#FBAI
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Contre l’usine à poubelles CSR de SUEZ à Gueltas : Opération Fumée rouge Prolétarienne – CODERST 56, ouvrez les yeux !
- Par auraenvironnementparis
- Le 16/07/2025
- Dans Fumée rouge Prolétarienne : Gueltas brûle, CODERST 56, le peuple te regarde
Opération Fumée rouge Prolétarienne :
CODERST 56, ouvrez les yeux !
Contre l’usine à poubelles CSR de SUEZ à Gueltas –
Stoppons la machine avant qu’elle ne brûle nos territoires !
*Le Collectif GreenBretagne et le FBCI ont alerté. La Chambre d’agriculture 56 se terre.
Pendant que la forêt de Branguily dans le Morbihan tremble sous les menaces industrielles, pendant que SUEZ affine son projet de four à poubelles CSR à Gueltas, la Chambre d’agriculture du Morbihan reste silencieuse.
Et pourtant, elle siège au CODERST 56. Elle a une voix. Elle a un bulletin de vote. Elle a, surtout, une responsabilité envers les terres, les paysans, les éleveurs, les apiculteurs, les générations rurales.
Nous, militants du Collectif GreenBretagne et du Front Breton Contre l’Incinération (FBCI), avons pris nos responsabilités.
Nous avons écrit, alerté, interpellé, documenté les dangers de ce projet toxique :
- Fumées issues de CSR, nocives pour les sols et les écosystèmes.
- Contamination de l’air, des cultures, de l’eau.
- Destruction de foncier agricole autour de Gueltas.
- Chantage à l’emploi et greenwashing industriel.
Et la Chambre d’agriculture ?
Aucune réponse. Aucune prise de position. Aucune défense de la terre.
Alors nous posons la question publiquement :
- La Chambre d’agriculture 56 est-elle au service des paysans… ou des pollueurs ?
- Va-t-elle défendre la souveraineté alimentaire ou laisser crever les campagnes sous la fumée du CSR ?Le vote approche.
Les membres du CODERST seront appelés à se prononcer.
Leur silence serait une trahison. Leur vote, un verdict politique.Le peuple observe. Le peuple se lèvera.
"Quand les institutions trahissent la terre, c’est à la terre de se faire institution.
La Chambre d’agriculture 56 a été officiellement alertée par le FBCI et GreenBretagne, mais reste silencieuse. Et pendant ce temps-là, des propriétaires comme HUET cherchent à vendre !!!
Gueltas brûle, la Chambre d’agriculture 56 détourne les yeux !
Le Collectif GreenBretagne et le Front Breton Contre l’Incinération (FBCI) ont alerté publiquement, début juillet 2025, le président Gaëtan Le Seyec et le directeur Benoît Carteau de la Chambre d’agriculture du Morbihan.
Dans deux courriers restés sans réponse à ce jour, nous avons dénoncé :
- La pollution annoncée de l’air, des sols, de l’eau et des prairies.
- L’impact sanitaire des fumées de CSR (dioxines, PFAS, métaux lourds).
- La menace sur la qualité du lait, de la viande et de l’image de la Bretagne agricole.
- Le rôle ambivalent de la Chambre, pourtant siégeant au CODERST 56.
Un silence lourd, stratégique ?
La Chambre n’ignore rien. Elle sait. Elle lit. Elle classe les mails. Mais elle refuse - pour l'instant - de convoquer une session spéciale ouverte à la presse, comme nous le demandions.
Pendant ce temps-là, sur les cartes cadastrales, nous avons observé autre chose à la fin de l’enquête publique :
Des parcelles proches du site de SUEZ, comme celle du camarade HUET, sont en vente.
La parcelle B 107, 100 % concernée par la bande des 200 mètres de servitude autour du site. Et d'autres (B 132, B 108, B 138, etc.) sont massivement impactées.
Pourquoi vendre maintenant ? Qui vend ? À qui ? Avec quelles informations en main ? Qu’est-ce que cela révèle ? Une fuite ? Une résignation ? Une tentative d’échapper à ce que les autres ne veulent pas encore voir ?
Pendant que les tracteurs s’alignent pour les concours agricoles, les fumées s’organisent dans le silence des chambres ?
Nous appelons :
- À la publication immédiate de la position de la Chambre d’agriculture 56.
- À l’instruction claire de M. Pellerin (représentant de la Chambre au CODERST) de voter NON au projet SUEZ.
- À l’ouverture d’une session extraordinaire, publique, avec les éleveurs de Gueltas, Noyal-Pontivy et Saint-Gérand.
À Gueltas, une parcelle classée 100 % dans la bande des 200 m de servitude autour du site SUEZ (B 107) est mise en vente. D'autres suivront. La forêt brûle, les terres fuient.
Et que fait la SAFER Bretagne ? RIEN ?
Silence absolu. Pas d’alerte publique. Pas de transparence. Pas de position.
Pourtant, la SAFER :
- Est informée de toute mutation foncière agricole.
- Peut préempter pour préserver les terres et leur usage.
- Dispose d’un Comité technique départemental qui réunit :
- La Chambre d’agriculture
- Les syndicats agricoles
- L’administration
- Des élu·es départementaux
Et donc, camarades de la SAFER :
- Vous savez que le camarade HUET vend en zone CSR ?
- Vous savez que ces terres sont à deux pas de l’incinérateur SUEZ ?
- Vous savez qu’il y a un projet industriel classé ICPE avec fumées, dioxines, PFAS et pollution ?
Et vous ne dites rien ?
Pas un mot au public ? Pas une alerte aux acheteurs ? Pas une analyse transmise aux élu·es de Gueltas, de Noyal-Pontivy, de Pontivy Communauté ? Pas une note de risque, pas un avis de prudence, pas une ligne dans un CR du comité départemental ?CECI NE SERAIT PLUS UNE OMISSION. CE SERAIT UNE COLLABORATION ?
Le Comité technique départemental de la SAFER Bretagne (56), présidé et peuplé d’acteurs institutionnels, agricoles et politiques, est en situation de connaissance directe.
Si vous ne parlez pas, vous cautionnerez ? Si vous ne préemptez pas, vous collaborerez ?
Si vous vous taisez, le peuple parlera à votre place.Le FBCI et GreenBretagne exigent :
- La publication immédiate de toutes les ventes, retraits ou promesses de vente de parcelles impactées par la bande des 200 m.
- Une prise de position publique du Comité technique SAFER 56 sur le projet SUEZ.
- La transmission à la CADA et à la HATVP de tous les documents fonciers liés à cette zone.
Alors pourquoi rester dans ce silence organisé ?
Pour protéger les transactions ? Les réseaux ? Les intérêts privés ? Ou simplement pour éviter de "faire de vagues" pendant l’été ?GUELTAS – L’ENQUÊTE PUBLIQUE OU L’AGENCE IMMOBILIÈRE ?
Quand un projet d’incinérateur CSR devient une opportunité pour liquider un terrain contaminé...
Parcelle B137 à Gueltas.
Le propriétaire (M. Jean-Luc HUET) témoigne le 6 mai 2025 lors de l'enquête publique. Il déclare agir pour son fils Vincent, et que la parcelle est incluse dans les servitudes. "Il souhaite s’en débarrasser."
Alors, posons la seule vraie question :
L’enquête publique a-t-elle servi à éclairer la population... ou à préparer discrètement une cession foncière en zone CSR ?
Le plan cadastral est clair. La parcelle B137 est gravement impactée (plus de 50 % dans la bande des 200 m selon les documents SUP).
Les photos terrain en notre possession montrent des prairies utilisées (fourrage ? pâture ?).
Et pourtant, le propriétaire n’a pas déposé un avis contre le projet d’incinérateur. Il a parlé juste de vente.Après le passage de la caravane du Tour de France à Mûr-de-Bretagne où nous avons massivement tractés, nous demandons des éclaircissements :
- Que cette enquête publique a servi de prétexte pour valoriser ou liquider un foncier devenu invivable.
- Que ni la mairie, ni la préfecture, ni la SAFER ne sont intervenues pour bloquer ou signaler cette stratégie.
- Que les membres du CODERST et de la Chambre d’agriculture 56 sont donc parfaitement informés. Ils ne peuvent laisser faire cela.
La SAFER Bretagne ne peut pas ne pas savoir.
Elle est officiellement destinataire de tout mouvement foncier. Elle aurait dû émettre une alerte ou une réserve sur cette vente en zone ICPE/CSR/servitude.
Et si elle ne l’a pas fait ? Alors elle deviendrait donc complice de la mise en marché de terres polluées ?
Hydrogéologue agréé, silence pollué ?
M. Pascal BALÉ, la nappe phréatique attend votre avis.
M. Pascal BALÉ est hydrogéologue agréé par l'État dans le département du Morbihan pour les questions relatives à l’eau potable, à la salubrité, aux périmètres de protection des captages, et à l’hygiène publique.
Et pourtant, aucune prise de position publique à ce jour sur le projet d’incinérateur CSR à Gueltas.
Aucune alerte. Aucune note critique. Aucune inquiétude partagée.Et pourtant, les faits sont là :
- Le projet SUEZ implique une ICPE, donc une installation industrielle pouvant polluer l’air, les eaux de surface et les nappes.
- Le terrain est situé à proximité de zones agricoles et forestières sensibles, dont certaines potentiellement utilisées pour l’alimentation humaine ou animale.
- La combustion de CSR libère des polluants persistants (dioxines, PFAS, HAP, métaux lourds) susceptibles de contaminer les eaux par lessivage des sols.
Alors, M. BALÉ :
- Avez-vous été saisi officiellement par la préfecture ou par les porteurs de projet ?
- Avez-vous produit une note d’analyse ? Un avis ? Un rapport hydrogéologique ?
- Pensez-vous que les couches aquifères sous Branguily resteront vierges de toute pollution ?
- Ou bien vous préparez-vous à valider un silence technique, comme d’autres ?
La parcelle B137, située à Gueltas, est officiellement impactée à plus de 54,82 % par la servitude des 200 mètres autour du site CSR de SUEZ.
Le 6 mai 2025, Jean-Luc HUET, père du propriétaire, témoigne lors de l’enquête publique : “La parcelle serait incluse dans les servitudes. Il souhaite s’en débarrasser.”
Le plan cadastral est sans appel. Les photos du terrain montrent une zone naturelle en contact avec la forêt de Branguily.
Alors nous posons solennellement la question à M. Pascal BALÉ :
- Avez-vous évalué la vulnérabilité hydrogéologique de la parcelle B137 ?
- Avez-vous reçu, consulté ou produit un avis sur cette zone ?
- Avez-vous été saisi par la préfecture ? Si non, pourquoi ?
- Pensez-vous que les eaux souterraines seront épargnées alors que cette parcelle est située en pente douce, au contact direct de la zone de combustion CSR ?
Et à la Préfecture du Morbihan :
- Pourquoi n’avez-vous pas exigé d’étude hydrogéologique approfondie ?
- Pourquoi ce silence institutionnel sur une zone connue, sensible, vendue ?
- Est-ce une stratégie pour laisser sortir discrètement les parcelles devenues invendables après l’installation du projet ?
Appel à Marie-Ève TAILLECOURS – Confédération paysanne 56
Quand la Chambre se tait, les syndicalistes doivent parler.
Le projet SUEZ à Gueltas menace les terres, les animaux, les paysan·nes. La Chambre d’agriculture 56 est aux abonnés absents. Le représentant de la Chambre au CODERST, M. PELLERIN, refuse de se positionner. Et pendant ce temps-là, la SAFER laisse vendre en douce la parcelle B137 en pleine zone de servitude ?
Nous appelons solennellement nos camarades de la Confédération paysanne du Morbihan à sortir du bois.
Camarade Marie-Ève TAILLECOURS, vous êtes connue pour vos engagements clairs :
- Pour une agriculture paysanne, vivante, enracinée.
- Contre les logiques industrielles, les coopératives opaques et la bétonisation.
- Pour les prairies, pas pour les fumées.
Alors dites-le, publiquement :
- La Confédération paysanne 56 s’oppose-t-elle ou non au projet d’incinérateur CSR à Gueltas ?
- Acceptez-vous que la Chambre d’agriculture à laquelle vous vous opposez historiquement siège au CODERST sans rendre de comptes ?
- Allez-vous exiger avec nous l’annulation du projet et la publication des ventes suspectes de terres contaminées ?
Le peuple de base de la paysannerie pauvre du Morbihan a tracté à Mûr-de-Bretagne. Le Tour de France est passé, la propagande touristique aussi. Mais les vrais coureurs sont là : les citoyens qui veulent la vérité. Nous demandons des éclaircissements publics de la part de la Chambre, de la SAFER, du CODERST et de la préfecture.
Maintenant, les masques doivent tomber. Gueltas n’est pas une carte postale.
C’est un territoire qui résistera car les premières lignes, ce ne sont pas les pelotons… mais les paysans en colère !
A suivre
Marc Claude de PORTEBANE
Président d’AURA Environnement
Porte-parole du Collectif GreenBretagne & du FBCI (Front Breton Contre l’incinération)
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Opération Étoile Rouge – Plouvara, Bretagne sous pression : entre vaches, fumées et trahisons industrielles !
- Par auraenvironnementparis
- Le 24/05/2025
- Dans Chroniques du chaos CSR à Plouvara, Bretagne sous pression !
AURA Environnement en soutien du collectif (FBAI)
Front Breton Anti Incinération
déclenche l’opération « Etoile Rouge »
CONTRE le projet d’Usine à CSR à Plouvara (22) !
Dernière minute – 25 juin 2025 :
Comme à Notre-Dame-des-Landes, une nouvelle page de résistance est en train de s’écrire à Plouvara.
Le FBAI annonce qu’un projet de ZAD est en cours de structuration sur la commune. Une demande officielle de location de la salle des fêtes a été adressée à la mairie pour y tenir une assemblée populaire de convergence, afin d’expliquer aux habitant·es et aux camarades de toute la Bretagne le sens profond de notre lutte contre les incinérateurs CSR.
Et comme à NDDL :
Nous appelons dès à présent à la récupération de matériel utile à l’implantation logistique de la résistance :- Tentes, yourtes, tipis
- Casseroles, réchauds, cuves à eau
- Palettes, bois de chantier, bâches
- Camping-cars, remorques, cantines roulantes
- Groupes électrogènes, éclairage autonome
- Systèmes de sonorisation, tables, chaises
Notre mot d’ordre est simple :
"Préparer la ZAD, c’est déjà occuper le terrain. Rassembler les vivres, c’est annoncer la durée". Camarade Chantal LEVEQUE, comité central du FBAI.
A deux pas de chevaux paisibles et de vaches broutant dans les effluves de la SECANIM — usine d’équarrissage aux 180 000 tonnes de cadavres par an — se trame un nouveau front de guerre écologique : l’installation d’une “chaudière CSR” couplée à 15 hectares de serres industrielles, au cœur même du monde agricole breton.
Une enquête de terrain en plein champ… de manœuvres
Ce lundi 19/05/2025, le président d’AURA Environnement et porte-parole du Front Breton Anti CSR (FBAI) a rencontré les représentants de l’AVIE à Plouvara. Objectif : évaluer la réalité du projet, les dynamiques locales… et les failles internes.
« L’AVIE existe, mais elle hésite. Nous avons senti de la sincérité, mais aussi de la peur : peur de gêner les élus, peur de “mettre le feu” trop tôt. Le FBCI, lui, est prêt. »
Sur place, les photos prises près de la SECANIM révèlent une incohérence brutale :..... des animaux innocents à proximité d’une usine pestilentielle, et demain, peut-être, d’une cheminée CSR.
La “transition verte” qu’on nous promet se résume ici à une chose : la combustion d’un territoire.
Plouvara : un Gueltas bis, sous stéroïdes logistiques ?
Le projet, porté par Kerval, Armor Semences et la filière CSR, présente tous les marqueurs du désastre annoncé :
- incinération de plastiques sous étiquette verte,
- agriculture hors-sol dopée à la chaleur industrielle,
- dérives urbanistiques (SUP, PLUi modifiés, zonages masqués),
- et un potentiel chantage à l’emploi mal dissimulé.Sur site, il est aussi envisagé que cette “unité de valorisation du CSR” alimente 15 hectares de serres exploitées par Armor Semences, qui projette d’y produire des tomates non pour nourrir la population, mais pour extraire des graines destinées à sa filière semencière.
Autrement dit : des déchets industriels pour chauffer une production hors-sol, au service d’un marché semencier mondialisé. Ce n’est pas une transition alimentaire. C’est une dérive technologique de laboratoire.
Ce projet soulève plusieurs questions :
- Utilisation de déchets pour l'agriculture : La chaleur produite par l'incinération de déchets serait utilisée pour chauffer des serres destinées à la production de graines de tomates. Cela pose la question de l'impact environnemental et sanitaire de l'utilisation de chaleur issue de déchets pour des cultures agricoles.
- Impact sur le territoire : L'installation de ces serres et de la chaudière CSR pourrait transformer le paysage rural de Plouvara, avec des conséquences sur l'environnement local et la qualité de vie des habitants.
- Modèle économique : Le projet est présenté comme une opportunité économique, avec la création de 150 emplois. Cependant, il est essentiel d'examiner si ce modèle est durable et bénéfique à long terme pour la communauté locale.
Il est crucial de continuer à surveiller de près ce projet et d'engager un dialogue avec les parties prenantes pour évaluer ses implications complètes sur l'environnement, l'économie et la société locales.
Et maintenant, menacer l’eau ?
« Après les odeurs de l’équarrissage, il est hors de question que nous subissions une autre pollution », martèle Hervé Trémel, premier adjoint au maire de Plerneuf. Il affirme que le site choisi pour la chaudière CSR est situé sur une zone humide.
Et de s’inquiéter publiquement :
« Que fait-on de la protection du bassin-versant du Gouët ? C’est l’eau qui alimente une grande partie du département qui est en jeu. »
Cette fois, il ne s’agit plus “seulement” de fumées : c’est la ressource en eau de milliers de personnes qui pourrait être impactée.La zone humide concernée par le projet de chaudière CSR à Plouvara se situe à proximité immédiate de l'usine d'équarrissage SECANIM.
Selon les déclarations d'Hervé Trémel, 1er adjoint au maire de Plerneuf, le site envisagé pour la construction de la chaudière se trouve sur une zone humide, ce qui soulève des préoccupations environnementales majeures, notamment en ce qui concerne la protection du bassin-versant du Gouët, une source d'eau potable essentielle pour une grande partie du département.
La commune de Plouvara est traversée par plusieurs cours d'eau, dont le Leff, l'Ic, le Camet et le Moulin Kernier, qui contribuent à la richesse écologique de la région.
La présence de zones humides dans ces bassins versants joue un rôle crucial dans la régulation hydrologique, la biodiversité et la qualité de l'eau.
Tout cela dans un silence municipal assourdissant, rompu seulement par quelques tracts courageux de l’AVIE, qui se voit désormais doublée sur sa gauche par un FBCI mobilisé, structuré, et offensif.
Un réseau d’intérêts à démasquer
Pourquoi Armor Semences ? Pourquoi la hâte ? Pourquoi ici ?
Une lecture attentive du SRADDET et du PRPGD montre que ce projet va à l’encontre des engagements régionaux sur la réduction des déchets, la préservation des terres agricoles, et la concertation démocratique.
Le FBAI s’emploiera dans les semaines à venir à :
- cartographier les collusions foncières et techniques du projet,
- interpeller publiquement le préfet, Kerval, et la Région,
- exiger un moratoire immédiat sur toute initiative CSR en Bretagne.Plouvara ne sera pas le chaînon manquant entre le cadavre et la salade sous plastique.
Ce sera — ou non — le point de rupture !Rejoignez le Front Breton Anti CSR (FBAI) “Contre l’enfumage industriel, pour la démocratie locale.” !