Articles de auraenvironnementparis

  • Pétition : HALTE gaspillage déchets #Amazon. Protégeons toutous incinérateur poubelles Lunel-Viel !

    HALTE gaspillage déchets #Amazon.

    Protégeons toutous incinérateur poubelles Lunel-Viel !

    Toit 1 016

    LIEN Pétition :

    https://www.mesopinions.com/petition/animaux/halte-gaspillage-dechets-amazon-protegeons-toutous/57943

    Par Marc-Claude de PORTEBANE, Président d'AURA Environnement

    Pétition adressée à Mr le président de la République, Mr le ministre de l'Ecologie

    A l'heure où l'on nous demande de respecter la loi de transition énergétique et les ressources de notre planète, M6 a diffusé dernièrement un reportage effroyable sur le gaspillage industriel d'Amazon. En effet, des journalistes d'investigation ont tenté, dans un documentaire diffusé le 13/01/2019, de démontrer le gâchis pratiqué par le géant américain via la destruction de gros conteneurs chargés de machines à café, téléviseurs, couches-culottes ou autres objets neufs envoyés à la casse.
    Nous pouvons observer que ces produits sont envoyés en décharge, alors qu'ils sont probablement, d'une autre façon, consommables pour les plus pauvres d'entre nous. Nous demandons aux services de l'Etat une surveillance maximale des installations de stockage ou d'incinération de nos déchets en France et de protéger encore plus nos animaux !
    Ainsi, le 12/01/2019, AURA Environnement est intervenu publiquement, en mobilisant ses militant-es, sur le projet de choix de la future entreprise qui sera chargée d'incinérer les poubelles de l'incinérateur de Lunel-Viel qui ne brûlera plus 120 000 T d'ordures comme c'était prévu.
    AURA Environnement met en garde les services de l'Etat, les populations locales de ces territoires abritant de nombreux animaux en Petite-Camargue, les acteurs du tourisme local de la région de Montpellier-Lunel-La Grande Motte.
    En effet, selon un élu de Lunel-Vieil, il se pourrait que la future entreprise choisie par les élu-es et chargée de l'avenir de cet incinérateur soit un peu moins chère mais risquerait de polluer encore plus gravement l'environnement et nos amis les animaux en dispersant, de façon édifiante, 2,5 fois plus de dioxyde de soufre, 3 fois plus d'ammoniaque, 4 fois plus de poussières, 10 fois plus de dioxines et 13 fois plus de métaux lourds !
    Faire 3 €/T d'économies MAIS polluer, ENSUITE insidieusement, nos amis les animaux dans le cadre de soit-disantes "Performances relatives à la préservation et la protection de l'environnement", c'est inadmissible !
    IL FAUT RETABLIR LA VERITE ! La presse locale mise au parfum se tait et n'en souffle mot.
    Quand on défend la santé des animaux et des humains, l'environnement, le choix est vite fait.
    Nous signataires de cette pétition, nous demandons qu'un audit soit réalisé TOUS les ans sur l'avenir de cet incinérateur de Lunel-Viel et nous demandons également plus de vigilance des services de l'Etat sur les déchets en provenance d'Amazon !
    La prévention en matière de valorisation de déchets comprend l'ensemble des actions qui consistent, lors de la production de biens de consommation, à anticiper sur la quantité et la nocivité des déchets produits. Pour cela il faut intervenir sur le mode de production et de consommation.
    Le collectif de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux qui rassemble plus de 48 000 personnes sur Facebook https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/ et soutenu par AURA Environnement http://www.aura-environnement.com/ a décidé, que Nous, humains, signataires de cette pétition ne voulons aucune exposition de métaux lourds et autres saloperies issues des poubelles, sur le dos de nos amis les animaux innocents qui n'ont d'autre choix que de se taire !

  • AURA Environnement gagne référé au Tribunal administratif de Grenoble contre PLU Les Granges-Gontardes STOP décharge COVED !

    AURA Environnement soutenue massivement par gontardien-nes

    et les habitants des communes voisines a gagné

    SEULE son référé au tribunal administratif de Grenoble CONTRE

    révision PLU visant installation décharge COVED de Roussas !

    La commune des Granges-Gontardes condamnée à nous verser 800 €.

    Lune vot 238

    Le camarade Marc-Claude de PORTEBANE a mis toute son énergie

    au services des habitant-es des Granges-Gontardes !

    Lune vot 236 jpg aAlors que la minuscule association locale AGRAVE et la FRAPNA 26 ont totalement refusés de nous soutenir !!!

    Par une requête enregistrée le 08/11/2018, l'association AURA Environnement, M. Cédric BERTELLO, Mme Johanna BERTELLO-ROUSTANT, Mme Sophie BEYSSIER, M. Stephan BEYSSIER, M. Henri BOUR, Mme Catherine CURIE, M. Pierre GAUTHIER, M. Gilles HECQUET, Mme Marie-Thérèse HUGUES, M. Jean-Marc HUGUES, Mme Hélène IVANEZ, M. Jean IVANEZ, M. Gil LAMURE, M. Eric MARTINEZ, M. Claude REDON, M. Jean-Luc ROUSTANT, Mme Marie-José ROUSTANT et M. Jean-Michel TARTARIN, représentés par Me François RUFFIE du barreau de Libourne, ont demandés au juge des référés :

    1°) de suspendre l'éxécution de la délibération du 11 septembre 2018 par laquelle le conseil municipal de la commune des Granges-Gontardes a approuvé le plan local d'urbanisme, sur le fondement des articles L.122-12 ou L. 123-16 du code de l'environnement ou l'article L. 521-du code de justice administrative ;

    2°) de mettre à la charge de la commune des Granges-Gontardes une somme de 2 000 € à verser à chacun des requérants au titre de l'article L. 761-1 du code de justice administrative.

    Nous soutenions que :

    - aucune évaluation environnementale n'a été réalisée en méconnaissance de l'article L. 121-10 du code de l'environnement ; les conclusions du commissaire-enquêteur doivent être regardées comme défavorables ; la condition d'urgence de l'article L. 521-1 du code de justice administrative est, par ailleurs, remplie ;

    S'agissant des moyens propres à créer un doute sérieux sur la légalité de la délibération ;

    - aucune évaluation environnementales n'a été effectuée ; l'analyse de la DREAL est erronée quant à la durée de l'atteinte à l'environnement et au regard du fait que la zone UI se situe en ZNIEFF de type 1 ; les informations transmises à la DREAL semblent être partielles ;

    - le rapport de présentation est insuffisant au regard des articles L. 521-2 et L. 151-4 du code de l'environnement et cette insuffisance n'est pas palliée par le projet d'aménagement et de développement durable lui-même insuffisant ;

    - les modalités de la concertation définies par la délibération du 29 juin 2010 n'ont pas été respectées en méconnaissance de l'article L. 300-2 du code de l'urbanisme : la création de la zone UI n'avait pas été évoquée au moment de la concertation ;

    - le dosier d'enquête publique ne contenait pas certains avis des personnes publiques associées en méconnaissance de l'article R. 123-8 du code de l'environnement et leur ajout tardif n'a pu couvrir cette irrégularité ;

    - le plan local d'urbanisme n'est pas compatible avec le SDAGE en méconnaissance de l'article L. 131-7 du code de l'urbanisme ;

    - le plan local d'urbanisme ne prend pas en compte le plan de prévention et de gestion des déchets non dangereux en méconnaissance de l'article L. 541-15 du code de l'environnement ;

    - le zonage UI est entaché d'erreur manifeste d'appréciation.

    ... La commune des Granges-Gontardes était représentée par Me BARD et la COVED par Me BRAUD...

    Au cours de l'audience publique du 27 novembre 2018, ont été entendus le rapport de Mme HOLZEM (juge des référés désignée le 01/09/2017 par le président du tribunal), les observations de Me RUFFIE représentant l'association AURA Environnement et autres, de Me BARD représentant la commune des Granges-Gontardes, de Me BRAUD représentant la société COVED, de Marc-Claude de PORTEBANE, président de l'association AURA Environnement et de Michel APROYAN, maire de la commune des Granges-Gontardes.

    La clôture de l'instruction a été prononcée à l'issue de l'audience...

    La juge des référés du tribunal administratif de Grenoble a considéré ce qui suit :

    - 1. Par une délibération du 11/09/2018 le conseil municipal de la commune des Granges-Gontardes a approuvé le plan local d'urbanisme. Ce plan local d'urbanisme prévoit, notamment, la création d'un secteur UI définit par le règlement comme aynat "pour vocation de permettre l'extension de la partie "enfouissement" de la plateforme multi-filières de tri, stockage, enfuissement, valorisation des déchets non-dangereux de Roussas". Les requérants sollicitent la suspension de l'exécution de cette délibération sur le fondement de l'article L. 122-12 (devenu L. 122-11) ou L. 123-16 du code de l'environnement ou l'article L. 521-1 du code de justice administrative.

    Sur l'intervention en défense :

    2. La société COVED, qui assure la gestion du centre d'enfouissement de Roussas en limite directe de la commune des Granges-Gontardes et dont l'extension est envisagée, justifie d'un intérêt au mmaintien de la délibération en cause. Son intervention en défense est, par suite, recevable.

    Sur les fins de non-recevoir soulevées en défense :

    3. D'une part, M. et Mme BERTELLO, M. et Mme BEYSSIER, M. GAUTHIER, M. et Mme HUGUES, M. Jean-Marc HUGUES, M. MARTINEZ, M. REDON, M. Jean-Luc ROUSTANT, et M. et Mme ROUSTANT déclarent tous être habitants de la commune des Granges-Gontardes. Le maire de la commune, interrogé sur ce point à l'audience, a confirmé que plusieurs habitants de la commune sont parties de l'instance. Leur qualité d'habitant de la commune leur confère intérêt pour agir à l'encontre de la délibération approuvant le plan local d'urbanisme. Ainsi, sans qu'il y ait lieu de rechercher si les autres requérants ont qualité ou intérêt pour agir contre la délibération contestée, la fin de non-recevoir soulevée doit être écartée.

    4. D'autre part, contrairement à ce qui est soutenu en défense, la requête visée a été formellement présentée conformément aux dispositions de l'article R. 414-3 du code de justice administrative. La fin de non-recevoir soulevée à ce titre doit être écartée.

    Sur la demande de suspension d'exécution présentée sur le fondement de l'article L. 521-1 du code de justice administrative :

    En ce qui concerne l'urgence :

    5.......

    6.......

    En ce qui concerne les moyens propres à créer un doute sérieux :

    7........

    8...........

    9..........

    10. Il en résulte de tout ce qui précède qu'il y a lieu de suspendre l'exécution de la délibération du 11 septembre 2018 par laquelle le conseil municipal des Granges-Gontardes a approuvé le plan local d'urbanisme.

    Sur les frais de procès :

    11. En vertu des dispositions de l'article L. 761-1 du code de justice administrative, le tribunal ne peut pas faire bénéficier la partie tenue aux dépens ou la partie perdante du paiement par l'autre partie des frais qu'elle a exposés à l'occasion du litige soumis au juge. Les conclusions présentées à ce titre par la commune des Granges-Gontardes et la société COVED, ces dernières au demeurant irrecevables, doivent dès lors être rejetées. Il y a lieu, dans les circonstances de l'espèce, de mettre à la charge de la commune des Granges-Gontardes, une somme de 800 € à verser aux requérants au titre des frais exposés et non compris dans les dépens. .

    ORDONNE

    Article 1er : L'intervention de la société COVED est admise.

    Article 2 : L'exécution de la délibération du 11 septembre 2018 est suspendue.

    Article 3 : La commune des Granges-Gontardes versera une somme de 800 € aux requérants au titre de l'article L. 761-1 du code de justice administrative.

    Article 4 : Le surplus des conclusions des parties est rejeté.

    Article 5 :   La présente ordonnance sera notifiée à l'association AURA Environnement, à M. Cédric BERTELLO, à Mme Johanna BERTELLO-ROUSTANT, à Mme Sophie BEYSSIER, à M. Stephan BEYSSIER, à M. Henri BOUR, à Mme Catherine CURIE, à M. Pierre GAUTHIER, à M. Gilles HECQUET, à Mme Marie-Thérèse HUGUES, à M. Jean-Marc HUGUES, à Mme Hélène IVANEZ, à M. Jean IVANEZ, à M. Gil LAMURE, à M. Eric MARTINEZ, à M. Claude REDON, à M. Jean-Luc ROUSTANT, à Mme Marie-José ROUSTANT, à M. Jean-Michel TARTARIN, à la commune des Granges-Gontardes et à la société COVED.

    Fait à Grenoble, le 04 décembre 2018.

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    (Précisions d'AURA Environnement : les points 5, 6, 7, 8 et 9 étant très longs seront développés dans les prochains jours lors de nos différentes mises à jour).

  • Projet incinérateur Valaubia #Troyes : AURA Environnement - contrairement Zero Waste - vise annulation AP tribunal administratif !

    Le comité central d'AURA Environnement a décidé d'ester

    au tribunal administratif contre le projet d'incinérateur

    porté par Valaubia-Veolia à La Chapelle Saint-Luc !

    Andouil1 158

    Le comité central d'AURA Environnement ne vise pas à une réduction des tonnages - comme cela serait possible avec la contestation potentielle de nos excellents camarades de Zero Waste - du projet de Valaubia-Veolia de La Chapelle Saint-Luc, mais à l'annulation pure et simple de l'arrêté préfectoral l'autorisant.

    Les populations locales ne veulent pas d'incinérateur. Elles doivent être entendues. On ne peut imposer de tels projets aux habitants si proches.

    Et pour cela, nous devons assumer la doctrine du président Mao : "Servir le peuple de tout coeur, sans nous couper un seul instant des masses : partir, en tout, des intérêts du peuple et non de ceux de l'individu ou d'un petit groupe ; identifier notre responsabilité devant le peuple avec notre responsabilité devant les organes dirigeants du Parti --- voilà ce qui inspire nos actes. " ("Du gouvernement de coalition - 24/04/1945, Oeuvres choisies de Mao Tsé-toung, tome III").

    Vers Troyes, nous demandons la venue du professeur Sultan de Montpellier, pour qu'il nous éclaire sur ce qui se passe à Fos-sur-Mer, où les élu-es et les populations locales en ont plus que marre d'Urbaser racheté par les renégats chinetocs, plus capitalistes que communistes !

    En effet, Urbaser Environnement a été racheté en 2016 par les chinetocs du groupe China Tianying Inc (CNTY) qui n'ont que d'autre but que de se faire un max de thunes au dépens de l'investissement. Ce fonds d'investissement qui a pris le contrôle d'Urbaser par le biais de sociétés opaques ne cesse de vouloir mettre sous pression les collectivités locales pour presque les amener à la ruine, comme cela a été le cas avec le SYTRAD de Valence dans la Drôme, où ce syndicat a failli retrouver ses finances sous la protection de la préfecture de Région, située à Lyon !

    Les chinetocs cassent les prix à la tonne mais les comptes publiés ces dernières années démontrent que CNTY ne détient pas assez de liquidités pour couvrir ses dettes à court terme étant donné qu'aucun dividende n'a pu être versé depuis des decennies aux actionnaires : Or, le rachat d'Urbaser a permi de déséquilibrer CNTY, tandis que la China Securities Regulatory Commission a lancé dernièrement une enquête sur la santé financière de cette société en avril 2017, ce qui n'a fait que détériorer une image déjà si peu reluisante, puisque CNTY ne s'est développée que récemment sur les métiers de l'incinération et du traitement des boues et des déchets, et ce, grâce à l'aide d'une technologie transmise par le groupe Waterleau entre 2010 et 2011 !!!

    Les chinetocs et leurs vassaux d'Urbaser font du toc et cassent les prix pour faire de la "merde" qui sera payée par le con-tribuable !

    Pas question, non, plus, de laisser les mains libres dans la gestion des déchets de l'Aube à Veolia, via Valaubia !

    Nous attendons la venue du professeur Sultan à La Chapelle Saint-Luc pour nous dire ce que l'on ne nous dit pas à Fos-sur-Mer, où le maire en a plus que marre d'Urbaser ! En effet, à Fos-sur-Mer, EveRé (Urbaser) multiplie les conflits administratifs avec nos camarades élus et associatifs.  

    Ils font de l’incinération à ras les pâquerettes. Ils cassent les prix, font ensuite augmenter les tonnages et, ensuite c’est trop tard. Les populations locales sont prises au piège.

    Il suffit de se renseigner auprès de notre camarade le maire de Fos-sur-Mer, René Raimondi.

    Il en a plus que marre d’Urbaser !

    MCDP

  • FEUIILETON bourguignon Fraudes sur Déchets : Sous-préfet #Montbard matraque fraudeurs de #PaprecCoved !

    Après associations environnementales, élu-es

    c'est au tour des services de l'Etat d'en avoir

    ras-le-bol des fraudeurs de Paprec/Coved !

    PAPREC qui ne cesse de vouloir, sans cesse, laver plus blanc que blanc au nom de l'éthique des déchets de la vie, ne cessait d'être en conflit avec les associations environnementales ou de défense des animaux, puis les élu-es de nos petites communes impuissants devant autant d'arrogance et de moralisme à quatre balles et trois francs six sous, pour terminer sa course poursuite dans le mur de la délinquance potentielle, puisque maintenant, depuis les publications du Canard Enchaîné, c'est au tour des services de l'Etat d'en avoir ras-le-bol du groupe PAPREC et de sa nouvelle fiancée COVED qui se retrouve sous le feu des projecteurs de la sous-préfecture de Montbard en Côte-d'Or, et plus précisément en région Bourgogne-Franche-Comté.

     

    Le canard coco 3

    En contact depuis plusieurs mois avec les assoc' locales de l'Auxois, AURA Environnement a décidé de mettre les pieds "dans le plat" et de venir en aide aux populations locales en important sa stratégie révolutionnaire non-violente de concertation avec les services de l'Etat, que nous, nous respectons !

    Joël, Christophe BOURGEOT, le sous-préfet de Montbard en a plus que marre de Paprec/Coved, et il n'est pas le seul.

    Tout le monde en a marre de toutes ces fraudes à répétition chez le "Chevalier" de "l'éthique" Paprec/Coved qui lave plus blanc que noir dans le secteur de ses décharges immondes de Vic-de-Chassenay (Côte d'Or) et de Duchy (Yonne) où un système de fraude à grande échelle sur l'origine et la nature des déchets déchargés a déjà été mis au jour par, déjà, 2 autres publications du Canard Enchaîné (22/08 et 17/10/2018) qui sont venues confirmer ce que nous avions déjà corroboré sur le terrain des échanges d'informations entre le comité central d'AURA Environnement et les populations locales largement ulcérées par autant d'abus nuisibles ppour l'économie et la défense de l'économie circulaire.

    A Roussas, dans la Drôme, les populations locales n'en veulent plus de Paprec/Coved puisque maintenant, Paprec/Coved en est réduit à vouloir s'installer sur le réduit de la commune voisine des Granges-Gontardes (en voulant ceinturer le Club de Tir Sportif de Montélimar), où les gens endormis ont été réveillés fissa par la vieille garde d'AURA Environnement lors de l'enquête publique de révision du PLU des Granges-Gontardes...... qui ne vise, en réalité, en partie, qu'à installer l'extension de la décharge Coved-Paprec de Roussas sur les pistes glissantes du moto-cross (dont on attend toujours la copie de bail avec la commune des Granges-Gontardes) et les pistes soumises de l'auto-cross (où une société commerciale jouit d'aucun bail sur ce terrain communal), au diable les varices de l'accomodement entre une association, une société commerciale, du public privé de droit public et des élu-es qui ont manqué de vigilance sur un terrain communal, car, il est vrai que la commune des Granges-Gontardes ressource de terrains communaux convoités par Paprec/Coved !

    Le commissaire enquêteur a donné raison à la Révolution des esprits impulsée par AURA Environnement qui a changé les esprits des Granges-Gontardes.

    Après le "dodo" sur la "floue" communication avec les habitants des Granges-Gontardes - comme l'a très fortement remarqué le commissaire enquêteur -, place aux Sentinelles des vieux camarades-antispécistes de l'environnement et des animaux, rempart d'AURA Environnement qui a massivement tracté pour informer les populations locales sur ce qui se "tramait" dans leur dos et ce, pendant de nombreuses décennies !

    Après "La Combe Jaillet 1", puis "La Combe Jaillet 2" à Roussas, voici le projet de nouvelle cuvée de "La Combe Jaillet 3" dans la commune voisine des Granges-Gontardes, et puis pourquoi pas, dans 20 ans, la potentielle cuvée "La Combe Jaillet 4" sur les communes voisines de Valaurie ou de Réauville ? 

    On arrête pas le progrès, certes !

    Image coved

    Mais nous, AURA Environnement, nous arrêterons la progression des fraudeurs de Paprec/Coved et nous les retrancherons dans leur dernière exploitation de Roussas qui est une "carie" inadmissible dans cette belle région innocente de la Drôme-provençale qui n'a jamais demandé autant de saccage de son image dégradée, - comme le confirme notre photo ci-dessus - où l'on voit clairement que les poubelles ont crevé la vue de notre si belle Drôme provençale aromatisée par les champs de lavande, de petits chênes, d'oliviers ou de vignobles, spécialités AOC que l'INAO ne peut contester !

    A l'avant les Granges-Gontardes ! A l'arrière et En arrière toutes, la décharge Paprec/Coved de Roussas dans la Drôme provençale, qui ne cesse de vouloir grignoter de nouveau espaces sur nos terres innocentes, maintenant sur les Granges-Gontardes, où, AURA Environnement soutenue par les riverains et les populations locales ira ester au tribunal administratif de Grenoble contre la révision du PLU des Granges-Gontardes qui vise...... à installer la future décharge actuelle de Coved/Paprec de Roussas !

    Quand on ne veut pas de décharge, on ne modifie pas le PLU, pour l'installer !

    Nous attendons toujours le DDAE déposé par Paprec/Coved auprès de la Dreal Drôme-Ardèche ! Mr BRIE de la Dreal, que faites-vous ? Pourquoi ne voulez-vous pas nous en communiquer copie ? En quoi ce document serait-il constamment "inachevé" et non-communicable aux populations locales que nous représentons ? En quoi, Mr BRIE êtes-vous le régulateur de l'information à l'attention des masses populaires des Granges-Gontardes qui n'en peuvent plus d'être tenues dans l'ignorance ! Mr BRIE, vite à peut-être bientôt pour la dernière CSS (commission de suivi de site) de Roussas ! A quoi bon soutenir Paprec/Coved lorsque le sous-préfet de Montbard - donc la Dreal des Côtes d'Or - ne soutient plus le "héraut" des fraudes avec l'administration de la République ?

    La décharge du "géant du recyclage" - LOL - Paprec/Coved, on peut vous en parler sous toutes les coutures ! Nous en connaisssons tous les costumes : départ d'incendies, envols de plastiques sur les vignobles environnants, odeurs aux relents pestilentiels, couches superposées de plastique et de terre sur nos terres ancestrales, où, nous, nous voulons conserver nos tradtions de pêche et de nature telles que nous les ont léguées fièrement nos ancêtres !

    NOUS nous battrons, jusqu'au bout pour soutenir la Juste cause, Notre Cause juste, CONTRE l'extension de la décharge Paprec/Coved sur nos illustres territoires innocents des Granges-Gontardes où cohabitent paisiblement animaux et habitants ignorants, espèces égalitaires attachées au bon sens et aux valeurs de la République égalitaire qui ne veut pas être souillée par les fraudes de Paprec/Coved, comme le reconnaîssent le sous-préfet de Montbard et les populations de la Côte d'Or ou de l'Yonne, on ne veut plus en entendre parler de Paprec/Coved !.

     A suivre

    Marc-Claude de PORTEBANE

  • Odeurs & Mouches à merde pullulent #Sotreco #Mutatec @Châteaurenard : AURA Environnement interpelle DREAL # Marseille !

    En cette fin d'août 2018 @Châteaurenard (13)

    les odeurs étaient pestilentielles vers SOTRECO/MUTATEC :

    AURA Environnement interpelle préfet + DREAL PACA !

    Que l'on respecte enfin les mouches !

    La mobilisation en marche !

    Boul gg 052

    Assez d'odeurs nauséabondes et de mouches qui volent et qui s'envolent, comme nous avons pu le constater cet été, vers le site de SOTRECO/MUTATEC à Châteaurenard dans les Bouches-du-Rhône, en face d'Avignon !

    AURA Environnement alerte les Pouvoirs publics dont la Dreal et la préfecture Paca.

    On veut la Vérité !

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    DREAL PACA

    36 Boulevard des Dames

    13002 Marseille

    Monsieur,

    Au cours des semaines 34 et 35, au mois d’août 2018, nous avons été alerté par des riverains et nous sommes allés sur place constater des odeurs particulièrement pestilentielles à proximité immédiate des usines SOTRECO, CLEEF SYSTEM et MUTATEC, situées zone industrielle des Iscles, et plus précisément, chemin des Confignes à Châteaurenard.

    Nous avons observé, à l’entrée gauche de SOTRECO, des monticules de déchets noirâtres exposés à l’air libre, à proximité d’un transformateur électrique et d’un poteau d’éclairage vert où se trouve fixée une caméra de surveillance du site.

    Nous avons constaté, aussi, que ces déchets étaient déposés à même le sol herbeux et que leur jus était susceptible de s’écouler, par ruissellement, sur la voie publique et réceptionnés potentiellement ensuite dans un regard d’égout du réseau public de Châteaurenard, lui-même situé non loin d’une bouche à incendie de couleur rouge et flambante neuve !

    Nous avons relevé, également, avec inquiétude, la présence de nombreuses mouches.

    Inutile de vous préciser que le site de SOTRECO, CLEEF SYSTEM et MUTATEC, se trouve non loin de la rivière « L’anguillon » qui conflue avec la Durance, au sud d’Avignon et au nord de Châteaurenard, tout près de l’étang de Sudre.

    Le 27/09/2018, nous avons eu l’UT DREAL d’Aix-en-Provence et nous l’avons informé de ces odeurs épouvantables telles un brouillard nauséabond qui ne voulait pas se désagréger dans l’atmosphère.

    Nous avons demandé si les services de l’Etat étaient au « parfum » de ces odeurs persistantes d’origines diverses en provenance de ce site qui héberge les usines SOTRECO, CLEEF SYSTEM et MUTATEC.

    La DREAL d’Aix-en-Provence nous a confirmé avoir mis dernièrement, effectivement, en demeure l’exploitant SOTRECO afin que celui-ci fasse une proposition de mesures d’odeurs en faisant appel à un bureau d’études afin de déterminer leur-s- origine-s et de mettre en place rapidement des mesures correctives durables afin de plus avoir à importuner les populations locales, les propriétaires de bureaux à louer et les employés et chefs d’entreprises locaux qui n’ont pas à supporter de tels désagréments.

    Nous aimerions savoir si ces odeurs provenaient de l’installation SOTRECO ? De CLEEF SYSTEM ? De MUTATEC dont personne ne sait rien, et si le résultat de ces mesures d’odeurs nous sera transmis ?

    Puisque le site des usines SOTRECO, CLEEF SYSTEM et MUTATEC ne semble pas capable de maîtriser ces odeurs pestilentielles et ces envols de mouches, les populations locales aimeraient en savoir un peu plus ce que l’on veut bien nous dire ou nous cacher.

    L’assemblage des déchets est-il fiable dans l’ajustement de sa teneur en MS ?

    Nous aimerions savoir quels types de déchets vont servir à nourrir les larves de mouches ? Quelles sont leurs provenance et quelles quantités de déchets T/jour seront réceptionnés sur ce site ?

    Les déjections des larves serviront-elles à faire des engrais exposés à l’air libre ou pour de futurs essais qui seront réalisés sur les cultures environnantes ? Que deviendront les matières grasses ? Seront-elles exposées à l’air libre comme cette fin d’été 2018 ?

    Les bacs d’élevage des larves de mouches fraîchement nées et chargés de « soupe » ensemencée se sont-ils éventrés pour ensuite, favoriser, de potentielles fermentations « sulfatant » ainsi cet odorat se développant dans la toute proche région d’Avignon ou de la ville de Châteaurenard ?

    La réception actuelle des biodéchets non carnés pour l’instant (fruits et légumes, notamment) se fait-elle à l’air libre ?

    Le projet de 500 T de protéines produites à partir de l’unité du démonstrateur a-t-il déjà commencé et ce, sans attendre la future enquête publique relative au dépôt du dossier de demande d’autorisation (DDAE) déposé par la société SOTRECO, en date du 06/06/2017 ?

    Où est-on de ce dossier dont on ne nous dit rien ? En est-il au stade de l’enregistrement ? De la déclaration ? De l’autorisation ?

    Les populations locales ont-elles à craindre de potentiels dangers présentés pour l’homme par les choix de l’espèce de mouche « Black Soldier », en ce qui concerne les germes, les maladies, etc…. puisqu’une mouche adulte peut pondre une quantité d’œufs correspondant à 50 % de son poids ?

    Ces monticules de déchets servent-ils à nourrir les larves de mouches dans quelle bande d’isolement par rapport aux tiers impactés ?

    Les populations locales et élu-es seront informé-es publiquement de l’existence de ce courrier.

    Marc-Claude de PORTEBANE

    Président d'AURA Environnement

  • Vents mauvais #VEOLIA + #PAPREC @Drôme : AURA Environnement monte assaut contre mauvaise foi cloportes #Grangesgontardes + #Chatuzangelegoubet !

    Une association téléguidée par on ne sait qui s'est liguée

    contre le Collectif CPERG soutenu par AURA Environnement

    qui déposera, lui, un recours contre le PLU des Granges-Gontardes !

    Raisins rouges colere i 018

    Le collectif CPERG (Collectif de Protection de l'Environnement vers Roussas et les Granges-Gontardes) soutenu par AURA Environnement est le plus ancien regroupement de militant-es et de militants opposé au projet de PLU porté par les élu-es de la commune des Granges-Gontardes et cela a été confirmé par le commissaire enquêteur dans son rapport du 17/10/2017 à l'issue de l'enquête publique sur le PLU qui s'est tenue du 11/09 au 12/10/2017.

    Déjà présent sur la commune voisine de Roussas où se situe l'actuelle décharge Coved, le CPERG connaissait bien la situation communale où aucune assocation de défense de l'environnement ne s'est jamais déclarée active sur ce territoire, même pas la FRAPNA de la Drôme !

    Le CPERG, épaulé par des défenseurs de leur patrimoine dont notre camarade Gil LAMURE et soutenu par AURA Environnement, était déjà monté seul au créneau pour dénoncer les envols de plastiques sur les vignobles et les terres boisées des environs ainsi que sur le domaine forestier en alertant, notamment, l'ONF et la Dreal de la Drôme !

    Alors que la situation perdurait depuis de nombreuses années sans qu'aucun viticulteur de Roussas ou des Granges-Gontardes, d'ailleurs, ne s'en plaigne, et ce, au nez et à la barbichette de l'INAO !

    A l'époque, AURA Environnement avait demandé au "Baron d'Escalin" la copie de la convention de collecte des plastiques sur les vignobles des Granges-Gontardes.

    Que nenni, nous n'avions rien récolté. Les vignerons de Rousssas et des Granges-Gontardes nous voyaient surtout comme des "ennemis", comme au bon temps de la lutte du SAC à merde gaulliste contre le communisme, car le comité central d'AURA Environnement est d'essence bipartiste : écolo-marxiste et écolo-national-bolchevique (l'aile gauche et l'aile droite du bolchevisme issue des masses populaires est représentée de façon équitable).

    AURA Environnement ne fait jamais de politique, mais c'est surtout plus de 5 000 militant-es au travers de plus 70 collectifs autonomes  et non-violents, en France et dans les TOM, sans compter les 350 cadres du Collectif de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux que nous pouvons mobiliser très rapidement.

    Dans la commune voisine de Roussas, les Granges-Gontardes, le CPERG et AURA Environnement déclenchaient l'opération "Raisins de la colère rouge".

    Les services de l'Etat, la presse et le commissaire enquêteur ont été unanimes : la mobilisation du CPERG et d'AURA Environnement a été massivement suivie par les populations locales à qui nous avons ouvert les yeux sur leur devenir et celui de leurs enfants, à savoir, qu'une extension de la décharge COVED/PAPREC risquait bel et bien de s'installer pendant plus de 20 ans dans leur commune s'ils ne se mobilisaient pas massivement et rapidement pendant l'enquête publique relative à la révision du PLU de leur commune.

    Notre militantisme a été largement suivi puisque plus de 90 % des villageois endormis se sont enfin réveillés et plus d'1/3 ont suivi la bannière du CPERG soutenu par AURA Environnement.

    Seulement quelques brebis galeuses nous ont suivi hypocritement pour ensuite, mieux nous poignarder "dans le dos", afin d'assouvir leurs ambitions personnelles de cervelle de colibri, voire de prise de pouvoir local : comprendre le futur assaut pour renverser l'actuel conseil municipal des Granges-Gontardes, lors des prochaines municipales de 2020 !

    Le CPERG et AURA Environnement désapprouvent totalement ce genre de méthode de paltoquets, qui sous le prétexte de défense du patrimoine et de l'environnement, se servent de nos actions militantes, pour défendre leurs intérêts personnels politiques et/ou économiques dans un but autre que celui de l'unique défense de la collectivité !

    Même si nous ne sommes pas d'accord sur des dossiers environnementaux avec les services de l'Etat, nous n'avons jamais été pour la destabilisation d'un maire démocratiquement élu !

    Exemple : lors du dernier conseil municipal du 11/09/2018 aux Granges-Gontardes, un individu membre de ceux qui nous ont poignardé "dans le dos" a pris à partie le maire et le conseil municipal alors que la séance n'était pas terminée ! Le maire a été copieusement insulté. C'est inadmissible et anti-républicain ! Le maire a failli appeler les gendarmes pour faire cesser ce trouble manifeste de l'ordre public !

    AURA Environnement a demandé poliment la parole à l'assemblée communale en prenant la défense du maire Michel APROYAN, puis a sermonné publiquement ce clown membre de ceux qui nous ont poignardé "dans le dos" qui éructait sa rage contre le 1er magistrat de la commune, en lui demandant de se taire plusieurs fois.

    Cet amateurisme de voyou qui porte atteinte à celles et ceux qui défendent démocratiquement l'environnement et au code général des collectivités territoriales est proprement intolérable et n'a pas sa place dans une démocratie ! Le conseil municipal émet des voeux sur tous les objets d'intérêt local. Il ne règle pas ses délibérations sur les affaires de la commune en se faisant insulter publiquement, en plein conseil municipal. Seuls les conseillers municipaux peuvent poser des questions orales en fin de réunion, en rapport avec les affaires courantes.

    Quand on est pas capable de défendre le code général des collectivités (CGCT), nous ne voyons pas comment ces gens-là peuvent vouloir défendre l'environnement au tribunal administratif ou de faire un recours gracieux ou amiable lorsque l'on n'est pas aimable avec le maire des Granges-Gontardes !

    Il ne faudrait quand même pas oublier que le maire des Granges-Gontardes est protégé contre l'outrage et l'injure et que ces faits honteux sont réprimandés par l'article 433-5 du Code pénal !

    Nous soutenons donc le maire et le conseil municipal des Granges-Gontardes sur ce point de respect de l'article L.2121-18 du CGCT, comme nous l'avons fait publiquement en demandant la permission d'intervention publique pour défendre les lois de la République !

    Nous ne soutiendons donc pas ceux qui nous ont poignardé "dans le dos" ! Leur étoile se couche tandis que la nôtre se lève !

    Nous avons décidé de faire le ménage : si nous avons été naïfs et magnanimes, nous ne le serons plus désormais et nous dénoncerons les minables qui nous ont poignardé "dans le dos" et qui n'ont uniquement de la "gueule" que sur...... le terrain glissant de l'internet ou pour troubler très maladroitement une réunion d'un conseil municipal démocratique régulièrement requis et convoqué comme le stipule l'article L 2121-29, créé par la Loi 96-142 du 21 février 1996 relative à la partie législative du code général des collectivités territoriales !

    Contre les lamentables virtuels qui nous ont poignardé "dans le dos", nous allons leur montrer, comment, NOUS, AURA Environnement  appliquons les concepts et les combats du théoricien communiste italien : Antonio Gramsci !

    Nous avons toujours oeuvré en faveur de la nécessité pour la classe ouvrière d'être autant "dirigeante des classes alliées" que "dominante des classes adverses". Gramsci n'a eu de cesse de rappeler que "Les conseils d'usine nous disent toujours qu'aucune transformation révolutionnaire n'est possible si les producteurs directs ne sont pas maîtres de leur outil de production" !

    Nous deviendront maîtres de la lutte environnementale aux Granges Gontardes mais aussi dans toute la Drôme où nous demandons au SYTRAD et à VEOLIA d'arrêter de pulvériser leurs odeurs insupportables vers Livron et de se mettre en conformité avec les dernières mises en garde du préfet de la Drôme sous peine de pénalités sonnantes et surtout trébuchantes en terme d'image dans l'opinion publique !

    Ggo 168 2 jpg aa 1Vers Romans-sur-Isère, le vent de la révolte souffle contre les envols de plastiques sur l'A 49 à Chatuzange-le-Goubet, à charge contre la décharge mal gérée par ONYX-VEOLIA qui, via bientôt, là-aussi, une modification du PLU voudra encore "bouffer" nos terres agricoles (phase 3) qui ne cessent d'être grignotées, commune par commune, pour éradiquer nos camarades de "Nature, Pêche et Traditions" ancrées dans nos Terroirs de notre Drôme-Ardèche si bien aimée.

    Plu chatuz 2 jpg b

    Nous respectons les chasseurs de la chasse aux cons, car, comme le disait si bien Pierre Desproges : "l'ennemi est con, il croit que c'est nous l'ennemi alors que c'est lui" !

    On en veut plus de la décharge VEOLIA dans le nord de la Drôme et ce ne sont pas les dernières explications que nous a donné dernièrement AREA, la société gestionnaire de l'A 49, qui tente vainement de nous rassurer, qui vont démobiliser les populations locales qui se sont regroupées derrière le CDFEC (Collectif de Défense de l'Environnement à Chatuzange-le-Goubet), soutenu par AURA Environnement !

    Au début, les dirigeants d'AREA n'ont pas répondu à notre mail du 04/04/2018, où nous faisions part de notre mécontentement à la direction du réseau d'AREA : ".. Suite à notre communication téléphonique de ce jour, nous vous confirmons que le 15 mars 2018, nous sommes parti de Valence en direction de Grenoble via l’autoroute A 49, avant le centre de péage n° 9 de Chatuzange-le-Goubet, et que nous avons observé des milliers de sacs plastique longeant la décharge ONYX-VEOLIA, non loin du lieu-dit « Pourcieux », comme vous pourrez le constater via nos photos...".

    Ca ne devait pas beaucoup les intéresser puisqu'ils ne nous ont répondu que le 06/09/2018, alors que nous les informions que nous allions nous fendre d'un petit mail discret aux actionnaires qui demandent autant d'infos que de dividendes et qui, désormais, sont devenus voraces d'infos en provenance de sotre site internet et de nos publications papier envoyées à plus de 35 000 personnes !

    Comme aux Granges-Gontardes, à l'écoute de Radio trafic, on veut bien être CONS une fois, mais pas 2 fois une fois !

    En effet, le 25/08/2018, AURA Environnement mettait en garde la SCA AREA - société concessionnaire d'autoroutes - (filiale du groupe APRR) : ".... Cependant, Puisque vous n’êtes pas réactifs à nos alertes sur les dangers encourus par vos usagers de l’A49, une copie de ce courrier sera adressée au Pdg Benoît de RUFFRAY et aux actionnaires d’Eiffage ainsi qu’au groupe MACQUARIE via le service aux actionnaires de BNY Mellon à Pittsburg aux Etats-Unis....".

    Depuis, 133 actionnaires américains ou proches, nous ont répondu ! Comme quoi la ténacité d'AURA Environnement est reconnue mondialement !

    Nous ne voulons pas de ce futur pont qui enjambera l'A49 pour transporter encore plus de déchets d' ONYX-VEOLIA de l'autre côté de l'autoroute du malheur de n'être pas né-es si CONS que cela !

    Comment ne pas devenir CON, lorsque AREA nous indique, après le passage d'AURA Environnement sur l'A49, de Valence à Grenoble le 15/03/2018, qu' ".....en effet, ce jour-là, un vent violent et soudain s'est mis à souffler à partir de 9H00....".

    Pourquoi 9h00, pile-poil, à "9h00" précises soufflantes de plastiques de toutes les couleurs en provenance de la décharge VEOLIA ? Le vent se lève-t-il à 9h00 et se couche-t-il comme les poules ?

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    Si les filets de nos camarades marins pêcheurs de La Ciotat avaient été percés ce week-end dernier, comment auraient-ils pu ramener de la dentie au bon petit port de mer de nos luttes syndicales ?

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    Photos prises par AURA Environnement au restau "Au chantier" à La Ciotat, le 15/09/2018

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    Que comprendre du charabia de VEOLIA Rhin-Rhône Recyclage & Valorisation des déchets de Vaulx-en-Velin, qui, dans sa correspondance du 06/04/2018 à AREA - suite aux alertes d'AURA Environnement - tente d'expliquer ces envols de plastiques sur l'A49 que nous avons constaté - preuves à l'appui - en "plaidant" subitement que ceux-ci  "proviennent en partie de notre pôle de stockage Energie", que "nous confirmons que ce jeudi 15 mars au matin, de fortes rafales devent de sud se renforçant vers 9h00 ont été observées sur le site", que "...Dans le même temps, nous avons procédé à un renforcement de la couverture des déchets en compléments de notre mode opératoire habituel de recouvrement à l'avancement...", que "En complément de cette action corrective, nous avons commandé 160 m linéaires d'un nouveau système de filets anti-envols afin d'améliorer notre dispositif actuel et ainsi d'anticiper ce type de situation exceptionnelle par vent de sud... ", que "....Nous sommes désolés pour ce désagrément exceptionnel...", etc..... ?

    Ah bon ? Pas CON tout cela !

    Les développements sur la vision gramscienne de l'éducation populaire, de la liberté et de la discipline sont très utiles et à bien des égards, nécessaires en 2018 et pour les futures générations de notre Drôme-Ardèche bien aimée !

    A suivre

    Marc-Claude de PORTEBANE.

  • Nouvelle explosion #Indaver #Belgique : Préfet du Nord #MichelLalande garant personnel projet Indaver Loon-Plage ?

    Alors que le préfet du Nord de la France

    Michel LALANDE vient de donner son feu vert

    AP (arrêté préfectoral) projet Indachlor

    porté par INDAVER à LOON-PLAGE

    NOUVELLE EXPLOSION #Indaver #Belgique :

    si morts à Loon-Plage responsabilité personnelle

    préfet/Dreal sera-t-elle engagée a posteriori ?

    LIEN DU MASSACRE CONTRE DES HUMAINS INNOCENTS : https://www.hln.be/nieuws/binnenland/explosie-bij-indaver-in-antwerpse-haven-een-dode-vier-gewonden~a37fb741/?referer=#comments

    ON NE VEUT PAS DE CELA A LOON-PLAGE ! QUE LE MAIRE DE LOON-PLAGE, LE DEPARTEMENT ET LA PREFECTURE DE REGION DU NORD ASSUMENT LEURS RESPONSABILITES ! C'EST LA 2° EXPLOSION CHEZ INDAVER EN BELGIQUE ! PAS DE CA CHEZ NOUS ! LES REPONSABLES DE LA DREAL 59 DOIVENT - PERSONNELLEMENT - EXPLIQUER CELA AUX CITOYENS DU NORD ! TROP FACILE DE FAIRE PAYER A POSTERIORI UN PREFET ! LES FUSIBLES ADMINISTRATIFS DOIVENT TOMBER LES UNS APRES LES AUTRES !

    13/09/2018 - Traduction d'AURA Environnement - Prière de nous excuser -

    "Dans l'entreprise de traitement des déchets Indaver, le long de l'A12 à Stabroek (Anvers), une explosion s'est produite cet après-midi. Un employé est décédé et quatre autres ont été blessés.

    Les explosions ont trouvé une place indaver dans le rejet d'un déchet liquide dans un réservoir de stockage. "La recherche ne révélera pas ce qui a mal tourné", a déclaré la porte-parole Inge Baertsoen.

    Cinq personnes ont été touchées par des explosifs. Un membre de l'employé de l'entreprise est décédé. C'est un homme de quarante ans qui travaillait comme opérateur. Aller aux conséquences à l'hôpital. On ne sait rien de leur condition. "Onze attention est portée à la souffrance non-humaine, onze pensées sont avec la famille de la victime, selon Baertsoen.

    Les camionneurs parlent de débris qui ont volé à Indaver sur la chaussée du Havenweg. La brigade des pompiers s’est rendue sur les lieux, mais n’a aucune mention du site entre-temps, a déclaré le porte-parole de la marque, Kristof Geens.

    Réunion du personnel

    Selon le porte-parole d’Indaver, Inge Baertsoen porte principalement préjudice à l’entreprise elle-même. Le site a été purifié de manière préventive. De l'évacuation, les journées chaudes et froides sont possibles pour entrer. Une réunion du personnel aura lieu demain à 10 heures.

    Février 2016, y compris Indaver a été surpris par une marque en pleine explosion. Une réaction chimique dans un camion-citerne se trouvait alors à l'origine de l'explosion. Il n'y avait pas de blessés."

    --------------------------------------

    COMMENTAIRES DES INTERNAUTES :

    Luc Caels

        Il est temps que ce site ferme là. N'est jamais en sécurité

        Il y a 1 heure

    Joeri De Clercq

        Encore un camion impliqué! Beaucoup de force pour les amis et la famille. Vous allez travailler et c'est le résultat. Triste! RIP.

        Il y a 2 heures

    Lucienne Detik

        Ma participation est la pire chose qui puisse arriver, tu sors sainement et tu ne reviens pas

        Il y a 2 heures

    Maître Revan

        2ème fois en 4 ans à ma connaissance

        Il y a 2 heures

  • AURA Environnement interpelle membres CODERST Projet incinérateur Valaubia/Veolia La Chapelle Saint-Luc !

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    Mmes et Mr les membres du CODERST

    Préfecture de l’Aube

    2 Rue Pierre Labonde,

    10000 Troyes

    Objet : Contestation projet Incinérateur à La Chapelle Saint-Luc, réunion du CODERST de l’Aube, en date du 12/09/2018.

    Bonjour,

    AURA Environnement est opposé à ce projet cynique et le combattra au TA avec le soutien du Collectif SI-LCSL (Stop Incinérateur La Chapelle Saint-Luc) !

    La DSP (Délégation de Service Public) à Veolia pour 25 ans de ce projet d’incinérateur Valaubia (plus proprement dénommé UVE pour ne pas effaroucher les populations locales) de 60 000 T de déchets/an – soit 160T/Jour), (Financement probable entre 50 et 60 M€) sur la commune de La Chapelle-Saint-Luc est une totale aberration, car elle va à l’encontre du moratoire de l’Europe et de loi de TECV.

    Il est à noter qu’une partie très importante de matières recyclables dont des plastiques dont on ne sait plus que faire va être incinérée en dégageant du co2 alors que cela est contraire à la hiérarchie de traitement des déchets définie par l’Union européenne.

    Les émissions de dioxines et de furanes ne sont pas à négliger d’autant plus que métaux lourds (Cadmium, plomb, mercure), dioxyde de souffre et d’azote risquent de terminer dans les assiettes ou dans les lichens de cette agglomération troyenne !

    Quelles répercussions sur la santé pour les populations locales ?

    Dernièrement, Francis Glémet, porte-parole de l'Amies (Association de médecins pour l'environnement et la santé) s'inquiètait des conséquences des dernières conclusions faites lors de la commission de suivi de site de l'incinérateur de Lunel-Viel.

    La commission de suivi de site (CSS) de l'incinérateur de Lunel-Viel s'est déroulée le 29 novembre 2017.

    L'étude descriptive du Registre du cancer laisse pantois. Des surincidences ont été observées entre 5 et 15 km autour de l'incinérateur, des cas de  certaines tumeurs comme les lymphomes, les lymphomes malins non hodgkiniens, les sarcomes des tissus mous, les leucémies... ont été relevés. Les premiers résultats ont été présenté aux experts de l’Amies : le professeur Sultan (pedo-endocrinologue) et Mme Gerber (épidémiologiste). Source : http://www.midilibre.fr/2017/12/11/lunel-vives-inquietudes-apres-les-conclusions-sur-le-suivi-de-l-incinerateur,1601028.php

    Les différents polluants émis par l’incinération se retrouvent dans l’environnement par différentes voies. Une partie de ces substances chimiques est "bioaccumulée", c’est-à-dire qu’elles sont intégrées en l’état par les éléments naturels qui deviennent alors des sources de contamination potentielle pour l’homme et les animaux avec les rejets gazeux et les rejets d’épuration des fumées (REFIOM).

    AURA Environnement http://www.aura-environnement.com/ et son Collectif antispéciste de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/ alertent les pouvoirs publics sur les risques induis par dioxines et furanes dans le lait de vache généralement observés à moins de 3 km autour de ces infâmes incinérateurs où des prélèvements sont la plupart du temps effectués par un organisme de contrôle extérieur et des analyses réalisées par un laboratoire dûment agréé.

    AURA Environnement, qui vient de faire fermer au 31/12/2017 la décharge NICOLLIN à Saint-Romain-en-Gal en allant ester au tribunal administratif de Lyon, ira CONTESTER le futur AP du préfet de l’Aube si celui-ci le signe !

    AURA Environnement a demandé aux commissaires enquêteurs, de dénoncer la non-désignation d’une commission d’enquête régionale du Grand-Est chargée des études épidémiologiques et du devoir d’information des citoyennes et des citoyens qui doivent savoir à quels risques ils seront potentiellement soumis, eux et leurs enfants dans les prochaines décennies puisque le nouveau plan régional sera voté prochainement par la Région Grand-Est !

    Le préfet de l’Aube ne peut pas se substituer à la future décision du conseil régional du Grand-Est qui a désormais la responsabilité d’établir le Plan régional des déchets (PRPGD) pour la grande région.

    Le PRPGD est un outil de planification globale de la prévention et de la gestion de l’ensemble des déchets produits sur le territoire, qu’ils soient ménagers ou issus des activités économiques. Il a pour rôle de mettre en place les conditions d’atteinte des objectifs nationaux de réduction des déchets à la source en priorité, d’amélioration des taux de tri et de valorisation des déchets en second lieu.

    Il joue donc un rôle majeur sur un certain nombre de piliers de l’économie circulaire, replaçant la prévention au cœur du système de valeurs, et favorisant l’amélioration continue du recyclage et des valorisations matière et énergétique.

    De plus, il doit comporter un "plan régional d’action en faveur de l’économie circulaire".

    La région Est, dans sa partie Ouest dispose de grandes capacité d’incinération disposant de vide de fours (Ils ont bien été autorisés à remplacer l’UVE de Strasbourg) : REMIVAL à Reims et AUREADE à La Veuve, L’IUOM du SDED52 à Chaumont (toutes 3 gérées par VEOLIA), soit 282 000 tonnes de capacités annuelles à proximité immédiate de Troyes (sans compter les capacités d’enfouissement). Pourquoi 60 000 tonnes de plus ?

    Il est aberrant, en période de transition énergétique, de LTECV ou de Loi NOTRe, de vouloir faire porter à la collectivité un investissement de plus de 60 millions alors que les outils existants voisins ne sont pas saturés. D’autant qu’ils sont gérés par le même opérateur : VEOLIA. Sa volonté (toute légitime d’ailleurs) sera que pour maintenir un équilibre économique entre ses 4 outils et les nourrir, il faudra du déchets et du déchets ménager non trié (car les fours sont conçus pour ça). Nous verrons même se profiler des guerres de Syndicats de traitement pour que leurs outils soient bien alimentés … a qui cela va-t-il profiter ?

    C’est une situation monopolistique évidente qui ne profitera qu’à l’exploitant VEOLIA.

    Dans la hiérarchie du mode de traitement des déchets, le réemploi et le recyclage vient avant la valorisation énergétique et le stockage. Il est donc nécessaire de respecter la loi ! Prévoir des outils de tri favorisant le réemploi et le recyclage … puis prévoir des outils correctement dimensionnés pour la valo énergétique ou le stockage.

    Pour rappel, la première enquête publique (clôturée le 13 janvier 2018) a été annulée suite à la décision du Conseil d’Etat du 6 décembre 2017.

    Cette décision annule le 1° de l’article 1er du décret du 28 avril 2016 désignant le préfet de Région en qualité d’autorité compétente de l’Etat en matière d’environnement, et ainsi lui permettant de procéder à l’évaluation environnementale de certains projets.  

    L’avis de l’autorité environnementale jointe au dossier de la première enquête publique était donc caduque, entraînant de fait, l’annulation de la procédure.

    • Avis de la MRAe :

    A ce jour, les avis de l’AE doivent être émis par la MRAe (Mission Régionale de l’Autorité Environnementale).

    Les MRAe ont été créées afin de « transférer intégralement la compétence d'autorité environnementale à des formations du CGEDD (formation d'autorité environnementale - Ae - et missions régionales d'autorité environnementale), pour garantir une séparation stricte entre l'autorité environnementale, les maîtres d'ouvrage et les préfets. Son principal but est d'apporter davantage de garanties d'impartialité et d'objectivité pour les avis rendus par l'autorité environnementale»

    Le nouveau dossier d’EP contient un avis de l’AE émis par la MRAe Grand-Est. A la lecture de cet avis, nous pouvons remarquer qu’il est identique à l’avis rédigé par la DREAL en 2017. Seules quelques recommandations et illustrations permettent de les différencier.

    D’autre part, la réglementation prévoit un délai de 2 mois pour que la MRAe rende son avis sur les projets qui lui sont soumis.

    Ce délai est constamment respecté et l’on constate que pour tous les projets soumis à la MRAe, 2 mois pleins s’écoulent entre le dépôt du dossier à la MRAe et la publication de son avis.

    Tous les projets… sauf 1

    « Projet d’exploitation d’une unité de valorisation énergétique à La Chapelle-Saint-Luc (10 / Aube) de la société VALAUBIA (référence : 2018APGE5) Avis sur projet du 1er février 2018 »

    Pour ce dossier, la MRAe a été saisie le 17 janvier 2018.

    Au vu des délais habituellement observées, il est bon de se demander les raisons d’une si grande célérité dans l’avis rendu par la MRAe Grand-Est sur le dossier de Valaubia.

    L’avis a été rendu en 15 jours contre 60 jours habituellement.

    L’impartialité et l’objectivité de la MRAe sur ce dossier est-elle réelle ? Quelles sont les raisons d’une réponse aussi rapide ? les impacts environnementaux ont-ils bien été évalués dans leur ensemble ?

    • Compatibilité avec les plans régionaux

    Le 14 mars 2018, l’association France Nature Environnement a envoyé une lettre ouverte à Nicolas Hulot.

    Depuis la loi NOTRe en 2015, la compétence prévention et de gestion des déchets a été transférée aux Régions. Les travaux sur le plan régional en Grand-Est sont en cours et devraient aboutir à une adoption d’ici fin 2018.

    Un des objectifs de ce plan régional est « la mise en œuvre opérationnelle des ambitions de la loi de transition énergétique ainsi que de la feuille de route économie circulaire qui sera prochainement publiée par l’Etat » avec la fixation d’objectifs de réduction des déchets incinérés à l’horizon 2025.

     Le projet VALAUBIA ne présente pas de conformité au plan régional d’élimination des déchets mais uniquement au plan départemental.

    La réflexion menée actuellement vise « à établir une planification de la gestion des déchets sur 6 et 12 ans, identifiant les actions prévues et à prévoir par les différents acteurs territoriaux pour réduire la production de déchets et augmenter leur recyclage. Ils ont notamment l’obligation de mentionner les installations qu’il convient de créer, adapter ou fermer au regard des objectifs nationaux »

    La création d’une nouvelle unité de traitement va apporter une surcapacité supplémentaire dans une région déjà excédentaire (incinération et stockage).

    Ainsi la demande de FNE semble totalement justifiée et en accord avec la politique de la loi NOTRe et de la loi TECV.

    Au regard de ces enjeux, nous vous demandons de bien vouloir prendre rapidement les mesures nécessaires afin d’imposer un gel sur tous les projets de création ou d’extension d’incinérateurs et de décharges, jusqu’à ce que les futurs plans régionaux de prévention et de gestion des déchets soient réputés approuvés et qu’ils deviennent opposables.

    • Prix du traitement

    Les investissements liés à cette installation, bien que portés totalement par le pétitionnaire, vont augmenter la facture pour le traitement des déchets que l’habitant du Grand Troyes devra payer !

    En effet, d’après le rapport d’activité de 2016 du SDEDA, le prix de traitement du marché avec VEOLIA serait de 108 € /tonne (hors TGAP) !

    D’après ce même rapport, on peut calculer le coût du traitement actuel. Il est d’environ 99 €/t (TGAP comprise).

    La mise en place d’une unité aussi moderne et performante que celle proposée dans cette enquête publique devrait permettre de réduire le coût de traitement des déchets non-valorisables (grâce à la vente de chaleur et d’électricité).

    IL SEMBLE QUE CELA NE SOIT PAS LE CAS !!!

    Quel est donc l’intérêt pour la population de voir s’implanter une telle usine qui augmentera leur facture et qui entrainera nécessairement une pollution supplémentaire de l’air et des sols ?

    Suite aux élections présidentielles et législatives de 2017, où 75% des députés ont été renouvelés, de nombreux anciens ministres ou parlementaires ont rejoint le secteur privé ;

    • François BAROIN intègre la banque Barclays en tant que conseiller du président, tout en conservant son mandat de maire de Troyes et de président de l’AMF.

    Ne va-t-il pas pouvoir favoriser les emprunts toxiques avec son usine à poubelles ?

    Ce projet d’incinérateur de VALAUBIA est multi-nocif :

    - il sera situé à 300 m au Sud-Est des habitations les plus proches.

    - l’établissement recevant du public (ERP) le plus proche est le Parc des Près de Lyon, lui aussi à 300 m.

    - le complexe aquatique municipal AQUALUC qui à l’ambition de répondre à 3 grands objectifs, (comme il le définit lui-même) : le bien-être du baigneur, le développement des pratiques aquatiques, l’offre d’activités ludiques et d’animations pour l’épanouissement des jeunes enfants ne sera qu’à 600 m.

    - le Collège public Albert Camus (Académie de Reims) ne sera qu’à 860 m !!! Qu’en pense le Principal du collège, Philippe GRAULIER ? Les nuages du futur incinérateur de VALAUBIA vont-ils s’arrêter avant la frontière des 859 m de son établissement ?

    Les parcelles concernées par le projet sont exploitées à des fins agricoles. La parcelle d’implantation de ces futures installations s’inscrit dans un environnement urbanisé située à moins de 452 m de la plus proche Zone naturelle d’intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF type 1 n° 210002039 – Aérodrome de Troyes-Barberey).

    L’avis de la MRAe indique que les impacts du projet sur ces enjeux seront « modérés, voire faibles ». Donc, pas inexistants !!!! Idem pour les 1 830 T/An de REFIOM, où on nous sert la même diatribe : - Impact résiduel de ces déchets dangereux sous forme de résidus solides considérés par l’exploitant comme « faible » !!!!

    Enfin, nous avons découvert avec consternation l’enquête réalisée par le quotidien l’Humanité en date du 02/07/2018, intitulée « Nos déchets sont leurs profits ». Sur plusieurs pages, ce dossier nous parle de ce projet d’incinérateur à La Chapelle Saint-Luc avec ce titre : « L’incinération des déchets, une histoire d’enfumage ».

    On peut notamment lire ceci : « Un projet mené dans la plus grande opacité. Quid de l’intérêt général. Certains éléments interrogent sur la nature des tractations : ainsi, l’équipe du SDEDA est dirigée depuis 2005 par un cabinet conseil, LB Collectivités. Rien d’anormal. Sauf qu’un document que s’est procuré l’Humanité montre que ce cabinet, qui élabore le budget du syndicat, a aussi assuré des formations chez Veolia ! Et selon une source, c’est ce même cabinet qui a « analysé les offres des prestataires qui ont conduit au choix de …. Veolia » ! « Force est de constater que ce projet a été mené dans la plus parfaite opacité », déplorent les associations écologistes du département. Marc Bret, conseiller départemental (divers gauche), lui, n’hésite pas à parler de « déni de démocratie » : « L’enquête en cours intervient après le choix du concepteur-gestionnaire de l’incinérateur. Le contrat de DSP avec Veolia a été signé en septembre 2016, après la délivrance du permis de construire… ».

    Mesdames et Messieurs membres du CODERST de l’Aube, nous vous demandons d’émettre un avis négatif et de demander une enquête au préfet de l’Aube sur les observations du journal l’Humanité qui appellent à la plus grande vigilance sur ce projet qui sème le doute dans l’opinion publique.

    Cordialement

    Marc-Claude de PORTEBANE

    Président d’AURA Environnement,

    Porte-parole de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux Porte-parole du Collectif SI-LCSL (Stop Incinérateur La Chapelle Saint-Luc)

    Mail : aura-environnement@laposte.net

    Site : http://www.aura-environnement.com/

  • "Parfums" contre INCINERATEURS #VeoliaTroyes, #TiruCalce, Plu DECHARGES #CovedPaprec @GrangesGontardes #VeoliaOnyx @Chatuz !

    Mise au Parfum N° 1

    AURA Environnement et le CBAIC

    (Comité Basque Anti-Incinérateur de Calce)

    s'opposent au projet de destruction de nos vignobles

    installation gros tuyaux futur réseau chaleur #Perpignan !Calce incinerateur 156

    Le Collectif CBAIC épaulé par AURA Environnement a déjà pris contact avec l'administrateur général directeur du SYDETOM de Toulouges (66) : nous serons vigilants sur les travaux en cours qui transforment nos paysages !

    En effet, le SYDETOM, (Syndicat départemental de transport, de traitement et de valorisation des ordures ménagères et déchets assimilés à l'échelle du département des Pyrénées Orientales, a initié ce projet de transport de ce réseau de chaleur urbain, gigantesque puisque long de pas moins de 11 km !

    Ce projet fantasque dit "territorial de transformation énergétique" devrait servir à fournir en chaleur l'industriel Cémoi, le centre hospitalier de Perpignan, la clinique mutualiste Catalane et les installations de la ville de Perpignan, comme l'espace aquatique Arlette Franco ainsi que les écoles Hélène Boucher et Léon Blum ! C'est Dalkia qui assurera la création de ce réseau de distribution long, lui, de 4 km !

    Calce incinerateur 155Le SYDETOM 66 réalise ce réseau de transport de la chaleur haute température en traversant les communes de Calce (à partir de l'incinérateur à l'architecture archi mégalo et archi bien planqué contre le rocher au lieu-dit Courne dels Tres Pilous), puis de Baixas, Baho, Villeneuve de la Rivière, Saint-Estève avec comme terminus la ville de Perpignan !

    A Torremila, la chaleur haute température transitera par un local d'échange pour alimenter le réseau distribution.

    Cet été, dans le plus grand secret, le comité central d'AURA Environnement a réparti les tâches : le Collectif CBAIC, composé de nombreux vignerons, assurera la surveillance des travaux.....

    Calce incinerateur 159

    Calce incinerateur 164

    ....tandis qu'AURA Environnement assurera le suivi des délibérations du SYDETOM via aussi, ses cellules locales implantées, pas à pas, secrètement, depuis plus de 5 ans !

    D'ores et déjà, AURA Environnement a demandé, confirmation par mail, à Guy LLOBET, le directeur général du SYDETOM, les études épidémiologiques sur les résultats potentiels des risques de cancers dans toute la région jusqu'aux confins de l'Espagne ainsi que les résultats de la CSS (commission de suivi de site). Une demande sera faite au préfet du 66 pour l'intégrer.

    Tous les incinérateurs d'ordures ménagères de France et de Navarre, sont et seront sous notre surveillance maximale, à commencer vers celui de VEOLIA à La Chapelle Saint-Luc (vers Troyes) où nous irons au Tribunal administratif contester le futur arrêté préfectoral qui devrait sortir de terre d'ici la fin de 2018 puisque la réunion du CODERST, avec la présence des "pantins" des associations environnementales départementales, est prévue le 12/09/2018 à 14h30 dans les salons dorés de la préfecture de l'Aube, à Troyes, où les "andouilles" opposantes et populaires soutenues par le Collectif SI-LCSL (Stop Incinérateur La Chapelle Saint-Luc), épaulé par AURA Environnement, en seront totalement exclues !

    Mise au Parfum N° 2

    AURA Environnement + Collectif SI-LCSL

    s'opposent projet Incinérateur VEOLIA

    La Chapelle Saint-Luc @ Troyes !

    Eclair 311Eclair 315En France, le conseil départemental de l’environnement et des risques sanitaires et technologiques (CODERST) est une des « commissions administratives à caractère consultatif » qui est prévue par le code de la santé publique. Il produit des avis, dans les cas prévus par la loi et la réglementation, sur les projets d’actes réglementaires et individuels en matière d’installations classées (ICPE), de déchets, de protection de l'air, etc...

    Mais il ne faut pas se leurrer. Cette commission, c'est juste une parodie de démocratie pour faire bonne mesure aux yeux des citoyens, une "antichambre" qui permettra, plus tard, au préfet du département en question, de signer un futur arrêté préfectoral pour le plus grand profit impérialiste de grands groupes qui, pour la plupart, n'en ont rien à cirer des emplois, et qui, par contre, touchent des dividendes importants et qui maltraitent SURTOUT l'environnement où vivent les masses populaires du peuple de base ou de la classe moyenne qui ont trimé toute leur vie pour s'acheter un lopin de terre pour y construire leur lieu de résidence principale !

    Ca fait des années qu'AURA Environnement dénonce l'inertie caractérisée des associations environnementales à ces CODERST, comme en Bretagne, où nous trouvions anormal qu'elles ne disent ABSOLUMENT rien contre l'extension de ces infâmes porcheries industrielles où les animaux sont parqués honteusement comme dans les camps de concentration de "Datchao" ou saloperies du même nom !

    Partout, les écolos-spécistes d'AURA Environnement dénoncent l'incurie de ces associations environnementales très souvent soutenues et épaulées par FNE mais aussi les lobbys politiques des Régions qui les financent à coup de milliers d'euros, comme c'est le cas de la FRAPNA de la Loire qui reçoit plein de pognon de la Région AURA (Auvergne-Rhône-Alpes) de Lyon, pilotée par le très droitier Laurent WAUQUIEZ qui préfère les assassins des animaux aux petits défenseurs de l'environnement des parcs naturels ou non !

    Mise au Parfum N° 3

    AURA Environnement + Collectif CPERG

    s'opposent modification PLU

    CONTRE Projet N° 1 Les Ganges-Gontardes

    visant SURTOUT installation décharge COVED/PAPREC !

    En plus des incinérateurs, AURA Environnement apporte son soutien aux populations locales qui en ont plus que marre des odeurs insoutenables des odeurs des décharges de SUEZ et compagnie vers Saint-Etienne (42), ou des envols de plastiques immondes sur les pare-brises des automobilistes de l'A49 en provenance des vents mauvais de l'actuelle décharge VEOLIA à Chatuzange-le-Goubet dans la Drôme (AURA Environnement a écrit à AREA, ce gestionnaire de l'A49 soutenu par APRR ainsi qu'au préfet de la Drôme).

    Ambiance et bouche cousue font bon ménage en cousant le débat : ils se taisent toutes et tous !

    Et nous ne vous parlons pas des envols intolérables de plastiques de la décharge COVED/PAPREC à Roussas, du sud de la Drôme, qui veut s'installer - via un PLU fait sur-mesure - dans la commune voisine des Granges-Gontardes où AURA Environnement a massivement mobilisé les populations locales souvent tenues dans l'ignorance, comme l'a reconnu le commissaire enquêteur à l'issue de l'enquête publique sur la modification du PLU !

    Sans la vigilance massive du CERPG (Collectif pour l'Environnement de Roussas-Les Granges-Gontardes), épaulé par AURA Environnement, il y a belle lurette que le nouveau PLU aurait été voté, voire même que l'arrêté préfectoral autorisant cette décharge de Roussas - avec la bénédiction du CODERST 26 -, sur la commune voisine des Granges-Gontardes aurait été accordé à PAPREC/COVED pour son DDAE dit "LCJ3" (La Combe Jaillet 3, qui fait suite à la Combe Jaillet 2 et à la Combe Jaillet 1) !

    Depuis le 01/07/2006, le CODERST a remplacé le CDY (Conseil départementale d'hygiène) qui n'a pas été très souvent très contre tous les projets des installations classées (ICPE) qui s'y pressentaient, parce que dans la vie il faut des c.... au c..... pour dire STOP à certains projets mégalos soutenus par les puissants lobbys qui ne cessent de détruire l'environnement.

    Même Nicolas HULOT en a eu marre. C'est dire la puissance de ces lobbys qui se goinfrent sur le dos de la nature qui a épuisé son stock de réserves naturelles sans que personne ne bronche : le bétonnage des bords de mer continuera parce que le lobby des bétonneurs veut faire couler encore plus de béton, parce que les industriels des poubelles veulent gagner encore plus de pognon sur le dos de leurs chauffeurs ou des populations locales qui n'en peuvent plus de sortir leur poubelle jaune, noire ou verte et qui ne récoltent que les odeurs infernales, comme à proximité de la décharge NICOLLIN, en face de Vienne, à Saint-Romain-en-Gal, que nous sommes allés faire fermer, au tribunal administratif de Lyon !

    Mise au Parfum N° 4

    AURA Environnement + Collectif CDFEC

    Collectif de Défense de l'Environnement à Chatuzange-le-Goubet

    contre extension décharge ONYX-VEOLIA !

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    Les populations locales et les riverains de ces projets immondes sont tenues dans l'ignorance. Ils sont déjà assommé par les taxes locales et l'incurie de leurs élu-es, un dialogue de sourd s'installe, le brouillard brouille le peuple et ses élus qui doit compter sur l'absentéisme d'une partie de son administration comme le mercredi après-midi ou le vendredi après-midi, et voilà, le tour est joué, les projets passent aux CODERST, le peuple est muselé et un beau jour, il se retrouve nez à nez avec une méga décharge de 75 000 T ou un incinérateur aux relents de parfum de DIOR, parce que, on le sait parfaitement bien, une décharge comme celle de COVED à Roussas, ça sent bon ; un incinérateur comme celui de Calce, ça sent le parfum pour le peuple parfumé qui se retrouve parfumé pour le restant de ces jours, jusqu'au jour du dernier de son vivant qui ne vivra peut-être pas plus longtemps que le dernier des Mohicans !

    De Calce vers Perpignan, à La Chapelle Saint-Luc vers Troyes, des Granges-Gontardes vers Montélimar, de Chatuzange Le Goubet vers Romans, nous avons décidé de continuer la mobilisation générale FACE à celles et ceux qui veulent un peu trop nous parfumer pour ne pas dire nous dissoudre dans leurs projets anti-environnementaux à la solde de groupes qui, à l'image de VEOLIA ont été récemment complètement écrasés par le peuple gabonais, où le géant français de l'eau a été exproprié du GABON, manu militari, après un contrat de 20 ans (source, le JDD du 06/05/2018) !

    AURA Environnement épaulé par le Parti communiste Stalinien (PCS) a décidé de passer à l'offensive juridique, en cette seconde partie de 2018, en multipliant les actions aux TA (tribunal administratif) !

    Premier à venir : Grenoble, CONTRE le futur vote du PLU de la commune des Granges-Gontardes visant à l'installation de son projet de décharge PAPREC/COVED au parfumé parfum dit "LCJ3" !

    Comment les services de l'Etat de la Drôme peuvent-ils concevoir une possible extension de l'actuelle décharge COVED/PAPREC sur la commune voisine des Granges-Gontardes alors que l'on ne compte plus les départs d'incendie sur LCJ2 sur la commune actuelle de Roussas, comme ce fut le cas cet été lorsqu'un incendie s'est déclaré le 02/07/2018, comme en témoigne le courrier du préfet de la Drôme, Eric SPITZ, en date du 30/07/2018, alors que l'on nous promet toujours monts et merveilles pendant les réunions des CODERST, par exemple ?

    Incendie coved 2 jpg b 1

    La PRESSE est-elle maintenant aux ordres des préfets puisque ceux-ci répondent à leur place ???

    Nous attendons avec impatience le compte-rendu de ce contrôle extérieur effectué par la société VALDECH.

    Nous n'attendrons pas l'autre réponse du préfet de la Drôme à notre dernier courrier..... jusqu'à la Sainte-Catherine, où, tout arbre prend Racine, en sirotant un verre de Bourgogne à l'ombre des jeunes filles en pleurs, angoissées par manque de leur fromage d'Epoisses, au secours, il y a potentiellement un risque pour la surveillance de nos cieux par les chasseurs de la base de Longvic ! Prière, SVP, de passer sous silence le mur de l'autre son de clôche aux actionnaires de PAPREC et d'ALTAWEST qui se sont associés pour la valorisation énergétique et ces tics, malgré nous !

    Chacune et chacun sait que Jean-Luc PETITHUGUENIN, le PDG de PAPREC Group avait dû avoir dans sa poche Le Canard enchaîné en version papier recyclable, sur les ondes d'Europe 1, le 29/08/2018, en étant l'invité d'Emmanuel DUTEIL pour sa nouvelle émission "L'invité Eco", où on a pu l'entendre dire que "Le gouvernement a un programme ambitieux en matière de recyclage".

    LOL ! Pas sûr que ce genre de "pommade" fasse mieux passer les poids-lourds larguant clandestinement, non pas les tracts d'AURA Environnement, mais des déchets industriels dans une décharge qui pue bien plus que ce si bon fromage d'Epoissses, au Diable l'avarice, nous ne pouvons pas nous passer de ce si bon fromage à base de lait de vache, à pâte molle, à croûte lavée, qui contient 24 % de matière grasse, tout en étant affiné, non pas de Marc de PORTEBANE, mais, bien de marc de Bourgogne !!

    D"autant plus, que, toujours sur Europe 1, après la démission de l'illustre Nicolas HULOT qui ne voyait pas plus loin que ses hublots, Brice HORTEFEUX, a estimé, en ce jour de mardi gras de révélations, au micro de Sonia MABROUK, que le nouveau ministre de la Transition écologique François de RUGY a des "convictions plastiques" !!!!

    Suivez FISSA notre regard !!!!

    ON N'EN VEUT PAS des envols de PLASTIQUES de PAPREC/COVED sur nos vignes des vignobles des Granges-Gontardes, en provenance de l'actu décharge de COVED/PAPREC de Roussas !!§

    ON NE VEUT PAS DU PROJET, des élu-es de la commune des Granges-Gontardes, de DECHARGE COVED/PAPREC !

    Raisins i 14

    Flyer gg raisins de la colere rouge

    Les Granges-Gontardes veulent écouter Europe numéro 1 et le numéro 1 de la contestation matinale : AURA Environnement !

    Avec le soutien de l'INAO et du Syndicat des vignobles AOC de la Vallée du Rhône Grignan-les-Adhémars, nous défendrons nos terroirs CONTRE ce projet de nouvelle décharge intitulé "LCJ3", qui sera situé à 135 m d'altitude sur l'innocente commune des Granges- Gontardes, en bordure de la D 133 à seulement 4,5 km de la sortie "Montélimar-Sud" de l'A7 qui relie Lyon à Nice ! Il y aura une incompatibilité totale entre l'activité touristique vitale et l'image désastreuse d'une future décharge, sans compter l'ancienne occupation Gallo Romaine située sur le Bois des Mattes qui risque de bien intérresser, non pas les affaires culturelles nationales acquises la plupart du temps aux porteurs de projet mais à d'autres structures internationales que nous avons contacté cet été, lorsque les braises journalistiques soufflaient sur l'édition des érudits d'Arles et le Sud de ces Actes, vues de nos mezzanines, nul besoin d'être réglo puisque notre ministre ne l'est, elle-même, pas du tout ! !

    Le secteur du Bois des Mattes est qualifié comme un "noyau d'élite" dans le projet de re-délimitation de l'AOC Grignan-les-Adhémars.

    Le terroir et le travail des vignerons sur ce secteur ont retenu l'attention des experts de l'INAO, ceci confirmé par le président de l'Organisme de Défense et de Gestion des Vignerons de Grignan, qui, par la plume de son président Matthieu ROZEL s'en est plaint au commissaire enquêteur lors de l'enquête publique sur le PLU des Granges-Gontardes qu'AURA Environnement et le CPERG on fait capoter.

    Au moins, nos militant-es du CPERG et d'AURA Environnement n'étaient pas parti-es en vacances en pleine bataille où n'avaient pas "pisser" dans leur froc pour informer SUR LE TERRAIN les populations locales tenues dans l'ignorance pour de très certaines d'entre elles !

    AURA Environnement soutenue par les associations locales appelle à la mobilisation générale.

    Le projet d'extension de la décharge COVED/PAPREC ne passera pas parce que le projet de la commune des Granges-Gontardes, visant, par le vote de son nouveau PLU l'installation du projet de décharge dit 'LCJ3" en ce septembre 2018 sera retoqué et combattu par les populations locales de ce village et des villages environnants qui ne veulent pas d'une deuxième décharge dans le Sud de la Drôme !

    Il y a déjà la décharge de SUEZ à Donzère, c'est largement suffisant parce que là, aussi, les odeurs sont pestilentielles à certains moment de la journée. 2 décharges non loin de l'une de l'autre, c'est une totale aberration. Avant sur Roussas, la décharge actuelle COVED/PAPREC, c'est et ce sera bientôt dans les livres d'histoire de nos écoliers, sur une autre commune quand même un peu plus éloignée en terme de territoire. Entre Donzère et Roussas, il y avait le TAMPON de la commune des Granges-Gontardes.

    Bientôt, il risquera de ne plus y avoir aucune COMMUNE TAMPON entre Donzère et Les Granges-Gontardes avec le projet de décharge dit "LCJ3".

    Le bon sens doit prévaloir au niveau du futur PLU des Granges-Gontardes : autant fermer définitivement bientôt l'actuelle décharge de Roussas et de dispatcher les déchets entre Donzère et le nord de la Drôme, voire sur l'ISDND de Roche La Molière dans la Loire !

    Et que l'on ne vienne pas nous dire que les chauffeurs de COVED/PAPREC ne font pas inutilement des centaines de km pour parcourir, non pas d'autres départements mais carrément d'autres Régions, pour livrer leurs déchets, comme nous en avons la preuve, et ce, en bafouant de plein fouet l'arreté préfectoral du préfet Tartanpion de tel ou tel endroit, dont nous tairons le nom !!. .

    A suivre...

    Marc-Claude de PORTEBANE

  • Projet décharge #Coved #GrangesGontardes (26) : tractage massif #AURAEnvironnement + Agave !

    AURA Environnement a tracté dans tout le village

    des Granges-Gontardes (26)

    pour s'opposer au projet de PLU visant

    à installer le projet de décharge {Coved/Paprec) !

    Conf pres cperg 063

    L'ultra gauche d'AURA Environnement présidée par son président Marc-Claude de PORTEBANE - avec le soutien de l'Agave - a lancé cette semaine un tractage massif auprès des populations locales.

    AURA Environnement (Militant-es tractages) a donc déclenché cette semaine ce tractage, dès 6h du matin, en déployant une dizaine de militant-es antispécistes de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux, notamment https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/

    Nom de code de l'opération : Vol de nuit #Louloumarin.

    Depuis l'offensive sans précédent d'AURA Environnement, en septembre 2017, le PLU (visant à installer la décharge Coved/Paprec) tarde à sortir de terre via un hypothétique ordre du jour du conseil "minicipal".

    En effet, le commissaire-enquêteur a suivi les avis d'AURA Environnement qui n'a eu de cesse d'être présente sur le terrain pendant l'enquête publique sur le projet de PLU, en mobilisant massivement les populations locales qui se disaient n'être au "courant de rien".

    Depuis la conquête totale du territoire par AURA Environnement, les populations locales se sont regroupées au sein d'une association locale "Agave" qui pourra toujours compter sur les forces militantes marxistes unifiées d'AURA Environnement.

    La "frappe" d'AURA Environnement est toute prête pour ester au tribunal administratif de Grenoble si le PLU des Granges-Gontardes vise à installer l'extension de la décharge actuelle de Coved/Paprec sise dans la commune voisine de Roussas.

    D'ailleurs, le préfet de la Drôme, Eric SPITZ, vient de répondre dernièrement et favorablement à AURA Environnement concernant l'attribution de la DSP octroyée par le groupement SIDOMSA - SICTOBA au groupe SUEZ pour la mise en oeuvre d'un centre de tri sur la commune de Lavilledieu, mon Dieu, en Ardèche.

  • AURA Environnement met au parfum #préfet62 odeurs infernales La Bistade #SecheEnvironnement !

    AURA Environnement s'oppose à la décharge

    de la "Bistade" à Sainte-Marie-de-Kerque

    et alerte le préfet du Pas-de-Calais !

    Aa418

     

    Monsieur le Préfet,

    La loi sur la transition énergétique n’est-elle pas claire pour chacun de nous ?

    Les tonnages enfouis en centre d’enfouissement doivent baisser de 50% en 2025 !

    La Région et en particulier les départements du Nord et du Pas de Calais possèdent déjà de grande capacité d’enfouissement telles que celle d’Hersin-Coupigny (la SITA) ou encore Blaringhem (BAUDELET ENVIRONNEMENT) … Pourquoi en créer de nouvelles ???

    Sainte marie i 177

    Rappelons également que :

    • la nouvelle usine du SEVADEC (Calais) va combiner les techniques de pointe en matière de tri et de retraitement, permettant de transformer des déchets résiduels en biogaz injecté dans le réseau de GrDF ou en combustible solide, elle va permettre de faire chuter de manière drastique les déchets qui sont aujourd’hui enfouis, en particulier à la Bistade (ndlr Déclaration de Monsieur Guy Allemand, Président du SEVADEC),
    • L’incinérateur de Saint-Omer (FLAMOVAL – VEOLIA) a obtenu en 2016 la possibilité de recevoir des déchets provenant de la région Nord pas de Calais, soit en dehors des limites du syndicat …

    Comment peut-on justifier une telle aberration ??? Comment l’Etat peut-il cautionner de telles pratiques ???

    Les populations locales seront-elles entendues lorsqu’elles s’alarmaient pendant l’enquête publique sur des sujets vitaux et cruciaux :

    - La surélévation de la décharge devrait entraîner une nouvelle élévation du merlon. A-t-on pensé à l’impact psychologique que cela créera chez les riverains ?

    - A l’endroit du déchargement des camions dans l’alvéole en exploitation, le vent est quasi quotidiennement présent. Or, la pression dynamique du vent à 17 m est d’environ 100kg/m² : à 32 m, elle sera de 120kg/m². L’envol des poussières et des matériaux divers créent des dégâts aux terres agricoles environnantes. On peut donc imaginer sans peine que l’élévation du stockage des déchets aggravera la situation actuelle qui est déjà infernale.

    - Les odeurs pestilentielles se manifestent encore et encore régulièrement. La situation ne pourra que perdurer au détriment des populations locales qui n’en peuvent plus de cette situation qui ne pourra que perdurer au détriment de leur cadre de vie, notamment au regard des problèmes de santé !

    - Le flux de camions et remorques transitant par des routes inadaptées engendrent une insécurité manifeste sur la commune de Sainte-Marie-Kerque. Les populations locales ont constaté que 2 camions ne parviennent pas à se croiser sur certaines portions de route et que les usagers avec voiture individuelle doivent parfois rouler sur le bas-côté lors d’un croisement inévitable, avec l’alternative de se trouver au fossé ou de se faire accrocher, surtout lorsque les terrains sont jonchés d’eau portés par des bourrasques infernales aux vents si mauvais !

    - L’augmentation de capacité de stockage de la décharge sera d’environ 60 %. La charge pondérale au sol augmentera d’autant. L’impact sur l’hydrologie du sous-sol risque d’avoir des conséquences sur un large périmètre déjà malmené par une décharge qui devrait déjà être rayée de la carte rouge du guide Michelin !

    - La prolongation d’exploitation de cette décharge se fera, malgré les ex-déclarations bienveillantes pour apaiser les populations locales sur sa fermeture potentielle, sur environ 15 années supplémentaires à supporter odeurs infernales, nuées de camions, envols divers et avariés ! Sainte-Marie priez pour nous, nous n’en voulons pas de leur funeste décharge !

    - Il s’agit bien d’une décharge à ciel ouvert et le doux euphémisme utilisé par l’entreprise SECHE « Centre d’enfouissement technique », ne changera rien à l’affaire. Les déclarations dans la presse, de portes ouvertes, sont pour les riverains de véritables provocations incessantes et indignes !

    - De nombreux rapports ont relevé les torts supportés par les riverains en validant le sens de l’option de fermeture de cette verrue, de cette décharge qui n’aurait jamais dû voir le jour dans le cœur d’un hameau : Rapport d’expertise en l’état du 15/10/2002, TGI de Saint-Omer, selon l’ordonnance du juge de la mise en état du 09/11/1999 et du 14/11/2000 - Rôle : 98/00471 – Rapport établi par Mr BONNET Pierre, Expert agrée par la cour de cassation, près la Cour d’appel et du Tribunal administratif de Paris (01.45.54.42.00) ; Rapport sur le CET de la Bistade (Sainte-Marie-Kerque- Pas-de-Calais du 20/12/2002). Rapport établi par M. Christian d’ORNELLAS, ingénieur général du génie rural, des Eaux et Forêts et M. Philippe HORTZMAN, ingénieur des mines !

    - Les cancers liés à l’exposition des biogaz se développent sur le très long terme. En effet, le cycle de cancérogenèse, s’il débute immédiatement, ne conduit à l’apparition de symptômes (dépistage clinique effectif) qu’au bout de 20-25 ans, soit bien après la fermeture de la décharge.

    - A lire avec intérêt, le rapport de la DDASS, établi sur des données collectées auprès des médecins généralistes concernant l’impact sur la santé de la décharge de « classe 2 » de La Bistade (Sainte-Marie-Kerque-Pas-de-Calais). Pas de bol que de vivre dans le Pas-de-Calais si les recommandations médicales recommandent aux populations locales malheureusement trop exposées à cette verrue …. Un suivi médico-sanitaire rapproché !!!

    - Quelle qualité de vie à La Bistade pour les générations futures alors que les générations actuelles ont eu à subir une décharge qui a été installée à moins de 200 m de certaines habitations, que cette verrue a été imposée aux riverains, que la justice « Cour d’appel de Douai » a rendu son avis et a confirmé les nuisances dans un périmètre de 2 000 m ???

    - Les oppositions des maires de Saint-PierreBrouck et de Sainte-Marie-Kerque resteront-elles lettre morte ?

    - N’est-ce pas tellement réducteur pour ces EPCI (dont Grand Calais Terres et Mers, la Communauté de communes Pays d’Opale) et la CCRA (Communauté de communes de la région d’Audruicq) ?

    N’est-il pas temps, Mr le préfet du Pas-de-Calais, d’entendre les élu-es et populations locales qui en ont ASSEZ de cette verrue cauchemardesque ?

    Dans l’attente de votre réponse, je vous prie de croire, Mr le préfet à l’expression de mon habituelle considération très distinguée, comme ce fut le cas, lorsque vous êtiez préfet de la Loire, du 11/02/2015 au 17/02/2016.

    Marc-Claude de PORTEBANE

    Président d’AURA Environnement

    http://www.aura-environnement.com

  • Utilisation larves mouche #Hermetiaillucens start-up #NextAlim @Poitiers : assaut des #antispécistes @AuraEnvironnement !

    Pour AURA Environnement

    l’antispécisme est une question de justice :

    Nous demandons à Dreal Poitou

    le DDAE déposé par Nextalim !

    Camarade mouche soldat noireImage : Innovations vertes

    Un DDAE aurait été déposé sous la rubrique 2150, par la société NextAlim sise 2, Avenue Galilée à Chasseneuil du Poitou (86350) qui se dit spécialisée dans l’entomoculture, et qui valorise les parties organiques à partir des larves de la mouche Hermetia illucens, également connue sous la dénomination de Black soldier fly dans le programme intitulé « Cyclaprove ».

    Pour AURA Environnement, l’antispécisme est une question de justice.

    Nous ne saurions tolérer, sans surveillance extrême, à travers les territoires en France, ces centaines d’unités d’élevage qui poussent comme des champignons (souvent sous la forme de start-up) de larves (plus que souvent méprisées ou considérées comme nuisibles) se nourrissant de déchets alimentaires, la plupart du temps invendus de la grande distribution ou de l’agriculture, sans parler des chutes de production de l’agroalimentaire.

    Nous aimerions connaître les avancées de recherche sur cette thématique entre les services de l’Etat, l’université de Poitiers et le CNRS.

    NextAlim élève des larves d’hermetia illucens, cette variété de mouches (protégée par les militant-es du Collectif de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux soutenu par AURA Environnement https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/ ) qui métabolise les déchets végétaux qu’elle transforme en huile et en protéines en les absorbant. La larve croît en moins de dix jours et ne ferait aucun déchets. D’une tonne d’insectes par jour, NextAlim serait en train de passer à 40 tonnes de déchets par jour.

    Nous aimerions également avoir copie de l’ensemble de ce DDAE et nous tenons à rappeler à la DREAL du Poitou que nos demandes de communication de documents administratifs relèvent du droit à l’information en matière environnementale, notamment au regard de l’article L.124-1 du code de l’environnement.

    Les mouches et leurs larves doivent être respectées. Si ce n'est le cas, nous mobiliserons nos militant-es dans des opérations de sensibilisation de l'opinion publique si certains services des Dreal refusent de nous communiquer des informations publiques que le Grand public ne saurait ignorer.

    Ne l'oublions pas, notre ignorance fait leur force.

    K1 (camarade n°1)

  • L'ultra gauche d'AURA Environnement ira au TA contre Projet INCINERATEUR @Troyes

    AURA Environnement soutenue par le PCS

    (Parti communiste Stalinien) a décidé de s'opposer

    au projet incinérateur #Valaubia @Troyes !

    Andouil1 162

    La décision a été prise ce soir par notre comité central.

    Nous n'en voulons pas de leur incinérateur à La Chapelle Saint-Luc ! Le message est clair.

    Nous irons combattre l'arrêté préfectoral de fin d'année 2018, en faveur de Veolia, devant le tribunal administratif.

    Paul TOP

  • Incinérateur IndaClor à Loon-Plage : le projet de ZAD est dans les cartons !

    AURA Environnement réveille les troupes zadistes

    CONTRE projet Indachlor à Loon-Plage !

    Le Commissaire Enquêteur (CE) est un ancien employé du GPMD, lequel fournit le terrain d’implantation du projet … comment ne pas y voir un moyen d’influencer l’analyse éclairée du CE. Ce dernier aurait dû refuser cette enquête. Nous demandons que cette dernière soit annulée et qu’un nouveau CE soit désigné !!!!

    Loon2 069-       Quelle bonne nouvelle pour le projet … une espèce protégée (le crapaud calamite) était présente sur le site et représentait un enjeu fort en 2015 … et bizarrement elle disparait en 2016 et 2017 …. Nous soupçonnons le porteur de projet voir le GPMD d’avoir éradiqué cet amphibien gênant. En outre s’il était présent c’est la preuve que l’habitat est favorable à cette espèce et détruire l’habitat d’une espèce protégée nécessite un dossier de dérogation.

     -       La perte d’espace agricole nécessite des mesures compensatoires …Ces mesures compensatoires sont différentes des mesures compensatoires écologiques prévues au code de l'environnement : il s'agit, d'une part, d’une compensation économique, d'autre part, d'une compensation collective et non pas individuelle. Ces mesures sont, de surcroît, indépendantes de celles concernant la destruction des espaces naturels prévues dans le code de l’environnement (étude d’impact, étude d’incidence de la loi sur l’eau, évaluation des incidences Natura 2000, dérogation espèce protégée) et le code forestier (boisement compensateur). Toutefois, une double compensation écologique et économique n’est pas à exclure sur certains écosystèmes affectés à l’activité agricole (prairies ou zones humides). Le dispositif s'applique aux projets pour lesquels l'étude d'impact a été transmise à l'autorité environnementale à compter du 1er décembre 2016.

    -       L’avis de l’autorité environnementale (AE) est trompé par le porteur du projet … en effet ce dernier prévoit un trafic maximum qui est lié à la mise en œuvre hypothétique d’un développement de trafic ferroviaire …. L’étude d’impact doit être établie sur les conditions les plus défavorables et donc sur des apports complets par la route … est-ce le cas ??? Nous ne le croyons pas !

    -       L’AE précise que « L’interprétation de l’état des milieux met en évidence une vulnérabilité « possible » liée aux concentrations relevées en arsenic et manganèse » … que signifie possible quand on peut l’éviter ?

    Cela s’appelle un risque inutile !!!!

    -       PIRE : « les modélisations de l’impact sanitaire attribuables aux seules émissions estimés de l’entreprise Indachlor concluent à un risque acceptable » …. Mais c’est le cumul de l’ensemble qu’il faut étudier … c’est la notion d’impact cumulé … le B.A ba des études d’impact. Evidemment que prisent 1 par 1 les industries du GPMD sont presque inoffensives mais ensemble c’est une bombe à retardement …

    -       L’INERIS a qualifiée l’étude des risques initiale proposée par le porteur de projet en disant qu’elle n’était pas prudente …. Il y a déjà eu des accidents graves chez INDAVER à Anvers et l’étude proposée (postérieurement à ces accidents) est jugée « non prudente » par une tierce expertise !!!

    C’est trop … le GPMD ne peut prendre le risque d’aller plus loin avec cet industriel.

  • Rapport Comission enquête publique Incinérateur Valaubia : Avis favorable + 2 maigrelettes réserves !

    Le collectif SI-LCSL vous le donne dans le 1 000 :

    Rapport favorable Commission enquête publique

    projet incinérateur La Chapelle Saint-Luc !

    Notre pétition + de 19 000 Signatures :

      https://www.mesopinions.com/petition/animaux/stop-projet-incinerateur-poubelles-veolia-troyes/41915

    Incinerateur 10a 015

    L'info n'est pas encore dispo sur le site de la préfecture de l'Aube, mais le collectif SI-LCSL (Stop incinérateur La Chappelle Saint-Luc) épaulé par AURA Environnement vous donne l'info en prime time.

    2 maigrelettes réserves ont été émises par la commission de l'enquête publique :

    - Création d'une CSS (commission suivi de site)

    - Continuer la politique du Tri sélectif.

    C'est tout.

    Cela reflète-t-il vraiment les réalités de l'enquête publique où de nombreux citoyens ont exprimé leur désaccord ?

    Nous attendons l'arrêté préfectoral qui devrait arriver fin décembre 2017 pour le contester via un potentiel recours au tribunal administratif.

    Le Peuple ne veut pas d'incinérateur autour de Troyes !

  • Décharge #LelyEnvironnement Saint-Quentin/Isère : le Collectif SD-SQI ne lâchera rien !

    Avant la tenue de la CSS 2018 préfecture Grenoble :

    le collectif SD-SQI écrit au préfet de l'Isère

    et planifie de nombreuses actions pour 2018 !Sdsqi izo 047

    Le Collectif des riverains Stop Décharge- Saint-Quentin-sur-Isère (SD-SQI) soutenu par les antispécistes et écolos-marxistes d'AURA Environnement s'est réuni fin avril 2018, sous la houlette de Marc-Claude de PORTEBANE, pour décider des actions 2018 afin de bien surveiller la décharge de Lély Environnement située au lieu-dit "L'Echaillon".

    RAR au préfet de l'Isère :

    Dans la lettre en RAR adressée au préfet de l'Isère, nous lui avons dit ce que nous avons décidé collectivement :

    1. Le SD-SQI a voté à l’unanimité ses représentants à la prochaine CSS de 2018 et pour les années suivantes : Titulaire : Marc-Claude de PORTEBANE, Suppléante : Elisabeth BOUTEAU, Suppléante-adjointe en cas d’absence de la camarade suppléante : Valérie NAON.
    2. Le SD-SQI désire effectuer une visite annuelle du site de Lély Environnement, et ce, au moins un mois avant la réunion de la CSS, et ce, en présence du maire et du représentant, élu, à la commission environnement de la commune de Saint-Quentin-sur-Isère.
    3. Le SD-SQI a voté à l’unanimité ses représentants à la commission communale « Environnement » qui doit ABSOLUMENT se tenir en mairie : Titulaire : Marc-Claude de PORTEBANE, Suppléante : Elisabeth BOUTEAU, Suppléant-adjoint : Dominique BOUTEAU.
    4. Le SD-SQI demande à la préfecture de l’Isère que nous soient communiqués les informations sur les éléments suivants conformes aux dispositions de l'arrêté ministériel du 15/02/2016, et ce, sans avoir à saisir la CADA :

    - la mise en place de barrières passive et active en fond des nouveaux casiers,

    - la mise en place d'une couche de renforcement sous les barrières active et passive afin de protéger ces barrières de l'effet de tassements,

    - la collecte et la valorisation du biogaz (des casiers inférieurs et supérieurs) sur site,

    - la collecte des eaux de ruissellement interne à la zone de stockage dans une série de bassins puis rejet par bâchée (un contrôle du pH et de la conductivité est prévu avant chaque bâchée, complété par une mesure annuelle de l'ensemble des paramètres réglementés),

    - la poursuite de la surveillance des eaux souterraines au droit du site,

    - la mise en place d'un suivi des tassements, conformément à l’arrêté préfectoral.

    1. En ce qui concerne les mâchefers, Le SD-SQI aimerait avoir des précisions annuelles sur leurs conditions de stockage. Tout comme, il nous paraît indispensable d’avoir communication des services de l’Etat sur :

    - Le taux de présence de métaux lourds dans les essais de la lixiviation règlementaire.

    - Le plan de gestion des lots de mâchefers.

    - Le registre tenu par l'exploitant LELY Environnement à la disposition de l'inspecteur des installations classées (origine, date d'arrivée, localisation des mâchefers).

          6-   Avant chaque CSS, le SD-SQI demande que lui soit envoyé – en même temps que la mairie – et en 2 exemplaires (1 pour le président, 1 pour la secrétaire) -, le rapport annuel complet et réglementaire que doit remettre l’exploitant LELY ENVIRONNEMENT aux services de l’Etat...

    RAR au MAIRE de Saint-Quentin-sur-Isère :

    Comme nous l’avons indiqué à la Mission de coordination interministérielle de la préfecture de l’Isère dans notre dernier courrier en RAR, nous aimerions que la réunion de cette Commission environnement 2018 se tienne avant la CSS prévue cet été en préfecture de l’Isère.....

    .....Ce qui nous intéresse, dans cette future réunion de cette Commission environnement communale, c’est d’aborder chaque année, le sujet relatif à l’ISDND de LELY Environnement et d’en faire un rapport annuel de présentation à la CSS annuelle aux représentants de l’Etat et de l’exploitant.

    En aucun cas, notre collectif SD-SQI n’acceptera que cette Commission environnement communale ne se tienne pas rigoureusement chaque année et que les populations locales ne soient pas correctement informées..

  • François BAROIN, maire #Troyes CONTRE projet incinérateur Valaubia/Véolia !

    Le schema régional n'est pas encore mis en place :

    On n'impose pas un projet à une commune

    qui ne le souhaite pas !!!

    Le projet d'incinérateur dans l'agglomération troyenne divise au sein même de la classe politique. La Chapelle Saint-Luc, où doit être installée l'usine, a voté contre.

    Pour le maire (LR) de Troyes et président de l'agglo, François Baroin, un moratoire est sans doute nécessaire.

    https://www.youtube.com/watch?v=Ogj0TiLuYTo

  • + 18 000 Signatures : PETITION : STOP projet potentiel Usine SEVESO ex-site #Seita #Altadis #ImpérialTobacco : Sauvons chevaux @Riom

    LIEN PETITION : https://www.mesopinions.com/petition/animaux/stop-projet-potentiel-usine-seveso-site/42693

    STOP projet potentiel Usine SEVESO ex-site #Seita #Altadis #ImpérialTobacco : Sauvons chevaux @Riom !

    PETITION internet : 18 382 Signatures  --- 379 Commentaires

    Chevos 015Auteur : Marc-Claude de PORTEBANE - Président d’Aura Environnement, Porte-parole Collectifs CRIRA (Collectif Riverains contre Revalorisation ex-site ALTADIS) & Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux.

    Créé le 26/04/2018  

    À l'attention : Mr Pdt République E. MACRON, Mr ministre Ecologie N. HULOT, Mr Ian NAPIER président Imperial Brands, Mr Juan ARRIZABALAGA président Altadis

    AURA Environnement a décidé d'épauler le collectif CRIRA (Collectif Riverains contre Revalorisation ex-site ALTADIS) contre un projet potentiel de reprise du site de la Seita/Altadis/Impérial Tobacco à Riom qui vient déjà de "mettre sur le carreau" 239 de nos camarades-salariés puisque l'unité de production a délocalisé en Pologne, au nez et à la barbe des élu-es locaux. Au secours ! A l'aide le Cantal !

    Une élue de la Communauté de communes Riom Limagne et Volcans (qui tient à garder l’anonymat), nous a confirmé la rumeur de construction d’un potentiel futur site chimique SEVESO - seuil bas – sur ce site de Riom (Nord de Clermont-Ferrand, 1ère « Ville apprenante » de l’UNESCO).

    Sitôt l'info confirmée à bas mot, un collectif s'est immédiatement mis en place pour défendre humains et animaux : le CRIRA (Collectif Riverains contre Revalorisation ex-site ALTADIS) épaulé par les antispécistes d’AURA Environnement.

    Ce projet SECRET de potentielle Usine SEVESO serait soutenu par la Région Auvergne-Rhône-Alpes dirigée par Laurent WAUQUIEZ et la communauté de communes Riom Limagne et Volcans, voire la commune de Riom.

    Puisqu’il n’y a pas de concertation publique sur la reprise de ce site, nous avons pris contact avec Sébastien DEPIERRE (Altadis) qui a été peu disert sauf pour nous dire que le site sera complètement démantelé avant fin septembre 2018 ; le consultant, le cabinet ONEIDA à Paris (Mr PARNET) qui se retranche derrière un "comité de suivi" et des articles de presse dont nous ne voyons trace pour trouver un projet industriel sur ce site d’Altadis ; le cabinet du maire de Riom (Mr BIANCHI)  qui nous a dit que si un tel projet devait voir le jour, il faudrait qu'il soit au diapason avec le SCOT, le PLU, l'Ademe ; la direction du développement économique de la Région Auvergne-Rhône-Alpes ; les services de l'Etat en Auvergne dont l'UT Dreal 63 et d'autres élu-es.

    En plus de nous enfumer, de délocaliser notre main d'oeuvre à l'étranger, Imperial Brands n'a qu'à autoriser des usines SEVESO, même de type seuil bas, devant les pavillons de ses actionnaires british ou espagnols comme ceux de sa filiale Altadis (ALliance TAbac DIStribution Altadis, une multinationale du secteur du tabac et de la distribution, née de la fusion en 1999 entre la Seita française et l'espagnol Tabacalera et rachetée en 2008 par Imperial Tobacco) !

    De nombreux chevaux sont en pâturage non loin de ce potentiel projet de site SEVESO, notamment sur un domaine de plus de 10ha, avec un manège couvert de 40x25m, un manège poneys, une carrière olympique et une piste circulaire de galop de 800m. Chaque année se déroulent des épreuves de très haut niveau dont un concours hippique international. La Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux (49 000 Like sur Facebook) ne restera pas les bras croisés ! https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/

    De nombreux toutous et minous partagent les petits jardins des maisons des communes voisines comme Ménétrol. http://www.aura-environnement.com/blog/stop-projet-potentiel-usine-seveso-ex-site-seita-altadis-imperialtobacco-sauvons-chevaux-riom/stop-projet-potentiel-usine-seveso-ex-site-seita-altadis-imperialtobacco-sauvons-chevaux-riom.html

    Défense de l'environnement et de la qualité de vie des habitant-es et des animaux : OUI ! Potentielle Usine SEVESO même seuil bas sur l’ex-site de la SEITA à Riom : NON ! Restons vigilants, Camarades défenseurs de la cause du Peuple ! Mobilisons-nous, Camarades de la cause animale CONTRE ce projet potentiel d’usine SEVESO ! A défaut d’avoir perdu nos emplois, nous ne braderons certainement pas l’environnement de la région Auvergne-Rhône-Alpes !

    Nous, signataires de cette pétition internationale, puisque la société Altadis Distribution (filiale d’Imperial Tabasco) ne veut pas nous dire la vérité, nous exprimons notre réprobation aux actionnaires de la maison-mère Imperial Brands.

    Nous voulons la VERITE et nous irons défendre les animaux et les humains à Madrid chez Altadis et chez Imperial Brands à Bristol en Angleterre.

    Marc-Claude de PORTEBANE

    Président d’AURA Environnement
    http://www.aura-environnement.com/
    Porte-parole du CRIRA
    Porte-parole de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux
    https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/

  • Projet incinérateur #Valaubia : l'Est Eclair évoque la mobilisation qui gronde avec le collectif SI-LCSL !

    Tractages massifs, réunions chez les habitants, Buzz de la pétition internet ....

    Le collectif SI-LCSL (Stop Incinérateur La Chapelle Saint-Luc)

    est devenu le 1er interlocuteur des opposants aux projet

    d'incinérateur de poubelles dans la banlieue de Troyes

    en moins de 3 semaines !

    Eclair 305Marc-Claude de PORTEBANE soulève les populations locales.....

    Eclair 309......lassées d'être tenues dans l'ignorance et l'obscurantisme........

    Eclair 312

      .... Le collectif écolo-marxiste SI- LCSL ira jusqua'au bout de la contestation....

    Eclair 313 ......avec le soutien massif des masses populaires !

    Eclair 314

    .... Réunions chez nos camarades riverains et populations locales :

    nous devons continuer la lutte implacable CONTRE la Réaktion

    pendant et après l'enquête publique !Eclair 241

     

     

  • + de 19 000 signatures Pétition : AURA Environnement 1° Force contre incinérateur #Valaubia @Troyes !

    L'ultra gauche d'AURA Environnement

    est la 1° FORCE d'opposition au projet

    d'incinérateur porté par le SDEDA et VEOLIA !

    19 205 Signatures  --- 380 Commentaires

    Andouil1 158

     

    LIEN pétition : https://www.mesopinions.com/petition/animaux/stop-projet-incinerateur-poubelles-veolia-troyes/41915I

    AURA Environnement a mobilisé plus de 100 militant-es pour venir au secours des Collectifs SI-LCSL (Stop Incinérateur La Chapelle-Saint-Luc) et de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux.

    Le résultat s'amorce satisfaisant, puisque notre pétition est la plus forte jamais lancée sur l'Aube contre le projet porté par Veolia à La Chapelle Saint-Luc dans l'Aube, près de Troyes.

    Alors que nos opposants tablaient sur moins de 1 000 signatures, AURA Environnement, grâce à son travail de fourmi auprès des masses populaires - et non de la boboïste-petite-bourgeoisie -, mobilise grâce à sa vision marxiste d'opposition à Veolia.

    Nombreux sont nos camarades antispécistes ou non qui se rangent sous notre bannière.

    Ceux qui nous méprisent ont compris que la Révolte révolutionnaire trouvera son issue, non pas pendant leur pseudo enquête "publique" où ils nous prennent en - otage -, mais, après les sinueux parcours procéduriaux.

    Ils nous prennent pour des "brèles". Nous avons le soutien des masses. Pas eux. Et surtout pas les stagnants du SDEDA !

    RESISTONS avec notre SEULE arme :  la Résistance populaire !

    SOYONS SOUDE-ES et RESTONS MOBILISES !

    Marc-Claude de PORTEBANE

  • PETITION : STOP projet Incinérateur poubelles #Veolia @Troyes. ZERO cancers pour nos Toutous Parc des prés de Lyon à La Chapelle-Saint-Luc !

    19 029 Signatures  --- 375 Commentaires

    STOP projet incinérateur poubelles

    #Veolia vers @Troyes Mr BAROIN !

    ZERO cancers pour nos Toutous

    Parc des prés de Lyon à La Chapelle-Saint-Luc !

    Andouil1 181

    Lien pétition : https://www.mesopinions.com/petition/animaux/stop-projet-incinerateur-poubelles-veolia-troyes/41915

    A l'attention de Mr ministre Écologie Nicolas HULOT, Mr préfet de région Grand-Est Jean-Luc MARX, M. élu-es Conseil régional Grand-Est, Mr préfet Aube Thierry MOSIMANN, Mr dépité François BAROIN

    Alors que la Région Grand-Est, est en train d’élaborer son plan régional de prévention et de gestion des déchets (PRPGD), VEOLIA profite de la période actuelle pour créer un incinérateur à La Chapelle-Saint-Luc aux portes de Troyes avec l’aide des élu-es du SDEDA (Syndicat Départemental d’Élimination des Déchets de l’Aube) et des politicards locaux pour nous imposer « une solution » dite d'élimination des poubelles par incinération avec production d'électricité et de vapeur in situ, sans…. valorisation matière ultime et sans stockage de l'énergie produite !

    Notre camarade, le dépité Grégory BESSON-MOREAU (1ère circonscription de l’Aube) marche-t-il à reculons avec l’un de nos camarades : « J'ai lu avec attention vos différents échanges. Vous comprendrez que mes responsabilités de député m'imposent de respecter toutes procédures en cours, d'être exemplaire et de ne pas interférer dans ce type de dossier. » ? En marche, n’hésitez pas à lui écrire J Gregory.Besson-Moreau@assemblee-nationale.fr

    La DSP (Délégation de Service Public) à Veolia pour 25 ans de ce projet d’incinérateur Valaubia (plus proprement dénommé UVE pour ne pas effaroucher les populations locales) de 60 000 T de déchets/an – soit 160T/Jour), (Financement probable entre 50 et 60 M€) sur la commune de La Chapelle-Saint-Luc est une totale aberration, car elle va à l’encontre du moratoire de l’Europe et de loi de TECV. Le projet VALAUBIA ne présente pas de conformité au plan régional d’élimination des déchets mais uniquement au plan départemental.

    Agissons aujourd’hui pour ne pas le regretter pendant 25 ans !

    Les collectifs SI-LCSL (Stop Incinérateur La Chapelle-Saint-Luc) et de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux soutenus par AURA Environnement ont déclenché l’opération : « LES RAISONS NOIRES DE LA COLERE » en s’opposant à ce projet d’incinérateur à poubelles porté par Valaubia/Veolia à La Chapelle-Saint-Luc aux portes de Troyes http://www.lest-eclair.fr/62842/article/2018-03-27/incinerateur-il-veut-monter-une-zad-la-chapelle-saint-luc

    Refusons la construction de cet incinérateur qui fait peser un double risque :
     Celui d’interdire toute politique de réduction afin de nourrir l’incinérateur.
     Celui de voir augmenter la fiscalité locale compte tenu de tous les rapports qui invitent aujourd’hui à pénaliser ce mode de traitement !!!

    Les investissements liés à cette installation, bien que portés totalement par VEOLIA, vont augmenter la facture pour le traitement des déchets que l’habitant du Grand Troyes devra payer ! En effet, d’après le rapport d’activité de 2016 du SDEDA, le prix de traitement du marché avec VEOLIA serait de 108 € /tonne (hors TGAP) ! D’après ce même rapport, on peut calculer le coût du traitement actuel. Il est d’environ 99 €/t (TGAP comprise).

    La mise en place de ce projet d’incinérateur (cheminée de 42 m de haut, superficie terrain : 49 137 m², hauteur construction : 34,40 m) dans cette actuelle enquête publique devrait permettre de réduire le coût de traitement des déchets non-valorisables (grâce à la vente de chaleur et d’électricité). IL SEMBLE QUE CELA NE SOIT PAS LE CAS ! La région Est, dans sa partie Ouest dispose de grandes capacités d’incinération disposant de vides de four (Ils ont bien été autorisés à remplacer l’UVE de Strasbourg) : REMIVAL à Reims et AUREADE à La Veuve (51), L’IUOM du SDED52 à Chaumont (toutes 3 gérées par Veolia), soit 282 000 tonnes de capacités annuelles à proximité immédiate de Troyes (sans compter les capacités d’enfouissement).

    NOUS NE SOMMES PAS LES ANDOUILLES DE TROYES ! NOUS VOULONS PLUS DE CONCERTATION !

    Selon l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME), la réduction des ordures ménagères résiduelles ne dispense pas de prévoir des capacités de traitement en optimisant les unités existantes ou en planifiant les investissements nouveaux nécessaires. Pourquoi 60 000 tonnes de plus ? Il est aberrant, en période de transition énergétique, de LTECV ou de Loi Notre, de vouloir faire porter à la collectivité un investissement de plus de 60 millions alors que les outils existants voisins ne sont pas saturés. D’autant qu’ils sont gérés par le même opérateur : VEOLIA ! Sa volonté sera que pour maintenir un équilibre économique entre ses 4 outils et les nourrir, il faudra des déchets et encore des déchets ménagers non-triés (car les fours sont conçus pour ça). Et vous verrez dans les prochaines années, nous observerons même se profiler de futures guerres intestines de Syndicats de traitement pour que leurs outils soient bien alimentés … à qui cela va-t-il profiter ???

    C’est une situation monopolistique évidente qui ne profitera qu’à l’exploitant VEOLIA !!! Dans la hiérarchie du mode de traitement des déchets, le réemploi et le recyclage vient avant la valorisation énergétique et le stockage. Il est donc nécessaire de respecter la loi ! Prévoir des outils de tri favorisant le réemploi et le recyclage … puis prévoir des outils correctement dimensionnés pour la valorisation énergétique ou le stockage puisque, ailleurs, en France, aucune autre demande n’est faite pour de l’incinération. Il n’ya qu’à Troyes que l’on voit une telle demande ! Il est à noter qu’une partie très importante de matières recyclables dont des plastiques dont on ne sait plus que faire va être incinérée en dégageant du Co2 alors que cela est contraire à la hiérarchie de traitement des déchets définie par l’Union européenne. Les émissions de dioxines et de furanes ne sont pas à négliger d’autant plus que métaux lourds (Cadmium, plomb, mercure), dioxyde de souffre et d’azote risquent de terminer dans les poumons de nos toutous et camarades de cette agglomération troyenne !

    Quelles répercussions sur la santé de nos toutous et autres animaux qui gambadent dans les jardins publics de la région de Troyes, les populations locales des quartiers populaires, les acteurs économiques comme les vignobles environnants ?

    Dernièrement, Francis GLEMET, porte-parole de l'Amies (Association de médecins pour l'environnement et la santé) s'inquiétait des conséquences des dernières conclusions faites lors de la commission de suivi de site de l'incinérateur de Lunel-Viel. La commission de suivi de site (CSS) de l'incinérateur de Lunel-Viel s'est déroulée le 29/11/2017.

    L'étude descriptive du Registre du cancer laisse pantois. HALTE AUX CANCERS ! LA COMMISSION EUROPEENNE A EMIS UN AVIS DEFAVORABLE A TOUT NOUVEAU PROJET D’INCINERATEUR !

    Des surincidences ont été observées entre 5 et 15 km autour de l'incinérateur, des cas de certaines tumeurs comme les lymphomes, les lymphomes malins non hodgkiniens, les sarcomes des tissus mous, les leucémies... ont été relevés. Les premiers résultats ont été présenté aux experts de l’Amies : le professeur SULTAN (pedo-endocrinologue) et Mme GERBER (épidémiologiste). Source : http://www.midilibre.fr/2017/12/11/lunel-vives-inquietudes-apres-les-conclusions-sur-le-suivi-de-l-incinerateur,1601028.php Les différents polluants émis par l’incinération se retrouvent dans l’environnement par différentes voies. Une partie de ces substances chimiques est "bioaccumulée", c’est-à-dire qu’elles sont intégrées en l’état par les éléments naturels qui deviennent alors des sources de contamination potentielle pour l’homme et les animaux avec les rejets gazeux et les rejets d’épuration des fumées (REFIOM). Le journal Le Monde vient de sonner l’alerte : « Pour ceux qui doutent encore de l’urgence à lutter contre la pollution de l’air…http://www.lemonde.fr/pollution/article/2018/04/05/la-pollution-de-l-air-aurait-aussi-des-effets-sur-le-developpement-du-cerveau-des-enfants_5281222_1652666.html  

    PAS QUESTION de laisser nos TOUTOUS, HERISSONS d’EUROPE, LEZARDS des MURAILLES  en DANGER !!!

    Les animaux ont des droits et les camarades antispécistes du Collectif SI-LCSL soutenus par AURA Environnement les feront pleinement respecter dans la région de Troyes (notamment le hérisson d’Europe ou le lézard des murailles…) http://www.aura-environnement.com/ Le premier code juridique de l’animal vient de voir dernièrement le jour en France. Cet ouvrage unique, qui rassemble toutes les législations en vigueur concernant les animaux, servira aux magistrats, procureurs, avocats ou encore aux vétérinaires, enseignants, étudiants du Grand Est et, notamment de Barberey-Saint-Sulpice, de Lavau, des Noës-près-Troyes, de Montgueux, de Sainte-Maure, de Sainte-Savine, de Torvilliers et deTroyes qui pourront toujours compter sur le Collectif SI-LCSL épaulé par AURA Environnement ! https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/

    NOUS, signataires de cette pétition internationale, défenseurs de la Cause du peuple, Nous demandons que le document de Délégation de Service Public nous soit transmis dans son intégralité, y compris les formules de révision des tarifications. Nous demandons que les adhérents du syndicat des vignerons de MONTGUEUX agissent in solidum avec AURA Environnement pour défendre l’image du Champagne..

    NOUS, signataires de cette pétition internationale, défenseurs des services publics MAIS très pénalisé-es par les grèves SNCF de ce printemps 2018, en ne pouvant venir déposer sur le registre en mairie de La Chapelle-Saint-Luc et rencontrer le commissaire enquêteur Roger KISTER, Nous vous invitons à participer à cette nouvelle enquête publique du lundi 26 mars 2018 au vendredi 27 avril 2018, par mail - puisque nous n’avons pas d’autre choix - ( Merci de le préciser aussi en copie, au tribunal administratif greffe.ta-chalons-en-champagne@juradm.fr ), en adressant MASSIVEMENT notre pétition + vos observations sur la cuvée « Incinérateur Valaubia » à pref-enquetepublique-valaubia@aube.gouv.fr

    NOUS, signataires de cette pétition internationale, défenseurs acharné-es des animaux, Nous invitons nos camarades antispécistes ou simples militant-es de la Protection Animale, de TOUTE  l’Europe, à nous soutenir massivement en convergeant dans la région de Troyes pour des actions citoyennes non-violentes d’information et de sensibilisation des populations locales ; en apportant leur contribution dans cette 2° enquête publique ; en se mobilisant pour la création d’une potentielle ZAD (Zone A Défendre). CONTACT : aura-environnement@protonmail.com

    Puisqu’ils n’ont pas voulu nous laisser entrer avec notre pancarte en carton Bio lors de leur parodie de « réunion publique » au centre culturel « Didier BIENAIME » de La Chapelle-Saint-Luc (26/03/2018), puisque le commissaire enquêteur a refusé de montrer son visage au sympa photographe de la presse locale, nous vous remercions de signer massivement, à visage découvert, cette pétition internationale, de bien la partager autour de vous et de bien valider votre signature…. PUBLIQUE !

     « Ceux qui luttent ne sont pas sûr de gagner, mais ceux qui ne luttent pas ont déjà perdu » ! Berthold BRECHT.

    Marc-Claude de PORTEBANE -

    Président d’Aura Environnement

    Porte-parole du Collectif SI-LCSL (Stop Incinérateur La Chapelle-Saint-Luc)

    Porte-parole du Collectif de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux.

  • Enquête publique STOP Incinérateur VALAUBIA-VEOLIA #Troyes : Collectif SI-LCSL déclenche "Les raisons noires de la colère" !

    Le Collectif SI-LCSL (Stop Incinérateur La Chapelle-Saint-Luc)

    soutenu par les écolos-marxistes d'AURA Environnement

    déclenche l’opération : « LES RAISONS NOIRES DE LA COLERE » !

    Incinerateur 10a 125

    Article de l'Est Eclair (édition de Troyes) http://www.lest-eclair.fr/62842/article/2018-03-27/incinerateur-il-veut-monter-une-zad-la-chapelle-saint-luc

    Comme le relate fort justement le quotidien de l'Aube "L'Est Eclair" du 23/03/2018, le Collectif SI-LCSL (Stop Incinérateur La Chapelle-Saint-Luc) s'est invité dans le débat de la 2° enquête publique relative au projet d'incinérateur porté par VALAUBIA/VEOLIA à La Chapelle Saint-Luc et porté par le SDEDA de Troyes (établissement public pour le traitement des déchets, le tri des emballages et des papiers, le compostage des déchets verts et la valorisation des déchets de l'Aube) qui ne trouve rien de mieux que de faire installer un projet d'incinérateur non-loin d'habitations où résident nos camarades précaires au RAS, ouvrièr-es, salarié-es, petits commerçants, petits-fonctionnaires ou petits retraité-es qui, le dimanche après-midi, n'ont souvent d'autre choix que de se promener avec leurs toutous et leurs petits enfants dans le magnifique marécageux parc des Près de Lyon (11ha), bientôt si près de toucher le fond de l'incinération avec 60 000 T de poubelles nauséabondes qui déferleront chaque année pendant 25 ans, si jamais la riposte populaire venait à tarder !

    Il n'est pas question de coller un incinérateur dans la toute proche banlieue de Troyes aux masses populaires qui ne sont pas vraiment au courant de ce projet, sinon, elles se seraient manifestées lors de la réunion publique au centre culturel "Didier Bienaimé" de La Chapelle Saint-Luc.

    le Collectif SI-LCSL (Stop Incinérateur La Chapelle-Saint-Luc) invite les masses populaires à manifester leur opposition à ce projet d'incinérateur en exprimant massivement leur mécontentement sur le registre de l'enquête publique, en prenant appui sur nos premières observations : 

    NOUS N’AURONS pas D’AUTRE CHOIX qu’une ZAD

    ANTI-INCINERATEUR à LA CHAPELLE SAINT-LUC !

    Ce 26 mars 2018 s’ouvre la seconde enquête publique sur le projet d’incinérateur du SDEDA – VALAUBIA dont l'exploitation a été confiée à VEOLIA.

    Une grande victoire – celle de l’annulation de la 1ère enquête publique - pour tous les opposant-es qui s’étaient manifestés contre ce projet minable d’incinérateur, DONT le Collectif SI-LCSL (Stop Incinérateur La Chapelle-Saint-Luc) soutenu par AURA Environnement. http://www.aura-environnement.com/blog/collectif-si-lcsl-stop-incinerateur-la-chapelle-saint-luc/annulation-de-l-enquete-publique-incinerateur-la-chapelle-saint-luc.html

    Alors que nos camarades de ZERO WASTE France n’avaient pas encore apporté la moindre contribution à J-5 de la fin de cette 1ère enquête publique (EP), le Collectif SI-LCSL mouillait, lui, sa chemise et sonnait la sonnette d’alarme et la sonne à nouveau, une 2° fois, sur les risques liés aux cancers en attirant l’attention des commissaires enquêteurs et des pouvoirs publics qui ne sauraient ignorer ces terribles constats :

    HALTE AUX CANCERS ! LA COMMISSION EUROPEENNE A EMIS UN AVIS DEFAVORABLE A TOUT NOUVEAU PROJET D’INCINERATEUR !

    AURA Environnement est opposé à ce projet cynique d’incinérateur et le combattra au tribunal administratif (TA) avec le soutien du Collectif SI-LCSL (Stop Incinérateur La Chapelle Saint-Luc) !

    La DSP (Délégation de Service Public) à Veolia pour 25 ans de ce projet d’incinérateur Valaubia (plus proprement dénommé UVE pour ne pas effaroucher les populations locales) de 60 000 T de déchets/an – soit 160T/Jour), (Financement probable entre 50 et 60 M€) sur la commune de La Chapelle-Saint-Luc est une totale aberration, car elle va à l’encontre du moratoire de l’Europe et de loi de TECV.

    Il est à noter qu’une partie très importante de matières recyclables dont des plastiques dont on ne sait plus que faire va être incinérée en dégageant du Co2 alors que cela est contraire à la hiérarchie de traitement des déchets définie par l’Union européenne.

    Les émissions de dioxines et de furanes ne sont pas à négliger d’autant plus que métaux lourds (Cadmium, plomb, mercure), dioxyde de souffre et d’azote risquent de terminer dans les assiettes ou dans les lichens de cette agglomération troyenne !

    Quelles répercussions sur la santé pour les populations locales ?

    Dernièrement, Francis GLEMET, porte-parole de l'Amies (Association de médecins pour l'environnement et la santé) s'inquiétait des conséquences des dernières conclusions faites lors de la commission de suivi de site de l'incinérateur de Lunel-Viel.

    La commission de suivi de site (CSS) de l'incinérateur de Lunel-Viel s'est déroulée le 29/11/2017.

    L'étude descriptive du Registre du cancer laisse pantois.

    Des surincidences ont été observées entre 5 et 15 km autour de l'incinérateur, des cas de certaines tumeurs comme les lymphomes, les lymphomes malins non hodgkiniens, les sarcomes des tissus mous, les leucémies... ont été relevés. Les premiers résultats ont été présenté aux experts de l’Amies : le professeur SULTAN (pedo-endocrinologue) et Mme GERBER (épidémiologiste). Source : http://www.midilibre.fr/2017/12/11/lunel-vives-inquietudes-apres-les-conclusions-sur-le-suivi-de-l-incinerateur,1601028.php

    Les différents polluants émis par l’incinération se retrouvent dans l’environnement par différentes voies. Une partie de ces substances chimiques est "bioaccumulée", c’est-à-dire qu’elles sont intégrées en l’état par les éléments naturels qui deviennent alors des sources de contamination potentielle pour l’homme et les animaux avec les rejets gazeux et les rejets d’épuration des fumées (REFIOM).

    AURA Environnement http://www.aura-environnement.com/ et son Collectif antispéciste de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/ alertent les pouvoirs publics sur les risques induis par dioxines et furanes dans le lait de vache généralement observés à moins de 3 km autour de ces infâmes incinérateurs où des prélèvements sont la plupart du temps effectués par un organisme de contrôle extérieur et des analyses réalisées par un laboratoire dûment agréé.

    En ce qui concerne la protection des animaux, AURA Environnement vient de sortir une pétition internationale qui rassemble déjà plus de 106 000 signatures en moins de 2 mois dans le cadre de la défense des ânes et mules maltraités en Grèce sur l’île de Santorin, intitulée : « STOP ânes et mules maltraités île de Santorin #Grèce transport passagers ou bagages ! ». https://www.mesopinions.com/petition/animaux/stop-anes-mules-maltraites-ile-santorin/39448

    Les animaux ont des droits et les camarades antispécistes du Collectif SI-LCSL soutenus par l’association loi 1901 AURA Environnement les feront pleinement respecter dans la région de Troyes (notamment le hérisson d’Europe ou le lézard des murailles, etc…).

    D’ores et déjà, nous invitons nos camarades antispécistes et vegans de TOUTE la France, voire de toute l’Europe, à nous soutenir massivement en convergeant dans la région de Troyes pour des actions citoyennes non-violentes d’information et de sensibilisation des populations locales et en apportant leur contribution dans cette 2° enquête publique en se mobilisant pour la création d’une potentielle ZAD (Zone A Défendre).

    Le premier code juridique de l’animal vient de voir dernièrement le jour en France. Cet ouvrage unique, qui rassemble toutes les législations en vigueur concernant les animaux, servira aux magistrats, procureurs, avocats ou encore aux vétérinaires, enseignants, étudiants du Grand Est et, notamment de Barberey-Saint-Sulpice, de Lavau, des Noës-près-Troyes, de Montgueux, de Sainte-Maure, de Sainte-Savine, de Torvilliers et deTroyes qui pourront toujours compter sur le Collectif SI-LCSL épaulé par AURA Environnement !

    https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/

    AURA Environnement, qui vient de faire fermer au 31/12/2017 la décharge NICOLLIN à Saint-Romain-en-Gal en allant ester au tribunal administratif de Lyon, ira CONTESTER le futur AP du préfet de l’Aube si celui-ci le signe !

    AURA Environnement demande aux commissaires enquêteurs lorsqu’ils rendront leur avis défavorable, de dénoncer la non-désignation d’une commission d’enquête régionale du Grand-Est chargée des études épidémiologiques et du devoir d’information des citoyennes et des citoyens qui doivent savoir à quels risques ils seront potentiellement soumis, eux et leurs enfants dans les prochaines décennies puisque le nouveau plan régional sera voté prochainement par la Région de ce même Grand-Est !

    Pour rappel, la première enquête publique (clôturée le 13 janvier 2018) a été annulée suite à la décision du Conseil d’Etat du 6 décembre 2017.

    Cette décision annule le 1° de l’article 1er du décret du 28 avril 2016 désignant le préfet de Région en qualité d’autorité compétente de l’Etat en matière d’environnement, et ainsi lui permettant de procéder à l’évaluation environnementale de certains projets.  

    L’avis de l’autorité environnementale jointe au dossier de la première enquête publique était donc caduque, entraînant de fait, l’annulation de la procédure.

    • Avis de la MRAe :

    A ce jour, les avis de l’AE doivent être émis par la MRAe (Mission Régionale de l’Autorité Environnementale).

    Les MRAe ont été créées afin de « transférer intégralement la compétence d'autorité environnementale à des formations du CGEDD (formation d'autorité environnementale - Ae - et missions régionales d'autorité environnementale), pour garantir une séparation stricte entre l'autorité environnementale, les maîtres d'ouvrage et les préfets. Son principal but est d'apporter davantage de garanties d'impartialité et d'objectivité pour les avis rendus par l'autorité environnementale»

    Le nouveau dossier d’EP contient un avis de l’AE émis par la MRAe Grand-Est. A la lecture de cet avis, nous pouvons remarquer qu’il est identique à l’avis rédigé par la DREAL en 2017. Seules quelques recommandations et illustrations permettent de les différencier.

    D’autre part, la réglementation prévoit un délai de 2 mois pour que la MRAe rende son avis sur les projets qui lui sont soumis.

    Ce délai est constamment respecté et l’on constate que pour tous les projets soumis à la MRAe, 2 mois pleins s’écoulent entre le dépôt du dossier à la MRAe et la publication de son avis.

    Tous les projets… sauf 1

    « Projet d’exploitation d’une unité de valorisation énergétique à La Chapelle-Saint-Luc (10 / Aube) de la société VALAUBIA (référence : 2018APGE5) Avis sur projet du 1er février 2018 »

    Pour ce dossier, la MRAe a été saisie le 17 janvier 2018.

    Au vu des délais habituellement observées, il est bon de se demander les raisons d’une si grande célérité dans l’avis rendu par la MRAe Grand-Est sur le dossier de Valaubia.

    L’avis a été rendu en 15 jours contre 60 jours habituellement.

    L’impartialité et l’objectivité de la MRAe sur ce dossier est-elle réelle ? Quelles sont les raisons d’une réponse aussi rapide ? les impacts environnementaux ont-ils bien été évalués dans leur ensemble ?

    • Compatibilité avec les plans régionaux

    Le 14 mars 2018, l’association France Nature Environnement a envoyé une lettre ouverte à Nicolas Hulot.

    Depuis la loi NOTRe en 2015, la compétence prévention et de gestion des déchets a été transférée aux Régions.

    Les travaux sur le plan régional en Grand-Est sont en cours et devraient aboutir à une adoption d’ici fin 2018.

    Un des objectifs de ce plan régional est « la mise en œuvre opérationnelle des ambitions de la loi de transition énergétique ainsi que de la feuille de route économie circulaire qui sera prochainement publiée par l’Etat » avec la fixation d’objectifs de réduction des déchets incinérés à l’horizon 2025.

     Le projet VALAUBIA ne présente pas de conformité au plan régional d’élimination des déchets mais uniquement au plan départemental.

    La réflexion menée actuellement vise « à établir une planification de la gestion des déchets sur 6 et 12 ans, identifiant les actions prévues et à prévoir par les différents acteurs territoriaux pour réduire la production de déchets et augmenter leur recyclage. Ils ont notamment l’obligation de mentionner les installations qu’il convient de créer, adapter ou fermer au regard des objectifs nationaux »

    La création d’une nouvelle unité de traitement va apporter une surcapacité supplémentaire dans une région déjà excédentaires (incinération et stockage).

    Ainsi la demande de FNE semble totalement justifiée et en accord avec la politique de la loi NOTRe et de la loi TECV.

    « Au regard de ces enjeux, nous vous demandons de bien vouloir prendre rapidement les mesures nécessaires afin d’imposer un gel sur tous les projets de création ou d’extension d’incinérateurs et de décharges, jusqu’à ce que les futurs plans régionaux de prévention et de gestion des déchets soient réputés approuvés et qu’ils deviennent opposables »

    • Prix du traitement

    Les investissements liés à cette installation, bien que portés totalement par le pétitionnaire, vont augmenter la facture pour le traitement des déchets que l’habitant du Grand Troyes devra payer !!!

    En effet, d’après le rapport d’activité de 2016 du SDEDA, le prix de traitement du marché avec VEOLIA serait de 108 € /tonne (hors TGAP) !!!

    D’après ce même rapport, on peut calculer le coût du traitement actuel. Il est d’environ 99 €/t (TGAP comprise).

    La mise en place d’une unité aussi moderne et performante que celle proposée dans cette enquête publique devrait permettre de réduire le coût de traitement des déchets non-valorisables (grâce à la vente de chaleur et d’électricité).

    IL SEMBLE QUE CELA NE SOIT PAS LE CAS !!!!

    Quel est donc l’intérêt pour la population de voir s’implanter une telle usine qui augmentera leur facture et qui entrainera nécessairement une pollution supplémentaire de l’air et des sols ?

    Suite aux élections présidentielles et législatives de 2017, où 75% des députés ont été renouvelés, de nombreux anciens ministres ou parlementaires ont rejoint le secteur privé ;

    • François BAROIN intègre la banque Barclays en tant que conseiller du président, tout en conservant son mandat de maire de Troyes et de président de l’AMF.

    Ne va-t-il pas pouvoir favoriser les emprunts toxiques avec son usine à poubelles ????

    Dernièrement, Nicolas HULOT a indiqué (L'Humanité du 20/03/18) que l'objectif de la LTECV de faire tomber à 50 % la part du nucléaire dans notre production électrique d'ici à 2025, n'était pas réalisable.

    On voit bien que dans ce projet d'incinérateur que nous sommes dans le flou des moyens et la dispute des objectifs.

    Si la LTECV n'est pas du tout respectée au niveau du nucléaire, comment pourrait-t-elle être respectée dans l'élimination des déchets dans la région de Troyes ?

    Ce projet d’incinérateur de VALAUBIA est multi-nocif :

    - il sera situé à 300 m au Sud-Est des habitations les plus proches.

    - l’établissement recevant du public (ERP) le plus proche est le Parc des Près de Lyon lui aussi à 300 m.

    - le complexe aquatique municipal AQUALUC qui à l’ambition de répondre à 3 grands objectifs, (comme il le définit lui-même) : le bien-être du baigneur, le développement des pratiques aquatiques, l’offre d’activités ludiques et d’animations pour l’épanouissement des jeunes enfants ne sera qu’à 600 m.

    - le Collège public Albert Camus (Académie de Reims) ne sera qu’à 860 m !!! Qu’en pense le Principal du collège, Philippe GRAULIER ? Les nuages du futur incinérateur de VALAUBIA vont-ils s’arrêter avant la frontière des 859 m de son établissement ?

    Nous combattrons ce Grand Projet Inutile et Imposé (GPII) d’incinérateur de VALAUBIA imposé par le Capital, in solidum, avec nos camarades d’AUBE Durable avec qui nous sommes en contact, pour une action directe !

    Les parcelles concernées par le projet sont exploitées à des fins agricoles. La parcelle d’implantation de ces futures installations s’inscrit dans un environnement urbanisé située à moins de 452 m de la plus proche Zone naturelle d’intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF type 1 n° 210002039 – Aérodrome de Troyes-Barberey).

    L’avis de la MRAe indique que les impacts du projet sur ces enjeux seront « modérés, voire faibles ». Donc, pas inexistants !!!! Idem pour les 1 830 T/An de REFIOM, où on nous sert la même zouzoupe : « Impact résiduel de ces déchets dangereux sous forme de résidus solides considérés par l’exploitant comme « faible » !!!!

    Ils disent toujours cela pour ne pas effaroucher les riverains et les populations locales ! C’est qu’ils disaient aussi pour AZF à Toulouse !

    Or, chaque parcelle de lutte en devenir est potentiellement une nouvelle terre de colonisation.

    Vent debout, les résidents de la Chapelle Saint-Luc et des communes environnantes de Troyes à fleur de peau n’auront pas d’autre choix qu’étudier un autre recours 100 % médiatique : la création d’une ZAD potentielle pour défendre les habitants, la flore et les espèces protégées comme le hérisson d’Europe ou le lézard des murailles !

    HALTE A LEUR PARODIE DE DEMOCRATIE !

    LA FORCE provisoire du SDEDA

    et de VEOLIA :

    LES MASSES POPULAIRES

    SONT – pour l’instant –

    TENUES DANS L’IGNORANCE !

    A la 1ère réunion publique qui s’est tenue au centre culturel « Didier Bienaimé » à La Chapelle-Saint-Luc, le 26/03/2018, le Collectif SI-LCSL (Stop Incinérateur La Chapelle-Saint-Luc) soutenu par AURA Environnement a boycotté cette mascarade puisque le service de sécurité a refusé que nous déployions une simple petite pancarte, en carton Bio, faisant référence à notre opposition à ce projet d’incinérateur (source : l’Est Eclair du 29/03/2018) http://www.lest-eclair.fr/62842/article/2018-03-27/incinerateur-il-veut-monter-une-zad-la-chapelle-saint-luc#

    Le Collectif SI-LCSL (Stop Incinérateur La Chapelle-Saint-Luc) demande au préfet de l’Aube, au tribunal administratif et à la Compagnie Nationale des Commissaires Enquêteurs (CNCE), la désignation d’un nouveau commissaire enquêteur qui voudra bien se montrer au public. En effet, lors de cette parodie de démocratie, où il y avait nombre d’élu-es en faveur de l’incinérateur de Veolia, le commissaire enquêteur Roger KISTER (président de la commission, géomètre expert retraité) a refusé d’être pris en photo par la presse au motif du droit à l’image.

    Le droit à l’image dans une réunion dite « publique » ? A quoi cela sert-il de faire une réunion dite « publique » si l’on vient avec l’accoutrement de Zorro ?

    Si on veut cacher son visage dans une réunion d’information et d’échanges avec le public, que veut-on nous cacher d’autre ENCORE ?

    Quelle égalité cette réunion dite « publique » où l’on commence, – au 1er jour de l’enquête publique -, par bâillonner l’opposition en lui refusant un simple carton Bio où sont inscrites quelques revendications et un commissaire enquêteur qui, sûr de sa toute puissance – refuse de montrer son visage au grand public ?

    ¨Pourquoi le commissaire enquêteur n’a-t-il pas suivi les recommandations du « Guide de l’enquête publique, édité par la CNCE ?

     En effet, le guide de la CNCE indique (fiche 8, page 15) «A retenir : ….il est déconseillé au commissaire enquêteur d’y assister, sa présence pouvant, à ce stade de la procédure, prêter à confusion… ».

    Le Collectif SI-LCSL (Stop Incinérateur La Chapelle-Saint-Luc)

    déclenche l’opération :

    « LES RAISONS NOIRES DE LA COLERE » !

    Puisque le SDEDA et son service de sécurité ont refusé que s’exprime démocratiquement et de façon pacifique les masses populaires représentées par le Collectif SI-LCSL (Stop Incinérateur La Chapelle-Saint-Luc), il ne nous restera plus qu’à faire entendre notre voix…. dans la rue !

    La France non-soumise, n’est pas encore dans une dictature de style « Napoléon IV », méprisante des souches populaires issues de 48, 68 & 89 !

    Nous sommes une République digne de ce nom !

    « Ceux qui luttent ne sont pas sûr de gagner, mais ceux qui ne luttent pas ont déjà perdu » ! Berthold Brecht.

    La région Est, dans sa partie Ouest dispose de grandes capacités d’incinération disposant de vides de four (Ils ont bien été autorisés à remplacer l’UVE de Strasbourg) : REMIVAL à Reims et AUREADE à La Veuve (51), L’IUOM du SDED52 à Chaumont (toutes 3 gérées par Veolia), soit 282 000 tonnes de capacités annuelles à proximité immédiate de Troyes (sans compter les capacités d’enfouissement).

    Pourquoi 60 000 tonnes de plus ?

    Il est aberrant, en période de transition énergétique, de LTECV ou de Loi Notre, de vouloir faire porter à la collectivité un investissement de plus de 60 millions alors que les outils existants voisins ne sont pas saturés.

    D’autant qu’ils sont gérés par le même opérateur : VEOLIA !

    Sa volonté sera que pour maintenir un équilibre économique entre ses 4 outils et les nourrir, il faudra des déchets et encore des déchets ménagers non-triés (car les fours sont conçus pour ça).

    Et vous verrez dans les prochaines années, nous observerons même se profiler de futures guerres intestines de Syndicats de traitement pour que leurs outils soient bien alimentés … à qui cela va-t-il profiter ???

    C’est une situation monopolistique évidente qui ne profitera qu’à l’exploitant VEOLIA !!!

     Dans la hiérarchie du mode de traitement des déchets, le réemploi et le recyclage vient avant la valorisation énergétique et le stockage. Il est donc nécessaire de respecter la loi !

    Prévoir des outils de tri favorisant le réemploi et le recyclage … puis prévoir des outils correctement dimensionnés pour la valorisation énergétique ou le stockage puisque, ailleurs, en France, aucune autre demande n’est faite pour de l’incinération. Il n’ya qu’à Troyes que l’on voit une telle demande !

    Marc-Claude de PORTEBANE

    - Président d’AURA Environnement

    - Porte-parole du Collectif SI-LCSL (Stop Incinérateur La Chapelle-Saint-Luc)

    - Fondateur et porte-parole de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux (49 200 Like sur facebook) https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/

    - Membre de toutes les commissions du conseil consultatif pour l’élaboration du plan régional d’élimination des déchets à la Région Bretagne (réseau Kelenn, sauf la commission littoral).

    - Membre de la CSS de la décharge Lély Environnement en tant que porte-parole du collectif SD-SQI (Stop Décharge Saint-Quentin-qur-Isère), préfecture de l’Isère.

    - Président du pôle Déchets à la Fédération d’associations Fapel 22

    - Porte-parole des collectifs :

    - Stop Décharge Opale Environnement de Saint-Marie-Kerque (SDOE)

    - Collectif de Protection de l'Environnement vers Roussas-Les Granges-Gontardes (CPERG)           

    - Collectif GreenLoire (CGL), candidat CSS Bdm Loire.

    - Collectif Halte Usine à poubelles vers Andrézieux-Bouthéon (CHUPA)

    - Collectif de Défense de l'Environnement à Chatuzange-le-Goubet (CDFEC)

    - Collectif Orange Pressée Ecorce-à-Jeter (COPEJ) contre décharge Delta Déchets à Orange

    - Collectif Greenbretagne (C.O.G.B) :

    - Collectif de Préservation de l'Environnement de la Région de Dunkerque (CPERD)

  • Avis autorité environnemental projet Indachlor Loon-Plage : AURA Environnement fait capoter enquête publique !

    Grâce vigilance d'AURA Environnement et CPERD :

    la nouvelle enquête publique risque de se dérouler

    du 11 avril au 26 mai 2018 !

    Loon 2 003 2 jpg a

    C'est reparti pour un tour. Depuis qu'AURA Environnement avait indiqué vouloir exercer un recours au tribunal administratif pour faire annuler l'enquête publique relative au projet Indachlor à Loon-Plage dans le Grand port maritime de Dunkerque (GPMD), les services de l'Etat ont préféré recommencer une nouvelle enquête publique.

    Confirmation également du côté de la mairie de Loon-Plage qui a reçu tout frais, ce matin, l'arrêté préfectoral n° DCPI - BICPE - CA indiquant quil fallait attendre le délai d'obtention de l'arrêté préfctoral définif dans une durée de 6 mois.

    AURA Environnement a également mis en garde le secrétariat de la mairie de Loon-Plage afin de faire vérifier par les services de l'urbanisme si les travaux n'avaient pas été commencé par l'exploitant, car, comme nous la confirmé la préfecture du Nord, Indaver a bel et bien voulu commencer les travaux.

    Or, le secrétaire général de la préfecture du Nord aurait mis le holà en refusant toute élaboration de construction.

    L'exploitant belge perd du temps. Qu'il repasse la frontière !

    Le Collectif de Préservation de l'Environnement de la Région de Dunkerque (CPERD) soutenu par AURA Environnement appelle donc à une nouvelle mobilisation générale de ses militant-es.

    Nous ne répèterons pas les erreurs de la dernière enquête publique qui a vu une très faible participation des masses populaires qui ne se sont pas vraiment senti concernées par ce projet Seveso dangereux.

    Les camarades du peuple de base détestent les écolos-verts, ce genre de boboïstes qui ont perdu toute représentativité dans l'opinion publique parce que ce sont avant tout des politiciens.

    Jde 2 003Les camarades du peuple de base de Dunkerque préfèrent les écolos-rouges insoumis comme nous qui se rangent derrière les bannières de la classe ouvrière à qui on veut imposer une usine belge qui a déjà mal fait ses preuves dans le port d'Anvers, avec cette violente explosion de solvants. Pour mémoire, les habitants de Stabroek ont dû garder leurs fenêtres et leurs portes fermées : https://www.youtube.com/watch?v=lIZwyuXQisw

    Jde 2 004

    Un camarade marxiste du Nord signe la pétition d'AURA Environnement

    Sauvons nos animaux, nos populations locales et nos animaux à Loon-Plage dans le Grand port maritime de Dunkerque CONTRE le projet dangereux IndaChlor voulu par les belges !

    Nous gardons également un oeil vigilant sur le projet d'extension de la décharge de la Bistade à Sainte-Marie-Kerque dans le département voisin du Pas-de-Calais !

  • 马克思主义中央委员会加入#forceChine

    灵气环境的生态友好马克思主义者
    在思想上和经济上越来越接近
    们的中国同志包括胡克勤同志!

    Img 0031

    Montpellier 25/07/2012 : inauguration statue Mao

    avec Marc-Claude de PORTEBANE et le président de

    "Montpellier, Méditerranée, Métropole" JP MOURE

    Video polémique : https://www.youtube.com/watch?v=Y40A1tL-hIA

    人才选拔:德才开端,人才先行;
     
     
    优化人力资源利用:消除薄弱环境,保持强大,按能力选择,发现人才,用人才必须让每个人都尽自己最大的努力,用最好的人才,支持人才能力;强大的获得机会,普通的放弃和平庸的放弃的机会;
    训:从外部和内部培训人才,每个人都有机会接受培训,每个人都可以培训其他人,让每一种人才都能在国际舞台上尽可能展示知识。
    中国已经显示出对抗资本主义经济的力量。
    Marc-Claude de PORTEBANE
     

  • #Bure au rebut : Résistance citoyenne OUI mais dans le Respect de la loi !

    Les constructions en dur envisagées par les

    provocateurs anarcho-trotskistes doivent être

    proscrites car elles desservent la lutte locale !

    Aa330Les opposants au projet d'enfouissement des déchets nucléaires à Bure (Meuse) ont été virés jeudi 22 février afin d'évacuer les 221 ha du site.

    AURA Environnement l'a toujours proclamé, il ne peut y avoir de "Résistance citoyenne" sans dialogue avec l'Etat que ce soit avec les services de la Dreal, les DDPP et généralement tous les services préfectoraux dans le strict travail acharné sur la passion technique des dossiers environnementaux.

    L'opération d'envergure pour déloger la racaille boboïste-trotskiste du bois Lejuc, épicentre de la lutte contre le projet de l'Andra, a révélé une fois de plus que l'on ne pouvait pas compter sur les fumeurs de joints qui n'ont aucune stratégie révolutionnaire, aucune discipline de corps, aucun sens de la réalité vécue par les populations locales, et qui veulent revenir à l'âge de pierre alors que sont des adeptes des ordinateurs et des portables extrêmement énergivores, qui, sans les centrales nucléaires ou non, ne pourraient exister.

    Le bois Lejuc a été retenu par l'Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra) dans le but d'installer des cheminées d'aération du projet Cigéo qui vise à enfouir dans le sous-sol argileux du village de Bure, à 500 m de profondeur, les déchets nucléaires les plus radioactifs ou d'une durée de vie longue du parc nucléaire français.

    Saisi en référé par l'Andra qui voudrait réaliser des forages exploratoires dans ce bois, le TGI de Bar-le-Duc (Meuse) avait pris en avril 2017 une décision d'expulsion qui vient d'être mise en oeuvre par les autorités préfectorales avec le soutien du ministère de l'Ecologie, même si #Nicolas HULOT qui a combattu ce projet dans le passé en s'affichant avec une pancarte "Cigéo Bure, je dis non", admet que rien "n'est acté".

    Après NDDL, les éléments révisionnistes-trotskistes cherchent d'autres territoires pour "faire peur" à l'opinion dans une volonté destructrice de nos oppositions démocratiques dans certains projets tout en s'exposant dans les merdias dans des tenues provocatrices (cagoules, lance-pierres, etc....) dans un style provocateur que nous ne pouvons soutenir et qui est contraire à la lutte révolutionnaire telle que nous la concevons !

    Il est évident que les journaleux des merdias capitalistes - comme ceux du Figaro - cherchent à montrer des extrémistes "écologistes", "armés" en tenue paramilitaire avec cagoules et autres déguisements afin de nuire aux populations locales.

    La discipline écolo-marxiste des antispécistes d'AURA Environnement c'est tout, sauf cela ! Jamais nous ne serons dans la provocation contre les riverains et populations locales qui emmènent leurs enfants à l'école du village ou qui vont herser dans leurs champs avec leurs tenues de tous les jours.

    Nous préférons étudier la thèse de 470 pages soutenue le 11/12/2017 par Leny PATINAUX (historien des sciences) dans le cadre de l'Ecole des hautes études en sciences sociales intitulée "Enfouir des déchets nucléaires dans un monde conflictuel, une histoire de démonstration de sûreté de projets de stockage géologique, en France".

    Cependant, Bure n'est pas NDDL. Il y a des gens qui y vivent toute l'année dont de nombreux camarades agriculteurs ou de camarades ouvriers exaspérés à force d'être confrontés à des contrôles d'identités qui n'ont rien à voir avec les éléments antisociaux issus de l'ex-ZAD de NDDL et qui veulent pouvoir assurer le devenir de leurs enfants pour les prochaines décennies.  

    Ici, nous appliquons la maxime de #Talleyrand : "Tout ce qui est excessif est insignifiant" !

  • Région #Grenoble : le collectif SD-SQI soutien #AURAEnvironnement hausse le ton c'est bon !

    Plus de 20 militant-es ont répondu à l'appel du

    Collectif SD-SQI (Stop Décharge Saint-Quentin-sur-Isère)

    à la salle de l'ex-mairie Saint-Quentin-sur-Isère

    protestations extension décharge LELY Environnement !

    P1010963 j 1801264 5 jpg aaSous la houlette du camarade antispéciste écolo-marxiste Marc-Claude de PORTEBANE, plus de 20 militant-es du Collectif SD-SQI (Stop Décharge Saint-Quentin-sur-Isère) - dont 7 excusé-es -, et soutenu par AURA Environnement, se sont réuni-es le 26/01/2018 à 18h à la salle de l'ancienne mairie de Saint-Quentin-sur-Isère afin de protester contre l'arrêté préfectoral du préfet de l'Isère du 19/12/2017 autorisant l'extension de l'ISDND de Lély Environnement au lieu-dit "L'Echaillon", un site qui a fait l'objet d'un diagnostic faune/flore dans le cadre de la réalisation de l'étude d'impact et que des espèces protégées ont été identifiées, notamment la Renoncule Scélérate qui s'est développée dans le bassin de stockage des eaux pluviales de la plate-forme de compostage.

    Le porte-parole du Collectif SD-SQI et membre de la CSS, Marc-Claude de PORTEBANE, a soumis au vote (à l'unanimité) une visite annuelle du site en demandant au préfet de l'Isère qu'il valide également notre demande de rencontre des dirigeants de la société LELY Environnement et ce, en présence du maire et du représentant, élu, à la commission environnement de la commune de Saint-Quentin-sur-Isère qui ne s'était pas tenue convenablement comme nous l'avons indiqué à la CCS 2017 en préfecture de l'Isère.

    Le SD-SQI sera particulièrement vigilant sur les dispositions de l'arrêté ministériel du 15/02/2016 qui prévoit notamment :

    - la mise en place de barrières passive et active en fond des nouveaux casiers,

    - la mise en place d'une couche de renforcement sous les barrières active et passive afin de protéger ces barrières de l'effet de tassements,

    - le traitement des lixiviats (des casiers inférieurs et supérieurs) sur site puis rejet dans l'Isère en un point de rejet unique ; (une surveillance en continu du débit, pH et conductivité est prévue ainsi qu'un contrôle trimestriel de l'ensemble des paramètres réglementés),

    - la collecte et la valorisation du biogaz (des casiers inférieurs et supérieurs) sur site,

    - la collecte des eaux de ruissellement interne à la zone de stockage dans une série de bassins puis rejet par bachée (un contrôle du pH et de la conductivité est prévu avant chaque bachée, complété par une mesure annuelle de l'ensemble des paramètres réglementés),

    - la réalisation d'une cartographie des émissions diffuses et d'une campagne de mesure de la qualité de l'air,

    - la poursuite de la surveillance des eaux souterraines au droit du site,

    - la mise en place d'un suivi des tassements et de la stabilité des talus.

    La thématique des mâchefers a été abordée.

    Marc-Claude de PORTEBANE a indiqué que les mâchefers admissibles sur le site seraient issus d'installation de "traitement thermique de déchets non-dangereux" (référencés sous le code déchet 19 01 12) et seraient répartis sur 3 zones dont la surface affectée aux installations (équipements, dépôts et utilités associés) sera exclusivement limitée à :

    - 8 800 m² pour la réception des mâchefers valorisables

    - 1700 m² pour la plate-forme de traitement (criblage/ferraillage)

    - 7 200 m² pour le stockage des "produits finis".

    Le SD-SQI insistera à la prochaine CSS de 2018 (commission de suivi de site) en préfecture de l'Isère, (Représentation votée à l'unanimité. Titulaire : le camarade Marc-Claude de PORTEBANE, Suppléante : la camarade Elisabeth BOUTEAU, Suppléante-adjointe : la camarade Valérie NAON), pour demander des précisions sur les conditions de stockage des mâchefers :

    - Quel taux de présence de métaux lourds dans les mâchefers ?

    - Mise à notre disposition du plan de gestion des lots de mâchefers.

    - Communication du registre tenu par l'exploitant LELY Environnement à la disposition de l'inspecteur des installations classées (origine, date d'arrivée, localisation des mâchefers).

    - Communication du contrôle visuel annuel de l'étanchéité du sol des aires de stockage des mâchefers ainsi que des aires de circulation.

    - Les mesures de contrôle du stockage des mâchefers à même le sol qui sera interdit par l'AP.

    A la prochaine CSS, nous demanderons que nous soit communiquée l'étude du BRGM, les études de prévention des pollutions atmosphériques potentielles, les études de gestion des effluents aqueux, le rapport sur la stabilité et l'intégrité de la digue de confinement, le rapport du débit odeur rejeté qui doit être compatible avec l'objectif de qualité de l'air ambiant tel que préconnisé par l'AP, le plan de gestion des déchets applicable à la plate-forme de compostage d'une surface totale de 26 300 m², le rapport annuel d'activité, le suivi des eaux souterraines, le rapport sur la liste des critères minimaux applicables aux rejets d'effluents liquides dans le milieu naturel (Effluents ne provoquant pas de coloration persistante du milieu récepteur et ne dégageant pas d'odeur) comme les MEST (matières en suspension totale), le COT (carbone organique total), la DCO (demande chimique en oxygène), les métaux lourds, les hydrocarbures totaux, les Phénols, l'Azote gobal ainsi que la DBO5 (demande biochimique en oxygène). 

    La demande de rencontre des dirigeants du site - qui a reçu un avis positif de l'exploitant - sera communiquée dans les prochaines semaines.

    Le SD-SQI a prévu un pique-nique Vegan le samedi 26 mai 2018 à midi sur un terrain privé à Saint-Quentin-sur-Isère. Chacun-e apportera son cabas et nous partagerons collectivement fruits et légumes de nos productions locales. Chats et toutous sont les bienvenus. Le lieu - tenu secret - vous sera exclusivement donné par mail. 

    Identification et inscription obligatoire par mail à aura-environnement@protonmail.com ou à fidel-castrol@protonmail.com

    Chantal LEVEQUE & Marc-Claude de PORTEBANE

  • NON Projet INCINERATEUR & New avis MRAe : Collectif SI-LCSL (Stop Incinérateur La Chapelle Saint-Luc) attend future EP !!!

    Le Collectif SI-LCSL (Stop Incinérateur La Chapelle Saint-Luc)

    soutenu par AURA Environnement

    est prêt pour la nouvelle enquête publique sur le projet

    d'incinérateur porté par Valaubia dans l'Aube !

    Bdm 031Le président antispéciste d'AURA Environnement

    Marc-Claude de PORTEBANE, ici à Roche-la-Molière (42)

    CONTRE le projet de prolongation de la décharge SUEZ

    Merdivet 010

    Après un premier avis remis en septembre 2017 et annulé par un arrêt du Conseil d’Etat, la MRAE (Mission Régionale d'Autorité Environnementale Grand-Est) a rendu le 17/01/2018, un nouvel avis nettement plus nuancé sur le projet d’incinérateur à La Chapelle Saint-Luc dans l’Aube, en mettant en relief un certain nombre de zones d’ombres.

    Toutes les enquêtes publiques dont l'AE (avis de l'autorité environnementale) a été signé par le préfet de région et préfet de département en 2017 doivent donc être dans le collimateur des associations environnementales qui ont obligation de les faire annuler au tribunal administratif.

    Dans l'Aube, l'exploitant Valaubia a préféré éviter de prendre du retard en annulant fissa 3 jours avant la fin de l'enquête publique qui devait se terminer le 13/01/2017.

    En effet, le Collectif SI-LCSL (Stop Incinérateur La Chapelle Saint-Luc) soutenu par AURA Environnement avait attiré l'attention du commissaire enquêteur sur la note technique du ministère de l'Ecologie adressée aux préfets de région qui avait pour objet de leur indiquer les conséquences à tirer de cet arrêt du conseil d'Etat pour les projets relevant jusqu'à présent de la compétence d'autorité environnementale du préfet de région.

    Même si, désormais le nouvel avis de la MRAe fait foi, celui-ci est susceptible d'être attaqué au TA par AURA Environnement puisque le ministère de Nicolas HULOT n'a pas encore dit son dernier mot de façon officielle.

    Ainsi, si un nouvel arrêté préfectoral (AP) autorisant une nouvelle enquête publique (EP) est relancé maintenant par la préfecture de l'Aube, AURA Environnement ira, de facto, le contester directement devant le tribunal administratif.

    Et ce sera reparti pour une nouvelle brêche pour les populations locales soutenues par les associations environnementales qui verront les effectifs de la contestation prendre un nouveau virage, cette fois un 180° national.

    D'ores et déjà, AURA Environnement appelle à la mobilisation générale ses militant-es antispécistes de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux et du Collectif SI-LCSL à faire le tour des "popotes" pour guider nos sentinelles et nos commissaires politiques dans le respect de nos convictions marxistes et révolutionnaires d'opposition à la Réaction !

    SEULE la mobilisation populaire aura raison de ce projet d'incinérateur porté par Valaubia et nous espérons le soutien massif de nos camarades de Zéro Waste France !

    Chantal LEVEQUE

  • Réduction tonnages enfouissement Drôme-Ardèche : AURA Environnement passe à l'offensive !

    AURA Environnement demande au préfet 26

    de respecter les futurs tonnages enfouissement

    pour les années à venir en Drôme/Ardèche !

    Bdm 39

    Alors que des pourparlers seraient en cours au sein de la Dreal 26 sur les tonnages ayant trait à l'enfouissement de nos poubelles dans les prochaines decennies, l'ultra gauche marxiste d'AURA Environnement s'invite au débat !

    Il n'est pas question que la loi de transition énergétique ne soit pas respectées en Auvergne-Rhône-Alpes et plus particulièrement en Drôme/Ardèche, où la Région, dirigée par Laurent WAUQUIEZ, doit élaborer le futur Plan régional de gestion des déchets (PRGD).

    Le PRPGD aura la particularité de contenir des chapitres spécifiques à certaines catégories de déchets et notamment un Plan Régional d'action en faveur de l'économie circulaire.

    Régis par le décret du 16/06/2016, ces plans doivent coordonner l’ensemble des actions qui sont entreprises tant par les pouvoirs publics que par les organismes privés en vue d’assurer la réalisation des nouveaux objectifs définis par la Loi de Transition Energétique pour la Croissance Verte du 17/08/2015 (Loi TECV) : Réduction de 10 % des déchets ménagers et assimilés produits d'ici 2020 (par rapport à 2010).

     

    Objectif de généralisation du tri à la source des biodéchets pour tous les producteurs (ménages, professionnels, collectivités) d'ici 2025.

     

    Ces plans ont pour objet, en particulier, de coordonner et programmer les actions de prévention et de gestion des déchets à engager à 6 et 12 ans, notamment par les collectivités locales, dans le respect de la hiérarchie des modes de traitement des déchets :

    - 1. Prévention

    - 2. Préparation en vue de la réutilisation

    - 3. Recyclage

    - 4. Valorisation autres que la valorisation matière

    - 5. Elimination des déchets.

     

    Le plan régional de prévention et de gestion des déchets concerne tous les types de déchets, toutes natures, catégories, origines confondues (exceptés les déchets radioactifs) produits, gérés dans la région et ceux importés pour être gérés dans la région ou exportés pour être gérés hors de la région.

    Leur importance est donc particulièrement primordiale car, lorsque le plan est approuvé, les décisions prises dans le domaine des déchets par les personnes morales de droit public et leurs concessionnaires doivent être compatibles avec ce Plan.

    AURA Environnement et le CPERG (Collectif de Protection de l'Environnement vers Roussas-Les Granges-Gontardes) seront-ils soutenus par les écolos du CDFEC (Collectif de Défense de l'Environnement à Chatuzange-le-Goubet), et la zadiste Bernadette GRANDO ?

    A quand le futur barbecue vegan avec les antispécistes de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux ?

    Le vent de la Révolte se lève tout doucement en Drôme-Ardèche.

    Le Titan se réveille. Océan, Téthys, Phébé, Mnémosyne, Thémis, Rhéa, Théia, Cronos, Japet, Hypérion, Crios et Koios terminent leurs vacances d'hiver.

    Après la luge de l'espérance, le déluge des désillusions ?

  • 112 323 Signatures PETITION : STOP ânes, mules maltraités île de Santorin #Grèce transport passagers ou bagages !

    Les ânes et les mules sont utilisés sur l'île de Santorin

    en Grèce pour transport passagers ou bagages !

    112 323 Signatures, 14 428 Commentaires

    LIEN PETITION :

    https://www.mesopinions.com/petition/animaux/stop-anes-mules-maltraites-ile-santorin/39448

    AneÀ l'attention : M. le Président de la République Prokópis Pavlópoulos, M. le Premier ministre Aléxis Tsípras

    Un rapport indépendant produit l'an dernier a révélé que bon nombre de ces animaux sont obligés de transporter des passagers en surpoids et se voient refuser l'accès à l'ombre, à l'eau et ceci pendant des heures. Des selles inadaptées et des brides de mauvaise qualité sont souvent utilisées. Les consignes de sécurité sont régulièrement ignorées, exposant les touristes à des blessures.

    La Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux vous demande que des améliorations urgentes et nécessaires au bien-être de ces animaux leur soient apporté à Santorin, avec :

    - des Abris supplémentaires qui doivent être érigés en haut et en bas des falaises. Tous les animaux doivent être à l'ombre.
    - des améliorations de la route pour permettre une rotation correcte aux ânes.
    - un libre accès à l'eau propre et fraîche en tous temps.
    - une limite de poids convenu qui doit être imposée et annoncée clairement pour le public.
    - des Inspections vétérinaires de tous les animaux qui doivent être effectuées tout au long de la saison !

    L'ampleur des protestations sur notre page Facebook de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux démontre largement l'indignation générale et internationale devant tant de souffrances inadmissibles :
    https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/

    Marc-Claude de PORTEBANE
    Fondateur du Collectif de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux soutenu par AURA Environnement
    http://www.aura-environnement.com/

  • GIROUETTE ? Eric Berlivet, maire de Roche la Molière, a voté pour le projet de Suez à la CSS 2016 en tant que Vice-Pdt SEM !

    Eric BERLIVET, le maire de Roche-la-Molière,

    FAVORABLE projet SUEZ de Borde Matin à la CSS 2016

    en tant que vice-président Saint-Etienne Métropole mais

    CONTRE lors rassemblement des anti devant sa mairie !

    Css bdm 1Les rouchons qui s'étaient rassemblés samedi devant la mairie de Roche-la-Molière répondant à l'appel de leur maire Eric BERLIVET contre le projet d'extension du centre d'enfouissement technique de sa commune porté par SUEZ, n'y comprennent plus rien.

    Css bdm 2

    En effet, lors de la CSS (Commission de suivi de sité) du 06/12/2016, BERLIVET Eric ne s'exprimant pas en tant que maire de Roche-la-Molière mais en tant que vice-président de Saint-Etienne Métropole s'est déclaré

    Css bdm 3 "... à ce titre, favorable au projet - de SUEZ - dans le sens où il améliore la gestion environnementales et technique du site et la situation fiscale TGAP pour la collectivité....".

    Le seul a avoir émis un avis défavorable a été le représentant de la FRAPNA Loire, notre camarade Jacky BORNE.

    Stop dechets 1

    Pourquoi ce virage à gauche toute dans cet appel du maire Eric Berlivet, « contre la volonté de l’État d’autoriser la poursuite de l’exploitation du centre d’enfouissement de Borde-Matin jusqu’en 2053 » dans un rassemblement qui a mobilisé plus de 300 personnes dont les militant-es écolos-marxistes d'AURA Environnement qui étaient aux côté de la sénatrice marxiste de la Loire, Cécile CUKIERMAN près du maire LR de Saint-Etienne et président de Saint-Etienne Métropole, Gabriel PERDRIAU ?.