une bonne attitude. D'autres camarades se comportent différemment ; ils laissent les avantages aux autres et portent eux-même les lourdes charges ; ils sont les premiers à supporter les épreuves, les derniers à jouir du bien-être. Ce sont de bons camarades. Nous devons tous prendre exemple sur leur esprit communiste". "Sur les négociations de Tchongking". (17 octobre 1945). Oeuvres choisies de Mao Tsé-toung, tome IV.
K1 (Camarade n°1)
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Réunion préfecture Isère CSS exploitée par Lély : AURA Environnement CONTRE, la FRAPNA 38 déshonore la cause environnementale !
- Par auraenvironnementparis
- Le 10/07/2017
- Dans Collectif Stop Décharge Saint-Quentin-sur-Isère
Ce matin à la préfecture de l'Isère, lors de la CSS
qui ne s'était bizarrement jamais réunie depuis 2013
AURA Environnement en soutien aux populations locales
du Collectif Stop Décharge Saint-Quentin-sur Isère n'a pu
voter mais s'est opposé à toute prolongation du site !
ARTICLE MODIFIE en permanence.
Alors que dans toute la région Auvergne-Rhône-Alpes, les arrêtés d'autorisation d'exploiter des ISDND ne sont pas délivrés de la même manière puisque certains dossiers sont en attente de signature, il semblerait que dans l'Isère, l'Etat et la Dréal 38 "appuient sur le champignon" pour signer fissa l'arrêté préfectoral autorisant la sociéte Lély à continuer son stockage de DIB au lieu-dit "L'échaillon" à Saint-Quentin-sur-Isère pour au moins 20 ans et ce, au mépris des populations locales qui espéraient que ce site allait définitivement fermer, comme l'exploitant s'y était maintes fois engagé publiquement.
En application de l'arrété préfectoral du 19/03/2013, la CSS (Commission de Suivi de Site) de la décharge exploitée par la société Lély située sur la commune de Saint-Quentin-sur-Isère, s'est réunie de façon jugée "bizarre" en préfecture de l'Isère à Grenoble, selon AURA Environnement.
Tout le monde a eu son petit visuel papier. Les écolos : zéro ! Tant mieux pour la protection de la planète !
AURA Environnement qui était présent à cette CSS en soutien total aux populations et aux riverains de ce village situé aux portes de Grenoble, et regroupés autour du Collectif Stop Décharge de Saint-Quentin-sur-Isère (SD-SQI) a demandé pourquoi la "Commission environnement" de la mairie de Saint-Quentin-sur-Isère - dont on a vanté les mérites, LOL, à cette réunion - ne s'était pas réunie depuis plus de 3 ans, comme le rappelait fort justement Elisabeth BOUTEAU, la secrétaire du collectif SD-SQI.
A quoi bon se prévaloir d'une commission communale dite "d'environnement", lorsqu'elle ne soutient AUCUNEMENT riverains et populations locales puisqu'il n'y a aucune concertation ?
A quoi bon parler d'une "commission environnement" alors que le maire et les élus de la commune de Saint-Quentin-sur-Isère soutiennent à 100 % la prolongation de la décharge Lély ?
Comme par hasard, cette "commission" minicipale dite "environnement" (3 élus, 3 non-élus) ne s'est réunie qu'hier après-midi. Au menu : la visite du site de la décharge de Lély Environnement.... qu'une réunion succinte du collectif SD-SQI - en fin d'après-midi, a décidé de refuser jusqu'à la convocation d'une AG des riverains dans les prochains jours qui devrait décider, elle, par contre, d'une mobilisation de grande ampleur pour la rentrée de septembre 2017 dans une salle communale de Saint-Quentin-sur-Isère.
Une demande a été faite à la mairie de Saint-Quentin/Isère. Pour l'instant, pas de réponse.
Oui, comme par hasard, 2 réunions d'importance lors de cette journée d'hier 10/07/2017 : la CSS ressortie des cartons de la préfecture de l'Isère depuis le 19/03/2013 et la Commission dite "environnement" rebondissant, elle aussi, depuis 3 ans de sommeil dans les tiroirs de la mairie de Saint-Quentin-sur-Isère alors que les populations locales n'ont eu de cesse de se plaindre aux sourds élu-es de leur commune !
Que de coîncidences !!!
D'emblée, AURA Environnement a demandé aux services de l'Etat si cette consultation de la CSS - juste après et non avant l'enquête publique - n'était pas un abus de procédure - par choix délibéré de l'exploitant ou des services de l'Etat - qui ne permettait pas à cette commission de se prononcer UTILEMENT sur le projet, et ce, afin d'alerter les riverains et éviter, de facto, une trop forte contestation des populations locales regroupées autour du Collectif Stop Décharge de Saint-Quentin-sur-Isère (SD-SQI) qui dépend d'AURA Environnement ?
A 2 mois de la réunion du Coderst prévue le 21/09/2017, cette CSS qui n'a été que la préfiguration de la décision qui attend les populations locales, Marc-Claude de PORTEBANE a dénoncé publiquement, en fin de séance, l'attitude absolument dégueulasse du représentant de la FRAPNA de l'Isère qui n'a absolument pas défendu l'écologie et les populations locales proches de la décharge de déchets non-dangereux (DND) gérée par la société Lély Environnement représentée par son directeur, Lionel LACRAMPE qui défend, lui, avec honneur et non avec bassesse son entreprise en assumant ses défauts et non pas comme la FRAPNA 38 qui nous a dit lamentablement que, puisque les subventions régionales de Laurent WAUQUIEZ avaient baissé, "ils n'avaient pas eu le temps de travailler le dossier LELY " qui empoisonne le quotidien de la vie des populations locales" de cette décharge située au lieu-dit du "Bec de l'Echaillon" et qui a pris feu, fin juin 2017 dans des circonstances qui resteraient à élucider puisque pas moins de 300 m² de détritus exposés en plein air ont été détruits avant que les sapeurs-pompiers finissent ENFIN par éteindre le sinistre au moyen de 2 lances hyper-puissantes.
On ne mobilse pas 2 lances hyper-puissantes pour rien. Où est le professionnalisme de LELY ?
Est-il utile d'apprendre aux isérois que la FRAPNA est membre de la FNE (France Nature Environnement) ? France nature environnement (FNE) est la fédération française des associations de protection de la nature et de l'environnement. Créée en 1968 sous le nom de Fédération française des sociétés de protection de la nature (FFSPN), elle est reconnue d'utilité publique en 1976. Elle est la porte-parole d'un mouvement de trois mille associations, regroupées au sein de quatre-vingts organisations adhérentes, en métropole et outre-mer. Le logo de la Fédération est le hérisson, sa signature est « Partout où la nature a besoin de nous ».
C'est cette FNE-là, représentée par la FRAPNA de l'Isère qui a voté ce matin des deux mains avec les représentants de l'Etat, de la Dreal 38, le maire de Saint-Quentin-sur-Isère, le président de la Communauté de communes de Saint-Marcellin-Vercors-Isère communauté, la communauté d'agglomération du Pays Voironnais, le Conseil départemental de l'Isère (absent), le directeur de Lély, le secrétariat du CHSCT de Lély, l'association UFC Que Choisir 38 (absent), le président de la Fédération départementale de la pêche 38 (absent lui-aussi), le directeur de la délégation départemental ARS Auvergne-Rhône-Alpes 38, le directeur départemental de la protection des populations (DDPP 38)et le directeur départemental du SDIS 3, à l'unanimité, sans abstention, d'une seule main CONTRE les populations locales, achetant de facto la paix sociale !
La paix sociale ne se gagne pas lors d'un vote ! Elle se mérite !
Parmi les invités, le président du collectif "Stop Décharge Saint-Quentin-sur-Isère" (AURA Environnement) et le boss de la société RAVANAT CHAUDRONNERIE ... qui est en train de se faire racheter par la société LELY, comme l'a indiqué en séance AURA Environnement !!!
Inutile de préciser que la Chaudronnerie Ravannat jouxte la décharge Lély et que c'est grâce à AURA Environnement que le PDG de Ravanat a pu coller ses observations sur le registre d'enquête publique.
Allez, hop, un opposant potentiel en moins !
MDR !
Tout s'achète dans ce pays : les entreprises, les terrains, le savoir-faire.
Il n'y a qu'un point qu'AURA Environnement défendra toujours : le faire-savoir CONTRE les injustices d'où qu'elles viennent !
Et bien puisque la FRAPNA 38 s'est couchée sur le lit pro-décharge, en faisant monter la "pression" en ne soutenant pas les populations locales, AURA Environnement et ces mêmes populations locales regroupées autour du Collectif Stop Décharge de Saint-Quentin-sur-Isère vous donnent RDV, début septembre, dans une salle communale à Saint-Quentin-sur-Isère pour faire entendre la voix des sans-voix qui subissent des désagréments inacceptables comme la famille CHIMENTON qui, ELLE, ne s'est jamais couché devant les offrandes du plus offrant !
AURA Environnement, au vu du comportement inacceptable de la FRAPNA 38, demande à toute l'Isère de se soulever dans un immense mouvement de soutien aux populations locales de Saint-Quentin-sur-Isère trop longtemps tenues dans l'ignorance !
Est-il normal, comme l'a souligné ce matin Marc-Claude de PORTEBANE à la préfecture de l'Isère, que la femme du directeur de la décharge Lély à Saint-Quentin-sur-Isère SOIT une des secrétaires de cette mairie qui n'en peut plus de soutenir - à bout-de-bras - la décharge Lély..... de Saint-Quentin-sur-Isère !
Les populations locales et le SD-SQI ont fait appel aux militant-es de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux afin que les animaux de Saint-Quentin-sur-Isère puissent, eux-aussi, bénéficier d'un maximum de protections !
Les animaux et les populations locales seront défendus par les miltant-es du Collectif national de la Ligue qui regroupe pas moins de 52 000 fans sur Facebook.
Nous appellons nos ami-es Végan de la Protection animale à la MOBILISATION GENERALE vers Saint-Quentin-sur-Isère !
Nous espérons le soutien du maire de Grenoble, Eric PIOLLE, déjà opposé à l'aménagement de l'A480 !
Aucune forteresse ne résiste à l'assaut de l'humain d'abord !
K1 (Camarade n°1)
A suivre !
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CUIT CUIT LES OISEAUX ? Projet IndaChlor à LOON PLAGE : la sous-préfecture de Dunkerque se comporte en Ennemi de classe, Nicolas HULOT mis au parfum !
- Par auraenvironnementparis
- Le 26/06/2017
- Dans STOP Projet IndaChlor à Loon-Plage vers Dunkerque !
AURA Environnement
AURA Environnement Le 26/06/2017
Association loi 1901 --- Identification R.N.A : W033003439
Protection environnementale et de défense des animaux
Mail : Aura-environnement@laposte.net
Site : http://www.aura-environnement.com/à
Ministère de l’Ecologie et de la transition énergétique
Mme le directeur de cabinet de Mr le ministre
Mme PAPPALARDO
Pour
Objet : refus communication documents administratifs suivant stricte recommandation de la CADA sous-préfecture Dunkerque projet Indachlor à Loon-Plage.
Monsieur le ministre,
Je tiens à vous informer que le 22/05/2017, j’ai demandé à l’UD Dreal de Gravelines (Hauts-de-France) tous les documents communicables concernant la future enquête publique du projet Indachlor, comme la demande d’autorisation (DDAE), déposée par l’exploitant, la société Indaver située à Anvers, conformément aux recommandations telles qu’elles ont été exprimées dans notre pétition qui a recueilli plus de 23 000 signatures http://www.mesopinions.com/petition/animaux/contre-projet-usine-dechets-dangereux-indachlor/30569 .
Nous nous étions mis d’accord avec le responsable de l’UD de la Dreal de Gravelines, Mr David LEFRANC, pour que cette transmission se fasse au plus tard le 22/06/2017.
Mr LEFRANC qui est très courtois et loyal m’a dit qu’il allait demander à la société Indaver l’ensemble du dossier – les éléments sensibles relatifs à une usine Seveso, ce que je comprends parfaitement. Nous ne contestons pas les retraits concernant les parties dites « sensibles ».
La presse locale fait bien état de notre pacifisme et de notre nette compréhension de ce projet Indachlor http://www.lepharedunkerquois.fr/dunkerquois/loon-plage-petition-record-en-vue-ia684b0n212105
Aujourd’hui, Mr LEFRANC m’a indiqué avoir transmis l’ensemble de ce dossier, le 20 juin à Mr le secrétaire-général de la sous-préfecture de Dunkerque, Bernard DUJARDIN.
J’ai pris attache cet après-midi avec Mme Christine PATOT, la secrétaire de Mr le sous-préfet de Dunkerque qui m’a dit que le secrétaire-général n’avait pas encore vu le représentant de l’Etat, Mr le sous-préfet de Dunkerque, Eric ETIENNE.
Je vous demande, Mr le ministre, votre intervention personnelle pour que la sous-préfecture de Dunkerque cesse de me faire de la rétention de tous ces documents à caractère public, et, ce, en totale violation du droit à l’information en matière environnementale, notamment au regard de l’article L.12461 du code de l’environnement.
Alors que le président MACRON - que je soutiens en participant à des groupes locaux en Bretagne et en Auvergne – a demandé plus d’exemplarité, il semble particulièrement regrettable que cela ne soit pas appliqué dans les Hauts-de-France.
Je m’étonne d’ailleurs du manque de considération à mon égard de la part des représentants de l’Etat.
Vous n’aurez aucun mal, Mr le ministre, Nicolas HULOT, à retrouver le courrier du directeur de cabinet de votre prédécesseur, Mme la ministre de l’environnement, Ségolène ROYAL (Réf. CDAP /SR/A15026091-D15021084), lorsque Mme la ministre demandait au préfet de la Loire « d’examiner mes observations et de me tenir directement informé de la suite qui sera réservée à ma démarche ».
J’ai été reçus par 2 directeurs de cabinet de Mr le préfet de la Loire et ce, sans aucun problème particulier avec les représentants des sections « déchets » de la Dreal de la Loire.
Je vous demande donc d’intervenir pour que cesse cet ostracisme à mon égard dans les Hauts-de-France, en voulant nous « cacher » de façon dictatoriale des documents pleinement de droit communicables.
Je suis tout aussi respectueux de l’Etat que Mr le secrétaire-général et Mr el sous-préfet de Dunkerque.
Je ne tient absolument pas à être traité de « paria » parce que, moi, et mes camarades, nous nous posons des questions sur l’impact environnemental du projet Indachlor à Loon-plage ou sur d’autres dangers, comme la perte de plusieurs emplois actuels, sur la potentielle « fuite » en Belgique de capitaux issus de potentielles subventions françaises de l’autre côté de la frontière, sans parler des risques potentiels vis-à-vis des populations locales au vu de cette énorme explosion chez l’exploitant INDAVER à Anvers http://www.aura-environnement.com/blog/explosion-indaver-a-anvers/cette-explosion-chez-indaver-debut-2016-a-anvers-qui-fait-fremir-de-trouille-dunkerque.html !
Je suis, je pense un très bon connaisseur du monde des déchets et, en plus, je suis membre, Mr le ministre, en tant que président du pôle déchets du groupement d’associations environnementales FAPEL 22, des groupes de travail DMA et DAE ; Déchets du BTP ; Déchets organiques ; Déchets dangereux ; Filières régionales ; Prévention, sensibilisation, communication du Plan régional de prévention et de gestion des Déchets au sein de l’entité Kelenn à la Région Bretagne...... avec l'équipe de notre ministre Jean-Yves Le Drian !
Je participe sans aucun problème aux réunions de travail et mes rapports sont très cordiaux avec tous les intervenants !
Je ne vois pas pourquoi la situation serait différente à Dunkerque, où, depuis le 20/06/2017, des documents publics qui me doivent être communiqués, sont gardés dans un tiroir qui refuse de s’ouvrir à la Constitution de notre pays, aux valeurs défendues par notre président Emmanuel MACRON et aux préconisations du ministre d’Etat Nicolas HULOT !
Je vous demande, Mr le ministre, d’intervenir auprès du sous-préfet de Dunkerque pour que je reçoive rapidement les documents que la Dreal de Gravelines devait me faire parvenir.
Est-il normal que les recommandations de la CADA soient ainsi détournées de leur substance ?
Quel est l’intérêt du secrétaire-général de la sous-préfecture de Dunkerque, Mr DUJARDIN, de jouer au « vicomte» local s’asseyant sur les conclusions du Rapporteur général adjoint, Nicolas POLGE, maître de requête au Conseil d’Etat sur les avis de la CADA ?
La CADA indique-t-elle qu’une sous-préfecture doit se substituer à un service de l’Etat dont le siège régional est à Lille ?
Avouez que tout cela fait désordre, Mr le ministre, alors que l’ensemble de ces documents seront transmis au grand public et aux medias lors d’une prochaine enquête publique de Loon-Plage et des communes voisines à la rentrée de septembre 2017 !
Qu’en pensent les honorables membres du Coderst des Hauts-de-France ?
Que penser de ce projet Indachlor dans la région des Hauts-de-France qui dispose à ce jour de nombreuses installations permettant le traitement des déchets dangereux du territoire, comme par exemple, le site de traitement de Synthexim, localisé à Calais, en lien avec une activité de chimie de spécialité, autorisée pour le traitement de déchets dangereux chlorés (identique à ceux envisagés dans le cadre du projet Indachlor) disposant d’une capacité disponible estimée à plus de 15 000 T/an – installation non-saturée, faut-il le rappeler ?
L’arrêt de l’incinérateur de Synthexim mettra en péril l’ensemble de l’activité chimique dans la région et ne profitera qu’aux Belges qui pourraient très bien monter leur projet à Anvers. Sauf que les populations locales flamandes n’en veulent pas !
Dans l’attente de votre réponse, je vous prie de croire, Monsieur le ministre, à l’expression de ma considération très distinguée.
Marc-Claude de PORTEBANE
Président d’AURA Environnement
Porte-parole du CPERD (collectif de Préservation de l’Environnement de la Région de Dunkerque)
Transmisssion :
- Me François RUFFIE, barreau de Libourne
- Me Gilles-Jean PORTEJOIE, barreau de Clermont-Ferrand
- Le club de la presse des Hauts-de-France
- Les medias nationaux
- Louis-Marie HOREAU, Le canard Enchaîné
- Transmission publique :
- les 23 108 signataires de notre pétition internet qui doivent être tenus au courant de nos difficultés à recevoir des documents publics.
- l’ensembles des élu-es de la région des Hauts-de-France
.
-
Chats & Chiens martyrisés : AURA Environnement partie civile 2 affaires + désignation Juge d'instruction 2 autres cas !
- Par auraenvironnementparis
- Le 26/06/2017
- Dans Maltraitance animale AURA Environnement partie civile
AURA Environnement a mandaté Me Jean-Hubert PORTEJOIE
du Barreau de Clermont-Ferrand pour se porter partie civile
dans 2 affaires nationales concernant chats et chiens
et désignation d'un juge d'instruction dans 2 autres cas !
DESIGNATION DU DOYEN DE L'INSTRUCTION :
-BOEUF ECARTELE DE RETHEL : le procureur a classé l'affaire. AURA Environnement s'était porté partie civile. Nous demandons la désignation d'un juge d'instruction. Nous avons appris par la presse la décision du Parquet de Charleville-Mézières ! http://www.lunion.fr/29248/article/2017-05-05/boeuf-blesse-au-foirail-de-rethelpas-de-poursuites-penales et https://www.scoopnest.com/fr/user/UnionArdennais/860559776144609280
- CHAT blessé Métro sortie 1 Grande arche La Défense. Les policiers ont convoqué le clodo mais le procureur a classé l'affaire. A Saint-Pierre-la-Mer les chats empoisonnés seraient porteur du virus "Calcivirus" (autopsie), tandis que dans le Métro de Paris, le risque semblerait ne pas exister alors que le chat serait blessé et risque de contaminer potentiellement des enfants s'il était porteur du virus !!!!
http://www.aura-environnement.com/blog/aura-environnement/on-nous-ecrit-a-la-sortie-du-metro-la-defense-il-y-a-un-chien-et-un-chat-la-police-passe-le-parquet-classe.htmlPARTIE CIVILE- CHATS mystérieusement empoisonnés à Saint-Pierre-la-Mer (AUDE) en soutien avec l'association locale "Esprit félin". AURA Environnement a également pris contact avec l'avocat situé à Narbonne et représentant "Esprit Félin".- Canicule. Absente 3 semaines, elle laisse son chien mourir de soif (Yvelines) : http://www.parismatch.com/Actu/Faits-divers/Elle-enferme-son-chien-dans-la-cuisine-et-le-laisse-mourir-de-faim-et-de-soif-1293479et -
ON NOUS ECRIT : "A la sortie du métro La Défense il y a un chien et un chat......". La police passe, le parquet classe !
- Par auraenvironnementparis
- Le 25/06/2017
- Dans Aura Environnement
Le chat est blessé à Paris et n'est pas soigné
...alors qu'un cas de virus Calcivirus se balade
dans les rues de Saint-Pierre-la-Mer (Aude)
AURA Environnement va saisir la justice !
ON NOUS ECRIT dans la MP de notre page Facebook de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/ :
"BonjourJe vous écris car à la sortie du metro La Défense il y a une personne avec un chien et un chat qui je suis sure sont totalement drogues. Ils ne bougent jamais et il met la patte du chat sur celle du chat. Ca me fait trop de peine. Comment faire quelque chose?"Pendant que le collectif de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux conseille à notre fan de mettre l'info sur sa propre page, nous apprenons par l'écrit d'une internaute Marie C...., qu'une page facebook arborant officiellement le logo de la police nationale préconise aux internautes ceci : "S’il vous plaît les amis, quand vous avez des sauvetages périlleux, ne diffusez pas mais contactez soit des assocs ou ce lien en MP (le lien de la page facebook en question avec le logo de la police nationale). Diffusez à tous azimuts ne fait que compromette des enquêtes en sous-marin, dernièrement encore sur Marseille, cela a foiré par manque de discrétion… " .AURA Environnement a immédiatement contacté l'administrateur de cette page et celui-ci nous a confirmé 'Les écrits que vous nous montrez ne sont pas de nous, si vous faites attention", nous confirmant également que l'utilisation du logo de la police nationale était "publique", que la loi ne "l'interdit pas' et que cette page Facebook était avisée par "leur hiérarchie".Ensuite, nous avons appris que le modérateur de cette page était policier, puisqu'il faisait état lui-même de son état de "policier" à notre fan, à propos de ce chat blessé :"Jean-Marc", modérateur et policier, dit être "personnellement intervenu sur place, un équipage de police a ramené l'individu et les animaux au commissariat.... Un chat était blessé et l'individu a déclaré ne pas le soigner. Le Procureur a décidé de ne pas donner suite, il a quitté les lieux avec ses animaux, et s'est réimplanté dès le lendemain".Puisque la police semble vouloir s'occuper presque en "exclusivité" de la protection animale, cela tombe à pic, puisque demain matin, nos camarades de l'association "Esprit félin" ont RDV avec leur avocat dans le bureau du procureur de la République de Narbonne dans cette scandaleuse affaire d'empoisonnements de plusieurs dizaines de chats dans un quartier de Saint-Pierre-la-Mer.Si on suit bien le raisonnement de cette Marie C......, on devrait avoir un représentant de la police nationale qui se portera partie civile au même titre qu'AURA Environnement ?Que s'est-il passé à Marseille ???AURA Environnement va charger, cette semaine, Me Jean-Hubert PORTEJOIE du Barreau de Clermont-Ferrand, de prendre en charge cette histoire de "chien et chat blessé" à Paris.Tout comme, nous allons demander à notre conseil, Me François RUFFIE du Barreau de Libourne de s'occuper du cas de cette Marie C... qui salit les simples défenseurs de la cause animale - pour le compte d'une page facebook qui collaborerait avec la police nationale -, (comme elle l'a prétendu - preuve en notre possession), comme nous et d'autres petites pages ou groupes sur Facebook.Tout comme nous allons alerter, notre camarade Louis-Marie HOREAU du canard Enchaîné !A suivreMatrc-Claude de PORTEBANEPrésident d'AURA EnvironnementPorte-parole du collectif de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux. -
Empoisonnement ou calcivirus pour les chats de Saint-Pierre-la-Mer (Aude) : AURA Environnement va se porter partie civile
- Par auraenvironnementparis
- Le 24/06/2017
- Dans HALTE aux massacres de chats à Saint-Pierre-la-Mer
CHATS mystérieusement empoisonnés à Saint-Pierre-la-Mer (AUDE)
Empoisonnement volontaire
Empoisonnement accidentel
Maladie virale ?
Nous voulons les rapports d'autopsie pratiqués sur les chats, des animaux comme tant d'autres, que les femmes et les hommes du monde entier adorent !
Fleury dans l'Aude, le même bled où AURA Environnement et la Ligue ont déjà constaté - preuves à l'appui -, cet hiver, que des chevaux étaient maltraités ! http://www.aura-environnement.com/blog/ligue-de-combat-contre-les-cruautes-envers-les-animaux/chevaux-maltraites-dans-l-aude-aura-environnement-va-saisir-la-justice.html
2 affaires dans la même commune, c'est quand même troublant, non ?
D'ores et déjà, AURA Environnement va se porter partie civile - en renfort -, répondant ainsi à l'appel de l'association locale "Esprit félin" et aux habitant-es indigné-es de cette commune.
De très nombreux témoignages de chats morts nous sont parvenus.
La presse locale comme "l'Indépendant" ou "La Dépêche du Midi" ont tiré la sonnette d'alarme !
Le journal Le Monde s'en inquiète : "Les chiffres de cette « hécatombe de chats dans la station balnéaire audoise » varient, en fonction des sources citées par la presse locale : « une cinquantaine », selon l’adjoint au maire chargé de la sécurité, presque quatre-vingts, d’après « un témoin ». Une enquêtrice de la Société pour la protection des animaux (SPA), arrivée sur place après des signalements d’habitants, avance un chiffre encore plus haut à la Dépêche du Midi :« Il y en a partout dans les containers, ils seraient au nombre de 200. »" !* http://www.lemonde.fr/big-browser/article/2017/06/06/une-hecatombe-de-chats-dans-la-petite-station-balneaire-de-saint-pierre-la-mer_5139413_4832693.html#fOQpMgHAW3TTiQjh.99
Il y a 2 jours, le journal "L'Indépendant" nous apprenait que le virus calcivirus avait frappé un autre chat et que sa présence avait été constatée par un vétérinaire.
Le 1er chat autopsié aurait bien été touché par ce virus qui laisse, en apparence, les signes de l'empoisonnement puisque les félins bavent abondamment. Ils ont également des lésions au niveau de la langue et de l'appareil digestif.
"L'Indépendant" n'excluait toujours pas la piste de "l'empoisonnement" puisque les décès des chats ont été localisés sur un périmètre bien déterminé.
La vérité éclatera dans le quartier de la résidence Saint-Pierre !
Les 52 000 fans de la page facebook du collectif de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux (qui dépend d'AURA Environnement) sont prêtes et prêts à soutenir les populations locales.
Par ailleurs, il semblerait que depuis que la presse nationale et les associations de protection des animaux se soient emparés de cette affaire scandaleuse, le nombre de morts relevés auraient fortement diminué.
Comme par miracle ?
N'est-ce pas bizarre que le virus calcivirus ne frappe pas d'autres communes de l'Aude, d'autres départements limitrophes, d'autres régions, d'autres pays ?
Selon France 3 Occitanie, les premières autopsies ont révélé des empoisonnements au shit et au liquide de refroidissement. La présence de plombs a été retrouvé dans le corps des chats, du cannabis et du liquide de refroidissement dans leur estomac.
K1
Marc-Claude de PORTEBANE
Fondateur et porte-parole de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux
Président d'AURA Environnement
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AURA Environnement dénonce lacunes Enquête publique extension unité de tri et valorisation déchets inertes Guyot Environnement vers Morlaix !
- Par auraenvironnementparis
- Le 18/06/2017
- Dans Stop stockage CSR de Guyot Environnement à Saint-Martin-des-Champs !
AURA Environnement aura été la SEULE assoc' environnementale
à s'opposer lors de l'enquête publique du 16/05 au 16/06/2015 à la
demande d'autorisation d'exploiter une unité de tri et de valorisation
de déchets inertes à Kérolzec à Saint-Martin-des-Champs vers
Morlaix dans le Finistère et présentée par Guyot Environnement de Brest !
Presque personne n'est venu à cette enquête publique aux mairies de Saint-Martin-des-Champs, de Sainte-Sève et de Taulé. Voici les commentaires d'AURA Environnement qui ont été transmis sur le registre lors de la présence du commissaire-enquêteur Ernest QUIVOURON désigné par le tribunal administratif :
COMMENTAIRE
Le 19/05/2017 AURA Environnement constate un mur d’agglos ou de parpaings.....
......alors que sur les photos d’ AURA Environnement le 27/11/2016, il n’y a aucune construction à cet emplacement qui correspond à la zone de stockage de 595 m² des balles de CSR, comme indiqué dans l’enquête publique.
La dernière demande effectuée par Guyot Environnement à l’urbanisme de Saint-Martin-des-Champs remonte à :
- Permis de construire modificatif
Demande déposée le 02/04/2003 par Guyot Environnement à Brest.
N° PC 2925402M1003 1
Objet : Modification du bâtiment principal
Le 16/06/2017, le service de l’urbanisme à la mairie de Saint-Martin-des-Champs confirme bien qu’aucune demande n’a été effectuée par la société Guyot Environnement pour un permis de construire ou une autorisation de travaux.
Selon le responsable de l’urbanisme de la mairie de Saint-Martin-des-Champs, les photos qu’AURA Environnement lui montre confirme bien qu’il y a emprise au sol supérieure à 20 m².
L’enquête publique est donc insincère et ne prends pas en compte ces modifications de l’installation de la société Guyot Environnement.
Nous demandons la démolition de cette construction et une nouvelle enquête publique.
AUTRE COMMENTAIRE
UN SITE EXISTANT
Le dossier présente le fonctionnement et les volumes triés sur le site existant mais qui ne sont pas le reflet des activités aujourd’hui en place : la société GUYOT a déjà mis en place le process de préparation des CSR décrit comme « projet » dans le dossier objet de la demande.
Dans le schéma décrivant les installations actuellement sur le site il ne figure pas d’étape de préparation/broyage de CSR, uniquement un tri mécanique, et pourtant des balles de CSR sont présentes sur le site avant l’enquête publique.
Le site de st martin est autorisé par son AP de 2006 à réaliser des activités de tri et transit de déchets non dangereux selon les rubriques 2713, 2714, 2716 et 2718, mais n’est pas autorisé à préparer des CSR. Il s’agit d’un dossier de régularisation et non pas de demande.
Nous demandons
- De renvoyer Guyot face à ses responsabilités pour tricherie sur ce dossier et cette enquête publique
- De pointer du doigt une filière de valorisation CSR qui peut permettre tous les abus dans sa mise en oeuvre
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CADRE REGLEMENTAIRE CSR
Le cadre réglementaire pour la fabrication de CSR et pour les installations destinées à les recevoir a été clarifié en mai 2016. La société GUYOT n’y fait pas référence et doit pourtant s’y conformer. La conformité à l’AM n’est pas étudié alors que la valorisation des CRSr en chaufferie 2971 est évoquée pour « plus tard » dans le dossier.
Référence réglementaire : Il s’agit du décret n° 2016-630 du 19 mai 2016 modifiant la nomenclature des installations classées pour la protection de l'environnement qui crée la rubrique 2971 (régime de l’autorisation) pour les installations de production d'énergie sous la forme de chaleur ou d'électricité à partir de déchets spécifiques de type CSR, accompagné de deux arrêtés ministériels relatif à la préparation et la combustion de CSR.
Seule la conformité à l’AM du 13/10/10 est analysée.
- Nous demandons à Guyot de justifier la conformité de son projet à ce texte de mai 2016
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FILIERES DE VALORISATION
Nous demandons une transparence totale sur les filières de valorisation des CSR. Quelles sont-elles ? Où sont-elles ? Sont-elles réellement locales ? Existe-t-il réellement des partenariats commerciaux établis ?
Cela nous parait indispensable dans la mesure où certaines filières avancées n’existent pas sur la Bretagne (Voir point 2 les projets de chaufferie 2971 qui sont évoquées pour « plus tard ») !
- Nous demandons à ce qu’une vraie transparence soit apportée dans le dossier :
- Lister l’ensemble des exutoires prévus avec leur localisation et les volumes passés et futurs
- Démontrer la capacité reprenneur à accepter les CSR produits par GUYOT
- Justifier que tout CSR produit sur le site aura un exutoire et le prouver dans le temps
- Démontrer l’existence d’accords commerciaux entre GUYOT et ces sites
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TRAFIC ROUTIER ET PROXIMITE DES FILIERES
Plusieurs points du bienfondé du projet semblent à nos yeux infondés :
- Le projet doit contribuer à augmenter la capacité de tri et valorisation des déchets non dangereux en Bretagne. S’il est effectivement nécessaire d’avoir des outils de ce type sur le territoire il est toutefois fallacieux de se targuer d’être une solution locale quand on ne dispose pas de filières de valorisation de proximité. Ce volet n’est pas du tout traité dans l’analyse de l’impact sur le trafic. Marche-t-on sur la tête pour transporter des CSR sur des centaines de kilomètres depuis Saint martin des Champs.
- Nous demandons à ce que le projet soit redimensionné :
- Interdire le traitement des CSR en dehors la Bretagne.
- Réaliser un véritable bilan carbone du projet en incluant l’ensemble des activités transport.
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- VOLUMES PREVISIONNELS
Nous sommes surpris de voir que la société GUYOT s’engage dans son dossier à ne pas excéder les volumes définis alors que c’est le fonctionnement courant de cette exploitation par le passé. Comment GUYOT imagine gérer la variabilité / saisonnalité de son activité ? Devra-t-on voir grandir des stocks de déchets en balle dans un état de dégradation avancé des balles sur le site ? Quelles sont les filières de secours pour évacuer le CSR ? Quel impact sur la qualité des eaux de pluie qui percolent sur les balles éventrées qui sont rejetées en rivière et ne sont pas considérées comme eaux industrielles (traitement, contrôle…) ?
- Nous demandons à ce que le projet soit redimensionné :
- Limiter de moitié les 12 385 m3 volumes stockés en balles à l’extérieur
- Imposer des durées maximum de stockage sur le site compatible avec la bonne tenue dans le temps des balles de déchets
- Considérer les eaux de pluie ruisselant sur les déchets comme des eaux industrielles à traiter avant rejet et à suivre du point de vue de la qualité des rejets
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- LE TRAITEMENT DES EAUX
Les balles stockées sur le site sont dans un état déplorable et les eaux de pluie peuvent percoler au travers de ces balles de déchets éventrées. Pourtant GUYOT affirme dans son dossier qu’il ne produit pas d’eaux industrielles alors qu’il s’agit bien d’eaux industrielles, et que ces effluents sont rejetés au milieu naturel, à 75m du site dans la rivière Pennelé !!
Il s’agit d’un enjeu important compte tenu du contexte et du milieu environnant du site (zones naturelles recensées au droit du site, de la présence d’hameaux d’habitations proches et de la faune et la flore identifiées au droit du site).Pourtant GUYOT traite de le sujet en se basant sur ses propres considérations : les eaux de pluie au contact des déchets et générées sur son site ne peuvent pas être source de pollution.
Nous sommes surpris de voir que le système de traitement des eaux du site est quasi-inexistant. Comment est-ce qu’un simple bac décanteur et un débourbeur séparateur peuvent assurer et garantir un traitement efficace avec le rejet d’eaux industrielles en rivière sur un site où les stocks extérieurs sont importants et où du broyage de bois a lieu à l’air libre et sont au contact direct avec l’eau de pluie ?!
Ces eaux doivent être contrôlées, et GUYOT ne détaille pas du tout ce qui se passerait en cas d’analyses physico-chimiques « non concluantes » des rejets ?!
- Nous demandons les compléments suivants :
- La meilleure façon de ne pas générer d’effluents pollués et d’éviter le contact de l’eau avec les déchets : les stocks n’étant pas couverts et les balles présentant un risque de détérioration important, nous demandons la mise en place d’une toiture permettant de limiter la génération d’effluents souillés et donc de limiter le risque de pollution accidentel de la rivière.
- Renforcer le système de contrôle des effluents : type de polluants et fréquence
-
Aussi, les eaux d’arrosage durant les phases de broyage sont donc des eaux industrielles, rejoignant simplement le réseau d’eau de pluie et sont donc rejetées au milieu naturel : la rivière.
- Nous demandons les compléments suivants :
- De compléter ce dossier avec des mesures des émissions de poussières durant les phases de broyage de bois actuellement sur site
- D’imposer à GUYOT de réaliser des mesures et analyses des émissions de poussières lorsque le granulateur CSR sera mis en place.
- De réaliser des mesures et analyses d’eaux avant rejet à la rivière pendant les phase de broyage et donc d’arrosage
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POUSSIERES
Puisque qu’une gêne pour les riverains ne peut être comparée à une norme, GUYOT considère que le site ne présente pas d’impact sur les poussières émises. Pourtant un dépassement est avéré. De plus, des campagnes de broyage de bois ont lieu sur site à l’air libre sur les plateformes extérieures : quelles auraient été les résultats d’analyses durant ces phases de broyage ? Les dépassements auraient été certainement plus nombreux malgré les systèmes d’arrosage qui sont évoqués pour limiter l’impact.
AUTRE COMMENTAIRE
Cette enquête publique à Notre-Dame-des-Champs doit être annulée car l’ordonnance, fixée par décret et qui est entrée en vigueur au plus tard le 01/01/2017 (Source : JORF du 5 août 2016, texte 14 - Ordonnance no 2016-1060 du 3 août 2016 NOR : DEVD1614801R) n’a pas été appliquée.
En effet, cette ordonnance modernise l’enquête publique régie par le code de l’environnement en prévoyant, en plus des formalités classiques, le recours à la dématérialisation pour faciliter l’information et la participation du public.
Cette ordonnance a pris effet le 1er janvier 2017 en réformant l’enquête publique et lui imposant l’utilisation d’Internet dans le cadre de projets ayant une incidence sur l’environnement.
Même si la procédure papier reste cependant obligatoire, celle-ci est complétée par l’adjonction d’Internet comme un lieu de consultation complémentaire où le public peut déposer ses observations et lire les avis des autres concitoyens.
De plus, la mise à disposition d’un poste informatique dans un lieu ouvert au public est devenue obligatoire. Cela n’a pas été le cas à la mairie de Saint-Martin-des-Champs où seuls 2 classeurs et le registre des commentaires ont été mis à la SEULE disposition du public.
Les citoyens n’ont donc pas été informés correctement de l’existence de cette Ordonnance qui permet d’apporter une contribution publique à une enquête publique.
En effet, l’objectif du registre d’enquête public électronique est de permettre au public de plus facilement prendre connaissance du projet puis d’exprimer ses appréciations, suggestions et contre-propositions, alors que déposer un avis sur le registre dématérialisé de cette enquête publique aurait été plus simple, sécurisé et potentiellement anonyme.
Le registre d’enquête publique électronique aurait dû indiquer l’objet de l’enquête publique, l’arrêté d’ouverture de l’enquête publique, la référence du tribunal administratif, le nom du commissaire-enquêteur ainsi que toutes pièces du dossier dont l’avis de l’autorité environnementale qui est absent également en version papier.
Certaines enquêtes publiques proposent l’utilisation de l’e-mail en guise de voie numérique. Cependant, un e-mail est très facilement falsifiable et ne répond donc pas aux articles 1316-1 à 1316-4 du code civil reconnaissant l’écrit numérique comme une preuve « sous réserve que puisse être dûment identifiée la personne dont il émane ».
Un registre numérique d’enquête publique reflète aux yeux de la population une image moderne d’un territoire ! Nos concitoyens peuvent ainsi consulter le dossier de présentation à toute heure et en tout lieu et déposer une observation agrémentée de documents de qualité en pièces jointes.
Tout n’a donc pas été mis en œuvre pour que le commissaire-enquêteur puisse recueillir les avis et observations de la population de la région de Morlaix dans de bonnes conditions et de façon la plus limpide possible.
La loi sur la reconnaissance du support numérique n’a donc pas été respectée.
Cette enquête publique sur l’implantation de cette ICPE (unité de tri, transit et valorisation de déchets à Saint-Martin-des-Champs déposée par Guyot Environnement) doit être annulée.
AUTRE COMMENTAIRE
1 - Dans le cadre de mes activités de veille sur les enjeux déchets, notamment au sein de plusieurs groupes de travail (DMA et DAE ; Déchets du BTP ; Déchets organiques ; Déchets dangereux ; Filières régionales ; Prévention, sensibilisation, communication), dont la commission CSR du Plan régional de prévention et de gestion des Déchets de la Région Bretagne, j’ai eu connaissance d’un récent rapport publié par l’ADEME sur le traitement des ordures ménagères résiduelles (OMr).
En résumé, l’ADEME, après avoir contribué à faire inscrire dans la loi TECV qu’il fallait renoncer aux unités de tri mécano-biologique produisant du compost à partir des OMr, indique à présent qu’il faut aussi éviter de fabriquer du CSR à partir de ces mêmes OMr.
Une première concrétisation voit le jour dès maintenant avec le cahier des charges de l’appel à projet Energie CSR 2017 qui interdit les intrants issus d’OMr dans les projets relevant sa priorité 1 (les seuls qui auront une chance d’être sélectionnés…).
C’est donc clairement l’ensemble de la filière de prétraitement des OMr par tri mécanique qui est visée et à laquelle l’ADEME appelle à renoncer.
Le rapport ADEME, un récent article du site spécialisé Déchets.com qui en fait une synthèse ainsi que le cahier des charges de d’appel à projet Energie CSR 2017 que je tiens à la disposition du Commissaire enquêteur en sont donc les preuves irréfutables qui rendent automatiquement caduque cette enquête publique sur la demande d’autorisation d’exploiter une unité de tri et de valorisation de déchets non-dangereux (DND) au lieu-dit Kerolzec à Saint-Martin-des-Champs.
2- En 2016, nous avons fait constater par un huissier de justice – Me BOUGEANT de Morlaix – que des balles de CSR – pourtant emballées sous film plastique - étaient éventrées à l’air libre. Les photos du constat de l’huissier ont été publiées sur le site internet d’AURA Environnement http://www.aura-environnement.com/
Qu’en sera-t-il dans les prochaines années ?
3- Nous aimerions savoir ce que sont devenues les milliers de tonnes de CSR stockées sur ce site de Kerolzec. Nous aimerions connaître les tonnages entrants et les bons de pesée de ce CSR à destination, notamment - chez Lafarge Ciments SA à Saint-Pierre-la-Cour – géré par Geocycle -. Combien Lafarge a-t-il payé ces tonnages ?
En 2011, le Finistère a exporté 135 000 tonnes de déchets et se plaignait de manquer de capacités de stockage en local.
Pourtant ces milliers de camions au départ du site de Kerolzec à Saint-Martin-des-Champs chez, notamment, Lafarge vers Laval coûtent de plus en plus cher à la collectivité, et sont en totale contradiction avec l'un des engagements du Grenelle et son principe de proximité dans le traitement des déchets.
Il y a donc incohérence.
Quels ont été les coûts du stockage et du transport pour le contribuable ?
4- Nous aimerions savoir si la société Guyot environnement a effectué des tests d’élimination de son CSR à l’étranger comme au Maroc ou par exemple dans des pays nordiques.
5 – Nous aimerions savoir combien de camions/containers/jours ont potentiellement transité de Saint-Martin-des-Champs vers le port de Brest jusqu’à ce jour.
6 – Les plastiques durs des RBA (Résidus de broyage automobile) gisant à Brest sont-ils utilisés pour faire du CSR stocké à Saint-Martin-des-Champs ?
7 - Combien de tonnes de refus de film sont-elles envoyées chez Lafarge ? 5 000 T ? 7 000 T ?
8- Qu’en pensent notamment les élue-es de Morlaix Communauté : Jean-Luc FICHET, Jean-Luc FICHET, Claude PODER, Françoise RAOULT, Guy PENNEC, Guy POULIQUEN, Maryse TOCQUER, Nathalie BERNARD, Serge LE PINVIDIC, Thierry PIRIOU, Yves MOISAN, Yvon LE COUSSE, Alain TIGREAT, André FLOCH, André NEDELLEC, Anne QUENEA, Annie HAMON, Annie LONEUX, Annie PIRIOU, Bernadette AUFFRET, Bernard GUILCHER, Bernard LE VAILLANT, Béatrice PICART, Christian LE MANACH, Christiane DUGAY, Christiane LEON, Christophe MICHEAU, Clotilde BERTHEMET, Clotilde ROUX, Daniel LANGLADE, François GIROTTO, François HAMON, Françoise BARBIER, Françoise FER, Georges AUREGAN, Gildas JUIFF, Gilles MER, Gwenole GUYOMARCH, Hervé CILLARD, Hervé RICHARD, Hervé SAINT-JALM, Ismaël DUPONT, Jacqueline LE FOLL, Jean-Charles POULIQUEN, Jean-Guy GUEGUEN, Jean-Michel PARCHEMINAL, Jean-Paul VERMOT, Joseph IRRIEN, Joëlle HUON, Marc MADEC, Marie DECIMO, Marie SIMON-GALLOUEDEC, Marlène TILLY, Martine DILASSER, Martine MADEC, Michèle BEUZIT, Nicole MOULUT, Patrick YHUEL, Pierre LE GOFF, Pierre-Yves MINEC, René LE TALLEC, Rollande LE HOUEROU, Sarah NOLL, Solange CREIGNOU, Thierry DESMARRES, Thierry HUON, Valérie LE DENN, Véronique PEREIRA, Yvon HERVE, Alain TIRILLY, Albert LOZAC'H, Albert THOMAS, André LE DOEUFF, André PRIGENT, Annick LE GALL, Ariane PARANTHOEN, Aurélien LE GUILCHER, Aurélie JEGOU, Benoît BUFFETEAU, Brigitte MEL, etc….
Marc-Claude de PORTEBANE
Président d’AURA Environnement
- Porte-parole du Collectif Greenbretagne (COGB)
- Membre des groupes de travail DMA et DAE ; Déchets du BTP ; Déchets organiques ; Déchets dangereux ; Filières régionales ; Prévention, sensibilisation, communication du Plan régional de prévention et de gestion des Déchets à la Région Bretagne
- Porte-parole de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux
-
Projet IndaChlor à LOON PLAGE : la pétition internet d'AURA Environnement fait Buzz, le journal LE PHARE DUNKERQUOIS lui consacre 1 page !
- Par auraenvironnementparis
- Le 13/06/2017
- Dans Pétition : STOP projet Usine à déchets dangereux IndaChlor, HALTE espèces menacées à Dunkerque !
Le Phare Dunkerquois titre "RECORD EN VUE" :
la pétition internet d'AURA Environnement
opposée au projet IndaChlor porté par Indaver
réalise le "carton" du siècle vers Dunkerque !
http://www.mesopinions.com/petition/animaux/contre-projet-usine-dechets-dangereux-indachlor/30569
La version papier de notre pétition
accueillie par plus de 95 %
des commerçants de LOON PLAGE
et la région de Dunkerque !
Plus de 975 signatures en 2 jours
de la pétition version papier !
Plus de 22 800 Signatures
de la pétition internet !
+ de 20 militant-es d'AURA Environnement
qui ont répondu aux angoisses du
Collectif de Préservation de l'Environnement
de la Région de Dunkerque (CPERD)
sont dans la région de Dunkerque pour
informer les habitants qui n'ont pas du tout
été consulté-es par leurs élu-es !
Nous vaincrons seul-es avec notre courage révolutionnaire pour une société plus juste et respectueuse des animaux et des humains FACE à des projets insensés comme celui d'Indaver à vers Dunkerque !
Un grand merci à nos ami-es commerçant-es de Loon-Plage d'avoir accepté notre pétition version papier :
- Tabac-Presse la Civette de Loon
- Sarl La Main à la Pâte
- Le Longhamp
- Sarl La Tente Verte
- Pizza City
- Loon Automobile, sarl Lavoine
- Tabac- Presse Stéphanie Bulteel
- Pharmacie Demaye-Delannoy
- L'Air Floral
- Supérette 8 à Huit
- Coiffure Diminu'Tif
- Opticien A Vue d'Oeil
- La P'tite Boutique
- Coiffure Imaginat'if
- Pizzeria Va Bene
- Assurances Denis Favrez
- Coiffure Sarl Concept
- Eurl Pizza Loon....
Tout-es et tous uni-es, nous gagnerons notre combat pour que l'usine d'Indaver ne vienne détruire notre écologie et nos emplois déjà existants !
Dunkerque n'a pas besoin d'Indaver pour survivre !
Nous espérons que les élu-es de la CUD (Communauté Urbaine de Dunkerque) ne tireront pas "dans le dos" des habitants de la région des Hauts-de-France !
Nous attendons donc avec impatience le RDV avec Benoit FERRE, le dir' cab' du président de la CUD, et ce, depuis plus de 15 jours ! Qu'on arrête de nous prendre pour des brèles !
Nous attendons avec impatience le permis de construire qui est actuellement instruit par la DDTM de Dunkerque et qui refuse de nous le communiquer !
Car, Camarades, c'est aussi, le service d'urbanisme de la CUD qui instruit et se substitue à la mairie de Loon Plage qui n'est plus qu'une chambre d'enregistrement voire même, plus qu'un simple boite-aux- lettres !
Mais dans tous les cas de figure, la décision finale est celle donnée par la DDTM 59 ne fait qu'appliquer les directives de l'Etat en matière d'urbanisme.
Ca va pas le faire Mesdames et Messieurs, si vous estimez vous passer de la Révolte populaire en germination !
Que la CUD et ses partenaires sachent que notre mobilisation ne fait que commencer :
- CCI Dunkerque
- Corsaire TV : la WebTV de la Communauté Urbaine de Dunkerque
- Département du Nord
- Dk'Bus Marine
- Dunkerque Culture Agglomération, portail culturel de l'agglo
- Dunkerque Flandre Côte d'Opale
- Dunkerque Nautisme
- Dunkerque Promotion
- Dunkerque Tourisme, Flandres et Côte d'Opale
- GECT West-Vlaanderen / Flandre-Dunkerque-Côte d'Opale
- Grand Port Maritime de Dunkerque
- La Halle aux Sucres (LCVD-AGUR-CMUA-INSET)
- Le Golf Blue Green Dunkerque
- Le PLUS , le palais de l'univers et des sciences
- Les Balises, le réseau des bibliothèques de l'agglo
- Université du Littoral Côte d'Opale
- Urbis, le magazine qui explore la ville
- Région Hauts-de-France Nord pas de Calais Picardie
- SCoT Flandre Dunkerque
Nous donnons RDV dans les prochaines semaines à nos camarades pour que la Lutte révolutionnaire enflammme les rues de Dunkerque !
INDAVER ne sera pas si nous sommes Uni-es contre ces Belges qui ne montent pas leur projet, chez eux, à Anvers - car il y a eu une explosion - mais chez nous, en France parce que l'Etat serait plus laxiste ?
A suivre
Marc-Claude de PORTEBANE
-
Cette violente explosion chez Indaver début 2016 à Anvers qui fait frémir de trouille Dunkerque !
- Par auraenvironnementparis
- Le 06/06/2017
- Dans Explosion Indaver à Anvers
Description :
"Chez la société de gestion des déchets Indaver dans le port d'Anvers, il y a eu une grande explosion vendredi après-midi. Indaver a signalé que personne n'a été blessé. Selon Indaver lui-même, c'était une explosion violente suivie de trois feux. L'explosion s'est produite dans un réservoir avec des solvants. Au moment de l'explosion, 117 membres du personnel étaient sur place et évacués."
Commentaire :
Filip Hostiucil y a 1 an (modifié)
"Nous étions en voiture de l'autre côté et au moment où nous étions arrivés juste à côté de cette explosion massive. Quelques secondes avant l'explosion, nous avons entendu ce son, semblable à un moteur à réaction, mais il venait du niveau du sol. Immédiatement après cette immense lumière, suivie du saum boom et de la chaleur. Ma voiture a secoué et je n'avais aucune idée de ce qu'il fallait faire - tout s'est passé si vite. Nous avons dû conduire à côté d'elle pendant une minute ou deux, jusqu'à ce que je puisse m'éloigner. Heureusement, personne n'a été blessé."
-
NOTRE IGNORANCE FORGE LEUR POUVOIR. Saint-Cyr-sur-Morin 77 décharge illégale : d'où proviennent les mâchefers ?
- Par auraenvironnementparis
- Le 04/06/2017
- Dans Mâchefers décharge illégale Saint-Cyr-sur-Morin
Mega Ecocides :
Nous n'avons pas fini de nous battre
contre leur cynisme méprisant !
Nous le constatons lorsque nous sollicitons certains élus de villes proches de verrues qui défigurent l'environnement, dans le cadre de la campagne des législatives, qui se croient suffisamment éloignés des futurs projets pour estimer que leurs administrés ne se sentent pas concernés et nous dire "qu'il faut bien faire quelque chose de nos déchets", entre autre les incinérer, faire un TMB ou nous faire gober de l'incinération déguisée via les infâmes CSR (combustibles solides de récupération) pas chez eux, mais évidemment chez nous !
Ce sont les mêmes qui produisent le plus de déchets et qui nous disent que le tri c'est compliqué... car ils ne veulent pas s'intéresser à ce qui marche ailleurs.
Du coup, ils n'y connaissent rien et on tourne en rond car au final c'est eux qui prennent les décisions, mais les pires.
C'est pourquoi nous avons une grosse pensée pour cette partie de la Seine-et-Marne qui est massacrée du fait de cette nullité et de ce mépris de ceux qui ont la charge de gérer nos déchets : à lire l'article de nos camarades de l'ADENCA (Fichés par les RG) sur les conséquences de l'incinération qui nous pend au nez si on se laisse faire : http://adenca.over-blog.com/2017/05/st-cyr-sur-morin-77-decharge-illegale-pourquoi-le-prefet-jean-luc-marx-ne-veut-pas-dire-de-quelle-usine-d-incineration-proviennent-l
AURA Environnement a décidé de lancer une offensive générale sur tout le territoire sur l'utilisation méconnue de ces mâchefers utilisés très généralement, notamment par les entreprises de travaux publics ou des entreprises de transport.
La question se pose sur la provenance de ces énormes quantités de mâchefers polluants déversés illégalement sur de bonnes terres agricoles de cette partie de la Seine-et-Marne.
Cette collectivité va-t-elle prendre en charge l’enlèvement des mâchefers ou laisser aux habitants du village rural de Saint-Cyr-sur-Morin le poids de cette décharge illégale ?
En effet, le mardi 16/05/2017, trois entreprises des secteurs des déchets et travaux publics répondaient devant la 31° chambre correctionnelle du TGI de Paris de gestion irrégulière de déchets.
Le jugement sera rendu le 04/07/2017.
En attendant, rien ne vous
empêche de lire Le Monde
(Ed. du 18/05/2017) :
"Entre le 3 août et le 14 septembre 2012, une noria de camions-bennes chargés de mâchefers est venue troubler l’atmosphère bucolique de Saint-Cyr-sur-Morin. Les habitants de ce village de Seine-et-Marne de 1 966 âmes l’ignoraient encore mais, durant cette période, les poids lourds ont acheminé pas moins de 31 000 tonnes de cette boue grisâtre issue de l’incinération d’ordures ménagères du Val-de-Marne, afin de les enfouir illégalement sur des terrains agricoles de leur commune.
Avant d’être interrompue par les protestations de riverains auprès de la mairie, l’opération avait pour but de faire disparaître frauduleusement, à moindres frais et en en tirant un large bénéfice financier, jusqu’à 80 000 tonnes de mâchefers. Lorsqu’ils ne peuvent être recyclés comme matériaux de sous-couches routières, ces déchets non toxiques doivent en effet être transportés aux frais de leur gestionnaire, et stockés dans des installations spécialisées pour un coût de 50 à 70 euros par tonne.
« Poupées russes »
Mardi 16 mai, dans l’affaire de Saint-Cyr-sur-Morin, trois entreprises des secteurs du traitement des déchets et des travaux publics répondaient, devant la 31e chambre correctionnelle du tribunal de grande instance de Paris, de gestion irrégulière de déchets, d’exploitation d’une installation classée pour la protection de l’environnement sans autorisation, de dépôt illégal de déchets et d’infraction aux dispositions du plan local d’urbanisme.
« C’est un système de poupées russes, sauf qu’ici la petite est destinée à cacher la grosse », a résumé le procureur pour décrire le montage réalisé par Remblais Terre Route Groupe Environnement (RTR), l’entreprise de transports Vitrans et Cideme, un centre technique de valorisation de mâchefers qui est une filiale de TIRU, société détenue à 75 % par EDF.
Tout a commencé en juin 2012, lorsque Habib Ben M’Hamed, un proche du clan mafieux Hornec, avec lequel il participait à des affaires."....
L’accès à la totalité de l’article est protégé
A suivre
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Les rendez-vous Développement Durable de Noisy-le-Sec avec AURA Environnement !
- Par auraenvironnementparis
- Le 03/06/2017
- Dans Les rendez-vous Développement Durable de Noisy-le-Sec
Journée "Ville Propre"le samedi 3 juin 2017 !Une journée pour agir en faveur de la propreté
Vous trouverez ci-joint le déroulé de cette matinée.9h00 : Arrivée aux points de rendez-vous. Vous retrouverez les adresses des points de rendez vous par quartier via notre MP.9h00 à 9h30 : Un référent par quartier vous attendra au point de rendez-vous, afin de vous fournir des gants et des sacs poubelles. N'hésitez pas à venir avec votre gilet jaune pour plus de visibilité.9h30 à 11h30 : Une fois le matériel récupéré vous pourrez commencer à ramasser les déchets que vous trouverez. Chacun choisit son parcours, une seule règle : Quand votre sac poubelle est plein, ramener le au point de rendez-vous. Ils seront ensuite ramassés par les agents du service propreté et apportés au centre technique municipal où ils seront comptés.Quelques règles de ramassage :- Vous pourrez faire le tri ! En effet vous aurez à votre disposition deux types de sacs poubelles. Des jaunes, pour le tri (carton, papier, plastique, canette..) et des transparents pour les autres déchets (alimentaires et déchets souillés).
- Si vous trouvez des emballages en verre non cassés, vous pourrez également les mettre dans les colonnes à verre à votre disposition dans votre quartier.
- ATTENTION ! Tous les déchets dangereux ne doivent pas être ramassés avec la main (verre brisé, objets tranchants...). Une pince de ramassage sera mise à disposition pour les récolter.
11h30 à 13h00 : C'est le moment de la collation. Rendez-vous tous sur le marché devant la pharmacie, place des découvertes, autour d'un verre de l'amitié pour échanger sur votre expérience et profiter des stands d'information sur le tri des déchets, avec la présence d'Est Ensemble et d'Unis Cité.Pour vous y rendre, pensez au covoiturage !- Êtes-vous intéressé(e) par le covoiturage ? oui ou non
- Combien de places libres avez-vous dans votre voiture ? 1 ou 2 ou 3 ou 4 ou 5
- Dans quel quartier participerez-vous à l'évènement ?
- Quels sont vos coordonnées ?
Je reste à votre disposition pour toutes informations complémentaires.Espérant vous voir nombreux à cette occasion,Très cordialement,Chargée de mission Agenda 21 et BiodiversitéDirection de l'Environnement et des Espaces VertsVille de Noisy le Sec01 49 42 67 98 / 06 21 14 24 51--Faites bonne impression!
N'imprimez ce message que si nécessaire.
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Parc naturel régional du Pilat : AURA Environnement reporte sa conférence de presse devant mairie Loire/Rhône !
- Par auraenvironnementparis
- Le 02/06/2017
- Dans Collectif de Défense de l’Environnement du Pilat - CDEP
Communiqué de presse :
La conférence de presse prévue samedi 03/06/2017 à 10h à la mairie de Loire/Rhône dans le parc naturel régional du Pilat a été reportée à une date ultérieure puisque nous attendons l'autorisation du maire de la commune Guy MARTINET et de Jean-Luc GELAS, son adjoint en charge de l'environnement.
Nous attendons la présence potentielle des représentants de l'Etat.
Ils arriveront en péniche par le Rhône ou trouveront-ils un port d'attache sur un terrain de la commune de Loire-sur-Rhône qui est une des vitrines du Parc naturel régional du Pilat ?
Les miltant-es du CDEP (Collectif de Défense de l'Environnement du Pilat) veillent au grain et ne manqueront de vous informer afin de vous donner RDV lorsque nous aurons la réponse du maire Guy MARTINET.
En attendant, ils continuent leur découverte du Pilat à vélo et plus précisément dans la région de Condrieu sur les routes goudronnées et parfumées à certains résidus de l'incinération.
Les boucles touristiques du Rhône continuent donc à vive allure !
Les animaux sont en ETAT d'ALERTE à LOIRE-sur-RHONE dans le Parc naturel régional du Pilat !
Après le feuilleton "Saint-Romain-en-Gal", le sketch "Loire-sur-Rhône" ?
A suivre avec délectation
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Le groupe Panzani s’engage à exclure les oeufs de batterie !
- Par auraenvironnementparis
- Le 01/06/2017
- Dans Le groupe Panzani s’engage à exclure les oeufs de batterie
Engagement Groupe Panzani
Le Groupe Panzani est fortement engagé dans un programme responsable sur le bien-être animal consistant à développer l’élevage en plein air des poules avec l’objectif d’être à 100% d’oeufs hors cage d’ici 2025.
Communiqué Lustucru Frais du 30 Mai 2017 à Lyon :
Suite à un communiqué de l’association L214 sur les mauvaises conditions d’un élevage d’oeufs qui aurait fourni la société Lustucru Frais, celle-ci tient à apporter les précisions suivantes :
- La société Lustucru Frais partage l’indignation des consommateurs face à ces images insoutenables
- La société Geslin possède plusieurs élevages mais l’élevage incriminé n’a jamais fourni le moindre produit à la Société Lustucru Frais.
- Cependant et par principe de précaution, la société Lustucru Frais a décidé:
1. de réaliser immédiatement un Audit sur les conditions d’élevage de la société Geslin, audit qui sera confié à un cabinet indépendant, la société Véritas.
2. de suspendre tout approvisionnement auprès des oeufs Geslin dans l’attente des résultats de l’Audit.
La société Lustucru Frais -
AURA Environnement au tribunal administratif de Lyon CONTRE décharge NICOLLIN à Saint-Romain-en-Gal : la presse en parle
- Par auraenvironnementparis
- Le 30/05/2017
- Dans STOP à la décharge NICOLLIN à Saint-Romain-en-Gal (Rhône)
AURA Environnnement n'a pas gagné son référé suspensif
au tribunal administratif de Lyon
(pas de vices de forme)
pour empêcher la décharge NICOLLIN de continuer
à rendre la vie insupportable aux populations locales de
Saint-Romain-en-Gal dans le Rhône en face de Vienne !
L'affaire sera jugée au fond dans les prochaines semaines.
Notre avocat Me Antoine RUFFIE du barreau de Libourne défend la cause des riverains et des populations locales in solidum avec AURA Environnement et le Collectif de Protection de l'Environnement du Pilat !
mais GRANDE VICTOIRE POUR AURA Environnement
Le tribunal administratif de Lyon a reconnu qu'AURA Environnement était apte à ester en justice, conformément à nos statuts. Ce que contestaient l'avocat de NICOLLIN !
A suivre
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Pétition : STOP projet Usine à déchets dangereux IndaChlor, HALTE espèces menacées à Dunkerque !
- Par auraenvironnementparis
- Le 29/05/2017
- Dans Pétition : STOP projet Usine à déchets dangereux IndaChlor, HALTE espèces menacées à Dunkerque !
STOP projet Usine à déchets dangereux IndaChlor
HALTE espèces menacées à Dunkerque !
LIEN PETITION : http://www.mesopinions.com/petition/animaux/stop-projet-usine-dechets-dangereux-indachlor/30569
Auteur : Marc-Claude de PORTEBANE, Président d’AURA Environnement, Porte-parole de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux et du Collectif de Préservation de l’Environnement de la Région de Dunkerque
Créé le 29/05/2017
À l'attention : Mr le président de la République Emmanuel MACRON, Mr le ministre de l'écologie Nicolas HULOT, Mr le préfet du Nord-Pas-de-Calais, UD DREAL GRAVELINES
UD - DREAL de Gravelines. A l'aztttention du service des ICPE
NOUS, signataires de cette pétition, en soutien de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux, du Collectif de Préservation de l’Environnement de la Région de Dunkerque (CPERD), de l’association loi 1901 de protection de l’environnement et des animaux AURA Environnement, nous nous opposons au projet IndaChlor prévu à Dunkerque et nous demandons aux services de l’Etat et aux élu-es des Hauts-de-France de prendre en considération les conditions de protection des espèces animales menacées suivantes à Dunkerque (Source : Inventaire National du Patrimoine National) : le Pingouin torda : l’Anguille européenne ; la Bécassine des marais ; le canard plongeur, le Harle huppé ; le migrateur de l’hémisphère Nord, le Grèle jougris ; le Bruant des roseaux ; le Goéland cendré ; le Cachalot ; le Guillemot de Troil…. pour ne citer qu’eux !Suite à notre précédente demande de documents administratifs à l’UD Dreal de Gravelines, je vous demande une nouvelle fois TOUS les documents communicables à ce jour concernant la future enquête publique du projet IndaChlor qui consiste à construire un incinérateur, potentiellement localisé sur l’emprise du Port de Dunkerque, avec une capacité de 60 000 T de déchets dangereux essentiellement fortement chlorés en provenance d’Europe du Nord.
Je vous ai fait cette demande au titre du droit à l’information en matière environnementale, notamment au regard de l’article L.124-1 du code de l’environnement. En effet, toute personne a droit d’accéder aux informations relatives à l’environnement dès lors que ce document est reconnu comme un document administratif relatif à l’environnement. Toute personne, sans avoir à démontrer un intérêt particulier, peut exercer pleinement ce droit d’accès en pleine application de l’article L.124-3 du code de l’environnement. La CADA (Commission d’accès aux documents administratifs) a estimé – à titre préliminaire - lors de sa séance du 16/09/2011 que l’article L.124-2 du code de l’environnement relevait du champs d’une demande de documents contenant des informations relatives à l’environnement et plus particulièrement, comme par exemple les déchets, les émissions….
La commission a considéré que, si en vertu de l’article 2 de la loi du 17/07/1978, sont en principe exclus provisoirement du droit à communication les documents préparatoires à une décision administrative, jusqu’au jour où cette décision intervient, aucune disposition de ce chapitre ne prévoit, en revanche, la possibilité de refuser l’accès aux documents qui s’inscrivent dans un processus préparatoire à l’adoption d’un acte qui n’est pas encore intervenu, dès lors que ces documents sont eux-mêmes achevés et que la demande est formulée dans le cadre de la recherche d’informations relatives à l’environnement.
Suite aux conclusions du Rapporteur général adjoint, Nicolas POLGE, Maître de requête au Conseil d’Etat, la CADA a donc émis un avis favorable à la communication d’un document achevé indiquant que sa communication ne pouvait, dès lors, être refusée au seul motif que la conclusion du marché n’était pas encore intervenue.
Par ailleurs, dans un récent reportage du JT de 20h de TF1 en date du 23/05/2017 consacré à ce projet INDACHLOR porté par Steven COPPENS – directeur de projet de la société belge INDAVER -, qui « espère » débuter fin de cette année 2017 son prochain site de traitement de déchets industriels qui devrait se construire sur le port de Dunkerque, nous avons constaté avec effroi, que Yann PITOLLET, le directeur général de Nord France Investissement (agence publique financée par la Région Hauts-de-France qui n’a pas la main sur la fiscalité et les subventions) se vantait (22 :34) publiquement d’avoir un certain « pouvoir » sur les décisions de l’Etat que vous représentez, en déclarant à l’antenne – à une heure de très grande écoute et ce, devant des millions de spectateurs – « être capable d’obtenir des autorisations administratives dans un délai de 4 mois au lieu de 8 à 10 mois ». Puisque ce monsieur semble si sûr de lui et si les services de l’Etat semblent lui accorder une telle audience, j’en conclus que vous n’aurez aucun mal à me transmettre dans un délai extrêmement rapide l’ensemble du dossier INDACHLOR dont le DAE que je vous ai demandé milieu de ce mois.
Nous aimerions connaître la position des services de l’Etat sur le souhait de la société belge INDAVER qui ne se cache pas dans un de ses dossiers de faire venir des déchets d’autres pays d’Europe du Nord à Dunkerque qui risque de devenir la « Poubelle de la France ».
En effet, ces déchets – dont ne veulent pas nos voisins - en provenance d’Europe du Nord seront acheminés par milliers de camions générant tous les risques - que l’on connaît bien malheureusement sur notre territoire - et qui augmenteront les émissions de gaz à effet de serre dans la région de Dunkerque, et plus particulièrement vers Loon Plage.
Cette société est de droit néerlandais. Les services de l’Etat ne doivent-ils pas se poser la question de l’intérêt fiscal d’une telle localisation lorsque l’on connaît la la situation particulière de ce pays au regard de la taxation des bénéfices sur les sociétés ? Les populations de Dunkerque et de sa région n’osent imaginer que ce projet funeste puisse bénéficier de subventions directes ou indirectes du contribuable français, pour, ensuite, potentiellement rapatrier des bénéfices sur un autre territoire qui ne serait pas le nôtre !
A la veille des élections législatives 2017, les populations locales et les riverains de Dunkerque – et in fine des Hauts de France - très attaché-es à leur territoire ne sont pas dupes et savent que l’un des sites exploités par le porteur de ce projet (qui se qualifie comme un « spécialiste de la gestion des déchets industriels ». Source : La Voix du Nord, 26/05/2016) a subi dernièrement une explosion majeure. Fort heureusement, cette explosion n’a pas eu lieu dans un site où les effets cumulatifs avec les autres industries mitoyennes auraient pu être extrêmement désastreux !
Veut-on laisser un projet destructeur d’emplois locaux se créer sur notre territoire pour permettre l’élimination de déchets dangereux dont ne veulent pas nos voisins qui génèrera de nouveaux risques environnementaux, sanitaires et sociaux ? On ne saurait penser que, dans notre pays et surtout dans notre région des Hauts-de-France, les querelles entre territoires urbains sont susceptibles d’aller au-delà de l’intérêt national !
Nous, AURA Environnement en soutien actif du Collectif de Préservation de l’Environnement de la Région de Dunkerque (CPERD), nous répondrons favorablement à l’appel des populations locales et des riverains de Loon Plage directement ou indirectement impacté-es par ce projet IndaChlor ; NOUS ferons en sorte d’informer massivement les populations afin que la République et les agents de l’Etat soient pleinement respectés par certaines agences publiques d’investissement qui font des déclarations intempestives et intolérables sur le fonctionnement de notre administration ; NOUS ferons savoir aux riverains et aux populations locales qu’IndaChlor ne servira absolument en rien la protection de l’environnement et des animaux ; NOUS demanderons leur avis aux populations locales sur IndaChlor qui mettra fortement en danger en fragilisant encore plus des structures économiques locales françaises et qui génèrera des risques majeurs tant au niveau du transport que du process lui-même afin d’éliminer au premier abord des déchets mais surtout pour créer des profits pour les autres pays européens !
Si vous deviez persister dans votre vaine tentative de maintenir une illégale opacité sur vos travaux qui menacent d’impacter la vie quotidienne de dizaines de milliers d’habitants de la région de Dunkerque et de milliers d’animaux, notre association AURA Environnement saisira immédiatement la CADA pour faire valoir ses droits.
Veuillez agréer, l’expression de notre haute considération et de notre totale détermination.Marc-Claude de PORTEBANE
- Président de l’Association AURA Environnement
- Porte-parole de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux
https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/
- Porte-parole du CPERD (Collectif de Préservation de l’Environnement de la Région de Dunkerque).
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Comment la décharge NICOLLIN arrose la commune de Saint-Romain-en-Gal !!!
- Par auraenvironnementparis
- Le 27/03/2017
- Dans STOP à la décharge NICOLLIN à Saint-Romain-en-Gal (Rhône)
Les moutons vers la décharge apprécieront !!!!
"L'environnement, c'est le métier" de NICOLLIN
sur papier glacé dans le bulletin municipal 2017 :
on voit pour qui les élu-es de la commune
ont de la sympathie ou de la haine !
Pas un mot sur l'action au tribunal administratif de Lyon d'AURA Environnement ou du Collectif de défense de l'environnement du Pilat (CDEP) dans le dernier numéro du bulletin municipal de Saint-Romain-en-Gal !
Pas un mot sur les réunions, les tractages, notre pétition (internet + papier distribuée chez les commerçants) qui recueille plus de 20 000 signatures, sur la volonté d'AURA Environnement et du Collectif de défense de l'environnement du Pilat (CDEP), nos difficultés à obtenir des documents pourtant administratifs, rien sur notre participation pacifiste aux voeux du maire en début d'année 2017 !
Pas un mot sur notre volonté d'aller au tribunal administratif de Lyon afin de contester l'arrêté préfectorel complémentaire du préfet du Rhône fin 2016.
Comment peut-on être CONTRE une décharge qui déverse ses odeurs insupportables sur de larges territoires vers les populations riveraines....
....alors que l'on accepte une grosse publicité en quadri du principal pollueur de la commune dans le Bulletin municipal 2017 ?
Et que penser de cette nouvelle association locale qui s'est monté fissa dans la précipitation depuis que nos camarades du Collectif de défense de l'environnement du Pilat et d'AURA Environnement ont investi massivement le terrain vers Saint-Romain-en-Gal depuis le projet d'arrêté préfectoral complémentaire ?
L'un des buts non-avoué est-il de faire croire que cette association (dont ils ont fissa retrouvé les statuts dans les cartons d'une autre association en sommeil... pour gagner du temps) serait à l'initiative du militantisme contre CETTE verrue, CETTE décharge du sud-lyonnais qui dégrade l'environnement de Saint-Romain-en-Gal depuis..... 1967 ?
Bonjour la pub de NICOLLIN en symbiose totale avec les déclarations contradictoires des élu-es contre la décharge de ce même NICOLLIN et de cette association locale qui a, elle, les faveurs de la presse locale !!!!
Puisque la presse locale et le Bulletin municipal vous le disent.... il faut les croire, non ?
Petit sujet pour la presse locale :
- Où vont donc les poubelles de la commune de Saint-Romain-en-Gal ?
CAMARADES du Collectif de défense de l'environnement du Pilat (CDEP), d'AURA Environnement, de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux NOUS CONTINUERONT seul-es nos luttes avec les populations locales jusqu'à la fermeture définitive de cette décharge !
Nous ne cèderons JAMAIS rien !
La lutte révolutionnaire sera toujours la seule ligne de lutte !
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Décret et merde en - dans #décharges : interdiction cotons-tiges et produits de gommage avec microbilles plastique
- Par auraenvironnementparis
- Le 08/03/2017
- Dans STOP cotons-tiges et produits de gommage avec microbilles plastique en décharge
Le décret encadrant l'interdiction de mise sur le marché à titre gratuit ou onéreux de gommages à microbilles plastique et des cotons-tiges en plastique a été publié au Journal officiel du 8 mars. Ces interdictions, prévues par la loi sur la biodiversité, entreront en vigueur le 1er janvier 2018 pour les produits cosmétiques et le 1er janvier 2020 pour les bâtonnets ouatés.
En revanche, les soins de gommage contenant des "particules d'origine naturelle non susceptibles de subsister dans les milieux, d'y propager des principes actifs chimiques ou biologiques ou d'affecter les chaînes trophiques animales" pourront être mis en vente au delà de cette date. Un arrêté précisera cependant les critères nécessaires en termes de temps, de conditions de dégradation et d'impact sur les milieux pour pouvoir être mis sur le marché.
Concernant les cotons-tiges, l'interdiction vise ceux qui ont un usage domestique, non destinés à un usage médical, et dont la tige est en plastique. Un arrêté précisera la composition de la tige de ce bâtonnet ouaté ainsi que ses conditions de biodégradabilité.
Le texte redéfinit également quel type de vaisselle jetable est concernée par la future interdiction : gobelets, verres et assiettes en matière plastique, conçus pour une utilisation unique, hors ceux qui répondent aux exigences de la norme française homologuée relative aux spécifications pour les plastiques aptes au compostage domestique ou en matière biosourcée.
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Nouvelles du front de Notre-Dame-des-Landes : vigilance anarcho-marxiste d'AURA Environnement autour de Nantes transition énergétique
- Par auraenvironnementparis
- Le 07/03/2017
- Dans ZAD Notre-Dame-des-Landes
Communiqué :
Merci de nous signaler toute information sur d’éventuelles présences de flics ou d’engins de travaux autour de la ZAD au numéro d’urgence : 06 43 92 07 01 (pour contact presse uniquement : 06 95 06 81 49). Nous faisons appel à votre vigilance.
Les infos d’urgence qui tournent sur les réseaux sociaux ne sont pas toujours confirmées. Restons vigilants, mais évitons de crier au loup ! Ca nous permettra de réagir rapidement. Avant de faire tourner une info, merci de contacter par mail ou téléphone la ZAD et/ou l’ACIPA pour vérification. Si nous estimons que la menace est immminente et réelle, nous le ferons savoir par un message commun sur les diverses listes, sur le site de la ZAD et sur celui de l’ACIPA. En attendant, nous invitons chacun à prendre avec recul les messages et rumeurs circulent par ailleurs et par d’autres biais.
Pour vous inscrire/désinscrire à notre mail liste pour les nouvelles, communiqués, alertes, etc. Le flash infos est maintenant disponible en flux RSS.
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lundi 6 mars
NDDL
La Confédération paysanne a déposé un recours au tribunal administratif de Nantes au motif que le Scot ne permet pas de limiter la consommation des terres agricoles.,
pendant ce temps la maire de Nantes apporte son soutien à Benoit Hamon malgré son opposition au projet d’aéroport : ça doit être parce qu’elle prépare son grand débat : Nantes transition énergétique : y a jusqu’au 31 mars pour dire ce qu’on pense de leur greenwashing pseudo participatif ! -
ZAD
une journée bien venteuse par ici, parfaite pour une séance de lecture :
voilà un entretien retranscrit dans un journal roman d’écologie politique avec un camarade romand actif sur la ZAD de Notre-Dames-des-Landes :Les zones à défendre comme refus de pactiser avec le réel
et on nous signale la sortie d’un livre sur des luttes en Alsace dans les années 70-80 : qui nous fait revivre les camps d’occupation illégaux mais véritables lieux de vie riches de rencontres et d’expériences démocratiques nouvelles que furent Marckolsheim (1974) ou Wyhl (1975) et décrit la folle aventure des radios libres, au nez et à la barbe des gendarmes, et à travers l’exemple de la pionnière Radio Verte Fessenheim : Une histoire des luttes : L’épopée alsacienne du Dreyeckland
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Au menu Réunionïte SICTOM Pézenas 01/03/2017 : ce mystérieux incendie Usine à poubelles Valorsys à La Valasse à Montblanc ?
- Par auraenvironnementparis
- Le 27/02/2017
- Dans HALTE Usine à poubelles VALORSYS La Valasse à Montblanc
Le SICTOM de Pézenas ne s'en vante pas trop
sur son site internet mais l'incident s'est bien produit
le 21/04/20166 à 10h à l'Usine à poubelles flambante neuve
sur le site Valorsys de La Valasse à Montblanc !
VDPO : comprendre Valorsys Près des Oliviers
Patatras. AURA Environnement a eu vent de l'incident survenu à l'occasion du fonctionnement des opérations de tri-conditionnement sur le site de Valorsys à Montblanc où le maire et sa majorité municipale sont à 100 % pour cette Usine à poubelles de l'Ouest de l'Hérault !
Alors que la presse locale n'en parle pas, AURA Environnement et le Collectif de Protection de l'Environnement et du Vignoble vers Montblanc (CPEVMB-34) qui réunit les populations locales vous confirment bien que l'exploitant a dû faire face à départ de feu sur la zone de réception amont du centre de tri-conditionnement. Ce départ a été géré par les équipes de la COVED conjointement avec les services de secours "appelés immédiatement". Imaginons, si les "pompires" n'étaient pas intervenus rapidement ? Ils ont traversé sirènes hurlantes la commune voisine de Bessan ou celle de Montblanc ?
Les moyens en place sur le site, ont été utilisés : 2 RIA et 1 motopompe complétée par 1 fourgon pompe des pompiers.
Les fumées ont - ENFIN - été maîtrisées "quelque temps après l'arrivée des pompiers vers 11h".
Question aux membres du SICTOM : pourquoi a-t-il fallu autant de temps pour les maîtriser ?
La zone de déchets touchés a été limitée à une surface arrosée de 5 m x 5 m, et l'arrosage de ces déchets manipulés a même duré jusqu'à 13h, horaire de départ des services de secours.
Question aux membres du SICTOM : les vignobles des alentours ont-ils été impactés par des envols potentiellement toxiques pour la formation des raisins ? Des dioxines se sont-elles transportées dans l'atmosphère des communes de Montblanc, de Bessan, de Vias, etc...?
L'avis de l'INAO a-t-il été demandé, car, selon l'exploitant "il n'y a pas eu d'émission significative de fumées".
Pas significative dans quel sens ?
Toujours selon l'exploitant, "Il n'a pas été nécessaire d'ouvrir les trappes de désenfumage" qui indique également que "Le volume d'eau consommé stocké dans la rétention du bâtiment et absorbé par les déchets (pas de rejet) est évalué à moins de 200 m3".
Question aux membres du SICTOM : nous aimerions connaître le volume d'eau exact d'eau utilisée.
On apprend aussi que "La réception des apports a été suspendue le 21/04/2016 ; une reprise partielle des apports a été effectuée le 22/04/2016 (uniquement les encombrants de déchetteries du Sictom de Pézenas-Agde) puis progresivement" tandis qu' "Une surveillance physique dans la nuit du 21/04 au 22/04 a été mise en oeuvre par précaution pour éviter une éventuelle reprise".
Question aux membres du SICTOM : combien de caméras de vidéosurveillance sur ce site ? Qui les gère ? Peut-on avoir une copie de l'enregistrement de ce départ de feu ?
Question aux membres du SICTOM : comment se fait-il que Vincent LAMBERT (Direction d'Exploitation Hérault - COVED SAS/VALORSYS SAS - RD 28 34290 MONTBLANC) n'ait pas pu prévenir à l'avance cet incident qui commence à faire tâche dans les environs, lorsqu'il prévenait ..... après ce départ de feu : "Afin de gérer la source et l'origine du départ de feu, un rappel sur les déchets interdits dans les bennes d'encombrants de déchetteries a été effectué auprès des collectivités apporteuses, et notamment sur les produits évalués comme à risques : fusées de détresse, fumigènes, camping-gaz ou soufre de traitement viticole" ?
Très intéressant, tout cela, non ? .
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Convergences Greenpeace #Fessenheim & Appel à soutien urgent pour une ZAD à Aix-en-Provence !
- Par auraenvironnementparis
- Le 23/02/2017
- Dans ZAD à Aix-en-Provence
Convergences Greenpeace #Fessenheim :
Les sentinelles d'AURA Environnement
en renfort à Aix-en-Provence !
"Nous sommes toujours mobilisés devant les entrées du parc Rambot et dans les arbres qui doivent être coupés. Il apparait que la situation risque de se corser et devenir beaucoup plus tendue qu’hier (dixit un représentant de la ville). Je vous serais reconnaissante de bien vouloir nous assurer de votre présence en couvrant l’évenement ou en renforçant les activistes.
Non aux projets inutiles et imposés ! " Contact sur place : Charlotte (06 62 63 79 79).NON AU PARKING SOUS LE PARC RAMBOT ! NON AU SACRIFICE DES ARBRES !
Aujourd’hui la Ville d'Aix-en-Provence s’acharne sur la destruction du Parc Rambot afin d’y construire un parking souterrain de 250-400 places.
25 arbres irremplaçables (dont certains centenaires) seront sacrifiés par la découpe de leurs racines (cernage) en préparation de ce projet insensé qui est aujourd’hui SANS AUTORISATION FORMELLE.
L’exploitation du Parc Rambot en Parking est:
EN VIOLATION du legs de 1859 par Gustave Rambot qui stipule que le Parc devra être et rester « un jardin d’agrément public qui ne pourra être transformé en rentes »
EN CONTRADICTION avec le Plan Local d’Urbanisme validé en 2015 par le Conseil Municipal
et qui place le parc en zone inconstructible pour les 5 années à venir
EN OPPOSITION au Plan de Déplacements Urbains qui prévoit l’éloignement des parking du centre-ville
EN TRANSGRESSION de la procédure légale qui accorde aux citoyens le droit de recours
Chaque signature renforce la portée de notre voix collective ! Activez vos réseaux, svp !
CONTEXTE:L’association est toute jeune (2016) et s’est créée pour informer et mobiliser les aixois des conséquences malheureuses d’un plan de requalification de certains espaces de la ville d’Aix-en-Provence. Ces changements consistent en un réaménagement d’un ensemble de trois places historiques (Verdun, Prêcheurs et Madeleine) dont le point de départ est la réfection nécessaire des réseaux (électriques et d’eau) enterrés. La mairie profite de ces travaux pour, du même coup, optimiser l’attractivité commerciale de cet espace qu’elle estime tomber en désuétude. Pour compenser la suppression de 400 places de stationnement inhérente aux travaux, la mairie a consigné dans son Plan de Déplacement Urbain de 2015, la création de places de substitution pour les résidents à proximité du Cours des Arts- et-Métiers, un quartier du centre-ville. Elle promet parallèlement aux associations de commerçants des Trois Places de dédier ces mêmes stationnements à un parking commercial.
Jusque-là rien à signaler… si ce n’est que la ville semble avoir omis le fait que ces rénovations entraîneront l’abattage de plusieurs arbres centenaires, représentants emblématiques et climatiseurs naturels permettant à la ville d’Aix de « respirer » au plus chaud de l’été.
En effet, fin juin 2016, la Mairie a annoncé que la quasi-totalité des platanes des places Verdun, Prêcheurs et Madeleine doivent « être abattus en urgence », du fait de leur dangerosité. L’APPEA accompagnée de deux associations et de quinze citoyens aixois, a déposé une requête auprès du Président du Tribunal administratif de Marseille en vue de faire désigner un expert indépendant chargé de juger l’état réel de ces arbres. Elle rappelait alors que, leur expert, M. D. BONFORT, n’était pas aussi alarmiste quant au danger que représentaient ces platanes. Le 9 septembre 2016, une décision a été rendue faisant intégralement droit aux demandes présentées. Un expert fut nommé avec pour mission de décrire l’état phytosanitaire des platanes des Trois Places tout en suivant leur état pendant la durée du chantier pour qu’il ne leur arrive aucun dommage. Cette jurisprudence traduit une avancée majeure pour l’arbre dans la ville d’Aix-en-Provence et a permis de sauver 17 arbres. La Mairie d’Aix-en-Provence a cependant fait appel de la décision. Le combat ne fait que commencer …
Victime collatérale de ces travaux, le Parc Rambot, plus ancien parc de la ville (dont les arbres centenaires ont vu passer des générations d’aixois et de touristes), est aujourd’hui également menacé. Jouxtant l’avenue historique « Cours des Arts-et-Métiers », à moins de 300 m des Trois Places, ce lieu a été retenu pour accueillir dans son sous-sol, un parking de 400 places.
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Message URGENT de dernière minute de P.E : " Urgent cette apm la police a évacués la zad du parc rambot a aix en pce . Les zadiste ont besoin de vous pour reprendre les arbres . No pasaran. Non au parking sur le parc rambot. Zad partout
La solidarité est une force. " -
Arrêté préfectoral complémentaire passé sous silence : AURA Environnement bouscule l'agenda bien trop cool mairie Montblanc (34) !
- Par auraenvironnementparis
- Le 22/02/2017
- Dans HALTE USINE à POUBELLES LA VALLASSE à MONTBLANC (Hérault)
La majorité municipale de Montblanc (34) a "omis"
de mettre à l'ordre du jour de la séance du 23/02/2017
l'arrêté préfectoral complémentaire signé par le préfet de l'Hérault
alors qu'AURA Environnement en avait informé secrétaire mairie !
Sous l'oeil "vigilant" du préfet de l'Hérault et du sous-préfet de Béziers !!!!!
Le respect des animaux et de l'environnement est-il au centre des préoccupations
de l'actuelle majorité minicipale de Montblanc dans l'Hérault ????
Douche froide pour certain-es élu-es de Montblanc qui n'ont pas été informés correctement par leur maire ni par sa majorité minicipale mais qui n'ont eu communication de l'arrêté préfectoral complémentaire (signé par le préfet de l'Hérault, le 09/02/2016) que par AURA Environnement !
Alors qu'AURA Environnement avait pris RDV avec Olivier TRAITEUR, (photo ci-dessus), le secrétaire général de la mairie de Montblanc - le 14/02/2017.... puisque le maire n'était pas dispo, lui !!!!
(Nous attendons toujours que Mr TRAITEUR nous communique les petites documentations demandées. Mais CHUT !
Raison pour laquelle, demain 23/02/2017, dans l'ordre du jour de cette séance du conseil municipal, ne figurera AUCUNEMENT cet arrêté préfectoral de prescriptions préfectorales complémentaires, de modification des prescriptions préfectorales d'exploitation des installations de tri et de stockage de déchets non dangereux de l'Ecopôle de la Valasse à Montblanc, et non pas dans les communes très sympas et voisines de Vias (tourisme, caravaning) ou à Bessan (transport)... impactées directement dans la vie quotidienne mais indirectement en droit !
Or, c'était sans compter sans la vigilance des militant-es d'AURA Environnement qui arpentent depuis plus de 3 mois la région de Béziers où tout semble se dérouler "à l'ancienne" entre gens "bien informés" et de "bonne famille" !
Le Collectif de Protection de l'Environnement et du Vignoble vers Montblanc (CPEVMB-34) a décidé de monter au "front" de la contestation et de ZOOMER pour les masses ignorantes ce qui va se tramer pour les prochaines decennies !
SAUVONS NOS ANIMAUX - SAUVONS NOTRE ENVIRONNEMENT - SAUVONS NOTRE VIGNOBLE à MONTBLANC !
STOP au TMB (tri mécano-biologique) de nos poubelles qui cumule échecs sur échecs en France mais en Europe !
Camarades de base, ne soyez pas IGNORANT-ES ! Regardez ce qu'il se passe ailleurs ! Regardez le désastre de ces usines TMB !
Camarades des écoles : parents d'élèves, élèves, instituteurs, professeurs, camarades ouvriers et employé-es, camarades fonctionnaires de la base, camarades-paysans, camarades de la sociéte civile : réagissez !