ZAD

  • Opération Étoile Rouge – Plouvara, Bretagne sous pression : entre vaches, fumées et trahisons industrielles !

    AURA Environnement en soutien du collectif (FBAI)

    Front Breton Anti Incinération

    déclenche l’opération « Etoile Rouge » 

    CONTRE le projet d’Usine à CSR à Plouvara (22) !Fbai anti csr plouvara

    Dernière minute – 25 juin 2025 :

    Comme à Notre-Dame-des-Landes, une nouvelle page de résistance est en train de s’écrire à Plouvara.

    Le FBAI annonce qu’un projet de ZAD est en cours de structuration sur la commune. Une demande officielle de location de la salle des fêtes a été adressée à la mairie pour y tenir une assemblée populaire de convergence, afin d’expliquer aux habitant·es et aux camarades de toute la Bretagne le sens profond de notre lutte contre les incinérateurs CSR.

    Et comme à NDDL :
    Nous appelons dès à présent à la récupération de matériel utile à l’implantation logistique de la résistance :

    • Tentes, yourtes, tipis
    • Casseroles, réchauds, cuves à eau
    • Palettes, bois de chantier, bâches
    • Camping-cars, remorques, cantines roulantes
    • Groupes électrogènes, éclairage autonome
    • Systèmes de sonorisation, tables, chaises

    Notre mot d’ordre est simple :

    "Préparer la ZAD, c’est déjà occuper le terrain. Rassembler les vivres, c’est annoncer la durée". Camarade Chantal LEVEQUE, comité central du FBAI.

    A deux pas de chevaux paisibles et de vaches broutant dans les effluves de la SECANIM — usine d’équarrissage aux 180 000 tonnes de cadavres par an — se trame un nouveau front de guerre écologique : l’installation d’une “chaudière CSR” couplée à 15 hectares de serres industrielles, au cœur même du monde agricole breton.

    Une enquête de terrain en plein champ… de manœuvres

    Ce lundi 19/05/2025, le président d’AURA Environnement et porte-parole du Front Breton Anti CSR (FBAI) a rencontré les représentants de l’AVIE à Plouvara. Objectif : évaluer la réalité du projet, les dynamiques locales… et les failles internes.

    « L’AVIE existe, mais elle hésite. Nous avons senti de la sincérité, mais aussi de la peur : peur de gêner les élus, peur de “mettre le feu” trop tôt. Le FBCI, lui, est prêt. »

    Sur place, les photos prises près de la SECANIM révèlent une incohérence brutale : 

    Chaval vers secanim plouvara

    ..... des animaux innocents à proximité d’une usine pestilentielle, et demain, peut-être, d’une cheminée CSR. 

    Vaches plouvara collectif fbci

    La “transition verte” qu’on nous promet se résume ici à une chose : la combustion d’un territoire.

    Plouvara : un Gueltas bis, sous stéroïdes logistiques ?

    Le projet, porté par Kerval, Armor Semences et la filière CSR, présente tous les marqueurs du désastre annoncé :
    - incinération de plastiques sous étiquette verte,
    - agriculture hors-sol dopée à la chaleur industrielle,
    - dérives urbanistiques (SUP, PLUi modifiés, zonages masqués),
    - et un potentiel chantage à l’emploi mal dissimulé.

    Sur site, il est aussi envisagé que cette “unité de valorisation du CSR” alimente 15 hectares de serres exploitées par Armor Semences, qui projette d’y produire des tomates non pour nourrir la population, mais pour extraire des graines destinées à sa filière semencière.

    Autrement dit : des déchets industriels pour chauffer une production hors-sol, au service d’un marché semencier mondialisé. Ce n’est pas une transition alimentaire. C’est une dérive technologique de laboratoire.

    Ce projet soulève plusieurs questions :

    • Utilisation de déchets pour l'agriculture : La chaleur produite par l'incinération de déchets serait utilisée pour chauffer des serres destinées à la production de graines de tomates. Cela pose la question de l'impact environnemental et sanitaire de l'utilisation de chaleur issue de déchets pour des cultures agricoles.
    • Impact sur le territoire : L'installation de ces serres et de la chaudière CSR pourrait transformer le paysage rural de Plouvara, avec des conséquences sur l'environnement local et la qualité de vie des habitants.
    • Modèle économique : Le projet est présenté comme une opportunité économique, avec la création de 150 emplois. Cependant, il est essentiel d'examiner si ce modèle est durable et bénéfique à long terme pour la communauté locale.

    Il est crucial de continuer à surveiller de près ce projet et d'engager un dialogue avec les parties prenantes pour évaluer ses implications complètes sur l'environnement, l'économie et la société locales.

    Et maintenant, menacer l’eau ?

    « Après les odeurs de l’équarrissage, il est hors de question que nous subissions une autre pollution », martèle Hervé Trémel, premier adjoint au maire de Plerneuf. Il affirme que le site choisi pour la chaudière CSR est situé sur une zone humide.

    Et de s’inquiéter publiquement :
    « Que fait-on de la protection du bassin-versant du Gouët ? C’est l’eau qui alimente une grande partie du département qui est en jeu. »

    Cette fois, il ne s’agit plus “seulement” de fumées : c’est la ressource en eau de milliers de personnes qui pourrait être impactée.

    La zone humide concernée par le projet de chaudière CSR à Plouvara se situe à proximité immédiate de l'usine d'équarrissage SECANIM.

    Selon les déclarations d'Hervé Trémel, 1er adjoint au maire de Plerneuf, le site envisagé pour la construction de la chaudière se trouve sur une zone humide, ce qui soulève des préoccupations environnementales majeures, notamment en ce qui concerne la protection du bassin-versant du Gouët, une source d'eau potable essentielle pour une grande partie du département. 

    La commune de Plouvara est traversée par plusieurs cours d'eau, dont le Leff, l'Ic, le Camet et le Moulin Kernier, qui contribuent à la richesse écologique de la région.

    La présence de zones humides dans ces bassins versants joue un rôle crucial dans la régulation hydrologique, la biodiversité et la qualité de l'eau.

    Tout cela dans un silence municipal assourdissant, rompu seulement par quelques tracts courageux de l’AVIE, qui se voit désormais doublée sur sa gauche par un FBCI mobilisé, structuré, et offensif.

    Un réseau d’intérêts à démasquer

    Pourquoi Armor Semences ? Pourquoi la hâte ? Pourquoi ici ?
    Une lecture attentive du SRADDET et du PRPGD montre que ce projet va à l’encontre des engagements régionaux sur la réduction des déchets, la préservation des terres agricoles, et la concertation démocratique.

    Le FBAI s’emploiera dans les semaines à venir à :
    - cartographier les collusions foncières et techniques du projet,
    - interpeller publiquement le préfet, Kerval, et la Région,
    - exiger un moratoire immédiat sur toute initiative CSR en Bretagne.

    Plouvara ne sera pas le chaînon manquant entre le cadavre et la salade sous plastique.
    Ce sera — ou non — le point de rupture !

    Rejoignez le Front Breton Anti CSR (FBAI) “Contre l’enfumage industriel, pour la démocratie locale.” !

     

  • Incinérateur IndaClor à Loon-Plage : le projet de ZAD est dans les cartons !

    AURA Environnement réveille les troupes zadistes

    CONTRE projet Indachlor à Loon-Plage !

    Le Commissaire Enquêteur (CE) est un ancien employé du GPMD, lequel fournit le terrain d’implantation du projet … comment ne pas y voir un moyen d’influencer l’analyse éclairée du CE. Ce dernier aurait dû refuser cette enquête. Nous demandons que cette dernière soit annulée et qu’un nouveau CE soit désigné !!!!

    Loon2 069-       Quelle bonne nouvelle pour le projet … une espèce protégée (le crapaud calamite) était présente sur le site et représentait un enjeu fort en 2015 … et bizarrement elle disparait en 2016 et 2017 …. Nous soupçonnons le porteur de projet voir le GPMD d’avoir éradiqué cet amphibien gênant. En outre s’il était présent c’est la preuve que l’habitat est favorable à cette espèce et détruire l’habitat d’une espèce protégée nécessite un dossier de dérogation.

     -       La perte d’espace agricole nécessite des mesures compensatoires …Ces mesures compensatoires sont différentes des mesures compensatoires écologiques prévues au code de l'environnement : il s'agit, d'une part, d’une compensation économique, d'autre part, d'une compensation collective et non pas individuelle. Ces mesures sont, de surcroît, indépendantes de celles concernant la destruction des espaces naturels prévues dans le code de l’environnement (étude d’impact, étude d’incidence de la loi sur l’eau, évaluation des incidences Natura 2000, dérogation espèce protégée) et le code forestier (boisement compensateur). Toutefois, une double compensation écologique et économique n’est pas à exclure sur certains écosystèmes affectés à l’activité agricole (prairies ou zones humides). Le dispositif s'applique aux projets pour lesquels l'étude d'impact a été transmise à l'autorité environnementale à compter du 1er décembre 2016.

    -       L’avis de l’autorité environnementale (AE) est trompé par le porteur du projet … en effet ce dernier prévoit un trafic maximum qui est lié à la mise en œuvre hypothétique d’un développement de trafic ferroviaire …. L’étude d’impact doit être établie sur les conditions les plus défavorables et donc sur des apports complets par la route … est-ce le cas ??? Nous ne le croyons pas !

    -       L’AE précise que « L’interprétation de l’état des milieux met en évidence une vulnérabilité « possible » liée aux concentrations relevées en arsenic et manganèse » … que signifie possible quand on peut l’éviter ?

    Cela s’appelle un risque inutile !!!!

    -       PIRE : « les modélisations de l’impact sanitaire attribuables aux seules émissions estimés de l’entreprise Indachlor concluent à un risque acceptable » …. Mais c’est le cumul de l’ensemble qu’il faut étudier … c’est la notion d’impact cumulé … le B.A ba des études d’impact. Evidemment que prisent 1 par 1 les industries du GPMD sont presque inoffensives mais ensemble c’est une bombe à retardement …

    -       L’INERIS a qualifiée l’étude des risques initiale proposée par le porteur de projet en disant qu’elle n’était pas prudente …. Il y a déjà eu des accidents graves chez INDAVER à Anvers et l’étude proposée (postérieurement à ces accidents) est jugée « non prudente » par une tierce expertise !!!

    C’est trop … le GPMD ne peut prendre le risque d’aller plus loin avec cet industriel.

  • Nouvelles du front de Notre-Dame-des-Landes : vigilance anarcho-marxiste d'AURA Environnement autour de Nantes transition énergétique

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    Communiqué :

    Merci de nous signaler toute information sur d’éventuelles présences de flics ou d’engins de travaux autour de la ZAD au numéro d’urgence : 06 43 92 07 01 (pour contact presse uniquement : 06 95 06 81 49). Nous faisons appel à votre vigilance.

    Les infos d’urgence qui tournent sur les réseaux sociaux ne sont pas toujours confirmées. Restons vigilants, mais évitons de crier au loup ! Ca nous permettra de réagir rapidement. Avant de faire tourner une info, merci de contacter par mail ou téléphone la ZAD et/ou l’ACIPA pour vérification. Si nous estimons que la menace est immminente et réelle, nous le ferons savoir par un message commun sur les diverses listes, sur le site de la ZAD et sur celui de l’ACIPA. En attendant, nous invitons chacun à prendre avec recul les messages et rumeurs circulent par ailleurs et par d’autres biais.

    Pour vous inscrire/désinscrire à notre mail liste pour les nouvelles, communiqués, alertes, etc. Le flash infos est maintenant disponible en flux RSS.

  • Convergences Greenpeace #Fessenheim & Appel à soutien urgent pour une ZAD à Aix-en-Provence !

    Convergences Greenpeace #Fessenheim :

    Les sentinelles d'AURA Environnement

    en renfort à Aix-en-Provence !

    Rouss peze 085"Nous sommes toujours mobilisés devant les entrées du parc Rambot et dans les arbres qui doivent être coupés. Il apparait que la situation risque de se corser et devenir beaucoup plus tendue qu’hier (dixit un représentant de la ville). Je vous serais reconnaissante de bien vouloir nous assurer de votre présence en couvrant l’évenement ou en renforçant les activistes.
    Non aux projets inutiles et imposés ! "
      Contact sur place : Charlotte (06 62 63 79 79).

    NON AU PARKING SOUS LE PARC RAMBOT ! NON AU SACRIFICE DES ARBRES ! 

    Aujourd’hui la Ville d'Aix-en-Provence s’acharne sur la destruction du Parc Rambot afin d’y construire un parking souterrain de 250-400 places.


    25 arbres irremplaçables (dont certains centenaires) seront sacrifiés par la découpe de leurs racines (cernage) en préparation de ce projet insensé qui est aujourd’hui SANS AUTORISATION FORMELLE.

    L’exploitation du Parc Rambot en Parking est:

    EN VIOLATION du legs de 1859 par Gustave Rambot qui stipule que le Parc devra être et rester « un jardin d’agrément public qui ne pourra être transformé en rentes »

    EN CONTRADICTION avec le Plan Local d’Urbanisme validé en 2015 par le Conseil Municipal
    et qui place le parc en zone inconstructible pour les 5 années à venir

    EN OPPOSITION au Plan de Déplacements Urbains qui prévoit l’éloignement des parking du centre-ville

    EN TRANSGRESSION de la procédure légale qui accorde aux citoyens le droit de recours

    Chaque signature renforce la portée de notre voix collective ! Activez vos réseaux, svp !

    CONTEXTE:

     

    L’association est toute jeune (2016) et s’est créée pour informer et mobiliser les aixois des conséquences malheureuses d’un plan de requalification de certains espaces de la ville d’Aix-en-Provence. Ces changements consistent en un réaménagement d’un ensemble de trois places historiques (Verdun, Prêcheurs et Madeleine) dont le point de départ est la réfection nécessaire des réseaux (électriques et d’eau) enterrés. La mairie profite de ces travaux pour, du même coup, optimiser l’attractivité commerciale de cet espace qu’elle estime tomber en désuétude. Pour compenser la suppression de 400 places de stationnement inhérente aux travaux, la mairie a consigné dans son Plan de Déplacement Urbain de 2015, la création de places de substitution pour les résidents à proximité du Cours des Arts- et-Métiers, un quartier du centre-ville. Elle promet parallèlement aux associations de commerçants des Trois Places de dédier ces mêmes stationnements à un parking commercial.

     

    Jusque-là rien à signaler… si ce n’est que la ville semble avoir omis le fait que ces rénovations entraîneront l’abattage de plusieurs arbres centenaires, représentants emblématiques et climatiseurs naturels permettant à la ville d’Aix de « respirer » au plus chaud de l’été.

     

    En effet, fin juin 2016, la Mairie a annoncé que la quasi-totalité des platanes des places Verdun, Prêcheurs et Madeleine doivent « être abattus en urgence », du fait de leur dangerosité. L’APPEA accompagnée de deux associations et de quinze citoyens aixois, a  déposé une requête auprès du Président du Tribunal administratif de Marseille en vue de faire désigner un expert indépendant chargé de juger l’état réel de ces arbres.  Elle rappelait alors que, leur expert, M. D. BONFORT, n’était pas aussi alarmiste quant au danger que représentaient ces platanes. Le 9 septembre 2016, une décision a été rendue faisant intégralement droit aux demandes présentées. Un expert fut nommé avec pour mission de décrire l’état phytosanitaire des platanes des Trois Places tout en suivant leur état pendant la durée du chantier pour qu’il ne leur arrive aucun dommage. Cette jurisprudence traduit une avancée majeure pour l’arbre dans la ville d’Aix-en-Provence et a permis de sauver 17 arbres. La Mairie d’Aix-en-Provence a cependant fait appel de la décision. Le combat ne fait que commencer …

     

    Victime collatérale de ces travaux, le Parc Rambot, plus ancien parc de la ville (dont les arbres centenaires ont vu passer des générations d’aixois et de touristes), est aujourd’hui également menacé. Jouxtant l’avenue historique « Cours des Arts-et-Métiers », à moins de 300 m des Trois Places, ce lieu a été retenu pour accueillir dans son sous-sol, un parking de 400 places.

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    Message URGENT de dernière minute de P.E : " Urgent cette apm la police a évacués la zad du parc rambot a aix en pce . Les zadiste ont besoin de vous pour reprendre les arbres . No pasaran. Non au parking sur le parc rambot. Zad partout
    La solidarité est une force. "