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écologie

  • PETITION. Stop au projet INDACHLOR #Dunkerque : Halte aux salades Dreal Hauts-de-France. SAUVONS les chevaux de Loon-Plage des dioxines !

    Ge ep 049LIEN DE LA PETITION : https://www.mesopinions.com/petition/animaux/stop-projet-indachlor-dunkerque-halte-aux/32716

    Auteur : Marc-Claude de Portebane, Président d’AURA Environnement, Porte-parole de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux et du Collectif de Préservation de l’Environnement de la Région de Dunkerque

    Créé le 22/08/2017  

    À l'attention : de Monsieur Emmanuel MACRON, M. le roi des Belges, M. le Ministre de l'écologie Nicolas Hulot, M. le préfet du Nord-Pas-de-Calais, UT Hauts-de-France

    La Dreal Hauts-de-France ne tient pas à ce qu'AURA Environnement soit informé des concentrations de métaux lourds chez les animaux (boeuf, volaille, lait de vache, oeufs) mais aussi dans légumes/fruits/Céréales/tubercules dans les différents compartiments de l'environnement après 30 ans !!!!

    Vous ne l'apprendrez pas dans la Voix du Nord ni dans le Phare Dunkerquois parce que les services de l'Etat des Hauts-de-France ne tiennent pas à dire TOUTE la vérité aux populations locales qui doivent se méfier des associations environnementales locales qui ne savent également rien parce qu'elles ne veulent rien entendre, autre chose que le sonnant et le trébuchant à l'image de certaines des Hauts-de-France qui flirtent avec la Dreal ou le groupe Séché, séchons les cours des poubelles de France et de Navarre !

    Nous comprenons mieux pourquoi Marc MORTUREUX, le directeur général de la prévention des risques au Ministère de la transition écologique et solidaire a certainement "court-circuité" le ministre Nicolas HULOT en nous répondant directement à la place du Nicolas de Saint-Lunaire (qui ça se trouve n'est peut-être même pas au jus du dossier INDACHLOR), en nous disant que si certains documents du DDAE ne pouvaient être communiqués au public, c'était parce que "...cette information ne doit cependant pas nuire à la sûreté des sites en facilitant la commission d'actes de malveillance..." ! Pas moins, Oups !!

    Certes, nous comprenons qu'il y ait des documents qui ne peuvent être communiqués au nom de la sécurité de l'Etat (surtout à cette époque d'attentats), mais aussi parce qu'on ne cesse de nous traiter d'ignorant-es, de con-nes ou de parias et que dans cette société de cons, on ne s'adresse pas aux connes et aux cons du peuple de base qui ont, pourtant, faim et soif d'informations sur ce projet Indachlor porté à bout-de-bras par la société belge INDACHLOR SASU que ne cesse de dénoncer, depuis le début, AURA Environnement alors que les assoc' de défense de l'environnement locales ni voient que dalle à l'image du croupion Adelfa ou de la FNE 59 qui, elle, est en partenariat avec la Dreal... des Hauts-de-France !!! MDR !

    Vous les connes et les cons de France, vous devez savoir absolument ce qui s'est passé chez Indaver à Anvers, lorsque cette énorme explosion s'est produite aux abords d'une autoroute en direction de Rotterdam et de Bergen-op-Zoom et intitulée : "Explosion Indaver Antwerpen" (Explosion Indaver Anvers). La vidéo a été filmée par un père de famille qui circulait sur l'A12. Vous ne pourrez pas dire que AURA Environnement ne vous aura pas informé-es, en cas de pépin, chez nous, sur le sol de France et plus particulièrement dans la région du port de Dunkerque : https://www.youtube.com/watch?v=lIZwyuXQisw

    En quoi donc les propriétaires d'animaux et les populations locales de Dunkerque et de Loon-Plage n'auraient-elles pas le droit d'être CORRECTEMENT informé-es sur les teneurs en cadmnium, mercure, antimoine, arsenic, plomb, chrome III, chrome VI, cobalt, cuivre, manganèse, nickel, vanadium ou plus dangereux comme les dioxines ?

    En quoi est-ce potentiellement "malveillant" de dire la VERITE aux populations locales ?

    Nous avons toujours prévenu ! Toute potentielle maltraitance actuelle ou post-extérieure sur les animaux verra la mobilisation immédiate d'AURA Environnement et de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux à Loon-Plage et dans la région de Dunkerque ! Il est hors de question de faire bouffer de l'herbe au cadmium ou aux dioxines aux chevaux qui broutent sur les terrains situés juste en face du projet INDACHLOR à Loon-plage ! Nous demanderons à la Fondation Brigitte Bardot ou à 30 Millions d'amis..... de nous épauler lorsque nous nous porterons partie civile !

    En quoi est-ce potentiellement "malveillant" de dire que 50 % de la part auto-produite de produits alimentaires dans la consommation humaine sera susceptible d'être directement impactée par les activités d'INDACHLOR, comme les légumes-feuilles, à 55 % pour les légumes/fruits, à 45 % par les légumes-racines, à à 75 % par la viande volaille, à 60 % par le sujet à la "mauvaise-mode" en ce moment comme les oeufs, etc.... (Source : document SECRET d'INDACHLOR : exposition de la population par ingestion de denrées alimentaires en fonction des habitudes alimentaires. Données prise en compte dans MODUL'ERS).

    Dans le document que l'on nous cache, (A voir sur le site internet d'AURA Environnement), parmi les pires scénarios retenus en cas d'exposition par inhalation, "Le plus majorant" a été retenu : "100 % du temps passé au point où les concentrations sont maximales à l'extérieur des limites du site". Commentaire secret de l'exploitant INDACHLOR SASU : "Scénario "pire-cas- ou conservatoire décrivant les individus (peu nombreux) les plus exposés" http://www.aura-environnement.com/blog/stop-projet-usine-a-dechets-dangereux-indachlor-a-dunkerque/projet-indachlor-dunkerque-les-salades-dreal-hauts-de-france-a-populations-locales-et-animaux-nico-hulot-au-parfum.html 

    Ah bon ? Il va y avoir des individus "peu nombreux" qui seront "exposés" aux métaux lourds ? Intéressant !

    On attend avec gourmandise les précisions du préfet de la Région des Hauts-de-France, du préfet du Département du Nord, de la Direction de la coordination des politiques interministérielles, du Bureau des installations classées pour la protection de l'Environnement (ICPE) car la prochaine enquête publique va démarrer le 06/09/2017 pour se terminer sous les lambris et les dorures des mairies de Loon-Plage, (commune d'implantation) et dans les villes de Craywick, Dunkerque, Grande-Synthe et Mardyck le 18/10/2017. Commissaire enquêteur : Peggy CARTON.

    Avec les applaudissements du correspondant de La Voix du Nord qui n'a pas pris la peine de consulter le comité central d'AURA Environnement (Source : La voix du Nord du 02/07/2017 http://www.lavoixdunord.fr/186048/article/2017-07-02/une-petition-contre-un-nouvel-incinerateur-fait-debat ) ?

    Comme c'est bizarre, l'article de La Voix du Nord est paru le 03/07/2017, l'avis de l'inspection des installations classées le 10/07/2017, l'avis de l'autorité environnementale a lui été signé le 24/07/2017 et POUR TERMINER, l'arrêté d'enquête publique unique signé le 09/08/2017 (demandes présentées par la société INDACHLOR en vue d'obtenir l'autorisation d'exploiter une unité de valorisation de déchets dangereux chlorés et l'instauration de servitudes d'utilité publique à LOON-PLAGE) !

    Pas de vacances pour nos camarades-petits-fonctionnaires du peuple de base à qui nous tirons notre chapeau ! Bravo les gars ! Bien joué ! Bonjour les décisions importantes signées fissa par les services de l'Etat pendant les grandes vacances !

    Unissons-nous pour que le projet INDACHLOR quitte définitivement le territoire français ! Gardez-vos thunes, nous garderons nos paquets de subventions que le contribuable français s'apprête à vous filer !

    Les économies sur les APL des citoyennes et des citoyens des Hauts-de-France ne partiront certainement pas dans les poches impérialistes des actionnaires du belge INDAVER qui n'a même pas été capable d'éviter la monstrueuse explosion à Anvers !

    Dunkerque-Loon-Plage ne sera pas la poubelle de la France !

    Sauvons nos CHEVAUX ! Protégeons nos populations locales des gourmands de l'actionnariat belge qui risque de détruire nos emplois locaux existants dans le domaine de la chimie ! Sauvegardons notre patrimoine floristique !

    Camarades insoumis au projet INDACHLOR, Mobilisez-vous pour les chevaux de Loon-Plage et les populations locales, les riverains, nos traditions !

    Marc-Claude de PORTEBANE
    Président d'AURA Environnement
    Porte-parole du Collectif de Préservation de l'Environnement de la Région de Dunkerque (CPERD)

     

  • CUIT CUIT LES OISEAUX ? Projet IndaChlor à LOON PLAGE : la sous-préfecture de Dunkerque se comporte en Ennemi de classe, Nicolas HULOT mis au parfum !

    AURA Environnement Aa362 1

    AURA Environnement                                                                      Le 26/06/2017          

    Association loi 1901 --- Identification R.N.A : W033003439

    Protection environnementale et de défense des animaux

    Mail : Aura-environnement@laposte.net
    Site : http://www.aura-environnement.com/

    à

     

    Ministère de l’Ecologie et de la transition énergétique

    Mme le directeur de cabinet de Mr le ministre

    Mme PAPPALARDO

     

    Pour

     

    Objet : refus communication documents administratifs suivant stricte  recommandation de la CADA sous-préfecture Dunkerque projet Indachlor à Loon-Plage.

     

    Monsieur le ministre,

     

    Je tiens à vous informer que le 22/05/2017, j’ai demandé à l’UD Dreal de Gravelines (Hauts-de-France) tous les documents communicables concernant la future enquête publique du projet Indachlor, comme la demande d’autorisation (DDAE), déposée par l’exploitant, la société Indaver située à Anvers, conformément aux recommandations telles qu’elles ont été exprimées dans notre pétition qui a recueilli plus de 23 000 signatures http://www.mesopinions.com/petition/animaux/contre-projet-usine-dechets-dangereux-indachlor/30569 .

     

    Nous nous étions mis d’accord avec le responsable de l’UD de la Dreal de Gravelines, Mr David LEFRANC, pour que cette transmission se fasse au plus tard le 22/06/2017.

     

    Mr LEFRANC qui est très courtois et loyal m’a dit qu’il allait demander à la société Indaver l’ensemble du dossier – les éléments sensibles relatifs à une usine Seveso, ce que je comprends parfaitement. Nous ne contestons pas les retraits concernant les parties dites « sensibles ».

     

    La presse locale fait bien état de notre pacifisme et de notre nette compréhension de ce projet Indachlor http://www.lepharedunkerquois.fr/dunkerquois/loon-plage-petition-record-en-vue-ia684b0n212105  

     

    Aujourd’hui, Mr LEFRANC m’a indiqué avoir transmis l’ensemble de ce dossier, le 20 juin à Mr le secrétaire-général de la sous-préfecture de Dunkerque, Bernard DUJARDIN.

     

    J’ai pris attache cet après-midi avec Mme Christine PATOT, la secrétaire de Mr le sous-préfet de Dunkerque qui m’a dit que le secrétaire-général n’avait pas encore vu le représentant de l’Etat, Mr le sous-préfet de Dunkerque, Eric ETIENNE.

     

    Je vous demande, Mr le ministre, votre intervention personnelle pour que la sous-préfecture de Dunkerque cesse de me faire de la rétention de tous ces documents à caractère public, et, ce, en totale violation du droit à l’information en matière environnementale, notamment au regard de l’article L.12461 du code de l’environnement.

     

    Alors que le président MACRON - que je soutiens en participant à des groupes locaux en Bretagne et en Auvergne – a demandé plus d’exemplarité, il semble particulièrement regrettable que cela ne soit pas appliqué dans les Hauts-de-France.

     

    Je m’étonne d’ailleurs du manque de considération à mon égard de la part des représentants de l’Etat.

     

    Vous n’aurez aucun mal, Mr le ministre, Nicolas HULOT, à retrouver le courrier du directeur de cabinet de votre prédécesseur, Mme la ministre de l’environnement, Ségolène ROYAL (Réf. CDAP /SR/A15026091-D15021084), lorsque Mme la ministre demandait au préfet de la Loire « d’examiner mes observations et de me tenir directement informé de la suite qui sera réservée à ma démarche ».

     

    J’ai été reçus par 2 directeurs de cabinet de Mr le préfet de la Loire et ce, sans aucun problème particulier avec les représentants des sections « déchets » de la Dreal de la Loire.

     

    Je vous demande donc d’intervenir pour que cesse cet ostracisme à mon égard dans les Hauts-de-France, en voulant nous « cacher » de façon dictatoriale des documents pleinement de droit communicables.

     

    Je suis tout aussi respectueux de l’Etat que Mr le secrétaire-général et Mr el sous-préfet de Dunkerque.

     

    Je ne tient absolument pas à être traité de « paria » parce que, moi, et mes camarades, nous nous posons des questions sur l’impact environnemental du projet Indachlor à Loon-plage ou sur d’autres dangers, comme la perte de plusieurs emplois actuels, sur la potentielle « fuite » en Belgique de capitaux issus de potentielles subventions françaises de l’autre côté de la frontière, sans parler des risques potentiels vis-à-vis des populations locales au vu de cette énorme explosion chez l’exploitant INDAVER à Anvers http://www.aura-environnement.com/blog/explosion-indaver-a-anvers/cette-explosion-chez-indaver-debut-2016-a-anvers-qui-fait-fremir-de-trouille-dunkerque.html !

    Je suis, je pense un très bon connaisseur du monde des déchets et, en plus, je suis membre, Mr le ministre, en tant que président du pôle déchets du groupement d’associations environnementales FAPEL 22, des groupes de travail DMA et DAE ; Déchets du BTP ; Déchets organiques ; Déchets dangereux ; Filières régionales ; Prévention, sensibilisation, communication du Plan régional de prévention et de gestion des Déchets au sein de l’entité Kelenn à la Région Bretagne...... avec l'équipe de notre ministre Jean-Yves Le Drian !

     

    Je participe sans aucun problème aux réunions de travail et mes rapports sont très cordiaux avec tous les intervenants !

     

    Je ne vois pas pourquoi la situation serait différente à Dunkerque, où, depuis le 20/06/2017, des documents publics qui me doivent être communiqués, sont gardés dans un tiroir qui refuse de s’ouvrir à la Constitution de notre pays, aux valeurs défendues par notre président Emmanuel MACRON et aux préconisations du ministre d’Etat Nicolas HULOT !

     

    Je vous demande, Mr le ministre, d’intervenir auprès du sous-préfet de Dunkerque  pour que je reçoive rapidement les documents que la Dreal de Gravelines devait me faire parvenir.

     

    Est-il normal que les recommandations de la CADA soient ainsi détournées de leur substance ?

     

    Quel est l’intérêt du secrétaire-général de la sous-préfecture de Dunkerque, Mr DUJARDIN, de jouer au « vicomte» local s’asseyant sur les conclusions du Rapporteur général adjoint, Nicolas POLGE, maître de requête au Conseil d’Etat sur les avis de la CADA ?

     

    La CADA indique-t-elle qu’une sous-préfecture doit se substituer à un service de l’Etat dont le siège régional est à Lille ?

     

    Avouez que tout cela fait désordre, Mr le ministre, alors que l’ensemble de ces documents seront transmis au grand public et aux medias lors d’une prochaine enquête publique de Loon-Plage et des communes voisines à la rentrée de septembre 2017 !

     

    Qu’en pensent les honorables membres du Coderst des Hauts-de-France ?

     

    Que penser de ce projet Indachlor dans la région des Hauts-de-France qui dispose à ce jour de nombreuses installations permettant le traitement des déchets dangereux du territoire, comme par exemple, le site de traitement de Synthexim, localisé à Calais, en lien avec une activité de chimie de spécialité, autorisée pour le traitement de déchets dangereux chlorés (identique à ceux envisagés dans le cadre du projet Indachlor) disposant d’une capacité disponible estimée à plus de 15 000 T/an – installation non-saturée, faut-il le rappeler ?

     

    L’arrêt de l’incinérateur de Synthexim mettra en péril l’ensemble de l’activité chimique dans la région et ne profitera qu’aux Belges qui pourraient très bien monter leur projet à Anvers. Sauf que les populations locales flamandes n’en veulent pas !

     

    Dans l’attente de votre réponse, je vous prie de croire, Monsieur le ministre, à l’expression de ma considération très distinguée.

     

    Marc-Claude de PORTEBANE

    Président d’AURA Environnement

    Porte-parole du CPERD (collectif de Préservation de l’Environnement de la Région de Dunkerque)

     

    Transmisssion :

     

    - Me François RUFFIE, barreau de Libourne

    - Me Gilles-Jean PORTEJOIE, barreau de Clermont-Ferrand

     

    - Le club de la presse des Hauts-de-France

    - Les medias nationaux

    - Louis-Marie HOREAU, Le canard Enchaîné  

     

    - Transmission publique :

    - les 23 108 signataires de notre pétition internet qui doivent être tenus au courant de nos difficultés à recevoir des documents publics.

    - l’ensembles des élu-es de la région des Hauts-de-France

     

    .

     

     

     

  • Pétition : STOP projet Usine à déchets dangereux IndaChlor, HALTE espèces menacées à Dunkerque !

    STOP projet Usine à déchets dangereux IndaChlor

    HALTE espèces menacées à Dunkerque !

    Torda 2

    LIEN PETITION : http://www.mesopinions.com/petition/animaux/stop-projet-usine-dechets-dangereux-indachlor/30569

    Auteur : Marc-Claude de PORTEBANE, Président d’AURA Environnement, Porte-parole de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux et du Collectif de Préservation de l’Environnement de la Région de Dunkerque

    Créé le 29/05/2017  

    À l'attention : Mr le président de la République Emmanuel MACRON, Mr le ministre de l'écologie Nicolas HULOT, Mr le préfet du Nord-Pas-de-Calais, UD DREAL GRAVELINES

    UD - DREAL de Gravelines. A l'aztttention du service des ICPE

    NOUS, signataires de cette pétition, en soutien de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux, du Collectif de Préservation de l’Environnement de la Région de Dunkerque (CPERD), de l’association loi 1901 de protection de l’environnement et des animaux AURA Environnement, nous nous opposons au projet IndaChlor prévu à Dunkerque et nous demandons aux services de l’Etat et aux élu-es des Hauts-de-France de prendre en considération les conditions de protection des espèces animales menacées suivantes à Dunkerque (Source : Inventaire National du Patrimoine National) : le Pingouin torda : l’Anguille européenne ; la Bécassine des marais ; le canard plongeur, le Harle huppé ; le migrateur de l’hémisphère Nord, le Grèle jougris ; le Bruant des roseaux ; le Goéland cendré ; le Cachalot ; le Guillemot de Troil…. pour ne citer qu’eux !

     

    Suite à notre précédente demande de documents administratifs à l’UD Dreal de Gravelines, je vous demande une nouvelle fois TOUS les documents communicables à ce jour concernant la future enquête publique du projet IndaChlor qui consiste à construire un incinérateur, potentiellement localisé sur l’emprise du Port de Dunkerque, avec une capacité de 60 000 T de déchets dangereux essentiellement fortement chlorés en provenance d’Europe du Nord.

     

    Je vous ai fait cette demande au titre du droit à l’information en matière environnementale, notamment au regard de l’article L.124-1 du code de l’environnement. En effet, toute personne a droit d’accéder aux informations relatives à l’environnement dès lors que ce document est reconnu comme un document administratif relatif à l’environnement. Toute personne, sans avoir à démontrer un intérêt particulier, peut exercer pleinement ce droit d’accès en pleine application de l’article L.124-3 du code de l’environnement. La CADA (Commission d’accès aux documents administratifs) a estimé – à titre préliminaire - lors de sa séance du 16/09/2011 que l’article L.124-2 du code de l’environnement relevait du champs d’une demande de documents contenant des informations relatives à l’environnement et plus particulièrement, comme par exemple les déchets, les émissions….

     

    La commission a considéré que, si en vertu de l’article 2 de la loi du 17/07/1978, sont en principe exclus provisoirement du droit à communication les documents préparatoires à une décision administrative, jusqu’au jour où cette décision intervient, aucune disposition de ce chapitre ne prévoit, en revanche, la possibilité de refuser l’accès aux documents qui s’inscrivent dans un processus préparatoire à l’adoption d’un acte qui n’est pas encore intervenu, dès lors que ces documents sont eux-mêmes achevés et que la demande est formulée dans le cadre de la recherche d’informations relatives à l’environnement.

     

    Suite aux conclusions du Rapporteur général adjoint, Nicolas POLGE, Maître de requête au Conseil d’Etat, la CADA a donc émis un avis favorable à la communication d’un document achevé indiquant que sa communication ne pouvait, dès lors, être refusée au seul motif que la conclusion du marché n’était pas encore intervenue.

     

    Par ailleurs, dans un récent reportage du JT de 20h de TF1 en date du 23/05/2017 consacré à ce projet INDACHLOR porté par Steven COPPENS – directeur de projet de la société belge INDAVER -, qui « espère » débuter fin de cette année 2017 son prochain site de traitement de déchets industriels qui devrait se construire sur le port de Dunkerque, nous avons constaté avec effroi, que Yann PITOLLET, le directeur général de Nord France Investissement (agence publique financée par la Région Hauts-de-France qui n’a pas la main sur la fiscalité et les subventions) se vantait (22 :34) publiquement d’avoir un certain « pouvoir » sur les décisions de l’Etat que vous représentez, en déclarant à l’antenne – à une heure de très grande écoute et ce, devant des millions de spectateurs – « être capable d’obtenir des autorisations administratives dans un délai de 4 mois au lieu de 8 à 10 mois ». Puisque ce monsieur semble si sûr de lui et si les services de l’Etat semblent lui accorder une telle audience, j’en conclus que vous n’aurez aucun mal à me transmettre dans un délai extrêmement rapide l’ensemble du dossier INDACHLOR dont le DAE que je vous ai demandé milieu de ce mois.

     

    Nous aimerions connaître la position des services de l’Etat sur le souhait de la société belge INDAVER qui ne se cache pas dans un de ses dossiers de faire venir des déchets d’autres pays d’Europe du Nord à Dunkerque qui risque de devenir la « Poubelle de la France ».

     

    En effet, ces déchets – dont ne veulent pas nos voisins - en provenance d’Europe du Nord seront acheminés par milliers de camions générant tous les risques - que l’on connaît bien malheureusement sur notre territoire -  et qui augmenteront les émissions de gaz à effet de serre dans la région de Dunkerque, et plus particulièrement vers Loon Plage.

     

    Cette société est de droit néerlandais. Les services de l’Etat ne doivent-ils pas se poser la question de l’intérêt fiscal d’une telle localisation lorsque l’on connaît la la situation particulière de ce pays au regard de la taxation des bénéfices sur les sociétés ? Les populations de Dunkerque et de sa région n’osent imaginer que ce projet funeste puisse bénéficier de subventions directes ou indirectes du contribuable français, pour, ensuite, potentiellement rapatrier des bénéfices sur un autre territoire qui ne serait pas le nôtre !

     

    A la veille des élections législatives 2017, les populations locales et les riverains de Dunkerque – et in fine des Hauts de France - très attaché-es à leur territoire ne sont pas dupes et savent que l’un des sites exploités par le porteur de ce projet (qui se qualifie comme un « spécialiste de la gestion des déchets industriels ». Source : La Voix du Nord, 26/05/2016) a subi dernièrement une explosion majeure. Fort heureusement, cette explosion n’a pas eu lieu dans un site où les effets cumulatifs avec les autres industries mitoyennes auraient pu être extrêmement désastreux !

     

    Veut-on laisser un projet destructeur d’emplois locaux se créer sur notre territoire pour permettre l’élimination de déchets dangereux dont ne veulent pas nos voisins qui génèrera de nouveaux risques environnementaux, sanitaires et sociaux ? On ne saurait penser que, dans notre pays et surtout dans notre région des Hauts-de-France, les querelles entre territoires urbains sont susceptibles d’aller au-delà de l’intérêt national !

     

    Nous, AURA Environnement en soutien actif du Collectif de Préservation de l’Environnement de la Région de Dunkerque (CPERD), nous répondrons favorablement à l’appel des populations locales et des riverains de Loon Plage directement ou indirectement impacté-es par ce projet IndaChlor ; NOUS ferons en sorte d’informer massivement les populations afin que la République et les agents de l’Etat soient pleinement respectés par certaines agences publiques d’investissement qui font des déclarations intempestives et intolérables sur le fonctionnement de notre administration ; NOUS ferons savoir aux riverains et aux populations locales qu’IndaChlor ne servira absolument en rien la protection de l’environnement et des animaux ; NOUS demanderons leur avis aux populations locales sur IndaChlor qui mettra fortement en danger en fragilisant encore plus des structures économiques locales françaises et qui génèrera des risques majeurs tant au niveau du transport que du process lui-même afin d’éliminer au premier abord des déchets mais surtout pour créer des profits pour les autres pays européens !

     

    Si vous deviez persister dans votre vaine tentative de maintenir une illégale opacité sur vos travaux qui menacent d’impacter la vie quotidienne de dizaines de milliers d’habitants de la région de Dunkerque et de milliers d’animaux, notre association AURA Environnement saisira immédiatement la CADA pour faire valoir ses droits.
     
    Veuillez agréer, l’expression de notre haute considération et de notre totale détermination.

    Marc-Claude de PORTEBANE

    - Président de l’Association AURA Environnement

    - Porte-parole de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux

    https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/

    - Porte-parole du CPERD (Collectif de Préservation de l’Environnement de la Région de Dunkerque).

  • Encore + odeurs gaz #ViaRhôna : l'arrêté-alibi DELPUECH 2016 accorde 16 000 T à la décharge de NICOLLIN !

    Mauvaise nouvelle pour animaux-en-danger

    voisins et paisibles cyclistes #ViaRhôna :

    le 30/12/2016, le préfet du Rhône a pris un arrêté-alibi

    d'1 an afin de permettre à NICOLLIN d'infester ENCORE

    pendant 9 à 10 ans la décharge de Saint-Romain-en-Gal !

    St rom fin 2016 023

    AURA Environnement l'attendait de pied ferme, contrairement à certains élu-es qui festoyaient ou qui se disputaient "le bout de gras" pour savoir qu'elles - qu'ils étaient - celles - et - ceux - qui nous avaient demandé de les aider après tant d'années de somnolence communale !

    Il est enfin arrivé, cet arrêté-alibi du préfet DELPUECH, grâce, notamment, aux membres du CoDERST du Rhône lors de la séance du 15/12/2016 qui ont donné leur accord pour que la SAS NICOLLIN (siège social 37/39 rue Carnot à Saint-Fons) puisse continuer à infester en odeurs pestilentielles les animaux innocents, les touristes, les cyclistes et les populations locales proches de la décharge archaïque de la région des "Combes du Melay" à Saint-Romain-en-Gal.

    St rom 060

    Bonjour les nouvelles odeurs de gaz pour les animaux à proximité immédiate de la décharge, mais aussi pour les populations locales qui n'ont plus qu'à déménager au cas-où elles ne saisiraient pas le vrai sens de cet arrêté préfectoral qui n'est qu'un "alibi" pour que la SAS NICOLLIN ne quitte les lieux avant 9 à 10 ans, voire plus, car ils ne lâcheront jamais cette UNIQUE décharge du Rhône, sauf devant l'amplification de la mobilisation populaire générée par AURA Environnement et non par les paltoquets locaux qui ont su si bien enrober de leur scotch invisible les populations locales grisées par les émissions de sulfure d'hydrogène (H2S) et de dioxyde de soufre (SO2) !

    L'arrêté-alibi du préfet DELPUECH en date du 30/12/2016 autorise - pour une énième fois - la société NICOLLIN à prolonger la durée d'exploitation de son installation de stockage de déchets non-dangereux (ISDND), sur le casier C, pour un volume estimé à 16 000 T grâce à la nonchalance des élu-es locaux et de certaines populations traîtres à la cause écologiste, et ce nonobstant également le trafic routier et les envols de déchets légers !

    08 fevrier 12 5 a copier

    Photo : Gérard GAVIOT-BLANC

    Primo : nous attendons des explications de la part des élu-es du Grand Lyon.

    Qu'est-ce donc ce "Plan interdépartemental de prévention et de gestion des déchets non dangereux du Rhône et de la Métropole de Lyon" ?

    Hello notre "camarade" Emeline Baume (Europe Ecologie - Les Verts et apparentés) quand on connaît les déboires de l'Ademe avec les magistrats de la chambre régionale des comptes et tels que les a observé Laurent Wauquiez, le nouveau président de la région Auvergne-Rhône-Alpes !

    Deuxio : qui, dans la région de Saint-Romain-en-Gal pactise avec le Diable contre le Peuple souverain ?