Drôme

  • Question droiture fac de droit Jean Monnet #Saintetienne : Véolia peut mentir à vie décharge Chatuzange-le-Goubet ?

    Bobards en série aux populations locales

    proches de la décharge ONYX-VEOLIA

    de Chatuzange-le-Goubet depuis 2012 !

    Qu'en pense le doyen Jean-Baptiste BONNET

    de la faculté de droit "Jean Monnet" de Saint-Etienne ?

    Veolia chatuz drome hebdo 3

    A l'extérieur du campus en ces mauvais temps de Covid-19, prière de mettre le masque.... pour mieux en rire de ce qu'il se disait en 2012 dans la presse locale de Chatuzange-le-Goubet.

    Ces polémiques faisaient suite à une pétition - version papier - lancée par les populations locales de la décharge mal gérée d'ONYX-VEOLIA et la presse locale soutenait mordicus l'exploitant et la mairie au détriment de la qualité de vie des citoyens.

    Quels contrepoids disposent donc les riverains d'une décharge qui disperse de continuelles nuisances lorsque les medias se font le chantre du capitalisme ?

    Nuisances veolia chatuz drome hebdo 4

    AURA Environnement a donc décidé de lancer l'offensive en apportant son total soutien au collectif CDFEC (Collectif de Défense de l'Environnement à Chatuzange-le-Goubet) pour que le projet de prolongation et d'extension de la décharge ONYX-VEOLIA ferme définitivement ses portes au 31/12/2021.

    Veolia chatuz l impartial 1Le CDFEC qui rassemble plus d'une centaine de militant-es a le soutien des populations locales ulcérées par la pollution visuelle, l'envol des plastiques et les odeurs nauséabondes d'une décharge qui longe l'autoroute A49 !

    RIPOSTE au capital !

    PLUIE de MISSIVES sur Chatuzange-le-Goubet :

    AURA Environnement déclenche l'opération

    "Tonnerre d'Hiver" !

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    Répondant au désespoir des camarades du collectif de Défense de l'Environnent de Chatuzange-le-Goubet (CDFEC) - indépendant et apolitique - qui désirait une contre-attaque, AURA Environnement a donc déclenché l'opération "Tonnerre d'Hiver" (nom de code : eigne1005) sur tout le territoire de la commune de Chatuzange-le-Goubet.

    Eigne1005 b

    Plus de 3 000 tracts ont surgi dans les boites aux lettres des habitant-es de la commune les informant de l'offensive surprise lancée par nos camarades drômois du CDFEC et surtout de ce qui les attendait pour les 23 années à venir et ce, jusqu'au 31/12/2043, alors qu'en 2012, "Drôme Hebdo" du 25/10/2012 affirmait que "Le site ne va pas s'aggrandir, c'est faux, il va même fermer en 2022" tandis que les riverains exprimaient leur ras-le-bol de toutes ces nuisances. 

    "Drôme Hebdo" parlait même d' "une prétendue extension du site", comme si les habitants locaux étaient desinformés ! Un comble ! A quoi bon faire des études de droit ?

    Or, l'arrêté préfectoral (n° 26-2020-07-09-002) signé par le préfet de la Drôme le 09/07/2020 vient justifier les craintes des populations locales. Prolongation de la décharge : oui. Extension de la décharge : oui. Projet de pont autoroutier : oui. Encore des odeurs : oui. Encore des envols de plastiques : oui. Nuisance visuelle : oui. Dégradation du cadre de vie : oui. Encore plus d'enfouisssements de déchets : oui. Possibilité de tonnages supplémentaires : oui.  Nouvelles rondes infernales de camions : oui. Encore un nouveau casier, cette fois de l'autre côté de l'A49 et encore plus proche des maisons d'habitations : oui. Nouvelles nuisances sonores : oui. Ambroisie en alerte danger : oui. "Bip bip" de recul des engins lourds : oui. Nuisances sonores des tirs de minage et leurs terribles vibrations 1 à 2 fois/jour : oui......

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    ........Stress lié à la transmission des vibrations par le sol : oui. Privation du monde agricole de 17,2 ha de terres cultivables de bonne valeur agronomique, au nez et à la barbe de la CDPENAF (Commission départementale des espaces naturels agricoles et forestiers) : oui. Risque potentiel d'impact du réseau d'irrigation du canal de la Bourne exploité par le Syndicat d'Irrigation Drômois (SID) : oui. Ecopâturage par nos camarades moutons sur les surfaces végétalisées remplies de poubelles : oui. Rafales de vent du Nord sur le futur casier J soufflant en direction de l'A49 : oui. Lixiviats : oui. Le "Pôle Stockage Energie" est-il juste un nom commercial donné au site d'ONYX ARA-VEOLIA à Papelissier, au 810 chemin des Taillandiers à Chatuzange-le-Goubet : oui. Dialogue de sourds avec les riverains depuis les années 2010 : oui. Contestation de l'arrêté préfectoral au tribunal administratif de Grenoble : ENFIN OUI !

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    Ensuite, AURA Environnement a lancé une pétition (internet et papier) qui récolte à ce jour plus de 60 000 signatures en même pas 1 semaine : AU SECOURS nos ânes de Chatuzange-le-Goubet. STOP à l'extension de la décharge à poubelles ONYX-VEOLIA (26) ! https://www.mesopinions.com/petition/animaux/secours-nos-anes-chatuzange-goubet-stop/108012

    Le Covid-19 et les mesures de sécurité - dont la distanciation sociale - imposées aux citoyens nous ont empêché de manifester en masse devant la mairie de Chatuzange-le-Goubet.

    Nous appellons les masses populaires qui nous soutiennent à opter pour une manifestation virtuelle sur les chemins de Chatu, le 08 novembre 2020 à 10h !

    Camarades laboureurs de votre avenir, avançons vers la victoire à Chatuzange-le-Goubet ! .

  • Chatuzange-le-Goubet : le Collectif CDFEC s'oppose à l'extension de la décharge d'ONYX-VEOLIA !

    Le CDFEC se mobilise

    (Collectif de Défense de l'Environnement à Chatuzange-le-Goubet)

    et s'opposera au projet d'extension intolérable

    de la décharge d'ONYX-VEOLIA !

    Plastiks 2

    Le CDFEC (Collectif de Défense de l'Environnement à Chatuzange-le-Goubet) né de la fusion avec le Collectif Halte Décharge Veolia Chatuzange-le-Goubet (CHDVC), soutenu par AURA Environnement, a décidé de s'opposer au projet d'extension de la décharge rajeunie en "pôle stockage énergie d'ONYX-VEOLIA" à Chatuzange-le-Goubet, où les odeurs et les envols de plastiques divers sont insupportables au quotidien pour les riverains.

    Cette décharge qui dispose d'une autorisation d'exploiter jusqu'au 01/01/2022 assure vouloir un projet de continuité - dont est défavorable le CDEFC - en ne prenant pas en compte les enjeux locaux de traitement des déchets.

    Par leur transformation et valorisation en électricité, ce "pôle de stockage énergie" ne relèvera pas vraiment les défis de la transition énergétique et de l'économie circulaire puisque les odeurs persistent.

    Très attentif sur le suivi du ruisseau de la "Béaure" qui draine la nappe de la molasse à l'est de ce pôle, le CDEFC, en vérifiant plusieurs analyses, a constaté qu'il faisait l'objet d'un suivi trimestriel en amont et en aval du site. Ce suivi réalisé par le laboratoire d'analyses de la Drôme permettrait ainsi d'appréhender les éventuelles contaminations pouvant sortir du flanc est du site (anciens dépôts). Nous ne lâcherons donc rien sur l'innocent "Béaure" !

    En ce qui concerne les odeurs, le CDEFC a pu constater qu'elles continuaient d'augmenter cet été 2020 en dépit des évolutions réglementaires, alors que l'exploitant assure que des vannes de régulation automatisées et connectées aux prévisions météorologiques devraient être installées. Elles devraient permettre un réglage et une optimisation du réseau de biogaz pour anticiper les nuisances olfactives, alors que ce n'est pas le cas de nos jours !!!!

    Le CDEFC a relevé d'immondes perceptions d'odeurs et d'envols de plastiques sur l'autoroute reliant Romans à Grenoble et qui longe cette décharge.

    Le CDEFC a demandé à AURA Environnement pour qu'elle intervienne auprès du préfet de la Drôme afin que cessent ces envols de plastiques, qui, portées par les vents violents, sont nuisibles pour les populations locales et les automobilistes.Img 8635 b 1

    Ainsi, le 04/04/2018, AURA Environnement, après avoir constaté des envols de centaines de plastiques sur l'A49 écrivait à AREA..

    En effet, le 15 mars 2018, nous étions parti de Valence en direction de Grenoble via l’autoroute A 49, avant le centre de péage n° 9 de Chatuzange-le-Goubet et nous avions observé des milliers de sacs plastique longeant la décharge ONYX-VEOLIA, non loin du lieu-dit « Pourcieux », comme on pouvait le constater via nos photos. Plusieurs sacs plastique s'étaient retrouvés sur notre pare-brise. Ce qui n’est pas normal et particulièrement dangereux.

    Nous demandions à AREA s’il existait un plan de collecte des déchets qui s’envolent d’ONYX, si des pénalités existaient dans ces cas de pollution visuelle et environnementale, combien de fois cela se reproduisait-il dans une année, quelles sanctions AREA envisageait de prendre en cas de récidive ? Des accidents se sont-ils déjà produits à cet endroit à cause de ces envols ?

    Lassé d'attendre une réponse qui ne venait pas, le 25/08/2020, le président d'AURA Environnement écrivait directement aux actionnaires américains d'APRR (Bron - Rhône-), le gestionnaire du réseau via sa filiale AREA (Saint-Marcellin - Isère -) :

    "Vous vous êtes bien gardés ne pas donner suite à notre courrier (photos à l’appui), du 04/04/2018 vous alertant sur les dangers encourus par les conducteurs de véhicules concernant les envols de plastiques longeant la décharge ONYX-VEOLIA, non loin du lieu-dit « Pourcieux », et ce, de Valence en direction de Grenoble via l’autoroute A 49, avant le centre de péage n° 9 de Chatuzange-le-Goubet,

    Pourtant, lors d’une réunion dans la Drôme, le 22/05/2018, j’ai rencontré Mr RIVAT de VEOLIA qui m’a bien confirmé que vous lui aviez fait part de nos observations sur ces envols inadmissibles. Il semblerait d’ailleurs que les contrôles des envols de plastiques par l’UT Dreal Drôme-Ardèche n’aient pas été suffisamment effectués, car comment expliquer que des milliers de plastiques puissent joncher votre l’A49 dont vous en avez la concession via le consortium Eiffarie (Eiffage + Macquarie) ?

    Comme vous ne voulez toujours pas nous répondre, j’ai écrit au préfet de la Drôme, le 15/08/2018, tout juste après le dramatique incident du pont de Gênes en Italie, pour lui faire part de votre attentisme plutôt inquiétant.

    D’autant plus que vous n’êtes pas sans savoir que la société ONYX Auvergne-Rhône-Alpes de Vaulx-en-Velin, vient de demander la recevabilité de sa demande d’autorisation d’extension aux services de l’Etat, de sa décharge de Chatuzange-le-Goubet, classée en ISDND.

    La société ONYX Auvergne-Rhône-Alpes (ONYX ARA) appartient à part entière à la société VEOLIA Recyclage et Valorisation des Déchets (RVD), qui appartient à part entière au groupe VEOLIA.

    Cette décharge accueille actuellement des déchets non-dangereux ultimes de la Drôme, de l’Ardèche, de l’Ain, de l’Isère, du Rhône, de la Savoie et de la Haute-Savoie dans des zones de stockage dites « casiers » qui sont le A, B, C , D,E, F, G et H. Seul le casier H est encore en exploitation car il a été autorisé jusqu’au 01/01/2022 par arrêté préfectoral du 23/03/2004 pour un apport maximal de 180 000 T/an.

    Dans ce dossier de recevabilité par les services de l’Etat dans la Drôme, VEOLIA indique qu’un pont est nécessaire sur l’autoroute A49, pour l’exploitation du futur casier J (Phase 3, exploitation de ce casier pendant 9 ans, implanté au Nord de l’autoroute A 49, donc nécessitant la réalisation d’un ouvrage de franchissement de cette autoroute…).

    Dans la présentation de son projet d’extension de sa décharge sur des terrains agricoles, VEOLIA précise qu’il s’est rapproché de la société AREA « pour la signature d’une convention bipartite pour la réalisation des études, de la construction et de l’entretien du pont enjambant l’autoroute A 49 ».

    Au vu de nos constats d’envols de plastiques sur les pare-brises des utilisateurs de votre A 49, nous ne pensons pas que VEOLIA fasse pleinement bénéficier la société ONYX ARA de son « savoir-faire » et de ses capacités en matière de gestion des déchets, notamment en matière de tri, de collecte, de recyclage ou de stockage, puisque les plastiques s’envolent et pullulent dangereusement sur une autoroute dont la devise est « Nous sommes là » !!!

    Je suis vraiment désolé, mais vous n’êtiez pas vraiment là lorsque nous avons constaté ces envols de plastiques sur l’A 49, en ces jours de vents mauvais de début de printemps 2018.

    Puisque vous n’êtes pas réactifs à nos alertes sur les dangers encourus par vos usagers de l’A49, une copie de ce courrier sera adressée au Pdg Benoît de RUFFRAY et aux actionnaires d’Eiffage ainsi qu’au groupe MACQUARIE via le service aux actionnaires de BNY Mellon à Pittsburg aux Etats-Unis.

    Nous vous alertons sur les dangers encourus par la construction d’un tel pont enjambant l’A 49 pour rejoindre le potentiel futur casier J qui aura notamment, les caractéristiques suivantes : surface 7 000 m² ; longueur 220 m ; largeur minimale 23 m ; pente uniforme de 5% vers le Nord-Ouest.

    En effet, au vu de ce qui vient de se passer à Gênes, nous demanderons au tribunal administratif de désigner des experts afin d’intégrer pleinement l’évaluation de la stabilité du casier J, en phases d’exploitation et de post-exploitation en terme de conditions normales et sous séisme du fait de la proximité immédiate de cette autoroute A 49.

    Le projet de pont sur l’A 49 est projeté pour être implanté dans un contexte géologique et hydrologique potentiellement dangereux, notamment dans une zone qui sera implanté dans des formations alluvionnaires surmontant les mollasses.

    AURA Environnement met en garde les utilisateurs de cette autoroute A 49 et sur ce projet d’étude de faisabilité entre le concessionnaire autoroutier AREA et VEOLIA, tout cela parce que la société VEOLIA veut faire encore plus d’économies afin, notamment,  de conserver les infrastructures existantes à l’exploitation de ce casier J, alors que les autres casiers sont déjà MAL gérée par ONYX qui ne respecte déjà pas ses obligations de sécurité des usagers de votre autoroute A49 qui est déjà la « poubelle » autoroutière de la Drôme, grâce à l’incompétence d’ONYX-VEOLIA !

    Comment ne pas s’interroger sur le trafic actuel incessant non loin du quartier des Blaches situé au Nord-Ouest de la décharge de Chatuzange-le-Goubet (61 camions/jour de livraison de déchets + 5 camions/jour de déchets inertes + 45 camions/jour pour l’évacuation des déchets) ?

    AURA Environnement mettra toute son énergie en venant à l’aides des populations locales ulcérées par ce projet de pont autoroutier qui desservira ce casier J dont la partie Nord est à 600 m au Sud-Est d’une ZNIEFF de type 1 dite  le « Confluent de la Joyeuse et de l’Isère » et en partie à l’intérieur d’une ZNIFF de type II dite la « Zone fonctionnelle de la rivière Isère en aval de Grenoble », sans compter l’inventaire des papillons où les services de l’Etat ont relevé 42 espèces, (Enjeu considéré comme très fort), dont une protégée : l’azure du serpolet, classée en liste rouge !!

    En ce qui concerne les risques technologiques et le transport des matières dangereuses, il n’est pas question de faire prendre des risques d’accident majeur aux usagers d’AREA au cas où un camion se retournerait ou en heurterait un autre sur ce projet de pont enjambant l’autoroute A 49. Or, il a été à déplorer déjà deux déversements de lixiviats, l’un en 2010 (dans le canal de la Bourne) et l’autre en 2013 (renversement d’une citerne de transport, lors d’un accident de la route : déversement de lixiviat sur le bas-côté).

    Sans compter que VEOLIA, en retour « d’expérience » (Sic) de l’actuelle décharge de Chatuzange-le-Goubet reconnaît – dans sa demande d’autorisation d’extension aux services de l’Etat – que les incendies constituent les évènements principaux affectant les installations de traitement et d’élimination des déchets, suivis par les rejets de produits dangereux, puis les explosions (stockage de déchets interdits explosibles, ou fuite de biogaz).

    Depuis 2007, 8 départ de feu sont survenus dans le casier de stockage en cours d’exploitation (Source VEOLIA).

    Quelles incidences en terme d’accidentologie pour le futur pont enjambant votre autoroute A 49 ?

    Toujours en terme de retour « d’expérience » (Sic) de l’actuelle décharge de Chatuzange-le-Goubet, VEOLIA reconnaît qu’un autre facteur de risque est « constitué par le vent, compte-tenu de la proximité de l’autoroute A 49 » puisque que « des envols de déchets pourraient en effet provoquer un accident ».

    C’est exactement ce qu’AURA Environnement vous a dénoncé dans notre courrier du 04/04/2018. Vous avez préféré ne rien dire, façon « à l’italienne » : on ne répond que lorsque que l’on est acculé par la presse, le gouvernement, les populations, uniquement lorsqu’il y a des dizaines de morts sur une autoroute européenne ?

    Avec les photos d’envols de plastiques en masse sur l’A 49 qu’AURA Environnement a envoyé à AREA, nous ne pouvons qu’émettre un sérieux doute sur les mesures mises en œuvre par VEOLIA pour prévenir ce risque majeur avec la mise en place de filets pare-envols troués ou tout simplement pliés sous l’effet des vents forts !!!

    Après le dramatique accident du pont de Gênes, AURA Environnement a demandé au préfet de la Drôme, de rassurer les populations locales de Chatuzange-le-Goubet, sur le projet de collecteur de biogaz sur ce projet de pont envisagé sur l’A 49 :

    - Comment sera assurée sa protection physique ?

    - Les vannes automatisées seront-elles asservies à un capteur de pression ?

    - Que se passera-t-il en cas d’affaissement de ce pont enjambant l’A 49, en cas de rupture du collecteur de biogaz ?

    - Est-il normal de faire passer sur la tête des usagers de l’A 49, à hauteur de Chatuzange-le-Goubet, un collecteur de biogaz susceptible de n’être pas isolé par une intervention humaine ?"Reponse area 4

    Et ce n'est que le 06/09/2018 qu'AREA nous répondait !!

    Il est clair que notre mail du 04/04/2018 à AREA avait fait réagir VEOLIA qui parle de "fait" plutôt "exceptionnel" comme si c'était la première fois que les envols de plastiques, c'était de la faute du vent et du manque de prévisions de la préfecture de la Drôme !!!

    Reponse veolia 1aLe rapport de l'enquête publique (EP) dirigée par le commissaire enquêteur (CE) Jacques FINETTI, dans ses conclusions motivées est éloquent concernant les envols d'éléments légers. 

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    Le projet d'extention phase 3 (casier J) sans le pont sur l'A49

    Documents, Photos © AURA Environnement

    En effet, un commentateur (dont le nom n'a pas été publié, indique : "Différentes mesures sont proposées pour limite les envols. Pour autant on sait qu'il très difficile de les supprimer totalement. La position du casir J situé au nord et sous le vent du nord par rapport à l'autoroute A49 me paraît préoccupante (risques pour la circulation autoroutière en cas d'envolement massifs).....".

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    Mr et Mme X parlent de leur enfer quotidien : "Depuis notre arrivée création du casier actuel; extraction de matériaux, poussières, tirs de mines qui font trembler le sol et les habitations, des milliers de tonnes de déchets, odeurs, envolements... pour une échéance en 2022. Projet présenté : 2022-2024 on remet une couche sur le casier existant. 2024-2032 on ceruse de nouveau, des milliers de tonnes de déchets avec les effets que nous connaissons. 2032-2042 cerise sur le gâteau on franchit l'autoroute et on recommence. Aucune compensation malgré la proximité du site et dévalorisation de l'habitat. Lors d'une réunion avec Véolia on nous promet que par des propos bien argumentés.....".

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    L'actuelle décharge d'ONYX-VEOLIA à Chatuzange-le-Goubet....

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    Les mêmes réjouissances pour les riverains après 2022 ???

    Decharge veolia fa2 aura environnement 1

    Bonjour les dégâts : du 01/01/2020 jusqu'au 31/12/2021 : 180 000 T/an

    Du 01/01/2022 jusqu'au 31/12/2024 : 150 000 T/an

    Du 01/01/2025 jusqu'au 31/12/2043 : 90 000 T/an

    Cerise sur le gâteau : Sur demande de l'exploitant, la décharge sera

    autorisée à 50 000 T/an supplémentaires à partir du 01/01/2025 !!!

    (Source : Arrêté préfectoral n° 26-2020-07-09-002 du 09/07/2020)

    Sur l'impact environnemental, la Frapna pose les bonnes questions : "Le site du projet est très proche et se rapproche encore dans son évolution, des habitations. L'impact sanitaire de l'équipement sur les populations est-il évalué ? Sur quels critères, sur quel échantillon de population, avec quel suivi ? ".

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    Dommage que la FRAPNA ait approuvé la demande d'autorisation d'extension de cette décharge d'ONYX-VEOLIA à Chatuzange-le-Goubet, lors du CODERST du 16/06/2020 ! Si on ne peut plus compter sur les associations environnementales de la Drôme !

    Il n'y a bien qu'AURA Environnement pour s'y être opposé depuis le début en ayant demandé de maintes fois le programme du CODERST à la préfecture de la Drôme !

    Les réjouissances à venir pour les riverains :

    Casier H (Uniquement la réhausse à compter du 01/01/2022, en tant que simple poursuite d'exploitation) : Surface à la base, hors digues : 60 000 m² ; Capacité de stockage : 300 000 m3...

    Casier I : Hauteur des déchets : 40 m ; Capacité de stockage : 1 400 000 m3....

    Casier J : Hauteur des déchets : 41 m ; Matériaux excavés : 784 000 m3 ; Capacité de stockage : 1 240 000 m3...

    Cette décharge a bénéficié en 1976 d'un premier arrêté préfectoral, puis d'autres casiers de déchets non-dangereux (DND) ont été autorisés. Ils ont été appelés A, B, C, D, E, F, G, et H. Seul le casier H est encore en exploitation. Il a été nautorisé jusqu'au 01/01/2022 par arrêté préfectoral n° 04-1193 ezn date du 23/03/2004. La quantité maximale de DND pouvant être accueillis s'élevant à 180 000 T/an...

    Le cauchemar continuera donc pour les riverains de cette décharge. Les promesses de fermeture définitive ne valent pas plus qu'un pet jeté à la figure des populations locales.

    On tourne en boucle à Chatuzange-le-Goubet : réhausse d'un casier existant, création d'un nouveau casier dans la continuité des autres, puis extension de l'autre côté de l'autoroute A 49 !!!

    Place aux futurs casiers I, J et ainsi de suite.... pour les futures générations qui naîtront avec la dévalorisation de leur milieu naturel et de leurs habitats...

    Où est l'intérêt général dans tout cela ?

    IL EST GRAND TEMPS DE DIRE STOP à la poursuite de la DECHARGE d'ONYX-VEOLIA à Chatuzange-le-Goubet qui est en train de devenir la poubelle du Nord de la Drôme !

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    AURA Environnement et son avocat Me François RUFFIE du barreau de Libourne ont réussi à faire fermer par le tribunal administratif de Lyon la décharge NICOLLIN à Saint-Romain-en-Gal (69), fait capoter le PLU des Granges-Gontardes (26) visant à installer le projet de décharge COVED en gagnant leur référé au tribunal administratif de Grenoble puis la Cassation voulue par la mairie des Granges-Gontardes qui ne pouvait faire appel..... Nous avons besoin des populations locales autour de Chatuzange-le-Goubet pour que le tribunal administratif de Grenoble ordonne la fermeture DEFINITIVE de la décharge ONYX-VEOLIA.

    ONYX-VEOLIA ne nous écoute pas au lieu-dit Papelissier au 810, chemin des Taillandiers à Chatuzange-le-Goubet. L'Etat doit entendre le collectif CDFEC !

    A suivre

    Marc-Claude de PORTEBANE

  • Elle avait voté NON #SUEZ Roche-la-Molière. #Frapna votera OUI #Coderst26 POUR extension décharge ONYX-VEOLIA à Chatuzange-le-Goubet ?

     Alors que la Frapna s'est déchaînée au CODERST42 contre

    la décharge de SUEZ de Borde-Matin à Roche-la-Molière !

    STOP A L'INJUSTICE !

    Des torrents de boue se déversent aux Granges-Gontardes :

    AURA Environnement demande à la FRAPNA Drôme Nature Environnement

    et au MNLE de s'opposer au projet de décharge VEOLIA à Chatuzanges-le-Goubet

    lors du prochain CODERST26 !

    AURA Environnement a déclenché l'opération "Rouge-Gorge" à Chatuzange-le-Goubet CONTRE le projet d'extension de la décharge ONYX-VEOLIA.

    AURA Environnement a donc décidé d'interpeller la FRAPNA Drôme Nature Environnement et le MNLE pour qu'ils se déchaînent comme la FRAPNA l'a fait contre le projet d'extension de SUEZ à Borde-Matin à Roche-la-Molière dans la Loire.

    AURA Environnement qui était également opposé à ce projet a réussi par ailleurs, à faire fermer la décharge de Saint-Romain-en-Gal (Rhône) alors que....... la FRAPNA avait voté POUR au Coderst 69 !!!

    Voici notre courrier à la FRAPNA et au MNLE !

    ...................................................................................................................

     

    AURA Environnement                                                                                Le 09/02/2020

    Association loi 1901

    Identification R.N.A : W033003439

    Protection environnementale et de défense des animaux

    7, rue du Creux de l’Enfer

    63000 CLERMONT-FERRAND

    06 40 29 68 72

    Mail : aura-environnement@protonmail.com

    Site : http://www.aura-environnement.com

    A

    FRAPNA Drôme Nature Environnement

    38, rue de Verdun

    26 000 VALENCE

    et

    MNLE-26-07

    La Verne

    26 800 MONTOISON

     

    Objet :

    Contestation Extension décharge VEOLIA Chatuzange-le-Goubet CODERST

    MAIL + RAR

     

    Camarades,

    Le 03/02/2020, le Collectif Halte Décharge Veolia Chatuzange-le-Goubet (CHDVC) soutenu par AURA Environnement a écrit au préfet de la Drôme pour lui dire qu’il s’opposait à cet ordre du jour du Coderst du 13/02/2020.

    Le préfet de la Drôme nous a entendu. Le Coderst 26 n’examinera pas l’extension de la décharge de Veoila dans le Nord de la Drôme dans sa cession du 13/02/2020.

    Nous combattrons avec toute notre dernière énergie ce projet ahurissant de décharge de 140 000 T à Chatuzange-le-Goubet dans un département déjà largement saturé en nombre de DND.

    Le préfet et la Dreal-26 ne peuvent pas autoriser de sur-capacité par rapport à ce qui est prévu dans le PRGD pour la Drôme, soit 150 kt maximum pour l’ensemble des 2 projets de Chatuzange-le-Goubet et de Roussas/Les Granges-Gontardes.

    Tout est écrit en page 398 du PRPGD adopté en décembre 2019 :

    4.7.3.6 Prescriptivité et recommandations retenues par le Plan

    « Compte tenu de cette situation d’excédent de capacité de stockage et de la difficulté à faire évoluer les projets et les installations existantes, le plan ne prévoit pas d’aller en dessous des maximas imposés par la règlementation en termes de capacité (1.1Mt en 2025), même si les besoins courants sont plus faibles.

    Ceci afin de ne pas rendre encore plus difficile le respect des principes d’autonomie et de proximité.

    Cette posture se justifie également par le fait que l’analyse de sensibilité montre que le passage de 2025 peut être délicat, que les capacités excédentaires (entre les besoins et les maxima) peuvent servir à des besoins périphériques, ou faciliter la gestion des déchets en situation exceptionnelle.

    Afin de respecter le principe de proximité, le plan rend prescriptif par bassin de vie, c’est à- dire par département, les capacités maximales annuelles des installations de stockage de déchets non dangereux à partir de 2025. La somme des capacités par département respecte la capacité régionale maximale autorisée de 1,1 million de tonnes par an à partir de 2025 et jusqu’à l’échéance du PRPGD :

    Capacités maximales annuelles des ISDND à partir de 2025, en Aura : 1 100 000 T.

    Capacités maximales annuelles des ISDND à partir de 2025 dans le département de la Drôme : 300 000 tonnes.

    200 000 T pour Donzère et 100 000 T pour Coved Roussas/Les Granges-Gontardes maximum en comptant les réquisitions, il n’y a donc plus de place pour le DAE de Chatuzange-le-Goubet.

    Comment peut-on autoriser 140 000 T dans le Nord de la Drôme à Chatuzange-le-Goubet alors que les capacités autorisables sont largement saturées ?

    Depuis le PRPGD, il n’y a donc plus de place pour une 3° décharge dans la Drôme mais aussi dans le respect de la loi de transition énergétique.

    Nous espérons que la Frapna nous soutiendra au prochain Coderst alors qu’elle avait voté POUR la prolongation de la décharge Nicollin à Saint-Romain-en-Gal (69) et que nous avons réussi à faire fermer en exerçant un recours au TA de Lyon contre l’APC de Mr le préfet du Rhône qui visait à poursuivre une prolongation de plus sans consultation des élus locaux et des riverains qui subissaient depuis des années les odeurs pestilentielles générées par cette immonde décharge.

    Nous espérons que la Frapna et le MNLE-26 soutiendront les populations locales réunies autour du Collectif Halte Décharge Veolia Chatuzange-le-Goubet (CHDVC) lors du prochain avis consultatif du CODERST qui devrait se prononcer prochainement sur l’extension de la décharge VEOLIA à Chatuzange-le-Goubet alors que la FRAPNA avait voté CONTRE l’extension d’exploitation du site de Borde-Matin géré par Suez, cette fois-ci, au Coderst du 05 février 2018 dans la Loire (Source : http://www.activradio.com/le-coderst-donne-son-feu-vert-a-lextention-dexploitation-du-site-de-borde-matin-par-suez/) .

    La Frapna n’avait pas hésité pour insister, lors de l’enquête publique (27/02/2017 au 29/03/2017) contre l’extension de la décharge Suez RV Borde Matin, sur : « un centre de stockage qui génère de nombreuses nuisances sur le plan écologique…. il serait temps de faire jouer la solidarité régionale…. Un grand centre de stockage pour la région est une aberration écologique…. ».

    Afin de tenir compte des dispositions de la loi de transition énergétique pour la croissance verte, nous comptons sur la Frapna Auvergne-Rhône-Alpes et le MNLE-26 pour que le projet présenté par ONYX- ARA VEOLIA ne dépasse pas 70 000 T/an s’il était présenté à l’ordre du jour du futur Coderst 26.

    Préservons l’eau, l’air et nos surfaces agricoles naturelles à Chatuzange-le-Goubet. Nous ne voulons pas de réhausse du casier existant, la création d’un nouveau casier dans la continuité des autres, puis extension de l’autre côté de l’autoroute A 49 avec la construction d’un pont très coûteux pour les collectivités territoriales.

    Nous contesterons le futur AP si celui-ci autorise ce projet inutile de 140 000 T de déchets non-dangereux (DND) car il ne peut y avoir d’autre intérêt général que la réduction drastique des déchets.

    Je vous joins le courrier adressé à Mr le préfet de la Drôme et à la Dreal.

    Cordialement

    Marc-Claude de PORTEBANE

    Président d’AURA Environnement

    Porte-parole du Collectif Halte Décharge Veolia Chatuzange-le-Goubet (CHDVC)

  • AURA Environnement fait capoter l'ODJ du Coderst 26 extension décharge ONYX-VEOLIA à Chatuzanges-le-Goubet

    AURA Environnement et le collectif CHDVC

    - Collectif Halte Décharge Veolia Chatuzange-le-Goubet -

    déclenchent l'opération "Rouge-gorge" en faisant capoter

    l'ordre du jour du Coderst du 13/02/2020 qui aurait permis de

    donner 140 000 T à l'extension #décharge d'ONYX-VEOLIA

    avec le feu vert de la FRAPNA Drôme nature environnement ?

     

    Alors que des cloportes essaient de saboter les actions d'AURA Environnement et du Collectif de Protection de l'Environnement vers Roussas/Les Granges-Gontardes largement soutenu par une grande partie des gontardien-nes qui ont gagné à la sueur de leur front le recours en référé contre le 1er PLU des Granges-Gontardes et la Cassation, AURA Environnement a décidé de déclencher la riposte contre les oiseaux de mauvaise augure qui veulent nous savonner la planche, pour ne pas dire mentir aux populations locales lors d'actuelle enquête publique sur le PLU des Granges-Gontardes en minimisant notre rôle.

    AURA Environnement, en boomerang, a donc décidé de déclencher l'opération "Rouge-gorge" contre le projet d'extension de la décharge d'ONYX-VEOLIA qui ne repectera pas les conditions de la loi de transition énergétique (LTE)..

    Tandis que l'ordre du jour avait été envoyé à tous les membres du Coderst de la Drôme pour la session du 13/02/2020, le Collectif Halte Décharge Veolia Chatuzange-le-Goubet (CHDVC) soutenu AURA Environnement a décidé d'interpeller le préfet de la Drôme, Hugues MOUTOUH et la Dreal 07/26 sur notre opposition au projet d'extension de la décharge de Chatuzanges-le-Goubet, parce qu'il n'y pas de place au projet de Veolia au Nord de la Drôme, parce que les populations locales en ont plus que marre des envols de plastiques dans les champs ou sur l'autoroute A49, des odeurs, du projet de pont enjambant l'A 49, etc....,

    Camarades, vous voudrez bien trouver ci-joint le contenu de notre courrier au préfet de la Drôme.

    -------------------------------------------------------------------------

    Monsieur le préfet,

    Il semblerait que le prochain Coderst 26 ait à rendre un avis le 15/02/2020 sur un projet de décharge à Chatuzange-le-Goubet et présenté par la société ONYX ARA du groupe VEOLIA. La société ONYX Auvergne-Rhône-Alpes (ONYX ARA) appartient à part entière à la société VEOLIA Recyclage et Valorisation des Déchets (RVD), qui appartient à part entière au groupe VEOLIA.

    Le Collectif Halte Décharge Veolia Chatuzange-le-Goubet (CHDVC) soutenu par AURA Environnement s’oppose à ce potentiel ordre du jour du Coderst et contestera, in fine, votre futur AP autorisant ce projet de 140 000 T de déchets non-dangereux (DND).

    La décharge à Chatuzange-le-Goubet a bénéficié en 1976 d’un premier AP d’autorisation d’exploiter un casier de stockage de DND, appelé zone de stockage « SIVOM ». Ensuite, d’autres casiers (A à H) de DND ont été exploités sur une surface globale d’environ 45 ha. Le casier H est encore en exploitation (Réhausse par digue périphérique). Il a été autorisé jusqu’au 01/01/2022 par AP n° 04-1193 su 23/03/2004. La
    quantité maximale de ces DND pouvant être accueillis s’élève à 180 000 T/an.

    Ceci représentait et représente encore, déjà, une position quasi-monopolistique dans le nord de la Drôme alors que les besoins en DND dans la Drôme ne sont pas répartis de façon équitable et surtout pas du tout en corrélation avec la loi de transition énergétique.

    Les populations locales rassemblées autour du Collectif Halte Décharge Veolia Chatuzange-le-Goubet (CHDVC) ne veulent pas d’une nouvelle autorisation d’exploiter de cette décharge qui accueille des DND ultimes comme les refus des opérations de tri et recyclage des déchets, des ordures ménagères résiduelles, des encombrants de déchèteries, des déchets d’activités économiques, des refus de broyats automobiles (RBA) et des mâchefers utilisés comme couverture intermédiaire.

    Ces DND proviennent principalement des départements de la Drôme et de l’Ardèche mais aussi de l’Ain, de l’Isère, du Rhône, de la Savoie et de la Haute-Savoie.

    Ce projet ne pourrait se faire que via un PLU déjà totalement acquis à sa cause et fait « sur-mesure » et ce, au dépens de l’abandon de nos zones agricoles ainsi que par l’apport d’une quantité annuelle maximale de déchets de 150 000 T entre 2022 et 2024, puis de 140 000 T à compter de 2025, hors dépannages ponctuels de dernière minute, pour une quantité journalière dite maximale de 1 500 T.

    Cette extension nécessiterait 2 nouveau casier :
    - Le I, accolé au casier H, pendant 10 ans
    - Le casier J pendant 9 ans, implanté au Nord de l’autoroute A 49, donc nécessitant la réalisation d’un ouvrage de franchissement de cette
    autoroute.

    Les populations locales ne veulent pas d’une extension de cette décharge qui devrait porter son exploitation sur une période s’étalant de 2022 à 2043, avec risque d’AP interminaux concernant des vides de fouille qui n’en finiraient plus pour cette capacité de stockage estimée à minima de 2 940 000 m3 moins 1 014 000 m3, soit environ 1 800 000 T qui seraient commercialisés.

    Le Plan de prévention et de gestion des déchets non-dangereux régional, non encore notifié, s’est donné comme objectif prioritaire d’imposer à partir de 2025, une capacité annuelle d’élimination par stockage des DND qui ne soit pas supérieure à 50 % de la
    quantité des DND admis en installation de stockage en 2010 (Article R. 541-17).

    Nous aimerions que les compatibilités de projets en cours en ce début 2020, dans la Drôme, ne soient pas discriminatoires les unes, les autres.

    Pourquoi tolérer un projet titanesque de 140 000 T comme celui de VEOLIA dans le Nord de la Drôme et refuser le projet PAPREC aux Granges-Gontardes, au Sud de ce département qui annonce lui, dans l’actuelle enquête publique (EP) que 75 000 T de DND ?

    Deux poids, Deux mesures ?

    Puisque la loi sur la transition énergétique pour la croissance verte (LTECV) de 2015 fixe une réduction de la mise en décharge de 50% des déchets non-dangereux à l’échéance 2025 par rapport à 2010, pourquoi le projet PAPREC ne répondrait-il pas, lui aussi, finalement, à l’intérêt général puisqu’on peut lire qu’il entend respecter ce que la loi impose : le développement de la réutilisation et du recyclage des déchets ?

    Avec de tels objectifs que nous ne contestons pas, et ce, dans le cadre d’une planification rigoureuse et une politique ambitieuse des différentes collectivités, la réduction de la quantité de déchets à enfouir ne devrait-elle pas être plus importante et s’accroître régulièrement chaque année, comme par exemple, dans le Nord de la Drôme et plus précisément à Chatuzange-le-Goubet étant donné que ceci devrait
    engager une planification rigoureuse et une politique efficace des différentes collectivités ?

    Cette planification devrait permettre un calcul adapté des besoins en centre d’enfouissement dans les années à venir, pour le département de la Drôme et pour les départements voisins. Pour limiter les transports et responsabiliser chaque territoire sur les impacts de ces décharges, il semble donc nécessaire de les répartir géographiquement au plus près des besoins.

    Le gisement des déchets Drôme/Ardèche appartient à tous les exploitants et ne doit pas être réparti à deux monopoles existants qui voudraient gérer l’avenir de la valorisation des déchets de façon inéquitable et totalement opportuniste.

    Le plan Drôme-Ardèche de prévention et de gestion des déchets estimait, pour 2010, les déchets enfouis en « décharges » à 599 500 tonnes par année, dont 200 500 tonnes « importées » d’autres départements que la Drôme et l’Ardèche. Sur l’année 2025, pour appliquer la loi TECV, les déchets enfouis sur ce territoire devront être réduits à 299 750 tonnes dont 100 250 importées.

    Or, le monopole n’est absolument pas conventionné par la loi dite de TECV.

    Autoriser ce projet d’extension de décharge à Chatuzange-le-Goubet qui ne répond pas à l’intérêt général, c’est développer la production des déchets pour alimenter l’économie locale, c’est admettre que nous n’engagerons pas leur réduction de façon équitable sur les départements de la Drôme et de l’Ardèche !

    Sans parler de l’avenir de la compatibilité de ce projet de décharge à Chatuzange-le-Goubet, nous ne pouvons pas tolérer de nouveaux dysfonctionnements détectés suite au non-respect des consignes du protocole de sécurité mis en place pour cette décharge de Chatuzange-le-Goubet, comme ce fut le cas en 2015 (source : rapport de l’exploitant 2016), avec :
    - La distance de sécurité non-respectée lors du vidage des bennes
    - Le risque de chute des chauffeurs sur bennes
    - Les bennes non-adaptées aux déchets
    - La vitesse excessive sur le site des « Pourcieux »
    - Le non-respect des panneaux de signalisation
    - Le non-port des EPI
    - Les bennes non-bâchées arrivant sur le site.

    Nous aimerions que vous puissiez transmettre à la DREAL de l’Unité inter-départementale Drôme-Ardèche notre demande de rapports de contrôle de cette ICPE de Chatuzange-le-Goubet en terme d’inspection approfondie, courante, ponctuelle, annoncée ou inopinée, planifiée ou circonstancielle conformément à l’arrêté ministériel du 15/02/2016 relatif aux ISDND (Articles 16-IV et 31 : « radioactivité » ;
    Article 16- II : « pesage » ; Article 14 – II : « Bassin de stockage des eaux de ruissellement internes au site » ; Article 16-III : « Toute canalisation de rejet à l’extérieur de l’installation est équipée d’un dispositif, synchronisé avec les rejets, mesurant le pH, la conductivité et la quantité d’effluents rejetés » : Article 33- III « Débroussaillage et procédure relative à la conduite à tenir en cas d’incendie sur l’installation » ; Article II non applicable aux ISDND existantes « Volume minimal à tenir et niveau des lixiviats stocké », et à l’AP d’autorisation d’exploiter.

    Les populations locales de Chatuzange-le-Goubet rassemblées autour du CHDVC ne veulent plus d’odeurs qui constituent la nuisance la plus dénoncée par les riverains (Source : Rapport de la DREAL du 04/07/2018), puisqu’en 2016, pas moins de 21 réclamations de riverains agacés ont été enregistrées, dont 19 portant sur les odeurs émises au niveau du site. La période estivale étant la plus délicate, la température
    élevée accélère la biodégradation étant donné que la vie en extérieur est beaucoup plus importante qu’en hiver.

    La mauvaise gestion par ONYX-VEOLIA des déchets et des lixiviats a donc été la panacée sur le site des « Pourcieux » à Chatuzange-le-Goubet et ce, aux dépens de la qualité de vie de nos camarades-riverains.

    Les populations locales de Chatuzange-le-Goubet rassemblées autour du CHDVC dénoncent la non-maîtrise des envols des déchets et ce, nonobstant l’équipement de filets pare-envols, comme ce fut le cas, lorsque le 04/04/2018 nous avons alerté les sociétés APRR et AREA, gestionnaire de cette autoroute. Nous avions observé (photos-preuves à l’appui) de nombreux envols de plastiques en provenance du site d’exploitation d’ONYX situé au lieu-dit « Pourcieux » sur cette chaussée très fréquentée, axe Valence-Grenoble.

    Les populations locales de Chatuzange-le-Goubet rassemblées autour du CHDVC sont opposées au projet préalable d’aménagement d’un pont devant franchir l’A 49 au Sud-Est du casier « J » en forme d’un dôme fantasque, et qui sera supérieur à 225 m NGF, car ceci n’évitera pas l’augmentation du trafic routier du hameau des « Blaches » et du quartier des « Pourcieux », mais surtout un surcoût aux collectivités territoriales aux finances locales exsangues dû, tout d’abord aux études de faisabilité de ce projet technique.

    Les risques technologiques et le transport des matières dangereuses sont à prendre en compte de façon primordiale. Il n’est pas question de faire prendre des risques d’accident majeur aux usagers d’AREA au cas où un camion se retournerait ou en heurterait un autre sur ce projet de pont enjambant l’autoroute A 49. Or, il a été à déplorer déjà deux déversements de lixiviats, l’un en 2010 (dans le canal de la Bourne) et l’autre en 2013 (renversement d’une citerne de transport, lors d’un accident de la route : déversement de lixiviat sur le bas-côté).

    Ce projet de pont sur l’A 49 est prévu pour être implanté dans un contexte géologique et hydrologique potentiellement dangereux, notamment dans une zone qui sera ancrée dans des formations alluvionnaires surmontant les mollasses.

    Les populations locales de Chatuzange-le-Goubet rassemblées autour du CHDVC s’interrogent sur le devenir du collecteur de biogaz sur ce projet de pont envisagé sur l’A 49 :
    - Comment sera assurée sa protection physique ?
    - Les vannes automatisées seront-elles asservies à un capteur de pression ?
    - Que se passera-t-il en cas d’affaissement de ce pont enjambant l’A 49, en cas de rupture du collecteur de biogaz ?
    - Est-il normal de faire passer sur la tête des usagers de l’A 49, à hauteur de Chatuzange-le-Goubet, un collecteur de biogaz susceptible de n’être pas isolé par une intervention humaine ?

    AURA Environnement a réussi à faire fermer la décharge de Saint-Romain-en-Gal au tribunal administratif de Lyon après des décennies d’injustices sur les populations locales. AURA Environnement a gagné son référé suspensif et la cassation en faisant suspendre un PLU au sud de la Drôme.

    Nous irons contester le futur arrêté préfectoral d’autorisation (AP) car le projet de Chatuzange-le-Goubet est un projet inutile.

    Le constat est unanime : pour les départements Drôme-Ardèche, les syndicats intercommunaux et toutes les collectivités n’ont pas suffisamment investi dans la réduction des déchets. Donc, les puissants industriels en position de monopole s’entendent pour agrandir les sites existants. C’est en effet plus facile de se développer sur des territoires où l’acceptation de la population est presque déjà acquise ; pour l’exploitant, faire grossir un site permet aussi des économies d’échelle.

    Ces décharges impactent l’environnement, aujourd’hui et pour l’avenir de nos enfants de Chatuzange-le-Goubet : destruction des milieux, pollution du sol, de l’eau, de l’air…

    Plusieurs millions de tonnes de déchets enfouies, vilain cadeau pour les générations futures ! Alors que les ressources naturelles vont manquer, alors que le dérèglement climatique menace les humains, refusons l’inaction.

    Réduisons donc les déchets dans le Nord de la Drôme et stoppons ce projet d’extension de décharge à Chatuzange-le-Goubet !

    Mr le préfet, vous ne devez accorder que 70 000 T au projet de décharge de Chatuzange-le-Goubet.

    Dans l’attente de votre réponse et de celle de vos services, je vous prie de croire, Mr le préfet, à l’expression de ma considération très distinguée.

    Marc-Claude de PORTEBANE
    Président d’AURA Environnement
    Porte-parole du Collectif Halte Décharge Veolia Chatuzange-le-Goubet (CHDVC)

     

  • Vents mauvais #VEOLIA + #PAPREC @Drôme : AURA Environnement monte assaut contre mauvaise foi cloportes #Grangesgontardes + #Chatuzangelegoubet !

    Une association téléguidée par on ne sait qui s'est liguée

    contre le Collectif CPERG soutenu par AURA Environnement

    qui déposera, lui, un recours contre le PLU des Granges-Gontardes !

    Raisins rouges colere i 018

    Le collectif CPERG (Collectif de Protection de l'Environnement vers Roussas et les Granges-Gontardes) soutenu par AURA Environnement est le plus ancien regroupement de militant-es et de militants opposé au projet de PLU porté par les élu-es de la commune des Granges-Gontardes et cela a été confirmé par le commissaire enquêteur dans son rapport du 17/10/2017 à l'issue de l'enquête publique sur le PLU qui s'est tenue du 11/09 au 12/10/2017.

    Déjà présent sur la commune voisine de Roussas où se situe l'actuelle décharge Coved, le CPERG connaissait bien la situation communale où aucune assocation de défense de l'environnement ne s'est jamais déclarée active sur ce territoire, même pas la FRAPNA de la Drôme !

    Le CPERG, épaulé par des défenseurs de leur patrimoine dont notre camarade Gil LAMURE et soutenu par AURA Environnement, était déjà monté seul au créneau pour dénoncer les envols de plastiques sur les vignobles et les terres boisées des environs ainsi que sur le domaine forestier en alertant, notamment, l'ONF et la Dreal de la Drôme !

    Alors que la situation perdurait depuis de nombreuses années sans qu'aucun viticulteur de Roussas ou des Granges-Gontardes, d'ailleurs, ne s'en plaigne, et ce, au nez et à la barbichette de l'INAO !

    A l'époque, AURA Environnement avait demandé au "Baron d'Escalin" la copie de la convention de collecte des plastiques sur les vignobles des Granges-Gontardes.

    Que nenni, nous n'avions rien récolté. Les vignerons de Rousssas et des Granges-Gontardes nous voyaient surtout comme des "ennemis", comme au bon temps de la lutte du SAC à merde gaulliste contre le communisme, car le comité central d'AURA Environnement est d'essence bipartiste : écolo-marxiste et écolo-national-bolchevique (l'aile gauche et l'aile droite du bolchevisme issue des masses populaires est représentée de façon équitable).

    AURA Environnement ne fait jamais de politique, mais c'est surtout plus de 5 000 militant-es au travers de plus 70 collectifs autonomes  et non-violents, en France et dans les TOM, sans compter les 350 cadres du Collectif de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux que nous pouvons mobiliser très rapidement.

    Dans la commune voisine de Roussas, les Granges-Gontardes, le CPERG et AURA Environnement déclenchaient l'opération "Raisins de la colère rouge".

    Les services de l'Etat, la presse et le commissaire enquêteur ont été unanimes : la mobilisation du CPERG et d'AURA Environnement a été massivement suivie par les populations locales à qui nous avons ouvert les yeux sur leur devenir et celui de leurs enfants, à savoir, qu'une extension de la décharge COVED/PAPREC risquait bel et bien de s'installer pendant plus de 20 ans dans leur commune s'ils ne se mobilisaient pas massivement et rapidement pendant l'enquête publique relative à la révision du PLU de leur commune.

    Notre militantisme a été largement suivi puisque plus de 90 % des villageois endormis se sont enfin réveillés et plus d'1/3 ont suivi la bannière du CPERG soutenu par AURA Environnement.

    Seulement quelques brebis galeuses nous ont suivi hypocritement pour ensuite, mieux nous poignarder "dans le dos", afin d'assouvir leurs ambitions personnelles de cervelle de colibri, voire de prise de pouvoir local : comprendre le futur assaut pour renverser l'actuel conseil municipal des Granges-Gontardes, lors des prochaines municipales de 2020 !

    Le CPERG et AURA Environnement désapprouvent totalement ce genre de méthode de paltoquets, qui sous le prétexte de défense du patrimoine et de l'environnement, se servent de nos actions militantes, pour défendre leurs intérêts personnels politiques et/ou économiques dans un but autre que celui de l'unique défense de la collectivité !

    Même si nous ne sommes pas d'accord sur des dossiers environnementaux avec les services de l'Etat, nous n'avons jamais été pour la destabilisation d'un maire démocratiquement élu !

    Exemple : lors du dernier conseil municipal du 11/09/2018 aux Granges-Gontardes, un individu membre de ceux qui nous ont poignardé "dans le dos" a pris à partie le maire et le conseil municipal alors que la séance n'était pas terminée ! Le maire a été copieusement insulté. C'est inadmissible et anti-républicain ! Le maire a failli appeler les gendarmes pour faire cesser ce trouble manifeste de l'ordre public !

    AURA Environnement a demandé poliment la parole à l'assemblée communale en prenant la défense du maire Michel APROYAN, puis a sermonné publiquement ce clown membre de ceux qui nous ont poignardé "dans le dos" qui éructait sa rage contre le 1er magistrat de la commune, en lui demandant de se taire plusieurs fois.

    Cet amateurisme de voyou qui porte atteinte à celles et ceux qui défendent démocratiquement l'environnement et au code général des collectivités territoriales est proprement intolérable et n'a pas sa place dans une démocratie ! Le conseil municipal émet des voeux sur tous les objets d'intérêt local. Il ne règle pas ses délibérations sur les affaires de la commune en se faisant insulter publiquement, en plein conseil municipal. Seuls les conseillers municipaux peuvent poser des questions orales en fin de réunion, en rapport avec les affaires courantes.

    Quand on est pas capable de défendre le code général des collectivités (CGCT), nous ne voyons pas comment ces gens-là peuvent vouloir défendre l'environnement au tribunal administratif ou de faire un recours gracieux ou amiable lorsque l'on n'est pas aimable avec le maire des Granges-Gontardes !

    Il ne faudrait quand même pas oublier que le maire des Granges-Gontardes est protégé contre l'outrage et l'injure et que ces faits honteux sont réprimandés par l'article 433-5 du Code pénal !

    Nous soutenons donc le maire et le conseil municipal des Granges-Gontardes sur ce point de respect de l'article L.2121-18 du CGCT, comme nous l'avons fait publiquement en demandant la permission d'intervention publique pour défendre les lois de la République !

    Nous ne soutiendons donc pas ceux qui nous ont poignardé "dans le dos" ! Leur étoile se couche tandis que la nôtre se lève !

    Nous avons décidé de faire le ménage : si nous avons été naïfs et magnanimes, nous ne le serons plus désormais et nous dénoncerons les minables qui nous ont poignardé "dans le dos" et qui n'ont uniquement de la "gueule" que sur...... le terrain glissant de l'internet ou pour troubler très maladroitement une réunion d'un conseil municipal démocratique régulièrement requis et convoqué comme le stipule l'article L 2121-29, créé par la Loi 96-142 du 21 février 1996 relative à la partie législative du code général des collectivités territoriales !

    Contre les lamentables virtuels qui nous ont poignardé "dans le dos", nous allons leur montrer, comment, NOUS, AURA Environnement  appliquons les concepts et les combats du théoricien communiste italien : Antonio Gramsci !

    Nous avons toujours oeuvré en faveur de la nécessité pour la classe ouvrière d'être autant "dirigeante des classes alliées" que "dominante des classes adverses". Gramsci n'a eu de cesse de rappeler que "Les conseils d'usine nous disent toujours qu'aucune transformation révolutionnaire n'est possible si les producteurs directs ne sont pas maîtres de leur outil de production" !

    Nous deviendront maîtres de la lutte environnementale aux Granges Gontardes mais aussi dans toute la Drôme où nous demandons au SYTRAD et à VEOLIA d'arrêter de pulvériser leurs odeurs insupportables vers Livron et de se mettre en conformité avec les dernières mises en garde du préfet de la Drôme sous peine de pénalités sonnantes et surtout trébuchantes en terme d'image dans l'opinion publique !

    Ggo 168 2 jpg aa 1Vers Romans-sur-Isère, le vent de la révolte souffle contre les envols de plastiques sur l'A 49 à Chatuzange-le-Goubet, à charge contre la décharge mal gérée par ONYX-VEOLIA qui, via bientôt, là-aussi, une modification du PLU voudra encore "bouffer" nos terres agricoles (phase 3) qui ne cessent d'être grignotées, commune par commune, pour éradiquer nos camarades de "Nature, Pêche et Traditions" ancrées dans nos Terroirs de notre Drôme-Ardèche si bien aimée.

    Plu chatuz 2 jpg b

    Nous respectons les chasseurs de la chasse aux cons, car, comme le disait si bien Pierre Desproges : "l'ennemi est con, il croit que c'est nous l'ennemi alors que c'est lui" !

    On en veut plus de la décharge VEOLIA dans le nord de la Drôme et ce ne sont pas les dernières explications que nous a donné dernièrement AREA, la société gestionnaire de l'A 49, qui tente vainement de nous rassurer, qui vont démobiliser les populations locales qui se sont regroupées derrière le CDFEC (Collectif de Défense de l'Environnement à Chatuzange-le-Goubet), soutenu par AURA Environnement !

    Au début, les dirigeants d'AREA n'ont pas répondu à notre mail du 04/04/2018, où nous faisions part de notre mécontentement à la direction du réseau d'AREA : ".. Suite à notre communication téléphonique de ce jour, nous vous confirmons que le 15 mars 2018, nous sommes parti de Valence en direction de Grenoble via l’autoroute A 49, avant le centre de péage n° 9 de Chatuzange-le-Goubet, et que nous avons observé des milliers de sacs plastique longeant la décharge ONYX-VEOLIA, non loin du lieu-dit « Pourcieux », comme vous pourrez le constater via nos photos...".

    Ca ne devait pas beaucoup les intéresser puisqu'ils ne nous ont répondu que le 06/09/2018, alors que nous les informions que nous allions nous fendre d'un petit mail discret aux actionnaires qui demandent autant d'infos que de dividendes et qui, désormais, sont devenus voraces d'infos en provenance de sotre site internet et de nos publications papier envoyées à plus de 35 000 personnes !

    Comme aux Granges-Gontardes, à l'écoute de Radio trafic, on veut bien être CONS une fois, mais pas 2 fois une fois !

    En effet, le 25/08/2018, AURA Environnement mettait en garde la SCA AREA - société concessionnaire d'autoroutes - (filiale du groupe APRR) : ".... Cependant, Puisque vous n’êtes pas réactifs à nos alertes sur les dangers encourus par vos usagers de l’A49, une copie de ce courrier sera adressée au Pdg Benoît de RUFFRAY et aux actionnaires d’Eiffage ainsi qu’au groupe MACQUARIE via le service aux actionnaires de BNY Mellon à Pittsburg aux Etats-Unis....".

    Depuis, 133 actionnaires américains ou proches, nous ont répondu ! Comme quoi la ténacité d'AURA Environnement est reconnue mondialement !

    Nous ne voulons pas de ce futur pont qui enjambera l'A49 pour transporter encore plus de déchets d' ONYX-VEOLIA de l'autre côté de l'autoroute du malheur de n'être pas né-es si CONS que cela !

    Comment ne pas devenir CON, lorsque AREA nous indique, après le passage d'AURA Environnement sur l'A49, de Valence à Grenoble le 15/03/2018, qu' ".....en effet, ce jour-là, un vent violent et soudain s'est mis à souffler à partir de 9H00....".

    Pourquoi 9h00, pile-poil, à "9h00" précises soufflantes de plastiques de toutes les couleurs en provenance de la décharge VEOLIA ? Le vent se lève-t-il à 9h00 et se couche-t-il comme les poules ?

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    Si les filets de nos camarades marins pêcheurs de La Ciotat avaient été percés ce week-end dernier, comment auraient-ils pu ramener de la dentie au bon petit port de mer de nos luttes syndicales ?

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    Photos prises par AURA Environnement au restau "Au chantier" à La Ciotat, le 15/09/2018

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    Que comprendre du charabia de VEOLIA Rhin-Rhône Recyclage & Valorisation des déchets de Vaulx-en-Velin, qui, dans sa correspondance du 06/04/2018 à AREA - suite aux alertes d'AURA Environnement - tente d'expliquer ces envols de plastiques sur l'A49 que nous avons constaté - preuves à l'appui - en "plaidant" subitement que ceux-ci  "proviennent en partie de notre pôle de stockage Energie", que "nous confirmons que ce jeudi 15 mars au matin, de fortes rafales devent de sud se renforçant vers 9h00 ont été observées sur le site", que "...Dans le même temps, nous avons procédé à un renforcement de la couverture des déchets en compléments de notre mode opératoire habituel de recouvrement à l'avancement...", que "En complément de cette action corrective, nous avons commandé 160 m linéaires d'un nouveau système de filets anti-envols afin d'améliorer notre dispositif actuel et ainsi d'anticiper ce type de situation exceptionnelle par vent de sud... ", que "....Nous sommes désolés pour ce désagrément exceptionnel...", etc..... ?

    Ah bon ? Pas CON tout cela !

    Les développements sur la vision gramscienne de l'éducation populaire, de la liberté et de la discipline sont très utiles et à bien des égards, nécessaires en 2018 et pour les futures générations de notre Drôme-Ardèche bien aimée !

    A suivre

    Marc-Claude de PORTEBANE.

  • Réduction tonnages enfouissement Drôme-Ardèche : AURA Environnement passe à l'offensive !

    AURA Environnement demande au préfet 26

    de respecter les futurs tonnages enfouissement

    pour les années à venir en Drôme/Ardèche !

    Bdm 39

    Alors que des pourparlers seraient en cours au sein de la Dreal 26 sur les tonnages ayant trait à l'enfouissement de nos poubelles dans les prochaines decennies, l'ultra gauche marxiste d'AURA Environnement s'invite au débat !

    Il n'est pas question que la loi de transition énergétique ne soit pas respectées en Auvergne-Rhône-Alpes et plus particulièrement en Drôme/Ardèche, où la Région, dirigée par Laurent WAUQUIEZ, doit élaborer le futur Plan régional de gestion des déchets (PRGD).

    Le PRPGD aura la particularité de contenir des chapitres spécifiques à certaines catégories de déchets et notamment un Plan Régional d'action en faveur de l'économie circulaire.

    Régis par le décret du 16/06/2016, ces plans doivent coordonner l’ensemble des actions qui sont entreprises tant par les pouvoirs publics que par les organismes privés en vue d’assurer la réalisation des nouveaux objectifs définis par la Loi de Transition Energétique pour la Croissance Verte du 17/08/2015 (Loi TECV) : Réduction de 10 % des déchets ménagers et assimilés produits d'ici 2020 (par rapport à 2010).

     

    Objectif de généralisation du tri à la source des biodéchets pour tous les producteurs (ménages, professionnels, collectivités) d'ici 2025.

     

    Ces plans ont pour objet, en particulier, de coordonner et programmer les actions de prévention et de gestion des déchets à engager à 6 et 12 ans, notamment par les collectivités locales, dans le respect de la hiérarchie des modes de traitement des déchets :

    - 1. Prévention

    - 2. Préparation en vue de la réutilisation

    - 3. Recyclage

    - 4. Valorisation autres que la valorisation matière

    - 5. Elimination des déchets.

     

    Le plan régional de prévention et de gestion des déchets concerne tous les types de déchets, toutes natures, catégories, origines confondues (exceptés les déchets radioactifs) produits, gérés dans la région et ceux importés pour être gérés dans la région ou exportés pour être gérés hors de la région.

    Leur importance est donc particulièrement primordiale car, lorsque le plan est approuvé, les décisions prises dans le domaine des déchets par les personnes morales de droit public et leurs concessionnaires doivent être compatibles avec ce Plan.

    AURA Environnement et le CPERG (Collectif de Protection de l'Environnement vers Roussas-Les Granges-Gontardes) seront-ils soutenus par les écolos du CDFEC (Collectif de Défense de l'Environnement à Chatuzange-le-Goubet), et la zadiste Bernadette GRANDO ?

    A quand le futur barbecue vegan avec les antispécistes de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux ?

    Le vent de la Révolte se lève tout doucement en Drôme-Ardèche.

    Le Titan se réveille. Océan, Téthys, Phébé, Mnémosyne, Thémis, Rhéa, Théia, Cronos, Japet, Hypérion, Crios et Koios terminent leurs vacances d'hiver.

    Après la luge de l'espérance, le déluge des désillusions ?

  • Tractage massif #CPERG soutenu par INAO & Révision PLU Granges-Gontardes : Commissaire enquêteur refuse projet décharge COVED !

    Révision PLAN LOCAL d'URBANISME Granges-Gontardes

    Commissaire enquêteur refuse projet décharge COVED :

    le CPERG mobilise et tracte maison par maison

    et reçoit soutien massif de l'INAO !

    Cperg plu 024

    Le 20/11/2017, la mairie des Granges-Gontardes en Drôme provençale recevait le rapport et l'avis du Commissaire enquêteur sur les résultats de l'enquête publique concernant la révision du PLU au Granges-Gontardes, mais ne le mettait pas tout de suite à la disposition des citoyens.

    Le 21/10/2017, AURA Environnement écrivait à Pascal BRIE qui instruit le projet "LCJ3" de décharge COVED en demandant à l'UT-Dreal de Valence si celle-ci avait l’intention de "bloquer la recevabilité de ce DDAE pour incompatibilité de ce projet avec le document d’urbanisme" tout en précisant " .. Nous aimerions savoir si une telle activité de décharge serait compatible avec la présence de jeunes compétiteurs au Club de Tir Sportif de Montélimar (CTSM) qui devrait de facto déménager et qui a vu, de 2016 à 2017, ses effectifs passer de 233 à 252, une progression significative de ses effectifs en hausse de 18 %, une fréquentation en hausse de 61 % en 2 ans, et qui est…. à la recherche de bois de chauffage pour le poêle !!! .".

    Un poêle, du bois de chauffage, des munitions, des jeunes enfants, un centre de tir ceinturé une future décharge d'au moins 75 000 T de déchets (DND) ! AURA Environnement attend la réaction du maire de Montélimar Franck REYNIER, un exemple de droiture très "à cheval" sur les principes !!!

    Le 22/11/2017, la mairie des Granges-Gontardes mettait en ligne le rapport final et les conclusions motivées du Commissaire enquêteur (AURA Environnement dénonçant le format Calameo a demandé que soit mis en ligne, au moins, les conclusions au format Pdf. Ce qui a été fait pour ces dernières puisque les gens nous disent avoir du mal à imprimer ou enregistrer les fichiers Calameo) : http://www.les-granges-gontardes.fr/IMG/pdf/Conclusions_motivees_5503.pdf

    Conclusions ep gg i 019

    A la demande d'AURA Environnement, le format Pdf est très bien lisible, lui !

    AU SECOURS Mr LE PRESIDENT du TRIBUNAL ADMINISTRATIF de Grenoble ! Si vous arrivez à télécharger ou à imprimer le rapport final du Commissaire enquêteur ! (Ci-dessous : capture d'écran uniquement possible de Calameo réalisée par AURA Environnement). Merci de le transmettre aux Gontardien-nes qui attendent de le lire à la lueur de leur sueur : http://fr.calameo.com/read/005224812f3b26f2f724d

    Conclusions ep gg i 016

    Le 23/11/2017, le CPERG (Collectif de Protection de l'Environnement vers Roussas-les Granges-Gontardes) aidé par le collectif "Comité Local Catholique des Granges-Gontardes" (CLC-GG - porte-parole : Louise-Marie de PORTEBANE)....

    Sangl 26 016 2 jpg a

    ..... déclenchait la Phase 2 de l'opération dite "Raisins de la colère rouge" et tractait massivement dans tout le village, rue par rue, chemin par chemin, maison par maison, habitant par habitant puisque l'enquête publique a rendu son verdict : les habitants des Granges-Gontardes ne veulent pas de décharge COVED (projet LCJ3) et le projet de PLU doit être modifié pour l'interdire !

    Cperg plu 022Pour le CPERG "Le conseil municipal doit suivre l’avis négatif du commissaire enquêteur, écouter sa population, respecter la démocratie participative et renoncer à ce projet néfaste pour la commune".

    Pourquoi ce projet est funeste pour la commune ? Parce qu’il nuirait à notre qualité de vie, serait dangereux pour la santé de nos enfants, supprimerait les activités sportives de la Combe Jaillet et menacerait nos vignobles AOC ainsi que les emplois associés.

    Cperg plu 028

    Le CPERG soutenu par AURA Environnement a reçu dernièrement le soutien de l'INAO (Institut national de l'origine et de la qualité) qui vient d'écrire à l'UT Dreal de Valence qui instruit le dossier COVED pour le compte du préfet de la Drôme. L'INAO indique que "La commune des Granges-Gontardes est située dans les aires géographiques des AOP "Picodon" et "Grignan-les-Adhémar". Elle appartient également aux aires de production des IGP "Ail de la Drôme", "Miel de Provence", "Pintadeau de la Drôme", "Volailles de la Drôme" ainsi qu'à celles des IGP viticoles (ex vin de pays), "Comtés Rhodaniens", "Drôme" et "Méditerranée"...".

    Pour l'INAO, "L'enjeu majeur concernant la valorisation des terres sous SIQO est sans conteste la filière viticole AOC". Les SIQO (Signes d’identification de la qualité et de l’origine) sont des démarches officiellement reconnues par les pouvoirs publics !

    Une étude attentive du dossier a amené l'INAO à faire des observations qui suivent sur ce projet de décharge aux Granges-Gontardes :

    - Le projet est prétendument présenté comme une extension d'une activité de stockage de déchets non-dangereux sur la commune limitrophe de Roussas. Or, il s'agit bien de la construction d'un nouveau site sur la commune des Granges-Gontardes.

    - Le projet s'inscrit dans le périmètre de l'aire parcellaire délimitée de production de l'AOC "Grignan-les-Adhémar" et impacterait directement (consommation de terres potentiellement valorisables en AOP) 13,25 hectares.

    - Le secteur concerné compte parmi les meilleurs terroirs de l'AOC pour ce qui concerne le milieu physique et notamment les sols. En outre, le "Bois des Mattes" constitue d'une part le coeur historique de production et d'autre part l'un des terroirs emblématiques de cette AOC.

    - De plus, parmi les 13 opérateurs, une exploitation se situe à 50 m des futures installations et 2 autres exploitations également en cave particulière se situent à moins de 2 km du site.

    - En terme d'impact paysager, parmi les travaux envisagés, il est question de réaliser un merlon de 50 m de hauteur, ouvrage conséquent qui sera très visible notamment depuis la D 133 ce qui défigurera davantage le paysage environnant forestier et viticole.

    - Ce projet est incompatible avec un tourisme localement très axé sur la synergie qui existe entre produits de terroir et qualité paysagère qui prend tout son sens notamment dans l'oenotourisme.

    - Enfin, ce dossier ICPE s'ajoute à d'autres assez récents dont des extensions de carrières répétées, intervenues sur cette commune (des Granges-Gontardes) du même secteur qui impactent de manière récurrente l'aire parcellaire délimitée de l'AOC "Grignan-les-Adhémar".

    - Par conséquent, l'INAO émet un avis défavorable à l'encontre de ce projet - de décharge PAPREC/COVED aux Granges-Gontardes en Drôme provençale, NDLR - qui entraînerait la disparition de 13,25 ha de l'aire délimitée de l'AOC "Grignan-les-Adhémar".

    Depuis 1 semaine, AURA Environnement tente désespérement de joindre l'UT-Dreal de Valence ! SILENCE RADIO !

    Nous attendons DONC une réponse rapide du Maire des Granges-Gontardes qui doit annoncer publiquement que le conseil municipal revoit son projet de PLU pour empêcher définitivement le projet de décharge COVED sur les Granges-Gontardes.

    Jusqu’au retrait définitif du projet de décharge, restons mobilisé-es !

    Plus de 20 585 personnes ont déjà signé notre pétition dont 381 commentaires. N'hésitez pas à la signer, de bien valider votre signature et de bien la partager un max pour faire entendre la voix du Peuple Gontardien : https://www.mesopinions.com/petition/animaux/sauvons-animaux-vignobles-aoc-grignan-adhemar/34303

    Marc-Claude de PORTEBANE

    Président d'AURA Environnement

  • Compteur électrique Linky : AURA Environnement reçoit soutien élu-es région Valence et mobilise !

  • ORGUES de STALINE déferlent aux Granges-Gontardes : CPERG invite élus à réviser PLU sans décharge PAPREC/COVED !

    A l'initiative du CPERG la rencontre avec les élu-es

    a "tourné au vinaigre" parce qu'ils attendent

    que nous baissions "notre froc" pour ne pas aller

    au tribunal administratif afin de contester

    la révision du PLU validant projet décharge COVED !

    Gg decharge 062

    Le Dauphiné Libéré de ce week-end : http://www.ledauphine.com/drome/2017/11/10/centre-d-enfouissement-de-la-coved-dialogue-de-sourds-entre-les-elus-et-marc-claude-de-portebane

    Le CPERG (Collectif de protection de l'environnement vers Roussas-Les Granges-Gontardes) soutenu par plus d'un tiers des gontardien-es lors de l'enquête publique de révision du PLU a pris contact avec les services de l'Etat (préfecture de la Drôme, sous-préfecture de Nyons, Dreal & DDPP 26), les dirigeants de l'exploitant PAPREC/COVED, les élu-es des communes de Roussas, Valaurie et....des Granges-Gontardes qui devraient valider la prochaine révision du PLU qui ouvrirait un "boulevard" à l'extension de la décharge COVED de Roussas vers la petite commune voisine des Granges-Gontardes.

    La rencontre avec les élu-es des Granges-Gontardes a été planifiée par le CPERG au bout de 2 rencontres en mairie, avec le maire des Granges-Gontardes, Michel APROYAN, qui, à nos yeux, n'a pas suffisamment communiqué avec ses administrés avant l'enquête publique relative à la révision du PLU en leur disant in fine TOUTE la VERITE : sous la modification des zones sportives de l'actuel moto-cross et de l'auto-cross se cache l'extension de la décharge PAPREC/COVED de la commune limitrophe de Roussas qui a déposé un DDAE intitulé "LCJ3" - La Combe Jaillet 3 - à la préfecture de la Drôme fin août 2017 en précisant le lieu-dit avec exactitude : "La combe Jaillet" aux Granges-Gontardes !

    Gg decharge 064Présent depuis plus d'un an dans la région des Granges-Gontardes, le CPERG attendait de pied ferme la décision d'extension de la décharge COVED de Roussas qui se faisait attendre puisque la CSS 2016 du site ne s'était pas réunie conformément à ses statuts, ce que nous dénoncions dans une 1ère pétition qui rassemble plus de 20 000 signatures https://www.mesopinions.com/petition/animaux/sauvons-chaussette-diesel-odeurs-envols-plastiques/27978

    La non-tenue de cette CSS en 2016 a certainement permis à l'exploitant de "cacher" son projet d'extension de décharge vers les Granges-Gontardes et de prendre ainsi de "vitesse" les populations locales qui, sans l'aide du CPERG soutenu par AURA Environnement ne se seraient pas vraiment mobilisé-es, puisque sans nos tractages massifs aux Granges-Gontardes, la population commençait sérieusement à s'endormir sur le registre des commentaires du commissaire-enquêteur Patrick BERGERET nommé par le TA pour diriger l'enquête publique de révision du PLU des Granges-Gontardes.

    En effet, après avoir constaté que seulement 2 personnes avaient paisiblement écrit 2 commentaires "Péperre" sur le registre, le CPERG décidait de se structurer et de passer à l'action en tractant massivement dans le village très étendu des Granges-Gontardes en ouvrant les yeux des gontardien-es sur le véritable enjeu de cette modification du PLU qui visera à installer sur 2 zones à vocation sportives un projet de décharge d'au moins 75 000 T de déchets face à nos vignobles de notoriété internationale comme ceux du "Baron d'Escalin" dont la réputation commerciale devrait pâtir de l'image d'une décharge située juste en face de ses vignobles de la vallée du Rhône où "le terroir, le savoir-faire, l'histoire" sont mis en exergue par la commercialisation du Domaine d'Escalin (cépage Syrah 100 %), l'Esprit d'Escalin (cépages Syrah 45 % et Grenache 55¨%), le Jardin d'Escalin (cépage Syrah 100 %), le Rosé d'Escalin (cépage grenache 100 %), le Vergobbi Rosé ((cépages Grenache 70 % et Syrah 30 %), le Vergobbi (Grenache 70 % et Syrah 30 %) pour ne pas parler du Vergobbi Grand V (Cépages 50 % et Syrah 50 %), car le terroir des vignobles du "Baron d'Escalin", c'est, en lisant la plaquette publicitaire, "Une belle association du sol et du mistral, en fait un terroir d'exception. Les Vignobles Baron d'Escalin sont un terroir d'alluvions rhodaniennes et de gros galets roulés du quaternaire. Autres éléments indispensables pour le fruit, la chaleur et la régulation thermique. Le mistral souffle sur le vignoble tout au long de l'année".

    Le mistral souffle toute l'année, en effet, et juste en face de la future décharge PAPREC/COVED, la qualité des vins des Granges-Gontardes prendra certainement un sacré "coup de plomb dans l'aile" !

    A-t-on déjà vu, dans le monde entier, des vignobles situés juste en face d'une décharge ?

    Le CPERG aidé d'AURA Environnement soutenu déormais par l'INAO et l'ensemble des vignerons de la Vallée du Rhône dont ceux de l'Appellation AOC Grignan-les-Adhémar, ira contester la révision du PLU devant le tribunal administratif pour que la future "verrue" ne vienne ternir un territoire d'exception où la philosophie allie respect et tradition lorsque la qualité des vins prend racine dans le respect du terroir et de la vigne, dans le savoir-faire de la vinification et l'alchimie de l'assemblage !

    Il n'y a pas d'autre issue que le respect dû à l'environnement et à la protection des animaux aux Granges-Gontardes !

  • Quand Michel APROYAN le maire des Granges-Gontardes écrivait au préfet 26 pour se plaindre de la décharge COVED à Roussas !

    Le 13/03/2009, Michel APROYAN, l'actuel maire des Granges-Gontardes

    écrivait au préfet de la Drôme pour se plaindre de la décharge COVED

    de la commune de Roussas, et de celle de Sita Mos à Donzère

    alors que maintenant il veut absolument installer une décharge COVED

    de 75 000 T à 100 000 T de déchets DND dans sa commune !!!

    Maire gg pref 2Le 13/03/2009, Michel APROYAN, l'actuel maire des Granges-Gontardes prenait sa plume pour écrire au préfet de la Drôme pour se plaindre de la décharge COVED de Roussas et celle de Donzère (Copies au ministre-maire de Donzère, le député, le maire de Roussas, le maire de La Garde Adhémar, la conseillère générale, les sociétés COVED et SITA Mos, le Dauphiné Libéré, la Tribune).

    Objet : "Centres d'Enfouissement Techniques (CET) de Donzère et Roussas".

    En effet, le maire des Granges-Gontardes Michel APROYAN se plaignait au préfet que "Depuis plusieurs mois, la commune des Granges-Gontardes et ses administrés subissent des nuisances olfactives de plus en plus insupportables", en ajoutant que "Ces nuisances proviennent du CET de Donzère exploité par la société SITA Mos et/ou celui de Roussas exploité par la société COVED. Certes ces installations ne sont pas récentes mais ce phénomène d'odeurs qui s'est aggravé depuis plusieurs mois reste pour nous assez inexplicable".

    Le maire des Granges-Gontardes Michel APROYAN continuait : "Nous avons donc alerté les exploitants à plusieurs reprises. Notre dernier courrier est resté lettre morte de la part de SITA Mos. Pour autant, les deux exploitants, n'ont pas d'explications probantes. C'est ce qui nous inquiète : pas d'explications, pas de solutions à apporter à moins qu'on ne nous dise pas tout...".

    AVANT, IL Y AVAIT DES ODEURS à ROUSSAS ET PAS D'ARGENT pour les Granges-Gontardes !

    BIENTOT, IL Y AURA DE L'ARGENT pour les Granges-Gontardes ET PLUS D'ODEURS aux Granges-Gontardes !

    Le maire des Granges-Gontardes Michel APROYAN martelait : "Cette nuisance se propage jusque dans la plaine de la Garde Adhémar : Christian ANDRUEJOL, maire, m'a interpellé sur le sujet. Je crois savoir qu'il a aussi questionné les exploitants car nombre de ses administrés résidant dans la plaine se sont également plaints.".

    Nous sommes bien d'accord avec le maire des Granges-Gontardes Michel APROYAN quand il se sentait impuissant "Face à cette problématique, nous nous sentons complètement dépourvus ; contrairement au bruit par exemple, l'odeur n'est pas "mesurable", tout du moins que je sache. D'où notre difficulté d'évaluer cette nuisance, de la quantifier et de faire reconnaître qu'elle existe et qu'elle est croissante".

    Le maire des Granges-Gontardes Michel APROYAN demandait donc au préfet 26, "de bien vouloir convoquer une CLIS (Commission Locale d'Information et de Surveillance" exceptionnelle réunissant si possible les deux exploitants en même temps.", car, "L'objectif de cette CLIS serait de faire toute la lumière sur ce phénomène d'odeurs, d'identifier les causes et bien évidemment pour nous et nos administrés de trouver des solutions rapides et radicales".

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    "SOLUTIONS RADICALES" ? Hum ! Hum ! Très intéressant tout cela pour les collectifs CPERG (Collectif de Protection de l'Environnement vers Roussas- Les Granges-Gontardes) et le tout nouveau Collectif OVO (Orgues Vertes d'Olive) qui se battent de concert avec le soutien d'AURA Environnement contre le projet de modification actuel du PLU des Granges-Gontardes visant à installer pour 18 ans la nouvelle décharge COVED (celle qui puait en 2009, selon le maire des Granges-Gontardes) sur les terrains qui seraient déclassés de l'auto-cross et du moto-cross après l'actuelle enquête publique sur le PLU !..

    Maire gg pref 1 3 jpg ab1 jpg abc1Le maire des Granges-Gontardes Michel APROYAN persistait non sans raison : "Les deux sites sont installés chez nos voisins de Donzère et de Roussas mais en limite territoriale de notre commune" en indiquant au préfet de la Drôme "Ce sont les habitants des Granges Gontardes qui en subissent les conséquences à longueur d'année sans que la commune en ait au moins quelques retombées économiques.....".

    Maire gg pref 1

    Le maire des Granges-Gontardes Michel APROYAN "s'en prenait" également la COVED : "Monsieur le préfet, vous n'étiez pas en poste à ce moment-là, mais je vous informe qu'en avril 2008, sur le site de Roussas, un incendie d'une intensité difficilement maîtrisable a généré, pendant plusieurs jours, un panache de fumées irritantes, ne présentant pas de toxicité aiguë, dixit les résultats d'analyses. La commune des Granges Gontardes s'est retrouvée dans ce panache oh combien "odorant" puisque c'est jusqu'a Bollène que ces fumées ont été senties !".

    Dans sa conclusion, l'excellent maire des Granges-Gontardes Michel APROYAN déclarait, également : "Nous sommes conscients que ces déchets doivent trouver une issue de traitement mais aujourd'hui, pour les habitants des Granges Gontardes, trop c'est trop...".

    Ce sera, en effet, "TROP c'est TROP" du début 2018 (date possible enquête publique projet décharge COVED LCJ3 aux Granges-Gontardes) à la fin de l'exploitation de la décharge de Roussas, en ajoutant encore les 18 ans supplémentaires d'exploitation COVED aux Granges-Gontardes, le CPERG est bien d'accord avec vous Monsieur le maire des Granges-Gontardes !

    EN 2017 : CHANGEMENT de DISCOURS de Michel APROYAN dans le bulletin municipal de septembre 2017 mis dans les boites-aux-lettres des citoyens des Granges-Gontardes ce tout début de semaine ....

    Ggcm2

    - Faire une école pour les enfants et accepter la décharge COVED pour les polluer ?

    - L'intérêt financier 2017 de la commune des Granges-Gontardes passe-t-il avant la santé des habitants ?

    - Une voiture électrique pour les agents techniques pour une démarche "éco responsable"

    tandis qu'odeurs et envols de plastiques, cartons et papiers légers de la décharge COVED

    déferleront encore sur nos vignobles AOC du caveau du "Baron d'Escalin"

    (où l'on déguste le super "Vergobbi Rosé" avec modération)

    nos champs d'oliviers, végétation de la commune des Granges-Gontardes !!!

    Gg cm 1

    ...... (5 jours après le tractage massif du CPERG dans ces mêmes boites-aux-lettres et la venue d'une douzaine de personnes qui ont répondu massivement à l'appel du CPERG pour rencontrer le commissaire enquêteur, samedi 23/09/2017, à 10 h, en mairie des Granges-Gontardes), le MAIRE des GRANGES-GONTARDES VEUT cette fois FAIRE VENIR la DECHARGE COVED sur sa commune des Granges-Gontardes.

    Envolées les odeurs de la décharge COVED ? Ce n'est plus "trop c'est trop" comme en 2009, alors que la CSS (Commission de suivi de site qui a remplacé l'ex-CLIS) de la décharge COVED à ROUSSAS, (comme l'a maintenant maintes fois dénoncé AURA Environnement aux services de la préfecture de la Drôme et dans une pétition,) ne s'est même pas réunie en 2016 !!! C'est dire comment est surveillée cette décharge COVED à Roussas qui puait les ordures en 2009 et qui respirerait presque le parfum des poubelles lors de la future installation de Coved aux Granges-Gontardes !

    Maire gg tract 1

    C'est un SCANDALE et personne ne s'en est offusqué ni à Roussas ni même aux Granges-Gontardes ?

    Curieux tout cela, non ? D'un côté le maire et d'autres personnes sonnent la charge contre la décharge voisine de Donzère et de l'autre, cela ne les dérange pas qu'il n'y ait pas eu de CSS pour faire le point annuel en 2016 sur les envols de plastiques légers, par exemple, en provenance de la décharge Coved de Roussas sur les vignes AOC des Granges-Gontardes ?

    En 2009, les habitants trouvaient que la décharge COVED c'était "trop c'est trop" ; en 2013, seule la décharge SITA semble faire l'objet de "nuisances" ; en 2017, le projet de décharge COVED n'apporterait donc que du "bonheur" avec des recettes supplémentaires parce que "les dotations de l'Etat fondent comme neige au soleil" aux citoyen-es des Granges-Gontardes et comme par miracle, AUCUNES ODEURS NI AUCUNES NUISANCES ne viendraient jusqu'au village des Granges-Gontardes qui sont pourtant en droite ligne sous les vents dominants, comme vous avez pu le constater dans la plaquette d'une synthèse de l'étude d'impact sur l'extension de la carrière des Granges-Gontardes où d'ailleurs les riverains des Granges-Gontardes, après avoir monté une pétitionnette, se plaignaient des envols de poussière et des passages de camions ?

    C'est normal de voir ces trous béants des décharges COVED et carrière GSM sur les flancs de Roussas ? Ce sera normal de voir le petit village des Granges-Gontardes bientôt associé à une décharge, alors que la commune envisage avec le futur argent de la COVED de rénover le bourg ?

    Il va falloir tirer tout cela au clair, camarades !

    Comment se fait-il que le commissaire-enquêteur en charge de l'enquête publique sur la modification du PLU se soit subitement déplacé au début de cette semaine n° 30 de l'an de grâce 2017 après le passage en mairie de la population qui a répondu massivement aux tractages du CPERG ?

    Nous attirons tout spécialement l'attention du préfet de la Drôme qui supervise le déroulement de cette enquête publique de modification du PLU !

    Nous attendons les explications du Commissaire-enquêteur sur sa venue ce début de semaine dans un chemin des Granges-Gontardes.... juste après la mobilisation du CPERG !

    Comme par hasard, les choses se sont activées depuis la mobilisation du CPERG aux Granges-Gontardes, la semaine dernière avec nos tractages massifs pour rappeler aux habitant-es des Granges-Gontardes leur devoir de citoyen en se rendant à l'enquête publique sur la modification du PLU dans leur commune !

    Comme nous l'a dit le maire dernièrement, les gens sont informés et ne viennent même pas aux réunions du conseil municipal. Ce qui n'est pas normal lorsque l'on défend les valeurs de la République !

    Nous passerons à la loupe les tenants et les aboutissants de TOUTES les modifications de zonage de cette enquête publique de modification du PLU, comme nous l'avons déjà fait, en 2016, dans la commune de Saint-Sorlin-en-Valloire située au nord de la Drôme, où AURA Environnement avait mobilisé en masse les citoyen-es de la commune pour la modification du PLU en faveur de la commune CONTRE l'extension d'une décharge intolérable qui regorgeait d'amiante.

    A Saint-Sorlin-en-Valloire, grâce aux tractages massifs d'AURA Environnement, les habitants ont été très solidaires de leur maire - qui LUI nous a soutenu jusqu'au bout - et ont refusé que la décharge poursuive son activité en ayant à modifier le PLU qui aurait encore "bouffé" des zones agricoles !

    AURA Environnement a gagné à Saint-Sorlin-en-Valloire ! Nous espérons faire de même dans le Sud de la Drôme, aux Granges-Gontardes, en barrant la route au projet de décharge COVED avec l'aide solidaire du maire, des élu-es et des citoyens attachés à leur territoire !

    Mobilisez-vous CAMARADES ! PENSEZ à l'avenir de nos enfants ! Une décharge qu'elle soit de COVED ou de SITA MOS reste une décharge avec des nuisances intolérables qu'il convient de combattre, comme le dénonçaient le maire des Granges-Gontardes en 2009 et en 2013 avec les habitants !

    CAMARADES des Granges-Gontardes : AURA Environnement et le CPERG (Collectif de Protection de l'Environnement vers Roussas-Les Granges-Gontardes et maintenant l'OVO (Collectif Orgues Vertes d'Olive) ne vous laisseront JAMAIS, JAMAIS tomber !

    Decharge nicollin presse bComme pour la décharge Nicollin à Saint-Romain-en-Gal où notre huissier a constaté que des camions passaient à côté du pont bascule, nous relèverons, avec vous, s'il le faut le défi permanent....

    Nicollin dauphine a....Nous serons potentiellement de toutes les procédures au tribunal administratif de Lyon POUR l'avenir des Granges-Gontardes, si cela s'avère nécessaire !

    Le département de la Drôme ne va pas tolérer ENCORE une nouvelle décharge alors qu'il y a déjà celles de Chatuzange-le-Goubet et de Donzère, sans compter celle de Roussas qui doit bientôt fermer et qui veut maintenant s'écarter sur les terrains voisins des Granges-Gontardes en virant des milliers de motards et des centaines de badauds pour les RDV de pilotage de l'auto-cross exploitée par la société P2C-Racing qui va devoir mettre la clé sous la porte parce qu'elle risque de ne plus avoir bientôt de terrain pour exercer son activité professionnelle, comme actuellement, elle le fait et ce, sans AUCUN ....bail sur un terrain communal qui appartient aux contribuables qui ont le DROIT de demander des comptes à l'autorité administrative compétente !  Pourquoi un bail à nos camarades du Moto-cross et pas à celui qui dirige la société P2C-Racing qui a consulté un avocat vendredi dernier ? Où sont l'exemplarité et l'égalité Républicaine tant désirée par le président de la République, Emmanuel MACRON, à qui, nous allons demander personnellement son intervention dans cette histoire de projet de décharge aux Granges-Gontardes ?

    Chacune et chacun sait que, lorsque le président MACRON "tape du poing sur la table", ça ne "bronche" pas chez les élu-es qui "filent doux" comme dans ce dossier où le président de la République vient de siffler la fin de la récréation en s'appuyant sur le Conseil d'Etat qui vient de débouter la société nordiste Innovent, promoteur d'un projet de parc éolien sur la Côte d'Opale, à Widehem et Frencq, entre Boulogne-sur-Mer et Le Touquet !

    La loon 062

    La pétition CONTRE le projet de décharge aux Granges-Gontardes fera-t-elle le buzz, comme celle de Dunkerque (https://www.mesopinions.com/petition/animaux/contre-projet-usine-dechets-dangereux-indachlor/30569) - (source : le Phare Dunkerquois - groupe La Voix du Nord) où AURA Environnement passera bientôt à l'offensive au tribunal administratif de Lille contre le futur arrêté préfectoral d'autorisation du projet "Seveso Seuil Haut" Indachlor porté par les belges de la SASU Indaver à Loon-Plage dans le GPMD (Grand-Port-Maritime-de Dunkerque) !

    Forte de l'adhésion massive de plus de 18 000 signataires à notre 1ère pétition internet locale, nationale et internationale, EN SEULEMENT 5 jours, (https://www.mesopinions.com/petition/animaux/sauvons-animaux-vignobles-aoc-grignan-adhemar/34303 ), AURA Environnement ne va pas se gêner pour interpeller le président de la République Emmanuel MACRON afin qu'il fasse passer à la loupe sur ce tout ce qui se trame dans cette région de Roussas/Les Granges-Gontardes et plus particulièrement dans le département de la Drôme où la République semble n'être pas trop "En marche" mais plutôt  "En Reculade" sur bien des principes auxquel-les, nous sommes toutes et tous attachés : la défense de la République avec ses valeurs fondamentales, équitables et immuables, comme la Liberté, l'Egalité, la Fraternité, conformément à notre constitution ! Cf. le lien Twitter en faveur du président de la République : https://twitter.com/MCdeportebane/status/860556403886391296

    Est-il vraiment démocratique que le secrétariat républicain de la mairie républicaine des Granges-Gontardes nous refuse, le 29/09/2017, la communication de documents administratifs publics ?

    Est-il normal d'accorder un bail à telle structure et pas à une autre sur un terrain communal ?

    Où en est notre demande de RDV avec le sous-préfet de Nyons ?

    Wendy 006

    Pas de cela aux Granges-Gontardes comme à la décharge COVED de Roussas !

    La loi TECV doit être respectée partout sur le territoire national car nos lois ne s'appliquent pas que sur certains pans de notre pauvre France ! Coved champ 004

    La République est Une et indivisibe que ce soit aux Granges-Gontardes, à Saint-Sorlin-en-Valloire, à Vic-de-Chassenay, à Champigny-sur-Yonne...

    Coved champ 005

    ....à Saint-Martin-des-Champs dans le Finistère ou à la décharge SUEZ de Narbonne où bientôt les "orgues de Staline" d'AURA Environnement ne vont pas tarder à déclencher les éclairs de l'orage des masses populaires et le déluge de la mobilisation citoyenne !

    Venez à notre conférence de presse demain lundi 03 octobre 2017 à 18 h sur le terrain du moto-cross aux Granges-Gontardes rencontrer les journalistes !

    Marc-Claude de PORTEBANE

    Président d'AURA Environnement

  • Le camion d'AURA Environnement sauve un petit marcassin dans la région de Montélimar !

    Les camions des activistes d'AURA Environnement,

    de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux

    et du CPERG (Collectif de protection de l'environnement

    vers Roussas-Les Granges-Gontardes)

    ont évité que la voiture suiveuse ne tue le petit

    marcassin perdu dans la région de Montélimar !

    Raisins i 014

    Pour empêcher que la voiture qui nous suivait ne l'écrase, les militant-es d'AURA Environnement et du Collectif de Préservation vers l'Environnement vers Roussas-Les Granges-Gontardes (CPERG) ont sauvé d'une mort certaine ce tout petit marcassin qui devait chercher sa potentielle "feu" maman dans les joncs alentours !

    Ce bébé sanglier, à l'abandon total, aurait été observé depuis plusieurs jours - selon plusieurs usagers de cette départementale - et semblait complètement désorienté, ne sachant pas où trouver gîte pour la nuit, et vie pour le jour.

    Nous avons parlé au petit marcassin et lui avons dit : "soit tu dégages du bitume ; soit tu restes en vie, en suivant nos conseils et tu t'évapores dans la Drôme provençale". Il a écouté le flottement de la casquette à l'étoile rouge ! Ensuite, il a filé dans la nature encore verdoyante de cette si belle région de Montélimar qui ne respirera, désormais, plus les mêmes odeurs entre Roussas et la commune des Granges-Gontardes !

    Nous aimerions savoir ce que le préfet de la Drôme va décider de son sort parce que plusieurs medias parisiens et provençaux sont extrêmement sensibilisés par son sort !

    Puisque l'on ne nous dit rien sur le futur projet de décharge lors de l'actuelle enquête publique concernant la modification du PLU aux Granges-Gontardes, non loin dans la Drôme provençale, les militant-es du CPERG épaulé-es par AURA Environnement et de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux (plus de 50 000 Like sur Facebook), ont décidé de ne pas s'adresser à la DDPP 26 mais directement au ministère de l'Ecologie et à la très respectable ONCFS !

    Il y a parfois des exceptions, où les écologistes voient si peu d'un très bon oeil la politique de l'ONCFS qui prend en compte certaines recommandations de Florence BURGAT, philosophe, directeur de recherche à l'INRA, détachée aux Archives Husserl de Paris et qui travaille sur la condition animale, notamment sur un angle phénoménologique !

    MCDP

  • Offensive gérérale ZERO WASTE & AURA Environnement ALTRIOM : la DREAL Auvergne-Rhône-Alpes comportement idem Pinochet !

    Finistère (GUYOT Environnement : Saint-Martin-des-Champs) ; Drôme (COVED-PAPREC : Roussas) ; Haute-Loire (ALTRIOM : Polignac)......

    Certains fonctionaires de la DREAL Auvergne-Rhône-Alpes

    sous les ordres de leurs préfets respectifs

    se comportent en ennemis de l'Etat en prenant

    constammment la défense des pollueurs afin

    de vous tromper et ne pas donner la Vérité !Aa87

    Vous devez nous aider afin de trouver d'autres solutions que les juridictions administratives pour engager des procédures les engageant personnellement, car ils ne respectent pas la Constitution et encore moins la République. Tout se fait en cachette dans ce pays !!! Ne croyez surtout pas ce qu'ils vous disent. Ils nous mentent souvent. Les enquêtes publiques ne sont que tartufferie. Les dés sont pipés d'avance. Quoique nous fassions, ce sera toujours le pot de terre contre le pot de fer. Les dirigeants de la Corée du Nord, ce sont eux ! Ce sont des parias anti-républicains qui ne sont pas dans le consensus démocratique et qui trahissent les idéaux de la République. N'ayons pas peur de l'engeance pinochétiste ! Battons-nous avec nos tripes pour la défense des animaux et de l'environnement. Heureusement que tous les fonctionnaires de la Dreal ou de la DDPP ne sont pas toutes et tous comme cela ! Nous ne vous parlerons pas, non plus, de celles et ceux qui se connectent sur les sites de rencontre pendant leurs heures de travail..... au frais du contribuable !!! Demandez aux responsables départementaux des DDPP et des DREAL, les nombres de leur RTT respectifs !

    Avec le dossier ALTRIOM, nous sommes plusieurs à avoir découvert nombre d'interrogations.

    AURA Environnement demande également des éclaircissements sur ce qui se passe à Polignac et surtout comment est utilisé l'argent public !!!

    La réponse de Zéro Waste :

    Réponses tardives, refus de fournir des documents pourtant communicables de droit... obtenir des informations sur la gestion des déchets par les industriels n’est pas toujours chose facile, alors même que la loi française est très claire. Elle consacre en effet « le droit de toute personne d'accéder aux informations relatives à l'environnement détenues, reçues ou établies par les autorités publiques » (articles L124-1 et suivants du Code de l’environnement).

    Une usine qui valoriserait 90% des déchets et refuse de transmettre ses rapports d’exploitation ?

    A Polignac (Haute-Loire), l’usine « Altriom - Ecopôle tri et valorisation des déchets », fait grand bruit : elle affiche un résultat très prometteur de « 90% des déchets de la poubelle grise valorisés ».

    Curieux d’en savoir plus sur le procédé qui permettrait d’atteindre un tel résultat, Zero Waste France a demandé à l’exploitant de l’usine, en juillet 2016 puis en janvier 2017, la transmission de ses rapports annuels d’activité, afin de connaître
    précisément le détail de ce qui entre et sort de l’installation.

    Suite au
    silence assourdissant de l’exploitant, Thibault Turchet (juriste dans l'équipe permanente de Zero Waste France) a contacté la Direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement (DREAL) Auvergne / Rhône-Alpes. Cette administration dispose en effet des documents devant lui être remis périodiquement par les exploitants de ce type d’usines (quantités réceptionnées et évacuées, polluants rejetés dans l’eau et l’air, analyses des déchets et du compost, statistiques détaillées...). Malheureusement, c’est un nouveau refus que nous avons essuyé !

    Face à ce manque de transparence, le doute s'installe : les chiffres exemplaires avancés par Altriom ne seraient-ils que des objectifs, loin d'être atteints ? Et de quelle valorisation parle Altriom ? Nous suspectons une "valorisation" essentiellement énergétique, alors que la valorisation matière (recyclage) devrait être la priorité. 

    Zero Waste France Saisit la Commission d’accès aux documents administratifs

    Zero Waste France saisit donc ce jour la Commission d’accès aux documents administratifs (CADA), qui est une autorité administrative indépendante chargée de rendre un avis lorsque l’accès à un document est refusé par une administration.

    «
    En 2017, on pourrait penser que ce genre de pratique n'a plus cours. Et pourtant, il est régulièrement fait obstacle à l’accès à des documents parfaitement communicables sur simple demande » constate Thibault Turchet, responsable des affaires juridiques à Zero Waste France.

    C’est pourquoi nous invitons les associations à
    aller jusqu’au bout de leurs démarches, trop souvent interrompues par découragement. Il suffit en effet de bien garder une trace des demandes initiales, d’attendre un mois puis de saisir la CADA si nécessaire (les procédures sont bien expliquées sur son site).

    Nous attendons désormais l’avis de la CADA, et appelons les industriels et administrations concernées à un respect plus rigoureux du droit d’accès à l’information en matière environnementale.

  • Décharge COVED-PAPREC à Roussas : la pétition d'AURA Environnement cartonne + DIE-IN le 14 juillet 2017 rues #Roussas :

    Rencontres écolos à Roussas

    si l'Etat continue à faire de la rétention

    de l'information à AURA Environnement :

    TOUS au DIE-IN du 14 Juillet 2017

    dans les rues de ROUSSAS !

    17 450 signatures en 8 jours + 453 Commentaires

    pour notre pétition :

    http://www.mesopinions.com/petition/animaux/sauvons-chaussette-diesel-odeurs-envols-plastiques/27978

    Rouss 098

    image: http://l-idiot-provincial.e-monsite.com/medias/images/rouss-098.jpg?fx=r_900_1200

    DEFINITION du DIE-IN organisé par AURA Environnement : Manifestation pacifique de piétons et/ou de cyclistes qui s’allongent par terre tous ensemble sur la voie publique afin d’illustrer la conséquence la plus tragique d'une décharge, la mort. L’expression « Die-In » dérive de l’anglais « Sit-In » (Manifestation pacifique constituée de personnes assises par terre sur la voie publique). Le Die-In est un évènement symbolique (au même titre qu’un Sit-In ou un Bed-In) à caractère théâtral. Un Die-In demande à ses participants de simuler la mort à l’intersection de deux rues pour représenter les conséquences d'une décharge les plus fâcheuses pour l'environnement : la mort du tourisme, la mort de nos terroirs, la mort de nos savoir-faire, la mort de nos traditions .....

    Plus d'infos et inscriptions citoyennes, ici : http://l-idiot-provincial.e-monsite.com/

  • PETITION : SAUVONS les toutous « Chaussette » et « Diesel » des odeurs et envols de plastiques vers la décharge COVED-PAPREC à Roussas (Drôme) !

    TOUTES et TOUS à ROUSSAS ! Rejoignez nos 44 000 fans sur Facebook et les 800 militant-es fanatiques de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux réuni-es en comité central ce week-end à Argelès-sur-Mer https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/

    SAUVONS les toutous « Chaussette » et « Diesel »

    des odeurs et envols de plastiques vers la décharge

    COVED-PAPREC à Roussas (Drôme) !

    Rouss peze 007 2 jpg 2LIEN Pétition : http://www.mesopinions.com/petition/animaux/sauvons-toutous-chaussette-diesel-odeurs-envols/27978

    Auteur : Marc-Claude de PORTEBANE, Président d’AURA Environnement, Porte-parole de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux et du Collectif de Protection de l’Environnement vers Roussas (CPEP)

    Créé le 07/02/2017  

    À l'attention : Mr le président de la Commission européenne Jean-Claude JUNCKER, Mr le Commissaire européen Karmenu VELLA, Mr le préfet de la Drôme

    Les toutous « Chaussette » et « Diesel » vivent à proximité de l’immense décharge Coved-Paprec au lieu-dit « Combe Jaillet » dans la Drôme où se propagent dans la nature sacs en plastique et odeurs pestilentielles dans un paysage bucolique composé de vignobles ancestraux, de champs de lavande et d’oliviers.

     

    AURA Environnement et le Collectif de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux demandent à Mr Pascal BRIE de l’UT Dreal 26 en charge des installations classées pour la protection de l’environnement et au préfet de la Drôme, Eric SPITZ, de prendre toutes les mesures qui s’imposent pour que cessent ces nuisances insupportables pour les animaux et les habitants des communes de Roussas et Les Granges-Gontardes.

     

    Nous, signataires de cette pétition, nous exigeons la fermeture définitive de cette décharge COVED-PAPREC au 31/12/2021 sans possibilité d’arrêté préfectoral complémentaire d’extension ou de prolongation après 2021, date à laquelle devra se mettre en place la phase de post-exploitation ; que l’ONF de la Drôme-Ardèche fasse nettoyer les envols de plastiques autour de cette méga décharge à la charge de COVED-PAPREC sur les arbres (dont des chênes verts, du Chèvrefeuille des Baléares ou de l’Asperge à feuilles aiguës) et sols des forêts communales et privées où vivent de très nombreux animaux sauvages ; que les élu-es de la commune de Roussas dirigée par Mme Christiane ROBERT prennent toutes les mesures pour que cessent ces massacres de l’environnement et soutiennent publiquement notre cause ; que l’assemblée nationale et le ministère de l’Environnement se penchent sur le fait qu’il n’y ait pas eu de CSS (Commission de Suivi de Site) en 2016 ; que Bernard ROUDIL le sous-préfet de Nyons, la Fédération départementale des chasseurs de la Drôme et l’Association communale de chasse agrée de Roussas dont un des buts est de favoriser sur son territoire le développement du gibier et de la faune sauvage dans le respect d’un véritable équilibre agro-sylvo-cynégétique nous dressent un inventaire complet des animaux susceptibles d’avoir ingurgité des sacs plastiques sucrés ou salés souillant les sols comme nous avons pu le constater ; que le groupement fonctionnel du SDIS 26 dirigé par le colonel Olivier BOLZINGER nous dise pourquoi des tas de sacs en plastiques noir renfermant d’autres plastiques non-identifiés ont été retrouvés aux abords de la piste parallèle à la RD 113 (en direction du Centre d’Enfouissement Technique COVED-PAPREC et du Motocross vers le Bois des Mattes) ; que nous soyons correctement informés par le directeur de cabinet du préfet de la Drôme Stéphane COSTAGLIOLI ou Marie-Laure PELISSIER la secrétaire du préfet de la Drôme lorsque nous demandons des précisions Républicaines sur la décharge COVED-PAPREC (notamment la communication des rapports annuels 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016) ou la transmission d’ informations capitales sur la sécurisation absolue de l’espèce remarquable en déclin en Europe : l’Alouette lulu !

     

    PROTEGEONS ensemble les toutous « Chaussette » et « Diesel » et les autres espèces innocentes  - comme les oiseaux Bubo bubo, Caprimulgus europeeus Linnaeus, Lullula arbores, Monticola solitarius ou les nombreux reptiles dont Timon lepidus - des envols de plastiques ABSOLUMENT DEGUEULASSES vers la décharge COVED-PAPREC à Roussas dans la Drôme !

     

    L’homme est tenu de savoir. L’homme est responsable de son ignorance. L’ignorance est une faute !

     

    NOUS, protecteurs des animaux et de l’environnement, NOUS EXIGEONS que LES SERVICES DE L’ETAT DE LA DROME, LA COMMUNE DE ROUSSAS et la COMMUNAUTE de COMMUNES ENCLAVE DES PAPES-PAYS DE GRIGNAN CESSENT de NOUS TENIR dans L’IGNORANCE sur la DECHARGE de COVED-PAPREC !

     

    Rejoignez-nous pour un DIE-IN de MASSE dans les rues de ROUSSAS tous les 14 juillet dont celui de 2017 ! Inscription : aura-environnement@laposte.net

     

    Marc-Claude de PORTEBANE
    - Président d’AURA Environnement
    - Porte-parole de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux
    - Porte-parole du Collectif de Protection de l’Environnement vers Roussas (CPEP)
    http://www.aura-environnement.com/

  • Décharge de Saint-Romain-en-Gal : AURA Environnement organise la Résistance avec populations locales !

    Répondant à l'appel des populations locales ulcérées

    AURA Environnement organise la Résistance

    contre une énième demande de prolongation

    de la décharge NICOLLIN à Saint-Romain-en-Gal !

    Romaura 112Cette semaine, une réunion préventive a été organisée par les cadres d'AURA Environnement et les populations locales vivant à proximité de l'infâme décharge gérée par l'entreprise NICOLLIN avec le soutien actif des services de l'Etat du Rhône et les élu-es locaux !

    Alors que la pétition internet lancée par AURA Environnement pulvérise tous les records d'audience avec plus de 14 000 signatures en à peine une semaine (+ 386 commentaires à ce jour), nos militant-es ont lancé une vaste campagne de sensibilisation des populations locales dans un rayon de 100 km autour de la commune de Saint-Romain-en-Gal située en face de Vienne (Rhône + Isère + Loire + Ardèche + Drôme) en déposant la pétition (version papier)....

    Rom5 001....chez les commerçants et les artisans qui, pour la plupart ne connaissent pas cette décharge et encore moins les odeurs pestilentielles qui font des ravages parmi les populations locales et les animaux exposés de "plein fouet" lorsque les vents mauvais balaient la région de Saint-Romain-en-Gal, village martyr du sud du département du Rhône....

    Romaura 125....non-loin des vignobles de Condrieu dont la réputation risque d'être ternie dans les prochaines années si la DDPP 69 (Direction départementale de la protection des populations) persiste à négliger la qualité de vie et la protection.....

    Romaura 124......des riverains et des populations locales excédées par temps d'années de souffrance et d'incompréhension face au rouleau compresseur de l'Etat combiné à l'industriel !

    11 fevrier 12 apres nettoyage 2 copierLa CSS (Commission de Suivi de Site) en date du 12/05/2016 qui a rassemblé Denis BRUEL, secrétaire général-adjoint de la préfecture du Rhône ; Antoine DUPERRAY conseiller départemental du Bois d'Oingt ; Michèle PEREZ présidente du Parc naturel régional du Pilat ; Pierre LANGLAIS maire de Saint-Romain-en-Gal ; André MASSE maire de Sainte-Colombe ; Michel MONTMEAS adjoint-au-maire de Saint-Cyr-sur-le-Rhône ; Catherine FISCHER chef de service et Roland COURBIS inspecteur de la DDPP 69 ; Pascal RESTELLI inspecteur de la DREAL UD 69 ; Jean-Louis BLAY directeur de l'exploitant NICOLLIN ; Youcef LEKOHAL et Cyril CACCHIA salariés de l'entreprise NICOLLIN ; Marc GAVIOT-BLANC et Jean FAVEYRIAL pour les riverains ainsi que Rachel BELUZE et Laurence DANJOU-GALIERE de la DDPP 69 ; Guillaume HAREL du bureau d'études TAUWN France ; Valérie MAYEUX-RICHON de la Métropole de Lyon et Christophe WAREMBOURG du Groupe NICOLLIN ne peuvent pas dire qu'ils ne connaissent pas le quotidien infernal vécu par les populations locales et les animaux :

    - odeurs désagréables qui s'infiltrent dans les habitations, les commerces et les entreprises le soir et les week-ends

    - envols de sacs plastiques

    - émissions de sulfure d'ydrogène (H2S) et de dioxyde de soufre (SO2)

    04 fevrier 2012 8 copier 1

    Entre sacs plastiques sucrés ou salés et neige,

    les animaux ne font pas la différence

    et se tuent en s'emmêlant les pattes !

    Cette décharge est autorisée au titre de la rubrique 2760-2 pour un volume de 80 000 T/an ainsi ques délestages (que l'on nous dit exceptionnels sans plus de précision) d'usines d'incinération d'ordures ménagères.

    Ce tonnage se répartit de la façon suivante :

    - Déchets artisanaux commerciaux et industriels banals (DIB) : refus de centres de tri ou non triables : 69 000 T

    - Ordures ménagères des communes voisines : 1 000 T

    - Ordures ménagères provenant d'arrêt des UIOM : (on nous dit exceptionnel)

    - Cendres humides et boues de stations d'épuration d'eaux usées (STEP de la métropole de SAINT-FONS) : 8 000 T (on nous dit exceptionnel)

    - Boues de stations d'épuration d'eaux usées : 2 000 T.

    DENI de DEMOCRATIE et de TRANSPARENCE

    Depuis le mois d'août, AURA Environnement a voulu faire le point avec la DDPP 69. A chaque fois, régulièrement chaque mois, on nous a dit qu'il n'y avait rien de nouveau.

    Et qu'avons-nous appris dernièrement ?

    Nous avons découvert..... qu'une énième demande de prolongation avait été déposé en novembre 2016 par la société NICOLLIN (Bureau d'ingénierie SETEC, Energie renouvelable à Lyon) et ce, pour une durée de 2 fois 6 mois pour un total de 12 000 T et que le CoDERST allait se réunir le 15/12/2016 afin d'émettre un avis d'autorisation, sur lequel le préfet devrait statuer dans les prochains jours en accordant encore une fois une prolongation de plus.

    Cette décharge est ouverte depuis 1967 et peut recevoir 80 000 T de déchets/an. Cette installation est autorisée par l'arrêté préfectoral du 21/10/2009 et l'arrêté préfectoral complémentaire du 28/12/2015 qui prévoyait la fin de l'exploitation du casier C pour le 31/12/2016.

    Alors que rien n'a été soufflé aux populations locales lors de la CSS du 12/05/2016, nous apprenons - maintenant - que la société NICOLLIN souhaite maintenir l'exploitation de la seule décharge du Rhône, et projette ainsi d'en poursuivre l'exploitation en réhausse sur les casiers A et B. C'est pour cela que la société NICOLLIN a donc déposé un Dossier de Demande d'Autorisation d'Exploiter (DDAE) en ce sens..... pour assurer la pérennité de l'installation pendant le délai estimé d'instruction de ce DDAE et prolonger l'exploitation du casier C au-delà du 31/12/2016.

    D'où le silence obscur et total (sur ce DAE de NICOLLIN) de la part de la DDPP 69 (La DDPP a refusé de transmettre à AURA Environnement une copie du courrier de l'entreprise NICOLLIN de demande de prolongation de cette décharge, le rapport de l'inspecteur de la DREAL 69 au CoDERST et le projet d'arrêté préfectoral en violation de l'article L.124-3 du Code de l'environnement) ; la non-communication de ce "Porter à connaissance" par Pierre LANGLAIS, le maire de Saint-Romain-en-Gal à AURA Environnement (Notre RDV en mairie avec le 1er adjoint Gérard VINCEROT et une élue chargée de l'environnement a vite tourné "court", puisque nous n'avons juste obtenu qu'eu une copie d'une délib' du 23/04/2015 et une autre plus ancienne de fin 2014 !!!! - LOL -) ; et le silence "radio" des différents services de l'Etat qui refusent de nous communiquer quoique ce soit parce que la France est une DICTATURE et non une DEMOCRATIE !

    Le préfet du Rhône et surtout son secrétaire général veulent passer "en force", ils ont donc transmis leurs "ordres de blackout" TOTAL aux populations de la grande région Auvergne-Rhône-Alpes. Et nous sommes sous un gouvernement de GAUCHE, Mesdames et Messieurs. Nous sommes sous une dictature de "gauche" qui semble n'avoir de "gauche" que l'appellation !

    Et bien non, Mr le secrétaire-général de la préfecture du Rhône, Mr Denis BRUEL ! Votre énième prolongation à l'entreprise NICOLLIN fin 2015 aura été la dernière ! Assez de mensonges aux populations locales ! Nous demandons l'intervention du médiateur de la République ! Ca suffit ! Les populations locales épuiserons toutes les voies légales pour s'opposer à une énième prolongation de cette SEULE décharge du Rhône ! Et cela commencera par un référé uspension !

    Nous avons pu joindre quelques membres du CoDERST avant le 15/12/2016 mais le temps nous a manqué. Nous nous en excusons auprès des populations locales de Saint-Romain-en-Gal et des communes voisines ! Nous nous en excusons auprès des personnes atteintes de cancers ! Nous nous en excusons auprès des animaux jouxtant cette décharge et qui se respirent "en pleine poire" des odeurs insupportables de gaz !

    Ce que vous devez savoir, c'est que la cour d'appel de Lyon, dans son arrêt du 09/03/1999, avait donné raison à "l'Association contre l'extension de la décharge régionale de Saint-Romain-en-Gal" qui demandait l'annulation d'un jugement du TA de Lyon en date du 22/01/1997 qui avait rejeté sa demande contestant le bien fondé de l'arrêté du préfet du Rhône du 22/05/1996 qui avait imposé des prescriptions complémentaires à la société NICOLLIN et compagnie pour l'exploitation du centre d'enfouissement technique de résidus urbains à Saint-Romain-en-Gal ainsi que les éléments complémentaires ordonnés par le tribunal ; l'association demandait l'annulation de l'arrêté du préfet du 22/05/1996 ; l'association soutenait que la société NICOLLIN et compagnie n'était propriétaire d'aucun terrain sur le territoire de Saint-Romain-en-Gal ; que les surfaces annoncées par l'administration étaient erronées ; que l'arrêté du 02/05/1973 devait être regardé comme n'ayant accordé une autorisation que pour les 10 parcelles qu'il citait ; que la réception des boues et des cendrres d'incinération ne constituait pas des produits inertes pour ces parcelles ; qu'il était clair que cette augmentation avait augmenté la polllution du ruisseau Marauday ; que sur les quantités l'arrêté comportait une incohérence puisqu'il accordait le dépôt d'un poids total de déchets de 960 000 T alors que la capacité de stockage restante était estimée à 750 000 T.....

    TIENS ! TIENS ! Intéressant cet arrêt de la cour d'appel de Lyon !

    Cela fait plus de 10 jours que nous essayons - vainement - de joindre la Fédération départementale de la pêche du Rhône. A chaque fois, le standard nous a répondu que le président Alain LAGARDE était en "réunion". Pas un SEUL rappel du président LAGARDE et pas une SEULE réponse de son conseil d'administration à notre mail du 12/12/2016.

    Objectif de notre futur Collectif : Puisque cette Fédération départementale de la pêche du Rhône ne daigne pas nous répondre, nous vous demanderons, Camarades, de demander l'avis à tous les administrateurs des 43 associations agrées de pêche et de protection du milieu aquatique (AAPPMA) que compte le département du Rhône sur cette nouvelle demande de NICOLLIN. Nous élirons un délégué qui ne s'occupera que du dossier "Pêche". Nous irons - en plus - dans les bistrots où ils vendent leurs cartes de pêche à l'information des masses populaires qui aiment bien taquiner nos amis les poissons en les relâchant ensuite !

    LE PEUPLE sera désormais informé et ne sera plus tenu dans l'ignorance crasse !

    Alors que dans cette CSS 2016 pas un mot sur une éventuelle prolongation pour ne pas affoler les populations locales et les prendre de vitesse. Ils n'en ont pas pipé un seul mot.  Ils ont juste parler de remise en état du site, de servitudes d'utilité publiques, de révision du règlement d'urbanisme, de parc phovoltaïque, de l'étude olfactométrique, d'envol des sacs plastiques, de la difficulté de valoriser le biogaz en raison de la présence de silice, de la reprise de l'étanchéité du ruisseau sur toute la traversée de la décharge, de la réception des 66 096 T de déchets en 2015 dont 89 % sont des DIB.....

    Depuis le 15 décembre, (pendant que les gens ont la tête ailleurs et ne pensent qu'à s'affairer pour les cadeaux des fêtes de noël 2016), c'est silence radio du côté des services de l'Etat qui ne tiennent absolument pas à dévoiler le résultat, préférant cacher aux populations locales la vérité et de les mettre, une fois l'arrêté préfectoral signé impérativement avant le 31/12/2016, devant le fait accompli.

    En fait, ils pensent que ça passera une nouvelle fois devant des élu-es plus ou moins passifs qui n'ont eu de cesse de crier mais qui se sont - en fait - couchés devant les arrêtés préfectoraux successifs. Pas un élu de Saint-Romain-en-Gal ou des communes alentours n'est allé contester au tribunal administratif l'arrêté préfectoral de fin 2015 ! Ni les "écologistes" de la FRAPNA du Rhône !

    C'est un scandale alors que les populations locales sont ennivrées par les odeurs infernales ! Où sont-ils ces écolos de la FRAPNA qui ont touché pas mal de fric de l'ex-Région Rhône-Alpes ? 

    Nous avons demandé au nouveau président de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, Laurent WAUQUIEZ, de nous sortir l'état des subventions à la FRAPNA et à la Ligue de protection des oiseaux (LPO) sour l'ex-présidence QUEYRANNE !

    Qu'ont-ils fait, eux, les écolos de cette FRAPNA 69 adhérente à la FNE (Fédération Nature Nature Environnement) ? Nous allons passer à la loupe les CoDERST 69 ainsi que tous les dossiers où la FRAPNA devrait nous épauler ! Il suffit d'observer comment ça c'est passé avant ce 15 décembre entre la FRAPNA 69 et AURA Environnement ! Ils nous ont carrément raccroché au nez  parce que nous voulions savoir qui représenterait le FRAPNA 69 au CoDERST !

    Plusieurs personnes sont atteintes de cancers dans la région de Saint-Romain-en-Gal. C'est normal ? Quelle est la prévention des populations locales par l'ARS sur les dangers encourus par les riverains ? Pourquoi Mme B. et Mme V. ont-elles eu un cancer du sein ? Pourquoi Mme G. a-t-elle eu un cancer généralisé ? Pourquoi Mr D. a-t-il eu un cancer des oreilles et des poumons ? Pourquoi X a-t-il fait 2 embolies pulmonaires ?

    Qu'en pensent les médecins généralistes et les spécialistes du Rhône ou d'ailleurs, d'ailleurs ?

    Est-il normal qu'à l'été 2016, les riverains n'ont pu partager une SEULE fois un barbecue Vegan en famille ? Qu'en pensent les footballeurs amateurs du Montpellier Hérault Sport Club ? Ils n'en font pas de barbecue, eux dans leur Camargue ?

    Romaura 128 2

    "Le Pilat à vélo" sauf dans notre cercle rouge, attention aux odeurs pestilentielles, prière de s'équiper avec un masque à gaz !!! Bientôt une nouvelle pétition visant à boycotter les vins de Condrieu. Patience, SVP !

    Les populations locales ne sont plus seules même si certains élus de Saint-Romain-en-Gal cherchent maintenant à savoir qui nous a contacté. Bonjour l'ambiance ! Comme si la énième demande de prolongation de NICOLLIN n'était pas source de nouvelles inquiétudes pour les habitants des communes riveraines de Saint-Romain-en-Gal !

    Nous devons chercher pourquoi ils-elles favorisent encore cette décharge qui aurait dû fermer, déjà, fin 2015. La recherche en responsabilités commence à la mi-juin 2015, voire plusieurs années antérieures. Nous vous demandons de ne pas hésiter à demander à la DDPP 69, à la DREAL 69, à la préfecture du Rhône, à vos élu-es des explications !!! Car, eux, ils le savent !

    Et n'oubliez pas Camarades, VOTRE IGNORANCE EST LEUR POUVOIR !

    Et que penser du Parc régional "naturel" du Pilat souillé d'une telle façon par des odeurs persistantes depuis de trop nombreuses années !

    St rom 061Et que penser de ces pauvres moutons qui respirent de l'air en permanence vicié pratiquement toute l'année ?

    Romaura 107

    Et bien Mr le préfet du Rhône, si entre sacs plastiques salés ou sucrés dans la neige les aniimaux ne font pas la différence et "se tuent en s'emmêlant les pattes", Nous, signataires de la pétition internet et papier d'AURA Environnement présente chez les petits commerçants et les, petits artisans, les sans-grade, le Tiers-Etat de la République des ripoux, nous, nous estimons que les animaux sont supérieurs à nous et nous nous coucherons à leur côté pour leur éviter une mort certaine et inadmissible ! Les animaux n'ont pas à être gazés ! Les humains, non plus ! Assez de Dachau !

    Lien de notre pétition : http://www.mesopinions.com/petition/animaux/halte-mise-danger-moutons-agneaux-lieu/26877

    Nous ferons descendre à Saint-Romain-en-Gal toutes et tous les camarades fanatiques et épris d'amour pour les animaux ! Nous voulons un diagnostique immédiat sur la santé des moutons, agneaux, vaches, chevaux, toutous, chats, et... dans un rayon de 10 km autour de cette décharge archaïque ! Nous ferons descendre la France à Saint-Romain-en-Gal ! Si les fonctionnaires du Rhône et les élu-es n'ont aucune pitié pour la défense des animaux, ils se trompent lourdement !

    Pour défendre la Noble cause des moutons et des agneaux innocents de Saint-Romain-en-Gal dans le Rhône, je n'ai pas besoin de 10 000 camarades-manifestants pour gesticuler ! Je veux juste les 500 plus fanatiques des plus fanatiques et déterminé-es que compte la P.A. (protection animale) !

    Vous êtes plus de 40 000 admiratrices et admirateurs de ma page de la "Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux". Merci de nous envoyer un message en MP pour en finir avec la décharge archaïque de Saint-Romain-en-Gal en nous contactant via ce lien https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/

    Feu ! Ouvrons le bal ! Place au covoiturage des militant-es de la P.A. (Protection Animale). Frères, soeurs, "Pas de téléphone sur place", SVP. Répétons : "Pas de téléphone sur place". Juste une carte d'identité dans le jean. Répétons : "Juste une carte d'identité dans la poche".

    Frère numéro 1 Marc-Claude de PORTEBANE

    K1 (Camarade n° 1)