Coeur radioactif des polémiques
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+ de 19 000 signatures Pétition : AURA Environnement 1° Force contre incinérateur #Valaubia @Troyes !
- Par auraenvironnementparis
- Le 11/04/2018
- Dans STOP incinérateur VALAUBIA/VEOLIA à La Chapelle Saint-Luc (Aube)
L'ultra gauche d'AURA Environnement
est la 1° FORCE d'opposition au projet
d'incinérateur porté par le SDEDA et VEOLIA !
19 205 Signatures --- 380 Commentaires
LIEN pétition : https://www.mesopinions.com/petition/animaux/stop-projet-incinerateur-poubelles-veolia-troyes/41915I
AURA Environnement a mobilisé plus de 100 militant-es pour venir au secours des Collectifs SI-LCSL (Stop Incinérateur La Chapelle-Saint-Luc) et de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux.
Le résultat s'amorce satisfaisant, puisque notre pétition est la plus forte jamais lancée sur l'Aube contre le projet porté par Veolia à La Chapelle Saint-Luc dans l'Aube, près de Troyes.
Alors que nos opposants tablaient sur moins de 1 000 signatures, AURA Environnement, grâce à son travail de fourmi auprès des masses populaires - et non de la boboïste-petite-bourgeoisie -, mobilise grâce à sa vision marxiste d'opposition à Veolia.
Nombreux sont nos camarades antispécistes ou non qui se rangent sous notre bannière.
Ceux qui nous méprisent ont compris que la Révolte révolutionnaire trouvera son issue, non pas pendant leur pseudo enquête "publique" où ils nous prennent en - otage -, mais, après les sinueux parcours procéduriaux.
Ils nous prennent pour des "brèles". Nous avons le soutien des masses. Pas eux. Et surtout pas les stagnants du SDEDA !
RESISTONS avec notre SEULE arme : la Résistance populaire !
SOYONS SOUDE-ES et RESTONS MOBILISES !
Marc-Claude de PORTEBANE
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PETITION : STOP projet Incinérateur poubelles #Veolia @Troyes. ZERO cancers pour nos Toutous Parc des prés de Lyon à La Chapelle-Saint-Luc !
- Par auraenvironnementparis
- Le 06/04/2018
- Dans Pétition STOP projet incinérateur poubelles #Veolia vers @Troyes Mr BAROIN ! ZERO cancers pour nos Toutous Parc des prés de Lyon à La Chapelle-Saint-Luc !
19 029 Signatures --- 375 Commentaires
STOP projet incinérateur poubelles
#Veolia vers @Troyes Mr BAROIN !
ZERO cancers pour nos Toutous
Parc des prés de Lyon à La Chapelle-Saint-Luc !
Lien pétition : https://www.mesopinions.com/petition/animaux/stop-projet-incinerateur-poubelles-veolia-troyes/41915
A l'attention de Mr ministre Écologie Nicolas HULOT, Mr préfet de région Grand-Est Jean-Luc MARX, M. élu-es Conseil régional Grand-Est, Mr préfet Aube Thierry MOSIMANN, Mr dépité François BAROIN
Alors que la Région Grand-Est, est en train d’élaborer son plan régional de prévention et de gestion des déchets (PRPGD), VEOLIA profite de la période actuelle pour créer un incinérateur à La Chapelle-Saint-Luc aux portes de Troyes avec l’aide des élu-es du SDEDA (Syndicat Départemental d’Élimination des Déchets de l’Aube) et des politicards locaux pour nous imposer « une solution » dite d'élimination des poubelles par incinération avec production d'électricité et de vapeur in situ, sans…. valorisation matière ultime et sans stockage de l'énergie produite !
Notre camarade, le dépité Grégory BESSON-MOREAU (1ère circonscription de l’Aube) marche-t-il à reculons avec l’un de nos camarades : « J'ai lu avec attention vos différents échanges. Vous comprendrez que mes responsabilités de député m'imposent de respecter toutes procédures en cours, d'être exemplaire et de ne pas interférer dans ce type de dossier. » ? En marche, n’hésitez pas à lui écrire J Gregory.Besson-Moreau@assemblee-nationale.fr
La DSP (Délégation de Service Public) à Veolia pour 25 ans de ce projet d’incinérateur Valaubia (plus proprement dénommé UVE pour ne pas effaroucher les populations locales) de 60 000 T de déchets/an – soit 160T/Jour), (Financement probable entre 50 et 60 M€) sur la commune de La Chapelle-Saint-Luc est une totale aberration, car elle va à l’encontre du moratoire de l’Europe et de loi de TECV. Le projet VALAUBIA ne présente pas de conformité au plan régional d’élimination des déchets mais uniquement au plan départemental.
Agissons aujourd’hui pour ne pas le regretter pendant 25 ans !
Les collectifs SI-LCSL (Stop Incinérateur La Chapelle-Saint-Luc) et de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux soutenus par AURA Environnement ont déclenché l’opération : « LES RAISONS NOIRES DE LA COLERE » en s’opposant à ce projet d’incinérateur à poubelles porté par Valaubia/Veolia à La Chapelle-Saint-Luc aux portes de Troyes http://www.lest-eclair.fr/62842/article/2018-03-27/incinerateur-il-veut-monter-une-zad-la-chapelle-saint-luc
Refusons la construction de cet incinérateur qui fait peser un double risque :
Celui d’interdire toute politique de réduction afin de nourrir l’incinérateur.
Celui de voir augmenter la fiscalité locale compte tenu de tous les rapports qui invitent aujourd’hui à pénaliser ce mode de traitement !!!Les investissements liés à cette installation, bien que portés totalement par VEOLIA, vont augmenter la facture pour le traitement des déchets que l’habitant du Grand Troyes devra payer ! En effet, d’après le rapport d’activité de 2016 du SDEDA, le prix de traitement du marché avec VEOLIA serait de 108 € /tonne (hors TGAP) ! D’après ce même rapport, on peut calculer le coût du traitement actuel. Il est d’environ 99 €/t (TGAP comprise).
La mise en place de ce projet d’incinérateur (cheminée de 42 m de haut, superficie terrain : 49 137 m², hauteur construction : 34,40 m) dans cette actuelle enquête publique devrait permettre de réduire le coût de traitement des déchets non-valorisables (grâce à la vente de chaleur et d’électricité). IL SEMBLE QUE CELA NE SOIT PAS LE CAS ! La région Est, dans sa partie Ouest dispose de grandes capacités d’incinération disposant de vides de four (Ils ont bien été autorisés à remplacer l’UVE de Strasbourg) : REMIVAL à Reims et AUREADE à La Veuve (51), L’IUOM du SDED52 à Chaumont (toutes 3 gérées par Veolia), soit 282 000 tonnes de capacités annuelles à proximité immédiate de Troyes (sans compter les capacités d’enfouissement).
NOUS NE SOMMES PAS LES ANDOUILLES DE TROYES ! NOUS VOULONS PLUS DE CONCERTATION !
Selon l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME), la réduction des ordures ménagères résiduelles ne dispense pas de prévoir des capacités de traitement en optimisant les unités existantes ou en planifiant les investissements nouveaux nécessaires. Pourquoi 60 000 tonnes de plus ? Il est aberrant, en période de transition énergétique, de LTECV ou de Loi Notre, de vouloir faire porter à la collectivité un investissement de plus de 60 millions alors que les outils existants voisins ne sont pas saturés. D’autant qu’ils sont gérés par le même opérateur : VEOLIA ! Sa volonté sera que pour maintenir un équilibre économique entre ses 4 outils et les nourrir, il faudra des déchets et encore des déchets ménagers non-triés (car les fours sont conçus pour ça). Et vous verrez dans les prochaines années, nous observerons même se profiler de futures guerres intestines de Syndicats de traitement pour que leurs outils soient bien alimentés … à qui cela va-t-il profiter ???
C’est une situation monopolistique évidente qui ne profitera qu’à l’exploitant VEOLIA !!! Dans la hiérarchie du mode de traitement des déchets, le réemploi et le recyclage vient avant la valorisation énergétique et le stockage. Il est donc nécessaire de respecter la loi ! Prévoir des outils de tri favorisant le réemploi et le recyclage … puis prévoir des outils correctement dimensionnés pour la valorisation énergétique ou le stockage puisque, ailleurs, en France, aucune autre demande n’est faite pour de l’incinération. Il n’ya qu’à Troyes que l’on voit une telle demande ! Il est à noter qu’une partie très importante de matières recyclables dont des plastiques dont on ne sait plus que faire va être incinérée en dégageant du Co2 alors que cela est contraire à la hiérarchie de traitement des déchets définie par l’Union européenne. Les émissions de dioxines et de furanes ne sont pas à négliger d’autant plus que métaux lourds (Cadmium, plomb, mercure), dioxyde de souffre et d’azote risquent de terminer dans les poumons de nos toutous et camarades de cette agglomération troyenne !
Quelles répercussions sur la santé de nos toutous et autres animaux qui gambadent dans les jardins publics de la région de Troyes, les populations locales des quartiers populaires, les acteurs économiques comme les vignobles environnants ?
Dernièrement, Francis GLEMET, porte-parole de l'Amies (Association de médecins pour l'environnement et la santé) s'inquiétait des conséquences des dernières conclusions faites lors de la commission de suivi de site de l'incinérateur de Lunel-Viel. La commission de suivi de site (CSS) de l'incinérateur de Lunel-Viel s'est déroulée le 29/11/2017.
L'étude descriptive du Registre du cancer laisse pantois. HALTE AUX CANCERS ! LA COMMISSION EUROPEENNE A EMIS UN AVIS DEFAVORABLE A TOUT NOUVEAU PROJET D’INCINERATEUR !
Des surincidences ont été observées entre 5 et 15 km autour de l'incinérateur, des cas de certaines tumeurs comme les lymphomes, les lymphomes malins non hodgkiniens, les sarcomes des tissus mous, les leucémies... ont été relevés. Les premiers résultats ont été présenté aux experts de l’Amies : le professeur SULTAN (pedo-endocrinologue) et Mme GERBER (épidémiologiste). Source : http://www.midilibre.fr/2017/12/11/lunel-vives-inquietudes-apres-les-conclusions-sur-le-suivi-de-l-incinerateur,1601028.php Les différents polluants émis par l’incinération se retrouvent dans l’environnement par différentes voies. Une partie de ces substances chimiques est "bioaccumulée", c’est-à-dire qu’elles sont intégrées en l’état par les éléments naturels qui deviennent alors des sources de contamination potentielle pour l’homme et les animaux avec les rejets gazeux et les rejets d’épuration des fumées (REFIOM). Le journal Le Monde vient de sonner l’alerte : « Pour ceux qui doutent encore de l’urgence à lutter contre la pollution de l’air…http://www.lemonde.fr/pollution/article/2018/04/05/la-pollution-de-l-air-aurait-aussi-des-effets-sur-le-developpement-du-cerveau-des-enfants_5281222_1652666.html
PAS QUESTION de laisser nos TOUTOUS, HERISSONS d’EUROPE, LEZARDS des MURAILLES en DANGER !!!
Les animaux ont des droits et les camarades antispécistes du Collectif SI-LCSL soutenus par AURA Environnement les feront pleinement respecter dans la région de Troyes (notamment le hérisson d’Europe ou le lézard des murailles…) http://www.aura-environnement.com/ Le premier code juridique de l’animal vient de voir dernièrement le jour en France. Cet ouvrage unique, qui rassemble toutes les législations en vigueur concernant les animaux, servira aux magistrats, procureurs, avocats ou encore aux vétérinaires, enseignants, étudiants du Grand Est et, notamment de Barberey-Saint-Sulpice, de Lavau, des Noës-près-Troyes, de Montgueux, de Sainte-Maure, de Sainte-Savine, de Torvilliers et deTroyes qui pourront toujours compter sur le Collectif SI-LCSL épaulé par AURA Environnement ! https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/
NOUS, signataires de cette pétition internationale, défenseurs de la Cause du peuple, Nous demandons que le document de Délégation de Service Public nous soit transmis dans son intégralité, y compris les formules de révision des tarifications. Nous demandons que les adhérents du syndicat des vignerons de MONTGUEUX agissent in solidum avec AURA Environnement pour défendre l’image du Champagne..
NOUS, signataires de cette pétition internationale, défenseurs des services publics MAIS très pénalisé-es par les grèves SNCF de ce printemps 2018, en ne pouvant venir déposer sur le registre en mairie de La Chapelle-Saint-Luc et rencontrer le commissaire enquêteur Roger KISTER, Nous vous invitons à participer à cette nouvelle enquête publique du lundi 26 mars 2018 au vendredi 27 avril 2018, par mail - puisque nous n’avons pas d’autre choix - ( Merci de le préciser aussi en copie, au tribunal administratif greffe.ta-chalons-en-champagne@juradm.fr ), en adressant MASSIVEMENT notre pétition + vos observations sur la cuvée « Incinérateur Valaubia » à pref-enquetepublique-valaubia@aube.gouv.fr
NOUS, signataires de cette pétition internationale, défenseurs acharné-es des animaux, Nous invitons nos camarades antispécistes ou simples militant-es de la Protection Animale, de TOUTE l’Europe, à nous soutenir massivement en convergeant dans la région de Troyes pour des actions citoyennes non-violentes d’information et de sensibilisation des populations locales ; en apportant leur contribution dans cette 2° enquête publique ; en se mobilisant pour la création d’une potentielle ZAD (Zone A Défendre). CONTACT : aura-environnement@protonmail.com
Puisqu’ils n’ont pas voulu nous laisser entrer avec notre pancarte en carton Bio lors de leur parodie de « réunion publique » au centre culturel « Didier BIENAIME » de La Chapelle-Saint-Luc (26/03/2018), puisque le commissaire enquêteur a refusé de montrer son visage au sympa photographe de la presse locale, nous vous remercions de signer massivement, à visage découvert, cette pétition internationale, de bien la partager autour de vous et de bien valider votre signature…. PUBLIQUE !
« Ceux qui luttent ne sont pas sûr de gagner, mais ceux qui ne luttent pas ont déjà perdu » ! Berthold BRECHT.
Marc-Claude de PORTEBANE -
Président d’Aura Environnement
Porte-parole du Collectif SI-LCSL (Stop Incinérateur La Chapelle-Saint-Luc)
Porte-parole du Collectif de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux.
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Enquête publique STOP Incinérateur VALAUBIA-VEOLIA #Troyes : Collectif SI-LCSL déclenche "Les raisons noires de la colère" !
- Par auraenvironnementparis
- Le 29/03/2018
- Dans STOP incinérateur VALAUBIA/VEOLIA à La Chapelle Saint-Luc (Aube)
Le Collectif SI-LCSL (Stop Incinérateur La Chapelle-Saint-Luc)
soutenu par les écolos-marxistes d'AURA Environnement
déclenche l’opération : « LES RAISONS NOIRES DE LA COLERE » !
Article de l'Est Eclair (édition de Troyes) http://www.lest-eclair.fr/62842/article/2018-03-27/incinerateur-il-veut-monter-une-zad-la-chapelle-saint-luc
Comme le relate fort justement le quotidien de l'Aube "L'Est Eclair" du 23/03/2018, le Collectif SI-LCSL (Stop Incinérateur La Chapelle-Saint-Luc) s'est invité dans le débat de la 2° enquête publique relative au projet d'incinérateur porté par VALAUBIA/VEOLIA à La Chapelle Saint-Luc et porté par le SDEDA de Troyes (établissement public pour le traitement des déchets, le tri des emballages et des papiers, le compostage des déchets verts et la valorisation des déchets de l'Aube) qui ne trouve rien de mieux que de faire installer un projet d'incinérateur non-loin d'habitations où résident nos camarades précaires au RAS, ouvrièr-es, salarié-es, petits commerçants, petits-fonctionnaires ou petits retraité-es qui, le dimanche après-midi, n'ont souvent d'autre choix que de se promener avec leurs toutous et leurs petits enfants dans le magnifique marécageux parc des Près de Lyon (11ha), bientôt si près de toucher le fond de l'incinération avec 60 000 T de poubelles nauséabondes qui déferleront chaque année pendant 25 ans, si jamais la riposte populaire venait à tarder !
Il n'est pas question de coller un incinérateur dans la toute proche banlieue de Troyes aux masses populaires qui ne sont pas vraiment au courant de ce projet, sinon, elles se seraient manifestées lors de la réunion publique au centre culturel "Didier Bienaimé" de La Chapelle Saint-Luc.
le Collectif SI-LCSL (Stop Incinérateur La Chapelle-Saint-Luc) invite les masses populaires à manifester leur opposition à ce projet d'incinérateur en exprimant massivement leur mécontentement sur le registre de l'enquête publique, en prenant appui sur nos premières observations :
NOUS N’AURONS pas D’AUTRE CHOIX qu’une ZAD
ANTI-INCINERATEUR à LA CHAPELLE SAINT-LUC !
Ce 26 mars 2018 s’ouvre la seconde enquête publique sur le projet d’incinérateur du SDEDA – VALAUBIA dont l'exploitation a été confiée à VEOLIA.
Une grande victoire – celle de l’annulation de la 1ère enquête publique - pour tous les opposant-es qui s’étaient manifestés contre ce projet minable d’incinérateur, DONT le Collectif SI-LCSL (Stop Incinérateur La Chapelle-Saint-Luc) soutenu par AURA Environnement. http://www.aura-environnement.com/blog/collectif-si-lcsl-stop-incinerateur-la-chapelle-saint-luc/annulation-de-l-enquete-publique-incinerateur-la-chapelle-saint-luc.html
Alors que nos camarades de ZERO WASTE France n’avaient pas encore apporté la moindre contribution à J-5 de la fin de cette 1ère enquête publique (EP), le Collectif SI-LCSL mouillait, lui, sa chemise et sonnait la sonnette d’alarme et la sonne à nouveau, une 2° fois, sur les risques liés aux cancers en attirant l’attention des commissaires enquêteurs et des pouvoirs publics qui ne sauraient ignorer ces terribles constats :
HALTE AUX CANCERS ! LA COMMISSION EUROPEENNE A EMIS UN AVIS DEFAVORABLE A TOUT NOUVEAU PROJET D’INCINERATEUR !
AURA Environnement est opposé à ce projet cynique d’incinérateur et le combattra au tribunal administratif (TA) avec le soutien du Collectif SI-LCSL (Stop Incinérateur La Chapelle Saint-Luc) !
La DSP (Délégation de Service Public) à Veolia pour 25 ans de ce projet d’incinérateur Valaubia (plus proprement dénommé UVE pour ne pas effaroucher les populations locales) de 60 000 T de déchets/an – soit 160T/Jour), (Financement probable entre 50 et 60 M€) sur la commune de La Chapelle-Saint-Luc est une totale aberration, car elle va à l’encontre du moratoire de l’Europe et de loi de TECV.
Il est à noter qu’une partie très importante de matières recyclables dont des plastiques dont on ne sait plus que faire va être incinérée en dégageant du Co2 alors que cela est contraire à la hiérarchie de traitement des déchets définie par l’Union européenne.
Les émissions de dioxines et de furanes ne sont pas à négliger d’autant plus que métaux lourds (Cadmium, plomb, mercure), dioxyde de souffre et d’azote risquent de terminer dans les assiettes ou dans les lichens de cette agglomération troyenne !
Quelles répercussions sur la santé pour les populations locales ?
Dernièrement, Francis GLEMET, porte-parole de l'Amies (Association de médecins pour l'environnement et la santé) s'inquiétait des conséquences des dernières conclusions faites lors de la commission de suivi de site de l'incinérateur de Lunel-Viel.
La commission de suivi de site (CSS) de l'incinérateur de Lunel-Viel s'est déroulée le 29/11/2017.
L'étude descriptive du Registre du cancer laisse pantois.
Des surincidences ont été observées entre 5 et 15 km autour de l'incinérateur, des cas de certaines tumeurs comme les lymphomes, les lymphomes malins non hodgkiniens, les sarcomes des tissus mous, les leucémies... ont été relevés. Les premiers résultats ont été présenté aux experts de l’Amies : le professeur SULTAN (pedo-endocrinologue) et Mme GERBER (épidémiologiste). Source : http://www.midilibre.fr/2017/12/11/lunel-vives-inquietudes-apres-les-conclusions-sur-le-suivi-de-l-incinerateur,1601028.php
Les différents polluants émis par l’incinération se retrouvent dans l’environnement par différentes voies. Une partie de ces substances chimiques est "bioaccumulée", c’est-à-dire qu’elles sont intégrées en l’état par les éléments naturels qui deviennent alors des sources de contamination potentielle pour l’homme et les animaux avec les rejets gazeux et les rejets d’épuration des fumées (REFIOM).
AURA Environnement http://www.aura-environnement.com/ et son Collectif antispéciste de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/ alertent les pouvoirs publics sur les risques induis par dioxines et furanes dans le lait de vache généralement observés à moins de 3 km autour de ces infâmes incinérateurs où des prélèvements sont la plupart du temps effectués par un organisme de contrôle extérieur et des analyses réalisées par un laboratoire dûment agréé.
En ce qui concerne la protection des animaux, AURA Environnement vient de sortir une pétition internationale qui rassemble déjà plus de 106 000 signatures en moins de 2 mois dans le cadre de la défense des ânes et mules maltraités en Grèce sur l’île de Santorin, intitulée : « STOP ânes et mules maltraités île de Santorin #Grèce transport passagers ou bagages ! ». https://www.mesopinions.com/petition/animaux/stop-anes-mules-maltraites-ile-santorin/39448
Les animaux ont des droits et les camarades antispécistes du Collectif SI-LCSL soutenus par l’association loi 1901 AURA Environnement les feront pleinement respecter dans la région de Troyes (notamment le hérisson d’Europe ou le lézard des murailles, etc…).
D’ores et déjà, nous invitons nos camarades antispécistes et vegans de TOUTE la France, voire de toute l’Europe, à nous soutenir massivement en convergeant dans la région de Troyes pour des actions citoyennes non-violentes d’information et de sensibilisation des populations locales et en apportant leur contribution dans cette 2° enquête publique en se mobilisant pour la création d’une potentielle ZAD (Zone A Défendre).
Le premier code juridique de l’animal vient de voir dernièrement le jour en France. Cet ouvrage unique, qui rassemble toutes les législations en vigueur concernant les animaux, servira aux magistrats, procureurs, avocats ou encore aux vétérinaires, enseignants, étudiants du Grand Est et, notamment de Barberey-Saint-Sulpice, de Lavau, des Noës-près-Troyes, de Montgueux, de Sainte-Maure, de Sainte-Savine, de Torvilliers et deTroyes qui pourront toujours compter sur le Collectif SI-LCSL épaulé par AURA Environnement !
https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/
AURA Environnement, qui vient de faire fermer au 31/12/2017 la décharge NICOLLIN à Saint-Romain-en-Gal en allant ester au tribunal administratif de Lyon, ira CONTESTER le futur AP du préfet de l’Aube si celui-ci le signe !
AURA Environnement demande aux commissaires enquêteurs lorsqu’ils rendront leur avis défavorable, de dénoncer la non-désignation d’une commission d’enquête régionale du Grand-Est chargée des études épidémiologiques et du devoir d’information des citoyennes et des citoyens qui doivent savoir à quels risques ils seront potentiellement soumis, eux et leurs enfants dans les prochaines décennies puisque le nouveau plan régional sera voté prochainement par la Région de ce même Grand-Est !
Pour rappel, la première enquête publique (clôturée le 13 janvier 2018) a été annulée suite à la décision du Conseil d’Etat du 6 décembre 2017.
Cette décision annule le 1° de l’article 1er du décret du 28 avril 2016 désignant le préfet de Région en qualité d’autorité compétente de l’Etat en matière d’environnement, et ainsi lui permettant de procéder à l’évaluation environnementale de certains projets.
L’avis de l’autorité environnementale jointe au dossier de la première enquête publique était donc caduque, entraînant de fait, l’annulation de la procédure.
- Avis de la MRAe :
A ce jour, les avis de l’AE doivent être émis par la MRAe (Mission Régionale de l’Autorité Environnementale).
Les MRAe ont été créées afin de « transférer intégralement la compétence d'autorité environnementale à des formations du CGEDD (formation d'autorité environnementale - Ae - et missions régionales d'autorité environnementale), pour garantir une séparation stricte entre l'autorité environnementale, les maîtres d'ouvrage et les préfets. Son principal but est d'apporter davantage de garanties d'impartialité et d'objectivité pour les avis rendus par l'autorité environnementale»
Le nouveau dossier d’EP contient un avis de l’AE émis par la MRAe Grand-Est. A la lecture de cet avis, nous pouvons remarquer qu’il est identique à l’avis rédigé par la DREAL en 2017. Seules quelques recommandations et illustrations permettent de les différencier.
D’autre part, la réglementation prévoit un délai de 2 mois pour que la MRAe rende son avis sur les projets qui lui sont soumis.
Ce délai est constamment respecté et l’on constate que pour tous les projets soumis à la MRAe, 2 mois pleins s’écoulent entre le dépôt du dossier à la MRAe et la publication de son avis.
Tous les projets… sauf 1
« Projet d’exploitation d’une unité de valorisation énergétique à La Chapelle-Saint-Luc (10 / Aube) de la société VALAUBIA (référence : 2018APGE5) Avis sur projet du 1er février 2018 »
Pour ce dossier, la MRAe a été saisie le 17 janvier 2018.
Au vu des délais habituellement observées, il est bon de se demander les raisons d’une si grande célérité dans l’avis rendu par la MRAe Grand-Est sur le dossier de Valaubia.
L’avis a été rendu en 15 jours contre 60 jours habituellement.
L’impartialité et l’objectivité de la MRAe sur ce dossier est-elle réelle ? Quelles sont les raisons d’une réponse aussi rapide ? les impacts environnementaux ont-ils bien été évalués dans leur ensemble ?
- Compatibilité avec les plans régionaux
Le 14 mars 2018, l’association France Nature Environnement a envoyé une lettre ouverte à Nicolas Hulot.
Depuis la loi NOTRe en 2015, la compétence prévention et de gestion des déchets a été transférée aux Régions.
Les travaux sur le plan régional en Grand-Est sont en cours et devraient aboutir à une adoption d’ici fin 2018.
Un des objectifs de ce plan régional est « la mise en œuvre opérationnelle des ambitions de la loi de transition énergétique ainsi que de la feuille de route économie circulaire qui sera prochainement publiée par l’Etat » avec la fixation d’objectifs de réduction des déchets incinérés à l’horizon 2025.
Le projet VALAUBIA ne présente pas de conformité au plan régional d’élimination des déchets mais uniquement au plan départemental.
La réflexion menée actuellement vise « à établir une planification de la gestion des déchets sur 6 et 12 ans, identifiant les actions prévues et à prévoir par les différents acteurs territoriaux pour réduire la production de déchets et augmenter leur recyclage. Ils ont notamment l’obligation de mentionner les installations qu’il convient de créer, adapter ou fermer au regard des objectifs nationaux »
La création d’une nouvelle unité de traitement va apporter une surcapacité supplémentaire dans une région déjà excédentaires (incinération et stockage).
Ainsi la demande de FNE semble totalement justifiée et en accord avec la politique de la loi NOTRe et de la loi TECV.
« Au regard de ces enjeux, nous vous demandons de bien vouloir prendre rapidement les mesures nécessaires afin d’imposer un gel sur tous les projets de création ou d’extension d’incinérateurs et de décharges, jusqu’à ce que les futurs plans régionaux de prévention et de gestion des déchets soient réputés approuvés et qu’ils deviennent opposables »
- Prix du traitement
Les investissements liés à cette installation, bien que portés totalement par le pétitionnaire, vont augmenter la facture pour le traitement des déchets que l’habitant du Grand Troyes devra payer !!!
En effet, d’après le rapport d’activité de 2016 du SDEDA, le prix de traitement du marché avec VEOLIA serait de 108 € /tonne (hors TGAP) !!!
D’après ce même rapport, on peut calculer le coût du traitement actuel. Il est d’environ 99 €/t (TGAP comprise).
La mise en place d’une unité aussi moderne et performante que celle proposée dans cette enquête publique devrait permettre de réduire le coût de traitement des déchets non-valorisables (grâce à la vente de chaleur et d’électricité).
IL SEMBLE QUE CELA NE SOIT PAS LE CAS !!!!
Quel est donc l’intérêt pour la population de voir s’implanter une telle usine qui augmentera leur facture et qui entrainera nécessairement une pollution supplémentaire de l’air et des sols ?
Suite aux élections présidentielles et législatives de 2017, où 75% des députés ont été renouvelés, de nombreux anciens ministres ou parlementaires ont rejoint le secteur privé ;
- François BAROIN intègre la banque Barclays en tant que conseiller du président, tout en conservant son mandat de maire de Troyes et de président de l’AMF.
Ne va-t-il pas pouvoir favoriser les emprunts toxiques avec son usine à poubelles ????
Dernièrement, Nicolas HULOT a indiqué (L'Humanité du 20/03/18) que l'objectif de la LTECV de faire tomber à 50 % la part du nucléaire dans notre production électrique d'ici à 2025, n'était pas réalisable.
On voit bien que dans ce projet d'incinérateur que nous sommes dans le flou des moyens et la dispute des objectifs.
Si la LTECV n'est pas du tout respectée au niveau du nucléaire, comment pourrait-t-elle être respectée dans l'élimination des déchets dans la région de Troyes ?
Ce projet d’incinérateur de VALAUBIA est multi-nocif :
- il sera situé à 300 m au Sud-Est des habitations les plus proches.
- l’établissement recevant du public (ERP) le plus proche est le Parc des Près de Lyon lui aussi à 300 m.
- le complexe aquatique municipal AQUALUC qui à l’ambition de répondre à 3 grands objectifs, (comme il le définit lui-même) : le bien-être du baigneur, le développement des pratiques aquatiques, l’offre d’activités ludiques et d’animations pour l’épanouissement des jeunes enfants ne sera qu’à 600 m.
- le Collège public Albert Camus (Académie de Reims) ne sera qu’à 860 m !!! Qu’en pense le Principal du collège, Philippe GRAULIER ? Les nuages du futur incinérateur de VALAUBIA vont-ils s’arrêter avant la frontière des 859 m de son établissement ?
Nous combattrons ce Grand Projet Inutile et Imposé (GPII) d’incinérateur de VALAUBIA imposé par le Capital, in solidum, avec nos camarades d’AUBE Durable avec qui nous sommes en contact, pour une action directe !
Les parcelles concernées par le projet sont exploitées à des fins agricoles. La parcelle d’implantation de ces futures installations s’inscrit dans un environnement urbanisé située à moins de 452 m de la plus proche Zone naturelle d’intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF type 1 n° 210002039 – Aérodrome de Troyes-Barberey).
L’avis de la MRAe indique que les impacts du projet sur ces enjeux seront « modérés, voire faibles ». Donc, pas inexistants !!!! Idem pour les 1 830 T/An de REFIOM, où on nous sert la même zouzoupe : « Impact résiduel de ces déchets dangereux sous forme de résidus solides considérés par l’exploitant comme « faible » !!!!
Ils disent toujours cela pour ne pas effaroucher les riverains et les populations locales ! C’est qu’ils disaient aussi pour AZF à Toulouse !
Or, chaque parcelle de lutte en devenir est potentiellement une nouvelle terre de colonisation.
Vent debout, les résidents de la Chapelle Saint-Luc et des communes environnantes de Troyes à fleur de peau n’auront pas d’autre choix qu’étudier un autre recours 100 % médiatique : la création d’une ZAD potentielle pour défendre les habitants, la flore et les espèces protégées comme le hérisson d’Europe ou le lézard des murailles !
HALTE A LEUR PARODIE DE DEMOCRATIE !
LA FORCE provisoire du SDEDA
et de VEOLIA :
LES MASSES POPULAIRES
SONT – pour l’instant –
TENUES DANS L’IGNORANCE !
A la 1ère réunion publique qui s’est tenue au centre culturel « Didier Bienaimé » à La Chapelle-Saint-Luc, le 26/03/2018, le Collectif SI-LCSL (Stop Incinérateur La Chapelle-Saint-Luc) soutenu par AURA Environnement a boycotté cette mascarade puisque le service de sécurité a refusé que nous déployions une simple petite pancarte, en carton Bio, faisant référence à notre opposition à ce projet d’incinérateur (source : l’Est Eclair du 29/03/2018) http://www.lest-eclair.fr/62842/article/2018-03-27/incinerateur-il-veut-monter-une-zad-la-chapelle-saint-luc#
Le Collectif SI-LCSL (Stop Incinérateur La Chapelle-Saint-Luc) demande au préfet de l’Aube, au tribunal administratif et à la Compagnie Nationale des Commissaires Enquêteurs (CNCE), la désignation d’un nouveau commissaire enquêteur qui voudra bien se montrer au public. En effet, lors de cette parodie de démocratie, où il y avait nombre d’élu-es en faveur de l’incinérateur de Veolia, le commissaire enquêteur Roger KISTER (président de la commission, géomètre expert retraité) a refusé d’être pris en photo par la presse au motif du droit à l’image.
Le droit à l’image dans une réunion dite « publique » ? A quoi cela sert-il de faire une réunion dite « publique » si l’on vient avec l’accoutrement de Zorro ?
Si on veut cacher son visage dans une réunion d’information et d’échanges avec le public, que veut-on nous cacher d’autre ENCORE ?
Quelle égalité cette réunion dite « publique » où l’on commence, – au 1er jour de l’enquête publique -, par bâillonner l’opposition en lui refusant un simple carton Bio où sont inscrites quelques revendications et un commissaire enquêteur qui, sûr de sa toute puissance – refuse de montrer son visage au grand public ?
¨Pourquoi le commissaire enquêteur n’a-t-il pas suivi les recommandations du « Guide de l’enquête publique, édité par la CNCE ?
En effet, le guide de la CNCE indique (fiche 8, page 15) «A retenir : ….il est déconseillé au commissaire enquêteur d’y assister, sa présence pouvant, à ce stade de la procédure, prêter à confusion… ».
Le Collectif SI-LCSL (Stop Incinérateur La Chapelle-Saint-Luc)
déclenche l’opération :
« LES RAISONS NOIRES DE LA COLERE » !
Puisque le SDEDA et son service de sécurité ont refusé que s’exprime démocratiquement et de façon pacifique les masses populaires représentées par le Collectif SI-LCSL (Stop Incinérateur La Chapelle-Saint-Luc), il ne nous restera plus qu’à faire entendre notre voix…. dans la rue !
La France non-soumise, n’est pas encore dans une dictature de style « Napoléon IV », méprisante des souches populaires issues de 48, 68 & 89 !
Nous sommes une République digne de ce nom !
« Ceux qui luttent ne sont pas sûr de gagner, mais ceux qui ne luttent pas ont déjà perdu » ! Berthold Brecht.
La région Est, dans sa partie Ouest dispose de grandes capacités d’incinération disposant de vides de four (Ils ont bien été autorisés à remplacer l’UVE de Strasbourg) : REMIVAL à Reims et AUREADE à La Veuve (51), L’IUOM du SDED52 à Chaumont (toutes 3 gérées par Veolia), soit 282 000 tonnes de capacités annuelles à proximité immédiate de Troyes (sans compter les capacités d’enfouissement).
Pourquoi 60 000 tonnes de plus ?
Il est aberrant, en période de transition énergétique, de LTECV ou de Loi Notre, de vouloir faire porter à la collectivité un investissement de plus de 60 millions alors que les outils existants voisins ne sont pas saturés.
D’autant qu’ils sont gérés par le même opérateur : VEOLIA !
Sa volonté sera que pour maintenir un équilibre économique entre ses 4 outils et les nourrir, il faudra des déchets et encore des déchets ménagers non-triés (car les fours sont conçus pour ça).
Et vous verrez dans les prochaines années, nous observerons même se profiler de futures guerres intestines de Syndicats de traitement pour que leurs outils soient bien alimentés … à qui cela va-t-il profiter ???
C’est une situation monopolistique évidente qui ne profitera qu’à l’exploitant VEOLIA !!!
Dans la hiérarchie du mode de traitement des déchets, le réemploi et le recyclage vient avant la valorisation énergétique et le stockage. Il est donc nécessaire de respecter la loi !
Prévoir des outils de tri favorisant le réemploi et le recyclage … puis prévoir des outils correctement dimensionnés pour la valorisation énergétique ou le stockage puisque, ailleurs, en France, aucune autre demande n’est faite pour de l’incinération. Il n’ya qu’à Troyes que l’on voit une telle demande !
Marc-Claude de PORTEBANE
- Président d’AURA Environnement
- Porte-parole du Collectif SI-LCSL (Stop Incinérateur La Chapelle-Saint-Luc)
- Fondateur et porte-parole de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux (49 200 Like sur facebook) https://www.facebook.com/liguedecombatcontrelescruauteenverslesanimaux/
- Membre de toutes les commissions du conseil consultatif pour l’élaboration du plan régional d’élimination des déchets à la Région Bretagne (réseau Kelenn, sauf la commission littoral).
- Membre de la CSS de la décharge Lély Environnement en tant que porte-parole du collectif SD-SQI (Stop Décharge Saint-Quentin-qur-Isère), préfecture de l’Isère.
- Président du pôle Déchets à la Fédération d’associations Fapel 22
- Porte-parole des collectifs :
- Stop Décharge Opale Environnement de Saint-Marie-Kerque (SDOE)
- Collectif de Protection de l'Environnement vers Roussas-Les Granges-Gontardes (CPERG)
- Collectif GreenLoire (CGL), candidat CSS Bdm Loire.
- Collectif Halte Usine à poubelles vers Andrézieux-Bouthéon (CHUPA)
- Collectif de Défense de l'Environnement à Chatuzange-le-Goubet (CDFEC)
- Collectif Orange Pressée Ecorce-à-Jeter (COPEJ) contre décharge Delta Déchets à Orange
- Collectif Greenbretagne (C.O.G.B) :
- Collectif de Préservation de l'Environnement de la Région de Dunkerque (CPERD)
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Avis autorité environnemental projet Indachlor Loon-Plage : AURA Environnement fait capoter enquête publique !
- Par auraenvironnementparis
- Le 20/03/2018
- Dans STOP Projet IndaChlor à Loon-Plage vers Dunkerque !
Grâce vigilance d'AURA Environnement et CPERD :
la nouvelle enquête publique risque de se dérouler
du 11 avril au 26 mai 2018 !
C'est reparti pour un tour. Depuis qu'AURA Environnement avait indiqué vouloir exercer un recours au tribunal administratif pour faire annuler l'enquête publique relative au projet Indachlor à Loon-Plage dans le Grand port maritime de Dunkerque (GPMD), les services de l'Etat ont préféré recommencer une nouvelle enquête publique.
Confirmation également du côté de la mairie de Loon-Plage qui a reçu tout frais, ce matin, l'arrêté préfectoral n° DCPI - BICPE - CA indiquant quil fallait attendre le délai d'obtention de l'arrêté préfctoral définif dans une durée de 6 mois.
AURA Environnement a également mis en garde le secrétariat de la mairie de Loon-Plage afin de faire vérifier par les services de l'urbanisme si les travaux n'avaient pas été commencé par l'exploitant, car, comme nous la confirmé la préfecture du Nord, Indaver a bel et bien voulu commencer les travaux.
Or, le secrétaire général de la préfecture du Nord aurait mis le holà en refusant toute élaboration de construction.
L'exploitant belge perd du temps. Qu'il repasse la frontière !
Le Collectif de Préservation de l'Environnement de la Région de Dunkerque (CPERD) soutenu par AURA Environnement appelle donc à une nouvelle mobilisation générale de ses militant-es.
Nous ne répèterons pas les erreurs de la dernière enquête publique qui a vu une très faible participation des masses populaires qui ne se sont pas vraiment senti concernées par ce projet Seveso dangereux.
Les camarades du peuple de base détestent les écolos-verts, ce genre de boboïstes qui ont perdu toute représentativité dans l'opinion publique parce que ce sont avant tout des politiciens.
Les camarades du peuple de base de Dunkerque préfèrent les écolos-rouges insoumis comme nous qui se rangent derrière les bannières de la classe ouvrière à qui on veut imposer une usine belge qui a déjà mal fait ses preuves dans le port d'Anvers, avec cette violente explosion de solvants. Pour mémoire, les habitants de Stabroek ont dû garder leurs fenêtres et leurs portes fermées : https://www.youtube.com/watch?v=lIZwyuXQisw
Un camarade marxiste du Nord signe la pétition d'AURA Environnement
Sauvons nos animaux, nos populations locales et nos animaux à Loon-Plage dans le Grand port maritime de Dunkerque CONTRE le projet dangereux IndaChlor voulu par les belges !
Nous gardons également un oeil vigilant sur le projet d'extension de la décharge de la Bistade à Sainte-Marie-Kerque dans le département voisin du Pas-de-Calais !
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马克思主义中央委员会加入#forceChine
- Par auraenvironnementparis
- Le 27/02/2018
灵气环境的生态友好马克思主义者
在思想上和经济上越来越接近
他们的中国同志包括胡克勤同志!
Montpellier 25/07/2012 : inauguration statue Mao
avec Marc-Claude de PORTEBANE et le président de
"Montpellier, Méditerranée, Métropole" JP MOURE
Video polémique : https://www.youtube.com/watch?v=Y40A1tL-hIA
人才选拔:德才开端,人才先行;
优化人力资源利用:消除薄弱环境,保持强大,按能力选择,发现人才,用人才必须让每个人都尽自己最大的努力,用最好的人才,支持人才能力;强大的获得机会,普通的放弃和平庸的放弃的机会;
培训:从外部和内部培训人才,每个人都有机会接受培训,每个人都可以培训其他人,让每一种人才都能在国际舞台上尽可能展示知识。
中国已经显示出对抗资本主义经济的力量。
Marc-Claude de PORTEBANE
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#Bure au rebut : Résistance citoyenne OUI mais dans le Respect de la loi !
- Par auraenvironnementparis
- Le 24/02/2018
- Dans Résistance démocratique déchets nucléaire #Bure
Les constructions en dur envisagées par les
provocateurs anarcho-trotskistes doivent être
proscrites car elles desservent la lutte locale !
Les opposants au projet d'enfouissement des déchets nucléaires à Bure (Meuse) ont été virés jeudi 22 février afin d'évacuer les 221 ha du site.
AURA Environnement l'a toujours proclamé, il ne peut y avoir de "Résistance citoyenne" sans dialogue avec l'Etat que ce soit avec les services de la Dreal, les DDPP et généralement tous les services préfectoraux dans le strict travail acharné sur la passion technique des dossiers environnementaux.
L'opération d'envergure pour déloger la racaille boboïste-trotskiste du bois Lejuc, épicentre de la lutte contre le projet de l'Andra, a révélé une fois de plus que l'on ne pouvait pas compter sur les fumeurs de joints qui n'ont aucune stratégie révolutionnaire, aucune discipline de corps, aucun sens de la réalité vécue par les populations locales, et qui veulent revenir à l'âge de pierre alors que sont des adeptes des ordinateurs et des portables extrêmement énergivores, qui, sans les centrales nucléaires ou non, ne pourraient exister.
Le bois Lejuc a été retenu par l'Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra) dans le but d'installer des cheminées d'aération du projet Cigéo qui vise à enfouir dans le sous-sol argileux du village de Bure, à 500 m de profondeur, les déchets nucléaires les plus radioactifs ou d'une durée de vie longue du parc nucléaire français.
Saisi en référé par l'Andra qui voudrait réaliser des forages exploratoires dans ce bois, le TGI de Bar-le-Duc (Meuse) avait pris en avril 2017 une décision d'expulsion qui vient d'être mise en oeuvre par les autorités préfectorales avec le soutien du ministère de l'Ecologie, même si #Nicolas HULOT qui a combattu ce projet dans le passé en s'affichant avec une pancarte "Cigéo Bure, je dis non", admet que rien "n'est acté".
Après NDDL, les éléments révisionnistes-trotskistes cherchent d'autres territoires pour "faire peur" à l'opinion dans une volonté destructrice de nos oppositions démocratiques dans certains projets tout en s'exposant dans les merdias dans des tenues provocatrices (cagoules, lance-pierres, etc....) dans un style provocateur que nous ne pouvons soutenir et qui est contraire à la lutte révolutionnaire telle que nous la concevons !
Il est évident que les journaleux des merdias capitalistes - comme ceux du Figaro - cherchent à montrer des extrémistes "écologistes", "armés" en tenue paramilitaire avec cagoules et autres déguisements afin de nuire aux populations locales.
La discipline écolo-marxiste des antispécistes d'AURA Environnement c'est tout, sauf cela ! Jamais nous ne serons dans la provocation contre les riverains et populations locales qui emmènent leurs enfants à l'école du village ou qui vont herser dans leurs champs avec leurs tenues de tous les jours.
Nous préférons étudier la thèse de 470 pages soutenue le 11/12/2017 par Leny PATINAUX (historien des sciences) dans le cadre de l'Ecole des hautes études en sciences sociales intitulée "Enfouir des déchets nucléaires dans un monde conflictuel, une histoire de démonstration de sûreté de projets de stockage géologique, en France".
Cependant, Bure n'est pas NDDL. Il y a des gens qui y vivent toute l'année dont de nombreux camarades agriculteurs ou de camarades ouvriers exaspérés à force d'être confrontés à des contrôles d'identités qui n'ont rien à voir avec les éléments antisociaux issus de l'ex-ZAD de NDDL et qui veulent pouvoir assurer le devenir de leurs enfants pour les prochaines décennies.
Ici, nous appliquons la maxime de #Talleyrand : "Tout ce qui est excessif est insignifiant" !
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Région #Grenoble : le collectif SD-SQI soutien #AURAEnvironnement hausse le ton c'est bon !
- Par auraenvironnementparis
- Le 22/02/2018
- Dans STOP décharge Lely Environnement à Saint-Quentin-sur-Isère
Plus de 20 militant-es ont répondu à l'appel du
Collectif SD-SQI (Stop Décharge Saint-Quentin-sur-Isère)
à la salle de l'ex-mairie Saint-Quentin-sur-Isère
protestations extension décharge LELY Environnement !
Sous la houlette du camarade antispéciste écolo-marxiste Marc-Claude de PORTEBANE, plus de 20 militant-es du Collectif SD-SQI (Stop Décharge Saint-Quentin-sur-Isère) - dont 7 excusé-es -, et soutenu par AURA Environnement, se sont réuni-es le 26/01/2018 à 18h à la salle de l'ancienne mairie de Saint-Quentin-sur-Isère afin de protester contre l'arrêté préfectoral du préfet de l'Isère du 19/12/2017 autorisant l'extension de l'ISDND de Lély Environnement au lieu-dit "L'Echaillon", un site qui a fait l'objet d'un diagnostic faune/flore dans le cadre de la réalisation de l'étude d'impact et que des espèces protégées ont été identifiées, notamment la Renoncule Scélérate qui s'est développée dans le bassin de stockage des eaux pluviales de la plate-forme de compostage.
Le porte-parole du Collectif SD-SQI et membre de la CSS, Marc-Claude de PORTEBANE, a soumis au vote (à l'unanimité) une visite annuelle du site en demandant au préfet de l'Isère qu'il valide également notre demande de rencontre des dirigeants de la société LELY Environnement et ce, en présence du maire et du représentant, élu, à la commission environnement de la commune de Saint-Quentin-sur-Isère qui ne s'était pas tenue convenablement comme nous l'avons indiqué à la CCS 2017 en préfecture de l'Isère.
Le SD-SQI sera particulièrement vigilant sur les dispositions de l'arrêté ministériel du 15/02/2016 qui prévoit notamment :
- la mise en place de barrières passive et active en fond des nouveaux casiers,
- la mise en place d'une couche de renforcement sous les barrières active et passive afin de protéger ces barrières de l'effet de tassements,
- le traitement des lixiviats (des casiers inférieurs et supérieurs) sur site puis rejet dans l'Isère en un point de rejet unique ; (une surveillance en continu du débit, pH et conductivité est prévue ainsi qu'un contrôle trimestriel de l'ensemble des paramètres réglementés),
- la collecte et la valorisation du biogaz (des casiers inférieurs et supérieurs) sur site,
- la collecte des eaux de ruissellement interne à la zone de stockage dans une série de bassins puis rejet par bachée (un contrôle du pH et de la conductivité est prévu avant chaque bachée, complété par une mesure annuelle de l'ensemble des paramètres réglementés),
- la réalisation d'une cartographie des émissions diffuses et d'une campagne de mesure de la qualité de l'air,
- la poursuite de la surveillance des eaux souterraines au droit du site,
- la mise en place d'un suivi des tassements et de la stabilité des talus.
La thématique des mâchefers a été abordée.
Marc-Claude de PORTEBANE a indiqué que les mâchefers admissibles sur le site seraient issus d'installation de "traitement thermique de déchets non-dangereux" (référencés sous le code déchet 19 01 12) et seraient répartis sur 3 zones dont la surface affectée aux installations (équipements, dépôts et utilités associés) sera exclusivement limitée à :
- 8 800 m² pour la réception des mâchefers valorisables
- 1700 m² pour la plate-forme de traitement (criblage/ferraillage)
- 7 200 m² pour le stockage des "produits finis".
Le SD-SQI insistera à la prochaine CSS de 2018 (commission de suivi de site) en préfecture de l'Isère, (Représentation votée à l'unanimité. Titulaire : le camarade Marc-Claude de PORTEBANE, Suppléante : la camarade Elisabeth BOUTEAU, Suppléante-adjointe : la camarade Valérie NAON), pour demander des précisions sur les conditions de stockage des mâchefers :
- Quel taux de présence de métaux lourds dans les mâchefers ?
- Mise à notre disposition du plan de gestion des lots de mâchefers.
- Communication du registre tenu par l'exploitant LELY Environnement à la disposition de l'inspecteur des installations classées (origine, date d'arrivée, localisation des mâchefers).
- Communication du contrôle visuel annuel de l'étanchéité du sol des aires de stockage des mâchefers ainsi que des aires de circulation.
- Les mesures de contrôle du stockage des mâchefers à même le sol qui sera interdit par l'AP.
A la prochaine CSS, nous demanderons que nous soit communiquée l'étude du BRGM, les études de prévention des pollutions atmosphériques potentielles, les études de gestion des effluents aqueux, le rapport sur la stabilité et l'intégrité de la digue de confinement, le rapport du débit odeur rejeté qui doit être compatible avec l'objectif de qualité de l'air ambiant tel que préconnisé par l'AP, le plan de gestion des déchets applicable à la plate-forme de compostage d'une surface totale de 26 300 m², le rapport annuel d'activité, le suivi des eaux souterraines, le rapport sur la liste des critères minimaux applicables aux rejets d'effluents liquides dans le milieu naturel (Effluents ne provoquant pas de coloration persistante du milieu récepteur et ne dégageant pas d'odeur) comme les MEST (matières en suspension totale), le COT (carbone organique total), la DCO (demande chimique en oxygène), les métaux lourds, les hydrocarbures totaux, les Phénols, l'Azote gobal ainsi que la DBO5 (demande biochimique en oxygène).
La demande de rencontre des dirigeants du site - qui a reçu un avis positif de l'exploitant - sera communiquée dans les prochaines semaines.
Le SD-SQI a prévu un pique-nique Vegan le samedi 26 mai 2018 à midi sur un terrain privé à Saint-Quentin-sur-Isère. Chacun-e apportera son cabas et nous partagerons collectivement fruits et légumes de nos productions locales. Chats et toutous sont les bienvenus. Le lieu - tenu secret - vous sera exclusivement donné par mail.
Identification et inscription obligatoire par mail à aura-environnement@protonmail.com ou à fidel-castrol@protonmail.com
Chantal LEVEQUE & Marc-Claude de PORTEBANE
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NON Projet INCINERATEUR & New avis MRAe : Collectif SI-LCSL (Stop Incinérateur La Chapelle Saint-Luc) attend future EP !!!
- Par auraenvironnementparis
- Le 21/02/2018
- Dans Collectif SI-LCSL (Stop Incinérateur La Chapelle Saint-Luc
Le Collectif SI-LCSL (Stop Incinérateur La Chapelle Saint-Luc)
soutenu par AURA Environnement
est prêt pour la nouvelle enquête publique sur le projet
d'incinérateur porté par Valaubia dans l'Aube !
Le président antispéciste d'AURA Environnement
Marc-Claude de PORTEBANE, ici à Roche-la-Molière (42)
CONTRE le projet de prolongation de la décharge SUEZ
Après un premier avis remis en septembre 2017 et annulé par un arrêt du Conseil d’Etat, la MRAE (Mission Régionale d'Autorité Environnementale Grand-Est) a rendu le 17/01/2018, un nouvel avis nettement plus nuancé sur le projet d’incinérateur à La Chapelle Saint-Luc dans l’Aube, en mettant en relief un certain nombre de zones d’ombres.
Toutes les enquêtes publiques dont l'AE (avis de l'autorité environnementale) a été signé par le préfet de région et préfet de département en 2017 doivent donc être dans le collimateur des associations environnementales qui ont obligation de les faire annuler au tribunal administratif.
Dans l'Aube, l'exploitant Valaubia a préféré éviter de prendre du retard en annulant fissa 3 jours avant la fin de l'enquête publique qui devait se terminer le 13/01/2017.
En effet, le Collectif SI-LCSL (Stop Incinérateur La Chapelle Saint-Luc) soutenu par AURA Environnement avait attiré l'attention du commissaire enquêteur sur la note technique du ministère de l'Ecologie adressée aux préfets de région qui avait pour objet de leur indiquer les conséquences à tirer de cet arrêt du conseil d'Etat pour les projets relevant jusqu'à présent de la compétence d'autorité environnementale du préfet de région.
Même si, désormais le nouvel avis de la MRAe fait foi, celui-ci est susceptible d'être attaqué au TA par AURA Environnement puisque le ministère de Nicolas HULOT n'a pas encore dit son dernier mot de façon officielle.
Ainsi, si un nouvel arrêté préfectoral (AP) autorisant une nouvelle enquête publique (EP) est relancé maintenant par la préfecture de l'Aube, AURA Environnement ira, de facto, le contester directement devant le tribunal administratif.
Et ce sera reparti pour une nouvelle brêche pour les populations locales soutenues par les associations environnementales qui verront les effectifs de la contestation prendre un nouveau virage, cette fois un 180° national.
D'ores et déjà, AURA Environnement appelle à la mobilisation générale ses militant-es antispécistes de la Ligue de combat contre les cruautés envers les animaux et du Collectif SI-LCSL à faire le tour des "popotes" pour guider nos sentinelles et nos commissaires politiques dans le respect de nos convictions marxistes et révolutionnaires d'opposition à la Réaction !
SEULE la mobilisation populaire aura raison de ce projet d'incinérateur porté par Valaubia et nous espérons le soutien massif de nos camarades de Zéro Waste France !
Chantal LEVEQUE