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  • Décharge de Saint-Romain-en-Gal : AURA Environnement organise la Résistance avec populations locales !

    Répondant à l'appel des populations locales ulcérées

    AURA Environnement organise la Résistance

    contre une énième demande de prolongation

    de la décharge NICOLLIN à Saint-Romain-en-Gal !

    Romaura 112Cette semaine, une réunion préventive a été organisée par les cadres d'AURA Environnement et les populations locales vivant à proximité de l'infâme décharge gérée par l'entreprise NICOLLIN avec le soutien actif des services de l'Etat du Rhône et les élu-es locaux !

    Alors que la pétition internet lancée par AURA Environnement pulvérise tous les records d'audience avec plus de 14 000 signatures en à peine une semaine (+ 386 commentaires à ce jour), nos militant-es ont lancé une vaste campagne de sensibilisation des populations locales dans un rayon de 100 km autour de la commune de Saint-Romain-en-Gal située en face de Vienne (Rhône + Isère + Loire + Ardèche + Drôme) en déposant la pétition (version papier)....

    Rom5 001....chez les commerçants et les artisans qui, pour la plupart ne connaissent pas cette décharge et encore moins les odeurs pestilentielles qui font des ravages parmi les populations locales et les animaux exposés de "plein fouet" lorsque les vents mauvais balaient la région de Saint-Romain-en-Gal, village martyr du sud du département du Rhône....

    Romaura 125....non-loin des vignobles de Condrieu dont la réputation risque d'être ternie dans les prochaines années si la DDPP 69 (Direction départementale de la protection des populations) persiste à négliger la qualité de vie et la protection.....

    Romaura 124......des riverains et des populations locales excédées par temps d'années de souffrance et d'incompréhension face au rouleau compresseur de l'Etat combiné à l'industriel !

    11 fevrier 12 apres nettoyage 2 copierLa CSS (Commission de Suivi de Site) en date du 12/05/2016 qui a rassemblé Denis BRUEL, secrétaire général-adjoint de la préfecture du Rhône ; Antoine DUPERRAY conseiller départemental du Bois d'Oingt ; Michèle PEREZ présidente du Parc naturel régional du Pilat ; Pierre LANGLAIS maire de Saint-Romain-en-Gal ; André MASSE maire de Sainte-Colombe ; Michel MONTMEAS adjoint-au-maire de Saint-Cyr-sur-le-Rhône ; Catherine FISCHER chef de service et Roland COURBIS inspecteur de la DDPP 69 ; Pascal RESTELLI inspecteur de la DREAL UD 69 ; Jean-Louis BLAY directeur de l'exploitant NICOLLIN ; Youcef LEKOHAL et Cyril CACCHIA salariés de l'entreprise NICOLLIN ; Marc GAVIOT-BLANC et Jean FAVEYRIAL pour les riverains ainsi que Rachel BELUZE et Laurence DANJOU-GALIERE de la DDPP 69 ; Guillaume HAREL du bureau d'études TAUWN France ; Valérie MAYEUX-RICHON de la Métropole de Lyon et Christophe WAREMBOURG du Groupe NICOLLIN ne peuvent pas dire qu'ils ne connaissent pas le quotidien infernal vécu par les populations locales et les animaux :

    - odeurs désagréables qui s'infiltrent dans les habitations, les commerces et les entreprises le soir et les week-ends

    - envols de sacs plastiques

    - émissions de sulfure d'ydrogène (H2S) et de dioxyde de soufre (SO2)

    04 fevrier 2012 8 copier 1

    Entre sacs plastiques sucrés ou salés et neige,

    les animaux ne font pas la différence

    et se tuent en s'emmêlant les pattes !

    Cette décharge est autorisée au titre de la rubrique 2760-2 pour un volume de 80 000 T/an ainsi ques délestages (que l'on nous dit exceptionnels sans plus de précision) d'usines d'incinération d'ordures ménagères.

    Ce tonnage se répartit de la façon suivante :

    - Déchets artisanaux commerciaux et industriels banals (DIB) : refus de centres de tri ou non triables : 69 000 T

    - Ordures ménagères des communes voisines : 1 000 T

    - Ordures ménagères provenant d'arrêt des UIOM : (on nous dit exceptionnel)

    - Cendres humides et boues de stations d'épuration d'eaux usées (STEP de la métropole de SAINT-FONS) : 8 000 T (on nous dit exceptionnel)

    - Boues de stations d'épuration d'eaux usées : 2 000 T.

    DENI de DEMOCRATIE et de TRANSPARENCE

    Depuis le mois d'août, AURA Environnement a voulu faire le point avec la DDPP 69. A chaque fois, régulièrement chaque mois, on nous a dit qu'il n'y avait rien de nouveau.

    Et qu'avons-nous appris dernièrement ?

    Nous avons découvert..... qu'une énième demande de prolongation avait été déposé en novembre 2016 par la société NICOLLIN (Bureau d'ingénierie SETEC, Energie renouvelable à Lyon) et ce, pour une durée de 2 fois 6 mois pour un total de 12 000 T et que le CoDERST allait se réunir le 15/12/2016 afin d'émettre un avis d'autorisation, sur lequel le préfet devrait statuer dans les prochains jours en accordant encore une fois une prolongation de plus.

    Cette décharge est ouverte depuis 1967 et peut recevoir 80 000 T de déchets/an. Cette installation est autorisée par l'arrêté préfectoral du 21/10/2009 et l'arrêté préfectoral complémentaire du 28/12/2015 qui prévoyait la fin de l'exploitation du casier C pour le 31/12/2016.

    Alors que rien n'a été soufflé aux populations locales lors de la CSS du 12/05/2016, nous apprenons - maintenant - que la société NICOLLIN souhaite maintenir l'exploitation de la seule décharge du Rhône, et projette ainsi d'en poursuivre l'exploitation en réhausse sur les casiers A et B. C'est pour cela que la société NICOLLIN a donc déposé un Dossier de Demande d'Autorisation d'Exploiter (DDAE) en ce sens..... pour assurer la pérennité de l'installation pendant le délai estimé d'instruction de ce DDAE et prolonger l'exploitation du casier C au-delà du 31/12/2016.

    D'où le silence obscur et total (sur ce DAE de NICOLLIN) de la part de la DDPP 69 (La DDPP a refusé de transmettre à AURA Environnement une copie du courrier de l'entreprise NICOLLIN de demande de prolongation de cette décharge, le rapport de l'inspecteur de la DREAL 69 au CoDERST et le projet d'arrêté préfectoral en violation de l'article L.124-3 du Code de l'environnement) ; la non-communication de ce "Porter à connaissance" par Pierre LANGLAIS, le maire de Saint-Romain-en-Gal à AURA Environnement (Notre RDV en mairie avec le 1er adjoint Gérard VINCEROT et une élue chargée de l'environnement a vite tourné "court", puisque nous n'avons juste obtenu qu'eu une copie d'une délib' du 23/04/2015 et une autre plus ancienne de fin 2014 !!!! - LOL -) ; et le silence "radio" des différents services de l'Etat qui refusent de nous communiquer quoique ce soit parce que la France est une DICTATURE et non une DEMOCRATIE !

    Le préfet du Rhône et surtout son secrétaire général veulent passer "en force", ils ont donc transmis leurs "ordres de blackout" TOTAL aux populations de la grande région Auvergne-Rhône-Alpes. Et nous sommes sous un gouvernement de GAUCHE, Mesdames et Messieurs. Nous sommes sous une dictature de "gauche" qui semble n'avoir de "gauche" que l'appellation !

    Et bien non, Mr le secrétaire-général de la préfecture du Rhône, Mr Denis BRUEL ! Votre énième prolongation à l'entreprise NICOLLIN fin 2015 aura été la dernière ! Assez de mensonges aux populations locales ! Nous demandons l'intervention du médiateur de la République ! Ca suffit ! Les populations locales épuiserons toutes les voies légales pour s'opposer à une énième prolongation de cette SEULE décharge du Rhône ! Et cela commencera par un référé uspension !

    Nous avons pu joindre quelques membres du CoDERST avant le 15/12/2016 mais le temps nous a manqué. Nous nous en excusons auprès des populations locales de Saint-Romain-en-Gal et des communes voisines ! Nous nous en excusons auprès des personnes atteintes de cancers ! Nous nous en excusons auprès des animaux jouxtant cette décharge et qui se respirent "en pleine poire" des odeurs insupportables de gaz !

    Ce que vous devez savoir, c'est que la cour d'appel de Lyon, dans son arrêt du 09/03/1999, avait donné raison à "l'Association contre l'extension de la décharge régionale de Saint-Romain-en-Gal" qui demandait l'annulation d'un jugement du TA de Lyon en date du 22/01/1997 qui avait rejeté sa demande contestant le bien fondé de l'arrêté du préfet du Rhône du 22/05/1996 qui avait imposé des prescriptions complémentaires à la société NICOLLIN et compagnie pour l'exploitation du centre d'enfouissement technique de résidus urbains à Saint-Romain-en-Gal ainsi que les éléments complémentaires ordonnés par le tribunal ; l'association demandait l'annulation de l'arrêté du préfet du 22/05/1996 ; l'association soutenait que la société NICOLLIN et compagnie n'était propriétaire d'aucun terrain sur le territoire de Saint-Romain-en-Gal ; que les surfaces annoncées par l'administration étaient erronées ; que l'arrêté du 02/05/1973 devait être regardé comme n'ayant accordé une autorisation que pour les 10 parcelles qu'il citait ; que la réception des boues et des cendrres d'incinération ne constituait pas des produits inertes pour ces parcelles ; qu'il était clair que cette augmentation avait augmenté la polllution du ruisseau Marauday ; que sur les quantités l'arrêté comportait une incohérence puisqu'il accordait le dépôt d'un poids total de déchets de 960 000 T alors que la capacité de stockage restante était estimée à 750 000 T.....

    TIENS ! TIENS ! Intéressant cet arrêt de la cour d'appel de Lyon !

    Cela fait plus de 10 jours que nous essayons - vainement - de joindre la Fédération départementale de la pêche du Rhône. A chaque fois, le standard nous a répondu que le président Alain LAGARDE était en "réunion". Pas un SEUL rappel du président LAGARDE et pas une SEULE réponse de son conseil d'administration à notre mail du 12/12/2016.

    Objectif de notre futur Collectif : Puisque cette Fédération départementale de la pêche du Rhône ne daigne pas nous répondre, nous vous demanderons, Camarades, de demander l'avis à tous les administrateurs des 43 associations agrées de pêche et de protection du milieu aquatique (AAPPMA) que compte le département du Rhône sur cette nouvelle demande de NICOLLIN. Nous élirons un délégué qui ne s'occupera que du dossier "Pêche". Nous irons - en plus - dans les bistrots où ils vendent leurs cartes de pêche à l'information des masses populaires qui aiment bien taquiner nos amis les poissons en les relâchant ensuite !

    LE PEUPLE sera désormais informé et ne sera plus tenu dans l'ignorance crasse !

    Alors que dans cette CSS 2016 pas un mot sur une éventuelle prolongation pour ne pas affoler les populations locales et les prendre de vitesse. Ils n'en ont pas pipé un seul mot.  Ils ont juste parler de remise en état du site, de servitudes d'utilité publiques, de révision du règlement d'urbanisme, de parc phovoltaïque, de l'étude olfactométrique, d'envol des sacs plastiques, de la difficulté de valoriser le biogaz en raison de la présence de silice, de la reprise de l'étanchéité du ruisseau sur toute la traversée de la décharge, de la réception des 66 096 T de déchets en 2015 dont 89 % sont des DIB.....

    Depuis le 15 décembre, (pendant que les gens ont la tête ailleurs et ne pensent qu'à s'affairer pour les cadeaux des fêtes de noël 2016), c'est silence radio du côté des services de l'Etat qui ne tiennent absolument pas à dévoiler le résultat, préférant cacher aux populations locales la vérité et de les mettre, une fois l'arrêté préfectoral signé impérativement avant le 31/12/2016, devant le fait accompli.

    En fait, ils pensent que ça passera une nouvelle fois devant des élu-es plus ou moins passifs qui n'ont eu de cesse de crier mais qui se sont - en fait - couchés devant les arrêtés préfectoraux successifs. Pas un élu de Saint-Romain-en-Gal ou des communes alentours n'est allé contester au tribunal administratif l'arrêté préfectoral de fin 2015 ! Ni les "écologistes" de la FRAPNA du Rhône !

    C'est un scandale alors que les populations locales sont ennivrées par les odeurs infernales ! Où sont-ils ces écolos de la FRAPNA qui ont touché pas mal de fric de l'ex-Région Rhône-Alpes ? 

    Nous avons demandé au nouveau président de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, Laurent WAUQUIEZ, de nous sortir l'état des subventions à la FRAPNA et à la Ligue de protection des oiseaux (LPO) sour l'ex-présidence QUEYRANNE !

    Qu'ont-ils fait, eux, les écolos de cette FRAPNA 69 adhérente à la FNE (Fédération Nature Nature Environnement) ? Nous allons passer à la loupe les CoDERST 69 ainsi que tous les dossiers où la FRAPNA devrait nous épauler ! Il suffit d'observer comment ça c'est passé avant ce 15 décembre entre la FRAPNA 69 et AURA Environnement ! Ils nous ont carrément raccroché au nez  parce que nous voulions savoir qui représenterait le FRAPNA 69 au CoDERST !

    Plusieurs personnes sont atteintes de cancers dans la région de Saint-Romain-en-Gal. C'est normal ? Quelle est la prévention des populations locales par l'ARS sur les dangers encourus par les riverains ? Pourquoi Mme B. et Mme V. ont-elles eu un cancer du sein ? Pourquoi Mme G. a-t-elle eu un cancer généralisé ? Pourquoi Mr D. a-t-il eu un cancer des oreilles et des poumons ? Pourquoi X a-t-il fait 2 embolies pulmonaires ?

    Qu'en pensent les médecins généralistes et les spécialistes du Rhône ou d'ailleurs, d'ailleurs ?

    Est-il normal qu'à l'été 2016, les riverains n'ont pu partager une SEULE fois un barbecue Vegan en famille ? Qu'en pensent les footballeurs amateurs du Montpellier Hérault Sport Club ? Ils n'en font pas de barbecue, eux dans leur Camargue ?

    Romaura 128 2

    "Le Pilat à vélo" sauf dans notre cercle rouge, attention aux odeurs pestilentielles, prière de s'équiper avec un masque à gaz !!! Bientôt une nouvelle pétition visant à boycotter les vins de Condrieu. Patience, SVP !

    Les populations locales ne sont plus seules même si certains élus de Saint-Romain-en-Gal cherchent maintenant à savoir qui nous a contacté. Bonjour l'ambiance ! Comme si la énième demande de prolongation de NICOLLIN n'était pas source de nouvelles inquiétudes pour les habitants des communes riveraines de Saint-Romain-en-Gal !

    Nous devons chercher pourquoi ils-elles favorisent encore cette décharge qui aurait dû fermer, déjà, fin 2015. La recherche en responsabilités commence à la mi-juin 2015, voire plusieurs années antérieures. Nous vous demandons de ne pas hésiter à demander à la DDPP 69, à la DREAL 69, à la préfecture du Rhône, à vos élu-es des explications !!! Car, eux, ils le savent !

    Et n'oubliez pas Camarades, VOTRE IGNORANCE EST LEUR POUVOIR !

    Et que penser du Parc régional "naturel" du Pilat souillé d'une telle façon par des odeurs persistantes depuis de trop nombreuses années !

    St rom 061Et que penser de ces pauvres moutons qui respirent de l'air en permanence vicié pratiquement toute l'année ?

    Romaura 107

    Et bien Mr le préfet du Rhône, si entre sacs plastiques salés ou sucrés dans la neige les aniimaux ne font pas la différence et "se tuent en s'emmêlant les pattes", Nous, signataires de la pétition internet et papier d'AURA Environnement présente chez les petits commerçants et les, petits artisans, les sans-grade, le Tiers-Etat de la République des ripoux, nous, nous estimons que les animaux sont supérieurs à nous et nous nous coucherons à leur côté pour leur éviter une mort certaine et inadmissible ! Les animaux n'ont pas à être gazés ! Les humains, non plus ! Assez de Dachau !

    Lien de notre pétition : http://www.mesopinions.com/petition/animaux/halte-mise-danger-moutons-agneaux-lieu/26877

    Nous ferons descendre à Saint-Romain-en-Gal toutes et tous les camarades fanatiques et épris d'amour pour les animaux ! Nous voulons un diagnostique immédiat sur la santé des moutons, agneaux, vaches, chevaux, toutous, chats, et... dans un rayon de 10 km autour de cette décharge archaïque ! Nous ferons descendre la France à Saint-Romain-en-Gal ! Si les fonctionnaires du Rhône et les élu-es n'ont aucune pitié pour la défense des animaux, ils se trompent lourdement !

    Pour défendre la Noble cause des moutons et des agneaux innocents de Saint-Romain-en-Gal dans le Rhône, je n'ai pas besoin de 10 000 camarades-manifestants pour gesticuler ! Je veux juste les 500 plus fanatiques des plus fanatiques et déterminé-es que compte la P.A. (protection animale) !

    Vous êtes plus de 40 000 admiratrices et admirateurs de ma page de la "Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux". Merci de nous envoyer un message en MP pour en finir avec la décharge archaïque de Saint-Romain-en-Gal en nous contactant via ce lien https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/

    Feu ! Ouvrons le bal ! Place au covoiturage des militant-es de la P.A. (Protection Animale). Frères, soeurs, "Pas de téléphone sur place", SVP. Répétons : "Pas de téléphone sur place". Juste une carte d'identité dans le jean. Répétons : "Juste une carte d'identité dans la poche".

    Frère numéro 1 Marc-Claude de PORTEBANE

    K1 (Camarade n° 1)

  • PETITION. HALTE Mise en DANGER MOUTONS et AGNEAUX au lieu-dit « Le Melay » à Saint-Romain-en-Gal (69) et STOP à cette Unique décharge à poubelles !

    HALTE Mise en DANGER MOUTONS et AGNEAUX

    au lieu-dit « Le Melay » à Saint-Romain-en-Gal (69)

    et STOP à cette Unique décharge à poubelles du Rhône !

    St rom 063

    LIEN :  http://www.mesopinions.com/petition/animaux/halte-mise-danger-moutons-agneaux-lieu/26877

    À l'attention : de l'UE, du Sénat, de Mme la ministre de l’Environnement, Ségolène ROYAL et Mr Michel Delpuech préfet région Auvergne-Rhône-Alpes

    Samedi 10/12/2016, les militant-es d’AURA Environnement ont découvert des pauvres moutons et des agneaux respirant des odeurs pestilentielles vers l’unique décharge du Rhône gérée par l’entreprise NICOLLIN au lieu-dit « Le Melay » à Saint-Romain-en-Gal (Département du Rhône, en face de Vienne - Isère -), qui devait définitivement fermer au 31/12/1015. Las, le préfet a renouvelé l’autorisation pour un an jusqu’au 31/12/2016.

    Or, la société NICOLLIN vient, une nouvelle fois, de solliciter le préfet du Rhône via un DAE (Dossier de Demande d’Autorisation d’Exploiter) concernant une modification relative à la durée d’autorisation d’exploiter cette décharge pour une durée d’exploitation de 6 mois renouvelables une fois, pour un tonnage de pas moins de 2 000 T, et ainsi projeter de poursuivre l’exploitation de cette décharge en rehausse sur les casiers A et B. Après 2016, place au tour de passe-passe à la sauce 2017 !!!

    Le CoDERST du Rhône du 15/12/2016 composé, notamment, des conseillers de Lyon Métropole Jean-Luc PASSANO et Thierry PHILIP ; des conseillers départementaux Antoine DUPERRAY et Colette DARPHIN ; d’Arthur ROCHE maire de Genay ; de Marc RODRIGUEZ adjoint au maire de Neuville-sur-Saöne ; de Jean-Yves SECHERESSE adjoint au maire de Lyon ; de Michel GUILLOUX conseiller municipal de Feyzin ; de Pierre MARMONNIER maire de Colombier SAUGNIEU ; de Jean GRENIER conseiller municipal de Saint-Maurice-sur-Dargoire ; d’Emmanuel ADLER et de Pierre LAGAT de la FRAPNA 69 ; des représentants de l’association UFCS ; de l’association des Familles rurales de Lyon-Bron ; de l’association Familles de France ; d’Alain LAGARDE et d’Antoine MATEOS de la Fédération du Rhône pour la pêche et la protection du milieu aquatique ; de Stéphane PEILLET et de Gérard BAZIN de la Chambre d’agriculture du Rhône ; de Didier CHARBONNEL de la CCI de Lyon ; de Jérôme BADIE de la CCI du Beaujolais ; de Linda BENAICHA et Véronique STARC de l’association AIR Rhône-Alpes ; de l’expert dans le domaine de la sécurité industrielle Yves VALENTIN ; du Dr Sophie PAMIES directrice de l’écologie urbaine de Lyon ; du Dr Philippe RITTER expert en santé publique ; de Michel TIRAT hydrogéologue coordonateur ; de Paul CHAMBON professeur de toxicologie, etc….. vont-ils porter un « coup mortel » aux animaux innocents vivant dans les alentours de cette décharge nauséabonde que riverains ulcéré-es et populations locales ont déjà vainement porté en pétition in solidum avec le maire et son conseil municipal ?  

    Suite à cet avis du CoDERST, (où nous espérons que les écologistes de la FRAPNA Rhône-Alpes ne brilleront pas par leur absence), l’arrêté préfectoral, qui s’ensuivra de facto, négligera-t-il les espèces animales locales qui ont droit au respect de leur environnement, ce qui est loin d’être le cas à plusieurs centaines de mètres de cette décharge archaïque où il n’y a même pas de valorisation des déchets de nos poubelles !

    Nous, signataires de cette pétition d'AURA Environnement, nous demandons aux services de l’Etat pour début 2017 et les années suivantes :

    - La fermeture définitive de cette décharge de Saint-Romain-en-Gal au maximum le 31/12/2016.

    - Une étude épidémiologique sur les animaux vivant dans les alentours de cette décharge.

    - Une expertise complète sur les sacs plastiques et autres emballages ayant contenu des aliments sucrés ou odorants (dont certains s'envolent) avalés par les animaux.

    - Une recherche en responsabilités sur la dégradation du paysage dans cette commune du Parc naturel régional du Pilat.

    - Une expertise sur les maladies potentielles pour le personnel de cette décharge.

    - Que la DDPP 69 (Mme FISCHER) et la Dreal 69 (Mme JAMMES) cessent de faire de la rétention dans la communication de documents publics en violation des articles L.124-2 et L.124-3 du Code de l’environnement.

    - Une expertise pour les préjudices subis par les populations locales en terme de santé, d’esthétisme (Conseil d’Etat 01/10/1996), désagréments divers.

    Moutons et agneaux qui sont des animaux lents et consciencieux (notre photo) et qui broutent près de cette décharge intolérable de Saint-Romain-en-Gal et son splendide musée gallo-romain, ont le droit de respirer de l’air pur et non des odeurs de « chou pourri » (Source : Pétition papier 2014 de Marc GAVIOT-BLANC).

    Les habitants et TOUS les animaux petits, moyens ou grands de Saint-Romain-en-Gal dans le Rhône pourront toujours compter sur le Collectif de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux et l’association AURA Environnement.
     

    MOBILISONS-NOUS DANS LES RUES de SAINT-ROMAIN-EN-GAL !

    Marc-Claude de PORTEBANE
    Porte-parole du Collectif de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux
    Président d’AURA Environnement
    Email : aura-environnement@laposte.net

    http://www.aura-environnement.com/

     

  • CoDERST 69 du 15/12/2016 prolongation ISDND NICOLLIN à Saint-Romain-en-Gal : FRAPNA 69 votera-t-elle pour 1 décharge ZERO Valorisation ?

    Depuis qu'AURA Environnement a mis les pieds dans le plat, les débats font rage dans le landerneau lyonnais !

    Alors que la FRAPNA 42 s'est opposée au CoDERST 42 à la décharge

    de Borde-Matin dans la Loire qui incluait la valorisation....

    La FRAPNA 69 votera-t-elle jeudi 15/12/2016 pour la prolongation

    de la décharge archaïque ZERO Valorisation de Saint-Romain-en-Gal ?

    St rom 025AURA Environnement vient d'apprendre aujourd'hui qu'Emmanuel ADLER, le titulaire de la Frapna 69 (Fédération Rhône-Alpes de Protection de la Nature. Le suppléant désigné par le préfet étant Pierre LAGAT) était "malade" et ne pouvait pas représenter cette association de défense de l'environnement au prochain CoDERST du 15/12/2016 à Lyon qui doit rendre son avis sur une énième prolongation de la décharge de Saint-Romain-en-Gal que ni le maire, ni les élu-es, ni les populations locales, ni les riverains qui ont alerté AURA Environnement ne veulent entendre parler !

    Peut-être que ce sera Lydie Memosa (en charge des dossiers relatifs aux problématiques déchets et pollutions (air, sol, lumineuse, eaux et qui anime le réseau Sentinelles) qui prendra la défense des populations locales en votant "CONTRE" une énième prolongation de l'ISDND gérée par l'entreprise NICOLLIN.

    St rom 049

    Si la FRAPNA Rhône-Alpes votait "POUR" la énième prolongation de la décharge archaïque de Saint-Romain-en-Gal, ce serait ahurissant de constater qu'elle serait en contradiction avec son collègue de la Loire, Jacky BORNE, qui, lui (après des échanges houleux et pénibles avec le secrétaire général de la préfecture de la Loire, selon certains témoins), a voté CONTRE le projet de valorisation porté par SUEZ sur le site de Borde-Matin à Roche-la-Molière et qui incluait.... de la valorisation !

    Si la FRAPNA Rhône-Alpes votait "POUR" la énième prolongation de la décharge archaïque de Saint-Romain-en-Gal dans le Rhône, ce serait scandaleux de constater qu'elle voterait POUR une décharge d'un autre âge qui ne produit même pas de l'électricité avec le biogaz !

    Car la décharge archaïque de Saint-Romain-en-Gal, c'est du brûlage du biogaz en torchère avec une TGAP associée à 40 €/T car il n'y a pas de valorisation !

    Il suffit de se rendre, comme l'ont fait les militant-es d'AURA Environnement dans le quartier du "Melay" à Saint-Romain-en-Gal pour se rendre compte de ce que c'est une décharge archaïque avec des odeurs pestilentielles à couper le souffle qui défigurent le parc naturel régional du Pilat !

    Alors que la DDPP 69 et l'UT de la Dréal 69 commencent à nous faire de la rétention de l'information, les populations locales de Saint-Romain-en-Gal épaulées par AURA Environnement maintiendront la "pression" jusqu'à la fermeture DEFINITIVE de cette décharge dont l'Etat ne cesse d'accorder prolongation sur prolongation au mépris de l'environnement !

    Si la Frapna du Rhône votait POUR une énième prolongation de la décharge archaïque de Saint-Romain-en-Gal dans le Rhône, nous irions à la déflagration totale et nous en informerions massivement les écologistes (militants et sympathisants) de la grande région Auvergne-Rhône-Alpes ! Et nous n'hésiterions pas à donner un "grand coup de pied" dans le panier des ex-larges subventions accordées par l'ex-présidence QUEYRANNE - au nom du contribuable rhônalpin - et dénoncées par le nouveau président de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, Laurent WAUQUIEZ, qui ne cesse de nous sortir rapports de la chambre régionale des comptes sur rapports de la chambre régionale des comptes !

  • Le préfet du Rhône un nouveau blanc-seing d'odeurs infernales à ISDND de NICOLLIN à Saint-Romain-en-Gal (69) ?

    AURA Environnement en soutien au maire, aux élus et aux riverains en colère !

    Alors que la décharge de NICOLLIN à Saint-Romain-en-Gal

    devait définitivement fermer le 31/12/2016,

    la préfecture du 69 s'apprête à demander l'avis du

    CoDERST pour une nouvelle autorisation de 8 mois !

    St rom 063

    SCANDALEUX ! Le parc naturel régional du Pilat est un des 6 parcs naturels régionaux (PNR) de la région Auvergne-Rhône-Alpes. Labellisé en 1974, il est historiquement le deuxième parc naturel régional créé dans la région et compte parmi les premiers établis en France....

    St rom 061......A Saint-Romain-en-Gal, il est complètement "saboté" par les odeurs pestilentielles qui incommodent riverains, vététistes, randonneurs pour ne pas parler de ces pauvres moutons - dont des petits agneaux - qui broutent l'herbe à quelques pas de l'immense décharge de NICOLLIN qui stocke 80 000 T de déchets par an et dont on aperçoit le bulldozer dans le cercle rouge de notre photo....

    St rom 086

    Les riverains et les élus de la commune de Saint-Romain-en-Gal (Rhône) séparée de la ville de Vienne (Isère) par le fleuve "Rhône" qui pensaient en avoir terminer avec l'ISDND (Installation de Stockage de Déchets Non-Dangereux) située au lieu-dit "Le Melay" et gérée par le Groupe NICOLLIN qui en est le propriétaire et l'exploitant, ont pris attache avec AURA Environnement parce qu'ils en ont plus que marre d'observer que la préfecture du Rhône risque bien de valider pour 8 mois supplémentaires cette verrue qui ne cesse de déferler ses odeurs infernales dans le parc naturel régional du Pilat depuis de trop nombreuses années.

    St rom 041Pourquoi une énième prolongation de cette décharge ?

    Par arrêté préfectoral du 21/10/2009, l'ISDND de NICOLLIN avait été autorisée jusqu'au 31/21/2015.

    Le 28/12/2015, dans l'indifférence générale, un arrêté complémentaire autorisait l'entreprise NICOLLIN à poursuivre l'exploitation de sa décharge jusqu'au.......28/12/2016.

    Or, AURA Environnement a appris, dernièrement, lors du salon POLLUTEC, que NICOLLIN s'apprêtait a solliciter une nouvelle demande de prolongation de cette ISDND pour une durée supplémenatire de 8 mois.

    St rom 048Cette procédure, déjà utilisée l'an passée par NICOLLIN, ne prévoit aucune consultation des élus locaux et des riverains qui subissent depuis des années - comme a pu le constater AURA Environnement hier 10/12/2016 en patrouillant dans la région du Melay - les odeurs pestilentielles générées par cette décharge qui, en plus des nuisances olfactives intolérables, sème ses sacs en plastique....

    St rom 053

    .....en ces veilles de décoration de noël, sur les arbres et arbustes environnants !

    Puisque les associations environnementales locales se couchent, AURA Environnement a décidé "de croiser le fer" en allant fissa contester le futur arrêté préfectoral au tribunal administratif de Lyon.

    St rom 027Nous verrons bien comment sera caractérisée la circulaire du 14/05/2012 et notamment ces modifications trop souvent dites "substantielles" !

    Quelques mois de prolongation par-ci, par-là permettent d'éviter une longue et coûteuse enquête publique !

    AURA Environnement n'est pas dupe !

    St rom 097Et que dire de ces prolongations systématiques accordées à la pérennité d'une décharge située - seulement - à quelques km de l'illustre Musée gallo-romain de Saint-Romain-en-Gal qui fète ses 20 ans !!!

    Découvert en 1967 à l'occasion de la construction d'un lycée sur la rive droite du Rhône, le site archéologique de Saint-Romain-en-Gal révèle un vaste quartier artisanal et résidentiel de la Vienne Antique. Le site a été occupé dès la fin du Ier siècle av. J.-C. par de grandes demeures à péristyle, domus urbaines, qui voisinent avec des entrepôts, des boutiques, des échoppes d'artisans et des ateliers.

    Pourvu que les visiteurs de ce musée remarquable ne visitent pas trop le site d'AURA Environnement pour visiter ensuite la décharge de NICOLLIN située au lieu-dit "Le Melay" !

    AURA Environnement s'apprête à lancer une vaste campagne d'information sur cette décharge à l'attention des visiteurs de ce musée gallo-romain !

    Ils ne savent rien. Il sauront désormais !

  • Indice Quallité de l'Air : le massif du Puy-de-Dôme aussi pollué que la Vallée de l'Arve ! Stop feux de cheminée !

    Le conformisme petit-bourgeois des feux de cheminée

    et des transports routiers largement responsables

    de la pollution de l'air de nos campagnes et vallées !

    Iqa 002

    C'est avec leur pognon que les petit-bourges allument leurs feux de cheminée et nous polluent. Les cheminées des pavillons des villes crachent leur venin, alors qu'ils ne sont pas sans savoir qu'ils nous polluent.

    On devrait traîner devant les tribunaux ceux qui font la promo de la cheminée alpine ou auvergnate, après une journée de ski.

    Nous allons les traquer. Nous avons envoyé 9 équipes de 2 camarades pour faire de la prévention dans les villes et les agglomérations de la Vallée de l'Arve, où, bien souvent, ces nantis cumulent chauffage électrique et cheminée d'agrément, souvent 2 à 3 véhicules par foyer fiscal !

    Vous n'allez pas être déçus du voyage !

    Cette vérité est corroborée par les services de l'Etat en Haute-Savoie qui ont pointé hier (Source : communiqué de presse de la préfecture de Haute-Savoie : "Réunion de concertation sur l'épisode de pollution en cours en vallée de l'Arve") du doigt le secteur résidentiel et le chauffage au bois (57 % des PM10) qui arrive en tête des principaux émetteurs de la pollution aux particules fines.

    Seront concernés également les poids-lourds strictement inférieurs à la norme Euro 3 (mis en circulation avant 2001) qui représentent environ 30 % de le flotte locale !

    Lundi 12 décembre, le préfet de la Haute-Savoie prendra un arrêté pour mettre en place une circulation alternée des poids-lourds les plus polluants.

    Ces infâmes poids-lourds qui ne cessent de dégrader cette vallée de l'Arve parce qu'il faut bien alimenter les caisses capitalistes des pays industrialisés, le pied des sapins de noël des enfants en cadeaux en provenance de Chine !

    En Auvergne ? Que nenni ! On ne parle que de la Haute-Savoie ou de la vallée lyonnaise, mais de l'Auvergne que dalle !

    Tout le monde pollue ! Même la plupart de certains producteurs Bio qui roulent avec des véhicules diesels pourris pour vendre leurs production aux bobos des villes. Cessons cette hypocrisie !

    Le Progrès de Lyon d'aujourd'hui a constaté, (édition du 10/12/2016), à Lyon et à Villeurbanne, en pleine interdiction de circulation des véhicules aux plaques paires, que les automobilistes trichaient en arguant de prétextes douteux et se disaient même prêts à payer 22 € d'amende pour mieux polluer Lyon qui est dans le rouge depuis toute la semaine !

    St rom 001Hier, en pleine fête des lumières lyonnaise, au marché de noël dans la cour du groupe régional de Groupama à Lyon, le marché de noël avec ces produits Bio battait son plein alors que les lumières dégueulaient d'éclairs, que les ordinateurs portables clignotaient au vert tandis que les appareils à carte bleue des petits producteurs crépitaient dans le rouge !

    A noter : une boisson chaude et 1 crêpe/gaufre étaient offertes par les marmitons locaux !

    Bien cuites à l'énergie solaire ?

  • ANTI-CHASSE à Vesoul : la pétition de Marc-Claude de PORTEBANE fait mettre en taule 2 cadres de la Fédé 70 !

    La pétition cinglante de Marc-Claude de PORTEBANE fondateur 

    de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux

    qui dénonçait des abus à la Fédé de la chasse du Haut-Doubs :

    Prison ferme pour 2 ex-cadres lourdement

    condamnés pour exécution d'animaux protégés !

    Pollutec 014

    Le 19/11/2013, Marc-Claude de PORTEBANE Lançait une pétition qui recueillait plus de 7 900 signatures en soulevant l'indignation générale en France.

    Son titre : "STOP à la Fédération de la Chasse du 70 et à cette honteuse destruction d’espèces protégées en bande organisée à Noroy-le-Bourg !". Lien : http://www.mesopinions.com/petition/animaux/stop-federation-chasse-70-honteuse-destruction/11014

    Ouest-France (01/01/2016) nous informe comment la justice vient de condamner ceux que nous dénoncions avec force vigueur :

    "Les anciens dirigeants de la Fédération des chasseurs de Haute-Saône ont été condamnés jeudi par le tribunal de Vesoul à un an de prison ferme pour avoir donné l'ordre à trois apprentis d'exécuter plus d'une centaine d'animaux protégés.

    Le tribunal correctionnel a également prononcé des peines de 4 à 12 mois de prison avec sursis pour un technicien et trois apprentis de la fédération qui avaient reconnus avoir tué entre octobre 2010 et juillet 2013, sur ordre, plus d'une centaine de chats sauvages et de rapaces protégés sur la réserve cynégétique de Noroy-le-Bourg (Haute-Saône). 

    David Lombardot, l'ancien directeur, et Robert Putz, l'ancien président, « ont manipulé les gosses, M. Putz est le grand ordonnateur, il savait, il a laissé faire et il a encouragé », a déclaré la présidente du tribunal Claire-Marie Casanova en rendant le jugement, avant de souligner « le trouble considérable causé à l'environnement ».

    Les apprentis tiraient les chats sauvages et les rapaces au fusil, les blessaient mortellement ou les empoisonnaient sur le territoire de cette réserve gérée par la fédération de chasse départementale et destinée à faire proliférer le petit gibier.

    « La prime de queue »

    Ils devaient ensuite arracher la queue des animaux pour percevoir une rémunération baptisée « prime de queue ». L'un des apprentis a dénoncé ces agissements et permis ce procès.

    Le tribunal est allé bien au-delà des réquisitions du parquet qui n'avait pas demandé la condamnation de l'ancien président de la fédération, requérant uniquement des peines de prison avec sursis pour les deux autres cadres et les apprentis.

    Une quinzaine d'associations de protection de la nature seront indemnisées en tant que parties civiles."

    LA PETITION VICTORIEUSE

    DE MARC-CLAUDE de PORTEBANE

    "Exigeons la démission en bloc du conseil d'administration de la Fédération départementale des chasseurs de la Haute-Saône !

    Organisons la résistance pour la protection des animaux sans défense fusillés à bout-portant par des assassins !

    Au coeur de la Haute-Saône à une dizaine de kilomètres de la préfecture, sur la petite commune de Noroy-le-Bourg, se déroule depuis plusieurs années l’inimaginable.

    Des actes illégaux étaient effectués par du personnel de la fédération des chasseurs de Haute-Saône dans le cadre de la gestion d’un terrain de plusieurs dizaines d’hectares situé en partie sur une zone Natura 2000.
    Ceci dans l’objectif d’établir la vitrine cynégétique et pédagogique du département avec l’implantation très onéreuse de lapins de garenne et de faisans. Ces espèces n’ont d’ailleurs aucune légitimité au sein du cortège de la faune autochtone.

    Selon les témoignages, la structure départementale aurait organisé, pendant plusieurs années, la destruction des prédateurs présents sur ce secteur.
    Les témoins parlent de 252 animaux de la faune sauvage qui ont été tués dont 80% d’espèces protégées au titre 411-1 du code de l’environnement.

    La liste est longue : martres, chats forestiers, hérissons d’Europe, buses variables, éperviers d’Europe autour des palombes…(cf. les documents-photos que nous publions sur le site de l'Idiot provincial).

    Toujours d’après les témoins, pour parvenir à ce triste palmarès, une ceinture de pièges était disposée autour du noyau d’implantation des faisans et lapins. Tous les animaux capturés, protégés ou non, étaient tués.

    Une autre pratique prohibée et très dangereuse aurait aussi été utilisée. Elle consistait à employer des poisons interdits et très puissants. (Poison de type Curater dont le principe actif est le carbofuran, substance interdite au sein de l’Union européenne depuis 2007).

    Il est aussi rapporté que les commanditaires rémunéraient les actes contre des preuves matérielles. Ce sont donc d’après les témoignages des paquets de queues de chats forestiers ou autres rapaces qui arrivaient dans les mains des donneurs d’ordres pour être échangés contre des euros…

    Cependant, par une journée du mois d’août 2013, des preuves accablantes sont trouvées par des agents de l’ONCFS lors de leur perquisition au sein du siège de la fédération des chasseurs de la Haute-Saône et du site de Noroy.
    Les témoins, qui ne veulent pas en dire plus pour l’instant, affirment que nous ne sommes pas au bout de nos surprises… Les parties civiles nous en apprendront davantage lorsqu’elles auront accès au dossier. A moins que le Procureur général, maintenant en possession du dossier depuis le 20 septembre, décide de s’exprimer sur ce sujet.

    Mais suite à cet événement, on ne peut empêcher certaines questions d’émerger :

    - Que faut-il penser du bien-fondé d'un agrément au titre de la protection de la nature à une association aussi peu respectueuse des lois concernant les espèces protégées ? Notamment lorsque celle-ci a la possibilité d'intervenir dans les écoles, collèges et lycées de nos enfants pour parler de la biodiversité et de la protection de la nature ?

    - La gestion de la faune sauvage dont se prétexte la FDC 70 est-elle légitime ?

    - La formation des jeunes chasseurs et piégeurs par la FDC 70, permet-elle d’obtenir des titulaires responsables ?

    - L’aptitude de la FDC 70 à accueillir et à former des jeunes étudiants stagiaires (de BTS gestion et protection de la nature ou autres) est-elle encore fondée ?

    - Que pense le Préfet de Haute-Saône de cette affaire ?

    - Que pense le Directeur Académique des Services de l’Education Nationale (DASEN) de ces intervenants en milieu scolaire ?

    - Que pensent les services de Police et de Gendarmerie sur la provenance des poisons et la mise en danger d’autrui lors de leur manipulation ?

    - Que penser de la gestion comptable de la FDC 70 ?

    - Cette affaire a-t-elle une relation avec la forte augmentation de la cotisation des chasseurs du département auprès de leur fédération ?

    - Que se passait-il sur les autres sites gérés par la FDC 70 ?

    - Que pense la FNC ?

    - Que pensent messieurs Jean-Pierre POLY, directeur général de l’ONCFS et Henri SABAROT, président du conseil d’administration de cette enquête ?

    Exigeons la démission en bloc des administrateurs de la Fédération départementale des chasseurs de la Haute-Saône qui participent à des missions de service public, notamment les actions qu'elle mène dans les domaines suivants (comme le stipule l'article 12 de ses statuts) :

    - Mise en valeur du patrimoine cynégétique départemental ; protection et gestion de la faune sauvage et de ses habitats ;

    - Contribution à la prévention du braconnage ;

    - Information, éducation et appui technique à l'intention des gestionnaires de territoires et chasseurs, etc...

    Objectif national : 100 000 signatures - Merci de valider vos signatures -
    Pas de pitié pour les assassins d'animaux innocents, faisons confiance à la justice de notre pays !

    MERCI !

    Marc-Claude de PORTEBANE

    Ancien-candidat à la députation de l'Allier (Auvergne) "

  • Inauguration centre de tri Généris #3 à Ploufragan : Jean-Yves Le Drian est-il aveugle ou borgne pour Morlaix ?

    Alors que la nouvelle vitrine de Kerval Centre-Armor 

    le centre de tri Généris #3 était inauguré à Ploufragan

    dans les Côtes d'Armor en présence de Jean-Yves Le Drian :

    les alentours du centre de stockage de CSR de Guyot Environnement

    étaient "mitraillés" de photos par AURA Environnement vers Morlaix !

    Smdc 115

    En haut en blanc, le centre de stockage de balles de CSR (issues de nos poubelles) de Guyot Environnement vers Morlaix, en dessous, un petit ru rougeâtre (flêche rouges) se dirige directement vers la rivière "La Pennélé" ! Toute la zone est marécageuse, on s'enfonce entre 40 et 60 cm de profondeur voire plus. Le sol est gorgé de produits aqueux et les odeurs sont pestilentielles.

    Entourés de nombreux gardes-du-corps et une flopée de RG, l'inapprochable ministre de la Défense et président de la Région Bretagne, Jean-Yves Le Drian, est venu inaugurer le centre de tri sélectif Généris #3  exploité par Suez à Ploufragan où plus de 17 800 T de déchets (journaux, revues, magazines, cartons, bouteilles plastiques claires, briques alimentaires, pots de yaourt, aluminium) sont triés.

    Smdc 042

    Ce sont la plupart de ces élus présents hier avec Jean-Yves Le Drian lors de l'inauguration du centre de tri Généris #3 à Ploufragan qui ont décidé d'octroyer plus de 20 millions d'euros à Guyot Environnement pour la future Unité de tri-valorisation des Châtelets (plus de 330 000 € de frais financiers/an pour les études, le bâtiment VRD, le process de tri et séparation hors plateforme et cabine, plateforme, cabine, équipements mobiles - si besoin -) ! Qu'en pense la Chambre régionale des comptes ? Est-il normal d'avoir autant de frais financiers ?

    Smdc 029

    "Trier pour payer moins cher" vers Saint-Brieuc dans les Côtes d'Armor, "Souci de sensibilisation et de pédagogie" ailleurs en France, alors que la pollution des sols vers le centre de stockage de Guyot Environnement sur le site de Kerolzec à Saint-Martin-des-Champs vers Morlaix dans le Finistère risque de coûter une petite fortune. L'Etat semble laisser pourrir la situation. Personne n'en parle, même pas la presse locale. Ils nous prennent vraiment pour des cons !!!

    Smdc 039Généris #3 est un site exemplaire vanté par le syndicat Kerval Centre Armor qui en fait sa vitrine en terme de communication. #3 car ce site en est à sa 3° modernisation (2006, 2013, 2016). Propriétaire : Kerval Centre Armor. Création : 2001. Capacité nominale : 38 000 T. 17 833 T de déchets en 2015 pour Généris #3 sur un territoire de 350 000 habitants, comprenant la zone centrale des Côtes d'Armor, allant de Saint-Brieuc à Binic, Loudéac et Lamballe. Exploitant : Suez Environnement.

    Pendant que les élu-es de la région faisaient des risettes au président Le Drian, nos camarades d'AURA Environnement pataugeaient dans la boue aux abords du centre de stockage des balles de CSR (Combustible Solide de Récupération) - retrouvées encore une fois éventrées sur le site de Saint-Martin-des-Champs (Morlaix) et plus particulièrement en remontant le cours d'eau de la petite rivière martyr "La Pennelé" !

    AURA Environnement a alerté déjà les services de l'Etat, mais rien y fait. L'Etat laisse faire ! L'Etat nous cache la vérité !

    Smdc 113....Pendant ce temps-là, en dessous du centre de stockage de CSR vers Morlaix, le jus couleur tomate s'écoule, dans les sols puis direction la rivière "La Pennelé" !!!!

    Dans un premier temps, AURA Environnement demandait à un huissier de la région du Finistère Nord de constater l'état de ces balles de CSR éventrées et laissées à l'air libre qui dégagent des odeurs, puis alertait la préfecture de Bretagne, l'ONEMA et le DDTM du Finistère !

    Le 15/11/2016, Serge LE DAFNIET (DDTM 29, service Eau Biodiversité, responsable du pôle police de l'eau), nous répondait que "Le dossier est en cours de traitement par le service installations classées, une visite a déjà été effectuée. Compte-tenu de la nature des produits, et de la configuration des lieux, il n'y a pas de risque de pollution de l'eau".

    Smdc 085

    Question à la DDTM 29 : à quoi sert ce tuyau dans le lit de la rivière La Pennélé ?

    Or, ce week-end, nos camarades d'AURA Environnement ont enfilé leurs bottes et effectué une visite des alentours de ce centre de stockage géré par Guyot Environnement, non pas uniquement par la route goudronnée qui rejoint Kérolzec, le château de Bagatelle ou la commune de Saint-Sève.

    Les sentinelles d'AURA Environnement sont allées pateauger dans les terrains mouvants de la petite rivière "La Pennélé", en passant non loin du Moulin de la fontaine blanche.

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    Les petits poissons de la rivière "La Pennélé" vont certainement très apprécier de gober du "ketchup" issu des balles de CSR (Combustible Solide de Récupération) éventrées pour la pluart de Guyot Environnement à Saint-Martin-des-Champs sur le site de Kérolzec. Les CSR sont des déchets solides (bois, plastiques, papiers, cartons, tissus... issus des déchets industriels banals (DIB), des refus de tri en collecte sélective, des déchets non-fermentescibles extraits des unités de tri mécano-biologique (TMB) ou encore des déchets collectés par certaines filières de responsabilité élargie du producteur (REP)...) broyés afin d'être consumés dans des installations de co-incinération, et plus particulièrement les cimentiers qui font la pluie et le beau temps. En France, les 3 cimentiers s'entendent pour faire casquer au producteur le minimum afin que cette option soit moins chère que l'enfouissement) !!! Cette somme n'a bien évidemment rien à voir avec la soit-disante valeur énergétique de ce produit infâme qui en se consumant dégagé des dioxines et des furannes !!!!

    Et là : stupeur ! Des petits ruisselets rougeâtres s'évacuent de ce centre de stockage de Saint-Martin-des-Champs géré par Guyot Environnement, la même entreprise qui a gagné le marché de fabrication de CSR sur la zone des Châtelets....grâce aux élu-es de Kerval Centre Armor, non-loin du centre de tri Généris #3 inauguré hier après-midi par Jean-Yves Le Drian !

    Non seulement l'eau qui se dégage vers la rivière "La Pennelé" est rouge à souhait, mais en plus, de fortes odeurs pestilentielles se dégagent dans les environs de ce site de Kérolzec.

    L'ONEMA est-elle allé, là où les sentinelles d'AURA Environnement se sont rendues alors que les associations environnementales locales comme "Bretagne vivante" ou "Eaux et rivières en Bretagne" ne font absolument aucune visite. Tout juste se contentent-ils de se renvoyer les liens de notre site internet d'AURA Environnement.

    Quand est-ce que la région Bretagne va cesser d'alimenter en subventions ces associations qui doivent avoir de sacrés charges d'exploitation pour ne pas venir nous épauler sur le terrain ?

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    Il n'y a bien qu'AURA Environnement pour défendre cette charmante petite rivière innocente "La Pennélé". Mais que sont donc les CSR ? Faute de définition claire, ils constituent un combustible peu connu et réduit à 3 critères qualitatifs : leur pouvoir calorifique et leur teneur en chlore et en mercure !!!! Allo l'Ademe Bretagne ! Allo Morlaix Communauté ! Allo Gilbert PLASSART ! Allo Bretagne Vivante ! Nous attendons fissa votre avis car les petits poissons ont soif d'eau pure !!!!

    Que font les associations de pèche, regroupées en AAPPMA, comme celle de la région de Morlaix qui n'a pas hésité à faire du bon travail en faisant appel à des bénévoles pour le nettoyage de la rivière "La Penzé" et  dont le bureau se compose de la sorte :

    - Président : Jean-Yves MOAL

    - Vice-président : Jean-Paul CHARLES

    - Secrétaire : Gilles APPERE

    - Trésorier : Henri-Noël CHOLET

    Combien de temps la petite rivière "La Pennelé" devra être la martyr de Morlaix ?

    Depuis Octobre 2015 rien ne bouge !

    AURA Environnement appelle à une mobilisation générale

    à Saint-Martin-des-Champs pour dénoncer le laxisme de l'Etat !

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    Tandis que la rivière "La Pennélé" déguste un max, les balles de CSR du centre de stockage de Guyot Environnement - pourtant si bien envelopées et ficelées par Comdec Paal - éclatent au nez et à la barbe des services de l'Etat, des élus, des collectivités, des associations "écologiques" régionales et locales - trop locales d'ailleurs -, des associations de pêcheurs !!!

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    Que font les RG pour remonter l'information à Le Drian ? Ils recueillent des infos sur les militants de la cause environnementale ? Qu'en pensent les élu-es du département voisin des Côtes d'Armor et plus précisément de Kerval Centre-Armor qui verseront 23 millions d'euros à Guyot Environnement à Ploufragan dans les années à venir ?

    Contactée par AURA Environnement, l'entreprise GUYOT Environnement nous a indiqué que les eaux étaient ferrugineuses (d'où la couleur rougeâtre) et que cela était dû au fait que le site actuel était assis sur une ancienne carrière.

    El Maximo Paul TOP

  • Boeuf de Rethel à l'agonie : la plainte d'AURA Environnement sur le bureau du procureur !

    Boeuf laissé à l'agonie au foirail de Rethel :

    AURA Environnement a déposé plainte contre X

    par l'intermédiaire de Me Jean-Hubert PORTEJOIE

    du Barreau de Clermont-Ferrand !

    Rethel boeufEn octobre 2016, un pauvre bœuf avait été laissé 48 heures à l'abandon au foirail de Rethel, les deux pattes arrière cassées. Il a ensuite dû être euthanasié le lendemain.

    Une enquête a depuis été ouverte par le parquet de Charleville-Mézières.

    En plus d'AURA Environnement, deux autres associations de défense des animaux, L214 et Lisa, ont de leur côté déposé plainte.

    Le collectif de la "Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux" adhère à Aura Environnement et a dénoncé cet acte inadmissible depuis le début de l'affaire. .

  • Conférence de presse de Marc-Claude de PORTEBANE au Club de la presse de Bretagne à Rennes !

    Conférence de presse le mercredi 30 novembre à 14h
    L'association AURA Environnement fera le point sur la gestion des déchets en Bretagne

     

    Le président de l'association AURA Environnement, Marc-Claude de Portebane, organise une conférence de presse le mercredi 30 novembre à 14h au Club de la presse de Bretagne. Il fera notamment le point sur la sensibilisation du public aux déchets à la source, le relais réalisé auprès des populations locales et des réseaux locaux de mobilisations, le réseaux sentinelles bretons (réseau de médecins généralistes). Il présentera également les propositions qui sont faites pour réduire les déchets.
    Contact : Marc-Claude de PORTEBANE mcdeportebane.35@laposte.net / 06 40 29 68 72

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    Au programme :

    AURA Environnement a alerté - en vain - les services de l'Etat (Onema, DDTM, préfecture de Bretagne....)

    Poire 114- Que font les services de l'Etat pour demander à Guyot Environnement de mieux gérer ses balles de CSR sur le site de Saint-Martin-des-Champs vers Morlaix dans le Finistère ? Ces déchets sont-ils des inertes ? Quelles sont les incidences potentielles pour la rivière "La Pennelé" ? L'ADEME de Bretagne quelle position officielle à la vue de la mauvaise gestion de ces balles éventrées ?

  • Usines à poubelles et Anti-Spécisme : AURA Environnement renforce sa présence officielle en Bretagne

    Ce week-end la Fapel 22 a validé la candidature

    d'AURA Environnement en créant la commission Déchets !

    Fapel22 008

    Le président du "Pôle déchets" des Côtes d'Armor estampillé par la Fapel 22, Marc-Claude de PORTEBANE, (3° en partant de la gauche)

    C'est maintenant officiel : la candidature de Marc-Claude de PORTEBANE au poste de Président du futur "pôle Déchets" a bien été validée ce week-end à la salle des associations de Plougrescant dans les Côtes d'Armor par les administrateurs de la Fédération des associations environnementales : la FAPEL 22, lors de son A.G 2016.

    Pour rappel : la FAPEL 22 se veut indépendante politiquement et financière. Elle ne reçoit aucune subvention et n'a pas peur d'ester comme bon lui semble.

    Samedi 19/11/2016, chaque administrateur présent alignait ses adhérents et militants. Pour les seules Côtes d'Armor, le collectif "Greenbretagne" dont Marc-Claude de PORTEBANE est le porte-parole, revendique 60 militant-es issu-es de l'écologie autonome sans liens aucuns avec les scélérats de la FNE.

    Samedi 19/11/2016, Muriel FIANNACA, la présidente de la FAPEL 22 a exposé la situation réelle sur le terrain :

    - Lieu : ADEBE PAIMPOL. Problème : Association crée contre le projet de zone ostréicole à Boulgueff (Kerquestel) à Paimpol.

    - Lieu : ARPE TRELEVERN. Problème sur la SPPL et avec le camping en zone inondable.

    - Lieu : KERVAL CENTRE ARMOR à Ploufragan. Etudes juridiques concernant tous dossiers et notamment demande enquête publique et classement en ICPE de l'Unité de tri-valorisation des Châtelets actuellement en construction. Participation à la future CSS. Création du pôle "Déchets" à la Fapel 22 et d'une sous-commission CSR (Combustible Solide de Récupération). Demande révision Coderst 22 au nouveau préfet. Lutte contre le "Tourisme des déchets vers les autres départements, nuisances diverses". Présentation de la conférence de presse de Marc-Claude de PORTEBANE au Club de la presse Bretagne, le 30/11/2016 à 14h à Rennes, sur le "Devenir des déchets en Bretagne" et ces balles éventrées de CSR issues des poubelles sous l'indifférence des services de l'Etat sur le site de Kerolzec à Saint-Martin-des-Champs, vers Morlaix (Finistère) et ce, nonobstant l'alerte d'AURA Environnement auprès de l'ONEMA, la DDTM 29, la préfecture de Région Bretagne.

    - Lieu : SITES et PATRIMOINE de TREGASTEL. Association qui s'investit dans le dossier de la "Grève Rose".

    - Lieu : PLERIN SALLE POLYVALENTE. Problème : le maire de Plérin veut construire une salle polyvalente sur un espace agricole.

    - Lieu : E.V.A (Eaux Vivantes d'Armor). Problème : Lutte contre la zone ostréicole.

    - Lieu : Association "PRESERVONS le GUINDY et son ENVIRONNEMENT". Problème : Contre un projet de concassage-criblage et enfouissement de déchets dits inertes sur le site de l'ex-carrière de Plouguiel. 

    - Lieu : LES AMIS DU LAC. Jugement sur le fond attendu.

    - Lieu : PLOUGRESCANT. Problème : Extension de la zone ostréicole, abandon des coquilles d'huîtres mortes (maladies) en mer, Pas de plan de gestion des déchets contrairement à la section conchylicole Bretagne-Sud.

    - Lieu : COLLECTIF de DEFENSE de l'ENVIRONNEMENT de l'ILE GRANDE. Problème : Une maison a été construite en ne respectant pas le permis de construire. Cette maison moderne parmi les maisons de pêcheurs typiques de l'Ile Grande dénature un site, par ailleurs appartenant au Conservatoire. Le PLU de Pleumeur Bodou pousse à une urbanisation intense alors que le milieu est extrêmement fragile.

    - Lieu : KERARZIC ET PORS LAZO. Problème : Association de riverains contre la pose de dépôts de poches d'huîtres. Lobbying auprès des services de l'Etat et de la commission des cultures marines.

    - Lieu : BASE NAUTIQUE PLEUMEUR BODOU. Problème : L'extension de la base qui double de surface et qui enfreint la loi Littoral. Site Natura 2000. Zone en aléas de submersion.

    - Lieu : PLOUHA. Problème : camping municipal donné en DSP (Délégation Service Public). et loi Littoral.

    - Lieu : PLEUBIAN. Problème : La mairie veut constuire un SPA au pied du sillon. 

    - Lieu : VARISCAN. Problème : Recherche de métaux stratégiques.

    - Lieu : YVIAS. Problème : Déboisement et constructions sans permis...

    Le collectif Greenbretagne a lancé une pétition sur internet contre, notamment, le projet d'Usine à poubelles dans la ZI des Châtelets à Ploufragan (Banlieue de Saint-Brieuc) dont l'appel d'offre a été gagné par Guyot Environnement et dénoncé le stockage lamentable des balles de CSR (Combustible Solide de Récupération) à Saint-Martin-des-Champs (Banlieue de Morlaix dans le Finistère) par Guyot Environnement et ce, suite aux premières révélations de Robin des Bois de Paris.

    A noter qu'aucune association environnementale des Côtes d'Armor n'a dénoncé avec autant de vigueur les potentielles atteintes à l'environnement sur le site de Guyot Environnement, à Saint-Martin-des-Champs sur la ZI de Kerolzec, vers Morlaix, à part Robin des Bois fin 2015 et AURA Environnement fin 2016.

    Spec1 001Hier 20/11/2016, à Rennes, Marc-Claude de PORTEBANE a lancé - devant une trentaine de militants anarcho-écologistes et de militant-es anti-spécistes rassemblés non-loin du parlement de Bretagne, la "Section G" qui agira de façon indépendante des associations et des partis politiques dans le domaine de l'environnement et plus particulièrement les "Déchets" dans toute la Bretagne mais aussi dans la défense de la cause animale avec le soutien unanime à la cause anti-spéciste bretonne. La "Section G" sera la section "Action" de Greenbretagne. 

    La "Section G" s'est fixé pour objectif de lancer une vaste campagne médiatique bretonne qui ira de Nantes à Brest, de Quimper à Rennes en passant par Saint-Brieuc. Pas question au collectif "Greenbretagne" de se faire "doubler" sur son aile gauche ou sur son aile droite. La "Section G" veillera donc au grain.

    La "Section G" sera animé par une série de "K" responsables de zones comme "Kamarades" de 1 à 7. Exemple : dans la région de Quimper : "K5" Patrice MANIER est le Kamarade responsable de zone Bretagne-Sud de la "Section G" et de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux.

    Après son introduction en Bretagne, l'implantation d'AURA Environnement commence à fleurir comme la "Campagne des 100 Fleurs" dans toute la France.

    Paul TOP

  • Fréjus (83) : Les éboueurs de Pizzorno Environnement écrasent le chien "Voyou", puis le jettent dans leur benne-à-ordures !!!

    AURA Environnement va se porter partie civile :

    Soutiens massifs au boulanger de Fréjus d'AURA Environnement 

    et de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux !

    VoyouSelon Nice-Matin : " Voyou de son petit nom, le chien, un berger des Pyrénées, était dans la famille depuis douze ans et était apprécié de nombreux clients fidèles de la boulangerie."

    Le chien, un Berger des Pyrénées prénommé Voyou, avait été tué par accident par les employés de l’entreprise privée de récupération des déchets. Plus que sa mort, c’est la manière dont son corps a été traité par les éboueurs qui a choqué ses propriétaires.

    Voyou le Berger des Pyrénées vivait depuis 12 ans auprès de la famille de Christophe Adam, à Fréjus dans le département du Var. Boulanger de son état, ce dernier gardait toujours le chien près de lui dans la boutique et tous les habitués de la boulangerie appréciaient sa compagnie.

    C’est donc avec une grande tristesse, mais aussi beaucoup d’incompréhension, que la famille de Voyou a appris la mort de leur compagnon à 4 pattes la semaine dernière. Il aurait été percuté, par accident, par le camion-benne des éboueurs de Pizzorno Environnement, une société privée chargée de la collecte des déchets. Au lieu de prévenir les propriétaires du chien pour qu’ils puissent connaître le sort de leur animal et lui offrir une sépulture décente, ils ont décidé de jeter le corps dans la benne, au milieu des ordures.

    Ce n’est qu’après avoir insisté auprès de l’entreprise que Christophe Adam et ses proches ont pu savoir ce qu’il s’était réellement passé. La déchetterie de Fréjus et l’employé qui conduisait le camion les ont appelés le lendemain pour leur présenter leurs excuses.

    La famille a porté plainte auprès du commissariat de police. Elle est également entrée en contact avec des associations de défense des animaux.

    Interrogé par Nice-Matin, le boulanger a fait part de son indignation face à un tel comportement : « Je comprends qu'un tel accident puisse arriver, mais nous trouvons très choquant que les éboueurs aient ensuite jeté le corps avec les ordures ménagères. C'est indécent et illégal ».

    Pétition : https://www.chien.fr/petition/pour-punir-l-eboueur-ayant-ecrase-et-tue-accidentellement-un-chien-avant-de-le-jeter-dans-le-camion-benne/

  • Fermeture définitive décharge Saint-Romain-en-Gal : le Collectif GreenLyon-Grand-Lyon Déchets (CGL-GLD 69) prépare son offensive

    Le Collectif GreenLyon-Grand-Lyon Déchets (CGL-GLD 69)

    exige la fermeture définitive au 31/12/2016

    de la décharge gérée par l'entreprise NICOLLIN !

    Aura nov 16 006Le porte-parole du SGL-GLD 69 devant le siège de la Région Auvergne-Rhône-Alpes

    a improvisé une conférence de presse itinérante sur les

    odeurs insupportables de la décharge de Saint-Romain-en-Gal !

    Les habitants n'en peuvent plus de subir les odeurs infernales en provenance de la décharge du Melay (Saint-Romain-en-Gal) et ont fait appel à AURA Environnement pour montrer leur détermination totale afin que cette installation - gérée par l'entreprise NICOLLIN - ferme définitivement ses portes le 31 décembre 2016.

    Le Groupe NICOLLIN est propriétaire exploitant de cette ISDND de Saint-Romain-en-Gal (Traitement et stockage de 80 000 T de déchets par an).

    Les riverains et les populations locales excédées ont alerté le SGL-GLD 69 qui suit de très près l'évolution du dossier pour la fermeture définitive de cette décharge, avec les services de l'Etat et ce, depuis plusieurs mois.

    La riposte populaire est en marche à 30 km au sud de Lyon sur la rive droite du Rhône pour que Saint-Romain-en-Gal ne soit plus la vitrine désatreuse d'une sinistre décharge mais le reflet d'un site archéologique qui étale, lui, sur plus de 3 ha, les vestiges d'un quartier de la ville romaine de Vienne, car, dans l'Antiquité Vienna était la capitale d'un vaste territoire couvrant le Dauphiné et la Savoie en s'étendant de chaque côté du Rhône !

    Cette décharge n'aura survécu en 2016 que sous "perfusion" des services de l'Etat alors qu'elle aurait dû déjà fermer fin 2015 ! 

    Zéro dérogation en 2017 ! Le SGL-GLD 69 avec les riverains ne laisseront pas passer d'autres dérogations et n'attendront pas que le dernier casier soit plein à craquer  !

    Et n'oublions pas trop rapidement que les experts du parc naturel régional du Pilat ont recensé sur la commune :

    • le busard cendré ;
    • le castor d'Europe ;
    • le sonneur à ventre jaune ;
    • la genette ;
    • les landes sèches européennes ;
    • le millepertuis androsème ;
    • les pelouses sèches semi-naturelles ;
    • les prairies de fauche de basse altitude ;
    • les chênaies et les charmaies sub-atlantiques et médio-européennes.

  • Décharge Lely Environnement à St-Quentin/Isère : le collectif SD-SQI monte au front avec AURA Environnement !

    Le président d'AURA Environnement répond

    aux populations riveraines de Saint-Quentin/Isère

    en colère et crée le Collectif SD-SQI

    "Stop Décharge Saint-Quentin-sur-Isère" !

    Csdsqi 037Aujourd'hui 16/06/2016, Marc-Claude de PORTEBANE, le président d'AURA Environnement a répondu présent aux riverains du quartier "Le Replat" et des populations de la région de Saint-Quentin-sur-Isère ulcéré-es par les nuisances de la décharge de LELY Environnement et qu'ils subissent au quotidien depuis trop longtemps déjà, et ce nonobstant les multiples déclarations des élu-es qui n'ont eu de cesse de dire qu'ils ne voulaient plus voir cette "verrue" aux portes de Grenoble.

    Les habitants de la région de Saint-Quentin/Isère en ont plus que marre de ne pas être écoutés par leurs élu-es locaux et ont décidé la Résistance face aux petits potentats locaux qui n'ont rien à cirer de leur préoccupations quotidiennes.

    De cette poussée de fièvre, est donc né inévitablement un collectif de citoyen-nes qui, d'ores et déjà, appelle à la mobilisation générale en attendant les conclusions et le rapport du commissaire enquêteur, suite à l'enquête publique - concernant un projet par réhausse de cette Installation de Stockage de Déchets Non Dangereux - qui s'est clôturée en mairie de Saint-Quentin-sur-Isère, le 21/10/2016 à 16h.

    Le Collectif SD-SQI (Stop Décharge Saint-Quentin-sur-Isère) - qui bénéficie de la logistique en matière de communication d'AURA Environnement - a désigné ses responsables (dans l'attente d'autres attributions populaires, volontaires et bénévoles) :

    - Elisabeth BOUTEAUD : déléguée medias, élus locaux et départementaux

    - Marie-Madeleine TAN : responsable logistique et actions terrain

    - Gisèle SAGE : adjointe à la déléguée medias et élus locaux

    - Dominique BOUTEAU : conseiller technique déchets 38 et ISDND Saint-Quentin/Isère

    - Pierre NAON : adjoint-responsable logistique et actions terrain

    - Marc-Claude de PORTEBANE : porte-parole du SD-SQI

    Dans les prochains jours, nous vous donnerons la liste complète des nouveaux responsables qui vont commencer à renforcer le collectif SD-SQI ainsi que les coordonnées du siège du Collectif SD-SQI.

    Des actions militantes sont prévues. Une réunion publique sera organisée. Nous espérons la venue et le soutien de la députée EELV de l'Isère, Michèle BONNETON, pour soutenir la cause du SD-SQI !

    Dans le cadre de la défense fanatique de l'environnement et de la protection acharnée des animaux, l'action directe révolutionnaire du SD-SQI se met en place comme le "Grand bond en avant" à Saint-Quentin-sur-Isère dans la misère crasse de l'Isère !

    Pour le Collectif SD-SQI !

  • Les ZADistes d'AURA Environnement anti-Usine à poubelles CSR vers Saint-Etienne s'expliquent dans la presse :

    Les ZADistes du Collectif forézien C.H.U.P.A

    (Collectif Halte Usine à poubelles vers Andrézieux-Bouthéon)

    opposé-es au projet de Méga Usine à poubelles avec du CSR

    s'installent définitivement dans le PAF Auvergnat/Rhône-Alpin !

    Kmr 007

    Le Progrès de la Loire, édition du 08/11/2016

    L'assemblée générale des écologistes anarcho-marxistes d'AURA Environnement et des populations riveraines indépendantes de tout esprit partisan concerné-es par le projet de Méga Usine à poubelles de la Loire et visant à produire au moins 55 000 T de l'infâme CSR (Combustible solide de récupération) sur un des 2 sites pressentis à Andrézieux-Bouthéon (15 km au nord de Saint-Etienne) se précise puisqu'elle est prévue le 31/12/2016, comme ils l'ont indiqué dans l'édition du quotidien "Le Progrès" de la Loire de cette semaine.

    Le collectif C.H.U.P.A - dont le porte-parole désigné par les opposants est Marc-Claude de PORTEBANE - rassemble plus de 10 000 signatures (Internet : 3 268 signatures - Pétition papier : 7 996 signatures) est opposé au projet de méga Usine à poubelles sur pas moins de 2 sites potentiels voulus par le SYDEMER de Saint-Etienne dans le sud-Forez : la ZAIN Opéra parc international (La Fouillouse/Andrézieux-Bouthéon) et la ZA l'Orme/Les Sources (Veauche/Andrézieux-Bouthéon vers Saint-Bonnet-les-Oules). 

    Le collectif C.H.U.P.A, c'est aussi plusieurs dizaines de militant-es et de vastes soutiens issu-es de la société civile qui n'en ont jamais autant su sur la pseudo-valorisation de nos poubelles dans des projets coûteux pour les contribuables, désastreux pour l'environnement, contributeurs à la paranoïa des élu-es en France qui n'en ont que cure des citoyens de base mais qui ne reculent que devant des rapports de force avec les opposants à leurs délires de toute puissance comme à Sivens (Tarn) où, ils n'ont pas hésité la force gendarmesque CONTRE un pauvre garçon - Rémi FRAISSE - qui n'était qu'un résistant à cette saloperie de barrage ne servant qu'à servir la cause bourgeoise et capitaliste de la FNSEA et des gros propriétaires fonciers ui, EUX, n'hésitent pas à déverser leur violence contre l'Etat avec leurs remorques de fumiers divers et avariés !

    Un peu comme dans les régimes fascistes, on peut se mettre potentiellement à la place de certains élus, élus par les "Mougeons - moutons/pigeons -" qui ont aussi plus de respect que les animaux martyrisés eux-aussi : "Si tu n'es pas d'accord pour dire OUI à nos projets mégalomaniaques, on te TUERA avec des armes totalement disproportionnées. On écrasera toute contestation. Si les grenades ne suffisent pas, nous enverrons les chars pour vous écraser dans des bains de sang car nous sommes certains d'être une nouvelle caste féodale anti-républicaine qui aime déguster les petits fours et boire dans de belles coupes de champagne reposant sur de belles toiles cirées comme des parquets aux ordres du beaucoup plus fort et moins brillant que le mauvais bois dont nous ne sommes que les VRP...." !!! 

    Mais ..... ATTENTION ... au réveil populaire comme aux USA avec la colère des masses populaires ignorées qui ont élu massivement le majestueux Donald TRUMP tandis que les dominants de la mondialisation, sinistres-ministres "collabos de la bourgeoisie de droite comme de gauche", si sûrs d'eux tout en le détestant du plus profond de leur âme - s'ils en ont une, d'ailleurs - n'avaient senti venir la poubelle populaire irrémédiable en plein boomerang pour ne pas dire en pleine poire, cette poire Guyot, par exemple, ou "Tu es Belle Hélène" qui ne pollue pas notre environnement et qui est aussi aussi source, non pas de conflits potentiels avec les défenseurs de Dame nature, mais de vitamines variées dont la B, la C, la provitamine A et la carotène, excellentes pour la forme physique et intellectuelle, surtout lorsqu'il s'agit d'être en permanence vigilants vers nos vergers que nous ne voulons pas pollués par des tas d'ordures !

    Avant d'avoir été reconnu comme étant un interlocuteur fiable par le ministère de l'Environnement, le collectif C.H.U.P.A a dû multiplier les actions militantes, les contacts loyaux avec presque tous les élu-es des 600 000 habitants de ce territoire du Sud-Forez qui coupe pratiquement le département de "La Loire" en 2, les multiples tractages pratiquement tout seul, l'occupation du terrain médiatique permanent et ce, nonobstant la dictature de l'information que lui a opposé le SYDEMER puisque le collectif C.H.U.P.A a dû saisir plusieurs fois la CADA et aussi en faisant fi aux nombreuses "menaces" de certains élus qui ont même publiquement proposé de déchirer la pétition de la colère populaire du Sud-Forez en ne la désirant absolument pas dans leurs mairies !

    Staline 002 2

    Marc-Claude de PORTEBANE, président d'AURA Environnement :

    - porte-parole de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux

    - porte-parole du Collectif C.H.U.P.A reconnu comme interlocuteur fiable par

    le ministère de l'Environnement et reçu par le directeur cab' préfet 42

    - porte-parole de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux

    - président de la commision "Déchets" à la Fapel22 (Bretagne, Côtes d'Armor).

    Après la période estivale 2016, le collectif C.H.U.P.A a déclenché - dans le plus grand secret - l'opération "Comment Yukong déplaça les montagnes", en clair, appliquer cette doctrine de Mao tsé toung : "Prendre sa résolution, ne reculer devant aucun sacrifice, surmonter toutes les difficultés pour remporter la victoire".

    Le représentant infaillible du collectif C.H.U.P.A a donc écrit au président du SYDEMER pour lui dire qu'il était au "parfum" des fouilles archéologiques réalisées par l'INRAP de Lyon sur la ZAIN Opéra parc international alors que personne n'en parle, que ce soit dans les medias ou chez les politiciens parce que là, le porte-parole du collectif C.H.U.P.A, on en a marre et plus que marre qu'il aille fouiner, fouiner et encore fouiner avec le soutien des ouvrières et des ouvriers comme des intellectuels ; qu'il veuille s'installer lui et son collectif pendant des décennies à Andrézieux-Bouthéon et sa région ; qu'il soit réputé unanimement comme non-violent ; qu'il soit pour la réthorique pacifiste et contre la violence de certains casseurs qui viennent uniquement pour "casser du flic pour juste casser du flic" à longueurs de journées en buvant de la bière et en fumant des joints et qui, finalement, désservent les causes légitimes des populations locales vite abandonnées puis soudainement exposées aux mesures de rétorsion des potentats locaux ; qu'il ait le toupet d'avoir le soutien des populations locales et riveraines de toutes les causes de défense de l'environnement et de protection des animaux ; que par-dessus le marché qu'il veuille, maintenant, constituer une ZAD (Zone à défendre) calquée sur celle de Notre-Dame-des-Landes mais verrouillée, de surcroît, par la discipline marxiste et plus précisémment maoïste issue de la Ligne de masse qui n'a que pour unique objectif de "Servir le peuple" via "Le petit livre rouge" qui prône l'auto-éducation idéologique ; qu'il soit un militant "endurci" par plus de 30 ans de militantisme que ce soit à Greenpeace, chez les autonomes anti-THT de Basse-Normandie, chez les antinucléaires, chez les anti-CSR qui risquent d'être brûlées dans des chaudières utilisant de la Biomasse comme vers Pierrelate pour alimenter potentiellement le réseau chaleur de la Ferme aux crocodiles ; qu'il veuille aussi prendre la défense de ce boeuf retrouvé écartelé face au bitume à Rethel dans les Ardennes ; qu'il soit un opposant irréductible du Combustible Solide de Récupération (CSR) issu de plus de 155 000 T de nos DMR (Encombrants résiduels, autres déchets résiduels, OMr + refus CS) du Sud-Forez et qui risque d'être produit dans les prochaines années sur une des 2 zones vers Andrézieux-Bouthéon ; qu'il soit opposé au "Jus en excès" issu de la méthanisation des autres déchets organiques en se posant les bonnes questions comme quelle quantité de "jus", comment sera traité ce fameux "jus" et dans quelles conditions et que deviendront les résidus de combustion des CSR ; qu'il vienne de recevoir tout dernièrement un "appel de détresse" de Marc ACTIS, le président de l'association "Accueil & Qualité de vie" qui est opposé au projet de nouvelle prison dans sa commune de Saint-Bonnet-les-Oules voisine d'Andrézieux-Bouthéon et ce, non loin de la ZA l"Orme/Les Sources.... ici même où le projet de Méga Usine à poubelles du SYDEMER risque bien de produire et de commercialiser 55 000 T de cet infâme CSR (qui produit des dioxines et des furannes pendant la combustion) à des cimentiers comme Lafarge mais aussi des entreprises locales du département de la Loire, et de surcroît alimentaires surnommées par le SYDEMER comme "Partenaires" et présentées comme "Gros consommateurs", à l'exemple - entre autres - de LUSTUCRU FRAIS (Lorette), de NATRA ZAHOR FRANCE (fabrication de cacao et chocolat à Saint-Etienne), de la FROMAGERIE GUILLOTEAU (à Pélussin), des SALAISONS DE LA BRECHE (préparation industrielle de produits à base de viande à Saint-Just-Saint-Rambert) ou d'une autre marque totalement prestigieuse comme CANDIA (basée à La Talaudière), etc.... 

    Poire 114Car lorsque l'on voit les photos prises cette semaine par AURA Environnement et les militants du collectif "Greenbretagne" à Saint-Martin-des-Champs (Morlaix, Bretagne) et qui montrent clairement et de façon nette et précise comment sont stockées à l'air libre ces balles éventrées de CSR chez Guyot Industries (Guyot Environnemment) sur le site de la ZI de Kérolzec, il y a du souci à se faire quant aux pollutions potentielles de la petite rivière "La Pennelé" surtout lorsque l'on observe que les services de l'Etat semblent archi débordés comme l'ONEMA ou la Dréal dans le Finistère pour ne pas verbaliser ce qui avait déjà été dénoncé - également -, fin 2015, par l'association ROBIN des BOIS de Paris alors que les associations environnementales bretonnes comme "Bretagne vivante", "Eaux et Rivières de Bretagne" ne se préoccupent absolument pas des risques potentiels et inadmissibles sur la qualité de l'environnement dans le Finistère, pour ne parler que de ce département !!!

    Le CSR, parlons-en mesdames et messieurs les élu-es ! On en VEUT pas de cette saloperie ni à Morlaix, ni vers Pierrelatte, ni vers Saint-Etienne, ni vers Paris, ni partout ailleurs !

    Poire 116Une visite "officielle" du site de Kérolzec est organisée le 07/12/2016 par l'exploitant "Guyot Environnement" avec les représentants de "Bretagne vivante" de Brest et de Morlaix, de l'association "Eaux et Rivières de Bretagne", d'autres associations mais pas d'AURA Environnement et de Robin des Bois.

    Inutile de vous préciser que "Bretagne vivante" et "Eaux et Rivières de Bretagne" perçoivent de grosses subventions de la part de la Région Bretagne, ce que n'avait d'ailleurs pas hésiter à dénoncer le collectif "GreenBretagne" et "AURA Environnement" dans une pétition qui a fait un "carton" et qui a recueilli, pour l'instant, plus de 23 000 signatures depuis le 14/08/2016 : http://www.mesopinions.com/petition/animaux/stop-extension-usine-intolerable-cochons-landunvez/24312

    Le porte-parole du collectif C.H.U.P.A, a donc pris sa plume corrosive, le 28/09/2016, pour écrire au président du SYDEMER dont le siège est dans les locaux de Saint-Etienne Métropole (Loire, Région Auvergne/Rhône-alpes) en lui précisant 5 points importants pour ne pas dire cruciaux :

    1- "....En effet, l’INRAP a effectivement conduit une fouille à l'endroit que nous lui avons indiqué (au SO, en face du nouveau stade « L’envol Stadium » mais plus au sud). Ce travail de Post-fouilles en est à ses débuts. L’INRAP a pu mettre en évidence une série d'occupations humaines à caractère rurales qui permettront à terme de reconstituer un historique de l'occupation humaine sur place sur une durée de près de 2000 ans de l'âge du Bronze à l'Antiquité"...

    2- "Je demande que cet élément nouveau soit pris en considération, dans le cadre des études sur le choix du site, par le SYDEMER que vous présidez."

    3- "J’en profite également pour vous demander, une nouvelle fois, les rapports du bureau d’études sur les comparaisons des différents sites retenus (L’Orme/Les Sources à Andrézieux-Bouthéon, Borde Matin à Roche-la-Molière, Z.A.I.N Opéra Parc International sur les communes d’Andrézieux-Bouthéon/La Fouillouse)."

    4- "Ces documents sont indispensables pour que les associations et les riverains puissent se faire une vraie opinion des critères pris en compte sur le choix du site de la future « Usine à poubelles » Méthanisation/CSR."....

    5- "Je vous rappelle votre devoir de transparence vis-à-vis des populations locales depuis la création du SYDEMER et sa démarche de concertation".

    Avec les preuves accablantes que nous disposons sur le site de stockage de Kérolzec vers Morlaix, toutes les collectivités qui voudront produire du CSR ou qui envoient déjà vers les cimentiers qui ne courrent pas les rues cette infâmie créee par l'être humain devront s'attendre à trouver la RIPOSTE des défenseurs de la nature martyrisée !

    Le stockage du CSR est mal géré en France ! Il doit être dénoncé et l'Ademe doit se pencher sur la question au lieu d'attribuer de colossales subventions au nom du contribuable à des firmes qui semblent n'avoir rien à "cirer" de l'environnement !

    Une couche de peinture verte sur un camion, un logo, une enseigne, un mur d'entreprise ne semble être qu'une ignoble farce pour notre environnement proche qui récolte la misère - pas seulement dans le Finistère - d'endroits (pourtant classés comme ICPE - Installlations Classées pour la Protection de l'Environnement -) soit-disant protégés par des enquêtes publiques que nous n'avons de cesse de dénoncer comme étant des "parodies" car malheureusement, les élu-es de droite comme de gauche s'aventurent dangeureusement sur le chemin de la "Dictature" de type facilement "absolutiste" sans partage et sans limite, en ne voulant SURTOUT pas de concertation directe avec les populations locales et les riverains parce qu'elles/ils ont peur des réactions épidermiques des gens comme le camarade incontrôlable Marc-Claude de PORTEBANE qui préfère mourir debout que de mourir couché et qui "fout la merde" depuis plus de 30 ans contre ces élites méprisantes et leurs projets de porcheries industrielles, leurs projets de centre de vivisection, leurs projets d'usines à méthanisation ou leurs projets de méga usines à poubelles qui sont, la plupart du temps des "gouffres à pognon" pour les gloutons de l'empire capitaliste qui commence d'ailleurs par s'effriter devant la Résistance populaire, qu'elle soit anarcho-marxiste ou tout simplement apolitique et ce, afin de consolider de ce qu'il reste de cette République française que le nouveau président américain, Donald TRUMP accuse de "n'être plus la France" !

    Paul TOP    

    Article paru dans l'Idiot provincial : http://l-idiot-provincial.e-monsite.com/blog/collectif-halte-usine-poubelles-vers-andrezieux-boutheon-loire/les-zadistes-d-aura-environnement-anti-usine-a-poubelles-csr-vers-saint-etienne-s-expliquent-dans-la-presse.html

  • TERRALIA : les ZADistes de Bordères-sur-l'Echez et AURA Environnement font jonction !

    Alertés par nos camarades ZADistes de Bordères-sur-l'Echez

    les anarchos-marxistes d'AURA Environnement grimpent

    sur le dossier Canopia TMB vers Bayonne et les Landes !

    Pourquoi les assureurs en ont marre ?

    Pourquoi la Dréal répond abonnés absents ?

    Aa280Le 16/09/2016, nos camarades ZADistes de l'ADRISE de Bordères-sur-l'Echez nous alertaient sur l'incendie de l'usine TMB Canopia de Bayonne.

    Nos camarades s'opposent à un projet d'usine de traitement des déchets par le procédé du Tri Mécano Biologique (TMB) qui voudrait voir le jour à Bordères-sur-l'Echez (65). Ce projet étant baptisé "UTV 65".

    Cette installation devrait traiter 70 000 T d'ordures ménagères à...... 240 m des premières habitations...

    La création de cette ZAD est leur dernière chance pour que les travaux ne débutent pas.

    Les anarchos-marxistes autonomes d'AURA Environnement - après avoir quitté la région Bretagne - commencent à faire jonction avec leurs camarades ZADistes.

    Puis, la lutte pour établir la VERITE - afin de soutenir l'Etat - sur le devenir des déchets du syndicat Bill Ta Garbi sur le site de TERRALIA (groupe PAPREC) située à Aire-sur-l'Adour éclatera dans tout le Sud-Ouest et non pas uniquement dans les Landes !

    Nous verrons bien pourquoi les assureurs en ont assez de payer, payer, payer et encore payer pour des élu-e "illuminé-es" qui jettent l'argent public par les fenêtres !!!

    Nous en saurons peut-être un peu plus sur les actionnaires d'Urbaser, où nos camarades de la CGT ne sont pas les bienvenu-es comme ce fut le cas à Vitry-sur-Seine dans le Val-de-Marne (L'Huma, 23/05/2014) !!!!!

  • Usine à poubelles Guyot Industrie à Saint-Martin-des-Champs : CSR éventré mais pollution rivière La Pennelé ?

    AURA Environnement demande une

    inspection fissa de la Dréal de Finistère ?

    Que font les services de l'ONEMA du Finistère

    chargés de la police de l'eau ?

    Quelle est la qualité de l'air à Morlaix ?

    Img 9483

    AURA Environnement est allé, hier matin 08/11/2016, prendre quelques clichés des balles de CSR à Saint-Martin-des-Champs sur le site de stockage de Guyot Industrie implanté ZI de Kerolzec, dans la banlieue de Morlaix dans le nord du Finistère où tout n'est pas encore tout fini.

    Img 9449

    Les balles de CSR issues des OMR s'écoulent sur le sol non loin de la rivière "La Pennelé".

    Img 9450Qu'en pensent les pêcheurs de l'AAPPMA de Morlaix ?

    Img 9451Qu'en pense Bruno LE ROUX, coordinateur régional de l'ONEMA en Bretagne ?

    Qu'en pense le service des ICPE de la préfecture du Finistère à Quimper ?

    Qu'en pense la Dréal du Finistère ?

    Img 9446

    Pourquoi ce gros tas de déchets à même le sol ?

    Qu'en pensent les administrateurs des associations environnementales comme les sections de "Bretagne vivante" de Brest et de Morlaix qui viendront faire une visite sympa des lieux, le 07 décembre 2016 et qui la "ferment" sec en devenant plutôt "Bretagne morte" ?

    Qu'en pensent Guillaume HOEFFLER, le chef du service "Eau & Biodiversité" et son directeur général à la DDTM 29, Philippe CHARRETON ?

    Poire 114

    Nous attendons également - avec impatience - les photos d'un huissier du Finistère-Nord - que nous avons contacté - et qui s'est également rendu sur les lieux hier !

    Les choses ont-elles évolué depuis les photos que nos camarades de ROBIN des BOIS avaient déjà effectué des photos sur ce site fin 2015 : http://www.robindesbois.org/kermaroc-n2/

    Qu'en pensent les amoureux de la nature et des randonnées pédestres ?

    Qu'en pense-t-on à l'Office de tourisme de Morlaix ?

    Qu'en dira-t-on à la CCI et du côté des investisseurs qui voudraient investir dans la région de Morlaix et plus précisémment à Saint-Martin-des-Champs ?

    A suivre et nous verrons bien si le télégramme au Canard enchaîné suivra ou pas puisque le journal Le Télégramme de Morlaix n'en pipe pour l'instant pas un mot !

    Dans toute cette histoire, mais que vont donc devenir nos petits poissons chéris ?

    Camarades de la Protection Animale (P.A) - avec le soutien de la Fondation Brigitte Bardot et de 30 Millions d'amis ou de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux, si ils/elles le désirent - EXIGEONS TOUTE la vérité à Saint-Martin-des-Champs à côté de Morlaix dans le Finistère !

    MOBILISONS-NOUS ! Défendons notre nature et nos animaux à Saint-Martin-des-Champs !!!

  • Gestion des déchets en Bretagne : AURA Environnement adhère à la Fapel 22 et à AE2D !

    Gestion des déchets, Cause animale :

    #AURA Environnement et #C.O.G.B montent au créneau

    dans les Côtes d'Armor avec #Fapel 22

    et dans le Finistère avec #AE2D !

    K5 k1 121La camarade Muriel FIANNACA (Présidente de la FAPEL 22) et Marc-Claude de PORTEBANE (président d'AURA Environnement et porte-parole du Collectif Greenbretagne (C.O.G.B.) à Plougrescant !

    AURA Environnement et le Collectif Greenbretagne (C.O.G.B) entendent bien "taper du poing" sur la table pour en finir avec la gestion calamiteuse des déchets par les élu-es bretons qui dilapident l'argent public dans des projets qui commencent à être SEULEMENT connus du grand public qui ne s'intéresse qu'à minima au tri sélectif de nos poubelles et encore moins à la gestion de celles-ci.

    C'est pour cela que les élu-es en profitent pour dilapider l'argent de nos taxes et redevances, parce que, comme le disait si bien le général de Gaulle "Les français sont des veaux" ! Excusez mon général, mais pour nous, anti-spécistes, les animaux ont autant d'importance que les bipèdes.

    Nous voulons bien être des "veaux" (c'est un honneur), mais non des "vaches à lait" devant les douloureuses : taxes foncières, taxes d'habitation, taxe d'enlèvement des ordures ménagères (TEOM), redevance de relèvement des ordures ménagères, redevance spéciale (RS) servant, souvent, à servir la soupe aux choux si chère à feu René Fallet aux nantis des collectivités territoriales ou de "réservoir à pognon" pour des entreprises du secteur privé de bon sens écologique élémentaire !

    Ainsi, dans les Côtes d'Armor, Greenbretagne et AURA Environnement ont appliqué la semaine dernière, la philosophie "Mao" dite de "Révolution Culturelle" avec progression des masses autonomes dans les zones rurales et les petites cités.

    K5 k1 040En 72h, à Ploufragan et ses contours (banlieue de Saint-Brieuc), nos militant-es ont déposé notre pétition "Version papier" chez des dizaines de petits paysans et ouvriers, de petits commerçants et artisans afin d'éxiger une véritable enquête publique sur la future Usine à poubelles qui sera gérée par Guyot Environnement, sur la ZI des Châtelets ! K5 k1 009

    L'accueil des masses - qui étaient dans l'ignorance pratiquement totale - a été bénéfique en terme de contacts voire de futures mobilisations sur le terrain. Les masses populaires ont été surprises d'apprendre de notre part qu'une Immense Usine à poubelles allait se créer à Ploufragan, où du CSR (Combustible Solide de Récupération) serait produit en masse sous les yeus des riverains interloqués et des populations riveraines !

    Nos camarades de la base du C.O.G.B. (ouvrières et ouvriers des bennes à ordures) ont "retourné" en notre faveur la dialectique "Déchets" que les "écolos locaux" du 22 voulaient leur faire "gober", ce qui, d'ailleurs, a fait "bondir" Jean-Benoît ORVEILLON (directeur partenariat et économie circulaire à Kerval Centre Armor, le 26/10/2016, lors de notre RDV au siège de Kerval Centre Armor avec le sympathique mais amer président Thierry BURLOT), qui nous a indiqué que nous avions parlé "d'incinérateur à CSR" sur la ZI des Châtelets à Ploufragan !

    Non, Mr ORVEILLON !

    Nous ne parlons pas d'incinérateur mais de production de cette infâmie qu'est le CSR.

    Expliquez-nous donc, Mr ORVEILLON pourquoi Guyot Environnement si "soucieux de l'environnement" n'est pas capable de gérer son stock de CSR à Saint-Martin-des-Champs, dans la banlieue de Morlaix, au nez et à la barbe de la presse locale - dont Le Télégramme - qui la ferme sec devant les preuves délivrées par ROBIN des BOIS !

    Le peuple, après avoir été maladroitement "berné" par les écologistes locaux coupables de "trahison" veut désormais une VRAIE enquête publique sur la future "Usine à poubelles" de la ZI des Châtelets à Ploufragran....et qui verra le jour au printemps 2017 !

    Si on continue à "menacer" AURA Environnement, le C.O.G.B ou la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux, nous ne plierons mais, au contraire, comme l'illustre Jean Jaurès, nous irons au-devant de l'action situationnaire qu'elle soit en faveur de la cause animale ou environnementale !

    Le "Canard enchaîné" et le "professeur Canardeau" sont à l'affût non loin pour se déchaîner ! Hum ! Hum ! Humons !

    A suivre

    Paul TOP

  • AURA Environnement manif à Rennes avec la cause anti-spéciste

    Les défenseurs de la cause animale de la

    Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux

    étaient de sortie dans les rues de Rennes !

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    Libérons les animaux de la connerie humaine !

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  • Enquête publique ISDND + LELY ENVIRONNEMENT Saint-Quentin/Isère = AURA Environnement au front alors que sénatrice PCF Annie DAVID ronfle !

    La sénatrice PCF Annie DAVID n'a pas soutenu les populations locales !!!

    AURA Environnement et la députée écolo de l'Isère Michèle BONNETON

    sont intervenus en soutien aux habitants de Saint-Quentin/Isère

    lors de l'enquête publique sur le projet d'extension par réhausse

    d'une ISDND présenté par la LELY ENVIRONNEMENT !

    Lely 1 059CARTON ROUGE pour la sénatrice PCF Annie DAVID quia snobé les populations locales et les ouvriers préoccupés par leur environnement mais CARTON VERT pour la députée écologiste Michèle BONNETON pour ses commentaires en soutien aux populations locales de Saint-Quentin/Isère qui en ont assez de la décharge de LELY aux portes de Grenoble !!!

    L'enquête publique concernant un projet par réhausse d'une installation de stockage de déchets non-dangereux (ISDND) présenté par la société LELY sur la commune de Saint-Quentin/Isère a été clôturée vendredi 21/10/2016 à 16h à la mairie.

    Le 29/09/2016, AURA Environnement alertait Annie DAVID, la sénatrice PCF de l'Isère en lui demandant si elle était prête à se mobiliser avec nous contre la poursuite de cette décharge, plutôt une « verrue » située dans une zone inondable et ce, aux portes de Grenoble. En effet, nous nous alarmions non seulement de l’ancienneté de l’installation mais aussi de certaines zones actuelles ne bénéficiant pas des dispositions réglementaires en matière d’étanchéité de fond afin d’assurer la protection totale des eaux souterraines.

     

    16 jours plus tard, le secrétariat d'Annie DAVID nous répondait tout bêtement : "Concernant l’extension du site de la décharge de LELY , Madame David n’a pour l’heure aucun élément qui lui permette de se prononcer sur d’éventuels risques ; ni par votre interpellation ni par les élu-e-s et habitants de Saint Quentin en Isère. Aussi n’hésitez pas à lui transmettre les arguments qui lui permettraient de se positionner. La procédure d’enquête publique permet à chacun de présenter ses remarques et d’exprimer ses inquiétudes sur une non prise en compte des risques environnementaux, aussi nous vous invitons à y verser votre contribution et à rencontrer le commissaire enquêteur."

     

    La députée écologiste de l'Isère, Michèle BONNETON, elle-aussi a reçu un mail le 03/10/2016... mais a été 100 % fois plus efficace que la sénatrice au train de sénateur Annie DAVID ou le conseiller départemental André VALLINI qui, lui, n'a même pas daigné nous répondre.

     

    Après avoir rencontre le commissaire-enquêteur de façon courtoise, AURA environnement lui a soulevé, le 04 octobre, les craintes des populations locales et collectifs locaux sur les dangers potentiels d'une telle réhausse à quelques encablures de la rivière Isère, le devenir du triton crêté ainsi que les risques de pollutions diverses et avariées.

     

    Pendant plus de 3 mois, nos camarades d'AURA Environnement ont navigué sur des pirogues pour inspecté la rivière Isère et ratissé toute la région de Saint-Quentin/Isère à la rencontre des élu-es (notamment le sceptique et conseiller municipal Alain BAUDINO), des habitants du "Replat" ou des PME comme la chaudronnerie RAVANAT, située à proximité de cette ISDND, et qui subit l'envol de poussières sur vitres et fenêtres comme dans un mauvais film.

     

    Le dernier jour de l'enquête publique, AURA Environnement a couché ses observations sur papier (alors que la sénatrice Annie DAVID aura brillé par son absence....merci le soutien aux camarades du hameau du Replat !!!

     

    Nous invitons donc la camarade-sénatrice Annie DAVID (les grands électeurs des petites communes apprécieront ce manque d'implication inadmissible dans les enjeux écologiques de la vie locale) de prendre connaissance des préoccupations d'AURA Environnement :

     

    I.        Remarques préalables :

    • Le dossier de demande d’autorisation d’exploiter n’expose pas clairement les valeurs et conditions d’activité de stockage des déchets : capacité annuelle demandée, origine des déchets demandée, etc. On ne sait donc pas quels tonnages le pétitionnaire souhaite recevoir ni d’où ils pourraient provenir alors que ce devrait être le fondement de la justification du projet. Ce choix de l’exploitant s’explique sans doute par la volonté de masquer le fait que son projet est totalement inutile : le plan départemental de prévention et de gestion des déchets non dangereux en cours d’élaboration estime que les besoins en stockage de l’Isère sont de 127 à 137 000 tonnes/an alors que, décharge de Lély non comptée, le département « bénéficie » déjà de 380 000 tonnes de capacités autorisées (Penol , Cessieu, Satolas-et-Bonce). Le projet est donc inutile.
    • La rédaction du dossier ne présente pas de façon évidente les liens entre le dossier technique et le rapport d’étude d’impacts. De même, la présentation des impacts et dangers est complexe et ne permet une compréhension aisée pour le public (un résumé non technique de l’étude de dangers de 2 pages, ce n’est pas de la vulgarisation mais de la dissimulation…). Ce choix de l’exploitant s’explique sans doute par la volonté de masquer le fait que le site ne satisfait aucune des obligations légales en termes de protection des eaux superficielles et souterraines, et rejette depuis des années des eaux souillées non traitées. Le projet est donc dangereux.

    Le projet apparaît donc clairement inutile et dangereux.

    II.        Remarques d’ordre réglementaire :

    • Le dossier soumis à enquête publique ne concerne que le projet d’extension verticale de la décharge, projet consistant en la création d’un nouveau casier en rehausse du casier existant. Il ne prend que très faiblement en compte la remise en l’état du casier actuel alors que les impacts des deux installations vont se cumuler, notamment en termes de rejets liquides (lixiviats) et atmosphériques (biogaz).
    • Le DDAE est daté de décembre 2015 mais il a fait l’objet d’un avis de l’Autorité environnementale en date du 24 juin 2016 et est soumis à enquête publique à l’automne 2016. Il doit donc respecter les prescriptions de l’arrêté ministériel stockage du 15 février 2016, ce qui n’est pas le cas (programme de contrôle de la qualité des rejets, suivi post-exploitation, analyse des MTD (meilleures techniques disponibles), gestion des lixiviats, etc.). Cela rend le projet obsolète et non conforme à la réglementation applicable.
    • L’étude d’impacts semble avoir été réalisée en grande partie en 2011/2012, ce qui pose deux problèmes majeurs :
    1. Sur le fond, les données d’état des lieux initial sont périmées et ne peuvent raisonnablement servir de base pour estimer les impacts du projet. L’étude d’impacts est donc insincère.
    2. Sur la forme, la réforme de l’étude d’impacts de 2012 n’a pas été prise en compte rendant le dossier non réglementaire. De même que, l’étude des risques sanitaires n’intègre pas de volet « état de l’Interprétation de l’état des milieux » pourtant obligatoire depuis la circulaire du 9 août 2013. L’étude d’impacts ne répond donc pas aux exigences de la réglementation.

    Il ressort ainsi, à la lecture des éléments présentés en enquête publique, que le dossier est :

    • Non réglementaire ;
    • Obsolète ;
    • Porteur d’une vision partielle et partiale de la réalité.

    III.        Remarques sur le Dossier administratif

    . Conformité aux documents d'urbanismes :

    1. Alors que le PLU indique clairement la présence de différentes servitudes au droit de la décharge, aucun avis des gestionnaires de ces servitudes n’est joint au dossier. Le pétitionnaire ne démontre pas que son projet est compatible avec ces servitudes.
    2. Le site se trouve en zone Nx « espaces de stockage de déchets » sauf 5 parcelles. Pour ces 5 parcelles, 4 seulement appartiennent au demandeur (71, 133, 322 et 324). Quid de la parcelle 160 ? A qui appartient-elle ? Le propriétaire a-t’il accepté que le projet s’implante sur sa propriété ? Par ailleurs, les parcelles 262, 264 et 306 font partie de l’actuelle ICPE mais n’appartiennent pas à l’exploitant, cela n’est pas légal. Enfin, une mise en comptabilité du PLU serait en cours pour les intégrer en zone Nx. Or, aucun justificatif n’est fourni par rapport à la mise en comptabilité. Où en est cette procédure ? Intègre-t-elle aussi la parcelle 160 ? Le pétitionnaire ne démontre pas la maîtrise foncière du projet ni la conformité de celui-ci avec le plan local d’urbanisme de la commune.
    3. Un des objectifs du SCOT de la région grenobloise est de préserver les espaces naturels agricoles et forestiers. Or, le projet prévoit de déclasser des surfaces classées en zone N (naturelle), et de défricher un boisement. Contrairement à l’affirmation infondée du pétitionnaire, le projet est donc incompatible avec les objectifs du SCOT.
    • Compatibilité avec le plan de prévention et de gestion des déchets non dangereux :
    1. Le plan d’élimination des déchets ménagers et assimilés (PEDMA) de juin 2008 ne prévoit la possibilité d’une prolongation du site de Saint-Quentin que « dans le cadre de l’autorisation actuelle ». L’extension durable du site avec nouvel arrêté préfectoral comme demandé par Lély est donc incompatible avec le PEDMA de l’Isère.
    2. Le plan de 2008 estime le besoin en capacités de stockage en Isère à 434 000 tonnes en 2017. Or, les capacités actuellement autorisées sont de 580 000 tonnes. Il y a donc une surcapacité de 146 000 tonnes que l’extension de la décharge de Saint-Quentin viendrait prolonger. Il serait donc conforme aux prescriptions du PEDMA de l’Isère de refuser l’autorisation d’exploiter demandée par Lély.
    3. Le projet de plan départemental de prévention et de gestion des déchets non dangereux (PPGDND) en cours d’élaboration estime que, conformément aux objectifs de la Loi de Transition énergétique pour la croissance verte d’août 2015, les besoins en stockage de l’Isère ne sont en fait que de de 127 à 137 000 tonnes/an alors que, décharge de Lély non comptée, le département « bénéficie » déjà de 380 000 tonnes de capacités autorisées (Penol , Cessieu, Satolas-et-Bonce). Le projet est donc incompatible avec la loi TECV et avec les orientations du futur PPGDND de l’Isère.
    • Risque inondation : le site se trouve en zone Bi3 (périmètre historique de crue). Il est indiqué que « une remontée de la nappe pourrait donc entrainer une sollicitation localisée de la barrière passive, mais ne pourrait en aucun cas entrainer la déstabilisation du massif de déchet ». Un risque majeur existe donc tant sur la stabilité du massif de déchet que sur la pollution des eaux souterraines. Or, l’étude de dangers ne retient pas l’inondation comme source potentielle d’agression externe pour le site (p.14). Le dossier est donc malhonnête qui masque des risques majeurs pour l’environnement.
    • Risque technologique : L’analyse de l’environnement indique qu’il n’existe aucune source potentielle d’agression externe pour le site alors qu’une partie de celui-ci est incluse dans le périmètre du PPRT de l’usine SEVESO Seuil haut Titanobel. Le projet est donc soumis à un risque industriel majeur qui n’est abordé nulle part dans le dossier, rendant celui-ci incomplet et insincère.

    IV.        Remarques sur le Dossier technique

    • L’absence du bilan matériaux est préjudiciable à la qualité d’interprétation des effets du projet, notamment en cas de situation déficitaire ou excédentaire en matériaux (aspects trafic, circulation sur site, localisation des stocks, impact paysager, impact sur la faune et la flore… Le dossier technique est donc incomplet.
    • Le dossier indique la réalisation d’un pré-contrôle olfactif mais n’indique pas la procédure mise en œuvre pour éviter l’arrivée des camions odorants sur site. Ce faisant, l’exploitant reconnaît qu’il ne prévoit rien pour limiter l’impact olfactif du site, ce qui n’est ni responsable, ni acceptable.
    • Les conditions d’étalonnage et de vérification périodique des installations de détection de non-radioactivité ne sont pas indiquées alors que c’est une procédure obligatoire conformément à l’arrêté ministériel stockage du 15 février 2016. Le projet ne respecte donc pas la réglementation en matière de protection contre la radioactivité.
    • Stabilité du massif de déchets :
      • Les études géotechniques de stabilité prennent en compte la plate-forme de compostage mais pas les plates-formes de mâchefer, de bois et de déchets du BTP. Elles ne prennent pas non plus en compte la présence d’eau dans le massif sous-jacent et la charge hydraulique en fond de casier. Elles sont donc incomplètes et, de fait, faussées.
      • Le dossier atteste la stabilité de la digue périphérique sur la base d’hypothèses de matériaux mais n’indique pas comment l’exploitant pourra garantir que les matériaux qui seront utilisés répondront aux exigences de l’étude de stabilité.
      • Les moyens et la méthodologie pour assurer le suivi des tassements des zones anciennement et récemment exploitées ne sont pas indiqués.
      • L’avis de l’autorité environnementale précise qu’une tierce expertise a été demandée sur la stabilité du massif. Or, les résultats ne sont pas joints au dossier d’enquête publique.

    Le dossier ne garantit pas la stabilité du massif de déchets qui risque à tout moment de basculer dans l’Isère avec des centaines de milliers de tonnes de déchets et toute la pollution associée.

    • Le réseau de collecte du biogaz ne couvre pas l’intégralité de la surface de la décharge : la quantité et le positionnement des puits présentent des surfaces non collectées (rayons d’action insuffisants). Cela générera forcément des émanations diffuses de biogaz conduisant à un impact olfactif inacceptable et des risques pour la qualité de l’air.
    • Le dossier prévoit de réduire les capacités de stockage tampon des eaux pluviales par rapport à la situation existante (passage de 28 000 m3 environ à 13 000 m3). Comme il n’est pas démontré que la pluviométrie des Alpes va se réduire, le projet ne prévoit pas de gérer correctement les eaux de ruissellement.
    • Gestion des lixiviats :
      • Le plan d’aménagement n’indique pas de puits de collecte des lixiviats sur les zones d’exploitation n°1 (rehausse 8-9-10), n°2 (rehausse 11-12), n°7 et n°8. S’ils ne sont pas collectés, ce qui est illégal, ces lixiviats iront directement se jeter dans l’Isère.
      • le dossier ne présente pas de calcul prévisionnel de production de lixiviats pour le site actuel + ceux du site ancien ; il est donc impossible de savoir si les bassins de rétention sont suffisamment dimensionnés pour retenir les eaux polluées et éviter leur déversement dans l’Isère ou la nappe phréatique
      • il n’y a aujourd’hui que 800 m3 de capacité installée contre 1500 m3 réglementaires (production du nouveau site / 365 j x 15 jours de stockage)
      • il n’est prévu de créer que 2500 m3 contre 2800 m3 réglementaires (idem)
      • Il n’est pas précisé si les bassins de stockage des lixiviats respectent la distance d’isolement de 50 m imposée par l’article 7 de l’AM stockage
      • Il est fait état d’un dépassement en arsenic sur le bassin B sans que le dossier ne présente les conséquences de cette pollution sur les eaux souterraines
      • Le projet indique à la fois que les lixiviats seront gérés par la STEP Aquapole et par une STEP à créer sur site. Quelle est la vérité ? Dans tous les cas, il ressort du dossier que :
        • sur le plan réglementaire, la convention avec Aquapole (annexe C) ne précise pas si la STEP est autorisée à recevoir des effluents industriels en provenance d’une ICPE (rubrique ICPE 2791)
        • sur le plan technique, la convention avec Aquapole ne précise pas si elle est dimensionnée pour traiter des lixiviats de décharge qui sont très spécifiques par rapport des eaux usées urbaines
        • sur le plan quantitatif, il apparaît que la convention avec Aquapole ne permet pas de traiter tous les lixiviats de la décharge : la convention permet de recevoir 25 500 m3 /an (100 m3/j maximum sur 255 jours d’ouverture) alors que le volume pompé est largement supérieur [37 000 m3 en 2013, 46 000 m3 en 2014] et sera encore plus élevé si l’extension est accordée.
        • le délai de mise en service de la (peut-être future) STEP interne n’est pas précisé
        • la destination des boues qui seront produites par la (peut-être future) STEP interne n’est pas précisée alors que celles-ci présenteront nécessairement de fortes teneurs en arsenic. Où et comment cette pollution dangereuse sera-t-elle traitée ?

    Le dispositif de gestion des lixiviats prévu par le dossier n’est pas conforme aux exigences de  l’arrêté ministériel stockage du 15 février 2016 et présente un danger majeur pour l’environnement.

    V Remarques sur l'Etude d'impacts

    • La phase travaux n’a pas été retenue (p.23) alors que l’étude d’impacts se doit d’étudier toutes les phases du projet. L’étude d’impacts du projet est donc non réglementaire.
    • Le volet paysager de l’étude d’impacts est tout à fait insuffisant qui ne présente que le site après son réaménagement alors que la phase d’exploitation est prévue pour durer 20 ans et constitue la période pendant laquelle l’impact est le plus important. Le dossier masque donc le réel impact paysager du projet.
    • Alors que nombre d’activités présentes sur le site sont retenues par le plan de protection de l’atmosphère de Grenoble dans le cadre d’un suivi des émissions diffuses de poussières (carrières, traitement de déchets du BTP, recyclage, enrobage, transformation du bois), le dossier n’indique pas de dispositif ou étude en matière de suivi des émissions de poussières. Le projet ne respecte donc pas le PPA de Grenoble.
    • « Une visite du SDIS est prévue afin de valider » le bon dimensionnement des ouvrages de collecte des eaux incendie [p.104]. A ce stade, rien ne démontre que la sécurité incendie du projet est assurée alors même que le site a connu 5 incendies d’origine interne entre 2007 et 2015 (Etude des dangers, p. 24).
    • Il est fait mention du « défrichement » d’un « bosquet relictuel » alors qu’aucun document dans le dossier n’apporte la preuve du dépôt d’une demande d’autorisation de défrichement, contrairement aux exigences de l’article R.512-4 du Code de l’environnement. Le pétitionnaire ne respecte donc pas la réglementation.
    • Pollution des eaux souterraines :
      • La nappe des alluvions de l’Isère à l’aval de Grenoble est présentée comme une nappe libre de « vulnérabilité importante ». Or, le niveau des plus hautes eaux dépasse le fond supposé des alvéoles les plus anciennes alors même que ces alvéoles ne sont pas aménagées en fond de façon à isoler les déchets de la nappe. Il est donc malheureusement logique que le suivi de la qualité des eaux par le réseau de piézomètres de contrôles mette en évidence un impact sur les eaux souterraines. Les piézomètres situés à l’aval de la décharge révèlent en effet des teneurs élevées en ammonium, sodium, conductivité, COT… autant de paramètres traceurs de l’impact d’une décharge sur les eaux souterraines.
      • Les concentrations élevées dans les piézomètres au moment des crues sont expliquées comme une pollution de la nappe par l’Isère (concentrations élevées dans le piézomètre situé en amont de la décharge). Cette augmentation ne pourrait être due plutôt : à l’augmentation du volume de déchets baignant dans la nappe (remontée de la nappe) et à l’inversion du régime évoqué (nappe drainant l’Isère) modifiant le sens d’écoulement des eaux (le piézomètre situé en amont de la décharge devenant alors un piézomètre situé en aval, comme les autres) ? C’est bien la décharge qui pollue l’Isère et non l’inverse !
      • Le dossier présente la création d’une décharge supplémentaire au-dessus d’une ancienne décharge comme ayant un « impact positif » sur la qualité des eaux souterraines. Comment est-ce que le fait d’ajouter du déchet sur du déchet pourrait-il améliorer cette qualité ? La mise en place dès à présent, et non sur 20 ans, d’une couverture étanche sur l’ancien site aurait été nettement plus efficace, en complément de mesures plus appropriées permettant d’isoler rapidement les déchets de la nappe souterraine.
      • Alors que les eaux internes ruisselant sur la plateforme de compostage présentent systématiquement des analyses non conformes aux normes de rejets au moins depuis 2011 (date des plus anciennes analyses présentées), « une surverse existe » au niveau du bassin qui les collecte et « une partie des eaux rejoint le milieu naturel. Le volume correspondant des difficilement quantifiable. ». Comment l’exploitant peut-il présenter de telles non conformités à la réglementation nationale en vigueur ? Comment peut-il dans ces conditions prétendre à poursuivre une exploitation qui aurait dû cesser depuis longtemps déjà ?

    Il apparaît urgent de fermer cette décharge et de prendre des mesures appropriées pour protéger la nappe de l’Isère, au lieu de poursuivre encore et toujours son remplissage.

    • Les informations concernant la Trame Verte et Bleue (TVB) se basent sur une étude du Conseil Général de l’Isère datant de 2001. C’est d’autant plus regrettable que le Schéma Régional de Cohérence Environnementale (SRCE), qui a notamment pour objet les continuités écologiques, a été approuvé par la Région Rhône Alpes le 16/07/2014. Ce document, qui a pourtant plus de deux ans à présent, n’est pas même mentionné par l’étude. Or le SRCE identifie le secteur dans lequel se trouve le site comme présentant un « enjeux de maintien et/ou de restauration des liaisons entre grands ensembles naturels et agricoles. Le volet TVB de l’étude d’impacts est donc obsolète et, partant, non réglementaire.
    • L’état initial ne fait référence à aucune activité en aval immédiat du site alors que la présence d’une pisciculture est mentionnée en page 4 de l’annexe G (note de caractérisation hydro-biologique du canal de Saint Quentin). Ce manquement est d’autant plus grave que les rejets des eaux de ruissellement de la décharge se font en amont de cette activité.
    • Le rapport d’étude d’impacts volet patrimoine naturel joint en annexe est trop ancien et aurait nécessité une réelle mise à jour. En effet, la première page de l’étude réalisée par le bureau d’études Evinerude est datée de février 2012, ce qui remonte à près de 5 ans. Pourtant, on constate à la lecture du rapport que la totalité des cartes et figures réalisées par le bureau d’études datent de 2011 et, plus grave, qu’il en va de même pour les visites de terrain. Ces dernières ont eu lieu entre mai et septembre 2011, et remontent donc à plus de 5 ans. Dans l’étude d’impacts il est indiqué en page 85 qu’une demi-journée est venue compléter ces investigations en 2013, mais elle n’est même pas répertoriée dans le décompte réalisé sous le tableau, aucune conclusion ne semble avoir été tirée de ce passage et le rapport joint en annexe n’en fait aucune mention. Le volet faune/flore de l’étude d’impacts est donc obsolète et, partant, non réglementaire.
    • La campagne d’odeurs date de 2011, comment comparer les résultats de cette campagnes au regard de l’activité actuelle étant donné que le dossier ne renseigne que sur les années  2013 et 2014 ? Le volet odeurs de l’étude d’impacts est donc obsolète et, partant, non réglementaire.
    • Le dossier fait état de 200 camion / jour sans plus de détail. Ce bilan est minorant, le trafic présenté ne prenant pas en compte le trafic VL, ni le trafic lié aux travaux de création de casier (apport de matériels et matériaux), ni celui lié aux travaux de déplacement des plates-formes d’activités (mâchefer, compostage, bois, inertes du BTP). L’impact du projet sur le trafic routier est donc incomplet de même que l’analyse des nuisances liées au trafic en termes de bruit et de qualité de l’air.

    VI Remarques sur l'Etude des risques sanitaires (ERS)

    • Le volet sanitaire de l’étude d’impacts présente de nombreux manquements : tout d’abord, il n’est pas conforme à la circulaire du 9 août 2013 relative à la démarche de prévention et de gestion des risques sanitaires des installations classées soumises à autorisation et au guide INERIS de 2013 sur l’Evaluation de l’état des milieux et des risques sanitaires. L’Interprétation de l’Etat des Milieux doit en effet permettre de qualifier le milieu dans lequel se trouve l’installation à étudier, de façon à évaluer l’impact réel, supplémentaire, du projet sur son milieu. Or cette étude est totalement absente du dossier. Non seulement aucune analyse n’a été réalisée pour évaluer la qualité de l’air, des sols, voire des végétaux, mais de plus l’étude présentée n’adopte pas la logique d’une démarche intégrée. Le volet sanitaire de l’étude d’impacts est donc non réglementaire.
    • Alors que la décharge existante aurait dû donner lieu à des mesures sur sites, l’étude se contente bien souvent de données bibliographiques. Ce point est particulièrement problématique pour les poussières. En effet, l’étude se base sur des données bibliographiques relatives au déchargement d’ordures ménagères, en retenant qui plus est l’hypothèse basse. Etant donné les activités présentes sur le site, dont certaines sont particulièrement génératrices de poussières (plateforme de mâchefers, plateforme de déchets du BTP, broyage de bois), les données d’entrée de l’étude semblent extrêmement sous estimées (pas de prise en compte des activités de broyage, de stockage, de reprise lors du chargement, etc. sur les matériaux pulvérulents). Le volet sanitaire de l’étude d’impacts est donc insincère.
    • Alors que la décharge va rejeter des lixiviats dans le milieu aqueux, l’ERS n’a pas jugé nécessaire de retenir ce vecteur. Pourtant, des kilogrammes de métaux vont être rejetés annuellement dans ce milieu (9kg de chrome, 8kg d’arsenic, 56 kg de cuivre, etc.). Quel est l’impact du rejet de ces métaux lourds dans l’Isère, alors même qu’une pisciculture se situe à l’aval du site ?
    • Pour les paramètres étudiés au regard des objectifs de la qualité de l’air, les concentrations présentées ne doivent pas être lues comme des concentrations mais comme un apport supplémentaire apporté aux concentrations déjà existantes. Ainsi, une contribution de 17% à la pollution ambiante est jugée comme « non significative » dans l’étude présentée. De même, pour certains paramètres, la décharge génère à elle seule des concentrations qui atteignent 50% de celles mesurées sur la station A7 Nord Isère déjà très fortement impactée par le trafic. La poursuite d’activité de la décharge est donc à proscrire et son arrêt améliorera sensiblement la qualité de l’air locale.
    • Concernant le benzène, composé cancérigène avéré, les hypothèses de concentration retenues retiennent une valeur médiane (et non moyenne) de concentrations observées dans la bibliographie, sans donner plus d’explication. Pourquoi la valeur maximale (le double) n’a-t-elle pas été retenue ? Le volet sanitaire de l’étude d’impacts est donc insincère.
    • La station de traitement des lixiviats n’est pas considérée comme une source dans les émissions gazeuses. Pourtant, la présence de bassins est forcément une source d’évaporation et donc d’émissions. Le volet sanitaire de l’étude d’impacts est donc insincère.
    • Des « erreurs » apparaissent au niveau des VTR présentées dans le tableau, tendant à présenter des VTR largement plus élevées que les valeurs réelles (exemple : facteur de 10 3 pour le benzo(a)pyrène, erreur pour le dichloroéthane, pour cadmium)… Le volet sanitaire de l’étude d’impacts est donc malhonnête.
    • Les concentrations estimées au niveau des points R1, R2 et R3 (p.59), c’est-à-dire chez les riverains les plus proches du site, dépassement largement les valeurs toxicologiques de référence (VTR) du benzène, substance hautement cancérigène. Le projet présente donc un risque majeur pour la santé des riverains.
    • Malgré toutes ses lacunes, l’étude reconnaît que les substances émises conduisent à augmenter l’apparition de cancer sur les riverains. Comment accepter la poursuite pendant encore 20 ans d’un tel risque pour la population locale ? Conformément à l’article 5 de la Constitution française, le principe de précaution doit s’appliquer et le projet être refusé.

    VII Remarques sur l'Etude des dangers

    • La décharge de Lély se situe à 5 km seulement du site SEVESO seuil haut Titanobel, spécialisé dans les explosifs, et fait partie de la zone susceptible d'être impactée par de dangereux effets de surpression. Le dossier se contente de dire que, « le PPRT Titanobel n’ayant à ce jour pas été approuvé, les activités industrielles voisines au site ne sont pas retenues comme sources d’agression dans le reste de l’étude ». Ce postulat n’est pas satisfaisant car il se base sur l’avancement d’une procédure pour juger de l’importance d’un risque et de son intérêt à être étudié. Il est urgent d’attendre l’approbation du plan de prévention des risques technologiquespour s’assurer de la compatibilité du projet Lély avec le site de Titanobel.
    • Le risque sismique est étudié dans le cadre de l’étude de stabilité des digues (dossier technique, annexe G) mais non retenu comme source d’agression dans l’étude des dangers (p.15). Pourtant, l’effet de site (phénomène de liquéfaction des sols sableux saturés situés sur des horizons rocheux lors d’un séisme) est totalement ignoré. Or, ces phénomènes conduisent à une amplification des durées et des amplitudes des secousses. Les hypothèses retenues pour les études sont ainsi extrêmement minorantes et masquent les dangers réels du projet."

    A suivre

    Marc-Claude de PORTEBANE

    Président d'AURA Environnement

  • Pétition : Stop maltraitance animale au foirail de Rethel. Pour une manifestation de masse à Rethel à noël, le 25/12/2016 à 10h

    À l'attention : M. les présidents de l'UE et François Hollande, le préfet des Ardennes Pascal JOLY et S/préfet de Rethel Emmanuel COQUAND, le maire de Rethel

    Rethel boeuf 1

    Mr le préfet des Ardennes, Mr Pascal JOLY

    Comme le révèle la presse locale, « 
    L’image du bœuf agonisant sur le parking du foirail de Rethel, mardi, a suscité de nombreuses réactions d’indignation sur les réseaux sociaux, parmi les éleveurs et bien sûr auprès des amoureux des animaux ».

     

    Cette dérive intolérable est nuisible à la cause animale, à notre agriculture qui n’avait pas besoin de cela, au département des Ardennes dont les services de l’Etat sont sous votre responsabilité directe, à la Région Grand Est mais aussi à l’image internationale de la République française qui est une nation fière et respectueuse des droits animaux et humains.

     

    Notre association loi 1901 AURA Environnement  dont je suis le président et le Collectif de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux dont je suis le porte-parole, soutenus par de nombreux défenseurs de la cause animale internationale pacifiste, entendent manifester leur mécontentement soit dans le cadre d’un défilé dans les rues de Rethel (Mairie à Foirail), soit devant le foirail de Rethel lors d’une vente d’animaux.

     

    Lors d’un premier échange téléphonique, ce matin, avec le maire de Rethel, Guy DERAMAIX, nous avons abordé un défilé potentiel dans les rues de Rethel : de la mairie au foirail. Mr le maire de Rethel nous a indiqué qu’il était CONTRE ce défilé dont nous pourrions très bien fixer ensemble la date, vous et vos services : le jour de noël 2016, le 25/12/2016 à 10h00, afin de redorer l’image du bœuf préservé et adulé dans les crèches de nombreux foyers républicains en ces fêtes de fin d’année 2016 qui sera à jamais ternie par l’image de la souffrance ignoble de ce pauvre bœuf laissé à l’agonie pendant pas moins de 2 jours !

     

    Si l’autorisation de manifester est généralement accordée par un maire, la prévention des troubles publics est du ressort des services préfectoraux qui sont engagés dans une démarche de qualité, surtout que nous sommes toutes et tous respectueux de l’état d’urgence qui a été voté par l’assemblée nationale.

     

    Nous aimerions que vous preniez un arrêté préfectoral suspendant - provisoirement – ce marché hebdomadaire de Rethel TANT que nous n’aurons pas l’assurance des services de l’Etat que la réglementation sur le respect des animaux d'élevage via l’article R214-17 du code rural et de la pêche maritime sera pleinement appliqué au foirail de Rethel.

     

    L’Union européenne a mis en place des normes de bien-être des animaux parmi les plus élevées au monde. Le cadre général des actions de l’UE en matière de bien-être des animaux est défini dans la stratégie 2012-2015 de l’UE pour le bien-être des animaux. Des règles harmonisées sont en place au niveau de l’UE et couvrent un large éventail d’espèces animales et de questions entourant le bien-être des animaux. La directive CE 98/58 du Conseil établit les normes minimales de protection de tous les animaux d’élevage, tandis que d’autres législations de l’UE instaurent des normes de bien-être pour les animaux d’élevage pendant le transport et au moment de l’étourdissement ou de l’abattage. Des directives spécifiques couvrent la protection de catégories individuelles d’animaux telles que les veaux, les porcs et les poules pondeuses. Nous aimerions qu’une commission d’enquête soit créée et co-supervisée par l’UE et vos services de la préfecture des Ardennes afin de vérifier l’application de ceci.

     

    Nous aimerions que vous preniez un arrêté préfectoral afin de mettre un terme définitif à la DSP (Délégation de service public), accordée à la société SUFR pour la gestion déléguée du marché aux bestiaux du FOIRAIL de RETHEL et du contrat d’affermage.

     

    Dans l’attente de votre réponse et de notre futur entretien pour faire un point sur le dossier, je vous prie d’agréer Monsieur le préfet, l’expression de notre détermination et de nos courtoises salutations.

     

    Marc-Claude de PORTEBANE                                                          
    Président de l’association de protection environnementale et de défense des animaux
    AURA ENVIRONNEMENT 

    Site : http://www.aura-environnement.com/
     

    Porte-parole du Collectif de la Ligue de combat contre les animaux

     https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/

  • Boeuf martyr à l'agonie foirail de Rethel (Ardennes) : AURA Environnement va déposer plainte contre X !

    Venez nombreux à notre manifestation/protestation

    avec une rose blanche SVP :

    Les responsables à Rethel du martyr enduré par ce

    pauvre boeuf de race prim’holstein devront expliquer

    à la justice pourquoi ils ne lui ont pas porté assistance !

    Rethel boeufL'association loi 1901 AURA Environnement va porter plainte contre X.

    L'article de l'Union est éloquent : "Chaque lundi, le foirail accueille un marché aux bestiaux qui réunit des professionnels de tout l’Est de la France. Plusieurs centaines de bovins y sont présentés à la vente. L’animal, qui avait les pattes arrière cassées, gisait sur le parking du foirail depuis déjà une journée lorsque des Rethélois, inquiétés par l’état de la pauvre bête, ont donné l’alerte, mardi. «  Lorsque les services de l’État ont eu connaissance de la situation, un vétérinaire a été envoyé sur place afin de procéder à l’euthanasie  », explique le sous-préfet de Rethel, Emmanuel Coquand. Les souffrances de l’animal, un bœuf de race Prim’Holstein, ont été abrégées mardi en fin de journée, soit au terme d’au moins 24 heures d’agonie.". http://www.lunion.fr/819723/article/2016-10-12/boeuf-laisse-a-l-agonie-deux-plaintes-deposees-contre-l-eleveur

    AURA Environnement et la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux vous proposent d'organiser une vaste manifestation devant le foirail de Rethel en signe de protestation nationale et de venir avec une rose blanche.

    Tous les volontaires de la Protection Animale (P.A.) sont prié-es de s'inscrire ici, via la MP.

    Toutes les préconisations pour une manif ne troublant pas l'ordre public feront l'objet de plusieurs billets que ce soit ici ou sur la page facebook de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux qui est aimée par plus de 27 000 personnes https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/?hc_ref=PAGES_TIMELINE

    Nous aurons notre propre service d'ordre. L'autorisation de manifester sera demandée aux autorités.

    Nous vous demandons de partager un maximum nos infos et de relayer notre tristesse.

  • Stop aux subventions Région Auvergne-Rhône-Alpes aux chasseurs et guerre totale !

    Nous aurons nos 100 000 signatures

    de citoyen-nes de bon sens contre ces subventions

    à la chasse en Auvergne-Rhône-Alpes !

    http://www.mesopinions.com/petition/animaux/stop-aux-subventions-region-auvergne-rhone/24839

    Img 6210Les temps ont évolué. Le plaisir cruel de tuer avec des moyens modernes des animaux sensibles, est révolu.

    Notre jeunesse à fleur de peau ne veut plus de maltraitance animale. Les chasseurs seront donc en nombre décroissant. Les animaux vont désormais relever la tête et, nous, AURA Environnement - indépendants des partis politiques - allons leur apporter fermement tout notre amour et tout notre soutien.

    Que des salauds s'arment des gadgets de dernier cri pour terroriser de pauvres animaux innocents, nous révulse.

    A extrémistes, nous répondrons par l'extrémisme. A la force, nous répondrons par la force.

    Les animaux sauvages sont libres et très souvent inoffensifs : les tuer répond du besoin d'une caste revancharde et privative du bon sens élémentaire qui ne rêve que de supprimer nos libertés publiques.

    TOI, chasseur, tu dois savoir que désormais, en face de toi, il se peut que, désormais, une militante ou un militant de NOTRE cause te prenne pour CIBLE !

    Marc-Claude de PORTEBANE

    Président d'AURA Environnement

    Porte-parole de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux

  • Les groupes PS + Ecolos approuvent notre pétition CONTRE subventions aux chasseurs région Auvergne-Rhône-Alpes

    Notre pétition "Stop aux subventions

    Région Auvergne-Rhône-Alpes aux chasseurs !"

    cartonne. Plus de 22 000 signatures en 5 jours !!!

    http://www.mesopinions.com/petition/animaux/stop-aux-subventions-region-auvergne-rhone/24839

    Communiqué de presse de Jean-François DEBAT (Président du groupe socialiste, démocrate, écologiste et apparentés au Conseil régional Auvergne Rhône-Alpes).

    Lyon, le 19 septembre 2016

    3 millions pour les chasseurs :

    s'offrir des avantages personnels et les faveurs d'une clientèle :

    l'éthique selon Laurent Wauquiez

    Fb chasseurs 1

    A l'occasion de l'Assemblée plénière du 22 septembre prochain, Laurent Wauquiez et son Vice-président Philippe MEUNIER présenteront un partenariat avec la Fédération Régionale des Chasseurs (FRC) de la région, d'un montant de près de 3 millions d'euros sur 3 ans et qui leur délègue des missions d'application du schéma régional de cohérence écologique.

     

    3 millions d'euros, ce montant est excessif, notamment lorsqu'on le compare à ceux, beaucoup plus modestes, attribués à d'autres associations régionales, et qui sont aujourd'hui impitoyablement rognés ou supprimés.

    Ainsi, Laurent Wauquiez a réduit de 50% la subvention régionale à la Fédération Rhône-Alpes de protection de la nature (FRAPNA) en 2016.

    C'est une nouvelle démonstration d'une action clientéliste et d'une volonté d'opposer inutilement les différents acteurs reconnus qui interviennent pour la préservation de la biodiversité.

     

    Mais dans ce partenariat, Laurent Wauquiez fait pire :

     

    1. Dans une logique purement clientéliste, il cherche à s'acheter les faveurs des 119.000 chasseurs de la Région et il s'offre sur le dos du contribuable, un accès à leur fichier pour pouvoir communiquer avec eux directement à 8 mois de la présidentielle.

     

    2. Il s'offre, avec l'argent de la Région, des avantages personnels. « Deux représentants de la Région seront invités aux manifestations payantes organisées par la FRC ». Pour être plus clair : Il s'offre deux cartes permanentes pour toutes les chasses privées dans la Région et un droit de tirage illimité pour inviter qui il veut aux frais de la Région !

     

    Voilà à quoi sert l'argent public pour celui qui fait en permanence des leçons de morale et qui fait adopter le même jour une charte d'éthique en assemblée plénière.

     

  • Un avertissement pour le SYDEMER de Saint-Etienne : l'usine TMB Canopia de Bayonne crame !

    Alors que le SYDEMER de Saint-Etienne veut faire du TMB

    probablement sur 2 sites vers Andrézieux-Bouthéon (Loire)

    l'usine TMB Canopia de Bayonne présentée comme la Rolls

    TMB par les promoteurs de l'UTV de Bordères-sur-L'Echez

    a été fortement endommagée par un incendie  !

    K1 72

    Les promoteurs du projet UTV 65 de Bordèrs sur l'Echez ont présenté leur usine TMB (Tri Mécano-biologique) comme étant plus performante que celle de Bayonne.

    Est-ce à dire qu'elle devrait brûler plus rapidement ??
    C'est France Bleu Pays Basque dans son édition de ce jour qui nous informe de cette calamité supplémentaire pour le "tri-mécano biologique" de nos poubelles molodorantes et cramables, en plus.
    Le site de Canopia a été lancé dans le nord de Bayonne en 2014. Géré par le syndicat mixte Bil Ta Garbi, il permet le traitement de 161 000 tonnes de déchets en provenance de 202 communes du Pays Basque et des villes béarnaises de Sauveterre et Salies.
    Selon France Bleu, "Les alarmes du centre de traitement des déchet de Canopia se sont déclenchées vers 03 heures ce vendredi matin. Le feu a pris dans le bâtiment destiné au tri des ordures ménagères. L'origine du sinistre est inconnue. Il n'y a pas de blessé. En revanche, les dégâts sont très importants. Le feu a embrasé entièrement l'un des édifices du site. 52 pompiers sont intervenus à Canopia au nord de Bayonne. Une épaisse fumée noire a aussitôt envahi l'autoroute A 63 riveraine. L'incendie a pu être maitrisé vers 07h30 après la mise en action de 5 lances.".
    Cela fait plusieurs mois que le collectif C.H.U.P.A alerte les populations locales sur les dangers du TMB en France.
    Le tri mécano-biologique pouvait éventuellement être envisagé et trouver sa place dans la gestion des déchets comme outil de stabilisation des ordures ménagères résiduelles (OMR) après collecte sélective des biodéchets, des emballages et des déchets dangereux des ménages, notamment pour minimiser l’impact des déchets mis en décharge (neutralisation des émissions de méthane de la matière organique résiduelles et réduction du volume enfoui).
    Mais cela a été un leurre de croire qu’il pouvait être considéré comme un moyen efficace et privilégié de produire du compost normé utilisable en agriculture.
    Et nous l'avons démontré lorsque nos militants sont allés surveiller le CV0 de Saint-Barthélémy-de-Vals et son compost produit par Véolia qui en a la DSP (Délegation de service public).
    Dans toute la région de cette commune martyr de Saint-Barthélémy-de-Vals les résultats pour les habitants sont des plus néfastes pour l'environnement et leur qualité de vie.
    Et le SYTRAD de Valence enchaîne maladresses sur maladresses avec l'argent public.
    Le récent rapport de la MEES n'est guère brillant, en effet !!!!
     

  • Stop aux galettes-saucisses bretonnes à base de porc !

    L’Union Européenne interdit la galette-saucisse en ville à partir de 2018

    STOP aux galettes-saucisses au porc

    OUI aux galettes-saucisses Vegans !

    Aaa32Notre association AURA Environnement est favorable à l’interdiction globale des galettes-saucisses, même sous vide.

    Nous espérons que la commission européenne ne pliera pas sous les menaces et persistera dans cette mesure qu’elle attendait depuis longtemps.

    Nous y voyons les prémices d’une libération inconditionnelle des porcs bretons.

    Nous avons le soutien du président de la commission européenne, Jean-Claude Juncker, végan militant.

  • Pétition : Stop aux subventions Région Auvergne-Rhône-Alpes présidée par Laurent WAUQUIEZ aux chasseurs !

    Pour l'abolition des subventions

    de la Région Auvergne-Rhône-Alpes

    de Laurent WAUQUIEZ aux chasseurs !

    http://www.mesopinions.com/petition/animaux/stop-aux-subventions-region-auvergne-rhone/24839

    A1822À l'attention : Mr le président de la République

    En cette rentrée 2016, Pierre ATHANAZE, Administrateur de FERUS (première association nationale de protection et de conservation de l'ours du loup et lynx en France) nous a appris une bien mauvaise nouvelle pour nos amis les animaux sauvages, éternels laissés pour compte, qui ont besoin de notre soutien massif pour CONTRER les chasseurs de moins en moins nombreux mais de plus en plus gourmands en subventions.

     

    En effet, Laurent WAUQUIEZ, le tout nouveau numéro 1 des « républicains » propose un magnifique cadeau électoral aux chasseurs avec l’argent du contribuable de la région Auvergne-Rhône-Alpes qu’il préside. En effet, il invite les conseiller régionaux de la seconde région de France a octroyer, sur trois ans la colossale subvention de 2 955 210€ !

     

    Pierre ATHANAZE ne mâche pas ses mots : « Lui qui a conspué les association de protection de la nature pour les subventions qu’elles touchaient sous la présidence socialiste, il explose le plafond en offrant 3 million d’euros au prétexte que : « Depuis les années 1980, le nombre de chasseurs de notre territoire ne cesse de décliner. Plusieurs raisons sont avancées : la raréfaction du petit gibier de plaine, l’augmentation des coûts pour exercer l’activité de chasse, les évolutions réglementaires de plus en plus contraignantes mais aussi les changements de modes de vie et d’occupation de l’espace entre populations rurales et urbaines. La chasse est majoritairement pratiquée en forêt et spécialisée sur les grands ongulés sauvages ».

     

    L’animal est reconnu comme être sensible, mais seulement s’il appartient à quelqu’un ! Le lobby chasse a fait en sorte que la loi ne le gêne en rien et s’est assuré que toutes les tentatives visant à accorder légalement le caractère sensible à l’animal sauvage soient soigneusement écartées des débats à l’Assemblée Nationale.

     

    En 5 saisons de chasse (de la saison 2011/2012 à 2015/2016), 704 accidents de chasse ont été officiellement recensés par l’ONCFS. Sur cette même période, une dizaine de non-chasseurs ont été abattus et près de 70 blessés ont été déplorés.

     

    L’association de protection de l’environnement et des animaux AURA Environnement et le collectif de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux demandent à tous les défenseurs des animaux sans défense et souvent en détresse, - quelque soit leur appartenance politique - de signer massivement cette pétition pour que la chasse en France ne soit plus subventionnée par les contribuables, qu’une manifestation de grande ampleur se tienne devant le siège de la Région Auvergne-Rhône-Ales, que les élu-es votant cette subvention scélérate soient tenu-es co-responsables de ce soutien financier à des assassins d’animaux innocents et ce, devant le tombeau de l’animal inconnu, restant, lui, à inaugurer au plus vite, en « grands pompes » !

     

    Marc-Claude de PORTEBANE

    - Porte-parole du collectif de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux
    - Président de l’association de protection de l’environnement et des animaux AURA Environnement

    http://www.aura-environnement.com/

    https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/

  • GREENPEACE : Michel-Edouard Leclerc a réagi sur son blog à notre action de sensibilisation des pesticides !

    Michel-Edouard Leclerc

    il faut qu’on se voie

    GpMichel-Edouard Leclerc a réagi sur son blog à notre action de sensibilisation dans sa ville natale, à Landerneau. Nous lui répondons par la voix de Jean-François Julliard, Directeur général de Greenpeace France.

    « Cher Michel-Edouard,

    Nous sommes ravis que nos petites affiches aient attiré votre attention et que vous ayez pris la peine de justifier votre position. Il est vrai que nous attendions un début de dialogue depuis plus d’un an sur un sujet qui concerne la santé de vos clients. Nous nous réjouissons également que, dixit, “les adhérents et salariés du Mouvement E.Leclerc sont totalement en phase avec l’objectif de réduire les pesticides et autres produits chimiques, notre enseigne est complètement disponible pour y travailler.” C’est une excellente première étape qui va, je l’espère, donner lieu à une réunion rapide avec vos adhérents et vous-même pour qu’on s’y penche sérieusement.

    Votre préoccupation de développer le bio dans vos enseignes est hautement louable. Mais quels volumes de vos ventes cela concerne-t-il : 3%, 4% ? Tant que cela ne concerne pas le gros du volume, cela signifie que la majorité de vos clients continuent de consommer des fruits et légumes issus de l’agriculture conventionnelle. Des fruits et légumes produits à grand renfort de pesticides, dont les consommateurs ne connaissent ni la nature ni les quantités utilisées. C’est donc bien à eux que nous pensons en premier lieu. Ces pesticides, on vous le rappelle, sont des poisons pour leur santé et pour celle des producteurs mais également pour l’environnement (voir les études sur l’impact sur les consommateurs ou encore sur celle des agriculteurs de l’ANSES).

    Permettez-nous quelques mises au point et corrections sur la deuxième partie de votre courrier. Si les producteurs sont ceux qui produisent, les distributeurs ont une très grand part de responsabilité au travers des contraintes de prix et de contrats qu’ils fixent. C’est là que vous pouvez jouer un rôle énorme. C’est également la raison pour laquelle des enseignes concurrentes se sont déjà engagées : Carrefour, les Magasins U et Monoprix en France, Aldi en Allemagne ou encore les enseignes Jumbo et Albert Heijn aux Pays-Bas, qui y concentrent à eux deux plus de 50% des ventes. Nos demandes sont ainsi très simples : accompagner et soutenir les producteurs pour qu’ils éliminent en priorité les pesticides les plus dangereux dans leur production de fruits et de légumes et être transparent vis-à-vis des consommateurs sur le recours aux pesticides et le soutien aux agriculteurs.

    Quant à la référence au groupe de travail sur les pesticides, nous sommes heureux d’en parler car il semblerait que les informations qui vous ont été transmises soient erronées. Suite à des échanges fin novembre 2015 avec la centrale d’achat toulousaine, Greenpeace a envoyé à ses responsables en région ainsi qu’au directeur développement durable de l’enseigne nationale les documents nécessaires à la réalisation d’un état des lieux des pratiques de ses fournisseurs de pommes sur l’usage des pesticides ainsi qu’à l’identification des marges de progrès et des objectifs de réduction envisageables. Malgré nos relances, nous n’avons reçu au niveau national qu’une réponse évasive.

    Au niveau régional nous avons rencontré le groupe de travail auquel vous faites référence. Lors de cette réunion, nous avions convenu avec la centrale d’achat présente qu’elle établirait un état des lieux sur les pratiques agricoles de ses producteurs quant à l’utilisation des pesticides. Cet état des lieux aurait permis de dégager les marges de manoeuvre pour réduire l’usage des pesticides. Greenpeace n’a jamais reçu ni cet état des lieux, ni les propositions de réductions de l’usage des pesticides qui devaient en découler.

    A la place nous avons été invités à participer à une nouvelle réunion avec la centrale et l’interprofession. A ce stade des négociations, nous avons estimé que la balle était dans le camp de ces acteurs. Nous avons donc exprimé notre souhait de les laisser avancer dans un premier temps de leurs côtés avant de se rencontrer à nouveau. En effet, Greenpeace n’a pas vocation à accompagner l’évolution des enseignes sur le plan technique. Nous existons pour alerter sur les dangers qui menacent notre santé et l’environnement et pousser au changement. C’est ensuite aux enseignes de prendre leurs responsabilités, en s’appuyant s’il le faut sur des personnes ressources (experts indépendants, bureaux d’étude etc.) nécessaires à la bonne évolution de leurs pratiques. Cette démarche ne pose pas de problème pour d’autres enseignes, pourquoi cela est-il si compliqué avec vous ?

    Concernant les études scientifiques que vous n’auriez pas reçues (nous vous les avons pourtant adressées par courriel les 16 juin, 20 et 24 octobre 2015, puis par courrier postal en décembre dernier), nous sommes là aussi heureux de vous renvoyer quelques liens* qui constitueront, nous en sommes certains, de saines lectures de vacances à vous qui mangez bio :

    Assez de temps perdu. Vous avez le pouvoir – et la responsabilité – de faire évoluer les pratiques de votre enseigne dans l’ensemble de l’Hexagone. De soutenir les agriculteurs, et de leur permettre la mise en place d’alternatives aux pesticides les plus dangereux pour les pollinisateurs et la santé.

    Nous vous remercions de votre proposition de rendez-vous avec les syndicats. Mais notre demande est bien plus simple que celle d’organiser ce qui pourrait se transformer en grand-messe. Elle est de vous rencontrer, vous, car c’est à vous maintenant de prendre des engagements et de ne pas vous défausser sur les producteurs (avec qui nous travaillons directement par ailleurs, en soutenant ceux qui s’engagent vers des modèles de production durables).

    Au plaisir de vous rencontrer donc très prochainement.

    Jean-François Julliard
    Directeur général
    Greenpeace France

    *Note : les seules informations qui ne s’y trouvent pas sont les lieux de prélèvement des échantillons de sols et d’eau effectués dans des vergers et champs de pommes de terre qui sont volontairement gardés confidentiels afin de préserver l’anonymat des exploitations et agriculteurs concernés, ainsi que les nom et coordonnées du laboratoire ayant mené les analyses que nous ne communiquons pas non plus, pour des raisons de confidentialité demandées de leur part. »

  • Le Collectif CHUPA solidaire Contre l'ISDND de Roche-la-Molière gérée par SUEZ !

    Les écologistes du collectif C.H.U.P.A solidaires

    des associations opposées à l'ISDND

    de Roche-la-Molière et gérée par SUEZ !

    Plusieurs militant-es écolos-marxistes du Collectif "Halte Usine à poubelles vers Andrézieux-Bouthéon" (C.H.U.P.A) sont venus ce week-end....

    Mont 032.....lors de la Foire agricole et du Forum des associations au stade Beaulieu.....

    Mont 003......apporter leur soutien à leurs camarades des associations locales opposées à ce qu'ils dénomment une "décharge" mais en fait un centre de stockage de déchets situé à Borde-Matin à Roche-la-Molière et qui est une installation classée au titre d’Installation de stockage des déchets non-dangereux (ISDND).

    Mont 006 2 jpg aL'occasion également de saluer nos camarades, le député PS de la circonscription, Régis JUANICO (à l'extrême gauche de la photo) et les conseillers départementaux Arlette BERNARD (Saint-Etienne 3) et Pierrick COURBON (Saint-Etienne 3).

  • La mairie de Saint-Quentin-sur-Isère agence publicitaire de LELY Environnement ?

    Alors qu'une enquête publique va bientôt

    se dérouler à la mairie de Saint-Quentin-sur-Isère

    (Suite aux demandes présentées par LELY ENVIRONNEMENT) :

    la mairie est-elle devenue une "agence pub" de ce groupe ?

    St quent 041

    La défiance à l'égard des collectivités territoriales n'est-elle pas au coeur de l'illusion démocratique ?

    La commune de Saint-Quentin-sur-Isère est située à 25 km de Grenoble en direction de Valence sur la rive gauche de l'Isère, à l'extrémité septentrionale du massif du Vercors.

    C'était presque la fin des vacances estivales 2016 lorsque les militant-es de l'association environnementale AURA Environnement étaient aux 4 coins de l'Isère.

    Ainsi, dans l'après-midi du 29 août, une polémique éclatait à la mairie de Saint-Quentin-sur-Isère et le secrétariat de la mairie où le président d'AURA Environnement constatait que de nombreux calendriers estampillés "LELY ENVIRONNEMENT" se trouvent à la portée du public.

    Le rôle d'une mairie est-il d'être la "courroie de transmission" ou "l'agence publicitaire" ou "promotionnelle" d'une entreprise quelqu'en soit sa nature ?

    St quent 040

    Qu'en est-il de l'intégrité publique de cette collectivité territoriale ?

    Pourquoi favoriser les calendriers de "LELY ENVIRONNEMENT" et non pas ceux des associations environnementales ? Pourquoi les personnes chargées d'une mission de service public à la mairie de Saint-Quentin-sur-Isère acceptent-elles ce genre d'avantages, fussent-ils si minimes mais tellement visibles qu'il faut être aveugle pour ne pas voir l'immense calendrier de "LELY ENVIRONNEMENT" à l'accueil de cet endroit accueillant de très nombreuses personnes ? Ces dons de calendriers ont-ils une finalité économique ?

    La prudence n'exige-t-elle pas de résister à la tentation du cadeau d'entreprise à Saint-Quentin-sur-m'Isère ?

    Voilà la découverte d'AURA Environnement et ce, juste à 15 jours de l'ouverture de l'enquête publique concernant l'extension verticale de l'installation de stockage déchets non dangereux (création d'un nouveau casier en réhausse de la zone de stockage existante) et institution de servitudes d'utilité publique à l'intérieur de la bande des 200 m autour de la zone d'exploitation de l'unité de stockage des déchets sur le site situé au lieu-dit "L'Echaillon" à Saint-Quentin-sur-Isère.

    Article paru dans l'Idiot provincial : http://l-idiot-provincial.e-monsite.com/blog/aura-environnement/la-mairie-de-saint-quentin-sur-isere-agence-publicitaire-de-lely-environnement.html

  • Projet Usine à poubelles CSR à Andrézieux-Bouthéon : Opération tractage pour la rentrée scolaire 2016 des opposants du Collectif ZADiste CHUPA !

    Les militan-tes du Collectif CHUPA

    (Halte Usine à poubelles CSR à Andrézieux-Bouthéon)

    maintiennent la pression contre l'implantation de cette future Usine à poubelles 

    dans leur commune en distribuant plusieurs tracts ce matin

    devant l'école Jeanne d'Arc à Andrézieux-Bouthéon !

    Jarcand 025Une douzaine de militant-es du Collectif CHUPA et de l'association environnementale "AURA Environnement" ont distribué, de façon pacifique, plusieurs dizaines de tracts afin de dénoncer le projet du SYDEMER de Saint-Etienne qui pourrait installer une potentielle future Usine à poubelles (Méthanisation + production de CSR) sur 2 zones de la communes d'Andrézieux-Bouthéon : L'Orme les Sources et la ZAIN Parc Opéra International.

    Jarcand 016Petit rappel : le collectif ZADiste CHUPA est soutenu par plus de 10 000 personnes au travers ses pétition (3253 signatures internet et plus de 7 000 version papier).

    Lien : http://www.mesopinions.com/petition/politique/halte-usine-poubelles-za-vers-andrezieux/15574

    La lutte continue.