ZERO WASTE

  • Projet incinérateur Valaubia #Troyes : AURA Environnement - contrairement Zero Waste - vise annulation AP tribunal administratif !

    Le comité central d'AURA Environnement a décidé d'ester

    au tribunal administratif contre le projet d'incinérateur

    porté par Valaubia-Veolia à La Chapelle Saint-Luc !

    Andouil1 158

    Le comité central d'AURA Environnement ne vise pas à une réduction des tonnages - comme cela serait possible avec la contestation potentielle de nos excellents camarades de Zero Waste - du projet de Valaubia-Veolia de La Chapelle Saint-Luc, mais à l'annulation pure et simple de l'arrêté préfectoral l'autorisant.

    Les populations locales ne veulent pas d'incinérateur. Elles doivent être entendues. On ne peut imposer de tels projets aux habitants si proches.

    Et pour cela, nous devons assumer la doctrine du président Mao : "Servir le peuple de tout coeur, sans nous couper un seul instant des masses : partir, en tout, des intérêts du peuple et non de ceux de l'individu ou d'un petit groupe ; identifier notre responsabilité devant le peuple avec notre responsabilité devant les organes dirigeants du Parti --- voilà ce qui inspire nos actes. " ("Du gouvernement de coalition - 24/04/1945, Oeuvres choisies de Mao Tsé-toung, tome III").

    Vers Troyes, nous demandons la venue du professeur Sultan de Montpellier, pour qu'il nous éclaire sur ce qui se passe à Fos-sur-Mer, où les élu-es et les populations locales en ont plus que marre d'Urbaser racheté par les renégats chinetocs, plus capitalistes que communistes !

    En effet, Urbaser Environnement a été racheté en 2016 par les chinetocs du groupe China Tianying Inc (CNTY) qui n'ont que d'autre but que de se faire un max de thunes au dépens de l'investissement. Ce fonds d'investissement qui a pris le contrôle d'Urbaser par le biais de sociétés opaques ne cesse de vouloir mettre sous pression les collectivités locales pour presque les amener à la ruine, comme cela a été le cas avec le SYTRAD de Valence dans la Drôme, où ce syndicat a failli retrouver ses finances sous la protection de la préfecture de Région, située à Lyon !

    Les chinetocs cassent les prix à la tonne mais les comptes publiés ces dernières années démontrent que CNTY ne détient pas assez de liquidités pour couvrir ses dettes à court terme étant donné qu'aucun dividende n'a pu être versé depuis des decennies aux actionnaires : Or, le rachat d'Urbaser a permi de déséquilibrer CNTY, tandis que la China Securities Regulatory Commission a lancé dernièrement une enquête sur la santé financière de cette société en avril 2017, ce qui n'a fait que détériorer une image déjà si peu reluisante, puisque CNTY ne s'est développée que récemment sur les métiers de l'incinération et du traitement des boues et des déchets, et ce, grâce à l'aide d'une technologie transmise par le groupe Waterleau entre 2010 et 2011 !!!

    Les chinetocs et leurs vassaux d'Urbaser font du toc et cassent les prix pour faire de la "merde" qui sera payée par le con-tribuable !

    Pas question, non, plus, de laisser les mains libres dans la gestion des déchets de l'Aube à Veolia, via Valaubia !

    Nous attendons la venue du professeur Sultan à La Chapelle Saint-Luc pour nous dire ce que l'on ne nous dit pas à Fos-sur-Mer, où le maire en a plus que marre d'Urbaser ! En effet, à Fos-sur-Mer, EveRé (Urbaser) multiplie les conflits administratifs avec nos camarades élus et associatifs.  

    Ils font de l’incinération à ras les pâquerettes. Ils cassent les prix, font ensuite augmenter les tonnages et, ensuite c’est trop tard. Les populations locales sont prises au piège.

    Il suffit de se renseigner auprès de notre camarade le maire de Fos-sur-Mer, René Raimondi.

    Il en a plus que marre d’Urbaser !

    MCDP

  • Offensive gérérale ZERO WASTE & AURA Environnement ALTRIOM : la DREAL Auvergne-Rhône-Alpes comportement idem Pinochet !

    Finistère (GUYOT Environnement : Saint-Martin-des-Champs) ; Drôme (COVED-PAPREC : Roussas) ; Haute-Loire (ALTRIOM : Polignac)......

    Certains fonctionaires de la DREAL Auvergne-Rhône-Alpes

    sous les ordres de leurs préfets respectifs

    se comportent en ennemis de l'Etat en prenant

    constammment la défense des pollueurs afin

    de vous tromper et ne pas donner la Vérité !Aa87

    Vous devez nous aider afin de trouver d'autres solutions que les juridictions administratives pour engager des procédures les engageant personnellement, car ils ne respectent pas la Constitution et encore moins la République. Tout se fait en cachette dans ce pays !!! Ne croyez surtout pas ce qu'ils vous disent. Ils nous mentent souvent. Les enquêtes publiques ne sont que tartufferie. Les dés sont pipés d'avance. Quoique nous fassions, ce sera toujours le pot de terre contre le pot de fer. Les dirigeants de la Corée du Nord, ce sont eux ! Ce sont des parias anti-républicains qui ne sont pas dans le consensus démocratique et qui trahissent les idéaux de la République. N'ayons pas peur de l'engeance pinochétiste ! Battons-nous avec nos tripes pour la défense des animaux et de l'environnement. Heureusement que tous les fonctionnaires de la Dreal ou de la DDPP ne sont pas toutes et tous comme cela ! Nous ne vous parlerons pas, non plus, de celles et ceux qui se connectent sur les sites de rencontre pendant leurs heures de travail..... au frais du contribuable !!! Demandez aux responsables départementaux des DDPP et des DREAL, les nombres de leur RTT respectifs !

    Avec le dossier ALTRIOM, nous sommes plusieurs à avoir découvert nombre d'interrogations.

    AURA Environnement demande également des éclaircissements sur ce qui se passe à Polignac et surtout comment est utilisé l'argent public !!!

    La réponse de Zéro Waste :

    Réponses tardives, refus de fournir des documents pourtant communicables de droit... obtenir des informations sur la gestion des déchets par les industriels n’est pas toujours chose facile, alors même que la loi française est très claire. Elle consacre en effet « le droit de toute personne d'accéder aux informations relatives à l'environnement détenues, reçues ou établies par les autorités publiques » (articles L124-1 et suivants du Code de l’environnement).

    Une usine qui valoriserait 90% des déchets et refuse de transmettre ses rapports d’exploitation ?

    A Polignac (Haute-Loire), l’usine « Altriom - Ecopôle tri et valorisation des déchets », fait grand bruit : elle affiche un résultat très prometteur de « 90% des déchets de la poubelle grise valorisés ».

    Curieux d’en savoir plus sur le procédé qui permettrait d’atteindre un tel résultat, Zero Waste France a demandé à l’exploitant de l’usine, en juillet 2016 puis en janvier 2017, la transmission de ses rapports annuels d’activité, afin de connaître
    précisément le détail de ce qui entre et sort de l’installation.

    Suite au
    silence assourdissant de l’exploitant, Thibault Turchet (juriste dans l'équipe permanente de Zero Waste France) a contacté la Direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement (DREAL) Auvergne / Rhône-Alpes. Cette administration dispose en effet des documents devant lui être remis périodiquement par les exploitants de ce type d’usines (quantités réceptionnées et évacuées, polluants rejetés dans l’eau et l’air, analyses des déchets et du compost, statistiques détaillées...). Malheureusement, c’est un nouveau refus que nous avons essuyé !

    Face à ce manque de transparence, le doute s'installe : les chiffres exemplaires avancés par Altriom ne seraient-ils que des objectifs, loin d'être atteints ? Et de quelle valorisation parle Altriom ? Nous suspectons une "valorisation" essentiellement énergétique, alors que la valorisation matière (recyclage) devrait être la priorité. 

    Zero Waste France Saisit la Commission d’accès aux documents administratifs

    Zero Waste France saisit donc ce jour la Commission d’accès aux documents administratifs (CADA), qui est une autorité administrative indépendante chargée de rendre un avis lorsque l’accès à un document est refusé par une administration.

    «
    En 2017, on pourrait penser que ce genre de pratique n'a plus cours. Et pourtant, il est régulièrement fait obstacle à l’accès à des documents parfaitement communicables sur simple demande » constate Thibault Turchet, responsable des affaires juridiques à Zero Waste France.

    C’est pourquoi nous invitons les associations à
    aller jusqu’au bout de leurs démarches, trop souvent interrompues par découragement. Il suffit en effet de bien garder une trace des demandes initiales, d’attendre un mois puis de saisir la CADA si nécessaire (les procédures sont bien expliquées sur son site).

    Nous attendons désormais l’avis de la CADA, et appelons les industriels et administrations concernées à un respect plus rigoureux du droit d’accès à l’information en matière environnementale.