Kérolzec
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AURA Environnement dénonce lacunes Enquête publique extension unité de tri et valorisation déchets inertes Guyot Environnement vers Morlaix !
- Par auraenvironnementparis
- Le 18/06/2017
- Dans Stop stockage CSR de Guyot Environnement à Saint-Martin-des-Champs !
AURA Environnement aura été la SEULE assoc' environnementale
à s'opposer lors de l'enquête publique du 16/05 au 16/06/2015 à la
demande d'autorisation d'exploiter une unité de tri et de valorisation
de déchets inertes à Kérolzec à Saint-Martin-des-Champs vers
Morlaix dans le Finistère et présentée par Guyot Environnement de Brest !
Presque personne n'est venu à cette enquête publique aux mairies de Saint-Martin-des-Champs, de Sainte-Sève et de Taulé. Voici les commentaires d'AURA Environnement qui ont été transmis sur le registre lors de la présence du commissaire-enquêteur Ernest QUIVOURON désigné par le tribunal administratif :
COMMENTAIRE
Le 19/05/2017 AURA Environnement constate un mur d’agglos ou de parpaings.....
......alors que sur les photos d’ AURA Environnement le 27/11/2016, il n’y a aucune construction à cet emplacement qui correspond à la zone de stockage de 595 m² des balles de CSR, comme indiqué dans l’enquête publique.
La dernière demande effectuée par Guyot Environnement à l’urbanisme de Saint-Martin-des-Champs remonte à :
- Permis de construire modificatif
Demande déposée le 02/04/2003 par Guyot Environnement à Brest.
N° PC 2925402M1003 1
Objet : Modification du bâtiment principal
Le 16/06/2017, le service de l’urbanisme à la mairie de Saint-Martin-des-Champs confirme bien qu’aucune demande n’a été effectuée par la société Guyot Environnement pour un permis de construire ou une autorisation de travaux.
Selon le responsable de l’urbanisme de la mairie de Saint-Martin-des-Champs, les photos qu’AURA Environnement lui montre confirme bien qu’il y a emprise au sol supérieure à 20 m².
L’enquête publique est donc insincère et ne prends pas en compte ces modifications de l’installation de la société Guyot Environnement.
Nous demandons la démolition de cette construction et une nouvelle enquête publique.
AUTRE COMMENTAIRE
UN SITE EXISTANT
Le dossier présente le fonctionnement et les volumes triés sur le site existant mais qui ne sont pas le reflet des activités aujourd’hui en place : la société GUYOT a déjà mis en place le process de préparation des CSR décrit comme « projet » dans le dossier objet de la demande.
Dans le schéma décrivant les installations actuellement sur le site il ne figure pas d’étape de préparation/broyage de CSR, uniquement un tri mécanique, et pourtant des balles de CSR sont présentes sur le site avant l’enquête publique.
Le site de st martin est autorisé par son AP de 2006 à réaliser des activités de tri et transit de déchets non dangereux selon les rubriques 2713, 2714, 2716 et 2718, mais n’est pas autorisé à préparer des CSR. Il s’agit d’un dossier de régularisation et non pas de demande.
Nous demandons
- De renvoyer Guyot face à ses responsabilités pour tricherie sur ce dossier et cette enquête publique
- De pointer du doigt une filière de valorisation CSR qui peut permettre tous les abus dans sa mise en oeuvre
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CADRE REGLEMENTAIRE CSR
Le cadre réglementaire pour la fabrication de CSR et pour les installations destinées à les recevoir a été clarifié en mai 2016. La société GUYOT n’y fait pas référence et doit pourtant s’y conformer. La conformité à l’AM n’est pas étudié alors que la valorisation des CRSr en chaufferie 2971 est évoquée pour « plus tard » dans le dossier.
Référence réglementaire : Il s’agit du décret n° 2016-630 du 19 mai 2016 modifiant la nomenclature des installations classées pour la protection de l'environnement qui crée la rubrique 2971 (régime de l’autorisation) pour les installations de production d'énergie sous la forme de chaleur ou d'électricité à partir de déchets spécifiques de type CSR, accompagné de deux arrêtés ministériels relatif à la préparation et la combustion de CSR.
Seule la conformité à l’AM du 13/10/10 est analysée.
- Nous demandons à Guyot de justifier la conformité de son projet à ce texte de mai 2016
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FILIERES DE VALORISATION
Nous demandons une transparence totale sur les filières de valorisation des CSR. Quelles sont-elles ? Où sont-elles ? Sont-elles réellement locales ? Existe-t-il réellement des partenariats commerciaux établis ?
Cela nous parait indispensable dans la mesure où certaines filières avancées n’existent pas sur la Bretagne (Voir point 2 les projets de chaufferie 2971 qui sont évoquées pour « plus tard ») !
- Nous demandons à ce qu’une vraie transparence soit apportée dans le dossier :
- Lister l’ensemble des exutoires prévus avec leur localisation et les volumes passés et futurs
- Démontrer la capacité reprenneur à accepter les CSR produits par GUYOT
- Justifier que tout CSR produit sur le site aura un exutoire et le prouver dans le temps
- Démontrer l’existence d’accords commerciaux entre GUYOT et ces sites
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TRAFIC ROUTIER ET PROXIMITE DES FILIERES
Plusieurs points du bienfondé du projet semblent à nos yeux infondés :
- Le projet doit contribuer à augmenter la capacité de tri et valorisation des déchets non dangereux en Bretagne. S’il est effectivement nécessaire d’avoir des outils de ce type sur le territoire il est toutefois fallacieux de se targuer d’être une solution locale quand on ne dispose pas de filières de valorisation de proximité. Ce volet n’est pas du tout traité dans l’analyse de l’impact sur le trafic. Marche-t-on sur la tête pour transporter des CSR sur des centaines de kilomètres depuis Saint martin des Champs.
- Nous demandons à ce que le projet soit redimensionné :
- Interdire le traitement des CSR en dehors la Bretagne.
- Réaliser un véritable bilan carbone du projet en incluant l’ensemble des activités transport.
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- VOLUMES PREVISIONNELS
Nous sommes surpris de voir que la société GUYOT s’engage dans son dossier à ne pas excéder les volumes définis alors que c’est le fonctionnement courant de cette exploitation par le passé. Comment GUYOT imagine gérer la variabilité / saisonnalité de son activité ? Devra-t-on voir grandir des stocks de déchets en balle dans un état de dégradation avancé des balles sur le site ? Quelles sont les filières de secours pour évacuer le CSR ? Quel impact sur la qualité des eaux de pluie qui percolent sur les balles éventrées qui sont rejetées en rivière et ne sont pas considérées comme eaux industrielles (traitement, contrôle…) ?
- Nous demandons à ce que le projet soit redimensionné :
- Limiter de moitié les 12 385 m3 volumes stockés en balles à l’extérieur
- Imposer des durées maximum de stockage sur le site compatible avec la bonne tenue dans le temps des balles de déchets
- Considérer les eaux de pluie ruisselant sur les déchets comme des eaux industrielles à traiter avant rejet et à suivre du point de vue de la qualité des rejets
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- LE TRAITEMENT DES EAUX
Les balles stockées sur le site sont dans un état déplorable et les eaux de pluie peuvent percoler au travers de ces balles de déchets éventrées. Pourtant GUYOT affirme dans son dossier qu’il ne produit pas d’eaux industrielles alors qu’il s’agit bien d’eaux industrielles, et que ces effluents sont rejetés au milieu naturel, à 75m du site dans la rivière Pennelé !!
Il s’agit d’un enjeu important compte tenu du contexte et du milieu environnant du site (zones naturelles recensées au droit du site, de la présence d’hameaux d’habitations proches et de la faune et la flore identifiées au droit du site).Pourtant GUYOT traite de le sujet en se basant sur ses propres considérations : les eaux de pluie au contact des déchets et générées sur son site ne peuvent pas être source de pollution.
Nous sommes surpris de voir que le système de traitement des eaux du site est quasi-inexistant. Comment est-ce qu’un simple bac décanteur et un débourbeur séparateur peuvent assurer et garantir un traitement efficace avec le rejet d’eaux industrielles en rivière sur un site où les stocks extérieurs sont importants et où du broyage de bois a lieu à l’air libre et sont au contact direct avec l’eau de pluie ?!
Ces eaux doivent être contrôlées, et GUYOT ne détaille pas du tout ce qui se passerait en cas d’analyses physico-chimiques « non concluantes » des rejets ?!
- Nous demandons les compléments suivants :
- La meilleure façon de ne pas générer d’effluents pollués et d’éviter le contact de l’eau avec les déchets : les stocks n’étant pas couverts et les balles présentant un risque de détérioration important, nous demandons la mise en place d’une toiture permettant de limiter la génération d’effluents souillés et donc de limiter le risque de pollution accidentel de la rivière.
- Renforcer le système de contrôle des effluents : type de polluants et fréquence
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Aussi, les eaux d’arrosage durant les phases de broyage sont donc des eaux industrielles, rejoignant simplement le réseau d’eau de pluie et sont donc rejetées au milieu naturel : la rivière.
- Nous demandons les compléments suivants :
- De compléter ce dossier avec des mesures des émissions de poussières durant les phases de broyage de bois actuellement sur site
- D’imposer à GUYOT de réaliser des mesures et analyses des émissions de poussières lorsque le granulateur CSR sera mis en place.
- De réaliser des mesures et analyses d’eaux avant rejet à la rivière pendant les phase de broyage et donc d’arrosage
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POUSSIERES
Puisque qu’une gêne pour les riverains ne peut être comparée à une norme, GUYOT considère que le site ne présente pas d’impact sur les poussières émises. Pourtant un dépassement est avéré. De plus, des campagnes de broyage de bois ont lieu sur site à l’air libre sur les plateformes extérieures : quelles auraient été les résultats d’analyses durant ces phases de broyage ? Les dépassements auraient été certainement plus nombreux malgré les systèmes d’arrosage qui sont évoqués pour limiter l’impact.
AUTRE COMMENTAIRE
Cette enquête publique à Notre-Dame-des-Champs doit être annulée car l’ordonnance, fixée par décret et qui est entrée en vigueur au plus tard le 01/01/2017 (Source : JORF du 5 août 2016, texte 14 - Ordonnance no 2016-1060 du 3 août 2016 NOR : DEVD1614801R) n’a pas été appliquée.
En effet, cette ordonnance modernise l’enquête publique régie par le code de l’environnement en prévoyant, en plus des formalités classiques, le recours à la dématérialisation pour faciliter l’information et la participation du public.
Cette ordonnance a pris effet le 1er janvier 2017 en réformant l’enquête publique et lui imposant l’utilisation d’Internet dans le cadre de projets ayant une incidence sur l’environnement.
Même si la procédure papier reste cependant obligatoire, celle-ci est complétée par l’adjonction d’Internet comme un lieu de consultation complémentaire où le public peut déposer ses observations et lire les avis des autres concitoyens.
De plus, la mise à disposition d’un poste informatique dans un lieu ouvert au public est devenue obligatoire. Cela n’a pas été le cas à la mairie de Saint-Martin-des-Champs où seuls 2 classeurs et le registre des commentaires ont été mis à la SEULE disposition du public.
Les citoyens n’ont donc pas été informés correctement de l’existence de cette Ordonnance qui permet d’apporter une contribution publique à une enquête publique.
En effet, l’objectif du registre d’enquête public électronique est de permettre au public de plus facilement prendre connaissance du projet puis d’exprimer ses appréciations, suggestions et contre-propositions, alors que déposer un avis sur le registre dématérialisé de cette enquête publique aurait été plus simple, sécurisé et potentiellement anonyme.
Le registre d’enquête publique électronique aurait dû indiquer l’objet de l’enquête publique, l’arrêté d’ouverture de l’enquête publique, la référence du tribunal administratif, le nom du commissaire-enquêteur ainsi que toutes pièces du dossier dont l’avis de l’autorité environnementale qui est absent également en version papier.
Certaines enquêtes publiques proposent l’utilisation de l’e-mail en guise de voie numérique. Cependant, un e-mail est très facilement falsifiable et ne répond donc pas aux articles 1316-1 à 1316-4 du code civil reconnaissant l’écrit numérique comme une preuve « sous réserve que puisse être dûment identifiée la personne dont il émane ».
Un registre numérique d’enquête publique reflète aux yeux de la population une image moderne d’un territoire ! Nos concitoyens peuvent ainsi consulter le dossier de présentation à toute heure et en tout lieu et déposer une observation agrémentée de documents de qualité en pièces jointes.
Tout n’a donc pas été mis en œuvre pour que le commissaire-enquêteur puisse recueillir les avis et observations de la population de la région de Morlaix dans de bonnes conditions et de façon la plus limpide possible.
La loi sur la reconnaissance du support numérique n’a donc pas été respectée.
Cette enquête publique sur l’implantation de cette ICPE (unité de tri, transit et valorisation de déchets à Saint-Martin-des-Champs déposée par Guyot Environnement) doit être annulée.
AUTRE COMMENTAIRE
1 - Dans le cadre de mes activités de veille sur les enjeux déchets, notamment au sein de plusieurs groupes de travail (DMA et DAE ; Déchets du BTP ; Déchets organiques ; Déchets dangereux ; Filières régionales ; Prévention, sensibilisation, communication), dont la commission CSR du Plan régional de prévention et de gestion des Déchets de la Région Bretagne, j’ai eu connaissance d’un récent rapport publié par l’ADEME sur le traitement des ordures ménagères résiduelles (OMr).
En résumé, l’ADEME, après avoir contribué à faire inscrire dans la loi TECV qu’il fallait renoncer aux unités de tri mécano-biologique produisant du compost à partir des OMr, indique à présent qu’il faut aussi éviter de fabriquer du CSR à partir de ces mêmes OMr.
Une première concrétisation voit le jour dès maintenant avec le cahier des charges de l’appel à projet Energie CSR 2017 qui interdit les intrants issus d’OMr dans les projets relevant sa priorité 1 (les seuls qui auront une chance d’être sélectionnés…).
C’est donc clairement l’ensemble de la filière de prétraitement des OMr par tri mécanique qui est visée et à laquelle l’ADEME appelle à renoncer.
Le rapport ADEME, un récent article du site spécialisé Déchets.com qui en fait une synthèse ainsi que le cahier des charges de d’appel à projet Energie CSR 2017 que je tiens à la disposition du Commissaire enquêteur en sont donc les preuves irréfutables qui rendent automatiquement caduque cette enquête publique sur la demande d’autorisation d’exploiter une unité de tri et de valorisation de déchets non-dangereux (DND) au lieu-dit Kerolzec à Saint-Martin-des-Champs.
2- En 2016, nous avons fait constater par un huissier de justice – Me BOUGEANT de Morlaix – que des balles de CSR – pourtant emballées sous film plastique - étaient éventrées à l’air libre. Les photos du constat de l’huissier ont été publiées sur le site internet d’AURA Environnement http://www.aura-environnement.com/
Qu’en sera-t-il dans les prochaines années ?
3- Nous aimerions savoir ce que sont devenues les milliers de tonnes de CSR stockées sur ce site de Kerolzec. Nous aimerions connaître les tonnages entrants et les bons de pesée de ce CSR à destination, notamment - chez Lafarge Ciments SA à Saint-Pierre-la-Cour – géré par Geocycle -. Combien Lafarge a-t-il payé ces tonnages ?
En 2011, le Finistère a exporté 135 000 tonnes de déchets et se plaignait de manquer de capacités de stockage en local.
Pourtant ces milliers de camions au départ du site de Kerolzec à Saint-Martin-des-Champs chez, notamment, Lafarge vers Laval coûtent de plus en plus cher à la collectivité, et sont en totale contradiction avec l'un des engagements du Grenelle et son principe de proximité dans le traitement des déchets.
Il y a donc incohérence.
Quels ont été les coûts du stockage et du transport pour le contribuable ?
4- Nous aimerions savoir si la société Guyot environnement a effectué des tests d’élimination de son CSR à l’étranger comme au Maroc ou par exemple dans des pays nordiques.
5 – Nous aimerions savoir combien de camions/containers/jours ont potentiellement transité de Saint-Martin-des-Champs vers le port de Brest jusqu’à ce jour.
6 – Les plastiques durs des RBA (Résidus de broyage automobile) gisant à Brest sont-ils utilisés pour faire du CSR stocké à Saint-Martin-des-Champs ?
7 - Combien de tonnes de refus de film sont-elles envoyées chez Lafarge ? 5 000 T ? 7 000 T ?
8- Qu’en pensent notamment les élue-es de Morlaix Communauté : Jean-Luc FICHET, Jean-Luc FICHET, Claude PODER, Françoise RAOULT, Guy PENNEC, Guy POULIQUEN, Maryse TOCQUER, Nathalie BERNARD, Serge LE PINVIDIC, Thierry PIRIOU, Yves MOISAN, Yvon LE COUSSE, Alain TIGREAT, André FLOCH, André NEDELLEC, Anne QUENEA, Annie HAMON, Annie LONEUX, Annie PIRIOU, Bernadette AUFFRET, Bernard GUILCHER, Bernard LE VAILLANT, Béatrice PICART, Christian LE MANACH, Christiane DUGAY, Christiane LEON, Christophe MICHEAU, Clotilde BERTHEMET, Clotilde ROUX, Daniel LANGLADE, François GIROTTO, François HAMON, Françoise BARBIER, Françoise FER, Georges AUREGAN, Gildas JUIFF, Gilles MER, Gwenole GUYOMARCH, Hervé CILLARD, Hervé RICHARD, Hervé SAINT-JALM, Ismaël DUPONT, Jacqueline LE FOLL, Jean-Charles POULIQUEN, Jean-Guy GUEGUEN, Jean-Michel PARCHEMINAL, Jean-Paul VERMOT, Joseph IRRIEN, Joëlle HUON, Marc MADEC, Marie DECIMO, Marie SIMON-GALLOUEDEC, Marlène TILLY, Martine DILASSER, Martine MADEC, Michèle BEUZIT, Nicole MOULUT, Patrick YHUEL, Pierre LE GOFF, Pierre-Yves MINEC, René LE TALLEC, Rollande LE HOUEROU, Sarah NOLL, Solange CREIGNOU, Thierry DESMARRES, Thierry HUON, Valérie LE DENN, Véronique PEREIRA, Yvon HERVE, Alain TIRILLY, Albert LOZAC'H, Albert THOMAS, André LE DOEUFF, André PRIGENT, Annick LE GALL, Ariane PARANTHOEN, Aurélien LE GUILCHER, Aurélie JEGOU, Benoît BUFFETEAU, Brigitte MEL, etc….
Marc-Claude de PORTEBANE
Président d’AURA Environnement
- Porte-parole du Collectif Greenbretagne (COGB)
- Membre des groupes de travail DMA et DAE ; Déchets du BTP ; Déchets organiques ; Déchets dangereux ; Filières régionales ; Prévention, sensibilisation, communication du Plan régional de prévention et de gestion des Déchets à la Région Bretagne
- Porte-parole de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux
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Guide Hachette & Wine Advocate de Robert Parker consultés par Domaine de Coussergues sur + odeurs Usine à Poubelles "Ecopôle de la Valasse" #Béziers ?
- Par auraenvironnementparis
- Le 12/02/2017
- Dans STOP Ecopôle de la Valasse à Montblanc
Alors que les populations locales vers Montblanc (34) commencent à voir rouge :
la société VALORSYS PRES DES OLIVIERS et le préfet 34 ont-ils
demandé les avis du Guide Hachette et du Wine Advocate de Robert Parker
pour les futurs envols de poussières,
pulvérisations d'odeurs de l'Usine à poubelles
"Ecopôle de la Valasse" près du prestigieux "Domaine de Coussergues" ?
Marc-Claude de PORTEBANE
Le Château de Coussergues se situe à dix kilomètres à l'est de Béziers, sur les dernières collines dominant la Méditerranée. Cette vaste (310 ha) et ancienne seigneurie royale de 1495 est la propriété de la famille Sarret de Coussergues depuis quinze générations.
Le prestigieux Domaine de Coussergues qui se trouve sur la départementale 28 entre Béziers et Bessan en dehors du village de Montblanc (Sorties d’autoroute : Sortie autoroute A9 Agde – Bessan (sortie n°34) = 8km ; Sortie autoroute A9 Béziers - Est (sortie n°35) = 15km ; Aéroport de Béziers - Cap d'Agde = 15km. Distances avec les villes alentours : Béziers : 10 km, Cap d’Agde : 12 km, Pézenas : 15 km, Montpellier : 60 km) a-t-il prévenu les Guide Hachette et le Wine Advocate de Robert Parker de ce qui se prépare à quelques centaines de mètres de son vaste territoire dont est issu un vin de pays/IGP Oc, le "Coussergues" qualifié par Hachette, (Guide 2016), de "Rouge tranquille" possédant "Une majorité de cabernet-sauvignon (80 %) associée à du petit verdot, voici les bases de cette cuvée très sombre, au nez classique de fruits noirs sur fond de boisé chocolaté et vanillé, au palais bien équilibré, alliant puissance, rondeur et volume." ?
En effet, le 24/11/2016, la DREAL Occitanie présentait aux membres du CoDERST un projet de modifocation des prescriptions préfectorales d'exploitation des installations de tri et de stockage de déchets non-dangereux. Site concerné : VALORSYS PRES DES OLIVIERS - RD 28 - 34290 MONTBLANC.
Avec en PJ un plan de situation, des plans des installations (DDAE et REALISE) ainsi, qu'en cadeau, un projet d'arrêté préfectoral ... qui ne comporte pas les mêmes références dans la pièce communiquée aux membres du CoDERST (UT34/H2/2016/121) et dans le projet qui mentionne lui : UD34/H2/2016/121 !
Une petite erreur qui risque d'être de donner raison à AURA Environnement au tribunal administratif ?
A cette réunionïte du CoDERST de l'Hérault, il leur a été proposé de réserver une suite favorable au projet d'arrêté établi afin "d'encadrer les modifications" pour lesquelles la DREAL Occitanie n'a pas eu d'objection, et afin de prendre en compte les 11 aménagements déjà cités par le préfet "conformément au courrier du préfet daté du 11/01/2016".
Très intéressantes les nouvelles prescription de l'article 7 sur les "Envols de poussières", de ce projet d'arrêté du préfet, Pierre Pouëssel, notamment l'ensemble des pistes non-revêtues d'accès aux alvéoles de stockage des remblais qui feront "l'objet d'aspersions d'eau aussi souvent que nécessaire notamment en périodes sèches et ventées" ........
Quelles seront les incidences sur les vignobles environnants et la qualité de leurs vins lorsque Pouëssel Pierre prendra un arrêté portant mise en place des mesures de restrictions des usages de l'eau dans le cadre de la gestion de la sécheresse des 20 prochaines années ?.
L'arrêté préfectoral complémentaire a été signé vendredi 10/02/2017 !
ORGANISONS LA RESISTANCE !
DEFENDONS NOS PRODUCTIONS VITICOLES !
Pas question de "baisser la garde" sur les dispositifs de limitation d'émission des poussières de ces installations qui occupent une surface totale de 41 ha en tout ou partie des lieu-dits "La Martinique", "La Croix", "Mont-Auriol" et "La Valasse" !
N'hésitez pas à demander à vos élu-es de Montblanc - qui sont d'ardents défenseurs de l'environnement - leurs avis sur les caractéristiques des rejets à l'atmosphère et les teneurs en polluants des émissions gazeuses (dont les COV hors méthane) ou les matières en suspension totale (MEST) !
Camarades ne soyez ni dupes ni ignorants : les MEST sont responsables de la turbidité de l'eau, peuvent perturber la photosynthèse et la respiration des organismes aquatiques et véhiculer d'autres contaminants (métaux lourds) !!!
AVEC LE MAIRE et les ELUS
DEFENDONS l'ENVIRONNEMENT
DEJA LARGEMENT DEGRADE à MONTBLANC !
Nous espérons que les représentants des associations de protection de la nature et de défense de l'environnement ont voté CONTRE ce projet d'arrêté préfectoral de prescriptions complémentaires portant modification des prescriptions préfectorales d'exploitation des installations de tri et de stockage de DND de l'Ecopôle de la Valassse !
Que font les écolos locaux ?
AVEC les HABITANTS de MONTBLANC
DEFENDONS la CAUSE ANIMALE !
Le 14/01/2017, perdu chat mâle, castré, pucé sur l'aire d'autoroute Béziers Montblanc Sud. Il est gris clair avec les pattes et la queue rayées (un peu le tête aussi). Il a les yeux bleus et louche un peu. Si vous le retrouvez, merci de bien vouloir me contacter au 06.24.80.32.19
Camarades ! Défendons nos IGP/Oc qui ne doivent pas se transformer en "vinasse" déclassée dans le Guide Hachette ou d'autres références internationales de renom dans une région où souffle déjà les vents mauvais du chômage et de l'insécurité économique !
DEFENDONS nos PRODUCTIONS avec les ELU-ES de
la Communauté d'agglomération Béziers Méditerranée !
Alors que l'Ecopôle de la Valasse va accueillir les déchets non dangereux (DND) du département de l'Hérault et des départements limitrophes ..... "uniquement en cas de défaillances techniques des installations ou d'arrêt programmé des installations pour des opérations d'entretien et de maintenance" sans plus de précisions :
TRI/TRAITEMENT MECANIQUE/MISE EN BALLE
- 97 000 T de déchets non fermentescibles issus d'activités industrielles, agricoles, artisanales + encombrants des ménages issus de déchèteries ou de collecte sélective
- 54 000 T/an de refus non fermentescibles de centre de tri de collecte sélective ainsi que des refus de l'activité de la société "Biométhanisation près des oliviers" : fraction non-fermentescible de l'activité de la presse extrudeuse et refus de dégrillage (1 400 T/an)
STOCKAGE EN BALLES ENRUBANNEES
- 77 500 T/an de déchets non-valorisables issus des activités de tri des déchets non-fermentescibles et encombrants précités + les terres polluées en installation de stockage de déchets non dangereux utilisées uniquement en couverture intermédiaire de l'installation de stockage
- 55 400 T/an de refus précités de l'activité de la société "Biométhanisation près des oliviers"
QUELLE CONFIANCE pouvons-nous AVOIR dans la PAROLE de L'ETAT sur ces futures BALLES qui seraient bien ENRUBANNEES dans l'HERAULT LORSQU'ELLES "PARFUMENT" déjà L'ENVIRONNEMENT à L'AIR LIBRE - AU NEZ ET A LA BARBE DE LA DREAL-29 QUI NE DIT RIEN - COMME chez GUYOT ENVIRONNEMENT en BRETAGNE à SAINT-MARTIN-des-CHAMPS dans la région de MORLAIX, lorsqu'elles sont MAL-ENRUBANNEES ? (Source : Constat huissier SCP BOUGEANT demandé par AURA Environnement) !!!!
Le stockage "en vrac" INTERDIT dans l'arrêté préfectoral du préfet de l'Hérault alors qu'en Bretagne, l'industriel GUYOT Environnement fait ce qu'il veut avec la bénédiction de la Dreal-UT 29 sur le site de Kerolzec à Saint-Martin-des-Champs........
Les dirigeants du cimentier VICAT nous ont dit que ce stockage à l'air libre et ces balles complètement éventrées vers Morlaix constituaient une atteinte à l'environnement et étaient impossible à incinérer dans leurs cimenteries !
Puisque ce vrac et ces balles enrubannées sont inutilisables, direction la décharge ! Combien la Tonne aux frais du contribuable ? C'est un SCANDALE !
....où l'anarchie complète règne en maître sans que le préfet du Finistère bouge le moindre petit doigt !!!!
Et on veut nous faire croire dans le 34, que la DREAL de Montpellier va laver plus blanc que blanc à Montblanc ???
QUE NENNI !
En appui aux riverains de la Méga Usine à poubelles "Ecopôle de la Valasse", AURA Environnement a réuni les populations locales au sein du Collectif de Protection de l'Environnement et du Vignoble vers Montblanc (CPEVMB-34) et appelle les défenseurs de notre patrimoine économique (et surtout viticole) et de l'environnement, les ami-es des animaux, les riverains aidés par les touristes de passage à organiser la RESISTANCE POPULAIRE face à cet arrêté préfectoral !
D'ores et déjà, le Collectif de Protection de l'Environnement et du Vignoble vers Montblanc (CPEVMB-34) a demandé à la mairie de Montblanc la possibilité de tenir nos réunions en mairie de Montblanc ou à la salle des associations !
Le CPEVMB-34 alerte les populations locales ! Pas touche à nos vignobles, d'autant plus que la croissance économique constatée sur les dernières années ne se traduit pas par une embellie en matière d’emploi. Au 1er trimestre 2015, le taux de chômage en Languedoc-Roussillon atteint 14,2%, contre 10% en France métropolitaine. Ce taux est le plus élevé des régions françaises et ne s’explique pas seulement par les crises récentes !L'arrêté préfectoral complémentaire (APC) a été tout juste signé le 09/02/2017.Message à COVED-PAPREC et au préfet de l'Hérault : HORS de QUESTION d'avoir du CSR (Combustible Solide de Récupération) dans l'Hérault dans un autre APC.AURA Environnement et le CPEVMB-34 seront extrêmement vigilants sur la décharge de l'Ecopôle de la Valasse, que ce soit au niveau :- du bâtiment de réception et de tri de déchets non-dangereux secs de 7 200 m² ;- de la zone extérieure de 156 m² de stockage de balles de fractions valorisables pour une surface de 26 m x 6 m pour un volume total de 432 m3 ;- de l'installation de stockage de déchets non-dangereux de 30 ha comprenant 8 casiers subdivisés en alvéoles ;- de la zone de 4 000 m² de traitement des lixiviats et du biogaz ;- des 2 bassins de stockage des eaux pluviales internes ;- de la zone de 10 ha de stockage des déblais issus de la préparation du fond de forme de l'installation de stockage de déchets non-dangereux ;- des bâtiments et zones annexes !A suivre.
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Inauguration centre de tri Généris #3 à Ploufragan : Jean-Yves Le Drian est-il aveugle ou borgne pour Morlaix ?
- Par auraenvironnementparis
- Le 27/11/2016
- Dans Halte stockage CSR Guyot Environnement vers Morlaix
Alors que la nouvelle vitrine de Kerval Centre-Armor
le centre de tri Généris #3 était inauguré à Ploufragan
dans les Côtes d'Armor en présence de Jean-Yves Le Drian :
les alentours du centre de stockage de CSR de Guyot Environnement
étaient "mitraillés" de photos par AURA Environnement vers Morlaix !
En haut en blanc, le centre de stockage de balles de CSR (issues de nos poubelles) de Guyot Environnement vers Morlaix, en dessous, un petit ru rougeâtre (flêche rouges) se dirige directement vers la rivière "La Pennélé" ! Toute la zone est marécageuse, on s'enfonce entre 40 et 60 cm de profondeur voire plus. Le sol est gorgé de produits aqueux et les odeurs sont pestilentielles.
Entourés de nombreux gardes-du-corps et une flopée de RG, l'inapprochable ministre de la Défense et président de la Région Bretagne, Jean-Yves Le Drian, est venu inaugurer le centre de tri sélectif Généris #3 exploité par Suez à Ploufragan où plus de 17 800 T de déchets (journaux, revues, magazines, cartons, bouteilles plastiques claires, briques alimentaires, pots de yaourt, aluminium) sont triés.
Ce sont la plupart de ces élus présents hier avec Jean-Yves Le Drian lors de l'inauguration du centre de tri Généris #3 à Ploufragan qui ont décidé d'octroyer plus de 20 millions d'euros à Guyot Environnement pour la future Unité de tri-valorisation des Châtelets (plus de 330 000 € de frais financiers/an pour les études, le bâtiment VRD, le process de tri et séparation hors plateforme et cabine, plateforme, cabine, équipements mobiles - si besoin -) ! Qu'en pense la Chambre régionale des comptes ? Est-il normal d'avoir autant de frais financiers ?
"Trier pour payer moins cher" vers Saint-Brieuc dans les Côtes d'Armor, "Souci de sensibilisation et de pédagogie" ailleurs en France, alors que la pollution des sols vers le centre de stockage de Guyot Environnement sur le site de Kerolzec à Saint-Martin-des-Champs vers Morlaix dans le Finistère risque de coûter une petite fortune. L'Etat semble laisser pourrir la situation. Personne n'en parle, même pas la presse locale. Ils nous prennent vraiment pour des cons !!!
Généris #3 est un site exemplaire vanté par le syndicat Kerval Centre Armor qui en fait sa vitrine en terme de communication. #3 car ce site en est à sa 3° modernisation (2006, 2013, 2016). Propriétaire : Kerval Centre Armor. Création : 2001. Capacité nominale : 38 000 T. 17 833 T de déchets en 2015 pour Généris #3 sur un territoire de 350 000 habitants, comprenant la zone centrale des Côtes d'Armor, allant de Saint-Brieuc à Binic, Loudéac et Lamballe. Exploitant : Suez Environnement.
Pendant que les élu-es de la région faisaient des risettes au président Le Drian, nos camarades d'AURA Environnement pataugeaient dans la boue aux abords du centre de stockage des balles de CSR (Combustible Solide de Récupération) - retrouvées encore une fois éventrées sur le site de Saint-Martin-des-Champs (Morlaix) et plus particulièrement en remontant le cours d'eau de la petite rivière martyr "La Pennelé" !
AURA Environnement a alerté déjà les services de l'Etat, mais rien y fait. L'Etat laisse faire ! L'Etat nous cache la vérité !
....Pendant ce temps-là, en dessous du centre de stockage de CSR vers Morlaix, le jus couleur tomate s'écoule, dans les sols puis direction la rivière "La Pennelé" !!!!
Dans un premier temps, AURA Environnement demandait à un huissier de la région du Finistère Nord de constater l'état de ces balles de CSR éventrées et laissées à l'air libre qui dégagent des odeurs, puis alertait la préfecture de Bretagne, l'ONEMA et le DDTM du Finistère !
Le 15/11/2016, Serge LE DAFNIET (DDTM 29, service Eau Biodiversité, responsable du pôle police de l'eau), nous répondait que "Le dossier est en cours de traitement par le service installations classées, une visite a déjà été effectuée. Compte-tenu de la nature des produits, et de la configuration des lieux, il n'y a pas de risque de pollution de l'eau".
Question à la DDTM 29 : à quoi sert ce tuyau dans le lit de la rivière La Pennélé ?
Or, ce week-end, nos camarades d'AURA Environnement ont enfilé leurs bottes et effectué une visite des alentours de ce centre de stockage géré par Guyot Environnement, non pas uniquement par la route goudronnée qui rejoint Kérolzec, le château de Bagatelle ou la commune de Saint-Sève.
Les sentinelles d'AURA Environnement sont allées pateauger dans les terrains mouvants de la petite rivière "La Pennélé", en passant non loin du Moulin de la fontaine blanche.
Les petits poissons de la rivière "La Pennélé" vont certainement très apprécier de gober du "ketchup" issu des balles de CSR (Combustible Solide de Récupération) éventrées pour la pluart de Guyot Environnement à Saint-Martin-des-Champs sur le site de Kérolzec. Les CSR sont des déchets solides (bois, plastiques, papiers, cartons, tissus... issus des déchets industriels banals (DIB), des refus de tri en collecte sélective, des déchets non-fermentescibles extraits des unités de tri mécano-biologique (TMB) ou encore des déchets collectés par certaines filières de responsabilité élargie du producteur (REP)...) broyés afin d'être consumés dans des installations de co-incinération, et plus particulièrement les cimentiers qui font la pluie et le beau temps. En France, les 3 cimentiers s'entendent pour faire casquer au producteur le minimum afin que cette option soit moins chère que l'enfouissement) !!! Cette somme n'a bien évidemment rien à voir avec la soit-disante valeur énergétique de ce produit infâme qui en se consumant dégagé des dioxines et des furannes !!!!
Et là : stupeur ! Des petits ruisselets rougeâtres s'évacuent de ce centre de stockage de Saint-Martin-des-Champs géré par Guyot Environnement, la même entreprise qui a gagné le marché de fabrication de CSR sur la zone des Châtelets....grâce aux élu-es de Kerval Centre Armor, non-loin du centre de tri Généris #3 inauguré hier après-midi par Jean-Yves Le Drian !
Non seulement l'eau qui se dégage vers la rivière "La Pennelé" est rouge à souhait, mais en plus, de fortes odeurs pestilentielles se dégagent dans les environs de ce site de Kérolzec.
L'ONEMA est-elle allé, là où les sentinelles d'AURA Environnement se sont rendues alors que les associations environnementales locales comme "Bretagne vivante" ou "Eaux et rivières en Bretagne" ne font absolument aucune visite. Tout juste se contentent-ils de se renvoyer les liens de notre site internet d'AURA Environnement.
Quand est-ce que la région Bretagne va cesser d'alimenter en subventions ces associations qui doivent avoir de sacrés charges d'exploitation pour ne pas venir nous épauler sur le terrain ?
Il n'y a bien qu'AURA Environnement pour défendre cette charmante petite rivière innocente "La Pennélé". Mais que sont donc les CSR ? Faute de définition claire, ils constituent un combustible peu connu et réduit à 3 critères qualitatifs : leur pouvoir calorifique et leur teneur en chlore et en mercure !!!! Allo l'Ademe Bretagne ! Allo Morlaix Communauté ! Allo Gilbert PLASSART ! Allo Bretagne Vivante ! Nous attendons fissa votre avis car les petits poissons ont soif d'eau pure !!!!
Que font les associations de pèche, regroupées en AAPPMA, comme celle de la région de Morlaix qui n'a pas hésité à faire du bon travail en faisant appel à des bénévoles pour le nettoyage de la rivière "La Penzé" et dont le bureau se compose de la sorte :
- Président : Jean-Yves MOAL
- Vice-président : Jean-Paul CHARLES
- Secrétaire : Gilles APPERE
- Trésorier : Henri-Noël CHOLET
Combien de temps la petite rivière "La Pennelé" devra être la martyr de Morlaix ?
Depuis Octobre 2015 rien ne bouge !
AURA Environnement appelle à une mobilisation générale
à Saint-Martin-des-Champs pour dénoncer le laxisme de l'Etat !
Tandis que la rivière "La Pennélé" déguste un max, les balles de CSR du centre de stockage de Guyot Environnement - pourtant si bien envelopées et ficelées par Comdec Paal - éclatent au nez et à la barbe des services de l'Etat, des élus, des collectivités, des associations "écologiques" régionales et locales - trop locales d'ailleurs -, des associations de pêcheurs !!!
Que font les RG pour remonter l'information à Le Drian ? Ils recueillent des infos sur les militants de la cause environnementale ? Qu'en pensent les élu-es du département voisin des Côtes d'Armor et plus précisément de Kerval Centre-Armor qui verseront 23 millions d'euros à Guyot Environnement à Ploufragan dans les années à venir ?
Contactée par AURA Environnement, l'entreprise GUYOT Environnement nous a indiqué que les eaux étaient ferrugineuses (d'où la couleur rougeâtre) et que cela était dû au fait que le site actuel était assis sur une ancienne carrière.
El Maximo Paul TOP