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  • Opération "REUZ BRAS" : STOP projet nouvelle décharge SUEZ à Gueltas après 2027 !

    Bretagne : STOP au projet de la nouvelle décharge

    de SUEZ à Gueltas après 2027 !

    Pauvre poney gueltas odeurs suez

    Soutenu par les populations locales de Gueltas, au coeur de notre si chère Bretagne, le collectif GreenBretagne a alerté l'association nationale AURA Environnement à propos de l'actuel projet de nouvelle décharge de SUEZ R&V Ouest, après 2027, dans cette si belle région de Pontivy, où de paisibles poneys ou chevaux respirent de l'air à la limité du respirable, où de nombreuses personnes n'en peuvent plus de cette infâme gigantesque dépôt d'ordures dans leur commune, que ce soit vers le stade de foot, à la terrasse du très sympa bar, restaurant, épicerie Le Gweltaz situé non-loin de la mairie, de l'église garante des valeurs traditionnelles bretonnes et républicaines, voire même dans le prolongement de la base de loisirs de Boju où les amoureux de l'Art déambulent soit dans le musée à ciel ouvert, soit au travers des chemins balisés, vers des patrimoines ruraux ou vers les étangs de Branguily qui hébergent, tout au long de l'année, une population riche et variée d'oiseaux, d'insectes et de petits mammifères !

    Nous allons vous démontrer de ce qu'il en est de la protection de l'environnement et des animaux vers la décharge de SUEZ R&V Ouest dans cette si jolie et ombragée forêt de Branguily parsemée d'étangs mais, pestilentielle au niveau des odeurs infernales qui parfument arbres centenaires, ruisseaux où gazouillent dans de drôles couleurs plutôt orangeâtres, pour ne pas dire à vomir de tout son fiel, des espèces protégées comme le Lézard des murailles ou, parmi la flore, quelques brindilles de Lys martagon que nous avons repéré aux alentours !

    Il est hors de question de brader notre patrimoine en terme de protection de la faune et de la flore pour une mince "poignée de dollars" (250 millions d'euros au bas mot) avec une entreprise comme SUEZ, qui paie déjà mal ses fournisseurs !

    En ces mauvais temps caniculaires, nous devons être plus que vigilants, et nous espérons que les juges de l'honorable TA (tribunal administratif) de Rennes seront sensibles à nos arguments lorsqu'éclatera la véritable et silencieuse riposte du sentier lumineux des habitants de Gueltas et des communes de Pontivy Communauté car "le changement climatique augmente la probabilité et la gravité des phénomènes météorologiques, comme les inondations" indique le GIEC (Groupe d'Experts Intergouvernemental sur l'Evolution du Climat) - fondateur : Assemblée générale des Nations unies), car, estime Florence HABETS, hydroclimatologue au CNRS, "plus il fait chaud, plus l'atmosphère est capable de contenir de l'eau qu'elle va puiser, entre autres, daans les sols. C'est donc un seul et même phénomène physique qui alimente à la fois la sécheresse et l'augmentation des précipitations" !

    Ces températures extrêmes atteintes s'imposeront désormais comme "la nouvelle norme", selon l'Organisation météorologique mondiale, qui pointe comme principal facteur "le changement climatique induit par l'homme et dû aux émissions de gaz à effet de serre" (GES).

    Ces épisodes de chaleur intense se développeront en Europe et plus particulièrement en Bretagne, comme dans le Morbihan.

    Donc ZERO décharge à Gueltas ! Tout comme ZERO montagnes de déchets et de biodéchets à Gueltas demain et après-demain !

    Alors que la terre commence à craqueler à de nombreux endroits dans Pontivy Communauté, après cette année 2023, il sera beaucoup trop tard pour ne pas réagir à ce projet de nouvelle décharge de Gueltas ! Pas plus de nouvelle chaudière à haut pouvoir calorifique inférieur (HPCI) que de ces "nouvelles technologies" que l'on vous promet "vertueuses" ou autres "poudres de perlimpin" de Michel le magicien à Gueltas ou ailleurs.

    Comment se fait-il qu'il n'y ait pas de décharge dans le Finistère et que Gueltas et sa région devront supporter - encore - de nombreux camions, qui, déjà, de nos jours s'alignent assez souvent, en file indienne sur la D125 - qui relie Cléguérec à Rohan - , le long de la déchèterie, dans l'attente de décharger à la décharge leurs poubelles ?

    Assez de cette autre pollution visuelle, car de très nombreux habitant-es de Gueltas en ont plus que marre et ce, depuis l'AP (arrêté préfectoral) d'exploitation en date de.... novembre 2013 !

    De 70 000 T/an au début, à... 195 000 T/an + transfert de 3 000 T/an de biodéchets aujourd'hui, quelles augmentations !

    Et on nous apprend qu'un pôle organique de valorisation et de transfert des biodéchets d'une capacité d'environ 20 000 T/an sera crée à partir de 2027 ?

    Pollution ruisseau etang 1 GueltasComment se fait-il que ce petit fossé s'écoulant vers l'étang 1, situé juste en face de la décharge, dans ce bois de Branguily, ait une telle sinistre couleur orangée ? Qu'en disent les inspecteurs de l'Office français de la biodiversité (OFB) et les services de la préfecture du Morbihan ? D'où viennent ces percolations absolument inadmissibles et intolérables pour les animaux s'abreuvant de petites gorgées en ces temps de canicule et de sécheresse avérée, suite aux alertes de Météo France ?

    Bois b decharge gueltas vers etang 1La Fédération de la pêche du Morbihan s'en alarme-t-elle ?

    Fede peche 56 gueltasQu'en est-il d'ailleurs de l'état du "Parcours de pêche", dans le canal de Nantes à Brest, vers l'écluse à sas de Kériffé située sur la commune de Gueltas ? Allô Bretagne Culture Diversité - Sevenaduroù Breizh - ?

    Hangar gueltasEt pourquoi diantre les élu-es de Gueltas n'ont-ils pas validé les travaux d'extension du réseau d'eau potable au hangar de la forêt de Branguily, et situé..... en face de la décharge ? De peur d'y voir de simples touristes, des pêcheurs, des photographes amateurs de lieux insolites, des randonneurs pour y passer la nuit, le week-end ou le jour de la fête de Saint-Gildas ?

    Comment faire de la randonnée pédestre à Gueltas sur des chemins balisés pour observer et sentir les ravages de cette décharge où prolifèrent nombre de goëlands argentés (Larus argentatus) et mouettes rieuses (Chroicocephalus ridibundus) ?

    Chemis decouverte etangs gueltasC'est très simple. Il suffit de se rendre de Gueltas à Noyal-Pontivy, avec un masque à gaz tout en contournant la décharge et de parcourir le circuit de découverte des étangs sur 1,5 km dans ce qui a été cette superbe forêt de Branguily. Vous pouvez, ensuite, bifurquer aux alentours de Kerlaizan (toujours munis de votre masque à gaz) et de suivre au plus près les grillages de cette décharge. Prévoir également une serviette en cas de vomissements et des cachets contre le mal de tête. N'oubliez pas votre portable au cas où vous tomberiez dans les pommes pour appeler votre médecin généraliste, ou tout simplement, le 15, si besoin s'en faisait ressentir ! N'oubliez pas également des boules QUIES si vous êtes exposé-es à l'utilisation par SUEZ d'affaroucheurs pyrotechniques sur ce site de Gueltas (Recommandation de Saint-Gildas pour prendre contact au préalable avec la DDTM56, service Eau, Nature et Biodiversité - Unité Nature, forêt et Chasse - à Vannes au 02 56 63 74 89) !

    A quoi cela sert-il, pour SUEZ, d'utiliser un fauconnier spécialisé pour effaroucher ces paisibles goëlands et mignonnes petites mouettes avec l'aide de puissants rapaces - Buse de Harris et Faucon pélerin -, et de demander à la DDTM du Morbihan une dérogation aux articles L.411-1 du code de l'environnement, pour nous dire ensuite que SUEZ s'engagera dans une "démarche environnementale ambitieuse" si la décharge poursuivait son activité après 2027 ?

    De qu'elles ambitions parlons-nous ? Des ambitions pour cette firme capitaliste composée d'actionnaires comme Meridiam, de GIP et du groupe Caisse des dépôts (20 % dont 8 % pour CNP Assurances), ou pour les populations locales de Gueltas lassées par tant d'années où elles n'ont pas été écoutées par SUEZ, ni entendues par les services de l'Etat du "mort" Morbihan sourd aux plaintes des Gueltasie-nes qui ont quand même le droit de vivre en toute quiétude dans leurs maisons ou leur appartement avec leurs toutous ou leurs minous ! Sans compter les agricultrices et les agriculteurs vertueux vis-à-vis des démarches Bio et locales ! Quel respect pour ces pauvres vaches normandes, armoricaine ou frisonnes  broutant de façon innocente non-loin de cette décharge de Gueltas ? Quel impact pour leur morphologie, leur pis et leurs organes vitaux ?

    Idem pour ces pauvres poneys qui ne peuvent parler de vive voix à la direction régionale de SUEZ R&V Ouest, car les émissions de biogaz canalisées et souvent non traitées vers l'atmosphère proviennent des fuites du réseau de captage, des arrêts de fonctionnement de la torchère (très souvent, des bouchons de condensats ne permettent pas la mise en dépression) ainsi que de la qualité de la combustion opérée au sein de celle-ci ! Les recommandations de l'ADEME - au titre de la directive EPER - fixent un objectif généralement appliqué pour un captage de 85 % des émissions pestilentielles. Cet objectif ne pouvant être atteint que dans le cas des casiers disposant d'une couverture peu perméable ou d'une géomembrane.

    Donc, au bas mot, ce pauvre poney respirerait 15 % de ces émissions diffuses de méthane par jour en provenant de cette décharge ?

    Nous, Collectif GreeBretagne soutenu par AURA Environnement, in solidum avec la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux (+ de 45 000 Like sur Facebook), nous demandons aux élu-es de Gueltas de ne pas accorder le moindre permis de construire pour l'extension de cette décharge de SUEZ, aux services administratifs de l'urbanisme et aux élu-es de Pontivy Communauté de ne rien instruire du tout et de tout bloquer, ainsi qu'aux services de l'Etat du Morbihan, la fermeture définitive de cette décharge de Gueltas à l'horizon 2027 avec des mesures drastiques de dépollution. Finissons-en avec cette "verrue" dans cette commune touristique de Gueltas et ses roulottes au Domaine des Can'haltes, laissez les Gueltadien-nes qui ne roulent pas sur l'or en paix avec leur environnement ! Source : https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/                  

    C'est donc dans ce dossier dit "d'intérêt régional" qu'était spécifié leurs "ambitions environnementales" - mais sutout les impacts socio-économiques pour le territoire, ainsi que les "Solutions alternatives et atouts" - (comprendre : que risque-t-il d'arriver en cas de recours individuels et/ou associatifs devant le TA de Rennes) -, lors de cette parodie de "CONCERTATION PREALABLE" qui s'est déroulée du 22/05 au 28/06/2023 sur les communes de Gueltas, de Saint-Gonnery, de Rohan, de Noyal-Pontivy, de Kerfourn et de Crédin - aux frais de SUEZ - à laquelle nous avons refusé de participer parce que nous réservons nos arguments sur le fond pour nos potentielles futures requêtes introductives à Mesdames et Messieurs les présidents et conseillers composant le tribunal administratif de Rennes !

    Lorsque l'on pollue l'environnement et les animaux, cela fait toujours "bonne figure" - pour se donner bonne conscience - à une firme capitaliste comme SUEZ de lancer une parodie de "Concertation préalable" avec les habitants alors que, le reste de l'année, les populations locales de Gueltas et de Noyal-Pontivy ont souvent droit aux représentants de la décharge qui viendraient, par exemple, prendre en photo un tas de fumier en disant que cela sent "mauvais".

    Evidemment que le crottin de cheval et les bouses de vaches ne sentent pas très bon mais cela n'est pas du tout comparable à une décharge qui recueille plus de 195 000 T/an de poubelles de toute la Bretagne, à Gueltas, tout en ayant un impact considérable sur tous les enjeux écologiques réglementaires et sanitaires dans le cadre de la démarche ERC (Eviter - Réduire - Compenser) !

    Et que penser du mépris à peine voilé pour les riverains de cette décharge de Gueltas en disant dans la presse "...Nous avons toujours deux à trois plaintes d'opposants historiques.... argumente Ronan ERTUS....." (Ouest France du 23/06/2022). Alors que le reste du village serait content de ce genre de décharge qui permetrait à la Bretagne "d'être moins dépendante en termes d'énergie" ?

    La Bretagne "moins dépendante en énergie" MAIS la pauvre commune de Gueltas dans le Morbihan beaucoup plus polluée pratiquement toute l'année, été comme hiver, brouillard épais ou pas, canicule et sécheresse conjuguées !!!

    Miel gueltasQu'elles analyses ont été réalisées sur la production de miel sur le chemin de "Ty Néhué" à "Boclemence" sur la commune de Noyal-Pontivy et de l'impact de toutes ces pollutions olfactives, notamment, sur les abeilles et leurs habitats qui butinent avant les lieux-dits "Bodiquel" et "Le Mene" ....

    Situation decharge miel.... situés en zones agricoles déjà bordées d'éoliennes à cheval entre les communes de Gueltas et de Noyal-Pontivy non-loin du site des Prés de Kerlaizan (au sud-ouest de la décharge) largement gangrenés par des nuées de frelons asiatiques dont on ne sait encore d'où ils viennent ?

    Panneaux solaires : OUI. A condition que le site soit fermé définitivement en 2017. Décharge : NON ! Qu'ils s'en aillent !

    Idem à Carnac on n'en veut pas de ce Mr Bricolage, avec cette monstrueuse destruction de 39 menhirs figurant sur la liste indicative Unesco et situés sur le chemin de Montauban ! Qu'ils s'en aillent eux aussi ! Le Morbihan n'a pas vocation à s'autodétruire en matière environnementale !

    Peut-être qu'on va nous expliquer pourquoi il n'y a pas d'eau dans le lavoir de Gueltas, dans le cadre des animations estivales de Pontivy Communauté, afin d'écouter les contes de lavoirs de Martine la conteuse venue spécialement de Quiberon pour nous faire remonter le bon vieux temps autour de ce petit bassin d'antan, lorsque l'on faisait la lessive, pourquoi pas au Savon Breton, naturel et Bio composé de très sympas ingrédients comme le beurre de Karité, entre lavandières de Bretagne, tout en respirant de l'air pur et non, pestilentiel comme 2023 ! Car, à l'époque, après la pandémie de choléra dans les années 1830, l'Etat s'était dit que les femmes ne pouvaient plus continuer à laver leur - linge sale - dans les rivières, au risque de répandre ce qu'on appelait des "miasmes". D'où l'idée géniale de la création de ces lavoirs ! Si on n'arrête pas l'histoire, l'eau s'arrête désormais de couler en 2023 au lavoir de Gueltas ! Et pourquoi diantre cet arrêt ? Que nous cache-t-on ? L'écrivain breton Pier Jaker HELIAZ parle du lavoir de sa commune en disant que c'est "le journal de la paroisse". Pourquoi ne pas laisser à boire aux petits oiseaux ?

    Lavoir a sec gueltasEt bien, camarades, ce sera le cas en 2023 et vous pouvez compter sur le collectif GreenBretagne soutenu par AURA Environnement pour vous parler des rejets atmosphériques de cette "paroisse-décharge" de Gueltas, comme le monoxyde de carbone, le CO, les oxydes d'azote, le méthane, le CH4 et les poussières totales ou pour la torchère de la décharge, encore du monoxyde de carbone, du CO, des oxydes de soufre, du SO², de l'acide chlorhydrique et l'HF !

    Car, il ne faut pas compter sur la commune de Gueltas pour nous informer correctement sur la vie municipale en cours, en 2023 !

    Pas moyen d'avoir le moindre compte-rendu des conseils municipaux de Gueltas pour l'année 2023, que ce soit pour consultation sur son téléphone où nous n'avons eu que le "droit" de gagner à la page 404 ....

    Page 404 cm tel gueltas.... idem sur le site internet de la commune http://www.gueltas.fr/fr/comptes-rendus où le dernier compte-rendu municipal remonte à juillet 2022 pour le CM datant de juin 2022 !!!

    Site internet cm 2023 gueltas pas a jour

    La seule info minicipale réside dans la consultation de la borne numérique rouge (inconsultable la nuit et les jours de coupure de courant, etc...) installée vers la mairie et mise à disposition de la population qui n'y comprend rien, et que l'on peut juste consulter en plein cagnard ou sous la pluie (pas d'abri)....

    Borne infos cm gueltas..... Pas de photocopies possibles. Si on prend une photo des infos sur l'urbanisme ou autres compte-rendus, les images sont floutées par une verticale noire balayante. D'ailleurs, "une caméra est-elle installée dans cette borne" nous ont demandé certaines personnes du village ?

    Aucune info papier sur l'instruction du permis de construire qui sera accordé ou non à SUEZ R&V Ouest et qui sera instruit, ensuite, par le service urbanisme de Pontivy Communauté ! Pas d'infos papier sur le devenir de ces pauvres poneys subissant les nuisances non-loin de cette énorme décharge. Pas d'info papier sur la qualité de l'eau du robinet. Pas d'info papier sur les plaintes des habitants, etc...

    Aucune info papier sur les compte-rendus des différentes réunions des CSS (Commissions de suivi de site) qui doivent être mises pourtant à notre disposition en mairie de Gueltas. Nous en avons fait la demande pour les 3 dernières années, au secrétariat de mairie de Gueltas, vendredi 08/09/2023.

    Css gueltas delireDepuis silence radio ! Bonjour la transparence avec les populations de Gueltas, alors que SUEZ R&V Ouest (page 14 du document de son projet industriel de recyclage et de valorisation énergétique sur le site de Gueltas) nous parle d'une "Gestion rigoureuse et contrôlée" !

    Vue des bureaux du siège de SUEZ R&V Ouest de Saint-Grégoire vers Rennes ?

    Où se trouvent les rapports annuels d'activité ? Nous les avons vainement cherché sur internet = ZERO. Et ZERO également sur le site internet de la commune de Gueltas. ZERO + ZERO = ZERO. Ont-ils été transmis aux populations locales de Gueltas ? Les nouveaux arrivants dans la commune savent-ils qu'il y a un projet de développement de cette décharge pour l'après 2027 ?

    Pourtant ces rapports annuels d'activité de cette décharge SUEZ à Gueltas - sont obligatoirement transmis à la préfecture du Morbihan à Vannes, à la sous-préfecture de Pontivy ainsi qu'à la mairie de Gueltas..... où ils sont normalement librement consultables - sans en avoir à en justifier la demande. La CADA (Commission d'Accès aux Documents Administratifs) a toujours été claire là-dessus. Ils sont établis conformément aux prescriptions de l'article 26 de l'arrêté ministériel du 15/02/2016, des articles R. 124-1 et R125-2 du code de l'Environnement et de l'article 10.1.3 de l'arrêté préfectoral de la préfecture du Morbihan en date du 20/11/2013 réglementant l'activité de l'Ecopôle de Gueltas.

    Nous avons - vainement - essayé de les obtenir auprès du secrétariat de la mairie de Gueltas. La secrétaire de mairie nous a dit être "occupée" car il y avait une dame qui était en train de rédiger un chèque bancaire, et de lui faire une demande par mail !!!! Grrr !

    Surveillance de masse, alors que la loi n° 78-17 du 06/01/1978 relative à l'informatique, aux fichiers et aux libertés ne stipule pas qu'il faille faire une demande d'information par mail dès lors que le demandeur a informé la collectivité de son identité.

    Elle s'est même posé la question de savoir s'ils étaient communicables ou non ..... au public, alors qu'elle nous a indiqué qu'un membre de sa famille travaille pour la décharge SUEZ de Gueltas. Que nenni ! ZERO. Au diable Vauvert, allez donc voir ailleurs si l'herbe est plus verte que chez les as de Gueltas !

    Petite info non-confidentielle : AURA Environnement est membre-associé à la CSS de la décharge de LELY Environnement à Saint-Quentin-sur-Isère, à la préfecture de l'Isère, en partenariat avec nos camarades de la DREAL38 et autres services de l'Etat, et cela se passe très bien. DONC, ce n'est pas à nous qu'il va falloir nous la "faire à l'envers" à Gueltas en nous refusant des documents destinés au public ! Ici, nous sommes pour la protection de l'Etat, pas pour sa décomposition !

    Pas grave, nous avons demandé à notre avocat Me François RUFFIE du barreau de Libourne de les obtenir auprès de la mairie de Gueltas.

    A la veille de la future enquête publique, cela démontrera au commissaire enquêteur toute la "communication" mise en place pour ne pas informer correctement les populations locales de Gueltas qui ne savent rien parce qu'on ne leur dit rien ! La plupart des gens que nous interrogé nous ont dit ne rien savoir ! Génial !

    Les constructeurs de pavillons sur le territoire de la commune de Gueltas informent-ils correctement les futurs propriétaires sur les risques des nuisances olfactives de cette décharge, car, généralement les gens ne dont pas la différence entre déchèterie et décharge ?

    Construction neuve gueltasLes architectes DPLG - notamment de Noyal Pontivy - en parlent-ils aux futurs occupants de ces coquettes habitations individuelles ? C'est qu'une fois que leurs maisons sont bâties que les nouveaux propriétaires apprennet qu'il y a une décharge dans leur commune ? Qu'elles mises en garde manuscrites ont-elles été délivrées par les notaires lors de ces acquisitions foncières ?

    Pas d'info papier sur la suite donnée à la sympathique secrétaire de mairie, que nous avons vu en mairie de Gueltas vendredi 08/09/2023 en fin de matinée, et qui a également téléphoné au directeur de la décharge SUEZ à Gueltas à propos d'une énième complainte des habitants relative aux nuisances olfactives que nous avons également constaté, ce jour-là, vers le terrain de foot dans la commune !

    Terrain foot gueltasLequel terrain de football est un espace non-traité engagé pour relever le défi de l'eau en collaboration avec le syndicat mixte du Grand bassin de l'Oust (SMGBO) - 11 EPCI, 164 000 habitants, 284 500 ha, ancré dans 3 départements bretons tel le Morbihan, l'Ile-et-Villaine et les Côtes d'Armor, 3 040 agriculteurs, 7 bassins versants, 2 sièges pour Pontivy Communauté, partenariat avec la très sympa Agence de l'eau Loire Bretagne, le conseil régional de Bretagne, le CIVAM (Centre d'initiatives pour Valoriser l'Agriculture et le Milieu rural) ou le Groupement des agriculteurs biologiques 56 - qui met en oeuvre des actions de gestion quantitative et qualitative de la ressource en eau tout en assurant des missions en faveur des milieux naturels et de la biodiversité sur son territoire. Et pas contre les nuisances olfactives de la décharge de SUEZ située à moins d'1 km à vol d'oiseau ? Rien ! A l'Ouest rien de nouveau ! Circulez, il n'y a rien à voir !

    Panneau affichage republicain st gonneryAlors qu'ailleurs, les contribuables des communes voisines de Pontivy Communauté - comme ici à Saint-Gonnery - ont le droit d'avoir leur panneau d'affichage "à l'ancienne", en version papier, comme presque partout dans de très nombreuses communes petites ou grandes en France !

    Les animaux de Gueltas ont-ils vocation à boire de l'eau souillée ? Les animaux de passage ou non à Gueltas ont-ils le droit de ne pas s'abreuver correctement juste en face de la décharge de SUEZ à Gueltas ? Qui respecte leurs droits et leurs libertés fondamentales au nombre de 5 : libres de la soif, de la faim et de la malnutrition ; libres de l'inconfort ; libres de s'exprimer ; libres de la douleur, de toute blessure et de la maladie ; libres de la peur et du stress !

    2 poneys gueltasL'herbe que mangent ces pauvres poneys, à quelques centaines de mètres de cette décharge de SUEZ à Gueltas a-t-elle été analysée ? Ainsi que l'eau qu'ils consomment au quotidien ? Quel est l'état de leurs poumons ?

    Nous allons demander à la Fondation Brigitte Bardot de prendre le relais, sur l'état de la condition animale pour ce pauvre poney et ses potes, pour les autres chevaux païssant à quelques encablures, pour les vaches laitières qui ruminent dans les environs à l'est, à l'ouest et au sud de cette décharge ! Quel impacts sur leur santé, toutes ces odeurs ?

    Goelands etands gueltas 1En ce qui concerne la partie nord de cette décharge de SUEZ à Gueltas, nous allons demander l'aide de la LPO afin d'étudier les cas des très nombreux goëlands qui se désaltèrent dans les étangs proches, et qui font le va et vient avec la décharge, au diable l'avarice, il y a des asticots et d'autres sympatiques bestioles qui pullulent en abondance, n'en doutons pas, camarades  ! 

    Goelands etands gueltas 2Non seulement les populations locales seront informées par le collectif GreenBretagne mais aussi par AURA Environnement au niveau national. Les populations locales ne voudront entendre parler d'un quelconque permis de contruire (délivré par la mairie de Gueltas mais instruit par Pontivy Communauté) et encore moins d'un moindre AP (arrêté préfectoral) d'autorisation d'exploiter pendant de très nombreuses années !

    HIER décharge à ciel ouvert ! AUJOURD'HUI, on nous parle d'un "ECOPOLE", comme si la nature des déchets était différente ! LOL !

    Tractage gueltas 1Ainsi, le collectif COGB à déversé un déluge de 10 000 tracts, - de façon exemplaire (car recyclables) -, dans toute la région de Gueltas à Noyal-Pontivy....

    Tracts gueltas 4.... de Rohan à Saint-Gonnery à Saint-Gérand à Radenac, de Crédin à Pleugriffet...

    Tracts 6 gueltas.... de Réguiny à Sainte-Brigitte, sans oublier Pontivy, où il n'y a bien qu'à Pontivy Communauté où on a refusé nos tracts ! Bonjour l'exemplarité de la communication locale avec nos camarades contribuables dans la cité du médecin-général Robic, du quartier de la Cavalerie ou de la place d'Anne de Bretagne !!!

    A Gueltas, pas une boite-aux-lettres n'a été épargnée ! Tout a été "rasé" de façon méthodique et discplinée !

    Nos tracts sont dispo au très sympa bar-resto-épicerie-traiteur Le Gweltaz, rue Saint-Gildas....le Sage, priez pour nos pauvres camarades de Gueltas..... où les élu-es semblent préférer le resto de Sain-Gonnery, au secours, arrêtez vos conneries, faites donc vivre notre si beau village de Gueltas et son petit commerce de proximité !

    Gildas d'origine celtique, et connu sous le prénom latin d'Algigius, protègez notre chère bourgade de Gueltas qui recueille + de 195 000 T de poubelles ménagères majoritairement traitées par incinération dans ces cancérigènes UVE (unités de valorisation énergétique), de déchets des DAE (déchets des activités économiques) dans de malodorantes décharges qui changent continuellement d'appellation comme ISDND (Installation de déchets non-dangereux) ou de CET (Centre d'enfouissement technique) alors que ce ne sont que de vulgaires décharges comme celle qui pue à Chatuzange-le-Goubet (VEOLIA) et, que nous avons attaqué au TA de Grenoble !

    AURA Environnement a fait fermer au TA de Lyon l'infâme décharge de Nicollin à Saint-Romain-en-Gal dans le Rhône, alors que les populations locales n'en pouvaient plus de ces odeurs insupportables depuis trop de nombreuses années ! Nous avons aussi gagné notre référé contre la modification du PLU de la commune des Granges-Gontardes qui visait à installer la décharge de COVED-PAPREC au TA de Grenoble ! Et nous n'avons pas perdu devant le conseil d'Etat !

    L est eclair valaubiaNous nous sommes mobilisé-es massivement contre l'incinérateur de VEOLIA vers Troyes, à la Chapelle-saint-Luc, comme le rapportait le journal l'Est Eclair !

    Valaubia l est eclair 2

    Tout comme nous avons massivement mobilisé nos camarades contre l'arrêté préfectoral autorisant la déchage de SUEZ à Roche-la-Molière dans la Loire, sans oublier notre massive mobilisation à Loon-Plage vers Dunkerque contre le projet IndaChlor, l'usine d'Indaver. Source : https://www.lavoixdunord.fr/186048/article/2017-07-02/une-petition-contre-un-nouvel-incinerateur-fait-debat#

    Tout comme, en 2016, nous avons, déjà, appelé à la mobilisation générale contre le centre de tri Généris de KERVAL Centre Armor à Ploufragan !

    Idem pour l'aggrandissement du centre de tri à Saint-denis-de-Pile (Gironde) ! Là-bas, nous avons mobilisé les populations locales pour contester au TA de Bordeaux le PC (permis de construire) et l'arrêté préfectoral dans 2 procédures distinctes !

    Et, dernièrement, fin juillet 2023, nous avons attaqué au TA de Toulon (Var) l'arrêté préfectoral autorisant le projet ECOVAL-BTP de MAT'ILD (filiale d'EUROVIA - VINCI) dans la commune de Pourcieux située à quelques km d'Aix-en-Provence !

    Nous ferons DONC fermer la décharge de Gueltas !

    Nous ne cèderons rien ! C'est pour vos futures générations que nous sommes ici, à Gueltas, car, nous connaissons méticuleusement les dossiers de décharges ou d'incinérateurs de déchets en France, et notre avocat, Me François RUFFIE du barreau de Libourne, sait parfaitement, lui aussi, exploiter toutes les failles de ces gigantesques décharges à ciel ouvert qui pourrissent la vie des populations locales, du matin au soir, pendant la nuit (nombreux témoignages de Gueltas et de Noyal-Pontivy - où nos tracts sont dispo au très sympa bar du Manoir), que ce soit lorsque nous voulons déguster de très bonnes merguez vegan ou non, étendre le linge de la famille ras-le-bol dees odeurs d'oeuf pourri, jardiner pour cueillir de si belles tomates qui ne seront jamais Bio, ou, tout simplement faire causette en copin-es en buvant une bière de la Duchesse Anne sans états d'âme !

    Inutile de papoter inutilement sur Facebook ou autres réseaux sociaux - qui nous espionnent déjà largement - et de raconter inutilement ce que le Collectif GreenBretagne est susceptible de préparer ou non à Gueltas ! Les firmes capitalistes n'ont pas à savoir ce que nous pensons ! Brouillons les pistes de l'Intelligence artificielle. Inutile aussi de faire des manifs contre-productives contre nos camarades de l'Etat ou les petits commerçants qui n'ont pas à subir dans les centre-ville des rassemblements nuisibles à notre cause !

    Inspirez-vous, camarades, de notre expérience du sentier lumineux vers un avenir plus radieux ! Seule, la stratégie intelligente et la solidarité priment dans la vie ! Que l'on vienne de Triffouillis-les-Oies ou de Pétaouchnock, nous devons être, au diable Vauvert, toutes et tous solidaires de nos camarades-habitant-es de Gueltas et des communes environnantes qui ne doivent pas supporter, après 2027, ENCORE des nuisances et ENCORE des nuisances et TOUJOURS des nuisances notamment olfactives lorsque les Ecureuils rouges du Gueltas Football Club courrent à bout de soufle vers la D4 !

    Heureusement que toutes les 1 500 000 T de DND ne sont pas stockées en Bretagne et que 46 % de ces déchets sont exportés dans les régions voisines, essentiellement en Pays de Loire, car, ce serait l'enfer en Bretagne et plus particulièrement à Gueltas que nos camarades-citoyens de Rennes, de Brest, de Saint-Brieuc ou de Quimper ne connaissaient pas avant que nous ne leur en parlions massivement de vive-voix !

    Bar 2 gueltasSous l'écrasante chaleur de cette semaine 36 de septembre 2023, nos camarades simplement vêtus, pratiquement sans eau (car l'eau du robinet de Gueltas serait imbuvable), ont massivement informé les populations locales sur ce qui se "tramera" dans les prochaines années à Gueltas où nous MOBILISERONS massivement nos camarades !

    "REUZ BRAS", tel a été le nom de code de notre opération, en soutien des populations locales qui sont intimement convaincues que leur si chère commune de Gueltas deviendra un cauchemar pour leurs enfants, leurs bébés, leurs petit-enfants, pauvres chouchous, nous vous jurons que cette décharge de Gueltas sera fermée en 2027 !

    Motos gueltas

    Retrouvez nos camarades dimanche 17/09/2023 lors de la dernière manche du championnat de Bretagne de course de côte de moto au lieu-dit "Le Guer" à Gueltas (organisé par le Moto-club Baleer bro - MCBB -), et venez nombreux signer notre pétition papier et électronique qui a déjà recueilli plus de 29 000 signatures en quelques jours seulement : https://www.mesopinions.com/petition/animaux/bretagne-sauvons-pauvre-poney-stop-projet/215832

    Boju gueltas tractages 2

    Boju bien etre 1Et n'oubliez pas de flâner vers les roulottes sur le site de Boju vers le canal Nantes/Brest !

    Vive le bien-être à Gueltas !!!

    A suivre...

    Marc-Claude de PORTEBANE

    Président d'AURA Environnement

    Porte-Parole du COGB (Collectif GreenBretagne)

  • Projet Centre de tri #TRIGIRONDE à SAINT-DENIS-de-PILE : les raisons de la colère Rouge

    AURA Environnement                                                 

    Association loi 1901

    Identification R.N.A : W033003439

    7, rue du Creux de l’Enfer

    63000 CLERMONT-FERRAND

    06 40 29 68 72

    aura-environnement@protonmail.com 


     

    Collectif SCTL

    (Collectif Stop Centre de Tri vers Libourne)

    à

    SPL TRIGIRONDE

    Mr le président Jérôme GUILLEM

    8, Route de la Pinière

    33910 SAINT-DENIS-de-PILE

    In fine

    - Mr le président du SMICVAL LIBOURNAIS HAUTE-GIRONDE

    - Mr le président du SEMOCTOM

    - Mr le président du SICTOM SUD-GIRONDE

    - Mr le président de la CC MEDOC ESTUAIRE

    - Mr le président de la CC MEDULLIENNE

    - Mr le président de la CC CONVERGENCE GARONNE

    Par LRAR et courriel

    Clermont-Ferrand, le 16/03/2021

    Monsieur le président,

    Suite à votre appel d’offres concernant la Mission d’assistance à maîtrise d’ouvrage pour la définition et la construction d’un centre de tri départemental.

    Avis n° 19-137512. Date limite des offres : 04/10/2019.

    J’ai l’honneur de solliciter la communication des documents administratifs relatif à l’AO précité :

    1. De l’avis d’attribution de marché n° 19-137512
    2. Les différents appels d’offres que la SPL TRIGIRONDE a mis en ligne sur le bulletin officiel des annonces des marchés publics (BOAMP) depuis sa constitution
    3. Le compte-rendu de l’ouverture des plis par les membres du bureau de la SPL concernant l’appel d’offres précité et « décidant l’attribution de l’appel d’offre à telle entreprise.
    4. La proposition retenue lors de l’ouverture des plis
    5. Le contrat signé par l’entreprise retenue et la collectivité SPL TRIGIRONDE
    6. Le cahier des charges de la SPL TRIGIRONDE à l’entreprise retenue
    7. Le volet technique des travaux et aménagements.
    8. Le rapport d’analyses des offres
    9. Le PV de présence des élu-es à la CAO + la décision d’attribution du projet
    10. La sécurisation financière (coûts annuels de fonctionnement, l’investissement et le coût d’amortissement annuel, les coûts de traitement annuels, etc….).

    A ce titre, je me permets de vous indiquer que nous agissons conformément aux articles L 300-1 et suivants du Code des relations entre le public et l’administration relatifs à la liberté d’accès aux documents administratifs.

    Il convient également de souligner que certaines de ces informations entrent dans la catégorie d’informations relatives à l’environnement au titre de l’article L. 124-1 et suivants du Code de l’environnement.

    Je vous rappelle que la CADA a indiqué qu’une fois signés, les marchés publics et les documents qui s’y rapportent sont considérés comme des documents administratifs soumis au droit d’accès institué par la loi du 17/07/1978.

    Les notes, classements et éventuelles appréciations de l’entreprise lauréate du marché sont donc librement communicables, tout comme l’offre de prix détaillée de l’entreprise retenue ainsi que l’offre de prix globale des entreprises non-retenues. (Source : Avis de Mme le Rapporteur général-adjoint, Conseillère de tribunal administratif à la Cada).

    Sont exclus de notre demande de communication, les éléments suivants :

    - les mentions relatives aux moyens techniques et humains ;

    - les mentions concernant le chiffre d’affaires, les coordonnées bancaires ;

    - les références autres que celles qui correspondent à des marchés publics.

    Nous sommes donc communicables et également consultables sur place :

    - Le Cahier des clauses particulières (CCAP)

    - Le Cahier des clauses techniques particulières (CCTP)

    - Le Règlement de la consultation (RC)

    - La Liste des candidats admis à présenter une offre

    - Le Rapport de présentation du marché

    - Le PV d’ouverture des plis

    - La Lettre de notification du marché

    - L’acte d’engagement et ses annexes (après occultation des coordonnées bancaires   ou RIB et de l’annexe financière)

    - Le rapport d’analyse des offres

    - Les éléments de notation et de classement

    - L’Offre de prix globale ou décomposition des prix globaux forfaitaires (DPGF)

    - La Lettre de candidature (DC4) de l’entreprise attributaire

    - L’Etat annuel des certificats reçus (DC7) de l’entreprise attributaire

    - La Déclaration du candidat (DC5) de l’entreprise attributaire

    - L’Offre de prix global ou décomposition des prix globaux forfaitaires (DPGF)

    - L’Offre de prix détaillée, le détail unitaire des prix

    - Le mémoire technique, etc….

    Par ailleurs, se pose la question de l'acheminement des déchets, avec la multiplication du passage des poids-lourds et la pollution que cela suppose comme cela a été dénoncé dernièrement par le conseiller communautaire de la CC Convergence Garonne et élu de la commune de Barsac, Michel GARAT. (Source : Le Républicain Sud-Gironde du 11/03/2021).

    En effet, Mr GARAT appréhende l’adhésion de la rive gauche à la société TriGironde, prochainement située à Saint-Denis-de-Pile, à au moins 60 km des communes concernées.

     

    Nous avons donc pris en considération les itinéraires parcourus les plus courts (par des voitures citadines) et le temps consacré (toujours par des voitures citadines), Source (ViaMichelin), de ces communes de la CC Convergence Garonne en direction de Saint-Denis-de-Pile :

    - Podensac (siège de la CC Convergence Garonne) : 52 km – 1 h de trajet en voiture

    - Arbanats : 49 km – 00h53 de trajet en voiture

    - Barsac : 54 km – 1h03 de trajet en voiture

    - Béguey : 52 km – 00h53 de trajet en voiture

    - Budos : 68 km – 1h18 de trajet en voiture

    - Cadillac : 51 km – 00h57 de trajet en voiture

    - Cardan : 45 km – 00h50 de trajet en voiture

    - Cérons : 52 km – 1h de trajet en voiture

    - Donzac : 46 km – 00h51 de trajet en voiture

    - Escoussans : 43 km – 00h47 de trajet en voiture

    - Gabarnac : 52 km – 00h57 de trajet en voiture

    - Guillos : 66 km – 1h12 de trajet en voiture

    - Illats : 58 km – 1h05 de trajet en voiture

    - Landiras : 65 km – 1h10 de trajet en voiture

    - Laroque : 48 km – 00h53 de trajet en voiture

    - Lestiac-sur-Garonne : 48 km – 00h53 de trajet en voiture

    - Loupiac : 52 km – 00h58 de trajet en voiture

    - Monprimblanc : 49 km – 00h54 de trajet en voiture

    - Omet : 47 km – 00h53 de trajet en voiture

    - Paillet : 47 km – 00h49 de trajet en voiture

    - Portets : 47 km – 00h50 de trajet en voiture

    - Preignac : 58 km – 1h06 de trajet en voiture

    - Pujols-sur-Ciron : 62 km – 1h11 de trajet en voiture

    - Rions : 49 km – 00h54 de trajet en voiture

    - Saint-Michel-de-Rieufret : 56 km – 1h de trajet en voiture

    - Sainte-Croix-du-Mont : 53 km – 1h de trajet en voiture

    - Virelade : 50 km – 00h56 de trajet en voiture

    Le constat est en effet éloquent !

    Les habitant-es regroupé-es autour du Collectif SCTL (Collectif Stop Centre de Tri vers Libourne) se posent des questions sur la pertinence de votre projet de centre de tri :

    - Les déchets vont devoir parcourir au moins 50 à plus de 60 km pour être enfin triés ?

    - Quelles questions se poser sur l’empreinte carbone des camions bennes voire des semi-remorques de + de 30 T qui vont transiter sur nos routes de campagne ?

    - Ces distances de long kilométrage ont-elles été validées par l’ADEME (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie) dans le cadre de potentielles demandes de subventions pour la construction de ce centre de tri (montant initial de l’aide 1 100 Ke dans le cadre des fonds dédiés au Plan de relance) ?

     

    - La commission européenne est-elle d’accord pour que tant de km soient parcourus de telle ou telle commune livrant ses tonnages vers le futur centre de tri de Saint-Denis-de-Pile ? Où sont les économies en terme de réduction de CO² ?

    - De ce fait, la politique de la SPL TRIGIRONDE en matière de valorisation des déchets vise-t-elle à renforcer correctement la compétitivité des filières de collecte et de recyclage des emballages ménagers et des papiers ?

    - Ces distances de long kilométrage ont-elles validées par les élu-es de la Région Nouvelle Aquitaine si soucieuse de son programme de développement de l’économie circulaire dans le cadre de demandes potentielles de subventions concernant les « Aides au conseil, à l’investissement en faveur du recyclage et du réemploi des Déchets, aux actions collectives, à l’aide en faveur de la création de nouvelles activités » ? Le projet de centre de tri de TRIGIRONDE répond-t-il aux critères d’éligibilités précités ?

    - Pour 2020, CITEO a expliqué ne pas disposer encore de chiffres sur l’impact de la crise sanitaire. Selon l’éco-organisme, le service a été dégradé, surtout en début de confinement, avec un nombre important de centres de tri arrêtés, notamment par mesure de protection des salariés.

    Des études sont en cours, le nouveau centre de tri de TRIGIRONDE devrait ouvrir ses portes fin 2022.  (Source : SMICVAL, Renforcer la prévention et le recyclage, dans le respect de la réglementation).

    Comment dans ces conditions envisagez-vous l’avenir de votre futur centre de tri alors qu’au niveau de la Covid-19, la France ne s’en sort pas, un an après le premier confinement (Source : franceinfo du 16/03/2021) ?

    A titre d’exemple, dans la semaine du 06/03 au 12/03/2021, à Saint-Denis-de-Pile, il a été constaté entre 3 et 9 nouveaux cas de Covid-19, 144 tests de dépistage ont été réalisés. (Source : d’après les chiffres de Santé Publique France, estimations Linternaute.com).

    - Des départs de feu peuvent se produire lors de la mise en balles des emballages aluminiums dans les centres de tri. Ces incidents découlent vraisemblablement des résidus de gaz présents dans les générateurs d’aérosols. Ces emballages, qui sont tout à fait recyclables, représentent aujourd’hui 20% de l’aluminium trié par les habitants.

    Or, avez-vous mené plusieurs démarches pour comprendre la cause de ces incidents et identifié les moyens pour éviter qu’ils ne se produisent chez vous ?

    Les populations réunies autour du Collectif SCTL (Collectif Stop Centre de Tri vers Libourne) ne sont pas du tout rassurées : en effet, en 2020, les incendies ont représentés une calamité pour les finances publiques en terme d’intervention des pompiers, de risques encourus pour la santé des riverains et des animaux proches de ces centres de tri de plus en plus gros, qui engendrent la peur au quotidien.

    A titre d’exemple :

    - Le 28/05/2020, alors que les employés s’apprêtaient à quitter le centre de tri de déchets de Bénesse-Maremne (Landes), un incendie s’est déclaré au Sitcom Côte sud des Landes. Le départ de feu, dans les déchets de type « encombrants » stockés sur un espace extérieur, a rapidement gagné en puissance, et les pompiers ont été appelés sur site. Le feu, « couvant », a été éteint à 1 h 10 du matin. 1 500 tonnes de détritus ont été touchées, ce qui a sollicité 30 pompiers de Capbreton, Tosse, Magescq, Saint-Martin-de-Seignanx et Dax (Source : Sud-Ouest https://www.sudouest.fr/2020/05/28/benesse-maremne-40-incendie-au-centre-de-tri-de-dechets-7520962-3301.php ).

    - Le 04/07/2020, une partie du hangar de 20 000 m² du centre de tri a brûlé à Istres provoquant une épaisse fumée. Le tweet des pompiers13 en dit long : « 80 #Pompiers13 et une trentaine d'engins sont engagés sur un violent feu d'entrepôt, quartier Prignan à #Istres, provoquant d'importantes fumées. 2000 m2 ont brûlé. Les pompiers mettent tout en œuvre pour éviter la propagation de l'incendie. Evitez le secteur ! ».

    - Le 24/07/2020 : incendie dans un vaste tas de 800 m3 de déchets de carton et de plastiques au centre de tri Valor Pôle 72. Les fumées étaient même visibles jusqu’au centre-ville du Mans. (Source : France Bleu Maine https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/le-mans-800-metres-cube-de-dechets-en-feu-au-centre-de-tri-valor-pole-1595615814?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR1Ew4qRzlvUxYZvV1mFhnHMhLBVFD9j60YpYrrgP2PtyVeoZ08F_Dy9HHc#Echobox=1595617232 ).

    - Le 14/08/2020, un violent incendie s’est déclaré dans la zone industrielle de Milhaud (Gard). A leur arrivée à minuit, 45 sapeurs-pompiers et 23 véhicules, dont un poste de commandement, ont été confrontés au feu de d’environ 20 000 m3 de déchets de démolition : bois, plastiques, papiers, etc…. Des engins de chantier ont été utilisés pour déplacer les déchets afin de faciliter leur extinction et une équipe spécialisée en risques chimiques s’est même rendue sur place pour vérifier l’absence de pollution dans le Vistre situé à proximité. Le Vistre est un fleuve côtier français qui traverse la Vistrenque, région naturelle et agricole du département du Gard, en région Occitanie. Son cours a été aménagé pour déboucher aujourd'hui dans le Canal du Rhône à Sète. (Source France Bleu Gard Lozère https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/violent-incendie-en-cours-dans-la-zone-industrielle-de-milhaud-1597385279 ).

    - Le 21/09/2020, un spectaculaire incendie a ravagé un bâtiment d’une entreprise spécialisée dans le recyclage et la valorisation des déchets industriels où étaient stockés des matériaux composés de papier, de plastique, de bois. Un important dégagement de fumée était visible à des kilomètres. Les équipes du SDIS 68 avaient rapidement établi un périmètre de sécurité de 100 mètres autour du site. La préfecture a activé le centre opérationnel départemental et demande d'éviter le secteur. Le barriérage mis en place dans le quartier aux abords de l'entreprise en question a été progressivement levé par les services de police. Les élèves et le personnel du collège Hector Berlioz ont quitté l'établissement et sont rentrés chez eux. Une information a été transmise par le collège à l'ensemble des familles, a précisé la préfecture. (Source : France 3 Grand Est https://france3-regions.francetvinfo.fr/grand-est/haut-rhin/colmar/colmar-spectaculaire-incendie-ravage-batiment-entreprise-schroll-1876078.html ).

    - Pourquoi autant d’incendies dans ces centres de tri, ailleurs, en France alors que la SPL TRIGIRONDE, elle-même assure que les centres de tri nécessitent d’être modernisés et industrialisés pour rendre possible le tri d’un flux entrant qui évoluera en volume et en composition ? S’il y a des incendies nationaux, c’est donc que ces centres de tri qui partent en fumée, sont rétrogrades et ne visent pas une performance du recyclage sur le plan économique ?

    - Votre projet de centre de tri va-t-il devenir le symbole de l’artificialisation et de la bétonisation des terrains ?

    - Le ministre de l’Intérieur a pris un arrêté en date du 19/02/2021 portant reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle, à propos des inondations et des coulées de boues. Dans l’annexe 1 (communes reconnues en état de catastrophe naturelle), dans le département de la Gironde, il est fait mention de la commune de Saint-Denis-de-Pile. C’est donc dans ce contexte défavorable que la SPL TRIGIRONDE envisage de créer un centre de tri de plus 35 000 T, et ce, sans que les populations locales en aient été informées au préalable ? En avez-vous informé les habitant-es de Saint-Denis-de-Pile ? Quelles incidences en cas de sévère inondation ?

    - Nous avons relevé – photos à l’appui – que de l’eau stagnait dans les fossés et même sur les terrains agricoles, aux abords du « Pôle recyclage » du SMICVAL, route de la Pinière. Quels risques pour l’avenir des populations locales en cas de potentielle catastrophe naturelle ?

    - La DDT et de la mer de la Gironde (service des procédures environnementales) dans son arrêté du 06/11/2019 portant mise en demeure relative à l’exploitation d’une installation de tri, transit, regroupement et traitement des déchets sur la commune de Saint-Denis-de-Pile par le SMICVAL, a considéré que lors de la visite en date du 10/07/2019, l’inspection des installations classées a constaté les faits suivants, et que ces constats constituaient un manquement aux dispositions de l’AP d’autorisation du 18/01/2002 susvisé ;

    - articles 1.1 et 2.1 :

                _ L’installation n’est pas exploitée conformément au plan de situation annexé à l’arrêté d’autorisation (déchetterie, parc à bennes vides et équipements individuels pour la collecte sélective, entreposage des déchets de bois et de déchets verts sous couvert) ;

    - articles 5.2 de l’annexe :

    _ Un renouvellement du marché étant en cours, aucune opération de curage complet des systèmes, de traitement n’a eu lieu depuis avril 2018 ;

    - articles 5.3 de l’annexe :

                _ La station d’épuration ne traite pas convenablement les eaux usées sanitaires car celle-ci est largement surdimensionnée et mal adaptée à la charge polluante à traiter ;

                - article 7.2 de l’annexe :

                _ L’analyse des télétransmissions trimestrielles GIDAF a permis de mettre en évidence des dépassements depuis 2016 :

                - en Phosphore total et Azote global importants et quasi-systématiques (dernières mesures en février 2019 : respectivement 11 au lieu de 2 mg/l et 103 au lieu de 15 mg/l) ;

                En MES, DBO5 et en DCO fréquents (respectivement 51 au lieu de 35 mg :l en février 2019, 45 au lieu de 25 mg/l en juin 201 et 148 au lieu de 125 en novembre 2017).

    La DDT a donc considéré que ces observations étaient susceptibles d’aggraver en particulier les risques de pollution du sol, des eaux superficielles et des eaux souterraines, et d’incendie ; et qu’elles constituaient des écarts réglementaires susceptibles de générer un impact environnemental important, etc….

    Les citoyen-es regroupé-es autour du Collectif SCTL (Collectif Stop Centre de Tri vers Libourne) ne comprennent pas, maintenant, pourquoi le SMICVAL – qui est actionnaire de la SPL TRIGIRONDE - n’a pas respecté les dispositions de l’article L. 171-8 du code de l’environnement puisque la DDT a mis en demeure le SMICVAL de respecter les dispositions des articles 1.1, 2.1, 5.2 de l’annexe, 5.3 de l’annexe et 7.2 de l’annexe de l’arrêté préfectoral d’autorisation du 18/01/2002 ?

    Nos camarades regroupé-es autour du Collectif SCTL trouvent inadmissible que les administrateurs du SMICVAL aient pu faire face à un tel manquement puisque la DDT a mis en demeure le SMICVAL de respecter sous 3 mois les articles 1.1 et 2.1 de l’AP du 18/01/2002, de respecter sous 3 mois l’article 5.2 annexé à l’AP du 18/01/2002 en procédant à l’entretien des installations de traitement (curage complet) ; sous 6 mois l’article 5.3 annexé de l’AP du 18/01/2002 en revoyant la conception de la station de traitement des eaux sanitaires ; sous 6 mois les valeurs limites fixées à l’article 7.2 annexé à l’AAP du 18/01/2002 !!!

    - Un pauvre cheval accompagné d’un bouc se trouvent à l’arrière du « Pôle recyclage » actuel, non-loin du Chemin des Moines. Quelles précautions pensez-vous prendre pour les nombreux animaux broutant dans les environs de l’actuel « Pôle recyclage » et du futur centre de tri de TRIGIRONDE ?

    Avez-vous pris en considération le CAUSE animale étant donné que le site retenu par la SPL TRIGIRONDE pour y construire ce méga centre de tri de plus de 35 000 T dépasse depuis 2016 les analyses en Phosphore total, en Azote global, en MES, DB05 et DCO ?

    - Les élu-es du SMICVAL ont donc fait preuve de négligence et d’incompétence potentielle vis-à-vis des animaux et des humains. Nous sommes donc opposés à ce projet de centre de tri parce que la contratualisation avec les filières et éco-organismes doit se faire dans la rigueur et non dans l’amateurisme !

    Chez les animaux, la consommation de concentrations importantes d'azote peut poser des problèmes au niveau de la glande thyroïde, entraîner des carences en vitamine A. De plus dans l'estomac et dans les intestins, les nitrates peuvent être transformés en nitrosamines, une substance gravement cancérigène.

    - La SPL a augmenté de façon vertigineuse son capital social …. Avec l’argent public. Les 530 000 contribuables composant la SPL TRIGIRONDE (SMICVAL, SEMOCTOM, SMICOTOM, SICTOM SUD-GARONNE, COMMUNAUTE DE COMMUNES MEDOC ESTUAIRE, COMMUNAUTE DE COMMUNES MEDULLIENNE) sont-ils informé-es des délibérations du conseil d’administration de TRIGIRONDE ? En effet, l’AG extraordinaire des actionnaires réunie le 16/06/2020 a décidé d’augmenter le capital social de TRIGIRONDE de 1 025 000 euros pour le porter de 225 000 € à 1 250 000 € par la création de 1 025 000 actions nouvelles de 1 euro nominal chacune émises au pair, à libérer lors de la souscription d’une somme de 560 000 euros représentant 54,63 % du nominal, etc…

    - Pourquoi ne pas informer les 530 000 contribuables des 361 communes que le SMICVAL est titulaire d’une créance sur la Société de 221 603 euros ; que la COMMUNAUTE DE COMMUNES MEDULIENNE est titulaire d’une créance sur la Société de 22 283 euros ; que le SEMOCTOM est titulaire d’une créance sur la Société de 134 828 euros ; que la COMMUNAUTE DE COMMUNES MEDOC ESTUAIRE est titulaire d’une créance sur la Société de 29 055 euros ; que le SMICOTOM est titulaire d’une créance sur la Société de 82 63 euros ; que le SICTOM SUD GIRONDE est titulaire d’une créance sur la Société de 69 840 euros ?   

    - Les 530 000 contribuables de toutes ces communautés de communes sont-ils correctement informés via un site internet entièrement dédié à la SPL TRIGIRONDE alors que cette société ne dispose pas de locaux et que c’est le SMICVAL qui lui met à disposition des espaces de travail ? Est-il possible d’avoir une copie de cette convention temporaire de mise à disposition d’espaces de travail appartenant au SMICVAL ?

    Le Département de la Gironde n’a-t-il pas suffisamment de locaux disponibles dans son parc immobilier afin de mettre à la disposition de la SPL TRIGIRONDE d’espaces de travail suffisants pour faire respecter la lutte contre la Covid-19 ?

    - Quel est l’urgence d’espaces de travail mis à disposition par le SMICVAL alors que le conseil d’administration de TRIGIRONDE s’est réuni en date du 03/11/2020…. par visio-conférence ?  

    - Pourquoi n’est-il pas mentionné dans la 9° résolution du PV des délibérations du conseil d’administration de TRIGIRONDE, en date du 03/11/2020, les mesures de précautions à prendre, plus particulièrement dans le respect du Protocole national pour assurer la santé et la sécurité des salariés en entreprise face à l’épidémie de COVID-19 ?  

    L’employeur doit ainsi, notamment, évaluer les risques et mettre à jour le document unique d’évaluation des risques (DUER) de l’entreprise en y intégrant les mesures nécessaires pour éviter au maximum le risque de contamination : information et sensibilisation, organisation du télétravail, réorganisation du travail et des flux pour respecter les règles de la distanciation, gestion et suivi des installations d’aération/ventilation, moyens de protection (masques, écrans de séparation des postes de travail…), nettoyage et désinfection des locaux…).

    Les missions de l’employé de TRIGIRONDE, en l’occurrence le DG, cadre développeur habitué aux montages complexes (SEM, SPL, PPP, MPGD) avec une agilité à assurer un développement maîtrisé, sont multiples. Il doit être suffisamment protégé par des résolutions en ce sens puisqu’il doit mettre en œuvre la stratégie du conseil d’administration en définissant les objectifs et les moyens nécessaires à sa bonne exécution. Ses missions principales étant d’assurer, tout de même, la mise en place et la bonne exécution des compétences de transfert, transport et tri, de participer à la définition de la stratégie d’entreprise de TRIGIRONDE.

    Comment se fait-il que ce soit le SMICVAL qui ait été chargé de son recrutement ?

    Nous avons observé nombre de parcelles de vignobles autour du futur centre de tri. Qu’elle est l’avis de l’INAO sur autant de tonnes de plastiques souillés qui vont déferler sur la commune de Saint-Denis-de-Pile qui a l’autorisation de produire les vins des appellations : le Bordeaux, le Bordeaux supérieur, le Crémant de Bordeaux ?

    Question coûts de ce futur centre de tri, les chiffres ne semblent jamais les mêmes :

    - investissement du seul bâtiment évalué « à la louche » à 20 millions d’euros en 2017.

    - investissement de 18 millions d’euros en 2019.  

    - évaluation du chantier à 20 millions d’euros.

    - « Flou financier » dans la presse de ces derniers jours.

    Par ailleurs, vous n’êtes pas sans savoir que les députés ont donné leur aval en commission ce dimanche 14/03/2021 à la mise en place d’une “contribution” poids lourds dans les régions qui le souhaitent et qui sera examiné fin mars dans l’hémicycle. “L’objectif est de favoriser le transport des marchandises par des moyens moins émetteurs de gaz à effet de serre (ferroviaire, fluvial…)”, précise l’exposé des motifs du projet de loi.

    Avez-vous programmé cet éventuel surcoût régional pour les camions bennes à ordures chargés de collecter le sélectif dans votre cahier des charges ?

    En effet, le transport prend une place importante depuis sa conception jusqu’à son élimination ou sa valorisation en tant que déchet. Dans cette chaîne, l’étude « Transport et logistique des déchets publiée par l’ADEME s’intéresse plus particulièrement à l’impact environnemental du transport et de la logistique des déchets. L’objectif – toujours selon l’ADEME – est de « réduire cet impact, en optimisant le transport, grâce à la réduction, par exemple, des kilomètres parcourus…».

    On ne peut observer que deux tendances fortes se développeront à l’horizon du bordelais et plus particulièrement à Saint-Denis-de-Pile et ce, en contradiction avec le système de l’économie circulaire :

    - la multiplication des centres de tri,

    - l’augmentation des distances moyennes parcourues jusqu’aux centres de valorisation. 

    Joëlle KERGREIS, directrice-adjointe à la direction exécutive des programmes de l’ADEME indique « Nous souhaitons que les progrès obtenus dans les filières de gestion des déchets s’accompagnent de transports également optimisés. Nous sommes vigilants à conserver un regard croisé sur les problématiques environnementales, afin que les bénéfices d’une action ne soient pas entachés d’effets néfastes par ailleurs… ».

    Nous demandons à la SPL TRIGIRONDE d’abandonner le transport routier terrestre des bennes à ordures ménagères (BOM) car il représente 30 % des émissions de gaz à effet de serre (GES) générées dans le domaine de la gestion des déchets. Ces émissions étant produites principalement pendant la phase collecte, elles participent également aux rejets de polluants dans l’air en terme d’oxydes d’azote, d’oxydes de soufre et de particules fines. (Source : FNADE).

    Or, l’analyse détaillée, flux par flux, des papiers et emballages recyclables du SMICVAL, par exemple, est sans arrêt en augmentation (+ 0,9 % en 2019).

    L’évolution des tonnages entrant au centre de tri actuel du SMICVAL a explosé, à + de 3,8 % (évolution 2018/2019).

    Tous les indicateurs sont en constante augmentation, que ce soit en collecte en porte-à-porte en bac jaune, en apport direct par les professionnels, en apport en pôle recyclage, en apport direct par les professionnels, en apport dans les BAV, en apport direct par les professionnels et particuliers sur pesée. Les films plastiques – en apport direct par les professionnels – culminent à plus de 100 % !

    Ce qui laisse à penser que le tri sélectif conduira à une augmentation des tonnages sur tous les territoires de la SPL TRIGIRONDE qui sera obligée d’aller chercher des déchets de plus en plus loin, comme cela a été le cas dernièrement, dans le secteur de la CC Convergence Garonne où certains élu-es commencent à douter de la pertinence d’un tel projet de méga centre de tri en Gironde, avec encore et encore plus de camions et de km parcourus sur routes, et ce, dans une logique capitaliste.

    Dans les territoires déjà concernés par l’extension des consignes de tri, chaque habitant du territoire de la SPL TRIGIRONDE devrait donc recycler plusieurs kg supplémentaires d’emballages par an.

    Or, nous avons observé – photos à l’appui – que de nombreux dépôts sauvages de plastiques, de sacs noirs d’OMr et de matelas polluaient l’environnement entre, notamment, Coutras et Saint-Denis-de-Pile où la nature est massacrée non-loin de la zone AOC « Lalande de Pomerol » du vignoble Libournais.

    Certains espaces verts ont d’ailleurs été nettoyés par des bénévoles du Forum citoyen en direction du chemin des Lorettes ! Qu’en est-il de l’impact des dépôts sauvages de plastiques sur les ruches observées à proximité de ces lieux ?

    Comment, dans ces conditions, voulez-vous « garder la main et la maîtrise des coûts » alors que la plupart des collectivités ne sont pas capables de faire le ménage dans la défense environnementale, dans leurs propres territoires, en évitant que des pots de yaourts et autres plastiques se retrouvent en pleine nature dans des sacs noirs ?

    Quelle logique vis-à-vis de la loi de transition énergétique alors que les ambitions locales de certains pouvoirs publics veulent se donner des volontés de recycler davantage, au moindre coût, alors qu’à Saint-Denis-de-Pile la nature souffre et souffrira des émissions polluantes dues aux norias de camions sortant des centres de transfert du territoire de la SPL, rive droite et rive gauche confondues ?

    Par ailleurs, il y a lieu de se poser quelques questions puisque les SPL font l’objet même de critiques dans leur propre mode de fonctionnement.

    Le principe de l'utilisation des sociétés publiques locales (SPL) est critiqué, certains y voyant un moyen pour les administrations d'échapper au code des marchés publics et de donner des emplois aux amis du pouvoir.

    Christian Julienne, président du laboratoire d'idées libéral Héritage et Progrès, écrit ainsi : « Toutes les grandes villes, les départements et autres vont être naturellement tentés de créer ces sociétés publiques locales pour y mettre les vice-présidents, adjoints, chefs de service et autres amis politiques heureux de devenir entrepreneurs avec l’argent des contribuables et sans se soumettre à la concurrence. […] En outre, le texte lui-même constitue un véritable appel au délit de favoritisme, à la prise illégale d’intérêts et à l’abus de bien social ». Ce point de vue n'est toutefois partagé que par un petit nombre de personnes, la SPL n'assouplissant pas le régime des outils déjà à la disposition des collectivités locales, comme les EPIC, les SEML, ou encore les associations transparentes. Elles répondent au contraire à une critique sur la non-transparence des SEML quant au choix des partenaires privés actionnaires au capital.

    Pour ses défenseurs, la SPL reste un outil privé à disposition d'un pouvoir public et est donc un outil, parmi d'autres, permettant d'éviter l'emploi de fonctionnaires publics pour accomplir des missions de service public.

    Nous vous remercions de bien vouloir rassurer les 500 000 habitants composant les 361 communes de la SPL TRIGIRONDE en nous communiquant votre point de vue.

     Dans l’attente de vos réponses et dans l’attente d’un RDV avec votre DG en vos locaux dans le respect du Protocole national face à l’épidémie de COVID-19 , je vous prie de croire, Monsieur le président, à l’assurance de ma considération distinguée.

  • Déchets illégaux Incinérateur Sinergie VEOLIA à Chavanod : #Dreal 74 pas ok !

    Après l'intervention d'AURA Environnement

    la DREAL d'Annecy refuse ces déchets illégaux

    en provenance du SYTRAD de Valence !!!

    Stal2

    Suite à la décision N° 193-20 prise par Mr le président du SILA en date du 08/07/2020 (document public téléchargé sur le site internet du SILA) autorisant l’incinérateur Sinergie de Chavanod à recevoir des déchets en provenance de la Drôme, et après avoir alerté les services de l'Etat et des Douanes de la Haute-Savoie, le maire écolo d'Annecy, la DREAL 74 nous a répondu.

    Nous demandions solennellement d’une part de proposer à Monsieur le préfet de la Haute-Savoie de rejeter sans délai cette décision du Président du SILA via le contrôle de légalité et d’autre part de prendre immédiatement un arrêté de mise en demeure de l’exploitant de l’incinérateur afin que le SILA cesse de recevoir ces déchets interdits.

    En effet, nous nous étions aperçus que cet acte, reçu en préfecture de la Haute-Savoie le 10/07/2020, contrevenait manifestement aux prescriptions de l’arrêté préfectoral d’autorisation N°PAIC 2016-0039 du 10/06/2016 de cette installation classée pour la protection de l’environnement qui limite dans son article 3.2.1 sa zone de chalandise aux seuls départements limitrophes. 

    AURA Environnement indiquait également à la DREAL 74 que la tension est grande sur les installations de traitement de déchets en Auvergne Rhône-Alpes et que notre association, présente sur toute la région, est extrêmement attentive à ce que les exploitants (publics et privés), ainsi que les administrations de tutelle (DREAL et Préfectures) respectent scrupuleusement les règles qui doivent s’imposer à chacun.

    En effet, les 265 000 habitant-es du SILA composé des 73 communes de la Communauté d’agglomération Grand Annecy, de la Communauté de communes des Sources du lac d’Annecy, de la Communauté des communes des Vallées de Thônes, de la Communauté de communes du Pays de Cruseilles et de la Communauté de communes Fier et Usses ne pouvaient accepter que leurs élus bafouent ainsi les règles qui leurs sont applicables et attendaient des services de l’Etat, donc de la DREAL 74 qui est en charge de la surveillance de cette installation classée, qu’ils soient intransigeants dans leur contrôle.

    Rappel : la société VALOMSY a son siège à Beauregard-Baret (commune défavorable à la décharge VEOLIA de Chatuzange-le-Goubet) et possède un établissemnt secondaire à Etoile-sur-Rhône (vers Valence).

    Mr CRESPINE de la DREAL 74 nous a donc répondu :

    AURA Environnement

    Monsieur de PORTEBANE

    Je vous remercie pour ces informations et votre courrier concernant la décision 193-20 du 8 juillet 2020 relative à la "convention d'apports de combustible solide de récupération de la société Valomsy au SILA.

    En réponse, je vous informe que le SILA m'a précisé que cette convention n'avait pas utilisée et qu'il s'est en outre engagé, par courrier du 24 août 2020, à ce qu'elle ne le soit pas et à ce que son retrait soit inscrit à l'ordre du jour du prochain comité syndical qui se tiendra après l'installation des nouveaux élus du SILA.

    Cordialement

  • AURA Environnement et Alain GALLU maire #Pierrelatte : Pas CSR poubelles eau chaude Ferme aux crocodiles !

    Pas de CSR issu des poubelles pour eau chaude

    du réseau chaleur à la Ferme aux crocodiles :

    Entre Pierre GALLU le maire de Pierrelatte

    et AURA Environnement le jus passe !

    Aura bois 095

    AURA Environnement soutient à 100% la politique de la filière Bois

    présentée le 29/09 à Région AURA par président Laurent WAUQUIEZ

    qui va élaborer le futur plan régional des déchets Auvergne-Rhône-Alpes :

    Pas de cette merde de CSR Ferme aux crocodiles à Pierrelatte !

    AURA Environnement et Pierre GALLU se sont rencontrés dernièrement en mairie de Pierrelatte (26/09/2017) pour évoquer un sujet qui risquerait de devenir "explosif" dans les prochains mois avec AURA Environnement & et le Collectif de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux - qui regroupe plus de 50 000 fans sur Facebook et qui est capable de mobiliser rapidement plus de 500 militants proches de la cause animale et défendu par Me Renaud PORTEJOIE du barreau de Clermont-Ferrand et d'autres ténors d'autres barreaux proches des très grandes fondations de protection des animaux -.

    AURA Environnement et le tout nouveau maire de Pierrelatte, Pierre GALLU, d'un commun accord, veilleront à ce que certaines chaudières de la banlieue de Pierrelatte brûlent bien de la Biomasse et non de la Biomasse mélangée avec ses infâmes CSR (Combustibles Solides de Récupération) issus des poubelles de la Drôme ou d'autres départements et qui ne sont que de l'incinération déguisée avec des furanes et des dioxines qui sont très dangereuses pour les populations locales.

    Très stables chimiquement, peu bio-dégradables, les dioxines persistent dans l'environnement et les êtres vivants dans lesquels elles s'accumulent. La demi-vie de ces polluants est d'environ sept ans dans l'organisme humain. Depuis plusieurs années, la toxicité chronique des dioxines a fait l'objet d'intenses recherches. La toxicité chez l'homme pour une exposition chronique à faible dose est encore un sujet controversé car les études sur ce sujet sont difficiles à mettre en œuvre. Cependant, certaines études épidémiologiques (chez l'homme) rapportent une augmentation du nombre de cancers chez les personnes exposées à la dioxine la plus toxique : la 2,3,7,8 TCCD (appelée aussi « dioxine Seveso »), seule dioxine classée par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) comme substance « cancérogène pour l'homme ».

    AURA Environnement s'est entretenu le 29/09/2017 à la Région Auvergne-Rhône-Alpes - très brièvement - avec Laurent WAUQUIEZ qui aime bien "l'homme à la casquette à l'étoile rouge" sur le futur sort des condtions de chauffage de la vapeur d'eau chaude propulsée à la Ferme aux crocodiles à Pierrelatte, et surtout sur le projet de décharge PAPREC/COVED aux Granges-Gontardes qui s'articule derrière..... le projet actuel de modification du PLU et qui révolte la majeure partie de ce petit village très attaché à son vignoble AOC et à ses ressources en eau potable !

    Située à Pierrelatte dans la Drôme, la Ferme aux Crocodiles a ouvert ses portes en 1994. Elle a bénéficié, durant de nombreuses années, de chaleur provenant d’une usine d’enrichissement d’uranium.

    Avec près de 318 000 visiteurs en 2011, la Ferme aux Crocodiles est le 5e site touristique le plus visité en Auvergne-Rhône-Alpes.

    En 18 ans d’existence, elle s’est agrandie à plusieurs reprises et est aujourd’hui constituée d’une sphère tropicale géante de 8 000 m2 et d’un espace extérieur de 4 000 m2. Plus de 400 animaux y cohabitent : de nombreuses espèces de crocodiliens (10 des 23 existantes dans le monde) mais aussi des tortues géantes et des oiseaux exotiques. Des espèces rares comme le Gavial du Gange ou le caïman noir y sont notamment préservées, dans un environnement maintenu à une température de l’ordre de 26°C à 30°C.

    C’est justement dans sa source de chaleur qu’a longtemps résidé la particularité de ce parc, outre son espace unique dédié aux crocodiliens (le plus grand d’Europe) : la Ferme aux Crocodiles a été installée à proximité de l’usine d’enrichissement d’uranium de Georges Besse I, dite « Eurodif » afin de bénéficier de ses rejets thermiques offrant une source de chaleur bon marché. Cette usine, utilisant la technologie de diffusion gazeuse, intégrait des compresseurs nécessaires à la haute pression du procédé. Les calories des circuits de refroidissement de ces compresseurs étaient valorisées par un réseau de chaleur auquel était connecté la Ferme aux Crocodiles.

    En juin 2012, Georges Besse I a cessé sa production. L’usine qui la remplace, George Besse II, enrichit l’uranium par ultracentrifugation, une autre technologie qui ne permet plus d’alimenter le réseau de chaleur de la Ferme aux Crocodiles.

    Cette dernière est aujourd’hui alimentée grâce à une chaufferie au gaz avant la mise en service d'une centrale de cogénération biomasse.

    Avec la fermeture de l’usine disparaissait cette énergie sous forme d’eau chaude. Pour la remplacer et dans la foulée des orientations du Grenelle de l’environnement, il fut décidé de construire une centrale de cogénération biomasse : elle brûlerait du bois afin de produire de l’électricité (85 gigawatt-heure, GWh) et de la chaleur (170 GWh).

    L’usine thermique représente 55 millions d’euros d’investissement, financés par Areva, qui en a réalisé la conception, la construction, l’installation et la mise en service. Entrée officiellement en activité le 4 octobre 2012, la centrale est exploitée par la société Coriance, une entreprise spécialisée dans l’exploitation de réseaux de chauffage urbain.

    Mais son fonctionnement engendre des conséquences négatives tant sur le plan environnemental que social.

    Cet été, lors des journées de l'université d'été à Dunkerque d'EELV à Dunkerque, le président d'AURA Environnement, Marc-Claude de PORTEBANE s'est entretenu - en marge du projet Indachlor à Loon-Plage porté par les belges d'Indaver - avec la députée européenne Michèle RIVASI. Le dossier CORIANCE a été évoqué.

    L'utilisation potentielle de CSR issu des OMr (Ordures ménagères résiduelles) soulèvera les quartiers populaires derrière AURA Environnement de la région de Pierrelatte mais aussi les protectrices et les protecteurs de animaux qui protègent les caïmans et autres "objets de vitrine", enfermés dans des enclos pour faire du fric alors que les animaux sont fait pour vivre en liberté !

    Csr 42

    FAISONS RESPECTER LA LOI TECV :

    AURA Environnement s'oppose dans toute la France

    aux projets de CSR et aux décharges

    qui ne font AUCUNE valorisation !

    Or, AURA Environnement sait depuis plusieurs mois, que quelques bureaux d'études s'activent pour voir s'il serait possible de brûler cette merde de CSR (Combustible Solide de Récupération) dans des chaudières n'utilisant - pour l'instant - que de la Biomasse.

    Nous disons bien .... pour l'instant car, les populations locales de Pierrelatte commencent par se poser des questions et ont demandé à AURA Environnement de faire éclater toute la lumière sur la place publique.

    Les voilà en très bonne partie rassur-ées : il n'y aura pas de cette merde de CSR - que SEULES les cimenteries comme Lafarge et Vicat devraient logiquement cramer comme par exemple au Theil en Ardèche - dans les chaudières biomasse à la Ferme aux crocodiles ou dans les serres voisines qui produisent des fraises et des tomates et qui soutiendront à 100 % AURA Environnement si jamais cette saloperie de CSR déferlait sur la région de Pierrelatte.

    Nous savons qui risque potentiellement de prendre de ce CSR. Nous avons déjà rencontré les dirigeants locaux de Coriance.

    L'utilisation du bois ok et à condition de ne pas dévaster nos forêts par des coupes à blanc. La France, ce n'est pas l'Amazonie où bientôt AURA Environnement sera représentée pour défendre les amérindiens Guaranis. En effet, Le collectif "Or de question "qui regroupe des ONG locales et nationales - comme AURA Environnement - demande au gouvernement français l'arrêt immédiat des projets de méga-industrie minière, car l’économie guyanaise doit s’orienter vers un développement écologiquement et socialement soutenable et non au détriment de nos camarades amérindiens guaranis ou Wayana.

    AURA Environnement et Pierre GALLU sont sur la même longueur d'ondes, tout comme nous l'étions lors de nos 2 rencontres avec l'excellente ex-maire Marie-Pierre MOUTON qui a été propulsée à la tête du conseil départemental de la Drôme qui commence à ZOOMER ce qu'il se passe aux Granges-Gontardes, car la politique des élu-es de la Drôme est de valoriser - plus que jamais le Tourisme - et de ne plus tolérer, par exemple, des projets de décharge " à l'ancienne" comme le projet de PAPREC/COVED aux Granges-Gontardes qui révulse - comme une traînée de poudre - les populations locales du petit village des Granges-Gontardes mais aussi celles des autres villages comme Valaurie, Roussas, Réauville, Malataverne, Allan, La Garde-Adhémar, etc..., et mobilisées en masse derrière le Collectif CPERG soutenu AURA Environnement.

    Il y a assez de décharges dans la Drôme ! La Drôme ne va quand même pas devenir la poubelle de la France !

    Mieux vaut laisser le projet de décharge supplémentaire de 75 000 à 100 000 T/an aux Granges-Gontardes et déposé par PAPREC/COVED le 31/08/2017 dans les cartons de la Dreal de Valence !

  • Projet de TMB/Incinération du SYCTOM @Romainville/Bobigny : AURA Environnement en soutien à Collectif ARIVEM !

    Les écolos d'AURA Environnement apportent leur soutien total au COLLECTIF de l’ARIVEM (PANTIN – BOBIGNY –ROMAINVILLE – NOISY LE SEC - MONTREUIL – LE PRE ST GERVAIS – BAGNOLET – BONDY – AUBERVILLIERS – LES LILAS - PARIS XIX) et à Zéro Waste France !

    Huma 2 012

    Ce week-end à Paris, vous pouvez rencontrer les écolos-marxistes d'AURA Environnement en échangeant avec eux sur les déchets dans le village Alternatiba - lors du festival des alternatives citoyennes -, place de Stalingrad à Paris 19°.

    Le 18/09/2017, le président d'AURA Environnement, Marc-Claude de PORTEBANE, a rencontré Thibault TURCHET, le juriste de Zéro Waste France (avocat de formation et juriste, responsable des affaires juridiques en charge de la planification régionale) à son siège parisien, en bas de Montmartre.

    Une stratégie a été mise en place parallèlement entre AURA Environnement et ZERO WASTE France visant à tracer une ligne rouge à ne pas dépasser pour les exploitations de décharges en France qui ne valorisent pas leurs déchets, qui ne respectent pas la loi TECV en ne donnant pas la priorité au recyclage et à la valorisation (comme c'est le cas actuellement avec le projet LCJ3 COVED aux Granges-Gontardes dans la Drôme que commencent à dénoncer le collectif CPERG des populations locales soutenues par AURA Environnement).

    AURA Environnement tracera la ligne rouge et les précieuses informations seront ainsi collectées par Zéro Waste France qui les fera remonter - ensuite - lors des réunions officielles avec certains camarades-fonctionnaires du ministère de l'Ecologie et de l'ADEME.

    AURA Environnement a demandé à notre camarade Thibault notre co-admission (avec Zéro Waste France) lors des séances de travail avec le ministère de l'Ecologie pour oeuvrer à un meilleur partage de l'information avec les acteurs nationaux de la valorisation des déchets.

    AURA Environnement ne s'oppose pas qu'à certaines décharges mais aussi à de trop nombreuses installations de TMB (tri mécano-biologique) qui sont une ruine pour les collectivités territoriales et les contribuables avec, notamment leurs composts infâmes (souvent composé de métaux lourds et pulvérisés sur nos terres agricoles innocentes) ; à TOUTES les installations qui font de l'infâme CSR, (combustible solide de récupération, qui n'est que de l'incinération déguisée), et qui rejettent dioxines et métaux lourds tout en engorgeant fourneaux et cheminées des cimentiers français (Lafarge, Vicat....) qui en ont plus que marre de devoir supporter SEULS la charge de ses apports exponentiels de ces usines/CSR qui poussent comme des champignons allucinogènes ; à certains porteurs de projets qui veulent se faire de la "thune" facile sur des plateformes de soit-disant valorisation ou de stockage de mâchefers (le mâchefer est un déchet industriel spécial ou d'incinération qui est source de pollution lorsqu'il est en contact avec l'eau. Ce sont surtout des matériaux incombustibles obtenus en fin de four et utilisé en travaux publics pour, notamment, la construction de nouvelles routes), alors que certains de ces porteurs de projets ne sont pas des professionnels des déchets mais souvent des petits investisseurs privés qui ne se privent pas de faire de "juteux" gains, parce que leur conception capitaliste les portent à gagner des marchés publics sur le dos d'entreprises nationales qui, elles, investissent pour garantir les emplois de demain du camarade-éboueur à la camarade-secrétaire !

    A noter : chez VEOLIA, par exemple, les actions positives se multiplient :

    - la RSE (Responsabilité Sociétale de l’Entreprise) intègre les préoccupations sociales, environnementales et économiques dans les activités de l’entreprise et tient compte des interactions avec l’ensemble des parties-prenantes. Il s’agit donc de leur contribution positive au développement durable !

    - 2 sites VEOLIA d’Ile-de France ont accueilli ces derniers jours des visites d’étudiants de l’enseignement supérieur : le centre de tri des déchets de Nanterre et l’usine de production d’eau potable de Neuilly-sur-Marne.

    S"il y a des écolos-boboïstes qui ont de nombreux reproches à faire à AURA Environnement, nos camarades ouvrièr-es et salarié-es savent qu'ils pourront TOUJOURS compter sur NOTRE défense de l'ensemble de nos entreprises françaises, parce que NOUS, ici, nous sommes d'abord Marxistes et que nous sommes des patriotes également. Et ce sont les masses populaires qui font rentrer du pognon dans les entreprises spécialisées dans les Déchets. Une grève gigantesque des éboueurs comme à Saint-Etienne dans la Loire, comme l'an passé, pour l'Euro 2016 et c'était toute une ville qui était paralysée. Nos CAMARADES du peuple de base avec qui nous sommes en contact en permanence nous disent qu'ils aimeraient voir TOUS les jours des défenseurs de l'environnement comme nous, parce qu'entre EUX et Nous, il y a des valeurs d'ordre premier comme le Partage, la Considération, l'Union, la Fidèlité, des valeurs.... d'inspiration empruntées à Quo Vadis. C'est pour cela que nous pensons que notre Comité central a suivi la bonne et juste voie : celle de l'inspiration écolo-marxiste, où la défense des animaux et de l'environnement est calquée sur la discipline "garde rouge-antispéciste" (Garde-rouge, qui s'inspire du Petit livre rouge : "Au point de vue de l'organisation, il faut appliquer avec rigueur le principe de la vie démocratique sous une direction centralisée. Les organismes supérieurs doivent bien connaître la situation dans les organismes inférieurs et la vie des masses, afin d'avoir une base objective pour une direction juste". (L'Elimination des conceptions erronées dans le Parti. Décembre 1929. Oeuvres choisies de Mao Tsé-toung, tome I) !

    Ainsi, le SYCTOM (agence métropolitaine des déchets ménagers, Paris) organisait jeudi 21/09/2017 son premier atelier portant sur le "gisement des déchets" qui sont acheminés sur son centre de Romainville/Bobigny.

    Voici une petite synthèse de cette réunion avec un public inexistant et totalement snobée par nos élus (hormis l'élue en charge des déchets pour Est Ensemble), où les associations ont ferraillé avec les porteurs du projet de TMB/Incinération . 

    Augmentation du nombre de villes qui enverraient leurs déchets chez nous

    Les villes qui envoient leurs déchets au centre du SYCTOM de Romainville/Bobigny constituent "le bassin versant" (autour de 400.000 tonnes).

    Ce bassin versant est déjà très vaste (une partie de la ville de Paris et nombre de communes du 93), mais le SYCTOM prévoit dans son projet de l'étendre de façon significative.

    Le SYCTOM veut sortir de toute logique de mutualisation des capacités de traitement existante à l'échelle de notre région qui est pourtant en surcapacité de traitement

    A l'échelle de l'ensemble du territoire du SYCTOM, plus de 130.000 tonnes de déchets sont incinérés dans des usines qui ne lui appartiennent pas, situées en Ile-de-France.

    La volonté politique du SYCTOM est de constituer sa propre capacité à incinérer ces 130.000 tonnes à Romainville/Bobigny.

    Il requalifie cette mutualisation francilienne actuelle comme étant une "sous-capacité de traitement sur son bassin versant" afin de justifier son projet de construire sa propre usine au milieu de celles déjà existantes chez ses voisins proches.

    Les incinérateurs situés donc près de chez nous qui ne recevraient plus ces 130.000 tonnes devraient par conséquent chercher des déchets à brûler ailleurs, bien au delà de l'Ile-de-France. 

    Un pourcentage d'augmentation de la population contestable

    Le SYCTOM justifie également son besoin d'une nouvelle usine sur l'argumentaire d'une augmentation de la population de 0,32 % par an (le SYCTOM a encore gonflé ce chiffre lors de sa dernière présentation).

    Or cette donnée de l'INSEE se rapporte à l'ensemble de l'Ile-de-France et se réduit à 0,20 % par an pour la seule population des 5 départements couverts par le SYCTOM.

    A l'horizon 2031, cet écart représente 121.254 personnes, soit 31.000 tonnes de trop dans les projections du SYCTOM.

    Le SYCTOM s'exonèrerait du respect de la loi sur la transition énergétique (LTECV)

    Le SYCTOM refuse d'intégrer dans son dossier de programmation de son usine les objectifs de recyclage de 55% en 2020 et de 65% en 2025, tel qu'inscrit dans la loi.

    Alors que la LTECV précise que ces objectifs ont une portée locale, le SYCTOM invoque pour sa part qu'il s'agit de seuils à atteindre à l'échelle nationale, à comprendre que certaines régions ou territoires pourraient être en deçà de ces seuils et d'autres au-dessus.

    Les chiffres officiels du SYCTOM indiquent que sur son territoire, la poubelle en mélange destinée normalement aux non recyclables contient 42,6 % de déchets pour lesquels une consigne de tri existe, soit un gâchis considérable.

    Le pourcentage de collectes sélectives n'est que de 13,4 % avec un taux de captage de 30,2 %.

    Une mauvaise note donc également sur la qualité du tri pour la faible part qu'il représente.

    Ces résultats actuels extrêmement mauvais indiquent que la marge de progression est énorme.

    En atteignant seulement la moitié des objectifs de la loi LETCV sur cette partie de l'Ile-de-France, l'idée même de ce projet d'usine serait inenvisageable, d'où cette volonté du SYCTOM de s'en exonérer. 

    Rappelons que le SYCTOM représente à peu près 10% des déchets produits dans toute la France et que l'Ile-de-France n'a pas de bons résultats sur les taux de recyclages atteints, en grande partie du fait du territoire du SYCTOM qui a des résultats catastrophiques.

    Le devenir des mâchefers, un sujet embarrassant

    Le projet du SYCTOM d'un incinérateur, notamment à Romainville/Bobigny, soulève la question du devenir des mâchefers qui ont récemment fait l'objet de plusieurs articles de presse, soit du fait des grandes difficultés d'exutoire de ces matériaux potentiellement polluants dont plus personne ne veut, mais également du fait d'une décharge sauvage sur des terres agricoles de Seine-et-Marne dont une partie des mâchefers entreposés illégalement proviennent officiellement de l'incinérateur du SYCTOM d'Ivry-sur-Seine.

    Le SYCTOM affirme que tous ses mâchefers sont valorisés ce qui est contredit par cette triste expérience.

    A comprendre que le SYCTOM paie (très cher) pour que ses mâchefers soient "valorisés", sans autre traçabilité fiable, sachant que ce terme ne veut rien dire.

    Chantal LEVEQUE & MC de PORTEBANE

  • Plan Régional en faveur Filière Bois : AURA Environnement 100 % avec @LaurentWauquiez !

    Lors de l'AP (assemblée plénière) à la Région AURA à Lyon

    AURA Environnement apporte son soutien

    à la politique de Laurent WAUQUIEZ

    #Plan Régional en faveur de la filière Forêt-Bois ! Aura bois 081

    AURA Environnement était aujourd'hui en assemblée pleiniere avec le président du conseil régional d'Auvergne-Rhône-Alpes pour apporter son soutien à @Laurent WAUQUIEZ qui ne nous contredit pas lorsque nous affirmons que le principal enjeu pour la Région AURA est d'aider à construire une filière-bois régionale solide et véritablement compétitive au niveau national et européen.

    Notre camarade Marc-Claude de PORTEBANE, le président d'AURA Environnement, avait demandé que cessent les "coupes à blanc" de nos forêts, principalement du Parc naturel régional du Pilat, mais que certaines de nos préconisations soeint prises en compte par les élu-es de la région AURA, à savoir : 

    - Mobiliser plus et mieux les bois de nos massifs (1,4 M€ investissement / 0,75 M€ en fonctionnement)

    - Renforcer la compétitivité et la modernisation des entreprises : 2,6 M€/an investissement

    - Améliorer l'innovation, la logistique et la structuration de la filière : 1, 65 M€ / an (0,75 M€ fonctionnement et 0,9 M€ investissment)

    - Promouvoir et développer la construction en bois local -1 M€ en investissement

    - Mobiliser l'agence économique régionale sur l'organisation de la filière au niveau départemental.

    Aura bois 098

    AURA Environnement & Mounir AaRAB de Donzère au stand

    du Diamant noir (truffe) de la Drôme des Collines :

    Une amitié gustative exemplaire avec Franck BOISSEUX et son épouse !

    AURA Environnement plaide depuis de nombreux mois pour l'utilsation de la Biomasse et se bat SURTOUT contre les installations désireuses de brûler de l'infâme CSR (Combustible solide de récupération, issu de nos poubelles) couplé avec de la Biomasse.

    Aura bois 090

    AURA Environnement prend autant la défense des vins

    de l'AOC des Côtes Roannaises ou de Grignan-les-Adhémar

    que des noix de Grenoble vers Saint-Quentin-sur-Isère

    ou les olives des Granges-Gontardes ! 

    Cette semaine, le comité central d'AURA Environnement a reçu le soutien inconditionnel du maire de Pierrelatte, Alain GALLU, qui soutient notre cause pour l'utilisation de la Biomasse UNIQUE dans les installations de sa commune.

    Si jamais la Ferme aux crocodiles était alimentée par de la vapeur issue du CSR, les autorités savent que nous ferions déferler plusieurs centaines de militant-es et de militants in solidum avec nos amis les crocodiles !

    Nous, antispécistes, seront toujours du côté églitaire Animaux/Humains ! Un animal vaut largement un humain ! Un humain vaut autant que l'animal !

    Textes & Photos © 2017 AURA Environnement

    Paul TOP

  • NOTRE IGNORANCE FORGE LEUR POUVOIR. Saint-Cyr-sur-Morin 77 décharge illégale : d'où proviennent les mâchefers ?

    Mega Ecocides :

    Nous n'avons pas fini de nous battre

    contre leur cynisme méprisant !

    Aa49Nous le constatons lorsque nous sollicitons certains élus de villes proches de verrues qui défigurent l'environnement, dans le cadre de la campagne des législatives, qui se croient suffisamment éloignés des futurs projets pour estimer que leurs administrés ne se sentent pas concernés et nous dire "qu'il faut bien faire quelque chose de nos déchets", entre autre les incinérer, faire un TMB ou nous faire gober de l'incinération déguisée via les infâmes CSR (combustibles solides de récupération) pas chez eux, mais évidemment chez nous !

    Ce sont les mêmes qui produisent le plus de déchets et qui nous disent que le tri c'est compliqué... car ils ne veulent pas s'intéresser à ce qui marche ailleurs.

    Du coup, ils n'y connaissent rien et on tourne en rond car au final c'est eux qui prennent les décisions, mais les pires.

    C'est pourquoi nous avons une grosse pensée pour cette partie de la Seine-et-Marne qui est massacrée du fait de cette nullité et de ce mépris de ceux qui ont la charge de gérer nos déchets : à lire l'article de nos camarades de l'ADENCA (Fichés par les RG) sur les conséquences de l'incinération qui nous pend au nez si on se laisse faire : http://adenca.over-blog.com/2017/05/st-cyr-sur-morin-77-decharge-illegale-pourquoi-le-prefet-jean-luc-marx-ne-veut-pas-dire-de-quelle-usine-d-incineration-proviennent-l

    AURA Environnement a décidé de lancer une offensive générale sur tout le territoire sur l'utilisation méconnue de ces mâchefers utilisés très généralement, notamment par les entreprises de travaux publics ou des entreprises de transport.

    La question se pose sur la provenance de ces énormes quantités de mâchefers polluants déversés illégalement sur de bonnes terres agricoles de cette partie de la Seine-et-Marne.

    Cette collectivité va-t-elle prendre en charge l’enlèvement des mâchefers ou laisser aux habitants du village rural de Saint-Cyr-sur-Morin le poids de cette décharge illégale ?

     

    En effet, le mardi 16/05/2017, trois entreprises des secteurs des déchets et travaux publics répondaient devant la 31° chambre correctionnelle du TGI de Paris de gestion irrégulière de déchets.

     

    Le jugement sera rendu le 04/07/2017.

     

    En attendant, rien ne vous

    empêche de lire Le Monde

    (Ed. du 18/05/2017) :

     

    "Entre le 3 août et le 14 septembre 2012, une noria de camions-bennes chargés de mâchefers est venue troubler l’atmosphère bucolique de Saint-Cyr-sur-Morin. Les habitants de ce village de Seine-et-Marne de 1 966 âmes l’ignoraient encore mais, durant cette période, les poids lourds ont acheminé pas moins de 31 000 tonnes de cette boue grisâtre issue de l’inciné­ration d’ordures ménagères du Val-de-Marne, afin de les enfouir illégalement sur des terrains agricoles de leur commune.

    Avant d’être interrompue par les protestations de riverains auprès de la mairie, l’opération avait pour but de faire disparaître fraudu­leusement, à moindres frais et en en tirant un large bénéfice financier, jusqu’à 80 000 tonnes de mâchefers. Lorsqu’ils ne peuvent être recyclés comme matériaux de sous-couches routières, ces déchets non toxiques doivent en effet être transportés aux frais de leur gestionnaire, et stockés dans des installations spécialisées pour un coût de 50 à 70 euros par tonne.

    « Poupées russes »

    Mardi 16 mai, dans l’affaire de Saint-Cyr-sur-Morin, trois entreprises des secteurs du traitement des déchets et des travaux publics répondaient, devant la 31e chambre correctionnelle du tribunal de grande instance de Paris, de gestion irrégulière de déchets, d’exploitation d’une installation classée pour la protection de l’environnement sans autorisation, de dépôt illégal de déchets et d’infraction aux dispositions du plan local d’urbanisme.

    « C’est un système de poupées russes, sauf qu’ici la petite est destinée à cacher la grosse », a résumé le procureur pour décrire le montage réalisé par Remblais Terre Route Groupe Environnement (RTR), l’entreprise de transports Vitrans et Cideme, un centre technique de valorisation de mâchefers qui est une filiale de TIRU, société détenue à 75 % par EDF.

    Tout a commencé en juin 2012, lorsque Habib Ben M’Hamed, un proche du clan mafieux Hornec, avec lequel il participait à des affaires."....

    L’accès à la totalité de l’article est protégé
     

    A suivre
     

  • ALTRIOM ZA de POLIGNAC (43) : les confidences d'AURA Environnement sur ce rapport SECRET de la Dreal Auvergne-Rhône-Alpes !

    Tandis que des avenants pleuvent entre la collectivité & ALTRIOM

    sous la forme de pénalités à la charge du contribuable......

    Quelques écarts mineurs et 18 constats pépère ont été

    relevés par la Dreal AUVERGNE-RHONE-ALPES en 2015 !

    Altriom dreal auraNOTA BENE : les dirigeants d'ALTRIOM poliment contactés aux tél par AURA Environnement se sont défilés !!!!!

    Si la Dreal Auvergne-Rhône-Alpes ne tient pas trop à communiquer, c'est que l'ICPE (Installation classée pour la Protection de l'Environnement) ALTRIOM est sous l'artillerie de plusieurs associations environnementales et de la presse spécialisée dans la défense de l'environnement et plus particulièrement dans le petit monde des déchets où toutes sortes de saloperies sont permises contre la nature et les animaux !

    Ce rapport CONFIDENTIEL de visite de la Dreal Auvergne-Rhône-Alpes a été la 1ère visite d'inspection après mise en service del'installation au 01/07/2014.

    Liste des installations inspectées :

    - Bâtiment de réception des déchets,

    - Bâtiment de tri des ordures ménagères,

    - Halles de fermentation, d'affinage et de maturation du compost,

    - Bâtiment de fabrication du combustible solide de récupération (CSR),

    - Bassins de gestion des eaux,

    - Installations de traitement de l'air.

    X, l'inspecteur de la Dreal présent a rencontré les personnes suivantes : Mathieu CHARREYRE, PDG ; Fabien CHARREYRE, directeur ; Julien CHENEVOTOT, directeur d'exploitation ; Fabienne VALENTIN, responsable QSE ; Lise MALAVAL, agent d'accueil.

    Principales constatations effectuées :

    "Les dispositions constructives (murs coupe-feu, dispositifs de désenfumage et de cantonnement des fumées) et les moyens de lutte incendie sont en place. Les dispositifs de gestion des eaux ont été mis en palce. Les analyses de suivi des rejets dans l'eau et dans l'air sont réalisées. La gestion du tri et du traitement, après une période de réglage, apparaît maîtrisée moyennant quelques adaptations. En revanche, les débouchés du compost et du combustible solide de récupération constituent un enjeu majeur pour la pérennité de l'installation...."

    AH BON ? ET POURQUOI ?

    "4 écarts mineurs ont été constatés :

    - Fréquence non-respectée d'analyse du rejet d'eaux pluviales

    - Délai non-respecté pour la mesure du bruit

    - Absence de rétention pour des produits hydrocarburés

    - Apport de compost de déchets verts non prévu dans le processus de compostage..".

    AH BON ? ET POURQUOI ?

    A suivre.

  • Guide Hachette & Wine Advocate de Robert Parker consultés par Domaine de Coussergues sur + odeurs Usine à Poubelles "Ecopôle de la Valasse" #Béziers ?

    Alors que les populations locales vers Montblanc (34) commencent à voir rouge :

    la société VALORSYS PRES DES OLIVIERS et le préfet 34 ont-ils

    demandé les avis du Guide Hachette et du Wine Advocate de Robert Parker

    pour les futurs envols de poussières,

    pulvérisations d'odeurs de l'Usine à poubelles

    "Ecopôle de la Valasse" près du prestigieux "Domaine de Coussergues" ?

    Rouss peze 062

    Marc-Claude de PORTEBANE

    Le Château de Coussergues se situe à dix kilomètres à l'est de Béziers, sur les dernières collines dominant la Méditerranée. Cette vaste (310 ha) et ancienne seigneurie royale de 1495 est la propriété de la famille Sarret de Coussergues depuis quinze générations.

    Le prestigieux Domaine de Coussergues qui se trouve sur la départementale 28 entre Béziers et Bessan en dehors du village de Montblanc (Sorties d’autoroute : Sortie autoroute A9 Agde – Bessan (sortie n°34) = 8km ; Sortie autoroute A9 Béziers - Est (sortie n°35) = 15km ; Aéroport de Béziers - Cap d'Agde = 15km. Distances avec les villes alentours : Béziers : 10 km, Cap d’Agde : 12 km, Pézenas : 15 km, Montpellier : 60 km) a-t-il prévenu les Guide Hachette et le Wine Advocate de Robert Parker de ce qui se prépare à quelques centaines de mètres de son vaste territoire dont est issu un vin de pays/IGP Oc, le "Coussergues" qualifié par Hachette, (Guide 2016), de "Rouge tranquille"  possédant "Une majorité de cabernet-sauvignon (80 %) associée à du petit verdot, voici les bases de cette cuvée très sombre, au nez classique de fruits noirs sur fond de boisé chocolaté et vanillé, au palais bien équilibré, alliant puissance, rondeur et volume." ?

    Rouss peze 072

    En effet, le 24/11/2016, la DREAL Occitanie présentait aux membres du CoDERST un projet de modifocation des prescriptions préfectorales d'exploitation des installations de tri et de stockage de déchets non-dangereux. Site concerné : VALORSYS PRES DES OLIVIERS - RD 28 - 34290 MONTBLANC.

    Avec en PJ un plan de situation, des plans des installations (DDAE et REALISE) ainsi, qu'en cadeau, un projet d'arrêté préfectoral ... qui ne comporte pas les mêmes références dans la pièce communiquée aux membres du CoDERST (UT34/H2/2016/121) et dans le projet qui mentionne lui : UD34/H2/2016/121 !

    Une petite erreur qui risque d'être de donner raison à AURA Environnement au tribunal administratif ? Rouss peze 014

    A cette réunionïte du CoDERST de l'Hérault, il leur a été proposé de réserver une suite favorable au projet d'arrêté établi afin "d'encadrer les modifications" pour lesquelles la DREAL Occitanie n'a pas eu d'objection, et afin de prendre en compte les 11 aménagements déjà cités par le préfet "conformément au courrier du préfet daté du 11/01/2016".

    Très intéressantes les nouvelles prescription de l'article 7 sur les "Envols de poussières", de ce projet d'arrêté du préfet, Pierre Pouëssel, notamment l'ensemble des pistes non-revêtues d'accès aux alvéoles de stockage des remblais qui feront "l'objet d'aspersions d'eau aussi souvent que nécessaire notamment en périodes sèches et ventées" ........

    Quelles seront les incidences sur les vignobles environnants et la qualité de leurs vins lorsque Pouëssel Pierre prendra un arrêté portant mise en place des mesures de restrictions des usages de l'eau dans le cadre de la gestion de la sécheresse des 20 prochaines années ?.

    L'arrêté préfectoral complémentaire a été signé vendredi 10/02/2017 !

    ORGANISONS LA RESISTANCE !

    DEFENDONS NOS PRODUCTIONS VITICOLES !

    Rouss peze 063Pas question de "baisser la garde" sur les dispositifs de limitation d'émission des poussières de ces installations qui occupent une surface totale de 41 ha en tout ou partie des lieu-dits "La Martinique", "La Croix", "Mont-Auriol" et "La Valasse" !

    Rouss peze 068N'hésitez pas à demander à vos élu-es de Montblanc - qui sont d'ardents défenseurs de l'environnement - leurs avis sur les caractéristiques des rejets à l'atmosphère et les teneurs en polluants des émissions gazeuses (dont les COV hors méthane) ou les matières en suspension totale (MEST) !

    Camarades ne soyez ni dupes ni ignorants : les MEST sont responsables de la turbidité de l'eau, peuvent perturber la photosynthèse et la respiration des organismes aquatiques et véhiculer d'autres contaminants (métaux lourds) !!!

    AVEC LE MAIRE et les ELUS

    DEFENDONS l'ENVIRONNEMENT

    DEJA LARGEMENT DEGRADE à MONTBLANC ! 

    Rouss peze 045Nous espérons que les représentants des associations de protection de la nature et de défense de l'environnement ont voté CONTRE ce projet d'arrêté préfectoral de prescriptions complémentaires portant modification des prescriptions préfectorales d'exploitation des installations de tri et de stockage de DND de l'Ecopôle de la Valassse !

    Que font les écolos locaux ?

    Rouss peze 046

    AVEC les HABITANTS de MONTBLANC

    DEFENDONS la CAUSE ANIMALE !

    Rouss peze 038

    Le 14/01/2017, perdu chat mâle, castré, pucé sur l'aire d'autoroute Béziers Montblanc Sud. Il est gris clair avec les pattes et la queue rayées (un peu le tête aussi). Il a les yeux bleus et louche un peu. Si vous le retrouvez, merci de bien vouloir me contacter au 06.24.80.32.19

    Camarades ! Défendons nos IGP/Oc qui ne doivent pas se transformer en "vinasse" déclassée dans le Guide Hachette ou d'autres références internationales de renom dans une région où souffle déjà les vents mauvais du chômage et de l'insécurité économique !

    DEFENDONS nos PRODUCTIONS avec les ELU-ES de

    la Communauté d'agglomération Béziers Méditerranée !

    Rouss peze 055

    Alors que l'Ecopôle de la Valasse va accueillir les déchets non dangereux (DND) du département de l'Hérault et des départements limitrophes ..... "uniquement en cas de défaillances techniques des installations ou d'arrêt programmé des installations pour des opérations d'entretien et de maintenance" sans plus de précisions :

    TRI/TRAITEMENT MECANIQUE/MISE EN BALLE

    - 97 000 T de déchets non fermentescibles issus d'activités industrielles, agricoles, artisanales + encombrants des ménages issus de déchèteries ou de collecte sélective

    - 54 000 T/an de refus non fermentescibles de centre de tri de collecte sélective ainsi que des refus de l'activité de la société "Biométhanisation près des oliviers" : fraction non-fermentescible de l'activité de la presse extrudeuse et refus de dégrillage (1 400 T/an)

    STOCKAGE EN BALLES ENRUBANNEES

    - 77 500 T/an de déchets non-valorisables issus des activités de tri des déchets non-fermentescibles et encombrants précités + les terres polluées en installation de stockage de déchets non dangereux utilisées uniquement en couverture intermédiaire de l'installation de stockage

    - 55 400 T/an de refus précités de l'activité de la société "Biométhanisation près des oliviers"

    QUELLE CONFIANCE pouvons-nous AVOIR dans la PAROLE de L'ETAT sur ces futures BALLES qui seraient bien ENRUBANNEES dans l'HERAULT LORSQU'ELLES "PARFUMENT" déjà L'ENVIRONNEMENT à L'AIR LIBRE - AU NEZ ET A LA BARBE DE LA DREAL-29 QUI NE DIT RIEN - COMME chez GUYOT ENVIRONNEMENT en BRETAGNE à SAINT-MARTIN-des-CHAMPS dans la région de MORLAIX, lorsqu'elles sont MAL-ENRUBANNEES ? (Source : Constat huissier SCP BOUGEANT demandé par AURA Environnement) !!!!

    Poire 114

    Le stockage "en vrac" INTERDIT dans l'arrêté préfectoral du préfet de l'Hérault alors qu'en Bretagne, l'industriel GUYOT Environnement fait ce qu'il veut avec la bénédiction de la Dreal-UT 29 sur le site de Kerolzec à Saint-Martin-des-Champs........

    B1 001Les dirigeants du cimentier VICAT  nous ont dit que ce stockage à l'air libre et ces balles complètement éventrées vers Morlaix constituaient une atteinte à l'environnement et étaient impossible à incinérer dans leurs cimenteries !

    Puisque ce vrac et ces balles enrubannées sont inutilisables, direction la décharge ! Combien la Tonne aux frais du contribuable ? C'est un SCANDALE !

    Huis b7 001 2 jpg a....où l'anarchie complète règne en maître sans que le préfet du Finistère bouge le moindre petit doigt !!!!

    Huiss a1 001Et on veut nous faire croire dans le 34, que la DREAL de Montpellier va laver plus blanc que blanc à Montblanc ???

    QUE NENNI !

    En appui aux riverains de la Méga Usine à poubelles "Ecopôle de la Valasse", AURA Environnement a réuni les populations locales au sein du Collectif de Protection de l'Environnement et du Vignoble vers Montblanc (CPEVMB-34) et appelle les défenseurs de notre patrimoine économique (et surtout viticole) et de l'environnement, les ami-es des animaux, les riverains aidés par les touristes de passage à organiser la RESISTANCE POPULAIRE face à cet arrêté préfectoral !

    D'ores et déjà, le Collectif de Protection de l'Environnement et du Vignoble vers Montblanc (CPEVMB-34) a demandé à la mairie de Montblanc la possibilité de tenir nos réunions en mairie de Montblanc ou à la salle des associations !

    Le CPEVMB-34 alerte les populations locales ! Pas touche à nos vignobles, d'autant plus que la croissance économique constatée sur les dernières années ne se traduit pas par une embellie en matière d’emploi. Au 1er trimestre 2015, le taux de chômage en Languedoc-Roussillon atteint 14,2%, contre 10% en France métropolitaine. Ce taux est le plus élevé des régions françaises et ne s’explique pas seulement par les crises récentes !Rouss peze 028
     
    L'arrêté préfectoral complémentaire (APC) a été tout juste signé le 09/02/2017. 
     
    Message à COVED-PAPREC et au préfet de l'Hérault : HORS de QUESTION d'avoir du CSR (Combustible Solide de Récupération) dans l'Hérault dans un autre APC.
     
    AURA Environnement et le CPEVMB-34 seront extrêmement vigilants sur la décharge de l'Ecopôle de la Valasse, que ce soit au niveau :
     
    - du bâtiment de réception et de tri de déchets non-dangereux secs de 7 200 m² ;
     
    - de la zone extérieure de 156 m² de stockage de balles de fractions valorisables pour une surface de 26 m x 6 m pour un volume total de 432 m3 ;
     
    - de l'installation de stockage de déchets non-dangereux de 30 ha comprenant 8 casiers subdivisés en alvéoles ;
     
    - de la zone de 4 000 m² de traitement des lixiviats et du biogaz ;
     
    - des 2 bassins de stockage des eaux pluviales internes ;
     
    - de la zone de 10 ha de stockage des déblais issus de la préparation du fond de forme de l'installation de stockage de déchets non-dangereux ;
     
    - des bâtiments et zones annexes !
     

    A suivre.

     

  • Future Usine à poubelles CSR @GuyotEnvironnement #SaintBrieuc - Bretagne - : Exigeons enquête publique ?

    Nous voulons savoir pourquoi la future Usine à poubelles CSR de @GuyotEnvironnement vers - Bretagne - pas d'enquête publique ?

    Smdc 136

    Comment se fait-il que la pancarte de Guyot Environnement

    avait subitement été enlevée fin d'année 2016 ?

    https://twitter.com/MCdeportebane?lang=fr

  • Le Collectif de Défense de l’Environnement du Pilat (CDEP) s'invite aux voeux du maire de Saint-Romain-en-Gal !

    A peine né, le Collectif de Défense de l’Environnement du Pilat (CDEP)

    tracte et récolte soutiens CONTRE le énième arrêté préfectoral

    du préfet du Rhône prolongation décharge NICOLLIN

    lors des voeux du maire Pierre LANGLAIS !

    Voeux st rom 034

    A l'initiative d'AURA Environnement, les riverains excédés par les odeurs insupportables de la décharge NICOLLIN de Saint-Romain-en-Gal ont décidé la prise en main de leur destin via la lutte révolutionnaire avec la création du Collectif de Défense de l’Environnement du Pilat (CDEP) qui permettra à tout cet immense territoire du parc naturel régional du Pilat (qui regroupe 47 communes de la Loire et du Rhône sur un territoire de 700 km2, pour une densité de 80,2 hab/km2 - densité assez élevée pour un parc naturel - avec les grandes villes proches comme Saint-Etienne ou Vienne), de savoir comment est dévalorisé ce beau parc limité au nord/ouest par la vallée du Gier et à l'est par la vallée du Rhône, ses frontières sud et ouest qui le mènent aux portes de la Haute-Loire et de l'Ardèche à quelques kilomètres de Saint-Etienne et pas très loin d'un autre projet inadmissible de méga Usine à poubelles méthanisation/CSR - combattu par le collectif C.H.U.P.A qui représente plus de 10 000 personnes - vers Andrézieux-Bouthéon et porté par le syndical local : le SYDEMER qui loge dans les locaux de Saint-Etienne Métropole. 

    A Saint-Romain-en-Gal, à l'initiative également d'AURA Environnement un autre collectif, plus modéré, est en gestation avec notamment la potentielle participation du très sympathique ex-conseiller municipal Marc GAVIOT-BLANC. Ce collectif devrait travailler, lui, plus en harmonie avec les élu-es dont le maire Pierre LANGLAIS qui a indiqué, lors de ses voeux à la salle polyvalente de Saint-Romain-en-Gal, vouloir demander une contre-expertise sur les attendus olfactifs du préfet du Rhône Michel DELPUECH qui a accordé une énième prolongation à la décharge gérée par la SAS NICOLLIN.

    AURA Environnement demandera une autre contre-contre-expertise.

    Voeux st rom 040Vendredi 06/01/2017, le CDEP est donc passé immédiatement à l'action en tractant à l'issue des voeux du maire.

    Voeux st rom 038L'assistance a de facto accordé à plus de 80 % des membres présents son soutien au CDEP qui a présenté sa pétition internet qui recueille déjà plus de 15 500 signatures.

    Voeux st rom 041Entre toasts et verres de blanc, la population injustement salie de Saint-Romain-en-Gal en a redemandé des tracts d'AURA Environnement.

    Le CDEP a élu sa secrétaire : Elisa POMARES. Son président : Emile POMARES. Sa vice-présidente : Pierrette POMARES. Son porte-parole : Marc-Claude de PORTEBANE. D'autres postes de responsabilité sont à pourvoir.

    Le CDEP se veut à 100 % indépendant des piêtres partis écologistes régionaux inefficaces depuis 1969, date de la création de la décharge NICOLLIN.

    Une conférence de presse aura lieu prochainement pour expliquer comment et pourquoi AURA Environnement ira au tribunal administratif de Lyon afin de contester cet énième arrêté préfectoral pris à l'encontre des habitants et des animaux vivant à proximité de cette décharge qui décharge des odeurs insupportables et inadmissibles !

    Avec cette présence sur tout le territoire du parc naturel régional du Pilat, AURA Environnement et le CDEP espèrent regrouper plusieurs milliers de militant-es et de militants.

    La révolte des 56 000 défenseurs du Pilat est en marche CONTRE la décharge NICOLLIN et l'arrêté-alibi DELPUECH qui vont, une nouvelle fois, semer les mauvais vents de la discorde inter-régionale en autorisant 16 000 T de pourriture en 2017 et à partir de 2018 au moins pour 6 ans quelques 65 000 T de déchets du Rhône et surtout du Grand Lyon !

  • Inauguration centre de tri Généris #3 à Ploufragan : Jean-Yves Le Drian est-il aveugle ou borgne pour Morlaix ?

    Alors que la nouvelle vitrine de Kerval Centre-Armor 

    le centre de tri Généris #3 était inauguré à Ploufragan

    dans les Côtes d'Armor en présence de Jean-Yves Le Drian :

    les alentours du centre de stockage de CSR de Guyot Environnement

    étaient "mitraillés" de photos par AURA Environnement vers Morlaix !

    Smdc 115

    En haut en blanc, le centre de stockage de balles de CSR (issues de nos poubelles) de Guyot Environnement vers Morlaix, en dessous, un petit ru rougeâtre (flêche rouges) se dirige directement vers la rivière "La Pennélé" ! Toute la zone est marécageuse, on s'enfonce entre 40 et 60 cm de profondeur voire plus. Le sol est gorgé de produits aqueux et les odeurs sont pestilentielles.

    Entourés de nombreux gardes-du-corps et une flopée de RG, l'inapprochable ministre de la Défense et président de la Région Bretagne, Jean-Yves Le Drian, est venu inaugurer le centre de tri sélectif Généris #3  exploité par Suez à Ploufragan où plus de 17 800 T de déchets (journaux, revues, magazines, cartons, bouteilles plastiques claires, briques alimentaires, pots de yaourt, aluminium) sont triés.

    Smdc 042

    Ce sont la plupart de ces élus présents hier avec Jean-Yves Le Drian lors de l'inauguration du centre de tri Généris #3 à Ploufragan qui ont décidé d'octroyer plus de 20 millions d'euros à Guyot Environnement pour la future Unité de tri-valorisation des Châtelets (plus de 330 000 € de frais financiers/an pour les études, le bâtiment VRD, le process de tri et séparation hors plateforme et cabine, plateforme, cabine, équipements mobiles - si besoin -) ! Qu'en pense la Chambre régionale des comptes ? Est-il normal d'avoir autant de frais financiers ?

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    "Trier pour payer moins cher" vers Saint-Brieuc dans les Côtes d'Armor, "Souci de sensibilisation et de pédagogie" ailleurs en France, alors que la pollution des sols vers le centre de stockage de Guyot Environnement sur le site de Kerolzec à Saint-Martin-des-Champs vers Morlaix dans le Finistère risque de coûter une petite fortune. L'Etat semble laisser pourrir la situation. Personne n'en parle, même pas la presse locale. Ils nous prennent vraiment pour des cons !!!

    Smdc 039Généris #3 est un site exemplaire vanté par le syndicat Kerval Centre Armor qui en fait sa vitrine en terme de communication. #3 car ce site en est à sa 3° modernisation (2006, 2013, 2016). Propriétaire : Kerval Centre Armor. Création : 2001. Capacité nominale : 38 000 T. 17 833 T de déchets en 2015 pour Généris #3 sur un territoire de 350 000 habitants, comprenant la zone centrale des Côtes d'Armor, allant de Saint-Brieuc à Binic, Loudéac et Lamballe. Exploitant : Suez Environnement.

    Pendant que les élu-es de la région faisaient des risettes au président Le Drian, nos camarades d'AURA Environnement pataugeaient dans la boue aux abords du centre de stockage des balles de CSR (Combustible Solide de Récupération) - retrouvées encore une fois éventrées sur le site de Saint-Martin-des-Champs (Morlaix) et plus particulièrement en remontant le cours d'eau de la petite rivière martyr "La Pennelé" !

    AURA Environnement a alerté déjà les services de l'Etat, mais rien y fait. L'Etat laisse faire ! L'Etat nous cache la vérité !

    Smdc 113....Pendant ce temps-là, en dessous du centre de stockage de CSR vers Morlaix, le jus couleur tomate s'écoule, dans les sols puis direction la rivière "La Pennelé" !!!!

    Dans un premier temps, AURA Environnement demandait à un huissier de la région du Finistère Nord de constater l'état de ces balles de CSR éventrées et laissées à l'air libre qui dégagent des odeurs, puis alertait la préfecture de Bretagne, l'ONEMA et le DDTM du Finistère !

    Le 15/11/2016, Serge LE DAFNIET (DDTM 29, service Eau Biodiversité, responsable du pôle police de l'eau), nous répondait que "Le dossier est en cours de traitement par le service installations classées, une visite a déjà été effectuée. Compte-tenu de la nature des produits, et de la configuration des lieux, il n'y a pas de risque de pollution de l'eau".

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    Question à la DDTM 29 : à quoi sert ce tuyau dans le lit de la rivière La Pennélé ?

    Or, ce week-end, nos camarades d'AURA Environnement ont enfilé leurs bottes et effectué une visite des alentours de ce centre de stockage géré par Guyot Environnement, non pas uniquement par la route goudronnée qui rejoint Kérolzec, le château de Bagatelle ou la commune de Saint-Sève.

    Les sentinelles d'AURA Environnement sont allées pateauger dans les terrains mouvants de la petite rivière "La Pennélé", en passant non loin du Moulin de la fontaine blanche.

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    Les petits poissons de la rivière "La Pennélé" vont certainement très apprécier de gober du "ketchup" issu des balles de CSR (Combustible Solide de Récupération) éventrées pour la pluart de Guyot Environnement à Saint-Martin-des-Champs sur le site de Kérolzec. Les CSR sont des déchets solides (bois, plastiques, papiers, cartons, tissus... issus des déchets industriels banals (DIB), des refus de tri en collecte sélective, des déchets non-fermentescibles extraits des unités de tri mécano-biologique (TMB) ou encore des déchets collectés par certaines filières de responsabilité élargie du producteur (REP)...) broyés afin d'être consumés dans des installations de co-incinération, et plus particulièrement les cimentiers qui font la pluie et le beau temps. En France, les 3 cimentiers s'entendent pour faire casquer au producteur le minimum afin que cette option soit moins chère que l'enfouissement) !!! Cette somme n'a bien évidemment rien à voir avec la soit-disante valeur énergétique de ce produit infâme qui en se consumant dégagé des dioxines et des furannes !!!!

    Et là : stupeur ! Des petits ruisselets rougeâtres s'évacuent de ce centre de stockage de Saint-Martin-des-Champs géré par Guyot Environnement, la même entreprise qui a gagné le marché de fabrication de CSR sur la zone des Châtelets....grâce aux élu-es de Kerval Centre Armor, non-loin du centre de tri Généris #3 inauguré hier après-midi par Jean-Yves Le Drian !

    Non seulement l'eau qui se dégage vers la rivière "La Pennelé" est rouge à souhait, mais en plus, de fortes odeurs pestilentielles se dégagent dans les environs de ce site de Kérolzec.

    L'ONEMA est-elle allé, là où les sentinelles d'AURA Environnement se sont rendues alors que les associations environnementales locales comme "Bretagne vivante" ou "Eaux et rivières en Bretagne" ne font absolument aucune visite. Tout juste se contentent-ils de se renvoyer les liens de notre site internet d'AURA Environnement.

    Quand est-ce que la région Bretagne va cesser d'alimenter en subventions ces associations qui doivent avoir de sacrés charges d'exploitation pour ne pas venir nous épauler sur le terrain ?

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    Il n'y a bien qu'AURA Environnement pour défendre cette charmante petite rivière innocente "La Pennélé". Mais que sont donc les CSR ? Faute de définition claire, ils constituent un combustible peu connu et réduit à 3 critères qualitatifs : leur pouvoir calorifique et leur teneur en chlore et en mercure !!!! Allo l'Ademe Bretagne ! Allo Morlaix Communauté ! Allo Gilbert PLASSART ! Allo Bretagne Vivante ! Nous attendons fissa votre avis car les petits poissons ont soif d'eau pure !!!!

    Que font les associations de pèche, regroupées en AAPPMA, comme celle de la région de Morlaix qui n'a pas hésité à faire du bon travail en faisant appel à des bénévoles pour le nettoyage de la rivière "La Penzé" et  dont le bureau se compose de la sorte :

    - Président : Jean-Yves MOAL

    - Vice-président : Jean-Paul CHARLES

    - Secrétaire : Gilles APPERE

    - Trésorier : Henri-Noël CHOLET

    Combien de temps la petite rivière "La Pennelé" devra être la martyr de Morlaix ?

    Depuis Octobre 2015 rien ne bouge !

    AURA Environnement appelle à une mobilisation générale

    à Saint-Martin-des-Champs pour dénoncer le laxisme de l'Etat !

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    Tandis que la rivière "La Pennélé" déguste un max, les balles de CSR du centre de stockage de Guyot Environnement - pourtant si bien envelopées et ficelées par Comdec Paal - éclatent au nez et à la barbe des services de l'Etat, des élus, des collectivités, des associations "écologiques" régionales et locales - trop locales d'ailleurs -, des associations de pêcheurs !!!

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    Que font les RG pour remonter l'information à Le Drian ? Ils recueillent des infos sur les militants de la cause environnementale ? Qu'en pensent les élu-es du département voisin des Côtes d'Armor et plus précisément de Kerval Centre-Armor qui verseront 23 millions d'euros à Guyot Environnement à Ploufragan dans les années à venir ?

    Contactée par AURA Environnement, l'entreprise GUYOT Environnement nous a indiqué que les eaux étaient ferrugineuses (d'où la couleur rougeâtre) et que cela était dû au fait que le site actuel était assis sur une ancienne carrière.

    El Maximo Paul TOP

  • Conférence de presse de Marc-Claude de PORTEBANE au Club de la presse de Bretagne à Rennes !

    Conférence de presse le mercredi 30 novembre à 14h
    L'association AURA Environnement fera le point sur la gestion des déchets en Bretagne

     

    Le président de l'association AURA Environnement, Marc-Claude de Portebane, organise une conférence de presse le mercredi 30 novembre à 14h au Club de la presse de Bretagne. Il fera notamment le point sur la sensibilisation du public aux déchets à la source, le relais réalisé auprès des populations locales et des réseaux locaux de mobilisations, le réseaux sentinelles bretons (réseau de médecins généralistes). Il présentera également les propositions qui sont faites pour réduire les déchets.
    Contact : Marc-Claude de PORTEBANE mcdeportebane.35@laposte.net / 06 40 29 68 72

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    Au programme :

    AURA Environnement a alerté - en vain - les services de l'Etat (Onema, DDTM, préfecture de Bretagne....)

    Poire 114- Que font les services de l'Etat pour demander à Guyot Environnement de mieux gérer ses balles de CSR sur le site de Saint-Martin-des-Champs vers Morlaix dans le Finistère ? Ces déchets sont-ils des inertes ? Quelles sont les incidences potentielles pour la rivière "La Pennelé" ? L'ADEME de Bretagne quelle position officielle à la vue de la mauvaise gestion de ces balles éventrées ?

  • Usines à poubelles et Anti-Spécisme : AURA Environnement renforce sa présence officielle en Bretagne

    Ce week-end la Fapel 22 a validé la candidature

    d'AURA Environnement en créant la commission Déchets !

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    Le président du "Pôle déchets" des Côtes d'Armor estampillé par la Fapel 22, Marc-Claude de PORTEBANE, (3° en partant de la gauche)

    C'est maintenant officiel : la candidature de Marc-Claude de PORTEBANE au poste de Président du futur "pôle Déchets" a bien été validée ce week-end à la salle des associations de Plougrescant dans les Côtes d'Armor par les administrateurs de la Fédération des associations environnementales : la FAPEL 22, lors de son A.G 2016.

    Pour rappel : la FAPEL 22 se veut indépendante politiquement et financière. Elle ne reçoit aucune subvention et n'a pas peur d'ester comme bon lui semble.

    Samedi 19/11/2016, chaque administrateur présent alignait ses adhérents et militants. Pour les seules Côtes d'Armor, le collectif "Greenbretagne" dont Marc-Claude de PORTEBANE est le porte-parole, revendique 60 militant-es issu-es de l'écologie autonome sans liens aucuns avec les scélérats de la FNE.

    Samedi 19/11/2016, Muriel FIANNACA, la présidente de la FAPEL 22 a exposé la situation réelle sur le terrain :

    - Lieu : ADEBE PAIMPOL. Problème : Association crée contre le projet de zone ostréicole à Boulgueff (Kerquestel) à Paimpol.

    - Lieu : ARPE TRELEVERN. Problème sur la SPPL et avec le camping en zone inondable.

    - Lieu : KERVAL CENTRE ARMOR à Ploufragan. Etudes juridiques concernant tous dossiers et notamment demande enquête publique et classement en ICPE de l'Unité de tri-valorisation des Châtelets actuellement en construction. Participation à la future CSS. Création du pôle "Déchets" à la Fapel 22 et d'une sous-commission CSR (Combustible Solide de Récupération). Demande révision Coderst 22 au nouveau préfet. Lutte contre le "Tourisme des déchets vers les autres départements, nuisances diverses". Présentation de la conférence de presse de Marc-Claude de PORTEBANE au Club de la presse Bretagne, le 30/11/2016 à 14h à Rennes, sur le "Devenir des déchets en Bretagne" et ces balles éventrées de CSR issues des poubelles sous l'indifférence des services de l'Etat sur le site de Kerolzec à Saint-Martin-des-Champs, vers Morlaix (Finistère) et ce, nonobstant l'alerte d'AURA Environnement auprès de l'ONEMA, la DDTM 29, la préfecture de Région Bretagne.

    - Lieu : SITES et PATRIMOINE de TREGASTEL. Association qui s'investit dans le dossier de la "Grève Rose".

    - Lieu : PLERIN SALLE POLYVALENTE. Problème : le maire de Plérin veut construire une salle polyvalente sur un espace agricole.

    - Lieu : E.V.A (Eaux Vivantes d'Armor). Problème : Lutte contre la zone ostréicole.

    - Lieu : Association "PRESERVONS le GUINDY et son ENVIRONNEMENT". Problème : Contre un projet de concassage-criblage et enfouissement de déchets dits inertes sur le site de l'ex-carrière de Plouguiel. 

    - Lieu : LES AMIS DU LAC. Jugement sur le fond attendu.

    - Lieu : PLOUGRESCANT. Problème : Extension de la zone ostréicole, abandon des coquilles d'huîtres mortes (maladies) en mer, Pas de plan de gestion des déchets contrairement à la section conchylicole Bretagne-Sud.

    - Lieu : COLLECTIF de DEFENSE de l'ENVIRONNEMENT de l'ILE GRANDE. Problème : Une maison a été construite en ne respectant pas le permis de construire. Cette maison moderne parmi les maisons de pêcheurs typiques de l'Ile Grande dénature un site, par ailleurs appartenant au Conservatoire. Le PLU de Pleumeur Bodou pousse à une urbanisation intense alors que le milieu est extrêmement fragile.

    - Lieu : KERARZIC ET PORS LAZO. Problème : Association de riverains contre la pose de dépôts de poches d'huîtres. Lobbying auprès des services de l'Etat et de la commission des cultures marines.

    - Lieu : BASE NAUTIQUE PLEUMEUR BODOU. Problème : L'extension de la base qui double de surface et qui enfreint la loi Littoral. Site Natura 2000. Zone en aléas de submersion.

    - Lieu : PLOUHA. Problème : camping municipal donné en DSP (Délégation Service Public). et loi Littoral.

    - Lieu : PLEUBIAN. Problème : La mairie veut constuire un SPA au pied du sillon. 

    - Lieu : VARISCAN. Problème : Recherche de métaux stratégiques.

    - Lieu : YVIAS. Problème : Déboisement et constructions sans permis...

    Le collectif Greenbretagne a lancé une pétition sur internet contre, notamment, le projet d'Usine à poubelles dans la ZI des Châtelets à Ploufragan (Banlieue de Saint-Brieuc) dont l'appel d'offre a été gagné par Guyot Environnement et dénoncé le stockage lamentable des balles de CSR (Combustible Solide de Récupération) à Saint-Martin-des-Champs (Banlieue de Morlaix dans le Finistère) par Guyot Environnement et ce, suite aux premières révélations de Robin des Bois de Paris.

    A noter qu'aucune association environnementale des Côtes d'Armor n'a dénoncé avec autant de vigueur les potentielles atteintes à l'environnement sur le site de Guyot Environnement, à Saint-Martin-des-Champs sur la ZI de Kerolzec, vers Morlaix, à part Robin des Bois fin 2015 et AURA Environnement fin 2016.

    Spec1 001Hier 20/11/2016, à Rennes, Marc-Claude de PORTEBANE a lancé - devant une trentaine de militants anarcho-écologistes et de militant-es anti-spécistes rassemblés non-loin du parlement de Bretagne, la "Section G" qui agira de façon indépendante des associations et des partis politiques dans le domaine de l'environnement et plus particulièrement les "Déchets" dans toute la Bretagne mais aussi dans la défense de la cause animale avec le soutien unanime à la cause anti-spéciste bretonne. La "Section G" sera la section "Action" de Greenbretagne. 

    La "Section G" s'est fixé pour objectif de lancer une vaste campagne médiatique bretonne qui ira de Nantes à Brest, de Quimper à Rennes en passant par Saint-Brieuc. Pas question au collectif "Greenbretagne" de se faire "doubler" sur son aile gauche ou sur son aile droite. La "Section G" veillera donc au grain.

    La "Section G" sera animé par une série de "K" responsables de zones comme "Kamarades" de 1 à 7. Exemple : dans la région de Quimper : "K5" Patrice MANIER est le Kamarade responsable de zone Bretagne-Sud de la "Section G" et de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux.

    Après son introduction en Bretagne, l'implantation d'AURA Environnement commence à fleurir comme la "Campagne des 100 Fleurs" dans toute la France.

    Paul TOP

  • Les ZADistes d'AURA Environnement anti-Usine à poubelles CSR vers Saint-Etienne s'expliquent dans la presse :

    Les ZADistes du Collectif forézien C.H.U.P.A

    (Collectif Halte Usine à poubelles vers Andrézieux-Bouthéon)

    opposé-es au projet de Méga Usine à poubelles avec du CSR

    s'installent définitivement dans le PAF Auvergnat/Rhône-Alpin !

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    Le Progrès de la Loire, édition du 08/11/2016

    L'assemblée générale des écologistes anarcho-marxistes d'AURA Environnement et des populations riveraines indépendantes de tout esprit partisan concerné-es par le projet de Méga Usine à poubelles de la Loire et visant à produire au moins 55 000 T de l'infâme CSR (Combustible solide de récupération) sur un des 2 sites pressentis à Andrézieux-Bouthéon (15 km au nord de Saint-Etienne) se précise puisqu'elle est prévue le 31/12/2016, comme ils l'ont indiqué dans l'édition du quotidien "Le Progrès" de la Loire de cette semaine.

    Le collectif C.H.U.P.A - dont le porte-parole désigné par les opposants est Marc-Claude de PORTEBANE - rassemble plus de 10 000 signatures (Internet : 3 268 signatures - Pétition papier : 7 996 signatures) est opposé au projet de méga Usine à poubelles sur pas moins de 2 sites potentiels voulus par le SYDEMER de Saint-Etienne dans le sud-Forez : la ZAIN Opéra parc international (La Fouillouse/Andrézieux-Bouthéon) et la ZA l'Orme/Les Sources (Veauche/Andrézieux-Bouthéon vers Saint-Bonnet-les-Oules). 

    Le collectif C.H.U.P.A, c'est aussi plusieurs dizaines de militant-es et de vastes soutiens issu-es de la société civile qui n'en ont jamais autant su sur la pseudo-valorisation de nos poubelles dans des projets coûteux pour les contribuables, désastreux pour l'environnement, contributeurs à la paranoïa des élu-es en France qui n'en ont que cure des citoyens de base mais qui ne reculent que devant des rapports de force avec les opposants à leurs délires de toute puissance comme à Sivens (Tarn) où, ils n'ont pas hésité la force gendarmesque CONTRE un pauvre garçon - Rémi FRAISSE - qui n'était qu'un résistant à cette saloperie de barrage ne servant qu'à servir la cause bourgeoise et capitaliste de la FNSEA et des gros propriétaires fonciers ui, EUX, n'hésitent pas à déverser leur violence contre l'Etat avec leurs remorques de fumiers divers et avariés !

    Un peu comme dans les régimes fascistes, on peut se mettre potentiellement à la place de certains élus, élus par les "Mougeons - moutons/pigeons -" qui ont aussi plus de respect que les animaux martyrisés eux-aussi : "Si tu n'es pas d'accord pour dire OUI à nos projets mégalomaniaques, on te TUERA avec des armes totalement disproportionnées. On écrasera toute contestation. Si les grenades ne suffisent pas, nous enverrons les chars pour vous écraser dans des bains de sang car nous sommes certains d'être une nouvelle caste féodale anti-républicaine qui aime déguster les petits fours et boire dans de belles coupes de champagne reposant sur de belles toiles cirées comme des parquets aux ordres du beaucoup plus fort et moins brillant que le mauvais bois dont nous ne sommes que les VRP...." !!! 

    Mais ..... ATTENTION ... au réveil populaire comme aux USA avec la colère des masses populaires ignorées qui ont élu massivement le majestueux Donald TRUMP tandis que les dominants de la mondialisation, sinistres-ministres "collabos de la bourgeoisie de droite comme de gauche", si sûrs d'eux tout en le détestant du plus profond de leur âme - s'ils en ont une, d'ailleurs - n'avaient senti venir la poubelle populaire irrémédiable en plein boomerang pour ne pas dire en pleine poire, cette poire Guyot, par exemple, ou "Tu es Belle Hélène" qui ne pollue pas notre environnement et qui est aussi aussi source, non pas de conflits potentiels avec les défenseurs de Dame nature, mais de vitamines variées dont la B, la C, la provitamine A et la carotène, excellentes pour la forme physique et intellectuelle, surtout lorsqu'il s'agit d'être en permanence vigilants vers nos vergers que nous ne voulons pas pollués par des tas d'ordures !

    Avant d'avoir été reconnu comme étant un interlocuteur fiable par le ministère de l'Environnement, le collectif C.H.U.P.A a dû multiplier les actions militantes, les contacts loyaux avec presque tous les élu-es des 600 000 habitants de ce territoire du Sud-Forez qui coupe pratiquement le département de "La Loire" en 2, les multiples tractages pratiquement tout seul, l'occupation du terrain médiatique permanent et ce, nonobstant la dictature de l'information que lui a opposé le SYDEMER puisque le collectif C.H.U.P.A a dû saisir plusieurs fois la CADA et aussi en faisant fi aux nombreuses "menaces" de certains élus qui ont même publiquement proposé de déchirer la pétition de la colère populaire du Sud-Forez en ne la désirant absolument pas dans leurs mairies !

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    Marc-Claude de PORTEBANE, président d'AURA Environnement :

    - porte-parole de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux

    - porte-parole du Collectif C.H.U.P.A reconnu comme interlocuteur fiable par

    le ministère de l'Environnement et reçu par le directeur cab' préfet 42

    - porte-parole de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux

    - président de la commision "Déchets" à la Fapel22 (Bretagne, Côtes d'Armor).

    Après la période estivale 2016, le collectif C.H.U.P.A a déclenché - dans le plus grand secret - l'opération "Comment Yukong déplaça les montagnes", en clair, appliquer cette doctrine de Mao tsé toung : "Prendre sa résolution, ne reculer devant aucun sacrifice, surmonter toutes les difficultés pour remporter la victoire".

    Le représentant infaillible du collectif C.H.U.P.A a donc écrit au président du SYDEMER pour lui dire qu'il était au "parfum" des fouilles archéologiques réalisées par l'INRAP de Lyon sur la ZAIN Opéra parc international alors que personne n'en parle, que ce soit dans les medias ou chez les politiciens parce que là, le porte-parole du collectif C.H.U.P.A, on en a marre et plus que marre qu'il aille fouiner, fouiner et encore fouiner avec le soutien des ouvrières et des ouvriers comme des intellectuels ; qu'il veuille s'installer lui et son collectif pendant des décennies à Andrézieux-Bouthéon et sa région ; qu'il soit réputé unanimement comme non-violent ; qu'il soit pour la réthorique pacifiste et contre la violence de certains casseurs qui viennent uniquement pour "casser du flic pour juste casser du flic" à longueurs de journées en buvant de la bière et en fumant des joints et qui, finalement, désservent les causes légitimes des populations locales vite abandonnées puis soudainement exposées aux mesures de rétorsion des potentats locaux ; qu'il ait le toupet d'avoir le soutien des populations locales et riveraines de toutes les causes de défense de l'environnement et de protection des animaux ; que par-dessus le marché qu'il veuille, maintenant, constituer une ZAD (Zone à défendre) calquée sur celle de Notre-Dame-des-Landes mais verrouillée, de surcroît, par la discipline marxiste et plus précisémment maoïste issue de la Ligne de masse qui n'a que pour unique objectif de "Servir le peuple" via "Le petit livre rouge" qui prône l'auto-éducation idéologique ; qu'il soit un militant "endurci" par plus de 30 ans de militantisme que ce soit à Greenpeace, chez les autonomes anti-THT de Basse-Normandie, chez les antinucléaires, chez les anti-CSR qui risquent d'être brûlées dans des chaudières utilisant de la Biomasse comme vers Pierrelate pour alimenter potentiellement le réseau chaleur de la Ferme aux crocodiles ; qu'il veuille aussi prendre la défense de ce boeuf retrouvé écartelé face au bitume à Rethel dans les Ardennes ; qu'il soit un opposant irréductible du Combustible Solide de Récupération (CSR) issu de plus de 155 000 T de nos DMR (Encombrants résiduels, autres déchets résiduels, OMr + refus CS) du Sud-Forez et qui risque d'être produit dans les prochaines années sur une des 2 zones vers Andrézieux-Bouthéon ; qu'il soit opposé au "Jus en excès" issu de la méthanisation des autres déchets organiques en se posant les bonnes questions comme quelle quantité de "jus", comment sera traité ce fameux "jus" et dans quelles conditions et que deviendront les résidus de combustion des CSR ; qu'il vienne de recevoir tout dernièrement un "appel de détresse" de Marc ACTIS, le président de l'association "Accueil & Qualité de vie" qui est opposé au projet de nouvelle prison dans sa commune de Saint-Bonnet-les-Oules voisine d'Andrézieux-Bouthéon et ce, non loin de la ZA l"Orme/Les Sources.... ici même où le projet de Méga Usine à poubelles du SYDEMER risque bien de produire et de commercialiser 55 000 T de cet infâme CSR (qui produit des dioxines et des furannes pendant la combustion) à des cimentiers comme Lafarge mais aussi des entreprises locales du département de la Loire, et de surcroît alimentaires surnommées par le SYDEMER comme "Partenaires" et présentées comme "Gros consommateurs", à l'exemple - entre autres - de LUSTUCRU FRAIS (Lorette), de NATRA ZAHOR FRANCE (fabrication de cacao et chocolat à Saint-Etienne), de la FROMAGERIE GUILLOTEAU (à Pélussin), des SALAISONS DE LA BRECHE (préparation industrielle de produits à base de viande à Saint-Just-Saint-Rambert) ou d'une autre marque totalement prestigieuse comme CANDIA (basée à La Talaudière), etc.... 

    Poire 114Car lorsque l'on voit les photos prises cette semaine par AURA Environnement et les militants du collectif "Greenbretagne" à Saint-Martin-des-Champs (Morlaix, Bretagne) et qui montrent clairement et de façon nette et précise comment sont stockées à l'air libre ces balles éventrées de CSR chez Guyot Industries (Guyot Environnemment) sur le site de la ZI de Kérolzec, il y a du souci à se faire quant aux pollutions potentielles de la petite rivière "La Pennelé" surtout lorsque l'on observe que les services de l'Etat semblent archi débordés comme l'ONEMA ou la Dréal dans le Finistère pour ne pas verbaliser ce qui avait déjà été dénoncé - également -, fin 2015, par l'association ROBIN des BOIS de Paris alors que les associations environnementales bretonnes comme "Bretagne vivante", "Eaux et Rivières de Bretagne" ne se préoccupent absolument pas des risques potentiels et inadmissibles sur la qualité de l'environnement dans le Finistère, pour ne parler que de ce département !!!

    Le CSR, parlons-en mesdames et messieurs les élu-es ! On en VEUT pas de cette saloperie ni à Morlaix, ni vers Pierrelatte, ni vers Saint-Etienne, ni vers Paris, ni partout ailleurs !

    Poire 116Une visite "officielle" du site de Kérolzec est organisée le 07/12/2016 par l'exploitant "Guyot Environnement" avec les représentants de "Bretagne vivante" de Brest et de Morlaix, de l'association "Eaux et Rivières de Bretagne", d'autres associations mais pas d'AURA Environnement et de Robin des Bois.

    Inutile de vous préciser que "Bretagne vivante" et "Eaux et Rivières de Bretagne" perçoivent de grosses subventions de la part de la Région Bretagne, ce que n'avait d'ailleurs pas hésiter à dénoncer le collectif "GreenBretagne" et "AURA Environnement" dans une pétition qui a fait un "carton" et qui a recueilli, pour l'instant, plus de 23 000 signatures depuis le 14/08/2016 : http://www.mesopinions.com/petition/animaux/stop-extension-usine-intolerable-cochons-landunvez/24312

    Le porte-parole du collectif C.H.U.P.A, a donc pris sa plume corrosive, le 28/09/2016, pour écrire au président du SYDEMER dont le siège est dans les locaux de Saint-Etienne Métropole (Loire, Région Auvergne/Rhône-alpes) en lui précisant 5 points importants pour ne pas dire cruciaux :

    1- "....En effet, l’INRAP a effectivement conduit une fouille à l'endroit que nous lui avons indiqué (au SO, en face du nouveau stade « L’envol Stadium » mais plus au sud). Ce travail de Post-fouilles en est à ses débuts. L’INRAP a pu mettre en évidence une série d'occupations humaines à caractère rurales qui permettront à terme de reconstituer un historique de l'occupation humaine sur place sur une durée de près de 2000 ans de l'âge du Bronze à l'Antiquité"...

    2- "Je demande que cet élément nouveau soit pris en considération, dans le cadre des études sur le choix du site, par le SYDEMER que vous présidez."

    3- "J’en profite également pour vous demander, une nouvelle fois, les rapports du bureau d’études sur les comparaisons des différents sites retenus (L’Orme/Les Sources à Andrézieux-Bouthéon, Borde Matin à Roche-la-Molière, Z.A.I.N Opéra Parc International sur les communes d’Andrézieux-Bouthéon/La Fouillouse)."

    4- "Ces documents sont indispensables pour que les associations et les riverains puissent se faire une vraie opinion des critères pris en compte sur le choix du site de la future « Usine à poubelles » Méthanisation/CSR."....

    5- "Je vous rappelle votre devoir de transparence vis-à-vis des populations locales depuis la création du SYDEMER et sa démarche de concertation".

    Avec les preuves accablantes que nous disposons sur le site de stockage de Kérolzec vers Morlaix, toutes les collectivités qui voudront produire du CSR ou qui envoient déjà vers les cimentiers qui ne courrent pas les rues cette infâmie créee par l'être humain devront s'attendre à trouver la RIPOSTE des défenseurs de la nature martyrisée !

    Le stockage du CSR est mal géré en France ! Il doit être dénoncé et l'Ademe doit se pencher sur la question au lieu d'attribuer de colossales subventions au nom du contribuable à des firmes qui semblent n'avoir rien à "cirer" de l'environnement !

    Une couche de peinture verte sur un camion, un logo, une enseigne, un mur d'entreprise ne semble être qu'une ignoble farce pour notre environnement proche qui récolte la misère - pas seulement dans le Finistère - d'endroits (pourtant classés comme ICPE - Installlations Classées pour la Protection de l'Environnement -) soit-disant protégés par des enquêtes publiques que nous n'avons de cesse de dénoncer comme étant des "parodies" car malheureusement, les élu-es de droite comme de gauche s'aventurent dangeureusement sur le chemin de la "Dictature" de type facilement "absolutiste" sans partage et sans limite, en ne voulant SURTOUT pas de concertation directe avec les populations locales et les riverains parce qu'elles/ils ont peur des réactions épidermiques des gens comme le camarade incontrôlable Marc-Claude de PORTEBANE qui préfère mourir debout que de mourir couché et qui "fout la merde" depuis plus de 30 ans contre ces élites méprisantes et leurs projets de porcheries industrielles, leurs projets de centre de vivisection, leurs projets d'usines à méthanisation ou leurs projets de méga usines à poubelles qui sont, la plupart du temps des "gouffres à pognon" pour les gloutons de l'empire capitaliste qui commence d'ailleurs par s'effriter devant la Résistance populaire, qu'elle soit anarcho-marxiste ou tout simplement apolitique et ce, afin de consolider de ce qu'il reste de cette République française que le nouveau président américain, Donald TRUMP accuse de "n'être plus la France" !

    Paul TOP    

    Article paru dans l'Idiot provincial : http://l-idiot-provincial.e-monsite.com/blog/collectif-halte-usine-poubelles-vers-andrezieux-boutheon-loire/les-zadistes-d-aura-environnement-anti-usine-a-poubelles-csr-vers-saint-etienne-s-expliquent-dans-la-presse.html

  • Usine à poubelles Guyot Industrie à Saint-Martin-des-Champs : CSR éventré mais pollution rivière La Pennelé ?

    AURA Environnement demande une

    inspection fissa de la Dréal de Finistère ?

    Que font les services de l'ONEMA du Finistère

    chargés de la police de l'eau ?

    Quelle est la qualité de l'air à Morlaix ?

    Img 9483

    AURA Environnement est allé, hier matin 08/11/2016, prendre quelques clichés des balles de CSR à Saint-Martin-des-Champs sur le site de stockage de Guyot Industrie implanté ZI de Kerolzec, dans la banlieue de Morlaix dans le nord du Finistère où tout n'est pas encore tout fini.

    Img 9449

    Les balles de CSR issues des OMR s'écoulent sur le sol non loin de la rivière "La Pennelé".

    Img 9450Qu'en pensent les pêcheurs de l'AAPPMA de Morlaix ?

    Img 9451Qu'en pense Bruno LE ROUX, coordinateur régional de l'ONEMA en Bretagne ?

    Qu'en pense le service des ICPE de la préfecture du Finistère à Quimper ?

    Qu'en pense la Dréal du Finistère ?

    Img 9446

    Pourquoi ce gros tas de déchets à même le sol ?

    Qu'en pensent les administrateurs des associations environnementales comme les sections de "Bretagne vivante" de Brest et de Morlaix qui viendront faire une visite sympa des lieux, le 07 décembre 2016 et qui la "ferment" sec en devenant plutôt "Bretagne morte" ?

    Qu'en pensent Guillaume HOEFFLER, le chef du service "Eau & Biodiversité" et son directeur général à la DDTM 29, Philippe CHARRETON ?

    Poire 114

    Nous attendons également - avec impatience - les photos d'un huissier du Finistère-Nord - que nous avons contacté - et qui s'est également rendu sur les lieux hier !

    Les choses ont-elles évolué depuis les photos que nos camarades de ROBIN des BOIS avaient déjà effectué des photos sur ce site fin 2015 : http://www.robindesbois.org/kermaroc-n2/

    Qu'en pensent les amoureux de la nature et des randonnées pédestres ?

    Qu'en pense-t-on à l'Office de tourisme de Morlaix ?

    Qu'en dira-t-on à la CCI et du côté des investisseurs qui voudraient investir dans la région de Morlaix et plus précisémment à Saint-Martin-des-Champs ?

    A suivre et nous verrons bien si le télégramme au Canard enchaîné suivra ou pas puisque le journal Le Télégramme de Morlaix n'en pipe pour l'instant pas un mot !

    Dans toute cette histoire, mais que vont donc devenir nos petits poissons chéris ?

    Camarades de la Protection Animale (P.A) - avec le soutien de la Fondation Brigitte Bardot et de 30 Millions d'amis ou de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux, si ils/elles le désirent - EXIGEONS TOUTE la vérité à Saint-Martin-des-Champs à côté de Morlaix dans le Finistère !

    MOBILISONS-NOUS ! Défendons notre nature et nos animaux à Saint-Martin-des-Champs !!!

  • Projet Usine à poubelles CSR à Andrézieux-Bouthéon : Opération tractage pour la rentrée scolaire 2016 des opposants du Collectif ZADiste CHUPA !

    Les militan-tes du Collectif CHUPA

    (Halte Usine à poubelles CSR à Andrézieux-Bouthéon)

    maintiennent la pression contre l'implantation de cette future Usine à poubelles 

    dans leur commune en distribuant plusieurs tracts ce matin

    devant l'école Jeanne d'Arc à Andrézieux-Bouthéon !

    Jarcand 025Une douzaine de militant-es du Collectif CHUPA et de l'association environnementale "AURA Environnement" ont distribué, de façon pacifique, plusieurs dizaines de tracts afin de dénoncer le projet du SYDEMER de Saint-Etienne qui pourrait installer une potentielle future Usine à poubelles (Méthanisation + production de CSR) sur 2 zones de la communes d'Andrézieux-Bouthéon : L'Orme les Sources et la ZAIN Parc Opéra International.

    Jarcand 016Petit rappel : le collectif ZADiste CHUPA est soutenu par plus de 10 000 personnes au travers ses pétition (3253 signatures internet et plus de 7 000 version papier).

    Lien : http://www.mesopinions.com/petition/politique/halte-usine-poubelles-za-vers-andrezieux/15574

    La lutte continue.

  • Bretagne : avec plus de 21 000 signatures la pétition du Collectif COGB contre Usine à poubelles CSR et Usine à porcs cartonne !

    En 12 jours, la pétition du collectif COGB (Greenbretagne)

    donne un "coup de pied" dans le "panier de crabes" breton

    en récoltant plus de 21 800 signatures de révoltés contre extension

    Usine à cochons, pollution Usine à poubelle fabrication CSR !

    La pétition de Marc-Claude de PORTEBANE intitulée "Stop à l'extension d'une usine intolérable à cochons à Landunvez, stop à la pollution de l'usine à poubelles vers Morlaix (Finistère), stop à la construction d'une usine à poubelles à Ploufragan (Côtes d’Armor) !" lancée après le 14/08/2016 rencontre un véritable succès au niveau national mais aussi à l'international comme par exemple au Maroc, où le potentiel envoi de CSR (Combustible Solide de Récupération) issu des poubelles bretonnes semble déchaîner les foules.

    Lien de la pétition : http://www.mesopinions.com/petition/animaux/stop-extension-usine-intolerable-cochons-landunvez/24312

    A suivre donc avec délectation cette "Campagne des 100 fleurs" sur le terrain du militantisme pour connaître nombre de vérités dont ces subventions attribuées par la Région Bretagne à des associations environnementales (Bretagne Vivante, Eaux et Rivières..... pour plusieurs centaines de milliers d'euros)....