Passy
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HALTE Incinérateur de Chavanod près d'Annecy : le Collectif COBAP lance l'opération Uranus !
- Par auraenvironnementparis
- Le 02/06/2021
- Dans HALTE Incinérateur de Chavanod près d'Annecy !
Protégeons nos chevaux de l'incinération des poubelles
à Chavanod près d'Annecy :
le collectif COBAP (COllectif du BOl d'Air Pur)
déclenche l'opération "URANUS" CONTRE
l'incinérateur de Chavanod vers Annecy !
Le collectif COBAP (COllectif du BOl d'Air Pur) soutenu par AURA Environnement a lancé dans le plus grand secret, début avril 2021. l'opération répondant au nom de code "Uranus" contre l'incinérateur de Chavanod situé à moins de 10 km de la ville très touristique d'Annecy, en déclenchant ses "orgues musicales de Staline".
En effet, un de nos camarades-sentinelles de l'Ain indiquait au Collectif COBAP - qui a intégré le CSILA (Collectif Stop Incinérateur Lac Annecy) - et soutenu par AURA Environnement - avoir observé que des camions chargés de déchets partaient de l'incinérateur (UVE) de Valserhône (Ain) en direction de l'incinérateur de Chavanod (74).
Le 19/04/2021 le comité central d'AURA Environnement décidait d'écrire à la DGS du SIDEFAGE, Aglaë PETIT, situé ZI ARLOD, 5, Chemin du Tapey, 01200 VALSERHONE afin d'être pleinement informé sur la situation et obtenir des copies de la ou des convention-s de ce déroutage potentiel de déchets :
"Suite à notre entretien téléphonique de ce jour, je vous remercie de bien vouloir nous transmettre par retour mail, une copie de toutes les conventions que le SIDEFAGE a passé avec les différents opérateurs pendant ces mois de travaux en cours de démarrage de votre UVE de Bellegarde, et notamment avec le SILA. (durée renouvelable ou non, tonnages quotidiens et mensuels, coûts avec et sans TGAP, etc…). Idem pour Genève, comme vous me l’avez confirmé.
Ceci ayant pour objectif pour le SIDEFAGE le traitement et la valorisation des OMr et assimilées en cas de délestage ponctuel ou non lors de travaux sur les unités d’incinération de la région.
Comme vous le savez, la tension est grande sur les installations de traitement de déchets en Auvergne Rhône-Alpes et notre association, présente sur toute la région, est extrêmement attentive à ce que les exploitants (publics et privés), ainsi que les administrations de tutelle (DREAL et Préfectures) respectent scrupuleusement les règles qui doivent s’imposer à chacun.
Les 430 000 habitant-es du SIDEFAGE (Syndicat intercommunal de gestion des déchets du Faucigny, Genevois, pays bellegardien, Pays de Gex, pays de Seyssel et Haut-Bugey) qui compte 3 communautés d’agglomération et 8 communautés de communes, soit, au total, 164 communes de l’Ain et de la Haute-Savoie attendent d’être pleinement informés autrement que par la presse locale".
La tension avait déjà été portée à son paroxysme en 2020, lorsqu'un autre camarade-sentinelle de la Drôme (26) nous apprenait que le SYTRAD de Valence risquait d'envoyer des déchets illégaux en provenance de son territoire vers la Haute-Savoie.
AURA Environnement alertait fissa Mr CRESPINE de la Dreal 74 en charge des contrôles de l'incinérateur de Chavanod, Mr le préfet de la Haute-Savoie, le patron des douanes de la Haute-Savoie, le maire écolo d'Annecy.
Ainsi, le 20/08/2020, le comité central d'AURA Environnement indiquait à l'inspecteur des installations classées en Haute-Savoie :
Suite à notre entretien téléphonique du 18/08/2020, je vous prie de trouver ci-joint la décision N° 193-20 prise par Mr le président du SILA en date du 08/07/2020 (document public téléchargé sur le site internet du SILA) autorisant l’incinérateur Sinergie de Chavanod à recevoir des déchets en provenance de la Drôme.
Cet acte, reçu en préfecture de la Haute-Savoie le 10/07/2020, contrevient manifestement aux prescriptions de l’arrêté préfectoral d’autorisation N°PAIC 2016-0039 du 10/06/2016 de cette installation classée pour la protection de l’environnement qui limite dans son article 3.2.1 sa zone de chalandise aux seuls départements limitrophes.
Comme vous le savez, la tension est grande sur les installations de traitement de déchets en Auvergne Rhône-Alpes et notre association, présente sur toute la région, est extrêmement attentive à ce que les exploitants (publics et privés), ainsi que les administrations de tutelle (DREAL et Préfectures) respectent scrupuleusement les règles qui doivent s’imposer à chacun.
En conséquence, je vous demande solennellement d’une part de proposer à Monsieur le préfet de la Haute-Savoie de rejeter sans délai cette décision du Président du SILA via le contrôle de légalité et d’autre part de prendre immédiatement un arrêté de mise en demeure de l’exploitant de l’incinérateur afin que le SILA cesse de recevoir ces déchets interdits.
Par ailleurs, je compte naturellement sur votre vigilance et sur celle du service des Douanes pour que la TGAP appliquée aux déchets non autorisés qui seraient reçus à Sinergie soient assujettis au taux majoré de 110 €/t conformément aux articles 266 sexies IV et 266 nonies 1.A-0 du code des douanes.
Les 265 000 habitant-es du SILA composé des 73 communes de la Communauté d’agglomération Grand Annecy, de la Communauté de communes des Sources du lac d’Annecy, de la Communauté des communes des Vallées de Thônes, de la Communauté de communes du Pays de Cruseilles et de la Communauté de communes Fier et Usses ne peuvent accepter que leurs élus bafouent ainsi les règles qui leurs sont applicables et attendent des services de l’Etat, donc de vous qui êtes en charge de la surveillance de cette installation classée, qu’ils soient intransigeants dans leur contrôle."
Et c'est donc ces innocents chevaux ....
..... et les habitants proches de l'incinérateur de Chavanod qui allaient encore déguster ?
La Dreal 74 donnait entièrement raison à AURA Environnement, puisque Mr CRESPINE nous remerciait de la façon suivante :
"Monsieur de PORTEBANE
Je vous remercie pour ces informations et votre courrier concernant la décision 193-20 du 8 juillet 2020 relative à la "convention d'apports de combustible solide de récupération de la société Valomsy au SILA.
En réponse, je vous informe que le SILA m'a précisé que cette convention n'avait pas utilisée et qu'il s'est en outre engagé, par courrier du 24 août 2020, à ce qu'elle ne le soit pas et à ce que son retrait soit inscrit à l'ordre du jour du prochain comité syndical qui se tiendra après l'installation des nouveaux élus du SILA.
Cordialement"Le 26/11/2020, AURA Environnement demandait au président du SILA, les informations cruciales suivantes :
"Monsieur le président,
Vous avez décidé, le 09/11/2020, de signer une nouvelle convention de traitement de déchets par incinération avec ONYX AUVERGNE Rhône-Alpes, toute aussi floue que la précédente du 08/07/2020 et que nous avons contesté le 20/08/2020 auprès de la Dreal 74 et de Mr le préfet de la Haute-Savoie.
Nous nous interrogeons donc, une fois de plus, sur 3 points totalement incompréhensibles :
1.- D’où viennent ces déchets ? Quelles sont les garanties qu’il ne s’agit en aucun cas des déchets issus du délégataire VALOMSY du SYTRAD et non-conformes à l’AP du 10/06/2016 ?
2.- Quels sont les tonnages exacts de déchets qu’ONYX-ARA apportera au SILA ? La convention ne le précise pas.
3.- Qu’est-ce que veut dire « durée de 3 mois » à compter du 1er octobre 2020 – mais « reconductible par voie tacite par période annuelle d’un an » ? Il n’y aura donc pas de limite dans la durée ?"
Le 14/12/2020, Pierre BRUYERE, le président du SILA nous répondait sur la convention de traitement des déchets renouvelée avec ONYX en nous précisant bien que cette fois, les déchets provenaient bien d'un département limitrophe, à savoir la Savoie, et non la Drôme qui devait être "furax" que nous ayions fait "capoter" le projet d'envoi de déchets à l'incinérateur de Chavanod !
LOL !
La suite du feuilleton nous arrivait le 23/04/2021, cette fois de l'Ain, par un mail de la DGS du SIDEFAGE, Aglaë PETIT qui faisait suite à notre sollicitation, en nous faisant parvenir les informations relatives aux déroutages des déchets ménagers du territoire du SIDEFAGE pendant la phase de travaux de remplacement du traitement des fumées de leur incinérateur situé à Valserhône, prévue du 01/04/2021 au 30/09/2021.
Les "ambitions" de l'incinérateur de Valserhône, en matière de rejets dans l'atmosphère dans la région du SIDEFAGE se veulent "louables" mais il n'empêche, que là aussi, les animaux et les populations locales sont obligés de respirer tout un tas de saloperies qui ont un impact négatif sur les animaux et les humains comme les HCI, HF, SO2, Poussières totales, NOX, NH3 sans compter les très "agréables" dioxines et les "bien trop aimables" furanes !!!
Mauvaise Cerise sur le gâteau pour eux : Mme PETIT nous parle d'UVE "Unité de Valorisation Energétique" pour ne pas effaroucher leurs populations locales, tandis que nous, nous parlons au 1er degré d'un "INCINERATEUR à POUBELLES".
Par contre, silence radio sur les prix pratiqués à la tonne pour ces "dépannages" dits "ponctuels" entre incinérateurs à poubelles de la Haute-Savoie et de l'Ain, tous pour un, un pour tous ensuite !
Et nous attendons les anciens graphismes sur les rejets atmosphériques, les consommations d'eau et leurs réactifs, les interventions de maintenance, etc...
Faudra-t-il les demander via une nouvelle pétition, et ce à la veille des élections régionales en AURA (Auvergne-Rhône-Alpes) pour que les animaux et les populations locales soient enfin reconnus par le minuscule im-monde des déchets ?
Comme si la région d'Annecy avait - absolument - besoin de ces déroutages de poubelles supplémentaires alors que notre camarade Fabienne GREBERT, candidate écolo pour le poste de présidente de la région AURA, est conseillère municipale d'Annecy et..... vice-présidente du SILA en charge des études, des suivis scientifiques et des nouveaux usages liées au lac d'Annecy tout en sachant que le maire d'Annecy, François ASTORG, interdit les toutous aux abords de ce lac d'Annecy alors qu'il avait signé la charte L214 "Une ville pour les animaux" !!!
Annecy étant une ville très touristique, il n'est pas évident de trouver une plage DogFriendly. Attention aux contrevenants car en été, interdiction de faire trempette à son toutou dans le lac d'Annecy car vous risquez.... une amende.
A croire que ces pauvres toutous polluent plus que les Usines à poubelles qui déferlent sur tout le territoire français, des incinérateurs aux décharges, des méga centres de tri aux trottoirs remplis d'immondices divers dûs à l'incivisme général comme nous l'avons constaté la semaine dernière, non pas à Manille, mais à Libourne !!!
Là aussi, à quoi bon vouloir "désinfecter plus blanc que blanc" vers l'incinérateur voisin de Passy géré par SUEZ, alors que dans son propre territoire de Chavanod à moins de 10 km d'Annecy, l'air ambiant est infecté des mêmes saloperies atmosphériques que l'incinérateur du SIDEFAGE situé dans l'Ain voisin ?
Mme PETIT a tenu à nous préciser que la présentation de ces déroutants déroutages, notamment vers l'incinérateur de Chavanod, s'était effectuée en CSS (Commission de suivi de site) avec la participation de l'ARS et de l'inspecteur de la Dreal, le tout, sous la présidence de Mme la sous-préfète de Nantua et de Gex et qu'un dossier de presse avait été distribué à la presse bien-pensante lors de la conférence de presse du 08/04/2021.
Amen !
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Pollution vallée #Arve : AURA Environnement se mobilise avec maire Grenoble @EricPiolle & @FabienneGrebert !
- Par auraenvironnementparis
- Le 10/04/2021
- Dans STOP POLLUTION de L'AIR en HAUTE-SAVOIE
Le 20/03/2021 les écolos d'Auvergne-Rhône-Alpes
ont porté avec AURA Environnement
un message fort dans la Vallée de l'Arve et le 74 !
Eric PIOLLE (maire de Grenoble) et le fondateur d'AURA Environnement
Le 20 mars 2021, c'est aux côtés d'Eric PIOLLE, maire de Grenoble, que notre camarade Fabienne GREBERT, candidate à la présidence de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, est venue soutenir les militant-es et habitant-es de la région de la Vallée de l'Arve (74) dans leurs combats contre la pollution de l'air, un fléau non seulement environnemental pour lequel l'Etat avait été condamné, mais aussi sanitaire.
A l'orée du printemps qui s'annonce bien, pour notre camarade Fabienne GREBERT, sous l'angle des mobilisations pour le climat avec les discussions parlementaires sur le fiasco de la loi climat annoncées au 29 mars, notre camarade candidate écologiste s'est rendue le 20/03/2021 dans le territoire symbolique de la Vallée de l'Arve largement polluée par les fumées des cheminées des résidences secondaires de la bourgeoisie locale et des habitants du cru qui doivent supporter des froids glacials, voire épouvantables, les nuisances diverses des trains de la gare SCNCF de Chedde, les norias de camions aux odeurs pestilentielles parfumées au diesel qui déferlent sur l'A 40 à hauteur de Passy, direction Turin en passant par Chamonix-Mont-Blanc qui n'en fini plus d'absorber pollutions de l'air sur pollutions de l'air irrespirable, comme le sopalin aspirant les pollutions diverses et avariées des emmerdements locaux.
Y'en a plus que marre des pollutions des cheminées des poêles à bois ! (Source : http://www.aura-environnement.com/blog/indice-qualite-de-l-air-auvergne-rhone-alpes/vent-de-panique-passy-le-copab-passe-a-l-action-contre-cheminees.html)
Même si le mardi 03/12/2020, dans le cadre de la mise en œuvre du PPA de la vallée de l'Arve révisé pour la période 2019-2023, le préfet de la Haute-Savoie a signé un arrêté interdisant l'utilisation des foyers ouverts (en appoint ou en agrément) pour le chauffage au bois, à partir du 1er janvier 2022 dans la vallée de l’Arve, on ne pourra pas empêcher nos pauvres camarades-ouvriers de se chauffer au bois vert de rage !
En effet, la responsabilité du chauffage au bois non performant est flagrante dans les émissions de particules PM10 et PM2,5 sur le territoire de la vallée de l’Arve. Le chauffage au bois non performant reste le 1er contributeur aux PM10 et PM2,5 dans la vallée de l’Arve en moyenne annuelle. Il est en effet responsable de plus de 60 % des émissions de PM10 et peut atteindre une contribution de près de 80%, en hiver.
A l’horizon 2022, l’impact du fond Air bois cumulé à l’interdiction des foyers ouverts devrait permettre une baisse totale de 112 tonnes de PM10 d’ici 2022, ce qui représente 21 % d’émissions de PM10 sur la vallée de l’Arve en 2018 A l’horizon 2022, l’impact du fond Air bois cumulé à l’interdiction des foyers ouverts devrait permettre une baisse totale de 112 tonnes de PM10 d’ici 2022, ce qui représente 21 % d’émissions de PM10 sur la vallée de l’Arve en 2018 ! (Source : ATMO Auvergne-Rhône-Alpes) !
Par contre, nous avons observé que les immondes capitalistes bourgeois se chauffaient avec pratiquement une cheminée dans chaque pièce, alors que, dans Paris ou à Lyon, par exemple, il y a des pauvres SDF qui crèvent de froid au quotidien sur les trottoirs !
Que les boboïstes bourgeois de Passy, de Chamonix ou Saint-Gervais-les-Bains et des alentours se chauffent avec une bonne bouillote, se réchauffent avec un verre de Génépi et une bonne soupe aux choux si chère à notre regretté René FALLET ! Que ces crasseux de boboïstes arnacho-gauchisants, que nous combattons, commencent donc par nettoyer les filtres à air de leurs véhicules diesels en mauvais état de rouler dans la farine le Peuple de base et les services de l'Etat !
Que certains illuminé-es du joint des AMAP ou des Ressourceries de la région de Passy ou du 74 cessent de siphonner les subventions des collectivités territoriales.
Faut arrêter cette hypocrisie de façade et de raconter des salades ! A quoi bon produire et commercialiser des carottes et des patates dite "Bio" puisqu'elles sont polluées par les particules nocives des cheminées des multiples chauffages à bois ? .
C'est l'horreur à Chamonix-Mont-Blanc, la ville mal-gérée par Eric FOURNIER, le vice-président environnement-énergie de la Région AURA (Auvergne-Rhône-Alpes), alors qu'il n'y pas d'usine à poubelles !!! Les particules en suspension, le monoxyde de carbone (COà, le dioxyde d'azote (NO2), le dioxyde de soufre (SO2) explosent sous le nez de nos camarades chamoniard-es !
Et que penser également de la pollution de l'eau, à l'arsenic, à Chavanod près d'Annecy qui culbute les paramètres nationaux, (0,5 µg/L pour Chavanod CONTRE 4,8 µg/L au niveau national !!!).
Qui se soucie de la santé de nos camarades de la région d'Annecy proches de l'incinérateur à poubelles de Chavanod ? Qui en parle ? Personne. Qui n'en parle pas ? Tout le monde !
Nous avons parlé avec notre camarade Fabienne GREBERT, de ce que nous affirmions à propos de ces déchets illégaux en provenance de SYTRAD de Valence vers l'incinérateur Synergie de Chavanod (source : http://www.aura-environnement.com/blog/collectif-stop-incinerateur-lac-annecy-csila/dechets-illegaux-incinerateur-sila-collectif-stop-incinerateur-lac-annecy-csila-soutenu-ecrit-a-dreal74-et-au-prefet-74.html ).
Fabienne qui est conseillère municipale d'ANNECY nous a dit ne pas être au courant alors qu'elle est Vice-présidente du SILA en charge des études, des suivis scientifiques et des nouveaux usages liés au lac d'Annecy !!!!! Ptdr !
Pourtant, si AURA Environnement n'était pas intervenue auprès du cabinet du préfet 74 et de la DREAL 74 pour que ce projet de trafic cesse immédiatement, que ce serait-il passé, hein ???
Idem, mêmes questions avec notre camarade Eric PIOLLE, le maire de Grenoble, à propos de l'immonde incinérateur ATHANOR qui crame les immondes saloperies des ordures ménagères des poubelles grises ou vertes de l’agglomération grenobloise,.
Cette usine réceptionne et trie le contenu des différentes poubelles, par des moyens automatiques et par un tri manuel effectué par une trentaine de nos camarades ouvriers spécialisés. Environ un tiers des matières organiques présentes dans les poubelles grises est envoyé vers un centre de compostage, puis épandu dans des zones agricoles. Près de la moitié des matériaux recyclables présents dans les poubelles vertes (canettes, cartons, plastiques…) est extraite puis recyclée pour d’autres usages industriels.
Tout le reste est ensuite brûlé :
- les refus du centre de tri et du centre de compostage, ainsi que les déchets incinérables déposés en déchetteries (pour les communes appartenant à la Métropole) ;
- la collecte résiduelle et les refus de tri, ainsi que les ordures ménagères brutes des communes n’ayant pas de système de tri (pour les communes n’appartenant pas à la Métropole) ;
- les déchets hospitaliers.
L’incinération des ordures à Grenoble constitue un système de déplacement de la pollution : les ordures brûlées à plus de 800 degrés sont transformées en cendres stockées dans des décharges et en poussières qui se retrouvent dans l’atmosphère ou retombent sur les sols. Ces résidus sont chargés de métaux lourds et de particules fines toxiques. INFAMIE TOTALE !!!
Que fait notre camarade le maire de Grenoble ?
Les cheminées d’Athanor rejettent en effet des particules fines cancérigènes (dioxines, furannes…), des métaux lourds (arsenic, cadmium, plomb, mercure, nickel…), des oxydes d’azote et des gaz à effet de serre. Selon la Métro, qui a réalisé d’importants travaux en 2005 et 2006 pour améliorer le traitement des fumées, les rejets atmosphériques de l’incinérateur seraient conformes aux normes en vigueur.
Un SCANDALE, alors que nos camarades Fabienne GREBERT et Eric PIOLLE semblent ne pas se soucier de la qualité de vie dans leurs propres territoires !
Nous vous le répétons, camarades, les véritables défenseurs de l'Environnement : collectifs du terroir ou petites associations locales ne font pas de politique, encore moins de politique politicienne !
JAMAIS nous ne soutiendrons certains paltoquets qui ne recherchent que des maroquins ! Regardez donc l'affaire de Rugy !!!!.
Notre camarade Eric PIOLLE a semblé visiblement embarrassé par nos questions sur l'incinérateur ATHANOR situé dans sa propre commune. Pourquoi nos camarades du collectif COLL'AIRPUR ne montent-ils pas au créneau sur l'agglo de Grenoble ?
Et on comprends très bien notre camarade Eric PIOLLE : AUCUNE étude épidémiologique approfondie sur les conséquences sanitaires des rejets d’Athanor depuis sa création en 1994 n’a été réalisée dans le périmètre de rejet de l’usine et dans l’agglomération grenobloise.
Nos camarades Fabienne GREBERT et Eric PIOLLE sont venus poser devant l'incinérateur de Passy, (on dirait qu'il y a une fixette pathologique UNIQUEMENT sur Passy-SUEZ), alors que dans le département 74.... il y a une flopée de ces usines à poubelles qui crachent furanes et dioxines (Marignier, maître d'ouvrage SIVOM région de Cluses ; Thonon-les-Bains (maître d'ouvrage STOC du Chablais ; Chavanod (maître d'ouvrage SILA). EXPLOITANT de ces 3 incinérateurs : VEOLIA).
Pourquoi ne pas faire une photo de campagne aux futures élections régionales 2021 à la région AURA (Auvergne-Rhône-Alpes) dont le siège est à Lyon, devant 1 des 3 incinérateurs exploités par VEOLIA dans le département de la Haute-Savoie ou devant le projet d'extension de la décharge ONYX-VEOLIA à Chatuzange-le-Goubet qu'AURA Environnement a attaqué au tribunal administratif de Grenoble fin 2020 ? Mystère et boule de gomme ! Peut-être que les élu-es de Saint-Gervais-les-Bains vont nous aider à résoudre l'équation ???
C'est à celle ou celui qui va aller laver plus blanc que blanc chez les autres, dans les autres territoires, alors que dans sa communauté d'agglomération les cancers se multiplient à vitesse grand V ! Pas chez moi mais chez les autres (phénomène NIMBY dont l'acronyme tiré de l'anglais "Not In My BackYard" signifie "Pas dans mon arrière-cour) !
Accompagnée du maire écologiste de Grenoble et d'une dizaine de militant-es - (dont celles et ceux écolo-marxistes d'AURA Environnement) -, notre camarade Fabienne GREBERT s'est ainsi rendue dans un premier temps sur le marché de Sallanches à la rencontres des habitant-es affublés de combinaisons pour "marquer le coup" face à la pollution de l'air.
Nos camarades Fabienne GREBERT et Eric PIOLLE se sont entretenus avec les habitant-es, découvrant que les personnels pédagogiques dans les écoles portaient des chasubles rouges, oranges ou verts selon le niveau de pollution de l'air afin d'indiquer aux enfants qu'ils pouvaient courir : "Un scandale absolu : il est temps d'en finir avec ce monde qui marche sur la tête ! Protégeons nos enfants, notre santé : là est l'essentiel".
Mais nous allons "recycler" le département 74 de tous ces incinérateurs qui coûtent de l'argent aux contribuables et la vie de nos camarades. Nous nous sommes partagés la lutte frontale contre les incinérateurs de la Haute-Savoie : le collectif COLL'AIR PUR à Passy et Nous, sur Marignier, Chavanod et Thonon-les-Bains avec le collectif COBAP (COllectif du BOL d'Air Pur) qui rassemble plus de 150 militant-es !
Généralement lorsqu'AURA Environnement intervient au TA (tribunal administratif), c'est qu'il y a des abus inadmissibles CONTRE nos camarades animaux et humains, l'innocente nature très souvent massacrée à l'échelon local !
Et, jusquà ce jour, nous n'avons pas perdu un SEUL recours que ce soit contre la décharge NICOLLIN (Saint-Romain-en-Gal - Rhône-) ou le projet de décharge de PAPREC aux Granges-Gontardes dans la Drôme. (Sources : TA de Lyon, référé TA de Grenoble, Cassation Paris) !
On s'en fiche des politiciens et des industriels du Capital, nous ! On s'en tape de ces ignorant-es qui se servent du débat sur l'écologie, uniquement, pour faire avancer leurs GPII (Grands projets inutiles et imposés), mais qui font, en fait, reculer la planète parce que les subventions coulent à flot pour des projets de plus en plus gigantesques alors que les installations déjà en place suffoquent par manque d'entretien, du nucléaire aux usines à poubelles, des centres de tri fantasques aux décharges à poubelles à ciel ouvert ou des pôles multimodales vétustes qui côtoeint leurs collègues du Rail situés à quelques encablures comme c'est le cas entre celui de Vénissieux/Saint-Priest (Rhône) avec celui de Salaise-sur-Sanne (Isère) !
Alors que, par exemple, la ville de Vénissieux n'est distante de Salaise-sur-Sanne que de.... 54 km !!!!! LOL
Nous ferons exactement comme l'a martelé notre camarade Erir PIOLLE : "Les associations locales jouent un rôle fondamental, ici dans la Vallée de l'Arve, comme ailleurs, pour défendre la justice environnementale face aux industriels et aux lobbies. L'impunité des pollueurs, de ceux qui abîment notre santé, doit cesser. Nous voyons les ravages de la pollution de l'air causée par les activités humaines. Mieux se déplacer, mieux se nourrir, mieux respirer, mieux vivre.... la sobriété, c'est un défi réjouissant en fait ! Cela nous permet de nous reconnecter à l'essentiel". (Communiqué de presse EELV 20/03/2021)
- Nous COMBATTRONS le projet de 16 millions d'euros porté par SNCF Réseau, de réaménagement de la plateforme de transport combiné de la zone dite "résidentielle" - LOL - Vénissieux-Saint-Priest, parce que les populations locales sont ulcérées depuis des decennies par les nuisances sonores, le bruit particulier et le bruit résiduel, les cas de cancers qui frappent toute une rue, pollutions, risques accidentels !
- Nous LUTTERONS contre 2 projets de centre de tri de poubelles en France (En 2021 : Firminy - 42 - avec notre collectif CHUPA), et, (En 2022 : Saint-Denis-de-Pile - 33 - avec notre collectif SCTL - Collectif Stop Centre de Tri vers Libourne), où les animaux risquent de trinquer à cause des poussières, où la nature et les humains risquent de prendre une nouvelle claque en terme d'incendies à répétition !
- Nous nous OPPOSERONS au projet de décharge à poubelles de Fontsante dans le Var et porté par SUEZ (2022/2023) !
Pseudos "concertations" et pseudos "Débats publics" ne sont que des simulacres de démocratie dite "participative" durant lesquels les projets ont été volontairement morcelés afin d'occulter l'ampleur des risques et nuisances auxquels sont exposés nos camarades riverains proches ou éloignés de ces verrues !
Nous avons une vision différente des autres écolos : nous appliquons strictement notre discipline, celle de l'écologie-marxiste !
Nous n'imposons rien à l'ensemble de nos camarades de lutte !
Qui ne nous déteste pas, nous suive !
Marc-Claude de PORTEBANE
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Comme Incinérateur #Passy, pour LOUsine #Calce : le mercure monte contre #Tiru !
- Par auraenvironnementparis
- Le 22/07/2019
- Dans STOP incinérateur #Calce
Les élus de Pezilla-la-Rivière (66)
n'en peuvent plus de l'incinérateur de #Calce
géré par #Tiru dont les capacités de financement
s'effondrent comme neige au soleil !
Les anti-incinérateur de Calce (66) ont crée le Collectif CATALANIC - soutenu par AURA Environnement - opposé à l'incinérateur de Calce (66) ont rejoint les anti-incinérateurs d'OMr d'AURA Environnement, qui, de la Vallée de l'Arve à Calce, en passant par Lunel-Vieil ne veulent plus de ces usines à cancer, alors que, maintenant tous les emballages se trient, en vrac, vidés et écrasés...
Comment faire confiance à une entreprise comme #Tiru dont les capitaux propres se sont effondrés en 2017, passant de 71 944,639 € à - 5 807 004 € ???
Quelle crédibilité peut-on avoir lorsque certains élus dénoncent, comme à Pézilla-la-Rivière, des extensions industrielles prévues - à la va-vite - sur le site de l'usine d'incinération des déchets de Calce, soit une blanchisserie et un méthaniseur, deux installations considérées comme polluantes ?
D'ores et dèjà, le Collectif CATALANIC qui s'est levé comme un bouclier, combattra ce projet de méthaniseur aux odeurs pestilentielles.
Comment le groupe #Tiru peut-il se lancer dans de tels investissements lorsque sa filiale, Dakia Waste Energy voit, elle aussi, ses capitaux propres fondent comme neige au soleil en 2017 (1.060,907 € contre + 4.071,324 € en 2016) ?
Le collectif CATALANIC dénonce ces 2 projets qui viennent d'entrer dans une phase d'acquisition foncière dans pas moins de 12 ha de vignes, auquel le maire de Pézilla-la-Rivière s'est opposé, en recevant également l'appui de Roger Garrido, le maire de Saint-Féliu-d'Avall !
Jamais, nous ne laisserons nos vignobles colonisés par le groupe #Tiru par la corde dont la performance a dégringolé à - 94,56 % au 31/12/2017 !
Une entreprise performante doit être à la fois efficace et efficiente. Elle est efficace lorsqu'elle atteint les objectifs qu'elle s'est fixés.
Elle est efficiente lorsqu'elle minimise les moyens mis en œuvre pour atteindre les objectifs qu'elle s'est fixés..
Donc, le groupe #Tiru n'est pas performant, puisque la performance se mesure avec des critères (ou indicateurs) qualitatifs ou quantitatifs de résultat.
Pour mesurer l'efficacité, on utilise un critère qui exprime un rapport entre le résultat obtenu et l'objectif visé. Pour mesurer l'efficience, on utilise un critère qui exprime un rapport entre le résultat obtenu et les moyens mis en oeuvre.
Pour évaluer la performance d'une entreprise, il est nécessaire d'effectuer des mesures à tous les niveaux : financier, économique, social, organisationnel et sociétal.
La performance financière : traditionnellement, d'après Alfred Sloan, on mesure la performance financière à l'aide des indicateurs ROI et ROE. Aujourd'hui, on utilise en plus l'indicateur EVA.
- Le ROI (Return On Investment) : ce ratio mesure la rentabilité économique du capital utilisé par l'entreprise. C'est le rapport entre le résultat d'exploitation et les capitaux investis.
- Le ROE (Return On Equity) : ce ratio mesure la rentabilité financière des capitaux apportés par les propriétaires de l'entreprise. C'est le rapport entre le résultat net et les capitaux propres.
- L'EVA (Economic Value Added) : ce ratio permet de mesurer la création de valeur pour l'actionnaire. C'est la différence entre le résultat opérationnel et les capitaux investis.
La performance économique : il s'agit de mesurer les composantes de la compétitivité de l'entreprise : la compétitivité-prix et la compétitivité-hors prix.
- La compétitivité-prix : désigne la capacité d'un produit à attirer des clients au détriment des produits concurrents du fait de son prix. Sa mesure permet de situer la place de l'entreprise sur le marché par rapport à ses concurrents.
- La compétitivité hors-prix : désigne la capacité d'un produit à attirer des clients au détriment des produits concurrents du fait des éléments indépendants du prix. Elle est obtenue grâce à des éléments comme la qualité des produits, l'innovation, le service, le design...
#Dalkia au bord de l'implosion sociale ?
Autre sujet à polémique, ces chiffres de Dalkia qui donnent le tournis, puisque le CA pour 2017 a chuté - 6,2 % pour attérir à 56,4 m €, l'indice de performance dégringolant lui, à - 9,06 % au 31/12/2017 alors que les compteurs étaient dans le vert pour les années 2014, 2015 et 2016.
Dalkia est une filiale à 100 % du Groupe EDF depuis le 25/07/2014. Dalkia est spécialisée dans les services énergétiques et la production d'énergie décentralisée, qui développe notamment des énergies renouvelables alternatives comme la biomasse, la géothermie, le biogaz ou la valorisation énergétique des déchets.
Or, Tiru est une filiale de Dalkia et s'appelle désormais Dalkia Wastenergy depuis 2018.
Cette filiale à 100 % pur jus du groupe Dalkia conçoit, construit et exploite des unités de traitement thermique, biologique au Royaume-Uni, en Suisse, au Canada mais aussi en France comme à ... Perpignan.
A Issy-les-Moulineaux, nos camarades de Zéro Waste sont à l'affût de l'usine "Isséane", présentée pourtant comme un "modèle de gestion des déchets".
L'incinération, une technologie qui participe à l'économie circulaire en produisant de l'énergie ?
Oui, mais, pour nos camarades de Zéro Waste, "la production d’énergie par les usines d’incinération est devenue un argument d’autorité pour en justifier la construction et l’exploitation, en dépit des autres exigences dont celle de préservation des ressources. A tel point que certaines villes se mettent dans une situation de dépendance vis-à-vis de leurs réseaux de chaleur. C’est ainsi oublier que l’incinération, dont la vocation initiale est de traiter les déchets et non de produire de l’énergie, détruit des matières précieuses (matières organiques, déchets recyclables, etc.). En outre, la performance énergétique des usines, telle qu’elle est mesurée à l’heure actuelle, ne permet pas de rendre compte de “l’énergie grise” des déchets brûlés (l’énergie et le bilan carbone complet de l’extraction des matières premières, à la fabrication des objets, leur transport, leur utilisation, etc.)."
Isséane comme les autres usines d’incinération, produit des résidus solides qu’il convient de gérer à l’issue du processus d’incinération : en 2017 pour cette seule usine, ce sont environ 80 000 tonnes de mâchefers qui ont été produits.
Soumis à une réglementation très permissive, ces matériaux chargés en polluants sont ensuite disséminés en étant utilisés en sous-couche routière, ou renvoyés en décharge s’ils ne trouvent pas preneurs. Le stockage systématique de ces mâchefers en décharge mettrait en ce sens fortement à mal le modèle (notamment) économique de l’incinération. Par ailleurs, ce sont également 12 000 tonnes de cendres et produits solides résiduaires qui ont été envoyés en décharge pour déchets dangereux...
Dans les 26 villes de France où est installé Dalkia wastenergie, AURA Environnement demande qu'une étude participative en santé environnementale ancrée localement (EPSEAL) soit mise en place par les populations locales et ce, au travers une méthodologie mise en place par l'intermédiaire de nos collectifs comme le CATALANIC dans la région de Perpignan.
En effet, les études participatives ancrées localement cherchent souvent à comprendre et à résoudre les inégalités de santé, dans une visée de justice sociale (Minckler, 2010).
Combien de cancers, de problèmes de peau chronique, d'Asthme, de maladies endocriniennes, de diabètes, d'affections respiratoires, de problèmes de nez/gorge, de fréquents maux de tête, de saignements de nez, etc... dans la région de Perpignan ?
Sur les 26 sites de Dalkia wastenergy, de Dunkerque à Chambéry, de Gien à Pontivy, de Perpignan en passant par Issy-les-Moulineaux, nous voulons :
1- que soient réduits de façon significative - pour les animaux et les humains - les rejets cumulés de pollutions dans l'air, dans l'eau, les sols, notamment pour les polluants impactant le plus la santé et en relation avec les excès de pathologies concernant les polluants cclassiques cancérogènes, mutagènes, reprotoxiques ou irritants des voies respiratoires.
2- que soient renforcées - pour les animaux et les humains - les actions de contrôle règlementaire des émissions auto-déclarées par les industriels locaux, et un renforcement des sanctions prises à leur encontre en cas de non-conformité, y compris pour les émissions dites "diffuses", les phases de redémarrage et de "décrassage" des usines, et pour toutes les catégories de polluants rejetés au cours de ces émissions diffuses ou "incidents programmés" qui interviennent régulièrement dans les procédés industriels (process).
3- en finir avec l'absurdité des normes sur les perturbateurs endocriniens, sachant que ces polluants sont les plus néfastes pour la santé des animaux et des humains quand ils sont présents à faible-dose.
4- agir et prendre des décisions localement en suivant le principe de précaution - pour les animaux et les humains -.
5- mesurer en routine les particules ultrafines, qui s'éavèrent les plus dangereuses pour la santé - des animaux et des humains - afin d'obtenir leur réglementation locale autour de telle ou telle zone industrielle.
Côté DRH, les relations de travail avec nos camarades ne semblent pas au "beau fixe" chez Dalkia, puisque un lanceur d'alerte (qui tient à garder l'anonymat) s'inquiètait ce printemps parce que "La direction a fait valider les objectifs du Plan Cap Dalkia par ses partenaires. Des accords scélérats ont été signés. Maintenant ils s'appliquent sur le terrain avec l'aval des syndicats signataires. En réalité, avec ces accords, les partenaires sociaux nous ont vendu la mousse et conservé le jus. En effet, les salariés ne tirent aucun bénéfice de ce deal. Ils continuent d'exercer leur contrat de travail dans le stress et la souffrance comme en atteste l'étude U-SIDE réalisée en 2018, à la demande de la direction générale. Donc, force est de constater que tous ces accords relèvent de la promesse de Gascon. En effet, ils n'ont apporté aucune amélioration des conditions de travail et des salaires de la majorité du personnel. Au contraire, ils pourrissent la vie des techniciens. Ainsi, avec les résultats de la NAO 2019 (Négociation Annuelle Obligatoire), on mesure le degré de condescendance de la direction à l'égard du personnel et du mépris avec laquelle elle traite ses partenaires quand elle n'a pas besoin de leur signature. En atteste le tract de l'intersyndicale (envoyé le 4 avril 2019) dans lequel les organisations CGT, FO, CFDT, CGC et UNSA expriment leur déception tou en dénonçant le manque de considérationde la direction qui n'a même pas daigné écouter leurs propositions (sic). C'est pathétique" !....".
A quoi cela sert-il à Dalkia wastenergy d'investir dans toute la France et plus particulièrement dans l'UVE de Calce, puis de faire les yeux doux aux élu-es de Perpignan Méditerranée Métropole et de décider d'octroyer unilatéralement que 0,9 % d'augmentation générale (brute) alors que le coût de la vie a été de 1,8 % en 2018 ?
Un budget équivalent à 0,9 % de la masse salariale poour des augmentations et des primes individuelles, jugées par nos camarades comme "sélectives et discriminatoires !
Coup de chaleur dans les résultats
chez #Dalkia en fin d'année 2018 :
- les volontaires au rachat de RTT se comptent, sur les doigts d'une main malgré la campagne de communication jumelée direction/syndicats sur les "bienfaits" proclamés de ces accords.
- les démissions battent des records.
- les "nouveaux embauchés" quittent en masse l'entreprise #Dalkia au terme de leur période d'essai.
- Les salariés sont toujours en souffrance comme en attestait les le nombre croissant d'arrêts de travail.
- Quid de l'activité commerciale après le départ de son directeur ?
Les lanceurs d'alerte de Dalkia alertent également l'opinion publique, car, "Dans le même temps, les démissions ne faiblissent pas et les embauches se font rares au point où la direction proposerait une prime de 400 € à toute personne qui arriverait à pêcher un candidat à l'embauche".
Ainsi, affirment-ils, "...malgré les lampions de la Tour Europe et les oeuvres sociales du CE moribond, l'image de Dalkia est fortement ternie sur le marché de l'énergie...".
Le 02/04/2019, un lanceur d'alerte nous alertaint sur le fonctionnement de #Dalkia : "Par son organisation et son mode de management contraignant, Dalkia est assimilée, notamment par les techniciens, à une entreprise inhumaine où il ne fait pas bon travailler", poursuivant : "L'astreinte continue d'être une source de stress et de souffrance majeure chez les techniciens ....... Le sous-effectif est un élément perturbant et un facteur important de la déterioration des conditions de travail mais également du management des équipes"
A quoi bon une Unité de valorisation énergétique, un centre de tri et une plateforme de mâchefers à Coume dels Très Pilou à Calce afin de "recycler plus pour construire un territoire durable" en produisant de l'électricité et des mâchefers issus de la combustion des déchets issus des poubelles et en administrant des mots doux aux élus de la Communauté urbaine Perpignan Méditerranée Métropole ou au Sydetom 66, lorsqu'au niveau national, les relations de #Dalkia avec son personnel sont exécrables, lorsque les comptes sociaux et le profil financier de #Dalkia sont dans le rouge (ratio de solvabilité à partir de l'actif de - 3,16 % au 31/12/2017) et que la question de l'exposition locale à la potentielle pollution atmosphérique induite par l'activité industrielle n'est pas mise en exergue dans la région de Perpignan ?
Il n'y a pas de raisons que l'incinération des déchets issus des poubelles pollue ailleurs et serait une exception pour #Dalkia, à Calce, dans la région de Perpignan ?
La LAURE (Loi sur l'air et l'utilisation rationelle de l'énergie) a reconnu dès 1996 le droit de respirer un air qui ne nuise pas à la santé.
Le collectif CATALANIC sera vigilant, en ce qui concerne la nature des polluants, la finesse des particules, le contrôle d'émissions réelles surtout, pour toutes les productions viticoles locales.
L'enjeu de la construction d'une connaissance solide sur la santé des habitants est celui de la possibilité d'agir sur son environnement, au lieu de la quitter, et ce, dans une situation de déséquilibre doublée d'une injustice environnementale et d'une injustice sociale !
Marc-Claude de PORTEBANE
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Vent de panique # Passy : le COBAP passe à l'action contre pollution infernale cheminées & Industries !
- Par auraenvironnementparis
- Le 21/05/2019
- Dans Indice Qualité de l'Air Auvergne-Rhône-Alpes
Le COBAP passera bientôt chez toi
pour te sensibiliser à la pollution de l'air vicié
de notre longue et belle vallée de l'Arve !
Le collectif COBAP (COllectif du BOl d'Air Pur) est passé à l'action dans la vallée de l'Arve, en commençant à Passy, en faisant l'inventaire du nombre de cheminées susceptibles de polluer gravement l'environnement.
Rares sont les maisons équipées d'une seule cheminée, comme partout en France, pour chauffer et réchauffer chaque foyer. Les abus doivent être sanctionnés !
On peut même dire qu'il y a insuffisance de surveillance de la commune et des services de l'Etat pour autoriser de telles négligences au vu du nombre effarant de telles cheminées qui poussent comme des champignons.
Des analyses ont été faites par le collectif COBAP à Passy et sa région sur des oeufs dans le secteur du Super U, pas très loin de l'Allée des Lilas, d'ailleurs.
Nous aimerions connaître les taux des émissions de HAP, de benzène, de particules fines, de monoxyde de carbone, de COV.
Tout le quartier de l'Allée des Lilas a été passé au peigne fin. Les incivilités sont légion.
En effet, nous avons constaté qu'une SEULE maison pouvait avoir plus de 5 cheminées, lorsque l'on connaît le taux de nuisances infernales du monoxyde de carbone.
Après Passy, nous allons bientôt vous faire découvrir, le bas et le haut de la commune voisine de Saint-Gervais-les-Bains, où là, nous avons fait des découvertes complétement effarantes.
Autre sujet. Les industries (12 à 13 % des pollutions de la vallée de l'Arve).
Que font ces bidons exposés à l'air libre sur un site vers la rue Georges Toussant, où le port de chaussures de sécurité et de masques à gaz est recommandé ? Sont-ils vraiment étanches ?
De tels bidons ont-ils à être exposés au vue et au su de tous, et ce, au pied du Mont-Blanc ? Quelle sécurité pour les clients qui se rendent au Métro voisin ?
Les cheminées ne sont pas les seules à polluer la vallée de l'Arve qui est devenue un des dépotoirs de la Haute-Savoie, mais elles contribuent largement à sa pollution !
En effet, cette vallée semi-rurale, semi-urbaine allie plusieurs sources de pollution qui existent depuis l'ère industrielle, comme partout ailleurs, chaque fois qu'il y a des intérêts industriels qui interfèrent avec l'environnement.
Comment se déplace le maire de Chamonix et vice-président en charge de l'Environnement, Eric FOURNIER, lorsqu'il vient à à la région AURA à Lyon ? A pied avec son sac à dos et sa paire de skis ? A cloche-pied ?
Quand bien même, Eric FOURNIER prendrait peut-être les transports en commun, il faut de l'énergie pour faire bouger les wagons du chemin de fer, il faut produire de l'électricité pour alimenter son téléphone portable qu'il utilise dans les couloirs de l'assemblée régionale, non ?
L'infernal trafic routier, les gens ne sont pas réalistes : plus de 500 000 camions empruntent chaque année la route pour rallier l’Italie et le val d’Aoste via le tunnel du Mont-Blanc. Ne faudrait-il pas commencer par envisager de fermer l'autoroute A 40 qui doit bien profiter à tout le monde, non ?
Combien d'oeufs et produits laitiers pollués chaque année par les norias de camions qui crachent leurs fumées noirâtres pour prendre de l'élan, avant d'aborder le viaduc des Egratz et qui doivent consommer un maximum de gasole et ce, juste en haut du cimetière de Chedde ?
Combien de voitures, de motos et de camions sur la N 205 qui borde l'innocente rivière L'Arve qui doit dégouliner de poussières de freinage, d'huiles usagées ?
A Passy, l’usine SGL Carbon brûle quotidiennement des déchets.
En effet, SGL Carbon spécialisée dans la fabrication produits en carbone et graphite de synthèse, est souvent pointée du doigt pour sa responsabilité dans la pollution de l'air dans la vallée de l'Arve en Haute-Savoie, comme le reconnaît France info (21/12/2018).
Fin 2018, SGL Carbon a dit vouloir investir 2 millions d'euros pour réduire ses nuisances d'ici la fin 2019 pour réduire ses émissions diffuses de poussières, alors que 12,6 millions d’euros auraient été injectés …… depuis 2005 pour diminuer ses émissions canalisées, c'est-à-dire issues des cheminées de l'usine. Un nouvel équipement de traitement des fumées, installé à l'été 2018 pour 4,5 millions d'euros, devrait permettre de moins polluer qu'avant. LOL ! « Il permet de traiter les odeurs car depuis 2016, le site génererait un certain nombre de nuisances olfactives. Il devrait également réduire de manière significative les émissions qui sortent des cheminées sur le site", explique Sylvain Collet, responsable environnement, hygiène et sécurité sur l'usine de Passy. L'entreprise table sur une "baisse attendue de 40% environ".
Si SGL Carbon investi pour polluer moins c’est qu’elle polluait déjà la vallée de l’Arve bien avant 2019. Quand on ne pollue pas la vallée de l’Arve, on n’engage pas de telles sommes considérables pour diminuer. Une voiture qui ne pollue pas ne va pas aller TOUS les jours au contrôle technique pour faire contrôler ses gaz d’échappement.
Alors ? Alors, on marche sur la tête pour désigner tel ou tel coupable car il faut bien un coupable pour en cacher d’autres.
Ce qui est étonnant, c’est que chacun tire la couverture à soi dans cette vallée de l’Arve où, nous, le COBAP nous avons découvert un tas d’antagonisme.
Côté défense de l’environnement, c’est l’anarchie. Il y a des progrès mais chacun pollue tranquillement dans son coin. Prenons un exemple. Sallanches. A Sallanches, le COBAP a rasé toutes les rues. Nous avons fait des découvertes spectaculaires. Une véritable poudrière.
A Passy, les maisons individuelles croulent sour le poids du nombre de cheminées. Il faut le voir pour le croire. Pas une maison ou presque sans 1 à plus de 3 cheminées. Cela est-il normal ? Serait-il normal qu’une voiture ait jusqu’à 6 pots d’échappement ? Non. Donc, il faut responsabiliser les gens parce que nous, le COBAP soutenu par AURA Environnement, nous voulons ABSOLUMENT aborder le sujet sanitaire avec tous les actrices et acteurs du territoire de la Haute-Savoie et plus particulièrement dans la Vallée de l’Arve. Nous voulons nous attaquer aux vraies sources du mal, à toutes les sources du mal. Si un avocat ou un journaliste viennent de Paris, on veut savoir combien son avion ou son train ont brûlé d’énergie jusqu’à Passy. Combien de forêts détruites pour défendre l’environnement de la région de Passy ? Il n’y a pas de petite pollution pour le lait, le beurre et la fermière.
Transports, industrie, chauffage… un cocktail explosif de contaminants pour une vallée complètement resserrée et stressée : "avec le froid et le soleil, les particules figées sont emprisonnées, sous cloche, comme dans une immense marmite" peut-on lire chez les pros des analyses qui ne nous apportent AUCUNE solution pour mieux trier les poubelles, pour responsabiliser les acteurs du développement économique bien évidemment polluant !
On dirait que les enjeux de santé publique sont secondaires pour celles et ceux qui se contentent d'abonder en critiques fatalement négatives sur ce qui devrait polluer moins !
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Pollution Vallée de l'Arve : Collectif #COBAP attaquera tous les pollueurs potentiels !
- Par auraenvironnementparis
- Le 12/05/2019
- Dans STOP aux pollutions atmosphériques dans la Vallée de l'Arve
Le collectif COBAP (COllectif du BOl d'Air Pur)
soutenu par AURA Environnement et la
Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux
s'attaquera à TOUS les pollueurs de la vallée de l'Arve !
A Passy, c'est l'anarchie côté cheminées en tout genre :
ici sur la terrasse de cet hôtel les clients en prennent plein le nez !!!
Au secours Me LAFFORGUE venez au secours du COBAP !
Après avoir participé à la conférence de presse tenue à Saint-Gervais-les-Bains (74), en présence de Me LAFFORGUE et de Gilles LACAN, le collectif COBAP (COllectif du BOl d'Air Pur) veut la Vérité sur les rejets atmosphériques polluants dans la Vallée glaciaire de l'Arve et pas seulement à Passy, parce que dans cette vallée située au pied du Mont-Blanc (La vallée de l'Arve correspond à la partie amont du lit de l'Arve, torrent qui prend sa source dans le massif du Mont-Blanc, sur le versant savoyard du col de Balme, jusqu'à la limite de la basse vallée se terminant vers Arenthon), c'est devenu presqu'aussi pire que vers la décharge SECHE Environnement de Sainte-Marie-de-Kerque dans le Pas-de-Calais, où là, dans ce plat pays, les odeurs vous coupent vraiment le souffle.
Cela fait plusieurs jours que le COBAP essaie de joindre SGL Carbon de Passy pour avoir les résultats des émissions de cette entreprise qui générait depuis 2016 un certain nombre de nuisances olfactives. Son responsable, Sylvain Collet affirmait dans France info que des investissements concernant un nouvel équipement de traitement des fumées permettant de traiter les fumées avait été installé à l'été 2018 pour 4,5 millions d'euros.
Pourquoi seulement à l'été 2018 ?
Pointées du doigt par le COBAP les nombreuses cheminées qui soupoudrent la vallée de l'Arve. Nous voulons une expertise des services de l'Etat sur le nombre de cheminées en double ou en triple dans les résidences principales ou secondaires.
Personne, par hypocrisie, ne se penche sur cette pollution indéniable. Or, il suffit de se promener dans le quartier du supermarché Super U situé dans le quartier de l'avenue du Marlioz à Passy pour être suffoqué par un brouillard nauséabond.
Au secours : 5 cheminées pour 3 maisons
vers le supermarché SUPER U à Passy !!!
En effet, le bois-énergie est une énergie renouvelable neutre en carbone, à condition que les forêts dont le bois est issu soient gérées de manière durable, alors que la combustion de bois n'est pas exempte de défauts puisqu'un SEUL feu de bois produit un certain nombre de polluants atmosphériques tels que les particules immondes telles que le monoxyde de carbone (CO), les oxydes d'azotes (NOx), les composés organiques volatifs ou bien les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP).
Le chauffage au bois influe sur la qualité de l'air, puisque selon les données du Centre interprofessionnel technique d'études de la pollution atmosphérique (CITEPA), la combustion de bois en foyers domestiques est responsable en France de :
- 76 % des émissions de HAP ;
- 60 % des émissions de benzène ;
- 39 % des émissions de particules fines ;
- 30 % des émissions de monoxyde de carbone ;
- 21 % des émissions de COV (données de 2005).
En 2009, l'Institut national de l'environnement industriel et des risques (Ineris) a réalisé une étude sur l'impact du chauffage au bois (foyers ouverts et fermés, poêles) sur la qualité de l'air en milieu rural.
Cette étude a révélé que la combustion de bois affectait plus particulièrement les concentrations en particules, monoxyde de carbone, benzène et HAP de l'air intérieur des habitations.
À l'extérieur, les fumées de combustion provoquent une augmentation notable des taux de benzène et particules.
N'hésite pas à dénoncer ton voisin s'il possède une double cheminée ou une cheminée qui pollue la vallée de l'Arve.
Signale au COBAP ce petit-bourgeois à qui nous réserverons un traitement de faveur.
Toutes les options sont sur la table : circulation infernale 24h/24h des camions polluants sur l'A40, rejets des industries diverses et avariées, acteurs économiques sans scrupules, élevages industriels + effluents d'élevage, l'incinération, l'utilsation de pesticides, brûlage des déchets verts, etc....
La spécialité du COBAP : côté chauffage résidentiel, nous n'hésiterons à incriminer personnellement celles et ceux qui ont plusieurs cheminées, car ils le savent bien qu'ils polluent la vallée de l'Arve en rejetant les responsabilités sur les autres en se faisant les hérauts de l'écologie !
Protégeons nos toutous et nos minous de ses infâmes cheminées qui larvent de façon insidieuse la vallée de l'Arve !
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Incinérateur #Passy : #SITOM s'oppose à AURA Environnement !
- Par auraenvironnementparis
- Le 19/02/2019
- Dans Passy Environnement
AURA Environnement a mobilisé
plus de 30 camarades autour
de l'incinérateur Passy !
Les écolos-marxistes d'AURA Environnement se sont mobilisé-es contre l'incinérateur de Passy et les monologues ont été plus "électriques" avec le personnel du SITOM des Vallées du Mont-Blanc qui ne cessait de déguster, en début d'après-midi, des gourmandises sucrées si chère à la marquise de Sévigné qui ne put éviter un séjour dans les contrées bourbonnaises de Vichy en prodiguant de si bons conseils contre le mal de dent dû très souvent aux sucreries d'antan qui gâtaient les dents !
AURA Environnement - dans le plus grand secret - a mobilisé, le 14 et le 15/02/2019, plus de 30 militant-es dissiminé-es autour de l'incinérateur de Passy, dans un secteur, où nous apportons notre soutien, pour plus d'air pur, au Collectif "Coll'Air Pur", afin de lutter contre la pollution inadmissible au #MontBlanc et plus particulièrement dans la #ValléeDelArve où les odeurs mauséabondes ne sont plus aussi blanches que neige, merci les cheminées des résidences secondaires des bourges-bourgeois qui ne portent pas le gilet jaune, devenu - presque- obligatoire pour les réfractaires du désordre établi !
Nous voulons la Vérité pour les risques liés à la pollution potentielle liée à la Vallée de l'Arve où les odeurs sont devenues pestilentielles !
Si le SITOM refuse de nous communiquer les résultats de la CSS 2017, nous irons les demander où il le faut, quand il le faut !
Si le SITOM ose s'opposer à AURA Environnement, nous ferons "bouillir" la marmite, et nous mobiliserons les habitant-es des secteurs concernés.
Si le RDV prévu avec le maire de Passy a été annulé, c'est qu'il y a bien une raison que la Raison ignore !
Si le SITOM et la mairie de Passy font de la rétention de l'info à AURA Environnement, nous mobiliserons massivement les populations locales qui n'en savent fichtrement rien !
Nous mobiliserons parce que nous sommes pour un "nouveau souffle" dans le Vallée de l'Arve !
Ce "Nouveau souffle" sera révolutionnaire parce que nous ne sommes pas CONTRE le dialogue avec les services de l'Etat, mais contre les fourbes et les parasites irréductibles opposé-es à la transition énergétique et à la valorisation de nos déchets !
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Alors que le chauffage au bois pollue la vallée de l'Arve, l'incinérateur de Passy subit un incendie terroriste !
- Par auraenvironnementparis
- Le 04/01/2017
- Dans Stop pollution chauffage au bois dans la vallée de l'Arve (74)
Même Laurent WAUQUIEZ et le maire de Chamonix Eric FOURNIER
vice-président Environnement à la région Auvergne-Rhône-Alpes
ont reconnu que le chauffage au bois était
la 1ère source de pollution dans la vallée de l'Arve !
Un engin incendiaire a été déposé sur le poste de comptage du gaz. Cet acte s’inscrit dans un contexte de pollution persistante aux particules fines dans la région, et de tension entre d’un côté une partie de la population, et de l’autre les élus locaux et l’exploitant.
L’incinérateur de Passy, dans la vallée de l’Arve, en Haute-Savoie, a fait l’objet d’une tentative d’incendie volontaire dans la nuit du 21 au 22 décembre. Un engin incendiaire a été déposé sur le poste de comptage de gaz, à l’entrée de l’usine. Un employé de l’usine a vu les flammes et prévenu les pompiers, qui sont intervenus rapidement. Selon la gendarmerie, les dégâts sont « nuls ». On peut toutefois supposer qu’ils auraient pu être plus importants sans cette intervention rapide.
L’incinérateur de Passy est considéré par certains habitants comme un des principaux responsables de la pollution aux particules fines que subit régulièrement la vallée de l’Arve, en particulier en hiver, lorsque se produit le phénomène d’inversion de température qui empêche la dispersion des polluants.
Pourtant, selon les données fournies par l’observatoire régional de l’air Atmo Auvergne-Rhône-Alpes (ex-Air Rhône-Alpes), l’incinérateur émet moins de 0,02 % du total des particules émises dans la vallée de l’Arve. Le principal responsable de ces émissions est le chauffage au bois : plus de 60 % des émissions totales annuelles, et plus de 80 % de la concentration en particules en hiver, selon une étude récente.
Source : Déchets infos n° 106