Articles de auraenvironnementparis
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Destruction de l'environnement vers Roussas par décharge Coved-Paprec envols plastiques : nos preuves !
- Par auraenvironnementparis
- Le 22/02/2017
- Dans STOP décharge Coved-Paprec à Roussas
C'est quand même étonnant que les élu-es de
la région de Roussas n'aient pas plus amplement
protesté CONTRE ses envols inadmissibles de plastiques
et les dommages collatéraux animaux et flore !!!
Notre pétition :
http://www.mesopinions.com/petition/animaux/sauvons-chaussette-diesel-odeurs-envols-plastiques/27978
de 2013 :
Nous demandons à tous les défenseurs des animaux et de la nature de venir en masse, le 14 juillet 2017, pour participer à notre DIE-IN...
.....dans les rues de Roussas dans la Drôme pour qu'il n'y ait plus AUCUN envol de plastiques dans la nature vers Roussas !
Ces envols sont une honte et un scandale totalement méprisant vis-à-vis de la faune et de la flore.
L'Etat doit faire face à ses responsabilités !
Plus de 19 000 signatures pour notre pétition !
Objectif : 100 000 signatures !
à 2017 :
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ALTRIOM ZA de POLIGNAC (43) : les confidences d'AURA Environnement sur ce rapport SECRET de la Dreal Auvergne-Rhône-Alpes !
- Par auraenvironnementparis
- Le 21/02/2017
- Dans HALTE ALTRIOM ZA de POLIGNAC (Haute-Loire)
Tandis que des avenants pleuvent entre la collectivité & ALTRIOM
sous la forme de pénalités à la charge du contribuable......
Quelques écarts mineurs et 18 constats pépère ont été
relevés par la Dreal AUVERGNE-RHONE-ALPES en 2015 !
NOTA BENE : les dirigeants d'ALTRIOM poliment contactés aux tél par AURA Environnement se sont défilés !!!!!
Si la Dreal Auvergne-Rhône-Alpes ne tient pas trop à communiquer, c'est que l'ICPE (Installation classée pour la Protection de l'Environnement) ALTRIOM est sous l'artillerie de plusieurs associations environnementales et de la presse spécialisée dans la défense de l'environnement et plus particulièrement dans le petit monde des déchets où toutes sortes de saloperies sont permises contre la nature et les animaux !
Ce rapport CONFIDENTIEL de visite de la Dreal Auvergne-Rhône-Alpes a été la 1ère visite d'inspection après mise en service del'installation au 01/07/2014.
Liste des installations inspectées :
- Bâtiment de réception des déchets,
- Bâtiment de tri des ordures ménagères,
- Halles de fermentation, d'affinage et de maturation du compost,
- Bâtiment de fabrication du combustible solide de récupération (CSR),
- Bassins de gestion des eaux,
- Installations de traitement de l'air.
X, l'inspecteur de la Dreal présent a rencontré les personnes suivantes : Mathieu CHARREYRE, PDG ; Fabien CHARREYRE, directeur ; Julien CHENEVOTOT, directeur d'exploitation ; Fabienne VALENTIN, responsable QSE ; Lise MALAVAL, agent d'accueil.
Principales constatations effectuées :
"Les dispositions constructives (murs coupe-feu, dispositifs de désenfumage et de cantonnement des fumées) et les moyens de lutte incendie sont en place. Les dispositifs de gestion des eaux ont été mis en palce. Les analyses de suivi des rejets dans l'eau et dans l'air sont réalisées. La gestion du tri et du traitement, après une période de réglage, apparaît maîtrisée moyennant quelques adaptations. En revanche, les débouchés du compost et du combustible solide de récupération constituent un enjeu majeur pour la pérennité de l'installation...."
AH BON ? ET POURQUOI ?
"4 écarts mineurs ont été constatés :
- Fréquence non-respectée d'analyse du rejet d'eaux pluviales
- Délai non-respecté pour la mesure du bruit
- Absence de rétention pour des produits hydrocarburés
- Apport de compost de déchets verts non prévu dans le processus de compostage..".
AH BON ? ET POURQUOI ?
A suivre.
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Offensive gérérale ZERO WASTE & AURA Environnement ALTRIOM : la DREAL Auvergne-Rhône-Alpes comportement idem Pinochet !
- Par auraenvironnementparis
- Le 21/02/2017
- Dans HALTE ALTRIOM Haute-Loire
Finistère (GUYOT Environnement : Saint-Martin-des-Champs) ; Drôme (COVED-PAPREC : Roussas) ; Haute-Loire (ALTRIOM : Polignac)......
Certains fonctionaires de la DREAL Auvergne-Rhône-Alpes
sous les ordres de leurs préfets respectifs
se comportent en ennemis de l'Etat en prenant
constammment la défense des pollueurs afin
de vous tromper et ne pas donner la Vérité !
Vous devez nous aider afin de trouver d'autres solutions que les juridictions administratives pour engager des procédures les engageant personnellement, car ils ne respectent pas la Constitution et encore moins la République. Tout se fait en cachette dans ce pays !!! Ne croyez surtout pas ce qu'ils vous disent. Ils nous mentent souvent. Les enquêtes publiques ne sont que tartufferie. Les dés sont pipés d'avance. Quoique nous fassions, ce sera toujours le pot de terre contre le pot de fer. Les dirigeants de la Corée du Nord, ce sont eux ! Ce sont des parias anti-républicains qui ne sont pas dans le consensus démocratique et qui trahissent les idéaux de la République. N'ayons pas peur de l'engeance pinochétiste ! Battons-nous avec nos tripes pour la défense des animaux et de l'environnement. Heureusement que tous les fonctionnaires de la Dreal ou de la DDPP ne sont pas toutes et tous comme cela ! Nous ne vous parlerons pas, non plus, de celles et ceux qui se connectent sur les sites de rencontre pendant leurs heures de travail..... au frais du contribuable !!! Demandez aux responsables départementaux des DDPP et des DREAL, les nombres de leur RTT respectifs !
Avec le dossier ALTRIOM, nous sommes plusieurs à avoir découvert nombre d'interrogations.
AURA Environnement demande également des éclaircissements sur ce qui se passe à Polignac et surtout comment est utilisé l'argent public !!!
La réponse de Zéro Waste :
Réponses tardives, refus de fournir des documents pourtant communicables de droit... obtenir des informations sur la gestion des déchets par les industriels n’est pas toujours chose facile, alors même que la loi française est très claire. Elle consacre en effet « le droit de toute personne d'accéder aux informations relatives à l'environnement détenues, reçues ou établies par les autorités publiques » (articles L124-1 et suivants du Code de l’environnement).
Une usine qui valoriserait 90% des déchets et refuse de transmettre ses rapports d’exploitation ?
A Polignac (Haute-Loire), l’usine « Altriom - Ecopôle tri et valorisation des déchets », fait grand bruit : elle affiche un résultat très prometteur de « 90% des déchets de la poubelle grise valorisés ».
Curieux d’en savoir plus sur le procédé qui permettrait d’atteindre un tel résultat, Zero Waste France a demandé à l’exploitant de l’usine, en juillet 2016 puis en janvier 2017, la transmission de ses rapports annuels d’activité, afin de connaître précisément le détail de ce qui entre et sort de l’installation.
Suite au silence assourdissant de l’exploitant, Thibault Turchet (juriste dans l'équipe permanente de Zero Waste France) a contacté la Direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement (DREAL) Auvergne / Rhône-Alpes. Cette administration dispose en effet des documents devant lui être remis périodiquement par les exploitants de ce type d’usines (quantités réceptionnées et évacuées, polluants rejetés dans l’eau et l’air, analyses des déchets et du compost, statistiques détaillées...). Malheureusement, c’est un nouveau refus que nous avons essuyé !
Face à ce manque de transparence, le doute s'installe : les chiffres exemplaires avancés par Altriom ne seraient-ils que des objectifs, loin d'être atteints ? Et de quelle valorisation parle Altriom ? Nous suspectons une "valorisation" essentiellement énergétique, alors que la valorisation matière (recyclage) devrait être la priorité.Zero Waste France Saisit la Commission d’accès aux documents administratifs
Zero Waste France saisit donc ce jour la Commission d’accès aux documents administratifs (CADA), qui est une autorité administrative indépendante chargée de rendre un avis lorsque l’accès à un document est refusé par une administration.
« En 2017, on pourrait penser que ce genre de pratique n'a plus cours. Et pourtant, il est régulièrement fait obstacle à l’accès à des documents parfaitement communicables sur simple demande » constate Thibault Turchet, responsable des affaires juridiques à Zero Waste France.
C’est pourquoi nous invitons les associations à aller jusqu’au bout de leurs démarches, trop souvent interrompues par découragement. Il suffit en effet de bien garder une trace des demandes initiales, d’attendre un mois puis de saisir la CADA si nécessaire (les procédures sont bien expliquées sur son site).
Nous attendons désormais l’avis de la CADA, et appelons les industriels et administrations concernées à un respect plus rigoureux du droit d’accès à l’information en matière environnementale. -
Décharge NICOLLIN à Saint-Romain-en-Gal : les précisions du président KOVACS de ViennAgglo :
- Par auraenvironnementparis
- Le 21/02/2017
- Dans Fermeture définitive décharge Saint-Romain-en-Gal
Arrêté préfectoral complémentaire préfet du Rhône
décharge NICOLLIN à Saint-Romain-en-Gal (69).
Le président de ViennAgglo
Thierry KOVACS prend position :
Communiqué en accord entre Thierry KOVACS et AURA Environnement :
"Lors de la cérémonie des voeux du 06/01 à la salle polyvalente de Saint-Romain-en-Gal, le Collectif de Défense de l'Environnement du Pilat (CDEP) a demandé au président de ViennAgglo de bien vouloir regarder de près la question de la demande de prolongation de la décharge Nicollin. Le président Thierry KOVACS, soucieux des désagréments intolérables en matière d'odeurs infernales autour de la décharge Nicollin subis par les populations locales et les riverains a décidé de regarder de près la situation avec le CDEP".
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Décharge COVED-PAPREC à Roussas : la pétition d'AURA Environnement cartonne + DIE-IN le 14 juillet 2017 rues #Roussas :
- Par auraenvironnementparis
- Le 15/02/2017
- Dans STOP décharge Coved-Paprec à Roussas
Rencontres écolos à Roussas
si l'Etat continue à faire de la rétention
de l'information à AURA Environnement :
TOUS au DIE-IN du 14 Juillet 2017
dans les rues de ROUSSAS !
17 450 signatures en 8 jours + 453 Commentaires
pour notre pétition :
http://www.mesopinions.com/petition/animaux/sauvons-chaussette-diesel-odeurs-envols-plastiques/27978
image: http://l-idiot-provincial.e-monsite.com/medias/images/rouss-098.jpg?fx=r_900_1200
DEFINITION du DIE-IN organisé par AURA Environnement : Manifestation pacifique de piétons et/ou de cyclistes qui s’allongent par terre tous ensemble sur la voie publique afin d’illustrer la conséquence la plus tragique d'une décharge, la mort. L’expression « Die-In » dérive de l’anglais « Sit-In » (Manifestation pacifique constituée de personnes assises par terre sur la voie publique). Le Die-In est un évènement symbolique (au même titre qu’un Sit-In ou un Bed-In) à caractère théâtral. Un Die-In demande à ses participants de simuler la mort à l’intersection de deux rues pour représenter les conséquences d'une décharge les plus fâcheuses pour l'environnement : la mort du tourisme, la mort de nos terroirs, la mort de nos savoir-faire, la mort de nos traditions .....
Plus d'infos et inscriptions citoyennes, ici : http://l-idiot-provincial.e-monsite.com/
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Guide Hachette & Wine Advocate de Robert Parker consultés par Domaine de Coussergues sur + odeurs Usine à Poubelles "Ecopôle de la Valasse" #Béziers ?
- Par auraenvironnementparis
- Le 12/02/2017
- Dans STOP Ecopôle de la Valasse à Montblanc
Alors que les populations locales vers Montblanc (34) commencent à voir rouge :
la société VALORSYS PRES DES OLIVIERS et le préfet 34 ont-ils
demandé les avis du Guide Hachette et du Wine Advocate de Robert Parker
pour les futurs envols de poussières,
pulvérisations d'odeurs de l'Usine à poubelles
"Ecopôle de la Valasse" près du prestigieux "Domaine de Coussergues" ?
Marc-Claude de PORTEBANE
Le Château de Coussergues se situe à dix kilomètres à l'est de Béziers, sur les dernières collines dominant la Méditerranée. Cette vaste (310 ha) et ancienne seigneurie royale de 1495 est la propriété de la famille Sarret de Coussergues depuis quinze générations.
Le prestigieux Domaine de Coussergues qui se trouve sur la départementale 28 entre Béziers et Bessan en dehors du village de Montblanc (Sorties d’autoroute : Sortie autoroute A9 Agde – Bessan (sortie n°34) = 8km ; Sortie autoroute A9 Béziers - Est (sortie n°35) = 15km ; Aéroport de Béziers - Cap d'Agde = 15km. Distances avec les villes alentours : Béziers : 10 km, Cap d’Agde : 12 km, Pézenas : 15 km, Montpellier : 60 km) a-t-il prévenu les Guide Hachette et le Wine Advocate de Robert Parker de ce qui se prépare à quelques centaines de mètres de son vaste territoire dont est issu un vin de pays/IGP Oc, le "Coussergues" qualifié par Hachette, (Guide 2016), de "Rouge tranquille" possédant "Une majorité de cabernet-sauvignon (80 %) associée à du petit verdot, voici les bases de cette cuvée très sombre, au nez classique de fruits noirs sur fond de boisé chocolaté et vanillé, au palais bien équilibré, alliant puissance, rondeur et volume." ?
En effet, le 24/11/2016, la DREAL Occitanie présentait aux membres du CoDERST un projet de modifocation des prescriptions préfectorales d'exploitation des installations de tri et de stockage de déchets non-dangereux. Site concerné : VALORSYS PRES DES OLIVIERS - RD 28 - 34290 MONTBLANC.
Avec en PJ un plan de situation, des plans des installations (DDAE et REALISE) ainsi, qu'en cadeau, un projet d'arrêté préfectoral ... qui ne comporte pas les mêmes références dans la pièce communiquée aux membres du CoDERST (UT34/H2/2016/121) et dans le projet qui mentionne lui : UD34/H2/2016/121 !
Une petite erreur qui risque d'être de donner raison à AURA Environnement au tribunal administratif ?
A cette réunionïte du CoDERST de l'Hérault, il leur a été proposé de réserver une suite favorable au projet d'arrêté établi afin "d'encadrer les modifications" pour lesquelles la DREAL Occitanie n'a pas eu d'objection, et afin de prendre en compte les 11 aménagements déjà cités par le préfet "conformément au courrier du préfet daté du 11/01/2016".
Très intéressantes les nouvelles prescription de l'article 7 sur les "Envols de poussières", de ce projet d'arrêté du préfet, Pierre Pouëssel, notamment l'ensemble des pistes non-revêtues d'accès aux alvéoles de stockage des remblais qui feront "l'objet d'aspersions d'eau aussi souvent que nécessaire notamment en périodes sèches et ventées" ........
Quelles seront les incidences sur les vignobles environnants et la qualité de leurs vins lorsque Pouëssel Pierre prendra un arrêté portant mise en place des mesures de restrictions des usages de l'eau dans le cadre de la gestion de la sécheresse des 20 prochaines années ?.
L'arrêté préfectoral complémentaire a été signé vendredi 10/02/2017 !
ORGANISONS LA RESISTANCE !
DEFENDONS NOS PRODUCTIONS VITICOLES !
Pas question de "baisser la garde" sur les dispositifs de limitation d'émission des poussières de ces installations qui occupent une surface totale de 41 ha en tout ou partie des lieu-dits "La Martinique", "La Croix", "Mont-Auriol" et "La Valasse" !
N'hésitez pas à demander à vos élu-es de Montblanc - qui sont d'ardents défenseurs de l'environnement - leurs avis sur les caractéristiques des rejets à l'atmosphère et les teneurs en polluants des émissions gazeuses (dont les COV hors méthane) ou les matières en suspension totale (MEST) !
Camarades ne soyez ni dupes ni ignorants : les MEST sont responsables de la turbidité de l'eau, peuvent perturber la photosynthèse et la respiration des organismes aquatiques et véhiculer d'autres contaminants (métaux lourds) !!!
AVEC LE MAIRE et les ELUS
DEFENDONS l'ENVIRONNEMENT
DEJA LARGEMENT DEGRADE à MONTBLANC !
Nous espérons que les représentants des associations de protection de la nature et de défense de l'environnement ont voté CONTRE ce projet d'arrêté préfectoral de prescriptions complémentaires portant modification des prescriptions préfectorales d'exploitation des installations de tri et de stockage de DND de l'Ecopôle de la Valassse !
Que font les écolos locaux ?
AVEC les HABITANTS de MONTBLANC
DEFENDONS la CAUSE ANIMALE !
Le 14/01/2017, perdu chat mâle, castré, pucé sur l'aire d'autoroute Béziers Montblanc Sud. Il est gris clair avec les pattes et la queue rayées (un peu le tête aussi). Il a les yeux bleus et louche un peu. Si vous le retrouvez, merci de bien vouloir me contacter au 06.24.80.32.19
Camarades ! Défendons nos IGP/Oc qui ne doivent pas se transformer en "vinasse" déclassée dans le Guide Hachette ou d'autres références internationales de renom dans une région où souffle déjà les vents mauvais du chômage et de l'insécurité économique !
DEFENDONS nos PRODUCTIONS avec les ELU-ES de
la Communauté d'agglomération Béziers Méditerranée !
Alors que l'Ecopôle de la Valasse va accueillir les déchets non dangereux (DND) du département de l'Hérault et des départements limitrophes ..... "uniquement en cas de défaillances techniques des installations ou d'arrêt programmé des installations pour des opérations d'entretien et de maintenance" sans plus de précisions :
TRI/TRAITEMENT MECANIQUE/MISE EN BALLE
- 97 000 T de déchets non fermentescibles issus d'activités industrielles, agricoles, artisanales + encombrants des ménages issus de déchèteries ou de collecte sélective
- 54 000 T/an de refus non fermentescibles de centre de tri de collecte sélective ainsi que des refus de l'activité de la société "Biométhanisation près des oliviers" : fraction non-fermentescible de l'activité de la presse extrudeuse et refus de dégrillage (1 400 T/an)
STOCKAGE EN BALLES ENRUBANNEES
- 77 500 T/an de déchets non-valorisables issus des activités de tri des déchets non-fermentescibles et encombrants précités + les terres polluées en installation de stockage de déchets non dangereux utilisées uniquement en couverture intermédiaire de l'installation de stockage
- 55 400 T/an de refus précités de l'activité de la société "Biométhanisation près des oliviers"
QUELLE CONFIANCE pouvons-nous AVOIR dans la PAROLE de L'ETAT sur ces futures BALLES qui seraient bien ENRUBANNEES dans l'HERAULT LORSQU'ELLES "PARFUMENT" déjà L'ENVIRONNEMENT à L'AIR LIBRE - AU NEZ ET A LA BARBE DE LA DREAL-29 QUI NE DIT RIEN - COMME chez GUYOT ENVIRONNEMENT en BRETAGNE à SAINT-MARTIN-des-CHAMPS dans la région de MORLAIX, lorsqu'elles sont MAL-ENRUBANNEES ? (Source : Constat huissier SCP BOUGEANT demandé par AURA Environnement) !!!!
Le stockage "en vrac" INTERDIT dans l'arrêté préfectoral du préfet de l'Hérault alors qu'en Bretagne, l'industriel GUYOT Environnement fait ce qu'il veut avec la bénédiction de la Dreal-UT 29 sur le site de Kerolzec à Saint-Martin-des-Champs........
Les dirigeants du cimentier VICAT nous ont dit que ce stockage à l'air libre et ces balles complètement éventrées vers Morlaix constituaient une atteinte à l'environnement et étaient impossible à incinérer dans leurs cimenteries !
Puisque ce vrac et ces balles enrubannées sont inutilisables, direction la décharge ! Combien la Tonne aux frais du contribuable ? C'est un SCANDALE !
....où l'anarchie complète règne en maître sans que le préfet du Finistère bouge le moindre petit doigt !!!!
Et on veut nous faire croire dans le 34, que la DREAL de Montpellier va laver plus blanc que blanc à Montblanc ???
QUE NENNI !
En appui aux riverains de la Méga Usine à poubelles "Ecopôle de la Valasse", AURA Environnement a réuni les populations locales au sein du Collectif de Protection de l'Environnement et du Vignoble vers Montblanc (CPEVMB-34) et appelle les défenseurs de notre patrimoine économique (et surtout viticole) et de l'environnement, les ami-es des animaux, les riverains aidés par les touristes de passage à organiser la RESISTANCE POPULAIRE face à cet arrêté préfectoral !
D'ores et déjà, le Collectif de Protection de l'Environnement et du Vignoble vers Montblanc (CPEVMB-34) a demandé à la mairie de Montblanc la possibilité de tenir nos réunions en mairie de Montblanc ou à la salle des associations !
Le CPEVMB-34 alerte les populations locales ! Pas touche à nos vignobles, d'autant plus que la croissance économique constatée sur les dernières années ne se traduit pas par une embellie en matière d’emploi. Au 1er trimestre 2015, le taux de chômage en Languedoc-Roussillon atteint 14,2%, contre 10% en France métropolitaine. Ce taux est le plus élevé des régions françaises et ne s’explique pas seulement par les crises récentes !L'arrêté préfectoral complémentaire (APC) a été tout juste signé le 09/02/2017.Message à COVED-PAPREC et au préfet de l'Hérault : HORS de QUESTION d'avoir du CSR (Combustible Solide de Récupération) dans l'Hérault dans un autre APC.AURA Environnement et le CPEVMB-34 seront extrêmement vigilants sur la décharge de l'Ecopôle de la Valasse, que ce soit au niveau :- du bâtiment de réception et de tri de déchets non-dangereux secs de 7 200 m² ;- de la zone extérieure de 156 m² de stockage de balles de fractions valorisables pour une surface de 26 m x 6 m pour un volume total de 432 m3 ;- de l'installation de stockage de déchets non-dangereux de 30 ha comprenant 8 casiers subdivisés en alvéoles ;- de la zone de 4 000 m² de traitement des lixiviats et du biogaz ;- des 2 bassins de stockage des eaux pluviales internes ;- de la zone de 10 ha de stockage des déblais issus de la préparation du fond de forme de l'installation de stockage de déchets non-dangereux ;- des bâtiments et zones annexes !A suivre.
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BRAVO Veolia Water Technologies Sénégal : Conception et construction usine production et traitement eau potable à Dakar !
- Par auraenvironnementparis
- Le 11/02/2017
- Dans Veolia Water Technologies
Depuis 160 ans, Veolia s’engage pour que
chacun ait accès à une eau de qualité
tout en préservant cette ressource vitale !
Veolia au 27° salon 2016 Pollutec à Lyon.
La Société nationale des eaux du Sénégal (SONES) a confié à Veolia la conception et la construction d’une usine de production et de traitement de l’eau potable à Dakar.
La nouvelle usine permettra d’augmenter la production d’eau potable destinée aux habitants de Dakar et de sa banlieue de 40 000 m3 par jour. L’installation permettra en outre d’améliorer la qualité de l’eau dont la teneur en fer est élevée, grâce à des procédés tels que l’aération d’eau brute, le traitement physico-chimique, la filtration sur sable et la désinfection au chlore.
Nous attendons de Veolia qu’il soit un partenaire technique et un conseil pour nous aider à relever les défis que représentent la mise en œuvre de projets structurants dans le domaine des infrastructures et le respect de la qualité technique. Nous espérons que son expérience, tant au niveau régional qu’international, contribuera à la réussite de ce projet important pour la qualité de vie des citoyens de Dakar », a expliqué Charles Fall, directeur général de la SONES.
La SONES (Société Nationale des Eaux du Sénégal) est une société de patrimoine. Elle a été créée par la loi n°95-10 du 07 Avril 1995 portant réforme du sous-secteur de l’Hydraulique Urbaine. La réforme a conduit à la disparition de la Société Nationale d’Exploitation des Eaux du Sénégal (SONEES) en charge de la production, de la distribution d’eau potable et de l’assainissement des eaux usées au profit de trois nouvelles entités dont la SONES
« Nous sommes fiers que la Société nationale des eaux du Sénégal nous ait choisis pour l’aider à offrir un meilleur accès aux services essentiels. Depuis 160 ans, Veolia s’engage pour que chacun ait accès à une eau de qualité tout en préservant cette ressource vitale. Nous sommes impatients de mettre notre expérience et nos solutions au service du bien-être des communautés de Dakar et de sa banlieue », a ajouté Jean-François Nogrette, directeur général de Veolia Water Technologies.
La SONES, société de patrimoine de l’hydraulique urbaine et périurbaine, est le maître d’ouvrage de ce projet financé par un prêt de la Banque ouest africaine de développement (BOAD).
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PETITION : SAUVONS les toutous « Chaussette » et « Diesel » des odeurs et envols de plastiques vers la décharge COVED-PAPREC à Roussas (Drôme) !
- Par auraenvironnementparis
- Le 07/02/2017
- Dans STOP décharge Coved-Paprec à Roussas
TOUTES et TOUS à ROUSSAS ! Rejoignez nos 44 000 fans sur Facebook et les 800 militant-es fanatiques de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux réuni-es en comité central ce week-end à Argelès-sur-Mer https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/
SAUVONS les toutous « Chaussette » et « Diesel »
des odeurs et envols de plastiques vers la décharge
COVED-PAPREC à Roussas (Drôme) !
LIEN Pétition : http://www.mesopinions.com/petition/animaux/sauvons-toutous-chaussette-diesel-odeurs-envols/27978
Auteur : Marc-Claude de PORTEBANE, Président d’AURA Environnement, Porte-parole de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux et du Collectif de Protection de l’Environnement vers Roussas (CPEP)
Créé le 07/02/2017
À l'attention : Mr le président de la Commission européenne Jean-Claude JUNCKER, Mr le Commissaire européen Karmenu VELLA, Mr le préfet de la Drôme
Les toutous « Chaussette » et « Diesel » vivent à proximité de l’immense décharge Coved-Paprec au lieu-dit « Combe Jaillet » dans la Drôme où se propagent dans la nature sacs en plastique et odeurs pestilentielles dans un paysage bucolique composé de vignobles ancestraux, de champs de lavande et d’oliviers.
AURA Environnement et le Collectif de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux demandent à Mr Pascal BRIE de l’UT Dreal 26 en charge des installations classées pour la protection de l’environnement et au préfet de la Drôme, Eric SPITZ, de prendre toutes les mesures qui s’imposent pour que cessent ces nuisances insupportables pour les animaux et les habitants des communes de Roussas et Les Granges-Gontardes.
Nous, signataires de cette pétition, nous exigeons la fermeture définitive de cette décharge COVED-PAPREC au 31/12/2021 sans possibilité d’arrêté préfectoral complémentaire d’extension ou de prolongation après 2021, date à laquelle devra se mettre en place la phase de post-exploitation ; que l’ONF de la Drôme-Ardèche fasse nettoyer les envols de plastiques autour de cette méga décharge à la charge de COVED-PAPREC sur les arbres (dont des chênes verts, du Chèvrefeuille des Baléares ou de l’Asperge à feuilles aiguës) et sols des forêts communales et privées où vivent de très nombreux animaux sauvages ; que les élu-es de la commune de Roussas dirigée par Mme Christiane ROBERT prennent toutes les mesures pour que cessent ces massacres de l’environnement et soutiennent publiquement notre cause ; que l’assemblée nationale et le ministère de l’Environnement se penchent sur le fait qu’il n’y ait pas eu de CSS (Commission de Suivi de Site) en 2016 ; que Bernard ROUDIL le sous-préfet de Nyons, la Fédération départementale des chasseurs de la Drôme et l’Association communale de chasse agrée de Roussas dont un des buts est de favoriser sur son territoire le développement du gibier et de la faune sauvage dans le respect d’un véritable équilibre agro-sylvo-cynégétique nous dressent un inventaire complet des animaux susceptibles d’avoir ingurgité des sacs plastiques sucrés ou salés souillant les sols comme nous avons pu le constater ; que le groupement fonctionnel du SDIS 26 dirigé par le colonel Olivier BOLZINGER nous dise pourquoi des tas de sacs en plastiques noir renfermant d’autres plastiques non-identifiés ont été retrouvés aux abords de la piste parallèle à la RD 113 (en direction du Centre d’Enfouissement Technique COVED-PAPREC et du Motocross vers le Bois des Mattes) ; que nous soyons correctement informés par le directeur de cabinet du préfet de la Drôme Stéphane COSTAGLIOLI ou Marie-Laure PELISSIER la secrétaire du préfet de la Drôme lorsque nous demandons des précisions Républicaines sur la décharge COVED-PAPREC (notamment la communication des rapports annuels 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016) ou la transmission d’ informations capitales sur la sécurisation absolue de l’espèce remarquable en déclin en Europe : l’Alouette lulu !
PROTEGEONS ensemble les toutous « Chaussette » et « Diesel » et les autres espèces innocentes - comme les oiseaux Bubo bubo, Caprimulgus europeeus Linnaeus, Lullula arbores, Monticola solitarius ou les nombreux reptiles dont Timon lepidus - des envols de plastiques ABSOLUMENT DEGUEULASSES vers la décharge COVED-PAPREC à Roussas dans la Drôme !
L’homme est tenu de savoir. L’homme est responsable de son ignorance. L’ignorance est une faute !
NOUS, protecteurs des animaux et de l’environnement, NOUS EXIGEONS que LES SERVICES DE L’ETAT DE LA DROME, LA COMMUNE DE ROUSSAS et la COMMUNAUTE de COMMUNES ENCLAVE DES PAPES-PAYS DE GRIGNAN CESSENT de NOUS TENIR dans L’IGNORANCE sur la DECHARGE de COVED-PAPREC !
Rejoignez-nous pour un DIE-IN de MASSE dans les rues de ROUSSAS tous les 14 juillet dont celui de 2017 ! Inscription : aura-environnement@laposte.net
Marc-Claude de PORTEBANE
- Président d’AURA Environnement
- Porte-parole de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux
- Porte-parole du Collectif de Protection de l’Environnement vers Roussas (CPEP)
http://www.aura-environnement.com/ -
Une décoration scandaleuse : la Frapna Rhône-Alpes va-t-elle cirer les pompes à Laurent WAUQUIEZ, conseil consulatif Déchets région ?
- Par auraenvironnementparis
- Le 06/02/2017
- Dans STOP Décoration ANNE LASSMAN-TRAPPIER
C'est un SCANDALE et démission de la FRAPNA :
Alors que le président de REPORTERRE a refusé la sienne
la présidente Anne LASSMAN-TRAPPIER accepte la décoration
d'un pouvoir qui assassine les écologistes comme à Sivens !!!
C'est l'innocent Rémi Fraisse qui mérite une médaille !
Anne LASSMAN-TRAPPIER, membre de la Frapna et présidente d'Environn'MontBlanc (depuis 2009), une association créée en 1996, dont l’objectif est de réduire les nuisances sonores et les pollutions atmosphériques et climatiques engendrées par la route d’accès au tunnel du Mont-Blanc et qui travaille pour la mise en place d’une autre politique des transports que celle du tout-routier, pour les marchandises comme pour les voyageurs qui a lancé la campagne Inspire, en 2013, pour rendre visible les citoyens et obtenir des mesures pour l'amélioration de la qualité de l'air au pays du Mont-Blanc a reçu la légion d'honneur d'un pouvoir opposé aux écologistes de terrain comme Rémi Fraisse ou le projet de Notre-Dame-des-Landes.
Dernièrement une réunion secrète a rassemblé à la nouvelle région Auvergne-Rhône-Alpes, la commission consultative sur les déchets dans la nouvelle grande région Auvergne-Rhône-Alpes présidée par Laurent WAUQUIEZ qui n'est pas vraiment copain/copain avec les écolos mais plutôt très tendance pro-chasse puisqu'il vient de leur accorder plus de 300 millions d'euros de subvention comme ne cesse de le dénoncer la pétition d'AURA Environnement (32 325 signatures + 2 570 commentaires) : http://www.mesopinions.com/petition/animaux/stop-aux-subventions-region-auvergne-rhone/24839 A cette commission siègeait - entr'autres - l'incontournable FRAPNA que nous attendons sur plusieurs dossiers de défense de l'environnement, comme sur l'extension de la décharge Nicollin à Saint-Romain-en-Gal ou le nouveau casier amiante de la Coved-Paprec qui est à l'étude à la Dréal Rhône-Alpes.
Nous vous laissons le soin de lire la description que se fait d'elle Anne LASSMAN-TRAPPIER.
Pour celles et ceux qui ont envie de gerber, rien ne vous interdit de le faire :
Étonnant non, que la Légion d’Honneur puisse être attribuée à une lanceuse d’alerte qui dérange, une adversaire des pratiques économiques polluantes actuelles, un poil à gratter pour le système en place ? Pourtant non, je n’ai pas baissé ma garde, pas viré ma cuti, je ne suis pas rentrée dans les rangs… Je reste toujours déterminée à défendre la santé humaine et l’environnement généreux qui nous entoure.
Sur proposition de France Nature Environnement
C’est la fédération France Nature Environnement, avec qui je travaille depuis plus de 10 ans, qui a proposé mon nom pour cette décoration. Proposition qui a été acceptée par le Ministère de l’Environnement, puis validée par la Grande Chancellerie. Si les autorités nationales accordent du crédit aux associations environnementales, c’est que nous sommes souvent pour elles leur dernier rempart contre les injonctions des lobbies.Notre travail à ce niveau est frustrant, car les décisions ne vont pas souvent dans le sens de l’environnement, mais il reste néanmoins indispensable de porter nos demandes à ce niveau de gouvernance.
Bonne ou mauvaise nouvelle ?
La nouvelle n’a pas été accueillie d’un bon oeil par certains décideurs en Haute-Savoie, qui savent qu’ils auront davantage de mal à me discréditer et à balayer les positions associatives d’un revers de main. Pour le mouvement associatif local et la cause environnementale, cette reconnaissance officielle ne peut être qu’une bonne nouvelle.
Qui est France Nature Environnement (FNE) ?
Il y a des chances pour que vous fassiez déjà partie de la grande famille FNE, peut-être sans le savoir, en étant adhérent d’une association locale membre de la FRAPNA, est elle-même fédérée à FNE. La fédération nationale existe depuis 50 ans et rassemble en son sein 3 500 associations, dont Environn’MontBlanc, l’ARSMB et bien d’autres encore. Au total FNE représente 850 000 adhérents. Ensemble, nous sommes une grande force, un grand mouvement, qui se sous-estime sans doute encore beaucoup. FNE est la seule association nationale à s’occuper de l’ensemble des grands thèmes de l’environnement : Agriculture, Aménagement du territoire, Biodiversité, Climat, Déchets, Eau, Energie, Forêt, Mer et Littoral, Montagne, Risques Industriels, Santé Environnementale, Transports et Mobilité…
Je suis personnellement très reconnaissante à FNE de m’avoir fait confiance, de m’avoir aidée et poussée à m’engager au niveau national, afin de faire avancer nos idées communes.
Parcours de bénévole associatif-
De 2001 à 2011, engagement au sein de l’Initiative Transport Europe, réseau d’associations de tout l’arc Alpin, avec un travail auprès des instances européennes.
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Membre du Directoire Transports et Mobilité Durables de France Nature Environnement depuis 2006.
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Présidente de l’association Environn’MontBlanc (ex CPVH) depuis 2009.
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Membre du Conseil d’Administration de la FRAPNA Haute-Savoie depuis 2011.
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Membre du Conseil d’Administration de France Nature Environnement depuis 2015, ainsi que de son Directoire Santé Environnement.
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En charge de la thématique de la qualité de l’air au niveau national pour FNE depuis 2015.
Représentations nationales majeures au titre de FNE :-
De 2013 à 2015, membre du Conseil d’Administration de la SNCF.
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Depuis 2015, membre du Conseil d’Administration de SNCF Réseau.
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Depuis 2015, membre du Conseil National de l’Air.
Ma plus belle réussite à ce jour : la campagne Inspire
En 2013, avec Environn’MontBlanc et un groupe de citoyens internationaux de la vallée de Chamonix, nous lancions la campagne Inspire, pour obtenir l’amélioration de la qualité de l’air au pays du Mont-Blanc et montrer à nos autorités que le sujet préoccupait les habitants de cette région. En l’espace de quelques mois, 10 000 personnes, sur les 60 000 qu’en compte le pays du Mont-Blanc, ont signé une pétition et 6 000 personnes se sont inscrites à la newsletter d’Inspire. La campagne a galvanisé la mobilisation citoyenne au pied du Mont-Blanc, a contribué à la rendre visible et a participé à en révéler l’ampleur. Les pouvoirs publics ont de plus en plus de mal à ignorer cette mobilisation citoyenne et des mesures commencent enfin à être prises…Une décoration au service de notre cause
Vous l'aurez compris, cette décoration est pour moi celle de l’ensemble de notre mouvement associatif et des citoyens qui soutiennent nos actions. Je n’aurai cesse de la mettre au service de notre cause commune pour un meilleur respect de notre environnement, de la qualité de notre air et de notre santé à tous.Photo : Le Dauphiné Libéré
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Prolongation décharge LELY aux portes de Grenoble : conférence de presse du Collectif SD-SQI (Stop Décharge Saint-Quentin-sur-Isère) !
- Par auraenvironnementparis
- Le 04/02/2017
- Dans STOP décharge Lely Environnement à Saint-Quentin-sur-Isère
AURA Environnement déclenche sa campagne du "Grand bond en avant" dans l'Isère :
Après l'enquête publique, le Collectif SD-SQI
(Stop Décharge Saint-Quentin-sur-Isère)
attend vivement de la DDPP 38 le rapport de synthèse
et propositions de l'inspecteur des Installations classées !
A l'appel des habitants et de certains élu-es qui n'en peuvent plus de la décharge de Lély Environnement située au bord de la rivière Isère, à Saint-Quentin-sur-Isère (Tullins), AURA Environnement a lancé le Collectif SD-SQI (Stop Décharge Saint-Quentin-sur-Isère) qui s'est manifesté hier après-midi, pour la première fois, au grand-jour, en tenant une conférence de presse à quelques pas de cette verrue qui incommode depuis de très nombreuses années les riverains des hameaux du Replat, de Péraudière et de Font-bessée situés à 400 m de cette décharge et snobés, la plupart du temps, par la plupart des élu-es de la commune de "Saint-Quentin-sur-Misère" qui semblent plus intéressé-es par les investissements de Lély Environnement dans le club de foot local ou dans les dépôts de multiples calendriers à l'accueil de la mairie que par l'exaspération des populations locales !
Les populations locales excédées, entendent soutenir prochainement, les recours au tribunal administratif qui seront déposés par AURA Environnement contre la prolongation par réhausse du casier actuel de 16 m de la décharge de Lély Environnement..
Lors de l'enquête publique, AURA Environnement a dénoncé au commissaire enquêteur, les observations suivantes :
I. Remarques préalables :
- Le dossier de demande d’autorisation d’exploiter n’expose pas clairement les valeurs et conditions d’activité de stockage des déchets : capacité annuelle demandée, origine des déchets demandée, etc. On ne sait donc pas quels tonnages le pétitionnaire souhaite recevoir ni d’où ils pourraient provenir alors que ce devrait être le fondement de la justification du projet. Ce choix de l’exploitant s’explique sans doute par la volonté de masquer le fait que son projet est totalement inutile : le plan départemental de prévention et de gestion des déchets non dangereux en cours d’élaboration estime que les besoins en stockage de l’Isère sont de 127 à 137 000 tonnes/an alors que, décharge de Lély non comptée, le département « bénéficie » déjà de 380 000 tonnes de capacités autorisées (Penol, Cessieu, Satolas-et-Bonce). Le projet est donc inutile.
- La rédaction du dossier ne présente pas de façon évidente les liens entre le dossier technique et le rapport d’étude d’impacts. De même, la présentation des impacts et dangers est complexe et ne permet une compréhension aisée pour le public (un résumé non technique de l’étude de dangers de 2 pages, ce n’est pas de la vulgarisation mais de la dissimulation…). Ce choix de l’exploitant s’explique sans doute par la volonté de masquer le fait que le site ne satisfait aucune des obligations légales en termes de protection des eaux superficielles et souterraines, et rejette depuis des années des eaux souillées non traitées. Le projet est donc dangereux.
Le projet apparaît donc clairement inutile et dangereux.
II. Remarques d’ordre réglementaire :
- Le dossier soumis à enquête publique ne concerne que le projet d’extension verticale de la décharge, projet consistant en la création d’un nouveau casier en rehausse du casier existant. Il ne prend que très faiblement en compte la remise en l’état du casier actuel alors que les impacts des deux installations vont se cumuler, notamment en termes de rejets liquides (lixiviats) et atmosphériques (biogaz).
- Le DDAE est daté de décembre 2015 mais il a fait l’objet d’un avis de l’Autorité environnementale en date du 24 juin 2016 et est soumis à enquête publique à l’automne 2016. Il doit donc respecter les prescriptions de l’arrêté ministériel stockage du 15 février 2016, ce qui n’est pas le cas (programme de contrôle de la qualité des rejets, suivi post-exploitation, analyse des MTD (meilleures techniques disponibles), gestion des lixiviats, etc.). Cela rend le projet obsolète et non conforme à la réglementation applicable.
- L’étude d’impacts semble avoir été réalisée en grande partie en 2011/2012, ce qui pose deux problèmes majeurs :
- Sur le fond, les données d’état des lieux initial sont périmées et ne peuvent raisonnablement servir de base pour estimer les impacts du projet. L’étude d’impacts est donc insincère.
- Sur la forme, la réforme de l’étude d’impacts de 2012 n’a pas été prise en compte rendant le dossier non réglementaire. De même que, l’étude des risques sanitaires n’intègre pas de volet « état de l’Interprétation de l’état des milieux » pourtant obligatoire depuis la circulaire du 9 août 2013. L’étude d’impacts ne répond donc pas aux exigences de la réglementation.
Il ressort ainsi, à la lecture des éléments présentés en enquête publique, que le dossier est :
- Non réglementaire ;
- Obsolète ;
- Porteur d’une vision partielle et partiale de la réalité.
III. Remarques sur le Dossier administratif
- Alors que le PLU indique clairement la présence de différentes servitudes au droit de la décharge, aucun avis des gestionnaires de ces servitudes n’est joint au dossier. Le pétitionnaire ne démontre pas que son projet est compatible avec ces servitudes.
- Le site se trouve en zone Nx « espaces de stockage de déchets » sauf 5 parcelles. Pour ces 5 parcelles, 4 seulement appartiennent au demandeur (71, 133, 322 et 324). Quid de la parcelle 160 ? A qui appartient-elle ? Le propriétaire a-t’il accepté que le projet s’implante sur sa propriété ? Par ailleurs, les parcelles 262, 264 et 306 font partie de l’actuelle ICPE mais n’appartiennent pas à l’exploitant, cela n’est pas légal. Enfin, une mise en comptabilité du PLU serait en cours pour les intégrer en zone Nx. Or, aucun justificatif n’est fourni par rapport à la mise en comptabilité. Où en est cette procédure ? Intègre-t-elle aussi la parcelle 160 ? Le pétitionnaire ne démontre pas la maîtrise foncière du projet ni la conformité de celui-ci avec le plan local d’urbanisme de la commune.
- Un des objectifs du SCOT de la région grenobloise est de préserver les espaces naturels agricoles et forestiers. Or, le projet prévoit de déclasser des surfaces classées en zone N (naturelle), et de défricher un boisement. Contrairement à l’affirmation infondée du pétitionnaire, le projet est donc incompatible avec les objectifs du SCOT.
- Compatibilité avec le plan de prévention et de gestion des déchets non dangereux :
- Le plan d’élimination des déchets ménagers et assimilés (PEDMA) de juin 2008 ne prévoit la possibilité d’une prolongation du site de Saint-Quentin que « dans le cadre de l’autorisation actuelle ». L’extension durable du site avec nouvel arrêté préfectoral comme demandé par Lély est donc incompatible avec le PEDMA de l’Isère.
- Le plan de 2008 estime le besoin en capacités de stockage en Isère à 434 000 tonnes en 2017. Or, les capacités actuellement autorisées sont de 580 000 tonnes. Il y a donc une surcapacité de 146 000 tonnes que l’extension de la décharge de Saint-Quentin viendrait prolonger. Il serait donc conforme aux prescriptions du PEDMA de l’Isère de refuser l’autorisation d’exploiter demandée par Lély.
- Le projet de plan départemental de prévention et de gestion des déchets non dangereux (PPGDND) en cours d’élaboration estime que, conformément aux objectifs de la Loi de Transition énergétique pour la croissance verte d’août 2015, les besoins en stockage de l’Isère ne sont en fait que de de 127 à 137 000 tonnes/an alors que, décharge de Lély non comptée, le département « bénéficie » déjà de 380 000 tonnes de capacités autorisées (Penol , Cessieu, Satolas-et-Bonce). Le projet est donc incompatible avec la loi TECV et avec les orientations du futur PPGDND de l’Isère.
- Risque inondation : le site se trouve en zone Bi3 (périmètre historique de crue). Il est indiqué que « une remontée de la nappe pourrait donc entrainer une sollicitation localisée de la barrière passive, mais ne pourrait en aucun cas entrainer la déstabilisation du massif de déchet ». Un risque majeur existe donc tant sur la stabilité du massif de déchet que sur la pollution des eaux souterraines. Or, l’étude de dangers ne retient pas l’inondation comme source potentielle d’agression externe pour le site (p.14). Le dossier est donc malhonnête qui masque des risques majeurs pour l’environnement.
- Risque technologique : L’analyse de l’environnement indique qu’il n’existe aucune source potentielle d’agression externe pour le site alors qu’une partie de celui-ci est incluse dans le périmètre du PPRT de l’usine SEVESO Seuil haut Titanobel. Le projet est donc soumis à un risque industriel majeur qui n’est abordé nulle part dans le dossier, rendant celui-ci incomplet et insincère.
IV. Remarques sur le Dossier technique
- L’absence du bilan matériaux est préjudiciable à la qualité d’interprétation des effets du projet, notamment en cas de situation déficitaire ou excédentaire en matériaux (aspects trafic, circulation sur site, localisation des stocks, impact paysager, impact sur la faune et la flore… Le dossier technique est donc incomplet.
- Le dossier indique la réalisation d’un pré-contrôle olfactif mais n’indique pas la procédure mise en œuvre pour éviter l’arrivée des camions odorants sur site. Ce faisant, l’exploitant reconnaît qu’il ne prévoit rien pour limiter l’impact olfactif du site, ce qui n’est ni responsable, ni acceptable.
- Les conditions d’étalonnage et de vérification périodique des installations de détection de non-radioactivité ne sont pas indiquées alors que c’est une procédure obligatoire conformément à l’arrêté ministériel stockage du 15 février 2016. Le projet ne respecte donc pas la réglementation en matière de protection contre la radioactivité.
- Stabilité du massif de déchets :
- Les études géotechniques de stabilité prennent en compte la plate-forme de compostage mais pas les plates-formes de mâchefer, de bois et de déchets du BTP. Elles ne prennent pas non plus en compte la présence d’eau dans le massif sous-jacent et la charge hydraulique en fond de casier. Elles sont donc incomplètes et, de fait, faussées.
- Le dossier atteste la stabilité de la digue périphérique sur la base d’hypothèses de matériaux mais n’indique pas comment l’exploitant pourra garantir que les matériaux qui seront utilisés répondront aux exigences de l’étude de stabilité.
- Les moyens et la méthodologie pour assurer le suivi des tassements des zones anciennement et récemment exploitées ne sont pas indiqués.
- L’avis de l’autorité environnementale précise qu’une tierce expertise a été demandée sur la stabilité du massif. Or, les résultats ne sont pas joints au dossier d’enquête publique.
Le dossier ne garantit pas la stabilité du massif de déchets qui risque à tout moment de basculer dans l’Isère avec des centaines de milliers de tonnes de déchets et toute la pollution associée.
- Le réseau de collecte du biogaz ne couvre pas l’intégralité de la surface de la décharge : la quantité et le positionnement des puits présentent des surfaces non collectées (rayons d’action insuffisants). Cela générera forcément des émanations diffuses de biogaz conduisant à un impact olfactif inacceptable et des risques pour la qualité de l’air.
- Le dossier prévoit de réduire les capacités de stockage tampon des eaux pluviales par rapport à la situation existante (passage de 28 000 m3 environ à 13 000 m3). Comme il n’est pas démontré que la pluviométrie des Alpes va se réduire, le projet ne prévoit pas de gérer correctement les eaux de ruissellement.
- Gestion des lixiviats :
- Le plan d’aménagement n’indique pas de puits de collecte des lixiviats sur les zones d’exploitation n°1 (rehausse 8-9-10), n°2 (rehausse 11-12), n°7 et n°8. S’ils ne sont pas collectés, ce qui est illégal, ces lixiviats iront directement se jeter dans l’Isère.
- le dossier ne présente pas de calcul prévisionnel de production de lixiviats pour le site actuel + ceux du site ancien ; il est donc impossible de savoir si les bassins de rétention sont suffisamment dimensionnés pour retenir les eaux polluées et éviter leur déversement dans l’Isère ou la nappe phréatique
- il n’y a aujourd’hui que 800 m3 de capacité installée contre 1500 m3 réglementaires (production du nouveau site / 365 j x 15 jours de stockage)
- il n’est prévu de créer que 2500 m3 contre 2800 m3 réglementaires (idem)
- Il n’est pas précisé si les bassins de stockage des lixiviats respectent la distance d’isolement de 50 m imposée par l’article 7 de l’AM stockage
- Il est fait état d’un dépassement en arsenic sur le bassin B sans que le dossier ne présente les conséquences de cette pollution sur les eaux souterraines
- Le projet indique à la fois que les lixiviats seront gérés par la STEP Aquapole et par une STEP à créer sur site. Quelle est la vérité ? Dans tous les cas, il ressort du dossier que :
- sur le plan réglementaire, la convention avec Aquapole (annexe C) ne précise pas si la STEP est autorisée à recevoir des effluents industriels en provenance d’une ICPE (rubrique ICPE 2791)
- sur le plan technique, la convention avec Aquapole ne précise pas si elle est dimensionnée pour traiter des lixiviats de décharge qui sont très spécifiques par rapport des eaux usées urbaines
- sur le plan quantitatif, il apparaît que la convention avec Aquapole ne permet pas de traiter tous les lixiviats de la décharge : la convention permet de recevoir 25 500 m3 /an (100 m3/j maximum sur 255 jours d’ouverture) alors que le volume pompé est largement supérieur [37 000 m3 en 2013, 46 000 m3 en 2014] et sera encore plus élevé si l’extension est accordée.
- le délai de mise en service de la (peut-être future) STEP interne n’est pas précisé
- la destination des boues qui seront produites par la (peut-être future) STEP interne n’est pas précisée alors que celles-ci présenteront nécessairement de fortes teneurs en arsenic. Où et comment cette pollution dangereuse sera-t-elle traitée ?
Le dispositif de gestion des lixiviats prévu par le dossier n’est pas conforme aux exigences de l’arrêté ministériel stockage du 15 février 2016 et présente un danger majeur pour l’environnement.
V. Remarques sur l’Etude d’impacts
- La phase travaux n’a pas été retenue (p.23) alors que l’étude d’impacts se doit d’étudier toutes les phases du projet. L’étude d’impacts du projet est donc non réglementaire.
- Le volet paysager de l’étude d’impacts est tout à fait insuffisant qui ne présente que le site après son réaménagement alors que la phase d’exploitation est prévue pour durer 20 ans et constitue la période pendant laquelle l’impact est le plus important. Le dossier masque donc le réel impact paysager du projet.
- Alors que nombre d’activités présentes sur le site sont retenues par le plan de protection de l’atmosphère de Grenoble dans le cadre d’un suivi des émissions diffuses de poussières (carrières, traitement de déchets du BTP, recyclage, enrobage, transformation du bois), le dossier n’indique pas de dispositif ou étude en matière de suivi des émissions de poussières. Le projet ne respecte donc pas le PPA de Grenoble.
- « Une visite du SDIS est prévue afin de valider » le bon dimensionnement des ouvrages de collecte des eaux incendie [p.104]. A ce stade, rien ne démontre que la sécurité incendie du projet est assurée alors même que le site a connu 5 incendies d’origine interne entre 2007 et 2015 (Etude des dangers, p. 24).
- Il est fait mention du « défrichement » d’un « bosquet relictuel » alors qu’aucun document dans le dossier n’apporte la preuve du dépôt d’une demande d’autorisation de défrichement, contrairement aux exigences de l’article R.512-4 du Code de l’environnement. Le pétitionnaire ne respecte donc pas la réglementation.
- Pollution des eaux souterraines :
- La nappe des alluvions de l’Isère à l’aval de Grenoble est présentée comme une nappe libre de « vulnérabilité importante ». Or, le niveau des plus hautes eaux dépasse le fond supposé des alvéoles les plus anciennes alors même que ces alvéoles ne sont pas aménagées en fond de façon à isoler les déchets de la nappe. Il est donc malheureusement logique que le suivi de la qualité des eaux par le réseau de piézomètres de contrôles mette en évidence un impact sur les eaux souterraines. Les piézomètres situés à l’aval de la décharge révèlent en effet des teneurs élevées en ammonium, sodium, conductivité, COT… autant de paramètres traceurs de l’impact d’une décharge sur les eaux souterraines.
- Les concentrations élevées dans les piézomètres au moment des crues sont expliquées comme une pollution de la nappe par l’Isère (concentrations élevées dans le piézomètre situé en amont de la décharge). Cette augmentation ne pourrait être due plutôt : à l’augmentation du volume de déchets baignant dans la nappe (remontée de la nappe) et à l’inversion du régime évoqué (nappe drainant l’Isère) modifiant le sens d’écoulement des eaux (le piézomètre situé en amont de la décharge devenant alors un piézomètre situé en aval, comme les autres) ? C’est bien la décharge qui pollue l’Isère et non l’inverse !
- Le dossier présente la création d’une décharge supplémentaire au-dessus d’une ancienne décharge comme ayant un « impact positif » sur la qualité des eaux souterraines. Comment est-ce que le fait d’ajouter du déchet sur du déchet pourrait-il améliorer cette qualité ? La mise en place dès à présent, et non sur 20 ans, d’une couverture étanche sur l’ancien site aurait été nettement plus efficace, en complément de mesures plus appropriées permettant d’isoler rapidement les déchets de la nappe souterraine.
- Alors que les eaux internes ruisselant sur la plateforme de compostage présentent systématiquement des analyses non conformes aux normes de rejets au moins depuis 2011 (date des plus anciennes analyses présentées), « une surverse existe » au niveau du bassin qui les collecte et « une partie des eaux rejoint le milieu naturel. Le volume correspondant des difficilement quantifiable. ». Comment l’exploitant peut-il présenter de telles non conformités à la réglementation nationale en vigueur ? Comment peut-il dans ces conditions prétendre à poursuivre une exploitation qui aurait dû cesser depuis longtemps déjà ?
Il apparaît urgent de fermer cette décharge et de prendre des mesures appropriées pour protéger la nappe de l’Isère, au lieu de poursuivre encore et toujours son remplissage.
- Les informations concernant la Trame Verte et Bleue (TVB) se basent sur une étude du Conseil Général de l’Isère datant de 2001. C’est d’autant plus regrettable que le Schéma Régional de Cohérence Environnementale (SRCE), qui a notamment pour objet les continuités écologiques, a été approuvé par la Région Rhône Alpes le 16/07/2014. Ce document, qui a pourtant plus de deux ans à présent, n’est pas même mentionné par l’étude. Or le SRCE identifie le secteur dans lequel se trouve le site comme présentant un « enjeux de maintien et/ou de restauration des liaisons entre grands ensembles naturels et agricoles. Le volet TVB de l’étude d’impacts est donc obsolète et, partant, non réglementaire.
- L’état initial ne fait référence à aucune activité en aval immédiat du site alors que la présence d’une pisciculture est mentionnée en page 4 de l’annexe G (note de caractérisation hydro-biologique du canal de Saint Quentin). Ce manquement est d’autant plus grave que les rejets des eaux de ruissellement de la décharge se font en amont de cette activité.
- Le rapport d’étude d’impacts volet patrimoine naturel joint en annexe est trop ancien et aurait nécessité une réelle mise à jour. En effet, la première page de l’étude réalisée par le bureau d’études Evinerude est datée de février 2012, ce qui remonte à près de 5 ans. Pourtant, on constate à la lecture du rapport que la totalité des cartes et figures réalisées par le bureau d’études datent de 2011 et, plus grave, qu’il en va de même pour les visites de terrain. Ces dernières ont eu lieu entre mai et septembre 2011, et remontent donc à plus de 5 ans. Dans l’étude d’impacts il est indiqué en page 85 qu’une demi-journée est venue compléter ces investigations en 2013, mais elle n’est même pas répertoriée dans le décompte réalisé sous le tableau, aucune conclusion ne semble avoir été tirée de ce passage et le rapport joint en annexe n’en fait aucune mention. Le volet faune/flore de l’étude d’impacts est donc obsolète et, partant, non réglementaire.
- La campagne d’odeurs date de 2011, comment comparer les résultats de cette campagnes au regard de l’activité actuelle étant donné que le dossier ne renseigne que sur les années 2013 et 2014 ? Le volet odeurs de l’étude d’impacts est donc obsolète et, partant, non réglementaire.
- Le dossier fait état de 200 camion / jour sans plus de détail. Ce bilan est minorant, le trafic présenté ne prenant pas en compte le trafic VL, ni le trafic lié aux travaux de création de casier (apport de matériels et matériaux), ni celui lié aux travaux de déplacement des plates-formes d’activités (mâchefer, compostage, bois, inertes du BTP). L’impact du projet sur le trafic routier est donc incomplet de même que l’analyse des nuisances liées au trafic en termes de bruit et de qualité de l’air.
VI. Remarques sur l’Etude des risques sanitaires (ERS)
- Le volet sanitaire de l’étude d’impacts présente de nombreux manquements : tout d’abord, il n’est pas conforme à la circulaire du 9 août 2013 relative à la démarche de prévention et de gestion des risques sanitaires des installations classées soumises à autorisation et au guide INERIS de 2013 sur l’Evaluation de l’état des milieux et des risques sanitaires. L’Interprétation de l’Etat des Milieux doit en effet permettre de qualifier le milieu dans lequel se trouve l’installation à étudier, de façon à évaluer l’impact réel, supplémentaire, du projet sur son milieu. Or cette étude est totalement absente du dossier. Non seulement aucune analyse n’a été réalisée pour évaluer la qualité de l’air, des sols, voire des végétaux, mais de plus l’étude présentée n’adopte pas la logique d’une démarche intégrée. Le volet sanitaire de l’étude d’impacts est donc non réglementaire.
- Alors que la décharge existante aurait dû donner lieu à des mesures sur sites, l’étude se contente bien souvent de données bibliographiques. Ce point est particulièrement problématique pour les poussières. En effet, l’étude se base sur des données bibliographiques relatives au déchargement d’ordures ménagères, en retenant qui plus est l’hypothèse basse. Etant donné les activités présentes sur le site, dont certaines sont particulièrement génératrices de poussières (plateforme de mâchefers, plateforme de déchets du BTP, broyage de bois), les données d’entrée de l’étude semblent extrêmement sous estimées (pas de prise en compte des activités de broyage, de stockage, de reprise lors du chargement, etc. sur les matériaux pulvérulents). Le volet sanitaire de l’étude d’impacts est donc insincère.
- Alors que la décharge va rejeter des lixiviats dans le milieu aqueux, l’ERS n’a pas jugé nécessaire de retenir ce vecteur. Pourtant, des kilogrammes de métaux vont être rejetés annuellement dans ce milieu (9kg de chrome, 8kg d’arsenic, 56 kg de cuivre, etc.). Quel est l’impact du rejet de ces métaux lourds dans l’Isère, alors même qu’une pisciculture se situe à l’aval du site ?
- Pour les paramètres étudiés au regard des objectifs de la qualité de l’air, les concentrations présentées ne doivent pas être lues comme des concentrations mais comme un apport supplémentaire apporté aux concentrations déjà existantes. Ainsi, une contribution de 17% à la pollution ambiante est jugée comme « non significative » dans l’étude présentée. De même, pour certains paramètres, la décharge génère à elle seule des concentrations qui atteignent 50% de celles mesurées sur la station A7 Nord Isère déjà très fortement impactée par le trafic. La poursuite d’activité de la décharge est donc à proscrire et son arrêt améliorera sensiblement la qualité de l’air locale.
- Concernant le benzène, composé cancérigène avéré, les hypothèses de concentration retenues retiennent une valeur médiane (et non moyenne) de concentrations observées dans la bibliographie, sans donner plus d’explication. Pourquoi la valeur maximale (le double) n’a-t-elle pas été retenue ? Le volet sanitaire de l’étude d’impacts est donc insincère.
- La station de traitement des lixiviats n’est pas considérée comme une source dans les émissions gazeuses. Pourtant, la présence de bassins est forcément une source d’évaporation et donc d’émissions. Le volet sanitaire de l’étude d’impacts est donc insincère.
- Des « erreurs » apparaissent au niveau des VTR présentées dans le tableau, tendant à présenter des VTR largement plus élevées que les valeurs réelles (exemple : facteur de 10 3 pour le benzo(a)pyrène, erreur pour le dichloroéthane, pour cadmium)… Le volet sanitaire de l’étude d’impacts est donc malhonnête.
- Les concentrations estimées au niveau des points R1, R2 et R3 (p.59), c’est-à-dire chez les riverains les plus proches du site, dépassement largement les valeurs toxicologiques de référence (VTR) du benzène, substance hautement cancérigène. Le projet présente donc un risque majeur pour la santé des riverains.
- Malgré toutes ses lacunes, l’étude reconnaît que les substances émises conduisent à augmenter l’apparition de cancer sur les riverains. Comment accepter la poursuite pendant encore 20 ans d’un tel risque pour la population locale ? Conformément à l’article 5 de la Constitution française, le principe de précaution doit s’appliquer et le projet être refusé.
VII. Remarques sur l’Etude des dangers
- La décharge de Lély se situe à 5 km seulement du site SEVESO seuil haut Titanobel, spécialisé dans les explosifs, et fait partie de la zone susceptible d'être impactée par de dangereux effets de surpression. Le dossier se contente de dire que, « le PPRT Titanobel n’ayant à ce jour pas été approuvé, les activités industrielles voisines au site ne sont pas retenues comme sources d’agression dans le reste de l’étude ». Ce postulat n’est pas satisfaisant car il se base sur l’avancement d’une procédure pour juger de l’importance d’un risque et de son intérêt à être étudié. Il est urgent d’attendre l’approbation du plan de prévention des risques technologiquespour s’assurer de la compatibilité du projet Lély avec le site de Titanobel.
- Le risque sismique est étudié dans le cadre de l’étude de stabilité des digues (dossier technique, annexe G) mais non retenu comme source d’agression dans l’étude des dangers (p.15). Pourtant, l’effet de site (phénomène de liquéfaction des sols sableux saturés situés sur des horizons rocheux lors d’un séisme) est totalement ignoré. Or, ces phénomènes conduisent à une amplification des durées et des amplitudes des secousses. Les hypothèses retenues pour les études sont ainsi extrêmement minorantes et masquent les dangers réels du projet.
A suivre.
Marc-Claude de PORTEBANE
Président d'AURA Environnement
Porte-parole du Collectif Stop Décharge Saint-Quentin-sur-Isère (SD-SQ).
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Décharge COVED-PAPREC à Roussas : AURA Environnement déclenche la riposte défense gibier de chasse et habitants !
- Par auraenvironnementparis
- Le 01/02/2017
- Dans STOP décharge Coved-Paprec à Roussas
Grâce aux populations locales vers Roussas dans la Drôme :
AURA Environnement et le CPER
(Collectif de protection de l'Environnement vers Roussas) exigent
la fermeture définitive de l'immonde décharge COVED-PAPREC !
X, le plus proche voisin de la décharge COVED-PAPREC a multiplié, en vain, les recours pour ne faire face qu'au MEPRIS !!!
Alerté-es par les populations locales, depuis plus de 15 jours, les militant-es de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux et AURA Environnement sillonnent les sentiers attenant l'immonde décharge Coved-Paprec qui défigure le patrimoine local de Roussas dans la Drôme depuis de trop nombreuses années.
AURA Environnement tire la sonnette d'alarme.
Que font les services de l'Etat contre les envols de plastiques de COVED-PAPREC sur les arbres...
....et les sols largement pollués où broûtent paisiblement chevreuils ou sangliers...
......avant d'aller boire dans les creux d'eaux de la voie forestière si chère à Didier de l'ONF ?
Que font d'ailleurs, les élu-es de la commune de Roussas, pour rappeler à COVED-PAPREC les bonnes règles de transport sur la voie publique lorsque les camions - encore - estampillés "COVED" déchargent en roulant, en partie, leurs odeurs, leurs feuilles et leurs branchages d'hiver, comme nous l'avons signalé à l'Unité de la Dréal 26...aujourd'hui 01/02/2017 !
Que font les élu-es de la Communauté de communes Enclave des Papes-Pays de Grignan lorsque les productions locales, moteur d'une économie viticole moribonde, essaient d'innover en terme de respect de la qualité de vie comme cette cuvée AOC "Tentation de la Marquise" vinifiée par la famille BOUR dans le cadre d'un partenariat avec Ludovic ESTRAN, un jeune viticulteur de Roussas, qui cultive l'ensemble de ses terres en Agriculture biologique ! Qu'en pense l'INAO, d'ailleurs ?
A suivre.
Marc-Claude de PORTEBANE
Président d'AURA Environnement
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Arrêté préfet du Rhône prolongation décharge NICOLLIN : la presse confirme recours d'AURA Environnement au TA !
- Par auraenvironnementparis
- Le 20/01/2017
- Dans Fermeture définitive décharge Saint-Romain-en-Gal
Comme l'indiquent fort justement Le Progrès et la Tribune de Vienne
AURA Environnement se mobilisera pour obtenir l'annulation
du énième arrêté préfectoral complémentaire du 30/12/2016
ou toute autre autorisation permettant la prolongation
de la décharge NICOLLIN à Saint-Romain-en-Gal !
AURA Environnement et son Collectif de Défense de l'Environnement du Pilat (CDEP) qui regroupe plusieurs centaines de riverains et de populations locales ont décidé de contester au tribunal administratif de Lyon, le énième arrêté complémentaire signé par le préfet du Rhône en faveur de la décharge archaïque et pestilentielle qui "embaume" plusieurs hameaux de la ville de Saint-Romain-en-Gal et ce, à quelques centaines de pas du musée Gallo-romain visité par plusieurs milliers de personnes et qui n'avait pas besoin d'une aussi mauvaise pub puisqu'il vient de fêter son 40 ° anniversaire !
Comme le confirment les medias locaux, le maire de Saint-Romain-en-Gal et ses collistiers, les riverains et les populations locales sont excédées par autant d'années d'inertie des services de l'Etat qui oeuvrent non pas pour le bonheur du peuple mais pour son anéantissement via des arrêtés burlesques en faveur de la SAS NICOLLIN qui n'a que faire de la santé des animaux ou des populations locales depuis déjà de trop nnombreuses années ! C'est quand même proprement scandaleux de ne pas avoir de coeur vis-à-vis des animaux ! Mis là, Mr NICOLLIN, vous allez devoir faire face à la nombreuse communauté de la cause animale regroupée derrière les 42 000 fans de la page Facebook de la "Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux" mais aussi d'autres groupes comme, nous l'espérons, "30 millions d'amis" ou la "fondation Brigitte Bardot", voire même nos camarades activites Vegan ou de Greenpeace !
"Hello, mister Roi du football, Louis NICOLLIN de Montpellier" ! Si AURA Environnement et la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux s'abstiennent pour l'instant de toute manifestation pour la défense de la cause des animaux contre la énième et inadmissible extension de ta décharge de Saint-Romain-en-Gal, nous t'assurons que nous mobiliserons facilement les plus ardentes et les plus fanatiques de la cause animale attachés la corde au cou des brebis, agneaux, oies qui ceinturent ta décharge obsolète qui ne valorise rien mais qui décharge la "merde" des lyonnais regroupés autour du Grand Lyon, dont les élu-es viennent de te donner un marché public en "Or" dans le cadre de la "ramasse" des ordures ménagères de leur secteur !!!
C'est quoi le "deal", Louis ? Une place gratuite de stationnement pour le maire de Lyon Gérard COLLOMB afin de visiter ta "bombe" à "déchargement" à "Saint-Rome-la-Gale" ou une VICTOIRE à la "Pyrrhus" de MONTPELLIER sur L'OL ? Le ministère de l'Environnement de Ségolène Royal "couvre" le préfet du Rhône ? Le premier ministère - depuis la fuite de VALLS - te soutient encore à bas-mot ? Le président ? Rhoooo !
Que Thierry PHILIP, le maire boboïste de Lyon 4° éclaire donc notre lanterne !
Or, Mesdames et Messieurs, qui va récolter les odeurs infernales des urbains du Grand-Lyon qui roulent pourtant eux, avec des voitures non-polluantes ? Et bien, ce seront encore et encore les riverains et les populations locales de Saint-Romain-en-Gal qui vont encore déguster pas moins de plus de 60 000 T de saloperies et ce, dans le magnifique Parc "Naturel" régional du Pilat, où, AURA Environnement est monté dernièrement au créneau pour interroger ses élu-es plus préoccupés - dernièrement - par la galette des rois à Pélussin que de la défense de la santé des citoyennes et des citoyens de Saint-Romain-en-Gal ou des communes voisines !
Peuple gaulois de Saint-Romain-en-Gal, nous t'assurons que nous demanderons des comptes aux administrateurs du Parc "Naturel" régional du Pilat !
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Chevaux maltraités dans l'Aude : AURA Environnement va saisir la justice !
- Par auraenvironnementparis
- Le 11/01/2017
- Dans Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux
Laisser ces chevaux dans cet état
est inadmissible et lamentable !
On nous écrit :
"Bonjour je vous appelle a l'aide cela fait 3 ans que je me bât pour sauver 2 chevaux maltraité dans l'aude .
J'ai appelé toutes les associations que j'ai trouvé près de l'Aude ou dans l'Aude la plupart mon repondu qu'elles etait trop loin ( 45mn - 1h ).
Les autres mon dit qu'ils allait agir mais qu'ils leurs fallaient des photos que je leurs ai envoyé pendant des mois, j'allais voir régulièrement les chevaux pour qu'ils puissent avoir des photos récentes mais j'ai eu beau faire tout ça, les rappeler régulièrement etc...... 3 ans plus tard toujours dans leurs calvaire .
Il y a une vieille jument de 25 ans et un plus jeune cheval de 7 ans, la personne qui s'en " occupe " y va la plupart du temps seulement si elle est accompagnée par exemple de jeune pour les faire monter sur la jument .
Les deux chevaux sont dans un pré donc des fois la jument reprend du poids ( quand il y a de l'herbe ) le jeune lui arrive a ne pas devenir squelettique en sachant aussi que leurs propriétaire aime le jeune donc il a toujours de l'eau mais très sale, a manger et un abrit. La vieille jument en revanche elle est depuis peut separé du jeune dans une partie du pré ou elle n'a ni abrit, ni eau sauf si il pleut et pour ce qui est de la nourriture si elle a de l'herbe ça va si nn elle n'a rien.
Bien evidament la seule chose que les associations ai fait c appeler la propriétaire donc a chaque fois qu'elle a un coup de téléphone elle fait attention pendant quelques temps.
Je pourrais vous raconter encore beaucoup de chose sur c pauvre chevaux donc si vous vouliez plus d'information dites le moi ?
J'espère que vous pourrez m'aider a faire bouger quelqu'un .
Merci d'avance".16/01/2016. Renseignements pris par AURA Environnement auprès de notre témoin : " J'ai contacté d'abord la SPA de Lézignan Corbières en allant les voir avec des photos : ils ont dit qu'ils allaient l'appeler, ce qu'ils ont fait mais sans que cela change quelque chose. Après que je les ai relancé à plusieurs reprises, ils m'ont dit que c'était trop loin et que la directrice n'avait pas le temps de se déplacer......"
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Future Usine à poubelles CSR @GuyotEnvironnement #SaintBrieuc - Bretagne - : Exigeons enquête publique ?
- Par auraenvironnementparis
- Le 11/01/2017
- Dans STOP Usine à poubelles CSR Guyot Environnement à Ploufragan
Nous voulons savoir pourquoi la future Usine à poubelles CSR de @GuyotEnvironnement vers
#SaintBrieuc - Bretagne - pas d'enquête publique ?Comment se fait-il que la pancarte de Guyot Environnement
avait subitement été enlevée fin d'année 2016 ?
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Avec Greenpeace il est grand temps de renouveler Internet !
- Par auraenvironnementparis
- Le 11/01/2017
- Dans Greenpeace Solidarité
Véritable système nerveux central de l’économie mondiale et système social à part entière, le web engloutit des quantités considérables d’énergie.
Pour ranger nos données, les partager ou les protéger, nous avons recours à un gigantesque « nuage » de mémoire informatique auquel nous pouvons accéder quelque soit l’endroit où nous nous trouvons. Ce cloud n’est pas dénué d’impacts sur l’environnement. Alors qu’internet prend une part de plus en plus importante dans nos vies, ces impacts ne cessent de grandir. Il est temps de pousser les acteurs du numérique à se convertir aux énergies renouvelables.
Une industrie énergivore…
D’énormes quantités d’énergie sont en effet nécessaires pour fabriquer et alimenter nos appareils et faire tourner les centres de données. Selon le rapport Clicking Clean publié le 10 janvier 2017 par Greenpeace, le secteur informatique représente aujourd’hui environ 7 % de la consommation mondiale d’électricité.
En 2020, le trafic Internet mondial pourrait avoir triplé. L’empreinte écologique du réseau sera ainsi encore plus importante, du fait notamment de l’augmentation de notre consommation personnelle de données et du nombre d’utilisateurs à l’échelle mondiale, qui devrait passer de trois milliards aujourd’hui à plus de quatre milliards d’ici à la fin de la décennie. Selon certaines estimations, la pollution générée par l’industrie du net et son impact sur le climat sont équivalents à ceux du secteur de l’aviation.
Les choix que nous ferons pour développer et alimenter cette infrastructure seront cruciaux pour la transition énergétique que nous devons opérer à temps afin d’éviter les dangers liés aux changements climatiques.
Si nous prenons le chemin du 100 % d’énergies renouvelables pour alimenter les centres de données et autres infrastructures numériques, notre dépendance grandissante à Internet pourrait devenir un catalyseur de la transition vers une économie reposant sur les énergies renouvelables. À l’inverse, si le développement d’Internet entraîne une demande toujours plus forte en électricité issue du charbon et autres sources d’énergies polluantes, la transition énergétique sera beaucoup plus longue et coûteuse.
…. qui commence à bouger
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Le Collectif de Défense de l’Environnement du Pilat (CDEP) s'invite aux voeux du maire de Saint-Romain-en-Gal !
- Par auraenvironnementparis
- Le 08/01/2017
- Dans STOP à la décharge de Saint-Romain-en-Gal (Rhône)
A peine né, le Collectif de Défense de l’Environnement du Pilat (CDEP)
tracte et récolte soutiens CONTRE le énième arrêté préfectoral
du préfet du Rhône prolongation décharge NICOLLIN
lors des voeux du maire Pierre LANGLAIS !
A l'initiative d'AURA Environnement, les riverains excédés par les odeurs insupportables de la décharge NICOLLIN de Saint-Romain-en-Gal ont décidé la prise en main de leur destin via la lutte révolutionnaire avec la création du Collectif de Défense de l’Environnement du Pilat (CDEP) qui permettra à tout cet immense territoire du parc naturel régional du Pilat (qui regroupe 47 communes de la Loire et du Rhône sur un territoire de 700 km2, pour une densité de 80,2 hab/km2 - densité assez élevée pour un parc naturel - avec les grandes villes proches comme Saint-Etienne ou Vienne), de savoir comment est dévalorisé ce beau parc limité au nord/ouest par la vallée du Gier et à l'est par la vallée du Rhône, ses frontières sud et ouest qui le mènent aux portes de la Haute-Loire et de l'Ardèche à quelques kilomètres de Saint-Etienne et pas très loin d'un autre projet inadmissible de méga Usine à poubelles méthanisation/CSR - combattu par le collectif C.H.U.P.A qui représente plus de 10 000 personnes - vers Andrézieux-Bouthéon et porté par le syndical local : le SYDEMER qui loge dans les locaux de Saint-Etienne Métropole.
A Saint-Romain-en-Gal, à l'initiative également d'AURA Environnement un autre collectif, plus modéré, est en gestation avec notamment la potentielle participation du très sympathique ex-conseiller municipal Marc GAVIOT-BLANC. Ce collectif devrait travailler, lui, plus en harmonie avec les élu-es dont le maire Pierre LANGLAIS qui a indiqué, lors de ses voeux à la salle polyvalente de Saint-Romain-en-Gal, vouloir demander une contre-expertise sur les attendus olfactifs du préfet du Rhône Michel DELPUECH qui a accordé une énième prolongation à la décharge gérée par la SAS NICOLLIN.
AURA Environnement demandera une autre contre-contre-expertise.
Vendredi 06/01/2017, le CDEP est donc passé immédiatement à l'action en tractant à l'issue des voeux du maire.
L'assistance a de facto accordé à plus de 80 % des membres présents son soutien au CDEP qui a présenté sa pétition internet qui recueille déjà plus de 15 500 signatures.
Entre toasts et verres de blanc, la population injustement salie de Saint-Romain-en-Gal en a redemandé des tracts d'AURA Environnement.
Le CDEP a élu sa secrétaire : Elisa POMARES. Son président : Emile POMARES. Sa vice-présidente : Pierrette POMARES. Son porte-parole : Marc-Claude de PORTEBANE. D'autres postes de responsabilité sont à pourvoir.
Le CDEP se veut à 100 % indépendant des piêtres partis écologistes régionaux inefficaces depuis 1969, date de la création de la décharge NICOLLIN.
Une conférence de presse aura lieu prochainement pour expliquer comment et pourquoi AURA Environnement ira au tribunal administratif de Lyon afin de contester cet énième arrêté préfectoral pris à l'encontre des habitants et des animaux vivant à proximité de cette décharge qui décharge des odeurs insupportables et inadmissibles !
Avec cette présence sur tout le territoire du parc naturel régional du Pilat, AURA Environnement et le CDEP espèrent regrouper plusieurs milliers de militant-es et de militants.
La révolte des 56 000 défenseurs du Pilat est en marche CONTRE la décharge NICOLLIN et l'arrêté-alibi DELPUECH qui vont, une nouvelle fois, semer les mauvais vents de la discorde inter-régionale en autorisant 16 000 T de pourriture en 2017 et à partir de 2018 au moins pour 6 ans quelques 65 000 T de déchets du Rhône et surtout du Grand Lyon !
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Alors que le chauffage au bois pollue la vallée de l'Arve, l'incinérateur de Passy subit un incendie terroriste !
- Par auraenvironnementparis
- Le 04/01/2017
- Dans Stop pollution chauffage au bois dans la vallée de l'Arve (74)
Même Laurent WAUQUIEZ et le maire de Chamonix Eric FOURNIER
vice-président Environnement à la région Auvergne-Rhône-Alpes
ont reconnu que le chauffage au bois était
la 1ère source de pollution dans la vallée de l'Arve !
Un engin incendiaire a été déposé sur le poste de comptage du gaz. Cet acte s’inscrit dans un contexte de pollution persistante aux particules fines dans la région, et de tension entre d’un côté une partie de la population, et de l’autre les élus locaux et l’exploitant.
L’incinérateur de Passy, dans la vallée de l’Arve, en Haute-Savoie, a fait l’objet d’une tentative d’incendie volontaire dans la nuit du 21 au 22 décembre. Un engin incendiaire a été déposé sur le poste de comptage de gaz, à l’entrée de l’usine. Un employé de l’usine a vu les flammes et prévenu les pompiers, qui sont intervenus rapidement. Selon la gendarmerie, les dégâts sont « nuls ». On peut toutefois supposer qu’ils auraient pu être plus importants sans cette intervention rapide.
L’incinérateur de Passy est considéré par certains habitants comme un des principaux responsables de la pollution aux particules fines que subit régulièrement la vallée de l’Arve, en particulier en hiver, lorsque se produit le phénomène d’inversion de température qui empêche la dispersion des polluants.
Pourtant, selon les données fournies par l’observatoire régional de l’air Atmo Auvergne-Rhône-Alpes (ex-Air Rhône-Alpes), l’incinérateur émet moins de 0,02 % du total des particules émises dans la vallée de l’Arve. Le principal responsable de ces émissions est le chauffage au bois : plus de 60 % des émissions totales annuelles, et plus de 80 % de la concentration en particules en hiver, selon une étude récente.
Source : Déchets infos n° 106
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Encore + odeurs gaz #ViaRhôna : l'arrêté-alibi DELPUECH 2016 accorde 16 000 T à la décharge de NICOLLIN !
- Par auraenvironnementparis
- Le 02/01/2017
- Dans STOP à la décharge de Saint-Romain-en-Gal (Rhône)
Mauvaise nouvelle pour animaux-en-danger
voisins et paisibles cyclistes #ViaRhôna :
le 30/12/2016, le préfet du Rhône a pris un arrêté-alibi
d'1 an afin de permettre à NICOLLIN d'infester ENCORE
pendant 9 à 10 ans la décharge de Saint-Romain-en-Gal !
AURA Environnement l'attendait de pied ferme, contrairement à certains élu-es qui festoyaient ou qui se disputaient "le bout de gras" pour savoir qu'elles - qu'ils étaient - celles - et - ceux - qui nous avaient demandé de les aider après tant d'années de somnolence communale !
Il est enfin arrivé, cet arrêté-alibi du préfet DELPUECH, grâce, notamment, aux membres du CoDERST du Rhône lors de la séance du 15/12/2016 qui ont donné leur accord pour que la SAS NICOLLIN (siège social 37/39 rue Carnot à Saint-Fons) puisse continuer à infester en odeurs pestilentielles les animaux innocents, les touristes, les cyclistes et les populations locales proches de la décharge archaïque de la région des "Combes du Melay" à Saint-Romain-en-Gal.
Bonjour les nouvelles odeurs de gaz pour les animaux à proximité immédiate de la décharge, mais aussi pour les populations locales qui n'ont plus qu'à déménager au cas-où elles ne saisiraient pas le vrai sens de cet arrêté préfectoral qui n'est qu'un "alibi" pour que la SAS NICOLLIN ne quitte les lieux avant 9 à 10 ans, voire plus, car ils ne lâcheront jamais cette UNIQUE décharge du Rhône, sauf devant l'amplification de la mobilisation populaire générée par AURA Environnement et non par les paltoquets locaux qui ont su si bien enrober de leur scotch invisible les populations locales grisées par les émissions de sulfure d'hydrogène (H2S) et de dioxyde de soufre (SO2) !
L'arrêté-alibi du préfet DELPUECH en date du 30/12/2016 autorise - pour une énième fois - la société NICOLLIN à prolonger la durée d'exploitation de son installation de stockage de déchets non-dangereux (ISDND), sur le casier C, pour un volume estimé à 16 000 T grâce à la nonchalance des élu-es locaux et de certaines populations traîtres à la cause écologiste, et ce nonobstant également le trafic routier et les envols de déchets légers !
Photo : Gérard GAVIOT-BLANC
Primo : nous attendons des explications de la part des élu-es du Grand Lyon.
Qu'est-ce donc ce "Plan interdépartemental de prévention et de gestion des déchets non dangereux du Rhône et de la Métropole de Lyon" ?
Hello notre "camarade" Emeline Baume (Europe Ecologie - Les Verts et apparentés) quand on connaît les déboires de l'Ademe avec les magistrats de la chambre régionale des comptes et tels que les a observé Laurent Wauquiez, le nouveau président de la région Auvergne-Rhône-Alpes !
Deuxio : qui, dans la région de Saint-Romain-en-Gal pactise avec le Diable contre le Peuple souverain ?
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STOP TMB-Incinérateur du SYCTOM à Romainville/Bobigny/Pantin/Noisy-le-Sec :
- Par auraenvironnementparis
- Le 31/12/2016
- Dans TMB-Incinérateur du SYCTOM à Romainville/Bobigny/Pantin/Noisy-le-Sec
Bonjour,Faites un feu avec vos poubelles dans votre salon et vous risquez de vous intoxiquer gravement.De plus, il restera de ce feu des cendres, dont la toxicité est extrêmement élevée, et d'autres résidus de combustion moins fins qui sont également nocifs.Pour comprendre ce qui suit, voici quelques définitions à connaître :- Résidu d'Épuration des Fumées d'Incinération des Ordures Ménagères (REFIOM) : Résidus solides collectés après traitement chimique des fumées visant à réduire la pollution. Le traitement repose sur une neutralisation couplée à une filtration. Les polluants visés sont les gaz acides et les poussières, auxquels s’ajoutent également les métaux lourds, les oxydes d’azote et les dioxines, traités par des procédés complémentaires. Le réactif neutralisant peut être injecté sec sous forme de poudre (chaux ou bicarbonate de sodium), par voie semi-humide (lait de chaux pulvérisé), ou par voie humide dans une colonne de lavage à la soude. Ces procédés génèrent des produits résiduels, composés essentiellement de cendres volantes poussières). Les REFIOM sont stabilisés avant d’être stockés en CSD de classe 1. Ces procédés permettraient d'épurer à plus de 98 les fumées d'incinération de déchets ménagers.- Mâchefer : Résidus de l'incinération des ordures ménagères laissés en fond de four et constitués dans leur très grande majorité des matériaux incombustibles des déchets (verre, métal...). Les mâchefers contiennent des dioxines et des furannes à des teneurs allant de 4 à 20 nanogrammes par kg de matière sèche. Sachant qu'une tonne de déchets incinérée produit environ 300 kg de mâchefers, il y aura de 1200 à 6000 nanogrammes de dioxine pour 1 tonne incinérée. La même tonne de déchets produira environ 7500 m3 de fumées qui, en respectant les normes(<0.1ng/m3 ), produiront environ 750 nanogrammes de dioxines.Plus personne ne veut des restes infâmes de l'incinération, à savoir les refioms et les mâchefers, surtout pas la Seine-et-Marne qui n'en peut plus de cette pollution illimitée.En effet Yprema ne sait plus quoi faire de se mâchefers, il les stocke en infraction avec la législation en bordure proche de la Marne à Lagny et ne tient pas à jour le registre de sortie des mâchefers, si bien que l'on ne sait pas où ils vont.Pourtant le SYCTOM et certains membres d'Est Ensemble poussent pour un TMB/Incinérateur à Romainville/Bobigny/Pantin/Noisy-le-Sec...On n'apporte pas de solution de fonds (nécessité d'une refonte totale de la gestion actuelle de nos déchets par un vrai travail de réduction et de tri en amont) et on promeut des unités de traitement désastreuses, ruineuses et d'un autre temps.Qu'ils appliquent le plan B'OM chez nous !!!A l'année prochaine, en souhaitant le meilleur à tous et pour tous en 2017. -
Décharge NICOLLIN de Saint-Romain-en-Gal : le vent de la révolte populaire se lève avec AURA Environnement contre l'arrêté Delpuech !
- Par auraenvironnementparis
- Le 31/12/2016
- Dans STOP à la décharge NICOLLIN à Saint-Romain-en-Gal (Rhône)
En plus des 15 348 signatures de la pétition internet :
La pétition papier rencontre un vif succés chez
les commerçants mais aussi chez le peuple de base
des petits ouvriers et des petits fonctionnaires
pour dire "Halte à l'arrêté Delpuech" !
Venez signer la pétition version papier d'AURA Environnement présente ici bien au chaud au "Kiosque à pizzas" avenue de la gare à Saint-Romain-en-Gal.
LIEN PETITION INTERNET : http://www.mesopinions.com/petition/animaux/halte-mise-danger-moutons-agneaux-lieu/26877
La pétition version papier d'AURA Environnement atteint désormais 516 signatures (en plus des 15 348 signatures de la pétition internet) dans la région de Saint-Romain-en-Gal.
A Saint-Romain-en-Gal, le soutien de la population qui n'en peut plus de cette décharge depuis de nombreuses années d'impuissance de certains élu-es locaux face à la compression de certains services de l'Etat et des industriels, est sans faille pour AURA Environnement épaulé par des cellules autonomes lyonnaises Vegan mais aussi de la protection des animaux qui ont été choquées de voir de paisibles moutons, agneaux, oies respirer des odeurs pestilentielles au lieu-dit "Le Melay".
La pétition papier est présente à Saint-Romain-en-Gal chez :
- MAISON BRUN
- Instant Coiffure
- Fleuriste Valérie Giraud
- ROMA Rest (franchisé Ninkas)
à Loire-sur-Rhône :
- Mairie
- Tabac TiCase
- L'antipasti
Sarl Mouton-Benoit
- La Nappe à Carreaux
à Sainte-Colombe :
- Epicerie Jardins de Provence
- NANI-NANO Nouveautés
- Boulangerie ROSTINOT
- Bar FONTENOY
- Coiffure GUY
- Boulangerie de la Passerelle Gourmande
- Snack-Bar L'ANNEXE
- TEC'COIFFURE
- 2S-TIMES SQUARE
- CROUSTI-FORMULES
- Le Fournil de Sainte-Colombe
- SQUARE-HABITAT
- Café-Restaurant des ARTS
etc........
Merci de recevoir si gentimment nos camarades qui font du porte-à-porte dans un rayon de 30 km de la décharge de Saint-Romain-en-Gal en cette période de froid de fin d'année 2016 !
Pas de trêve, pas de fête de noël et du réveillon où on se gave de volailles pour les écolos anarcho-marxistes d'AURA Environnement et de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux qui préfèrent serrer dans leurs bras les animaux qui souffrent et les population locales qui n'en peuvent plus de respirer odeurs pestilentielles sur odeurs pestilentielles.
Prochaine réunion d'opposition populaire à énième prolongation de la décharge NICOLLIN et de respect de l'ordre républicain : vendredi prochain, le 09/01/2017. Chaque personne sera jointe individuellement - par les camarade-secrétaires Claudine, Pascale et Pierrette - afin de faire face aux infiltrations de toutes sortes. Méfions-nous des traîtres qui pullulent. Les élu-es ou es anciens élu-es favorables à notre cause sont les bienvenu-es bien évidemment !
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Prolongation "Régles de l'art" décharge Nicollin 69 : pétition + 15 000 signatures, 4 voix contre CoDERST, mobilisation générale
- Par auraenvironnementparis
- Le 29/12/2016
- Dans STOP à la décharge NICOLLIN à Saint-Romain-en-Gal (Rhône)
Alors que les camions de poubelles roulent débâchés dans
les rues de Saint-Romain-en-Gal sans que le maire ne bronche
la mobilisation d'AURA Environnement porte ses fruits :
4 voix contre au CoDERST, plus de 15 000 signatures pétition
l'arrêté Delpuech sera-t-il signé pour valider les drôles "Rêgles de l'art'
de prolongation de la décharge de la SAS NICOLLIN ?
Les camions descendant de la décharge de la SAS NICOLLIN ne sont pas bachés lorsqu'ils traversent les rues très commerçantes de Saint-Romain-en-Gal et de Sainte-Colombe avec l'accord tacite de certains élu-es qui s'en fichent.
La certification ISO 14 001 doit être retirée à l'entreprise NICOLLIN !
Alors que la pétition internet d'AURA Environnement rassemble déjà plus de 15 000 signatures dont plus de 400 commentaires et 55 dépôts chez les commerçants/artisans de la la région de Saint-Romain-en-Gal (69), alors que 4 voix associatives ont voté contre la énième demande de prolongation d'exploitation de la méga décharge de 32 ha de la SAS NICOLLIN, le préfet du Rhône Michel DELPUECH va-t-il signer une nouvelle fois l'arrêté préfectoral qui malmènera pendant de nombreuses décennies les animaux et les populations locales ulcérées par des années et des années de nuisances olfactives alors que la société NICOLLIN ne cesse de vanter sa certification ISO 14 001...
.....(sensibilisation du personnel et protection de l'environnement)....
Drôle de certification 14 0001 : les animaux respirent l'odeur des sacs poubelles
à proximité de la décharge NICOLLIN à Saint-Romain-en-Gal !!!
.....tout en affirmant dans son dossier de "PORTER A CONNAISSANCE" que cette décharge "sera exploitée selon les règles de l'art et dans la continuité de l'exploitation actuelle" !
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Décharge de Saint-Romain-en-Gal : AURA Environnement organise la Résistance avec populations locales !
- Par auraenvironnementparis
- Le 23/12/2016
- Dans STOP à la décharge NICOLLIN à Saint-Romain-en-Gal (Rhône)
Répondant à l'appel des populations locales ulcérées
AURA Environnement organise la Résistance
contre une énième demande de prolongation
de la décharge NICOLLIN à Saint-Romain-en-Gal !
Cette semaine, une réunion préventive a été organisée par les cadres d'AURA Environnement et les populations locales vivant à proximité de l'infâme décharge gérée par l'entreprise NICOLLIN avec le soutien actif des services de l'Etat du Rhône et les élu-es locaux !
Alors que la pétition internet lancée par AURA Environnement pulvérise tous les records d'audience avec plus de 14 000 signatures en à peine une semaine (+ 386 commentaires à ce jour), nos militant-es ont lancé une vaste campagne de sensibilisation des populations locales dans un rayon de 100 km autour de la commune de Saint-Romain-en-Gal située en face de Vienne (Rhône + Isère + Loire + Ardèche + Drôme) en déposant la pétition (version papier)....
....chez les commerçants et les artisans qui, pour la plupart ne connaissent pas cette décharge et encore moins les odeurs pestilentielles qui font des ravages parmi les populations locales et les animaux exposés de "plein fouet" lorsque les vents mauvais balaient la région de Saint-Romain-en-Gal, village martyr du sud du département du Rhône....
....non-loin des vignobles de Condrieu dont la réputation risque d'être ternie dans les prochaines années si la DDPP 69 (Direction départementale de la protection des populations) persiste à négliger la qualité de vie et la protection.....
......des riverains et des populations locales excédées par temps d'années de souffrance et d'incompréhension face au rouleau compresseur de l'Etat combiné à l'industriel !
La CSS (Commission de Suivi de Site) en date du 12/05/2016 qui a rassemblé Denis BRUEL, secrétaire général-adjoint de la préfecture du Rhône ; Antoine DUPERRAY conseiller départemental du Bois d'Oingt ; Michèle PEREZ présidente du Parc naturel régional du Pilat ; Pierre LANGLAIS maire de Saint-Romain-en-Gal ; André MASSE maire de Sainte-Colombe ; Michel MONTMEAS adjoint-au-maire de Saint-Cyr-sur-le-Rhône ; Catherine FISCHER chef de service et Roland COURBIS inspecteur de la DDPP 69 ; Pascal RESTELLI inspecteur de la DREAL UD 69 ; Jean-Louis BLAY directeur de l'exploitant NICOLLIN ; Youcef LEKOHAL et Cyril CACCHIA salariés de l'entreprise NICOLLIN ; Marc GAVIOT-BLANC et Jean FAVEYRIAL pour les riverains ainsi que Rachel BELUZE et Laurence DANJOU-GALIERE de la DDPP 69 ; Guillaume HAREL du bureau d'études TAUWN France ; Valérie MAYEUX-RICHON de la Métropole de Lyon et Christophe WAREMBOURG du Groupe NICOLLIN ne peuvent pas dire qu'ils ne connaissent pas le quotidien infernal vécu par les populations locales et les animaux :
- odeurs désagréables qui s'infiltrent dans les habitations, les commerces et les entreprises le soir et les week-ends
- envols de sacs plastiques
- émissions de sulfure d'ydrogène (H2S) et de dioxyde de soufre (SO2)
Entre sacs plastiques sucrés ou salés et neige,
les animaux ne font pas la différence
et se tuent en s'emmêlant les pattes !
Cette décharge est autorisée au titre de la rubrique 2760-2 pour un volume de 80 000 T/an ainsi ques délestages (que l'on nous dit exceptionnels sans plus de précision) d'usines d'incinération d'ordures ménagères.
Ce tonnage se répartit de la façon suivante :
- Déchets artisanaux commerciaux et industriels banals (DIB) : refus de centres de tri ou non triables : 69 000 T
- Ordures ménagères des communes voisines : 1 000 T
- Ordures ménagères provenant d'arrêt des UIOM : (on nous dit exceptionnel)
- Cendres humides et boues de stations d'épuration d'eaux usées (STEP de la métropole de SAINT-FONS) : 8 000 T (on nous dit exceptionnel)
- Boues de stations d'épuration d'eaux usées : 2 000 T.
DENI de DEMOCRATIE et de TRANSPARENCE
Depuis le mois d'août, AURA Environnement a voulu faire le point avec la DDPP 69. A chaque fois, régulièrement chaque mois, on nous a dit qu'il n'y avait rien de nouveau.
Et qu'avons-nous appris dernièrement ?
Nous avons découvert..... qu'une énième demande de prolongation avait été déposé en novembre 2016 par la société NICOLLIN (Bureau d'ingénierie SETEC, Energie renouvelable à Lyon) et ce, pour une durée de 2 fois 6 mois pour un total de 12 000 T et que le CoDERST allait se réunir le 15/12/2016 afin d'émettre un avis d'autorisation, sur lequel le préfet devrait statuer dans les prochains jours en accordant encore une fois une prolongation de plus.
Cette décharge est ouverte depuis 1967 et peut recevoir 80 000 T de déchets/an. Cette installation est autorisée par l'arrêté préfectoral du 21/10/2009 et l'arrêté préfectoral complémentaire du 28/12/2015 qui prévoyait la fin de l'exploitation du casier C pour le 31/12/2016.
Alors que rien n'a été soufflé aux populations locales lors de la CSS du 12/05/2016, nous apprenons - maintenant - que la société NICOLLIN souhaite maintenir l'exploitation de la seule décharge du Rhône, et projette ainsi d'en poursuivre l'exploitation en réhausse sur les casiers A et B. C'est pour cela que la société NICOLLIN a donc déposé un Dossier de Demande d'Autorisation d'Exploiter (DDAE) en ce sens..... pour assurer la pérennité de l'installation pendant le délai estimé d'instruction de ce DDAE et prolonger l'exploitation du casier C au-delà du 31/12/2016.
D'où le silence obscur et total (sur ce DAE de NICOLLIN) de la part de la DDPP 69 (La DDPP a refusé de transmettre à AURA Environnement une copie du courrier de l'entreprise NICOLLIN de demande de prolongation de cette décharge, le rapport de l'inspecteur de la DREAL 69 au CoDERST et le projet d'arrêté préfectoral en violation de l'article L.124-3 du Code de l'environnement) ; la non-communication de ce "Porter à connaissance" par Pierre LANGLAIS, le maire de Saint-Romain-en-Gal à AURA Environnement (Notre RDV en mairie avec le 1er adjoint Gérard VINCEROT et une élue chargée de l'environnement a vite tourné "court", puisque nous n'avons juste obtenu qu'eu une copie d'une délib' du 23/04/2015 et une autre plus ancienne de fin 2014 !!!! - LOL -) ; et le silence "radio" des différents services de l'Etat qui refusent de nous communiquer quoique ce soit parce que la France est une DICTATURE et non une DEMOCRATIE !
Le préfet du Rhône et surtout son secrétaire général veulent passer "en force", ils ont donc transmis leurs "ordres de blackout" TOTAL aux populations de la grande région Auvergne-Rhône-Alpes. Et nous sommes sous un gouvernement de GAUCHE, Mesdames et Messieurs. Nous sommes sous une dictature de "gauche" qui semble n'avoir de "gauche" que l'appellation !
Et bien non, Mr le secrétaire-général de la préfecture du Rhône, Mr Denis BRUEL ! Votre énième prolongation à l'entreprise NICOLLIN fin 2015 aura été la dernière ! Assez de mensonges aux populations locales ! Nous demandons l'intervention du médiateur de la République ! Ca suffit ! Les populations locales épuiserons toutes les voies légales pour s'opposer à une énième prolongation de cette SEULE décharge du Rhône ! Et cela commencera par un référé uspension !
Nous avons pu joindre quelques membres du CoDERST avant le 15/12/2016 mais le temps nous a manqué. Nous nous en excusons auprès des populations locales de Saint-Romain-en-Gal et des communes voisines ! Nous nous en excusons auprès des personnes atteintes de cancers ! Nous nous en excusons auprès des animaux jouxtant cette décharge et qui se respirent "en pleine poire" des odeurs insupportables de gaz !
Ce que vous devez savoir, c'est que la cour d'appel de Lyon, dans son arrêt du 09/03/1999, avait donné raison à "l'Association contre l'extension de la décharge régionale de Saint-Romain-en-Gal" qui demandait l'annulation d'un jugement du TA de Lyon en date du 22/01/1997 qui avait rejeté sa demande contestant le bien fondé de l'arrêté du préfet du Rhône du 22/05/1996 qui avait imposé des prescriptions complémentaires à la société NICOLLIN et compagnie pour l'exploitation du centre d'enfouissement technique de résidus urbains à Saint-Romain-en-Gal ainsi que les éléments complémentaires ordonnés par le tribunal ; l'association demandait l'annulation de l'arrêté du préfet du 22/05/1996 ; l'association soutenait que la société NICOLLIN et compagnie n'était propriétaire d'aucun terrain sur le territoire de Saint-Romain-en-Gal ; que les surfaces annoncées par l'administration étaient erronées ; que l'arrêté du 02/05/1973 devait être regardé comme n'ayant accordé une autorisation que pour les 10 parcelles qu'il citait ; que la réception des boues et des cendrres d'incinération ne constituait pas des produits inertes pour ces parcelles ; qu'il était clair que cette augmentation avait augmenté la polllution du ruisseau Marauday ; que sur les quantités l'arrêté comportait une incohérence puisqu'il accordait le dépôt d'un poids total de déchets de 960 000 T alors que la capacité de stockage restante était estimée à 750 000 T.....
TIENS ! TIENS ! Intéressant cet arrêt de la cour d'appel de Lyon !
Cela fait plus de 10 jours que nous essayons - vainement - de joindre la Fédération départementale de la pêche du Rhône. A chaque fois, le standard nous a répondu que le président Alain LAGARDE était en "réunion". Pas un SEUL rappel du président LAGARDE et pas une SEULE réponse de son conseil d'administration à notre mail du 12/12/2016.
Objectif de notre futur Collectif : Puisque cette Fédération départementale de la pêche du Rhône ne daigne pas nous répondre, nous vous demanderons, Camarades, de demander l'avis à tous les administrateurs des 43 associations agrées de pêche et de protection du milieu aquatique (AAPPMA) que compte le département du Rhône sur cette nouvelle demande de NICOLLIN. Nous élirons un délégué qui ne s'occupera que du dossier "Pêche". Nous irons - en plus - dans les bistrots où ils vendent leurs cartes de pêche à l'information des masses populaires qui aiment bien taquiner nos amis les poissons en les relâchant ensuite !
LE PEUPLE sera désormais informé et ne sera plus tenu dans l'ignorance crasse !
Alors que dans cette CSS 2016 pas un mot sur une éventuelle prolongation pour ne pas affoler les populations locales et les prendre de vitesse. Ils n'en ont pas pipé un seul mot. Ils ont juste parler de remise en état du site, de servitudes d'utilité publiques, de révision du règlement d'urbanisme, de parc phovoltaïque, de l'étude olfactométrique, d'envol des sacs plastiques, de la difficulté de valoriser le biogaz en raison de la présence de silice, de la reprise de l'étanchéité du ruisseau sur toute la traversée de la décharge, de la réception des 66 096 T de déchets en 2015 dont 89 % sont des DIB.....
Depuis le 15 décembre, (pendant que les gens ont la tête ailleurs et ne pensent qu'à s'affairer pour les cadeaux des fêtes de noël 2016), c'est silence radio du côté des services de l'Etat qui ne tiennent absolument pas à dévoiler le résultat, préférant cacher aux populations locales la vérité et de les mettre, une fois l'arrêté préfectoral signé impérativement avant le 31/12/2016, devant le fait accompli.
En fait, ils pensent que ça passera une nouvelle fois devant des élu-es plus ou moins passifs qui n'ont eu de cesse de crier mais qui se sont - en fait - couchés devant les arrêtés préfectoraux successifs. Pas un élu de Saint-Romain-en-Gal ou des communes alentours n'est allé contester au tribunal administratif l'arrêté préfectoral de fin 2015 ! Ni les "écologistes" de la FRAPNA du Rhône !
C'est un scandale alors que les populations locales sont ennivrées par les odeurs infernales ! Où sont-ils ces écolos de la FRAPNA qui ont touché pas mal de fric de l'ex-Région Rhône-Alpes ?
Nous avons demandé au nouveau président de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, Laurent WAUQUIEZ, de nous sortir l'état des subventions à la FRAPNA et à la Ligue de protection des oiseaux (LPO) sour l'ex-présidence QUEYRANNE !
Qu'ont-ils fait, eux, les écolos de cette FRAPNA 69 adhérente à la FNE (Fédération Nature Nature Environnement) ? Nous allons passer à la loupe les CoDERST 69 ainsi que tous les dossiers où la FRAPNA devrait nous épauler ! Il suffit d'observer comment ça c'est passé avant ce 15 décembre entre la FRAPNA 69 et AURA Environnement ! Ils nous ont carrément raccroché au nez parce que nous voulions savoir qui représenterait le FRAPNA 69 au CoDERST !
Plusieurs personnes sont atteintes de cancers dans la région de Saint-Romain-en-Gal. C'est normal ? Quelle est la prévention des populations locales par l'ARS sur les dangers encourus par les riverains ? Pourquoi Mme B. et Mme V. ont-elles eu un cancer du sein ? Pourquoi Mme G. a-t-elle eu un cancer généralisé ? Pourquoi Mr D. a-t-il eu un cancer des oreilles et des poumons ? Pourquoi X a-t-il fait 2 embolies pulmonaires ?
Qu'en pensent les médecins généralistes et les spécialistes du Rhône ou d'ailleurs, d'ailleurs ?
Est-il normal qu'à l'été 2016, les riverains n'ont pu partager une SEULE fois un barbecue Vegan en famille ? Qu'en pensent les footballeurs amateurs du Montpellier Hérault Sport Club ? Ils n'en font pas de barbecue, eux dans leur Camargue ?
"Le Pilat à vélo" sauf dans notre cercle rouge, attention aux odeurs pestilentielles, prière de s'équiper avec un masque à gaz !!! Bientôt une nouvelle pétition visant à boycotter les vins de Condrieu. Patience, SVP !
Les populations locales ne sont plus seules même si certains élus de Saint-Romain-en-Gal cherchent maintenant à savoir qui nous a contacté. Bonjour l'ambiance ! Comme si la énième demande de prolongation de NICOLLIN n'était pas source de nouvelles inquiétudes pour les habitants des communes riveraines de Saint-Romain-en-Gal !
Nous devons chercher pourquoi ils-elles favorisent encore cette décharge qui aurait dû fermer, déjà, fin 2015. La recherche en responsabilités commence à la mi-juin 2015, voire plusieurs années antérieures. Nous vous demandons de ne pas hésiter à demander à la DDPP 69, à la DREAL 69, à la préfecture du Rhône, à vos élu-es des explications !!! Car, eux, ils le savent !
Et n'oubliez pas Camarades, VOTRE IGNORANCE EST LEUR POUVOIR !
Et que penser du Parc régional "naturel" du Pilat souillé d'une telle façon par des odeurs persistantes depuis de trop nombreuses années !
Et que penser de ces pauvres moutons qui respirent de l'air en permanence vicié pratiquement toute l'année ?
Et bien Mr le préfet du Rhône, si entre sacs plastiques salés ou sucrés dans la neige les aniimaux ne font pas la différence et "se tuent en s'emmêlant les pattes", Nous, signataires de la pétition internet et papier d'AURA Environnement présente chez les petits commerçants et les, petits artisans, les sans-grade, le Tiers-Etat de la République des ripoux, nous, nous estimons que les animaux sont supérieurs à nous et nous nous coucherons à leur côté pour leur éviter une mort certaine et inadmissible ! Les animaux n'ont pas à être gazés ! Les humains, non plus ! Assez de Dachau !
Lien de notre pétition : http://www.mesopinions.com/petition/animaux/halte-mise-danger-moutons-agneaux-lieu/26877
Nous ferons descendre à Saint-Romain-en-Gal toutes et tous les camarades fanatiques et épris d'amour pour les animaux ! Nous voulons un diagnostique immédiat sur la santé des moutons, agneaux, vaches, chevaux, toutous, chats, et... dans un rayon de 10 km autour de cette décharge archaïque ! Nous ferons descendre la France à Saint-Romain-en-Gal ! Si les fonctionnaires du Rhône et les élu-es n'ont aucune pitié pour la défense des animaux, ils se trompent lourdement !
Pour défendre la Noble cause des moutons et des agneaux innocents de Saint-Romain-en-Gal dans le Rhône, je n'ai pas besoin de 10 000 camarades-manifestants pour gesticuler ! Je veux juste les 500 plus fanatiques des plus fanatiques et déterminé-es que compte la P.A. (protection animale) !
Vous êtes plus de 40 000 admiratrices et admirateurs de ma page de la "Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux". Merci de nous envoyer un message en MP pour en finir avec la décharge archaïque de Saint-Romain-en-Gal en nous contactant via ce lien https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/
Feu ! Ouvrons le bal ! Place au covoiturage des militant-es de la P.A. (Protection Animale). Frères, soeurs, "Pas de téléphone sur place", SVP. Répétons : "Pas de téléphone sur place". Juste une carte d'identité dans le jean. Répétons : "Juste une carte d'identité dans la poche".
Frère numéro 1 Marc-Claude de PORTEBANE
K1 (Camarade n° 1)
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PETITION. HALTE Mise en DANGER MOUTONS et AGNEAUX au lieu-dit « Le Melay » à Saint-Romain-en-Gal (69) et STOP à cette Unique décharge à poubelles !
- Par auraenvironnementparis
- Le 14/12/2016
- Dans Fermeture définitive décharge Saint-Romain-en-Gal
HALTE Mise en DANGER MOUTONS et AGNEAUX
au lieu-dit « Le Melay » à Saint-Romain-en-Gal (69)
et STOP à cette Unique décharge à poubelles du Rhône !
LIEN : http://www.mesopinions.com/petition/animaux/halte-mise-danger-moutons-agneaux-lieu/26877
À l'attention : de l'UE, du Sénat, de Mme la ministre de l’Environnement, Ségolène ROYAL et Mr Michel Delpuech préfet région Auvergne-Rhône-Alpes
Samedi 10/12/2016, les militant-es d’AURA Environnement ont découvert des pauvres moutons et des agneaux respirant des odeurs pestilentielles vers l’unique décharge du Rhône gérée par l’entreprise NICOLLIN au lieu-dit « Le Melay » à Saint-Romain-en-Gal (Département du Rhône, en face de Vienne - Isère -), qui devait définitivement fermer au 31/12/1015. Las, le préfet a renouvelé l’autorisation pour un an jusqu’au 31/12/2016.
Or, la société NICOLLIN vient, une nouvelle fois, de solliciter le préfet du Rhône via un DAE (Dossier de Demande d’Autorisation d’Exploiter) concernant une modification relative à la durée d’autorisation d’exploiter cette décharge pour une durée d’exploitation de 6 mois renouvelables une fois, pour un tonnage de pas moins de 2 000 T, et ainsi projeter de poursuivre l’exploitation de cette décharge en rehausse sur les casiers A et B. Après 2016, place au tour de passe-passe à la sauce 2017 !!!
Le CoDERST du Rhône du 15/12/2016 composé, notamment, des conseillers de Lyon Métropole Jean-Luc PASSANO et Thierry PHILIP ; des conseillers départementaux Antoine DUPERRAY et Colette DARPHIN ; d’Arthur ROCHE maire de Genay ; de Marc RODRIGUEZ adjoint au maire de Neuville-sur-Saöne ; de Jean-Yves SECHERESSE adjoint au maire de Lyon ; de Michel GUILLOUX conseiller municipal de Feyzin ; de Pierre MARMONNIER maire de Colombier SAUGNIEU ; de Jean GRENIER conseiller municipal de Saint-Maurice-sur-Dargoire ; d’Emmanuel ADLER et de Pierre LAGAT de la FRAPNA 69 ; des représentants de l’association UFCS ; de l’association des Familles rurales de Lyon-Bron ; de l’association Familles de France ; d’Alain LAGARDE et d’Antoine MATEOS de la Fédération du Rhône pour la pêche et la protection du milieu aquatique ; de Stéphane PEILLET et de Gérard BAZIN de la Chambre d’agriculture du Rhône ; de Didier CHARBONNEL de la CCI de Lyon ; de Jérôme BADIE de la CCI du Beaujolais ; de Linda BENAICHA et Véronique STARC de l’association AIR Rhône-Alpes ; de l’expert dans le domaine de la sécurité industrielle Yves VALENTIN ; du Dr Sophie PAMIES directrice de l’écologie urbaine de Lyon ; du Dr Philippe RITTER expert en santé publique ; de Michel TIRAT hydrogéologue coordonateur ; de Paul CHAMBON professeur de toxicologie, etc….. vont-ils porter un « coup mortel » aux animaux innocents vivant dans les alentours de cette décharge nauséabonde que riverains ulcéré-es et populations locales ont déjà vainement porté en pétition in solidum avec le maire et son conseil municipal ?
Suite à cet avis du CoDERST, (où nous espérons que les écologistes de la FRAPNA Rhône-Alpes ne brilleront pas par leur absence), l’arrêté préfectoral, qui s’ensuivra de facto, négligera-t-il les espèces animales locales qui ont droit au respect de leur environnement, ce qui est loin d’être le cas à plusieurs centaines de mètres de cette décharge archaïque où il n’y a même pas de valorisation des déchets de nos poubelles !
Nous, signataires de cette pétition d'AURA Environnement, nous demandons aux services de l’Etat pour début 2017 et les années suivantes :
- La fermeture définitive de cette décharge de Saint-Romain-en-Gal au maximum le 31/12/2016.
- Une étude épidémiologique sur les animaux vivant dans les alentours de cette décharge.
- Une expertise complète sur les sacs plastiques et autres emballages ayant contenu des aliments sucrés ou odorants (dont certains s'envolent) avalés par les animaux.
- Une recherche en responsabilités sur la dégradation du paysage dans cette commune du Parc naturel régional du Pilat.
- Une expertise sur les maladies potentielles pour le personnel de cette décharge.
- Que la DDPP 69 (Mme FISCHER) et la Dreal 69 (Mme JAMMES) cessent de faire de la rétention dans la communication de documents publics en violation des articles L.124-2 et L.124-3 du Code de l’environnement.
- Une expertise pour les préjudices subis par les populations locales en terme de santé, d’esthétisme (Conseil d’Etat 01/10/1996), désagréments divers.
Moutons et agneaux qui sont des animaux lents et consciencieux (notre photo) et qui broutent près de cette décharge intolérable de Saint-Romain-en-Gal et son splendide musée gallo-romain, ont le droit de respirer de l’air pur et non des odeurs de « chou pourri » (Source : Pétition papier 2014 de Marc GAVIOT-BLANC).
Les habitants et TOUS les animaux petits, moyens ou grands de Saint-Romain-en-Gal dans le Rhône pourront toujours compter sur le Collectif de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux et l’association AURA Environnement.
MOBILISONS-NOUS DANS LES RUES de SAINT-ROMAIN-EN-GAL !
Marc-Claude de PORTEBANE
Porte-parole du Collectif de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux
Président d’AURA Environnement
Email : aura-environnement@laposte.nethttp://www.aura-environnement.com/
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CoDERST 69 du 15/12/2016 prolongation ISDND NICOLLIN à Saint-Romain-en-Gal : FRAPNA 69 votera-t-elle pour 1 décharge ZERO Valorisation ?
- Par auraenvironnementparis
- Le 12/12/2016
- Dans Fermeture définitive décharge Saint-Romain-en-Gal
Depuis qu'AURA Environnement a mis les pieds dans le plat, les débats font rage dans le landerneau lyonnais !
Alors que la FRAPNA 42 s'est opposée au CoDERST 42 à la décharge
de Borde-Matin dans la Loire qui incluait la valorisation....
La FRAPNA 69 votera-t-elle jeudi 15/12/2016 pour la prolongation
de la décharge archaïque ZERO Valorisation de Saint-Romain-en-Gal ?
AURA Environnement vient d'apprendre aujourd'hui qu'Emmanuel ADLER, le titulaire de la Frapna 69 (Fédération Rhône-Alpes de Protection de la Nature. Le suppléant désigné par le préfet étant Pierre LAGAT) était "malade" et ne pouvait pas représenter cette association de défense de l'environnement au prochain CoDERST du 15/12/2016 à Lyon qui doit rendre son avis sur une énième prolongation de la décharge de Saint-Romain-en-Gal que ni le maire, ni les élu-es, ni les populations locales, ni les riverains qui ont alerté AURA Environnement ne veulent entendre parler !
Peut-être que ce sera Lydie Memosa (en charge des dossiers relatifs aux problématiques déchets et pollutions (air, sol, lumineuse, eaux et qui anime le réseau Sentinelles) qui prendra la défense des populations locales en votant "CONTRE" une énième prolongation de l'ISDND gérée par l'entreprise NICOLLIN.
Si la FRAPNA Rhône-Alpes votait "POUR" la énième prolongation de la décharge archaïque de Saint-Romain-en-Gal, ce serait ahurissant de constater qu'elle serait en contradiction avec son collègue de la Loire, Jacky BORNE, qui, lui (après des échanges houleux et pénibles avec le secrétaire général de la préfecture de la Loire, selon certains témoins), a voté CONTRE le projet de valorisation porté par SUEZ sur le site de Borde-Matin à Roche-la-Molière et qui incluait.... de la valorisation !
Si la FRAPNA Rhône-Alpes votait "POUR" la énième prolongation de la décharge archaïque de Saint-Romain-en-Gal dans le Rhône, ce serait scandaleux de constater qu'elle voterait POUR une décharge d'un autre âge qui ne produit même pas de l'électricité avec le biogaz !
Car la décharge archaïque de Saint-Romain-en-Gal, c'est du brûlage du biogaz en torchère avec une TGAP associée à 40 €/T car il n'y a pas de valorisation !
Il suffit de se rendre, comme l'ont fait les militant-es d'AURA Environnement dans le quartier du "Melay" à Saint-Romain-en-Gal pour se rendre compte de ce que c'est une décharge archaïque avec des odeurs pestilentielles à couper le souffle qui défigurent le parc naturel régional du Pilat !
Alors que la DDPP 69 et l'UT de la Dréal 69 commencent à nous faire de la rétention de l'information, les populations locales de Saint-Romain-en-Gal épaulées par AURA Environnement maintiendront la "pression" jusqu'à la fermeture DEFINITIVE de cette décharge dont l'Etat ne cesse d'accorder prolongation sur prolongation au mépris de l'environnement !
Si la Frapna du Rhône votait POUR une énième prolongation de la décharge archaïque de Saint-Romain-en-Gal dans le Rhône, nous irions à la déflagration totale et nous en informerions massivement les écologistes (militants et sympathisants) de la grande région Auvergne-Rhône-Alpes ! Et nous n'hésiterions pas à donner un "grand coup de pied" dans le panier des ex-larges subventions accordées par l'ex-présidence QUEYRANNE - au nom du contribuable rhônalpin - et dénoncées par le nouveau président de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, Laurent WAUQUIEZ, qui ne cesse de nous sortir rapports de la chambre régionale des comptes sur rapports de la chambre régionale des comptes !
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Le préfet du Rhône un nouveau blanc-seing d'odeurs infernales à ISDND de NICOLLIN à Saint-Romain-en-Gal (69) ?
- Par auraenvironnementparis
- Le 11/12/2016
- Dans Fermeture définitive décharge Saint-Romain-en-Gal
AURA Environnement en soutien au maire, aux élus et aux riverains en colère !
Alors que la décharge de NICOLLIN à Saint-Romain-en-Gal
devait définitivement fermer le 31/12/2016,
la préfecture du 69 s'apprête à demander l'avis du
CoDERST pour une nouvelle autorisation de 8 mois !
SCANDALEUX ! Le parc naturel régional du Pilat est un des 6 parcs naturels régionaux (PNR) de la région Auvergne-Rhône-Alpes. Labellisé en 1974, il est historiquement le deuxième parc naturel régional créé dans la région et compte parmi les premiers établis en France....
......A Saint-Romain-en-Gal, il est complètement "saboté" par les odeurs pestilentielles qui incommodent riverains, vététistes, randonneurs pour ne pas parler de ces pauvres moutons - dont des petits agneaux - qui broutent l'herbe à quelques pas de l'immense décharge de NICOLLIN qui stocke 80 000 T de déchets par an et dont on aperçoit le bulldozer dans le cercle rouge de notre photo....
Les riverains et les élus de la commune de Saint-Romain-en-Gal (Rhône) séparée de la ville de Vienne (Isère) par le fleuve "Rhône" qui pensaient en avoir terminer avec l'ISDND (Installation de Stockage de Déchets Non-Dangereux) située au lieu-dit "Le Melay" et gérée par le Groupe NICOLLIN qui en est le propriétaire et l'exploitant, ont pris attache avec AURA Environnement parce qu'ils en ont plus que marre d'observer que la préfecture du Rhône risque bien de valider pour 8 mois supplémentaires cette verrue qui ne cesse de déferler ses odeurs infernales dans le parc naturel régional du Pilat depuis de trop nombreuses années.
Pourquoi une énième prolongation de cette décharge ?
Par arrêté préfectoral du 21/10/2009, l'ISDND de NICOLLIN avait été autorisée jusqu'au 31/21/2015.
Le 28/12/2015, dans l'indifférence générale, un arrêté complémentaire autorisait l'entreprise NICOLLIN à poursuivre l'exploitation de sa décharge jusqu'au.......28/12/2016.
Or, AURA Environnement a appris, dernièrement, lors du salon POLLUTEC, que NICOLLIN s'apprêtait a solliciter une nouvelle demande de prolongation de cette ISDND pour une durée supplémenatire de 8 mois.
Cette procédure, déjà utilisée l'an passée par NICOLLIN, ne prévoit aucune consultation des élus locaux et des riverains qui subissent depuis des années - comme a pu le constater AURA Environnement hier 10/12/2016 en patrouillant dans la région du Melay - les odeurs pestilentielles générées par cette décharge qui, en plus des nuisances olfactives intolérables, sème ses sacs en plastique....
.....en ces veilles de décoration de noël, sur les arbres et arbustes environnants !
Puisque les associations environnementales locales se couchent, AURA Environnement a décidé "de croiser le fer" en allant fissa contester le futur arrêté préfectoral au tribunal administratif de Lyon.
Nous verrons bien comment sera caractérisée la circulaire du 14/05/2012 et notamment ces modifications trop souvent dites "substantielles" !
Quelques mois de prolongation par-ci, par-là permettent d'éviter une longue et coûteuse enquête publique !
AURA Environnement n'est pas dupe !
Et que dire de ces prolongations systématiques accordées à la pérennité d'une décharge située - seulement - à quelques km de l'illustre Musée gallo-romain de Saint-Romain-en-Gal qui fète ses 20 ans !!!
Découvert en 1967 à l'occasion de la construction d'un lycée sur la rive droite du Rhône, le site archéologique de Saint-Romain-en-Gal révèle un vaste quartier artisanal et résidentiel de la Vienne Antique. Le site a été occupé dès la fin du Ier siècle av. J.-C. par de grandes demeures à péristyle, domus urbaines, qui voisinent avec des entrepôts, des boutiques, des échoppes d'artisans et des ateliers.
Pourvu que les visiteurs de ce musée remarquable ne visitent pas trop le site d'AURA Environnement pour visiter ensuite la décharge de NICOLLIN située au lieu-dit "Le Melay" !
AURA Environnement s'apprête à lancer une vaste campagne d'information sur cette décharge à l'attention des visiteurs de ce musée gallo-romain !
Ils ne savent rien. Il sauront désormais !
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Indice Quallité de l'Air : le massif du Puy-de-Dôme aussi pollué que la Vallée de l'Arve ! Stop feux de cheminée !
- Par auraenvironnementparis
- Le 10/12/2016
- Dans Indice Qualité de l'Air Auvergne-Rhône-Alpes
Le conformisme petit-bourgeois des feux de cheminée
et des transports routiers largement responsables
de la pollution de l'air de nos campagnes et vallées !
C'est avec leur pognon que les petit-bourges allument leurs feux de cheminée et nous polluent. Les cheminées des pavillons des villes crachent leur venin, alors qu'ils ne sont pas sans savoir qu'ils nous polluent.
On devrait traîner devant les tribunaux ceux qui font la promo de la cheminée alpine ou auvergnate, après une journée de ski.
Nous allons les traquer. Nous avons envoyé 9 équipes de 2 camarades pour faire de la prévention dans les villes et les agglomérations de la Vallée de l'Arve, où, bien souvent, ces nantis cumulent chauffage électrique et cheminée d'agrément, souvent 2 à 3 véhicules par foyer fiscal !
Vous n'allez pas être déçus du voyage !
Cette vérité est corroborée par les services de l'Etat en Haute-Savoie qui ont pointé hier (Source : communiqué de presse de la préfecture de Haute-Savoie : "Réunion de concertation sur l'épisode de pollution en cours en vallée de l'Arve") du doigt le secteur résidentiel et le chauffage au bois (57 % des PM10) qui arrive en tête des principaux émetteurs de la pollution aux particules fines.
Seront concernés également les poids-lourds strictement inférieurs à la norme Euro 3 (mis en circulation avant 2001) qui représentent environ 30 % de le flotte locale !
Lundi 12 décembre, le préfet de la Haute-Savoie prendra un arrêté pour mettre en place une circulation alternée des poids-lourds les plus polluants.
Ces infâmes poids-lourds qui ne cessent de dégrader cette vallée de l'Arve parce qu'il faut bien alimenter les caisses capitalistes des pays industrialisés, le pied des sapins de noël des enfants en cadeaux en provenance de Chine !
En Auvergne ? Que nenni ! On ne parle que de la Haute-Savoie ou de la vallée lyonnaise, mais de l'Auvergne que dalle !
Tout le monde pollue ! Même la plupart de certains producteurs Bio qui roulent avec des véhicules diesels pourris pour vendre leurs production aux bobos des villes. Cessons cette hypocrisie !
Le Progrès de Lyon d'aujourd'hui a constaté, (édition du 10/12/2016), à Lyon et à Villeurbanne, en pleine interdiction de circulation des véhicules aux plaques paires, que les automobilistes trichaient en arguant de prétextes douteux et se disaient même prêts à payer 22 € d'amende pour mieux polluer Lyon qui est dans le rouge depuis toute la semaine !
Hier, en pleine fête des lumières lyonnaise, au marché de noël dans la cour du groupe régional de Groupama à Lyon, le marché de noël avec ces produits Bio battait son plein alors que les lumières dégueulaient d'éclairs, que les ordinateurs portables clignotaient au vert tandis que les appareils à carte bleue des petits producteurs crépitaient dans le rouge !
A noter : une boisson chaude et 1 crêpe/gaufre étaient offertes par les marmitons locaux !
Bien cuites à l'énergie solaire ?
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ANTI-CHASSE à Vesoul : la pétition de Marc-Claude de PORTEBANE fait mettre en taule 2 cadres de la Fédé 70 !
- Par auraenvironnementparis
- Le 01/12/2016
- Dans STOP à la CHASSE
La pétition cinglante de Marc-Claude de PORTEBANE fondateur
de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux
qui dénonçait des abus à la Fédé de la chasse du Haut-Doubs :
Prison ferme pour 2 ex-cadres lourdement
condamnés pour exécution d'animaux protégés !
Le 19/11/2013, Marc-Claude de PORTEBANE Lançait une pétition qui recueillait plus de 7 900 signatures en soulevant l'indignation générale en France.
Son titre : "STOP à la Fédération de la Chasse du 70 et à cette honteuse destruction d’espèces protégées en bande organisée à Noroy-le-Bourg !". Lien : http://www.mesopinions.com/petition/animaux/stop-federation-chasse-70-honteuse-destruction/11014
Ouest-France (01/01/2016) nous informe comment la justice vient de condamner ceux que nous dénoncions avec force vigueur :
"Les anciens dirigeants de la Fédération des chasseurs de Haute-Saône ont été condamnés jeudi par le tribunal de Vesoul à un an de prison ferme pour avoir donné l'ordre à trois apprentis d'exécuter plus d'une centaine d'animaux protégés.
Le tribunal correctionnel a également prononcé des peines de 4 à 12 mois de prison avec sursis pour un technicien et trois apprentis de la fédération qui avaient reconnus avoir tué entre octobre 2010 et juillet 2013, sur ordre, plus d'une centaine de chats sauvages et de rapaces protégés sur la réserve cynégétique de Noroy-le-Bourg (Haute-Saône).
David Lombardot, l'ancien directeur, et Robert Putz, l'ancien président, « ont manipulé les gosses, M. Putz est le grand ordonnateur, il savait, il a laissé faire et il a encouragé », a déclaré la présidente du tribunal Claire-Marie Casanova en rendant le jugement, avant de souligner « le trouble considérable causé à l'environnement ».
Les apprentis tiraient les chats sauvages et les rapaces au fusil, les blessaient mortellement ou les empoisonnaient sur le territoire de cette réserve gérée par la fédération de chasse départementale et destinée à faire proliférer le petit gibier.
« La prime de queue »
Ils devaient ensuite arracher la queue des animaux pour percevoir une rémunération baptisée « prime de queue ». L'un des apprentis a dénoncé ces agissements et permis ce procès.
Le tribunal est allé bien au-delà des réquisitions du parquet qui n'avait pas demandé la condamnation de l'ancien président de la fédération, requérant uniquement des peines de prison avec sursis pour les deux autres cadres et les apprentis.
Une quinzaine d'associations de protection de la nature seront indemnisées en tant que parties civiles."
LA PETITION VICTORIEUSE
DE MARC-CLAUDE de PORTEBANE
"Exigeons la démission en bloc du conseil d'administration de la Fédération départementale des chasseurs de la Haute-Saône !
Organisons la résistance pour la protection des animaux sans défense fusillés à bout-portant par des assassins !
Au coeur de la Haute-Saône à une dizaine de kilomètres de la préfecture, sur la petite commune de Noroy-le-Bourg, se déroule depuis plusieurs années l’inimaginable.
Des actes illégaux étaient effectués par du personnel de la fédération des chasseurs de Haute-Saône dans le cadre de la gestion d’un terrain de plusieurs dizaines d’hectares situé en partie sur une zone Natura 2000.
Ceci dans l’objectif d’établir la vitrine cynégétique et pédagogique du département avec l’implantation très onéreuse de lapins de garenne et de faisans. Ces espèces n’ont d’ailleurs aucune légitimité au sein du cortège de la faune autochtone.
Selon les témoignages, la structure départementale aurait organisé, pendant plusieurs années, la destruction des prédateurs présents sur ce secteur.
Les témoins parlent de 252 animaux de la faune sauvage qui ont été tués dont 80% d’espèces protégées au titre 411-1 du code de l’environnement.
La liste est longue : martres, chats forestiers, hérissons d’Europe, buses variables, éperviers d’Europe autour des palombes…(cf. les documents-photos que nous publions sur le site de l'Idiot provincial).
Toujours d’après les témoins, pour parvenir à ce triste palmarès, une ceinture de pièges était disposée autour du noyau d’implantation des faisans et lapins. Tous les animaux capturés, protégés ou non, étaient tués.
Une autre pratique prohibée et très dangereuse aurait aussi été utilisée. Elle consistait à employer des poisons interdits et très puissants. (Poison de type Curater dont le principe actif est le carbofuran, substance interdite au sein de l’Union européenne depuis 2007).
Il est aussi rapporté que les commanditaires rémunéraient les actes contre des preuves matérielles. Ce sont donc d’après les témoignages des paquets de queues de chats forestiers ou autres rapaces qui arrivaient dans les mains des donneurs d’ordres pour être échangés contre des euros…
Cependant, par une journée du mois d’août 2013, des preuves accablantes sont trouvées par des agents de l’ONCFS lors de leur perquisition au sein du siège de la fédération des chasseurs de la Haute-Saône et du site de Noroy.
Les témoins, qui ne veulent pas en dire plus pour l’instant, affirment que nous ne sommes pas au bout de nos surprises… Les parties civiles nous en apprendront davantage lorsqu’elles auront accès au dossier. A moins que le Procureur général, maintenant en possession du dossier depuis le 20 septembre, décide de s’exprimer sur ce sujet.
Mais suite à cet événement, on ne peut empêcher certaines questions d’émerger :
- Que faut-il penser du bien-fondé d'un agrément au titre de la protection de la nature à une association aussi peu respectueuse des lois concernant les espèces protégées ? Notamment lorsque celle-ci a la possibilité d'intervenir dans les écoles, collèges et lycées de nos enfants pour parler de la biodiversité et de la protection de la nature ?
- La gestion de la faune sauvage dont se prétexte la FDC 70 est-elle légitime ?
- La formation des jeunes chasseurs et piégeurs par la FDC 70, permet-elle d’obtenir des titulaires responsables ?
- L’aptitude de la FDC 70 à accueillir et à former des jeunes étudiants stagiaires (de BTS gestion et protection de la nature ou autres) est-elle encore fondée ?
- Que pense le Préfet de Haute-Saône de cette affaire ?
- Que pense le Directeur Académique des Services de l’Education Nationale (DASEN) de ces intervenants en milieu scolaire ?
- Que pensent les services de Police et de Gendarmerie sur la provenance des poisons et la mise en danger d’autrui lors de leur manipulation ?
- Que penser de la gestion comptable de la FDC 70 ?
- Cette affaire a-t-elle une relation avec la forte augmentation de la cotisation des chasseurs du département auprès de leur fédération ?
- Que se passait-il sur les autres sites gérés par la FDC 70 ?
- Que pense la FNC ?
- Que pensent messieurs Jean-Pierre POLY, directeur général de l’ONCFS et Henri SABAROT, président du conseil d’administration de cette enquête ?
Exigeons la démission en bloc des administrateurs de la Fédération départementale des chasseurs de la Haute-Saône qui participent à des missions de service public, notamment les actions qu'elle mène dans les domaines suivants (comme le stipule l'article 12 de ses statuts) :
- Mise en valeur du patrimoine cynégétique départemental ; protection et gestion de la faune sauvage et de ses habitats ;
- Contribution à la prévention du braconnage ;
- Information, éducation et appui technique à l'intention des gestionnaires de territoires et chasseurs, etc...
Objectif national : 100 000 signatures - Merci de valider vos signatures -
Pas de pitié pour les assassins d'animaux innocents, faisons confiance à la justice de notre pays !
MERCI !
Marc-Claude de PORTEBANE
Ancien-candidat à la députation de l'Allier (Auvergne) " -
Inauguration centre de tri Généris #3 à Ploufragan : Jean-Yves Le Drian est-il aveugle ou borgne pour Morlaix ?
- Par auraenvironnementparis
- Le 27/11/2016
- Dans Halte stockage CSR Guyot Environnement vers Morlaix
Alors que la nouvelle vitrine de Kerval Centre-Armor
le centre de tri Généris #3 était inauguré à Ploufragan
dans les Côtes d'Armor en présence de Jean-Yves Le Drian :
les alentours du centre de stockage de CSR de Guyot Environnement
étaient "mitraillés" de photos par AURA Environnement vers Morlaix !
En haut en blanc, le centre de stockage de balles de CSR (issues de nos poubelles) de Guyot Environnement vers Morlaix, en dessous, un petit ru rougeâtre (flêche rouges) se dirige directement vers la rivière "La Pennélé" ! Toute la zone est marécageuse, on s'enfonce entre 40 et 60 cm de profondeur voire plus. Le sol est gorgé de produits aqueux et les odeurs sont pestilentielles.
Entourés de nombreux gardes-du-corps et une flopée de RG, l'inapprochable ministre de la Défense et président de la Région Bretagne, Jean-Yves Le Drian, est venu inaugurer le centre de tri sélectif Généris #3 exploité par Suez à Ploufragan où plus de 17 800 T de déchets (journaux, revues, magazines, cartons, bouteilles plastiques claires, briques alimentaires, pots de yaourt, aluminium) sont triés.
Ce sont la plupart de ces élus présents hier avec Jean-Yves Le Drian lors de l'inauguration du centre de tri Généris #3 à Ploufragan qui ont décidé d'octroyer plus de 20 millions d'euros à Guyot Environnement pour la future Unité de tri-valorisation des Châtelets (plus de 330 000 € de frais financiers/an pour les études, le bâtiment VRD, le process de tri et séparation hors plateforme et cabine, plateforme, cabine, équipements mobiles - si besoin -) ! Qu'en pense la Chambre régionale des comptes ? Est-il normal d'avoir autant de frais financiers ?
"Trier pour payer moins cher" vers Saint-Brieuc dans les Côtes d'Armor, "Souci de sensibilisation et de pédagogie" ailleurs en France, alors que la pollution des sols vers le centre de stockage de Guyot Environnement sur le site de Kerolzec à Saint-Martin-des-Champs vers Morlaix dans le Finistère risque de coûter une petite fortune. L'Etat semble laisser pourrir la situation. Personne n'en parle, même pas la presse locale. Ils nous prennent vraiment pour des cons !!!
Généris #3 est un site exemplaire vanté par le syndicat Kerval Centre Armor qui en fait sa vitrine en terme de communication. #3 car ce site en est à sa 3° modernisation (2006, 2013, 2016). Propriétaire : Kerval Centre Armor. Création : 2001. Capacité nominale : 38 000 T. 17 833 T de déchets en 2015 pour Généris #3 sur un territoire de 350 000 habitants, comprenant la zone centrale des Côtes d'Armor, allant de Saint-Brieuc à Binic, Loudéac et Lamballe. Exploitant : Suez Environnement.
Pendant que les élu-es de la région faisaient des risettes au président Le Drian, nos camarades d'AURA Environnement pataugeaient dans la boue aux abords du centre de stockage des balles de CSR (Combustible Solide de Récupération) - retrouvées encore une fois éventrées sur le site de Saint-Martin-des-Champs (Morlaix) et plus particulièrement en remontant le cours d'eau de la petite rivière martyr "La Pennelé" !
AURA Environnement a alerté déjà les services de l'Etat, mais rien y fait. L'Etat laisse faire ! L'Etat nous cache la vérité !
....Pendant ce temps-là, en dessous du centre de stockage de CSR vers Morlaix, le jus couleur tomate s'écoule, dans les sols puis direction la rivière "La Pennelé" !!!!
Dans un premier temps, AURA Environnement demandait à un huissier de la région du Finistère Nord de constater l'état de ces balles de CSR éventrées et laissées à l'air libre qui dégagent des odeurs, puis alertait la préfecture de Bretagne, l'ONEMA et le DDTM du Finistère !
Le 15/11/2016, Serge LE DAFNIET (DDTM 29, service Eau Biodiversité, responsable du pôle police de l'eau), nous répondait que "Le dossier est en cours de traitement par le service installations classées, une visite a déjà été effectuée. Compte-tenu de la nature des produits, et de la configuration des lieux, il n'y a pas de risque de pollution de l'eau".
Question à la DDTM 29 : à quoi sert ce tuyau dans le lit de la rivière La Pennélé ?
Or, ce week-end, nos camarades d'AURA Environnement ont enfilé leurs bottes et effectué une visite des alentours de ce centre de stockage géré par Guyot Environnement, non pas uniquement par la route goudronnée qui rejoint Kérolzec, le château de Bagatelle ou la commune de Saint-Sève.
Les sentinelles d'AURA Environnement sont allées pateauger dans les terrains mouvants de la petite rivière "La Pennélé", en passant non loin du Moulin de la fontaine blanche.
Les petits poissons de la rivière "La Pennélé" vont certainement très apprécier de gober du "ketchup" issu des balles de CSR (Combustible Solide de Récupération) éventrées pour la pluart de Guyot Environnement à Saint-Martin-des-Champs sur le site de Kérolzec. Les CSR sont des déchets solides (bois, plastiques, papiers, cartons, tissus... issus des déchets industriels banals (DIB), des refus de tri en collecte sélective, des déchets non-fermentescibles extraits des unités de tri mécano-biologique (TMB) ou encore des déchets collectés par certaines filières de responsabilité élargie du producteur (REP)...) broyés afin d'être consumés dans des installations de co-incinération, et plus particulièrement les cimentiers qui font la pluie et le beau temps. En France, les 3 cimentiers s'entendent pour faire casquer au producteur le minimum afin que cette option soit moins chère que l'enfouissement) !!! Cette somme n'a bien évidemment rien à voir avec la soit-disante valeur énergétique de ce produit infâme qui en se consumant dégagé des dioxines et des furannes !!!!
Et là : stupeur ! Des petits ruisselets rougeâtres s'évacuent de ce centre de stockage de Saint-Martin-des-Champs géré par Guyot Environnement, la même entreprise qui a gagné le marché de fabrication de CSR sur la zone des Châtelets....grâce aux élu-es de Kerval Centre Armor, non-loin du centre de tri Généris #3 inauguré hier après-midi par Jean-Yves Le Drian !
Non seulement l'eau qui se dégage vers la rivière "La Pennelé" est rouge à souhait, mais en plus, de fortes odeurs pestilentielles se dégagent dans les environs de ce site de Kérolzec.
L'ONEMA est-elle allé, là où les sentinelles d'AURA Environnement se sont rendues alors que les associations environnementales locales comme "Bretagne vivante" ou "Eaux et rivières en Bretagne" ne font absolument aucune visite. Tout juste se contentent-ils de se renvoyer les liens de notre site internet d'AURA Environnement.
Quand est-ce que la région Bretagne va cesser d'alimenter en subventions ces associations qui doivent avoir de sacrés charges d'exploitation pour ne pas venir nous épauler sur le terrain ?
Il n'y a bien qu'AURA Environnement pour défendre cette charmante petite rivière innocente "La Pennélé". Mais que sont donc les CSR ? Faute de définition claire, ils constituent un combustible peu connu et réduit à 3 critères qualitatifs : leur pouvoir calorifique et leur teneur en chlore et en mercure !!!! Allo l'Ademe Bretagne ! Allo Morlaix Communauté ! Allo Gilbert PLASSART ! Allo Bretagne Vivante ! Nous attendons fissa votre avis car les petits poissons ont soif d'eau pure !!!!
Que font les associations de pèche, regroupées en AAPPMA, comme celle de la région de Morlaix qui n'a pas hésité à faire du bon travail en faisant appel à des bénévoles pour le nettoyage de la rivière "La Penzé" et dont le bureau se compose de la sorte :
- Président : Jean-Yves MOAL
- Vice-président : Jean-Paul CHARLES
- Secrétaire : Gilles APPERE
- Trésorier : Henri-Noël CHOLET
Combien de temps la petite rivière "La Pennelé" devra être la martyr de Morlaix ?
Depuis Octobre 2015 rien ne bouge !
AURA Environnement appelle à une mobilisation générale
à Saint-Martin-des-Champs pour dénoncer le laxisme de l'Etat !
Tandis que la rivière "La Pennélé" déguste un max, les balles de CSR du centre de stockage de Guyot Environnement - pourtant si bien envelopées et ficelées par Comdec Paal - éclatent au nez et à la barbe des services de l'Etat, des élus, des collectivités, des associations "écologiques" régionales et locales - trop locales d'ailleurs -, des associations de pêcheurs !!!
Que font les RG pour remonter l'information à Le Drian ? Ils recueillent des infos sur les militants de la cause environnementale ? Qu'en pensent les élu-es du département voisin des Côtes d'Armor et plus précisément de Kerval Centre-Armor qui verseront 23 millions d'euros à Guyot Environnement à Ploufragan dans les années à venir ?
Contactée par AURA Environnement, l'entreprise GUYOT Environnement nous a indiqué que les eaux étaient ferrugineuses (d'où la couleur rougeâtre) et que cela était dû au fait que le site actuel était assis sur une ancienne carrière.
El Maximo Paul TOP
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Boeuf de Rethel à l'agonie : la plainte d'AURA Environnement sur le bureau du procureur !
- Par auraenvironnementparis
- Le 25/11/2016
- Dans Aura Environnement
Boeuf laissé à l'agonie au foirail de Rethel :
AURA Environnement a déposé plainte contre X
par l'intermédiaire de Me Jean-Hubert PORTEJOIE
du Barreau de Clermont-Ferrand !
En octobre 2016, un pauvre bœuf avait été laissé 48 heures à l'abandon au foirail de Rethel, les deux pattes arrière cassées. Il a ensuite dû être euthanasié le lendemain.
Une enquête a depuis été ouverte par le parquet de Charleville-Mézières.
En plus d'AURA Environnement, deux autres associations de défense des animaux, L214 et Lisa, ont de leur côté déposé plainte.
Le collectif de la "Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux" adhère à Aura Environnement et a dénoncé cet acte inadmissible depuis le début de l'affaire. .
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Conférence de presse de Marc-Claude de PORTEBANE au Club de la presse de Bretagne à Rennes !
- Par auraenvironnementparis
- Le 22/11/2016
- Dans Déchets en Bretagne
Conférence de presse le mercredi 30 novembre à 14h
L'association AURA Environnement fera le point sur la gestion des déchets en Bretagne
Le président de l'association AURA Environnement, Marc-Claude de Portebane, organise une conférence de presse le mercredi 30 novembre à 14h au Club de la presse de Bretagne. Il fera notamment le point sur la sensibilisation du public aux déchets à la source, le relais réalisé auprès des populations locales et des réseaux locaux de mobilisations, le réseaux sentinelles bretons (réseau de médecins généralistes). Il présentera également les propositions qui sont faites pour réduire les déchets.
Contact : Marc-Claude de PORTEBANE mcdeportebane.35@laposte.net / 06 40 29 68 72-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Au programme :
AURA Environnement a alerté - en vain - les services de l'Etat (Onema, DDTM, préfecture de Bretagne....)
- Que font les services de l'Etat pour demander à Guyot Environnement de mieux gérer ses balles de CSR sur le site de Saint-Martin-des-Champs vers Morlaix dans le Finistère ? Ces déchets sont-ils des inertes ? Quelles sont les incidences potentielles pour la rivière "La Pennelé" ? L'ADEME de Bretagne quelle position officielle à la vue de la mauvaise gestion de ces balles éventrées ?